Vous êtes sur la page 1sur 30

Object 1

Object 2

Le réalisme

Le positivisme (fin du 19 siècle et début du 20ieme)

Auguste Compte est le principal exposant du POSITIVISME et


le père de la sociologie

Le positivisme est un courant philosophique fondé au XIX e


siècle par Auguste Comte, à la fois héritier et critique des
Lumières du XVIII e siècle et qui soumet de manière rigoureuse
les connaissances acquises à l'épreuve des faits.
La connaissance du monde se ne peut baser que sur les faits
Le rôle du positivisme est d’unifier tous les résultats de toutes les
différentes disciplines scientifiques pour créer la SOCIOLOGIE.

Auguste Compte crée la loi de 3 états

la loi des 3 états désigne l’évolution de nos connaissances, passant


d’un état théologique ou l’homme cherche une réponse
surnaturelle aux phénomènes, çà correspond à l’enfance de
l’homme

à un état métaphysique : correspond à adolescence. Les causes de


phénomènes sont expliqué à travers des lois métaphysique

puis enfin, stade ultime, à

l’état scientifique : c’est l’age adulte, l’homme prend en


considération les faits, les analyse.
Pendant cette époque la société est pris pas un grand
enthousiasme, on a un grande foi, confiance par le progresse, le
méthode scientifique, les sciences exactes sont mis aux premières
place.

L’intellectuelle se sent mis de coté par la culture technique, et


décide devenir utile à la société, il se soumit au méthode
scientifique (après on aura Zola qui dira que le poète doit
surmonter le méthode scientifique)

Les romans littéraires doivent être soumis aux 3 principes


- objectivité
-impersonnalité
- finalité, résultat social

et les intellectuelles indaguent comment les 3 facteurs affectent les


individua :
- héritage
- environnement
- causalité, conditions historiques ecc

Balzac

Ils sont considérés les trait d’union entre romantisme et réalisme.

Balzac naît à Tours en 1799 dans une famille bourgeoise


-Il est considéré l’inventeur du roman moderne
-Il est le maître du réalisme en France: il décrit et analyse
la société du XIX° siècle
- Écrivain, journaliste, critique littéraire et dramaturge
Philosophie : Il pense que chaque être humain a une quantité limitée
d’énergie et que, si on vit intensément, on consomme notre
vie vitement.
à la volonté de faire une étude sociale et philosophique s'ajoute celle de
créer tout un monde fictif comportant plus de deux mille personnages.
C'est la grande idée de Balzac et ce qui donne la cohérence à ce qu'il
intitule, en 1841, La Comédie humaine.

Il écrivait très rapidement pendant la nuit, pour plusieurs heures


Son secret était dîner à 5h de l’après-midi et dormir jusqu’à minuit.
Il pouvait écrire pour jours; son secret était le café.

Biographie
Il a étudié à Vendôme, à Tours et à Paris où il étudiera lois
Il écrit ses premières œuvres sous pseudonymes sans être
apprécié par la critique
Après la rencontre de Mme de Berny, grâce à son aide, il
ouvre une imprimerie: il devient éditeur mais sans avoir de succès

Madame Hanska deviendra la femme de Balzac, Balzac était plein de


dettes, il voudrait épouser madame Hanska, elle est une comtesse et elle
pose comme condition qu’il doit couvrir ses dettes.
Balzac finira pour lui épouser mais il mourra après un peu de mois
madame Hanska inspire le livre du Eugénie Grandet

En 1831 il écrit la ′′Peau de Chagrin′′, critiqué par un correspondant


anonyme, appelé l’Étranger, qui en réalité était la comtesse Polonnaise

Le roman gotique, raconte d’un homme qui fait un pat avec le diable.
Il essaie de se jeter d’un pont, parce que il avait perdu son argent
(l’argent et son importance est un de thèmes les plus important traité
par Balzac) à la roulette.
Il se cache à l’intérieur d’un magazine parce que des camarades le voulait
sauver. Le propriétaire du magazine le trouve, pendant çà Raphaël se sent
quelque chose sur épaule, le propriétaire lui dit qu’il a la peau de chagrin.
(una lampada dei desideri).
La peau de chagrin représente la vie du jeun homme, quand il demandera
des désires la peau commencera a se retirer.
Un jour, la peau deviendra minuscule, disparaîtra, l’homme mourra, et elle
rappariait dans le magazine.
Le roman aura un succès formidable.

Financé par la comtesse Evelyne Hanska, il écrira ′′Eugénie Grandet′′ en


1833, un roman psychologique qui décrit l’avarice et qui montre le rôle de
l’argent dans les relations sociales au début du XIX° siècle

Pendant sa vie il a voyagé beaucoup en France mais aussi à l’étranger: en


Allemagne, en Roussie, en Poloni pour rejoindre Mme Hanska et en Italie
À partir de 1830 il commence à travailler sur son œuvre principale, la
Comédie humaine, publiée en 1841
Criblé des dettes, il meurt à Paris en 1850 à cause d’une
grave forme de péritonite

La Comédie humaine
La comédie humain est née au fur à mesure que Balzac faisait des instantané de la
société. (1830 )
Balzac photographe la société dans une façon si équilibré, que les autours successives
dirons que personne a su décrire la société de l’époque comme Balzac.

-Les héros de Balzac agissent comme de personnes normal, qui ne font pas de gestes
héroïque si non ce qu’il peuvent accomplir dans leur petit

- il écrit une lettre à madame Hanska lui expliquant le projet à la base de la comédie
humaine.

Recueil de 90 ( quatre-vingt-dix) romans


Il analyse la société française de son époque en décrivant les lieux, les
travailles, de personnages d’âges différents et l’évolution physique et
morale de l’homme et de la femme.

