Si je t’affonne, parle-moi de ton baptême, Est-c’que t’es Buffalo ? Ou bien geronimo ? Mais surtout pas Atila-heu ! Vive le folklore, et les dinosaures. Les jeunes, les vieux, et les presques morts-heu Parlons de la guindaille, pas de manière bestiale, C’est un sujet, qu’est de taille-heu !
Des im- petrants, qui aiment la guindaill’
Passent leur, calotte, mais pas par d’sous les rails. Parfois, ça glisse, ça dégueule à tout va, D’la biere , d’la blonde, du moment qu’on la bois.
Et on glette, glette, glette, glette, glette
(Comme des vilains pochtrond) Je glette, glette, glette, glette, glette (Le folklore à foison) Glette, glette, glette, glette, glette (Prends pas trop de boisson) Et 1,2, 1234 !
Ça commence par une bière,
deux bières, trois bières, J’finis par terre Oula c'est chaud pour moi, je ne vois plus très clair. Jsuis mort pété, j’vais dégueuler. Où j’suis ? Où j’vais ? Ça j’en sais rien. Mais je verrais tout ça demain. Je fais n'importe quoi, et je me nique le foie. C’est que l ‘début de la soirée !
Je vais sûrement chopper ce soir,
Avant demain, pour le trou noir. Punaise je comprends rien à ce qu'y m'est arrivé. Ou était la fin de soirée ? Ce que j'ai fais hier, je me souviens de rien Il faut demander aux anciens. Ou bien à Emilien ou encore à Bastien. Je suis bien rentré chez quelqu'un.
Et on glette, glette, glette, glette, glette
(Comme des vilains pochtrond) Je glette, glette, glette, glette, glette (Le folklore à foison) Glette, glette glette, glette, glette (Prends pas trop de boisson) Et 1,2, 1234 !
On’est la pour s’amuser, tout vous dévoiler
On s’en fout plus rien à cacher Remets moi un petit verre, je veux de la bi-ère C'est le praesse qui régale ! Même si on sera bourré avant minuit On s'en fout, on port’ra le Zéro. Remets-moi un petit verre, fais pas ton épis de blé C'est le praeses qui régale ! L’étreinte.
Elle prend mon cœur quand je la serre,
Saisis mes sens les plus simples, Belle, elle me don-ne le bonheur Belle elle me don-ne, le bonheur A changé ma vie mon, univers Belle elle me donne, le bonheur. Samedi soir, un espoir, De pouvoir te revoir. Mes rêves d’amoureux m’ont fait, te visiter au bar. Tu étais si ravissante, Et ton odeur aliénante ! Elle prend mon cœur quand je la serre, Saisis mes sens les plus simples, Belle, elle me don-ne le bonheur Belle elle me don-ne, le bonheur A changé ma vie mon, univers Belle elle me donne, le bonheur. J’ai osé à l’approcher, Encore émoustillé. Mais je ne peux oublier quand je l’ai embrassé. Mon corps ne s’est pas remis, De cet effet exquis, Elle prend mon cœur quand je la serre, Saisis mes sens les plus simples, Belle, elle me don-ne le bonheur Belle elle me don-ne, le bonheur A changé ma vie mon, univers Belle elle me donne, le bonheur. Nous avons passé la nuit, A rigoler ensemble. Je garde le souvenir, que nos corps s’assemblent. J’avais toujours envie, De te boire, blonde bière, Elle prend mon cœur quand je la sers, Saisis mes sens les plus simples, Belle, elle me don-ne le bonheur Belle elle me don-ne, le bonheur A changé ma vie mon, univers Belle elle me donne, le bonheur.