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SIMATIC
Automate Programmable S7-300
Configuration et Programmation
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STEP 7
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STEP 7
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Configuration
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Configuration
1. Démarrer le logiciel SIMATIC MANAGER à l'aide
du raccourci qui se trouve sur le bureau
2. Création d'un nouveau projet :
Nota : Ne pas utiliser l'assistant nouveau projet pour ne
pas être tributaire des choix du logiciel.
• Ouvrir un nouveau projet dans le menu Fichier —
Nouveau Projet
• Donnez lui un nom, par exemple Votre Nom_TP
N°
• Laissez le chemin C:\Siemens\Step7\S7proj et
valider sur OK pour l'enregistrement.
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Configuration
. Le logiciel est plus performant lorsque les projets sont enregistrés
sous C:.
Vous venez de vous créer un nouveau projet sous SIMATIC
MANAGER et vous vous trouvez à présent sous l'environnement du
logiciel. Voir ci-dessous:
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Configuration
3. Configuration matériel :
Une fois votre nouveau projet créé, il faut configurer les
caractéristiques de l'automate dans le logiciel.
Caractéristiques de l'automate :
L'automate SIEMENS que vous allez configurer comporte trois
parties. Il faut donc configurer ces trois parties dans le logiciel.
Partie 1 : Alimentation externe
Partie 2 : CPU
Partie 3 : Carte d'entrées sorties
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Configuration
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Configuration
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Configuration
b. Configuration du matériel :
• L'icône matériel vous permet de démarrer l'application de
configuration du matériel.
• Dans le menu Insertion — Cliquez sur Composants matériels
— Un catalogue apparaît à droite de l'écran.
Il faut à présent sélectionner un support de matériel. Ce support va
vous permettre de placer les différents modules de l'automate à
configurer.
• Dans le catalogue de composants, sélectionnez :
SIMATIC 300 — RACK 300 — Cliquer sur Profilé support
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Configuration
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Configuration
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Configuration
1) Exemple pour l'alimentation externe :
Sur l'alimentation de l'automate, se trouve l'inscription PS7 2A.
Dans le catalogue de composants, allez chercher cette
alimentation et placez là dans l'emplacement 1.
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Configuration
2) Implantation de la CPU :
• Choisir ensuite la CPU dans le catalogue de composants et
placer la sur le profilé support.
Les caractéristiques de la CPU ainsi que son adresse MPI, sont
inscrites directement sur l'Automate.
Une fois la CPU installée, modifiez son adresse MPI. ( Sinon,
vous risquez de modifier le programme sur l'automate de votre
voisin)
Pour modifier l'adresse MPI, cliquez sur la CPU. Dans le menu
Général, Cliquez sur Propriétés et modifiez l'adresse MPI.
Nota : La CPU de l'automate utilise deux emplacements. C'est à
dire qu'il ne faudra pas installer de modules à l'emplacement 3.
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Configuration
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Configuration
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Configuration
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États de fonctionnement de la CPU
État de marche (RUN-P)
La CPU exécute le programme tout en vous permettant de le modifier, de même que ses paramètres. Afin
de pouvoir utiliser les applications de STEP 7 pour forcer un paramètre quelconque du programme durant
son exécution, vous devez mettre la CPU à l'état RUN-P.
Vous avez toujours la possibilité d'utiliser les "fenêtres" créées dans l'application de simulation de modules
S7-PLCSIM pour modifier une donnée quelconque utilisée par le programme.
État de marche (RUN)
La CPU exécute le programme en lisant les entrées, exécutant le programme, puis en actualisant les
sorties. Lorsque la CPU se trouve à l'état de marche (RUN), vous ne pouvez ni charger aucun programme,
ni utiliser les applications de STEP 7 pour forcer un paramètre quelconque (comme les valeurs d'entrée).
Vous pouvez uniquement utiliser les fenêtres créées dans l'application de simulation de modules S7-
PLCSIM pour modifier une donnée quelconque utilisée par le programme.
État d'arrêt (STOP)
La CPU n'exécute pas le programme. Contrairement à l'état d'arrêt (STOP) des CPU réelles, les sorties ne
prennent pas de valeurs (de "sécurité") prédéfinies, mais conservent l'état auquel elles étaient lorsque la
CPU est passée à l'état d'arrêt (STOP). Vous pouvez charger des programmes dans la CPU lorsqu'elle est
à l'arrêt. Le passage de l'état d'arrêt (STOP) à celui de marche (RUN) démarre l'exécution du programme à
partir de la première opération.
Les états de fonctionnement de la CPU, les indicateurs de la CPU et le bouton MRES (effacement général)
sont tous représentés dans la fenêtre "CPU". Vous pouvez définir l'état de fonctionnement de la CPU avec
la commande Position du commutateur à clé. Vous pouvez suspendre l'exécution du programme de l'AP de
simulation lorsque la CPU est à l'état RUN ou RUN-P.