Il utilise le même escamotage de Dante Alighieri: avec la Comédie il


regroupe divers livres qui sont liés entre eux.
Dans cette œuvre il parle de philosophie, d’histoire contemporaine et de
ses études sociales
Il essaye de comprendre et analyser la réalité qu’il vit

Les personnages sont 4000 et ils se répètent dans les divers romans, ils
se rencontrent et ils vivent dans des lieux et des situations différentes
Cette œuvre est partagée en trois parties:
1 Les Études de mœurs, (ou on a Père Goriot),dont le but est une analyse
des épisodes de la société, on a une présentation des effets .
On de scènes de vie (privée, de province..)
2 Les Études philosophiques, ( ou on a la Peau de Chagrin) chargées de
mettre au jour les raisons d'une destinée particulière, ce sont de principes
philosophiques, de mécanismes qui permettent à un personnage de
changer rôle social. Ce sont le Cause
3 Les Études analytiques, qui analyse dans une façon spécifiques
certains principes régissant la société.

-l’œuvre de Balzac ne se réduit pas à une simple copie du réel : il donne


une explication des phénomènes sociaux qu'il décrit, il veut suivre de
critères scientifiques, (on voit ici l’influence d’Auguste Compte)

-Balzac, analyse surtout le rôle de l’argent, la société des années 30 était


une société qui a vu disparaître la conception du démocratie, et qui laissa
la place de la classe à la bourgeoise.
Idée de richesse, de l’importance de l’argent, on le voit dans une œuvre
inachevée, pas terminé, la peau de Chagrin,
le fil connecteur dans tous les œuvres c’est l’argent et sa valeur à
l’intérieur de la société.
Balzac met en lumière que l’argent permet aux gens de vivre, d’agir de
maniéré diffèrent, de fréquenter de gens diffèrent, et est ce qui fait
bouger la société.
Le deux machina est l’argent

principe du retour des personnages ;


des héros apparus dans des romans antérieurs reviennent, ce qui permet de
les voir sous divers éclairages et de les suivre dans leur destinée : c'est le
moyen pour lui de « relier ses compositions l'une à l'autre de manière à
coordonner une histoire complète »
Les livres proposent de personnage de tous les classes sociales.
Par exemple Rastiniaque, un pauvre qui était arrivait a Paris avec des
espoirs du succès dans la peau de Chagrin, devient riche dans le roman
« père Goriot »)
les personnages , changent donc leur rôle, et sur la base de leur évolution
ils retournent dans les romans
Le père Goriot
ou Christ de la paternité
Messieurs Goriot, il a 2 filles, il est vermissillier (pastaio)

Résumé du roman
Paris, automne 1819.

Dans une pension miteuse de la rue Neuve-Sainte Geneviève, la maison


Vauquer (du nom de sa tenancière), se côtoient des pensionnaires et des
habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner . Ils ont pour
nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur
Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques
personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin,
mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour
un ancien commerçant; Eugène de Rastignac, fils d'une famille noble et
désargentée de Charente venu faire son droit à Paris.
Il y a également le père Goriot, pitoyable rentier de soixante neuf ans qui
mène une vie nocturne énigmatique.
Il est le plus âgé de la Maison Vauquer et aussi le plus ancien des
pensionnaires.
Il y est arrivé en 1813 après s'être retiré des affaires. Les premiers temps,
sa fortune et ses revenus lui permettaient d'habiter au premier étage
l'appartement le plus cossu de la pension. Puis ses revenus diminuant
mystérieusement, le vieil homme est monté d'étage en étage, logeant
dans des appartements de plus en plus modestes. Il occupe actuellement
une mansarde et est devenu le bouc émissaire de la Maison Vauquer. Les
autres pensionnaires commentent son infortune avec peu d'élégance et le
soupçonnent de se ruiner en entretenant des femmes du monde.
Eugène de Rastignac, jeune "ambitieux", rêve de s'introduire dans la haute
société parisienne. Grâce à la recommandation de sa tante, il est invité à
l'un des bals que donne Mme de Beauséant, l'une des femmes influentes de
Paris. Il est ébloui par cette soirée et s'éprend de la Comtesse Anastasie de
Restaud.
Il lui rend visite le lendemain, mais sa maladresse lui vaut d'être
brutalement congédié par M. et Mme de Restaud. Rastignac se rend alors
chez Mme de Beauséant où se trouve également la duchesse de langeais.
Sa gaucherie prête encore à sourire, mais cette visite lui permet de
résoudre l'énigme du Père Goriot. Les deux aristocrates se proposent de lui
relater le drame du vieil homme : cet ancien négociant a fait fortune
pendant la révolution. Il a consacré tout son argent au bonheur de ses
deux filles, Anastasie, l'aînée et Delphine, la cadette. Après leur avoir
offert une belle éducation, et leur avoir constitué une dot, il a marié
Anastasie au Comte de Restaud et Delphine au banquier Nucingen.
Tant que le Père Goriot mettait sa fortune à la disposition de ses filles,
ses gendres le ménageaient. Mais maintenant qu'il a des difficultés
financières, ils ne lui manifestent qu'indifférence et mépris. Ils n'hésitent
pas à l'évincer, ce qui désespère le pauvre homme qui a voué toute sa vie à
ses deux filles. Rastignac est ému jusqu'aux larmes par ce récit. Mme de
Beauséant prend prétexte de cette histoire pour donner à Rastignac ce
conseil : arriver par les femmes. Elle lui suggère de tenter sa chance auprès
de Delphine de Nucingen, la seconde fille du Père Goriot.
De retour à la Pension Vauquer, Eugène décide d'apporter son soutien au
Père Goriot. Ayant besoin d'argent pour faire son entrée dans le Monde, il
écrit également à sa mère et à ses sœurs pour leur demander de lui adresser
leurs dernières économies.

