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LE POSITIVISME

Auguste Comte est a l’origine d’une doctrine philosophique, le positivisme, qui exerce une
grande influence sur la littérature dans la deuxième moitié du siècle.
Cette doctrine , connue comme “loi des trois états”,se fonde sur l’idee que l’esprit humain a
traversé trois phases successives:
- la première, PHASE THEOLOGIQUE:    où la réalité est expliquée par l’existence d’êtres
surnaturels (ex. Monde grec et latin: plusieurs divinités)
- la deuxième, PHASE METAPHYSIQUE: où les phénomènes sont considérés comme les
produits des forces abstraites qui gouvernent notre vie
- la dernière, LA PAHSE POSITIVE: où l’homme ne s’interesse plus au “pourquoi” mas au
“comment”, en privilégiant l’observation des lois de la nature et l’expérimentation; l’homme
veut donc comprendre et expliquer la nature et on peut le faire à travers
l’EXPERIMENTATION, LA SCIENCE pour introduire des progrès.
Le positivisme se propose de rendre la vie positive, on a l’ambition de créer une société
parfaite ù l’homme vit bien, heureux, libre. L’ignorance et la souffrance sont eliminées: on
n’a plus d’injustices et d’ignorance.

LE NATURALISME

LES ORGINES
Le symbolisme est un mouvement artistique qui s’est développé dans un
cadre intellectuel marqué par les remises en cause

LE MANIFESTE ET L’INFLUENCE DES THÉORIES SYMBOLISTES

Emile Zola

SA VIE
Emile trouve travail comme commis (=commesso)dans une grande maison d’édition:
Hachette.
Il y fait une brillante carrière puisqu’en quelques mois il est à la tête du service de publicité;
ce quei lui permet d’entrer en contact avec beaucoup d’écrivains.
Il se lance alors dans le journalisme en écrivant des récits et des romans d’inspiration
romantique avant d’évoluer vers le réalisme et puis vers le positivisme.
Il formule explicitement, en 1880, la doctrine naturaliste dans son roman « le roman
expérimental » .
Puis il s’installe dans une grande maison aux portes de paris (=à MEDAN) où se réunissent
beaucoup d’écrivains qu’étaient
attirés par les nouvelles idées (le premier était Guy de Maupassant).
Le groupe publie/ait paraître, en 1880, un recueil des récits, “Les soirées de Médan” que
deviend le manifest de la nouvelle
école littéraire (=du naturalisme)
Il continue son travail de journaliste et en particulier il a défendu en 1886, les peintres
impressionnistes de la critique virulente des traditionalistes; Zola prend position en faveur de
Dreyfus.
Le 13 janvier de 1898 il publie une lettre pour le président de la république, « j’accuse », un
article
publié dans le quotidien l’Aurore qui provoque sa condamne pour un an. Il s’exile aussi en
Angleterre. A son enterrement participent beaucoup de personnes et puis il fut considéré
comme un
monument de la conscience humaine.
LA SCIENCE LITTERAIRE
La seconde moitié du 19 siècle se base sur le progrès qui influence l’art et aussi la littérature
réaliste. A la rechèrche de l’objectivité on trouve, dans la philosophie du positivisme, un
modèle
pour atteindre le statut scientifique qu’elle veut.
Dans son ouvre plus important, Zola insiste sur la pensée que l’écrivain est observateur et
aussi
expérimentateur. La théorie est liée à la pratique et ca est appliqué dans le roman des
Rougon-
Macquart.
LES ROUGON-MACQUART
Zola se propose d’étudier une famille et dimonstrer que les individus de cette famille sont
tous liés
l’uns les autres par la loi de l’hérédité.
Son intention est d’étudier mathématiquement l’évolution d’une tare héréditaire qui frappe
le3es
deux branches d’une meme famille.
Il s’inspire aussi à Balzac pour prendre l’idée de créer une grande série, et il planifie les vingt
romans des Rougon-Macquart avant de se mettre au travail.
Chaque libre est unique et peut etre aussi lu indépendamment des autres, mais tous sont liés
par
quelque chose de commun, comma par exemple lequel que lie les romans de Rougon-
Macquart
c’est la tante Dide, qui est morte folle.
Sa felure, selon les milieux, a des influences les sentiments, les désirs, les passions et toutes
les
manifestations humaines naturelles et instinctives dont les produits prennent le nom de vertus
et
vices des individus.
Le cycle commence avec La Fortune des Rougon qui raconte la vie de notables corrompus
d’une
petite ville de Paris en 1851 au moment du coup d’état.
il est complété 22 ans plus tard avec le Docteur Pascal où le dernière des Rougon fait des
recherches sur l’hérédité : Pascal correspond à l’idéal d’une science unie à la conscience.
Zola n’est pas intéressé à la forme, dans ses romans nous ne trouvons pas tous les régimes
linguistiques, il donne l’idéal de la réalité à travers de la langue. Zola utilise la focalisation
interne
et du discours libre.