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Adressage
Dans cette partie, nous abordons les problèmes d'adressage
dans la programmation sur Automate SIEMENS.
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Adressage
Exemple 1: les entrées sont repérées sur la première carte
d'entrées : I0.0, I0.1,..., I0.7 puis I1.0,..., I1.7
Exemple 2 : Exemple sur la zone de mémento
Bit M156.4 1 1 1
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Les Mnémoniques
Les mnémoniques sont là pour vous faciliter la vie. Ils permettent une
représentation symbolique des entrées, sorties, zones de mémoires... .
Ainsi plus besoin de se souvenir que le bouton X est connecté à
l'entrée I1.2. Il suffit de l'enregistrer au début dans la table des
mnémoniques en tant que Bouton X.
Vous pouvez alors librement utiliser Bouton X dans le programme, le
compilateur saura qu'il s'agit de I1.2.
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Les Mnémoniques
L'adoption d'une convention au début de la programmation est
nécessaire pour bien se repérer. Et, ainsi ne pas s'obliger à tout le
temps regarder dans la table des mnémoniques pour voir comment
on avait appelé telle ou telle variable.
Par exemple nous adoptons la norme CNOMO pour les entrées /
sorties :
Type Désignation
Capteur SQ
Électrovanne YV
Bouton poussoir SB
Commutateur SA
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Les Mnémoniques
En ce qui concerne les zones Mémentos, on opère de la même
façon.
Exemple :
Fonction FC correspondant Bit associé Désignation
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Les Mnémoniques
Exemple : Pour la rentrée d’un vérin M1 :
La sortie est : M1R à laquelle on associe par exemple le mot MW105,
on a ainsi
Désignation Bit associé
AIM1R M105.3
CMM1R M105.4
VMM1R M105.5
CAM1R M105.6
VAM1R M105.7
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Programmation
Cette partie correspond au résumé des principales notions lorsqu'on utilise pour
la première fois le langage ladder.
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Programmation
Nous avons choisi le langage à contact pour la programmation car il s'agit
du langage le plus simple. Il peut être compris par n'importe qui ayant des
notions de logique, même s'il ne parle pas la même langue que vous...
De plus, il est le plus facile à débugger et permet une vision facile en
temps réel avec l'installation.
Il permet une bonne lisibilité, et il faut bien imposer une règle.
Principes
Fondamentalement, les programmes CONT permettent à la CPU
d'émuler le trajet de courant électrique partant d'une source de tension, à
travers une série de conditions d'entrée logiques validant, à leur tour, des
conditions de sortie logiques. Généralement, on subdivise le code en
sections de petites tailles et faciles à comprendre, souvent appelées
"réseaux". L'exécution du programme se fait réseau par réseau, de
gauche à droite et de haut en bas, comme prescrit par le programme.
Lorsque la CPU a atteint la fin du programme, elle recommence au début
du programme. 50
Programmation
Les principales opérations en CONT
Les différentes opérations sont représentées par des symboles graphiques de trois types
fondamentaux :
Les contacts représentent des conditions d'entrée logiques, telles que commutateurs,
boutons-poussoirs, conditions internes, etc.
Les bobines représentent généralement des résultats de sortie logiques, tels que
lampes, démarreurs de moteur, relais intermédiaires, conditions de sortie internes, etc.
Les boîtes représentent des opérations supplémentaires, telles que temporisations,
compteurs ou opérations arithmétiques.
En CONT, vous pouvez créer des réseaux simples ou très complexes. Vos réseaux
peuvent contenir des connecteurs et vous pouvez même connecter plusieurs boîtes
d'opérations en série si elles comportent une sortie Q (Enable Output). Si un flux de
signal est présent à l'entrée S d'une boîte et que l'opération correspondante est exécutée
sans erreur, la sortie Q transmet le flux de signal à l'élément suivant. Vous pouvez
utiliser Q comme bit de validation qui indique l'achèvement réussi d'une opération.
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Programmation
Remarques
Lorsque vous sélectionnez l'éditeur CONT, vous devez considérer les aspects principaux
suivants :
• Les programmeurs débutants apprennent facilement le schéma à contacts.
• La représentation graphique facilite souvent la compréhension et est utilisée partout
dans le monde.