Le jeune étudiant se fait présenter Delphine de Nucingen . Il fait une cour


assidue à la jeune femme.
De retour à la Pension, Rastignac rend visite au Père Goriot et lui raconte
par le menu sa rencontre avec Delphine. le vieil homme qui croit toujours
aux bons sentiments de ses filles, encourage Rastignac à continuer de
fréquenter la jolie baronne. Une vraie complicité s'installe entre le Père
Goriot et le jeune étudiant.
Eugène de Rastignac devient l'amant de Delphine de Nucingen et ne tarde
pas à découvrir ses difficultés financières. Elle lui confie que son mari s'est
accaparé de sa fortune et qu'elle ne dispose plus d'aucune ressource
personnelle. Elle lui demande également de jouer pour elle à la roulette .
Avec les cent francs qu'elle lui remet, Rastignac parvient à gagner, pour
elle, sept mille francs . " Vous m'avez sauvée" lui confie-t-elle, lui avouant
en même temps l'échec de son mariage avec le baron et les sacrifices
qu'elle et sa sœur ont imposés à leur père.
De retour chez Madame Vauquer, Eugène de Rastignac apprend la
nouvelle au Père Goriot. Le vieil homme est désespéré d'apprendre les
soucis financiers de sa fille. Il souhaite saisir la justice pour lui permettre
de retrouver sa fortune.
Rastignac prend goût aux soirées parisiennes, mais il dépense beaucoup
d'argent et se montre beaucoup moins chanceux au jeu. Il mesure
combien l'argent est essentiel pour s'imposer dans la haute société
parisienne

le père Goriot vient chercher Rastignac et l'invite à dîner avec Delphine,


dans l'appartement qu'il vient de lui louer, avec ses dernières économies,
rue d'Artois. Le vieil homme logera quant à lui dans une chambre de bonne
au dessus de l'appartement d'Eugène.
A La Maison Vauquer, c'est la désolation, les pensionnaires partent les uns
après les autres.
Les déboires financiers des deux filles du Père Goriot resurgissent avec
plus d'acuité. Le baron de Nucingen indique à sa femme qu'il lui est
impossible de lui rendre sa fortune sans que leur couple ne soit ruiné.
Quant à Anastasie, elle ne parvient plus à rembourser les dettes causées par
son amant, Maxime de Trailles et se voit dans l'obligation de mettre en
vente les diamants de la famille. A l'annonce de cette double déroute
financière, le père Goriot est victime d'un grave malaise. Bianchon,
l'étudiant en médecine, ami de Rastignac, venu en renfort analyse les
symptômes qui frappent le vieil homme et diagnostique une grave crise
d'apoplexie.
Eugène annonce alors à Delphine que son père est mourant mais celle-ci
se montre indifférent à son sort.
A la pension, le père Goriot se meurt. Il souhaite une dernière fois voir ses
deux filles, mais celles-ci demeurent tristement absentes. Seuls Rastignac
et son ami Bianchon sont là pour accompagner les derniers moments
du vieil homme. Eugène règle les derniers soins et l'enterrement du père
Goriot; puis, accompagné du seul Bianchon, il assiste à la cérémonie
religieuse. Le convoi funéraire se rend alors au Père Lachaise. "A six
heures, le corps du père Goriot fut descendu dans sa fosse, autour de
laquelle étaient les gens de ses filles, qui disparurent avec le clergé aussitôt
que fut dite la courte prière due au bonhomme pour l'argent de l'étudiant.
---------------------
Madame Vauquer, en voyant Messier Goriot, qui avait l’air jeun, avait fait
de projets de vie en commun.
Un autre dame aristocrate avait pensé à son avenir avec Messieurs Goriot.
Les deux dames draguent Goriot, mais il fréquente d’autre femmes, ses
filles.

Quand il va habiter à la pension Goriot il habite au première étage, le plus


beau, élégant.

La pension vaquer
Balzac nous présent la pension, la structure, comme s’il avait une camera,
il donne une description impitoyable, çà pour une résonne de réalisme.

La première chambre a des meubles banals, les tissues, tous est d’un
aucun goût. Pour décrire l’odeur on devrait mélanger l’odeur de tous les
pensionnaires .

La deuxième est encore pire, la première à rapport est un bijoux.


On a une panoramique de la pièce.
On sent beaucoup l’odeur de la pension, de vieux, les odeurs se sont
accumulés par le temps, ils ont imprégné tous la maison, c’est écurant.
(vomitevole)
Cette première pièce exhale une odeur sans nom dans la langue, et qu'il
faudrait appeler l'odeur de pension.
 La pension est « minable », miteux( che ha le termiti),
-Il y avait une boite ou tous les pensionnaires mettait leur serviette, sales
(sporche), on ne lavait jamais.

Quel est la coté romantique de la description ?


Le lexique est romantique, parce que on a une description riche, on a un
humanisation de meubles, par exemple il dit « ils si rencontrent, pronom
personnelle », ou il les adresse avec de objectif qui sont normalement
destinés aux êtres humains.
Balzac personnifie les meubles, les meules persistent a vivre mais ils
n’ont rien de vivant, on les devrait jeter.
Comparaison entre les meubles et les incurables (les malades terminales)
ils ne devraient pas être permis, il sont placés comme s’ils étaient les
débris de la civilisation (resti, calcinacci).
Meubles : Buffets, boite à casses, longue table, chaise