L’EPIQUE DE LA REALITE’
Ces romans font de scandale parce qu’ils étaient accusés d’obscénité, de grossièreté
idéologique et
de style. Depuis 50 ans on juge Zola. Il considère le contenu, son style est baclé et son
francais
n’est pas très élégante. Ses ouvres se caractérisent surtout par la force de l’imagination et par
l’enthousiasme : les tableaux et les scènes de foule ont une puissance évocatoire qui n’est pas
une
simple représentation de la réalité.
Dans les ouvres de Zola il y a la précision des descriptions qui anime les objets (les machines
surtout) en fait des véritables personnages et aussi de monstres capables de modifier les
comportements humains.
La langue est variée et modulée avec de différents registres lexicaux : pour les descriptions
minutieuses il utilise un parler populaire, se fondent sur l’argot en usage dans des milieux
différents (parisiens) et enfin sur un vocabulaire technique approprié.
Il utilise aussi la focalisation interne et le discours indirect libre, qui sont capables de
renforcer
l’illusion du réel en faisant disparaitre derrière les personnages les traits trop directs.
L’auteur, le romancier n’apparait pas dans l’ouvre.

OUVRE : L’ASSOMMOIR (le mot vient du verbe assommer qui signifie battre quelqu’un
jusqu’à
l’étourdir)
Est un roman qui prend son titre du cabaret où les personnages vont à boire un verre, donc
nous
pouvons comprendre qu’il s’agit d’un café où les protagonistes vont boire après le travail.
C’est pourquoi fait beaucoup de scandale : l’auteur a fait entrer les ouvriers dans la littérature
en
racontant la « déchéance fatale » d’une blanchisseuse dans le milieu.
Après, les lecteurs l’apprécient la vigueur et la vérité de ce roman parlé dans la langue du
peuple
qui veut montrer le problème très grave qu’il y a à Paris au temps du second empire :
l’alcoolisme.
L’alcool était une plaie parce que les travailleurs travaillaient quinze heures par jour et boire
servait pour avoir de l’énergie pour oublier les préoccupations et pour s’enfuir de la réalité.
L’action :
En mai 1850, Gervaise, fille de personnes qui boivent, est seule dans une chambre sordide
d’un
hotel où le père de trois enfants Claude, Jacques et Etienne l’a abandonnée.
Elle se marie avec un zingueur, Coupeau et a mis au monde une fille Anna, elle connaitre une
aisance et parvient à louer une blanchisserie.
Coupeau se casse la jambe et il devient alcoolique. Gervaise subit beaucoup des humiliations
et elle
tombe aussi dans la prostitution.
Un an après la mort de Coupeau elle est réduite à l’état de clocharde et on retrouve son
cadavre
sous les escaliers de l’immeuble où elle a jadis été heureuse.
APPUNTI IN PIU’
L’histoire de Gervaise est exemplaire pour comprendre la théorie de l’hérédité, toute sa vie
en effet
est conditionnée par l’hérédité génétique (tant vide) et le milieu : on parle de déterminisme.
Son père était alcoolique donc elle peut le devenir. Selon Zola on peut s’éloigner de l’hérédité
si les
conditions sont favorables, mais si les conditions ne le sont pas on ne réussit pas à échapper
au
conditionnement de la race.
C’est pourquoi Zola dénonce les problèmes sociaux. Sa dénonciation a un but
transformateur ; si
on arrive à renverser les conditions sociaux et politiques on peut changer la société.
La littérature selon Zola doit étudier tous ces problèmes, les dénoncer et éstimuler de
reformes.

L’approche que Zola a en ce moment est scientifique : il regard et étudie la réalité de manière
objective, impérsonelle et neutre.
LA FORCE DE PARIS
Comme nous avons déjà dit, Zola dénonce les ravages de l’alcoolisme, mais il dénonce
surtout que
les efforts individuels ne peuvent rien contre l’hérédité (Coupeau et Gervaise étaient fils
d’alcooliques) ni contre l’influence du milieu.
L’histoire de Gervaise est un anneau dans une chaine marquée par le déterminisme.
Paris est une ville en expansion dont le romancier a fait l’un des personnages principaux de
son
cycle.

LA MACHINE A SOULER
Il s’agit d’un extrait de l’Assommoir, l’ouvre principale de Zola. Nous présent et parle d’un
de
protagoniste ; l’alcool et les ravages qu’il porte dans la vie des personnes.
On prend en considération Gervaise qui voit l’alambic, que symbolise la force prémonitoire
et
destructrice de l’alcool, et d’abord elle est curieuse puis il y a des intervensiòn des autres
personnages comme Mes-Bottes et Coupeau et aussi elle qui preuve de la peur parce que son
père
est meurt à cause de l’alcool et donc elle est destinée à un denoument tragique (théorie
héréditaire).
L’idéal de sa vie est bon : elle voudrait se réaliser, avoir une famille et des fils mais à la fin
elle
deviendra alcoolique, prostitute et elle mourra.
Le but de Zola est lequel de dénoncer les problèmes de l’époque aussi avec les causes et faire
des
réformes.
Il fait des déscriptions réalistes et toutes les schènes sont présentées avec la focalisation
interne.
Dans le texte nous pouvons aussi voir les réactions en front de l’alambic des autres
personnages,
en particulier :
- Coupeau : il en parle comme s’il un scienticien.
- Mes-Bottes : éprouve de l’enthousiasme et de l’admiration pour cette machine qu’il décrive
comme une personne.
- Gervaise : d’abord elle est curieuse, est attiré par l’alambic mais après elle preuve de la
peur parce qu’elle a détruit son père et donc elle a peur aussi pour sa vie.

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