• Vous pouvez toujours afficher avec l'éditeur LIST un programme que vous avez créé
avec l'éditeur CONT
Les contacts
Un bouton poussoir, un bit (mémoire interne appelé mémento), une entrée... sont
représentés par le symbole
<=>
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Programmation
Les bobines
Une lampe, une électrovanne, une sortie plus généralement ou la mise à 1 d'un bit
interne sont représentés par
Son équivalent en schéma électrique pour une lampe par exemple est :
<=>
Les boites
Les boîtes sont des éléments supplémentaires pour effectuer certaines opérations telles
que la temporisation ou une comparaison entre deux mots... Il existe une panoplie de
ces boîtes. Par exemple, l'opération Démarrer temporisation sous forme de retard à
la montée (TON) compte le temps qui s'écoule lorsque l'entrée de validation est
activée.
Lorsque la valeur en cours (Txxx) est supérieure ou égale au temps prédéfini (PT), le
bit de temporisation est activé.
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Programmation
Exemple de la tempo retard à la montée :
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Programmation
Les réseaux contiennent les actions que vous voulez effectuer. Ainsi, pour allumer une
lampe en appuyant sur un bouton, le schéma électrique équivalent peut se transcrire de
la façon suivante :
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Programmation
Pour réaliser par exemple la fonction Bouton 1 ET Bouton 2 allume la Lampe 1 et la
Lampe 2 :
Vous ne pouvez pas commencer un réseau par une bobine ; les bobines servent à
terminer un réseau de logique. Un réseau unique peut contenir plusieurs bobines si ces
bobines sont situées sur des branches parallèles du réseau. Vous ne pouvez pas placer
plusieurs bobines en série (vous ne pouvez pas avoir plusieurs bobines sur une seule
ligne horizontale d'un réseau). 56
Programmation
Structure d’un Programme
La méthode proposée est une méthode simple et rigoureuse. Elle n'est pas unique, car
aucune norme ne régit la façon de programmer un automate. Il suffit d'en connaître
quelques règles pour bien l'assimiler et la comprendre.
La programmation sous Step-7 est organisée autour d'un bloc principal dans lequel
on fait appel aux différentes fonctions qui sont à réaliser. C'est dans ce bloc principal
(OB1 par exemple) que sont faites les différentes connexions entre les fonctions.
Ainsi, on peut associer à chaque fonction (FC1 par exemple) un rôle spécial qui
permet de contrôler son système en interagissant avec les autres.
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Programmation
FC1
OB1
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Programmation
Exemple
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Programmation
Remarque : Les choix de l'emplacement des mnémoniques des
différentes étapes est laissé libre.
On commence par programmer la description Grafcet. On
démarre avec la dernière étape :
Réseau 1
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Programmation
Réseau 2
Traduction : Quand l'étape 3 est valide et que le Vérin B est rentré, alors
on Reset (dévalide) l'étape 3 et on Set (valide) l'étape 4.
Réseau 3
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S7-PLCSIM
Mise en route
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Circuit Inversseur du sens de Rotation
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Circuit Inversseur du sens de Rotation
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Circuit Inversseur du sens de Rotation
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Circuit Inversseur du sens de Rotation
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Circuit Inversseur du sens de Rotation
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Montage Etoile-Triangle automatique
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Montage Etoile-Triangle automatique
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Montage Etoile-Triangle automatique
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Bande transporteuse à circuit séquentiel
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Bande transporteuse à circuit séquentiel
Description fonctionnelle
Trois tapis roulants doivent pouvoir être enclenchés séparément et arrêtés tous
ensemble à l’aide de boutons-poussoirs. Pour qu’aucun des tapis roulants ne soit
comblé, ils doivent pouvoir être enclenchés uniquement dans l’ordre tapis 3, tapis
2, tapis 1 après activation du bouton-poussoir de validation S4. Les tapis roulants
enclenchés doivent pouvoir être arrêtés à tout instant au moyen du bouton-
poussoir S0 ; ce faisant, il convient de bloquer la validation. Les contacts Q1, Q2
et Q3 du relais de protection du moteur sont branchés en série. Si un moteur est
surchargé de telle sorte que le relais de protection du moteur réagit (simulation
moyennant le bouton-poussoir S5), le voyant lumineux H4 doit le signaler. L’état
d’enclenchement des tapis roulants devra être signalé par les voyants lumineux
H1, H2 et H3 correspondants.
En complément à la description fonctionnelle 1, il doit aussi être possible d’arrêter
les tapis roulants séparément avec les boutons-poussoirs S6, S7 et S8. Pour
qu’aucun tapis roulant ne soit comblé, un arrêt des tapis à l’aide des boutons-
poussoirs S6, S7 et S8 ne doit être possible que dans l’ordre tapis 3, tapis 2 et tapis
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Bande transporteuse à circuit séquentiel
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Bande transporteuse à circuit séquentiel
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Bande transporteuse à circuit séquentiel
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Exemple 1
Bit clignotant a 1 Hz
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Comment travailler avec STEP 7
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Comment travailler avec STEP 7
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