La description de passions de personnages est aussi romantique

Dans ce passage, le narrateur nous emmène en une visite guidée d'un lieu
"la pension", en faisant d'une description minutieuse, en effet l'abondance
de détails accentue l'effet du réel.
On remarque le nombre important des adjectifs employés, on a une
accumulation:" humide, nauséabondes, catarrhales, vieux, boisée, gluants,
ternies, estropiées, misérables, crevassé, pourri..." ainsi la description de
mobilier et l'énumération des biblots : "buffets gluants, carafes échancrées
(sbrecciate), des ronds de moiré métallique (porta tovaglioli), des pilles
d'assiettes en porcelaine (piatti di nessun valore), une longue table
couverte de toile, des chaises...".
Sur le même plan, la description est caractérisée par l'emploi de termes
péjoratifs "exhaler" qui rend compte de l'odeur exécrable, renforcé par
l'impossibilité de la décrire; on remarque ainsi que l'auteur donne de la
profondeur à ses descriptions si dévalorisantes qu'elles soient, en les
chargeant de portée métaphorique:
« il faudrait en faire une description qui retarderait trop l'intérêt de cette
histoire, et que les gens pressés ne pardonneraient pas. » ( Comme Hugo,
il fait un « vedo non vedo », romantisme de Balzac. Les misérables ont
une coté romantique, ils sont aristocrates dans un point de vue
humain, mais dans la misère de la pension n’a rien de poétique, misère
économe )
Cet narrateur est omniscient.
coté réaliste :
-Balzac étudie si tant la réalité, et la présent comme elle est, par
exemple la Rue Saint-Genevieve, qu’on ne trouve pas dans le même
quartier, existe dans un autre.
-effet « camera »
Cette description est réaliste dans la mesure où Balzac se refuse à
idéaliser la réalité à la manière des romantiques, la misère n’a rien de
poétique (à différence de misérables que d’un coté sont des héros).

· Il cherche à reproduire les objets tels qu'ils sont, y compris dans leur
abjection.
· il adopte la position d'un visiteur qui les découvrirait pour la
première fois.
· Cet aspect se révèle dans la tonalité péjorative des caractérisations
juxtaposées: «elle sent le renfermé, le moisi, le rance». Le mot sans
doute le plus juste, réalisme agressif.
- tous les 5 sens sont mis en cause, réalisme.

· Balzac veut que nous ayons la sensation physique des lieux qu'il écrit.
· La vue: les objets sont recensés par un regard d'une acuité extrême.
· Tout est indiqué: couleur, matière première, origine de fabrication.
La salle à manger est « entièrement boisée », les « assiettes en porcelaine
épaisse, à bords bleus » ont été fabriquées « à Tournai » ; le « cartel » est
« en écaille incrustée de cuivre » etc.
· Par l'odorat qui des cinq sens celui qui nous immerge le plus
profondément au cœur des choses et des êtres, nous pénétrons dans
l'intimité des de cet endroit
· des sensations tactiles d'humidité, de crasse et de graisse : odeur
« humide au nez », « buffets gluants », « poussière » qui « se combine
avec l'huile », « toile cirée grasse ».
· En fait, l'odeur de pension du salon de Mme Vauquer est tellement
nauséabonde que le narrateur ne peut s'empêcher d'avoir une réaction
personnelle. Voyons donc en quoi ce texte est subjectif.
« madame Vauquer explique la pension comme la pension explique
Madame Vauquer « 
L'humidité suggère la pingrerie de Mme Vauquer qui ne chauffe pas
la maison, la crasse renvoie au passage du temps, la graisse annonce la
nourriture peu raffinée d'une cantine.
Elle est décrit arriver, avec le corset déboutonné.

Déchéance de père Goriot


Rapport entre l’argent et le bonheur
Père Goriot devient pauvre à cause de cet, a chaque étage qu’il monte, le
prix est moins cher.
Selon la vu de madame Vaquer, puisque Goriot avait refusé madame
vaquer et la dame aristocrate, les filles de Goriot sont des prostitues.

La soif de parvenir

Ici Balzac décrit pas seulement ce qui se passe, mais pourquoi et comment.
Mécanisme de cause-effet, il se retrouve pauvre, conséquence, il doit
changer style de vie, conséquence, son corps subi de conséquences.
On voit l’appauvrissement de Goriot, vers la troisième années.
le père Goriot réduit ses dépenses, il montre au 3 étage, qui coûte 45 franc
de pension en mois
il renonçait au tabac, il renonce à son style de vie,
Entre tous les invité au dîner de madame vaquer la personne plus laid et
triste était Goriot
cette descendance de père Goriot confirme la théorie de madame vaquer, il
était un vieux libertin qui avait contracte une maladie vénère qui
survie seulement grâce aux médecin.

Comment la pauvreté à effet sur le père Goriot ?

Le couleur dégouttant des cheveux était cause de sa vie dissolue,


tous les langes qu’il utilise coûtent peux, il se dépouille de tous qui est en
luxe. La pauvreté a effet sur son aspect physique il devient maigre, son
visage scavato, la mandibule est très visible, ses vêtements laids, il mit un
gilet de peaux de chèvre, de pantalon gris.
À son arrive à la pension il était joyeux, en santé, il était devenu triste.
Les jeunes étudiants de médecin le déclaré malade de crétinisme
ils lui mesuraient les visages, ( on a dans cet époque les études sur les
criminelles par Lombroso).

personne ne s’intéressait pas, tous étaient pris par la vie vite parisienne, si
Goriot est comme çà, il y avait une résonne, mais personne imagine qu’il
n’a pas était comme çà tous le temps.
Madame vaquer demande à Goriot si ses filles revenaient à le trouvait, il
réponse oui quelques fois.
« Criste de la paternité »
Mm vaquer pense que si les femmes étaient ses filles, elles ne lui lassèrent
vivre comme çà.

