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inspiré
Geobert QUACH
13 Juillet 2005
Texte sous license CC BY-NC-ND 4.0
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un de ces sauvages qui insistent lourdement dans la rue alors qu’il est
manifeste qu’ils dérangent. Non, moi j’admire et idolâtre ce que la Na-
ture offre de plus beau au monde. C’est peut-être la cause de tout ça,
qui sait.
assez fine, sans manche, sans décolleté particulier. Elle semble plutôt
embêtée mais ça ne l’empêche pas de me sourire :
– Bonjour Marc, désolée de te déranger dès le matin comme ça…
– Bonjour Laure, pas de problème c’est mon boulot ici.
Le ton de sa voix trahis bien plus que la tuile avec son PC, elle n’est
pas bien dans sa peau aujourd’hui. Les yeux sont rouges, elle a du pleu-
rer.
– Bon ben je regarde ce que la bête a et je t’appelle quand c’est fini ?
– Oh, merci je vais me mettre au bureau là.
Elle s’installa sur une table dans un coin de la pièce avec des dos-
siers et commença à les éplucher. C’est alors qu’une collègue vînt la
voir.
– Comment ça va Laure ?
– Pas terrible.
– Oh, viens on va se prendre un café.
Elle avait le regard très troublé, mais fixait ses dossiers sans vrai-
ment les lire. Je décidais d’insister un peu sur les tétons. Elle se mor-
dit les lèvres. Sa respiration se faisait plus saccadée, son visage avait
indéniablement pris des couleurs. Je visualisais maintenant parfaite-
ment les points où j’exerçais mon pouvoir et commençais à les déplacer
en faisant des cercles autour de la pointe des seins pour atteindre leur
base. Elle avait toujours les lèvre mordues pour ne laisser passer aucun
soupir.
Je me baladais maintenant sur son ventre. Elle posa une main des-
sus pour s’assurer que rien n’était sous sa robe. Je remontais sur ses
seins, les titillant simultanément. Elle laissa pousser un tout petit cri
ravalé.
— Oui ? lui demandais-je.
– Hein ? Euh non c’est rien, ce que j’ai lu là m’a un peu surprise…
– Ah très bien, bon j’ai terminé avec la machine, venez que je vous
explique ce qu’il faut faire pour éviter ce genre de problème à l’avenir.
– Ah… Euh… Oui j’arrive.
Elle se leva de sa chaise, elle avait 3 mètre à parcourir. Je choisis
le moment où elle se leva en lissant sa robe pour effleurer sa fleur.
Elle sursauta de nouveau, je fit mine de cliquer un peu et ne pas avoir
vu. Elle fit les trois mètres rapidement et s’appuya sur la table, restant
debout. Je commençais à lui expliquer quelques procédures élémen-
taires, mais je continuais à la caresser doucement d’abord. Je jeta un
regard vers ses yeux, elle n’écoutait plus. Elle faisait jouer ses jambes,
les frottant l’une contre l’autre, les yeux rivés sur l’écran faisant « hin
hin » après chacune de mes phrases. Je me tenta une stimulation de la
surface de son anus, elle ferma les yeux 2 secondes. J’accélérais mes
mouvements sur son bouton d’amour. Elle craqua complètement, se
pliant en deux et retenant avec grande peine un cri d’orgasme. Per-
sonne n’était dans le couloir, j’étais le seul à avoir pu entendre.