Tous ces histoires, on les découvre aussi grâce à Rastiniaque, alter ego de
Goriot.
Goriot devient pauvre à cause de ses filles, Rastiniaque, qui appartient à la
noblesse campagnarde, il devient riche.
Rastiniaque a une tante, qui fait la belle vie.
Il va chez sa tante, dans une soirée, et il rencontre Anastasia et Delphine. Il
n’a aucune idée qu’il s’agit des filles de Goriot.
Il fait la court à Anastasie, il va chez elle à 8 heures du matin, mais elle ne
le regarde pas.
L’amant qui se présent un peu plus tard, est accueilli et lui pas.
Il raconte ce qu’il a fait a sa tante et elle lui dit qu’il y a une étiquette qu’il
faut respecter. Il ne pourra plus visiter la maison de Anastasie.
Un jour il voit sortir Goriot par la maison d’Anastasia, grâce à sa tante,
Rastiniaque découvre l’histoire.
Beaucoup hommes a paris gagne une position social seulement parce que
ils ont fréquentes des femmes aristocrates et malheureuse de leur vie.
Femmes comme ascensoristes sociales
Rastiniaque revient à la pension et regarde Goriot avec un œil diffèrent, il
le défend et il a l’opportunité
Aussi la tante de Rastiniaque avait un amant, mais sa meilleure amie dit à
sa tant que son amant est en train de s’épouser, avec une femme plus jeune
et riche.
C’est l’argent qui donne la loi
sa tante fait un ultime balle, puis elle aura à vivre en campagne .
Rastiniaque fait la cour à Delphine, encouragé par Goriot qui veut voir sa
fille joueuse
Avec ses dernière économie il achète un appartement ou Rastiniaque et
Delphine peuvent vivre, e aussi lui-même, mais au dessus dans un
compartiment.
Les maries de Anastasia et Delphine font faillite, Goriot mourra seulement
avec rastiniaque et son amie à coté.
Le filles ne viennent pas au funéral, il n’y aura que le carrosse de famille,
Rastiniaque lance un défie contre la société qui ne respect rien que
l’argent

Stendhal
Henri Beyle naît à Grenoble le 23 janvier 1783 d'une famille
bourgeoise.
Sa mère, Henriette Gagnon, meurt quand il avait sept ans
Son père, Chérubin Beyle, est un avocat. Il n'a pas un
rapport étroit avec Henri.
Il passe beaucoup de temps avec son grand-père, Henri Gagnon, qui lui transmet la
passion pour la littérature.
Tout jeune, Henri s'aligne avec les républicains, en conflit avec les idéaux paternels.
Grâce au prix qu'il obtient en mathématique, il a la possibilité d'entrer à l'École
Polytechnique de Paris.

BIOGRAPHIE

Il arrive à Paris avec des grandes prospectives, mais à cause de sa timidité, ses
projets échouent.
En suivant ses idéaux républicains, Henri s'enrôle dans l'armée et descend en
Italie pour combattre les autrichiens.
À Milan, il connaît les salons et la culture italienne et il ne reste profondément
impressionné.
Revenu en France, il perd l'admiration pour Napoléon qui est devenu empereur,
en trahissant les idéaux républicains de Henri.
En 1804 il connaît Mélanie, une jeune fille divorcée qui sera sa amante pour un an.
Il retourne dans l'armée, avec laquelle il voyage en Allemagne et en Autriche.
Quand il retourne à Paris, Henri connaît Alexandrine Daru, femme de son cousin
Pierre et de laquelle il sera toujours secrètement amoureux.

Stendhal continua à se déplacer entre Paris et Milan vers 1811. Il épouse


Pietragrua et aborde le monde de la peinture.
Il composera un manuscrit intitulé L’Histoire de la peinture qui,
malheureusement, sera perdu pendant la campagne de guerre russe, où il
occupera d’importants rôles de gestion.
Après le rétablissement du régime monarchique, Stendhal décide de quitter Paris
et de retourner en Italie, le 10 Août 1814.
Il s'agit d'une période difficile pour Stendhal.
Il travaille sur l’œuvre "La Vie de Napoléon".

en 1821, il se sent obligé de retourner à Paris alors que Milan change ses idéaux
la naissance et le développement rapide des soulèvements Carbonari seront la
raison pour laquelle il retournera en France.

En 1830 il se concentre sur le chef-d'œuvre "le rouge et noir". Les dernières pages
seront écrites lors de la révolution parisienne en Juillet.
Avec l’avènement du nouveau gouvernement orléanais, la course et aux emplois
prestigieux commence.
En novembre 1830, Stendhal partit pour Livourne, il se retrouve à Civitavecchia.
Un congé lui fut accordé en 1841 pour des raisons de santé. Le 23 mars 1842 il meurt
à Paris.

“Le grand homme est comme l’aigle ; plus il s’élève, moins il est visible, et il est puni
de sa grandeur par la solitude de l’âme.”

Il s'agit d'une œuvre réalisée en deux volumes et complétée en deux moins.


Roman historique: il donne un aperçu de la société du XVI siècle.
Roman de l'intériorité: Stendhal donne aux
personnages une grande profondeur psychologique.
OEUVRES PRINCIPALES

LA CHARTREUSE DE PARME (1839)

LE ROUGE ET LE NOIR (1830)

Est un roman réaliste, ayant pour intrigue la structure sociale de la


France précédant la révolution de 1830. Il y a une fresque de la société
réactionnaire post-napoléonienne.
s'inspire de la réalité: un séminariste précepteur qui avait tiré sur une
femme d'un notable guillotiné.

Il a une sensibilité au dessus de la moyenne « Syndrome de Stendahl « 


il s’est rendu à Florance, il a fréquenté les offices (gli uffizi) et il s’est
senti incapable de soutenir la beauté des œuvres, il est allait in
essoufflement.
Syndrome qui voit l’incapacité de faire fasse une émotion très fort.
Il a eu beaucoup de relations amoureuses, cela mettent l’accent sur la
premier œuvre de Stendhal,

De l'amour est plus qu'un recueil d'anecdotes. C'est un essai de science


analytique. Stendhal explique scientifiquement, et par des faits
coordonnés, les divers sentiments qui se succèdent les uns aux autres et
dont l'ensemble s'appelle la passion de l'amour.
II donne une description des symptômes, des phases diverses et des
nuances les plus fines de ce sentiment,
quand on tombe amoureux on voit seulement certaines traits de la
personne aimé, on croit qu’elle parfaite, on ne voit pas qu’est ce que on
voit , on voit une surface, ce çà la cristallisation de l’amour, c’est une
illusion qui embellie tout.
Au dessus de ce couche d’or, chacun a des défaut.
On doit trouver l’équilibre entre nos imperfection et les imperfections des
autres. Personne n’est pas parfait.
Le rouge et le noir
- On est en Verrière, ville dirigé par Messieurs de Renal, pendant la
restauration de la monarchie constitutionnelle
LE TITRE : avant le livre s’appelait Julien Soreil, parce que on avait
l’habitude de donner le titre du personnage principal, mais il l’avait changé
avant de le publier, on ne sait pas la raison
Dans cet livre on a le lien entre l’époque romantique et réaliste, c’est
inspirait pas un fait divers (da una notizia), pour cadre les assises de
l'Isère, son département d'origine.
En 1827, Berthet, fils d'un artisan et jeune séminariste a été jugé et
condamné à mort pour avoir assassiné en pleine messe son ancienne
maîtresse , l'épouse d'un notable qui l'avait engagé comme précepteur
de ses enfants.
Coté réaliste, on a une société pour la premier fois, on a la lutte de classe,

L’objectif de Julien était appartenir à une classe social plus haut.


à l’époque changer de classe social c’était impossible,
Beylisme : ambition à obtenir le bonheur à tout prix.
Le bonheur est diffèrent par tous, pour julien c’était devenir partie d’une
classe plus haute.

Réalisme subjective, l’écrivain selon Stendhal, doit raconter ce qu’il voit


comme s’il avait un miroir dans la main.
La réalité est réfléchit dans le miroir, mais on voit seulement ce qu’on peut
voir, pas ce que tous le monde voit. Recherche acharnée (accanita),
julien exploitera les personne pour entendre son bout, cout que cout,
l’ambition est un désir, tous cela est remplie d’energie, passion,
individualisme, je vienne avant les autres.
Individualisme qui pose la personne au centre,
EGOTISME : le culte du moi, poser soi-même au centre, narcissisme
résumé du roman

Julien Soreil était bûcheron,( taglia legna), il avait aussi une scierie
(segheria), l’ambition est le coté romantique du livre, il est poussé par sa
recherche, il est très déterminé, cette passion extrême est la coté
romantique du livre.
Stendhal est capable de ce mettre à la place de julien et d’autres
personnages, il se présent entend de narrateur omniscient et il est capable
de changer point de vu.

Un père et un fils
Julien est immergé dans la lecture d’un texte qui est son livre préféré,Le
mémorial de Sainte Hélène.
Ici l’auteur nous présent Julien, l’héro du roman, qui par les premières
lignes de son apparaît comme l’opposé de son père.
Cette opposition est théâtralisée par un registre tragique à travers le champ
lexical de la violence, « force du coup » « larmes aux yeux », de la
machine, qui donne un portrait hostile de la scierie.
Dans la scierie a, quelqu’un coupe à l’ache l’arbre, çà donne la sensation
du force de cet homme,
julien est assis à cheval sur l’une de pièce de la toi (su una delle travi del
tetto),
le père l’appelle plusieurs fois, il est furieux parce que julien n’est pas en
train do faire son travail, et ici on voit le fort contraste entre les deux.
Le père est analphabète, il déteste la passion de Julien, déteste son
physique, pas fait pour travailler dan une scierie, il est mince.
Julien est trop pris par le livre. Le père lui donnera une gifler, julien va
presque tomber sur la machine, mais le père le retient.
le livre tombe dans le fleuve, et il est plus triste par la perte de son livre
que pour le douleur physique, tant qu’ il est attaché à la lecture.
Il est fasciné par le prestige de Napoléon

Grâce à l'abbé Chélan, qui l'a pris en sympathie et qui lui a enseigné le
latin, Julien est engagé par Monsieur de Rénal, le maire légitimiste de la
ville. Ce dernier, recherche un précepteur pour ses enfants. Il juge en effet
nécessaire d'avoir recours à un tel service pour soutenir son rang face au
train de vie qu'affiche Monsieur Valenod, directeur du dépôt de mendicité.
Timide et indocile dans un premier temps, Julien Sorel ne tarde pas à
trouver un certain attrait à cette nouvelle vie. Il tombe sous le charme de
Mme de Rênal et devient son amant.
Combat sentimental
Coté romantique ?
-La passion et les sentiments sont très importantes dans cet texte,

même si
Julien n’est pas guidé par de sentiments, la conquête de Mme de Renal est
méditée, c’est un devoir à accomplir
-L’écrivain nous montre les avènements par les yeux de Julien, on à un
déplacement de l’auteur de l’extérieur à l’intérieur de personnage
- On est dans le Sud de la France, en été, époque de grand chaleur, Julien
rencontre les deux Dame
- julien est très agité, les deux personnages sont en train de se promener
dans la nature, l’air est plein d’electricité (la scène est vécue aussi par
Madame de Derville ), il est très pris par lui-même, sa voix est tremblant
par son agitation.
Il se sent au niveaux d’autres
Il s’impose de terminer son but après le 10, ou il va se tirer un coup à la
tête, c’est une défie à lui-même.
On entre dans la tête de Julien, il ne trouve pas de mots, son incontrôlable
angoisse est un exemple de vague de passion.
Il est si tellement concentré sur soi-même (egotisme) qu’il ne réalise
pas que son angoisse influence les autres.
Madame Rénal devient agitée aussi, Julien ne réalise pas.
il essaie de prendre la main de la femme, elle la retire, il insistera avec une
force convulsive et réussira dans son emprise.

il commence une relation avec elle, le mari les découvrira, et il sera


chassé.
Julien aura aussi pu entreprendre la carrier religieuse, il entre dans un
séminaire, ou il devient le secrétaire parce que il est très intelligent.
julien ne veut pas devenir un curé, mais il a des perspectives, il voit que
les autres ou ce sont de saint hommes et n’aspirent pas à une carrière, ou
n’ont pas la vocation, ils sont si banal que n’obtiendrons pas une carrière.

Tous va bien jusqu’au jour que le directeur du séminaire change, le


nouveau devine les ambitions de julien, mais il ne l’approuve pas, parce
que il cherche quelqu’un qui a fois
Julien est donc envoyé à Paris, chez des aristocrates qui ont une fille, qui
tombe amoureuse de Julien. Elle s’appelle Matilde, mais elle une marquis,
et Julien est d’une classe social plus bas.
Pour permettre le mariage, son père fait faire à le protagoniste une carrière
militaire.
Le mariage est organisé, mais l’annonce se diffuse aussi à Mma de
Verdeille, le prête demande a Mme de Renal d’envoyer une lettre à le
marquis, en lui disant qui est vraiment Julien.
Julien devient furieux et décide de tuer la femme pendent la messe.
Julien est arrêté par les force de l’ordre et amené en prison, Madame de
Rénal ne meurt pas mais reste seulement blessée.

Le procès
réalisme : les sources judiciaires sont réels.
« le roman c’est un miroir que l’on promène le long du chemin »

Julien sera jugé, il confesse, s’excuse, mais accuse aussi la société.


Il sera condamné pour avoir essayé l’escalade social, de changer sa classe
social, les juges sont bourgeoises, ils ne veulent pas qu’il y a des autres
jeunes, nées dans une classe opprimé par la société, mais qui sont réussie à
obtenir une éducation, qui essayent de faire la même chose.

Pour la première fois on a la lutte de classe, Julien dénonce une


bourgeoisies répressif, qui voulait maintenir le pouvoir sur les classes
sociales plus pauvres.
Pris de conscience
Mme de Rénal fait visite à Julien, et il se rende compte que le bonheur
qu’il avait tout le temps cherchait, il l’avait trouvait avec Mm de Rénal.
Il meurt content, parce que il comprend qu’elle était l’amour de sa vie, et il
l’avait déjà obtenu le bonheur.
Julien sera guillotiné,
Dans les textes il y a plusieurs horloges, ils indiques les moments
précieuses dans le texte ( quand il séduit mm de Renal et quand il est
condamné, çà nous souvient l’importance du temps).
Ici Balzac entre encore dans la texte de Julien
Julien regard Madame de Derville, qui sait que Madame de Rénal perdra
l’amour de sa vie.
La court est pleine de femme.
Julien devant a tous, dénonce les vraie raisons que l’ont condamné, et il est
en train de admettre à soi-même ses vrai sentiments pour madame de
Renal.
Même S’il avait commit un crime moins grave, il aurait été condamné à
mort, parce que le juges veut décourager le jeunes pauvres, éduqués, qui
veulent entrer dans la société.
Il y a uniquement de bourgeoises indigné qui le jugent.

Pourquoi cet titre ?


Plusieurs théories, les deux couleurs représentent les façons que julien a
suivis pour entendre son but.
(noir, le monde de l’église, carrière religieuse, due à le vêtement du
prête le rouge, carrière militaire, due à le vêtement du militaires, )

Pour Stendhal ce qui compte est l’amour au fin.

Flaubert
le père est un médecin, çà influencera beaucoup sa façon d’écrire.
Il avait étudié droit à paris, puis pour sa maladie, épilepsie, il s’enferme à
Rouen.
Flaubert vivra grâce à l’ héritage, mais vers la fin de sa vie commence à
avoir de problème économique,

- le lexique est d’ une précision très spécifique


- on parle de quotidienne,
- le sujet n’ était pas très intéressant, donc la langue devait être captivant, -
l’analyse psychologique aussi.
-On voit la médiocrité bourgeoise campagnarde
- les personnages ne se sauvent pas, il sont tous trop médiocres

La différence entre réalisme et naturalisme


le naturalisme est un réalisme exagéré, on ne s’accotent pas de voir la
réalité de vraies misérables, (mineurs, travaille, réalité qui concerne les
classes plus bas )
- la langue est aussi typique de personnages
Salammbo (1862)
roman historique, situé à l’époque de Rome et Carthage.
Flaubert était allait en Tunise pour mieux connaître les lieux de son roman

L’éducation Sentimental (1869)


Roman d’amour, et historique (on a la revolution de 1848) , c’est très
personnelle, il parle de Madame Schlesinger.

Les Trois Contes (1877)


situé dans 3 périodes diffèrent, antiquité, moyen age, modernité
ils poussent à réfléchit sur la sainteté

1 Un cœur simple (Un cuore semplice; 1876),


historie d’une femme qui passe la vie en attendant le retour d’un homme.
Elle devient domestique et doit enseignes à 2 enfants le catéchisme,
commence à croire en dieu. Après les enfants grandissent et elle reste seule,
voue alors une immense tendresse à Loulou, un perroquet dont on lui a fait
cadeau. isolée du monde, elle ne perçoit plus que la voix de son perroquet
quand un matin d'hiver elle découvre Loulou mort. Sa douleur est tellement
grande que suivant le conseil de Mme Aubain, Félicité décide de le faire
empailler. Après la mort de Mme Aubain, la pauvre servante reste dans la
maison invendue qui se dégrade peu à peu. Ayant contracté une pneumonie,
Félicité ne vit plus que dans l'unique souci des reposoirs de la fête-Dieu. Elle
décide même d'offrir Loulou empaillé pour orner le reposoir situé dans la cour
de la maison de Mme Aubain. Pendant que la procession parcourt la ville,
Félicité agonise et dans une ultime vision, le Saint-Esprit lui apparaît sous
l'aspect d'un gigantesque perroquet.

La légende de Saint Julien l’Hospitalier


(La leggenda di san Giuliano l'ospedaliere; 1875-76)
Histoire d’un homme très pris par la passion de la chasse, Saint Julien, qui
au fin deviendra un hermite

Hérodias (Erodiade; 1877)


(antichità)
Hérode retient prisonnier Jean Baptiste, qui condamne son union
incestueuse avec Hérodias, sa nièce.
Ici on voit la saàp0ntitè sacrifié pour le plaisir d’un roi
c’est une œuvre satirique contre la société petit-bourgeois, dans ce text on
va se moquer de gens qui veut être d’autres choses, dans ce texte

MADAME BOVARY
1857
Inspirée par un fait divers, un élève de son père avait épousé une
femme très romanesque, elle s’était pris pour un clerc de notaire et un
Don Juan local, et elle s’est suicidée a 27 ans.

Le procès :
Flaubert a été condamné pou outrage à la morale publique et
religieuse, et aux bonne mœurs.
Il y avait en réalité une motivation politique, l’histoire avait été
publiée sur le journal « la revenue de paris » dont le pouvoir
aurait voulu se débarrasser.
Tout le monde achètera ce libre pour voir les obscénité, mais
Flaubert ne décrit rien de sexuelle dans le roman.
Il ne sera pas condamné parce que il faisait partie de la grande
bourgeoisie de Rouen, que le pouvoir ne tenait pas à indisposer en
vue des élections.

« Madame Bovary c’est moi » !


points en commune entre Flaubert et Emma
-intérêt et le goût pour le romantisme dans sa jeunesse, Flaubert a
écrit de nombreux œuvres romantiques
- registre lyrique
- crise d’ épilepsie similaire
-adultère

La personnage plus élevé dans le roman est Charles Bovarie, qui


découvrira à la fin du roman, après le suicide d’Emma, son trahison.
C’est donc lui la vrai victime de l’histoire

le bovarysme : dépaysement, sens d’inadaptation social.


Emma Bovary est convaincu de vivre dans une époque que ne lui
appartient pas.
À une fêté en masque, en voyant des aristocrates, des dames habillés, elle
est convaincu que c’est le monde à le quelle elle devait appartenir (vision
sélective, elle ne prend pas en considération les pauvres). À la fin de la fêté
elle trouve une chaussure et croit qu’appartenait à l’homme qui l’avait
courtisé. Elle voit çà comme une confirme de l’existence de cet monde.

Elle se suicide avec le poison.

Emma, fille de paysan, elle doit s’occuper de son père, elle vit une vie
monotone.
Un jour le père se sent mal à la jambe et on appelle le «  docteur » (il
n’avait pas terminé ses études) et arrive Charles Bovary (bourgeois) , il
remarque Emma, mais il est trop timide, c’est Emma qui séduise Charles.
C’est le père d’Emma qui l’invite à s’exprimer, c’est le père qui va
proposer le mariage, elle consente et on a une fêté du mariage de
campagne.
Elle croit de changer classe social, mais elle se rende compte d’être passé
par une routine d’une autre.

LE BAL

Un jour il vient invité à un balle.


Elle est très heureux, Charles voudrait danser aussi, mais elle lui dit que se
n’est pas convenaient pour un médecin. Elle ne veux pas Charles dans son
monde, et Charles est content de la voir danser.
Elle se convaincu que le monde qu’elle imaginait existe vraiment, elle vit
sa vie immergé dans de rêves qui racontent une réalité qui n’existe pas.

tout la description est perçu à travers les sens de Emma


l’auteur est omniscient
l’air est lourd, étouffant, pour une fois ce sont les autres qui regardent elle
de l’extérieur.
elle se souvient de son enfance, et se rappelle combien de roue elle avait
parcourt, depuis de son enfance.
Autour du balle, tous est gris, obscure, le balle est la seule réalité présente,
la seule qui compte pour elle.
Elle vue une femme faire un avance à un homme, elle jette un mouchoir.
La plus part de gens est partie à danser, un homme, qu’on appelle vicomte,
invite madame Bovary a danser, il lui propose de la guider.
C’est la 2 fois que le vicomte invite Madame Bovary
Après elle vue une future danseuse qui a 3 prétendants en face de lui, et
elle les choisie à travers un éventail
Quand ils montent en carrosse, Charles demande à Emma si elle est
heureuse.
le Lendemain du balle Emma fait un abonnement à une magasin de la ville
de paris, comme si paris était sa ville.

La domestique d’Emma la juge, se rende compte que Emma est détachée


par la réalité, elle se déprime parce que se rende compte que le balle ne se
déroulera plus.
Charles pense de se transférer, dans un village plus grand (in realtà sempre
un villaggio piccolo, Yon Ville), et elle tombe enceinte.
Dans cet village on a le pharmacien, le curé de la ville, un negotiante et
Leon, (apprendista del notaio).
Ces personnages font nous comprendre la vision de Flaubert vers la
bourgeoisie campagnarde.
Ils se remplient la bouche de mots latin, mais ils ont beaucoup de
superstition, lieu commun.

Emma et Charles sont bien accueillies, par le médecin, par le curé,


et puis on a Léon, l’apprenti du notaire, jeun, esprit romantique, Emma
pense avoir une affinité avec Léon,

Elle accouche d’une fille (l’appelle Bette, en mémoire d’une dame au balle
) et c’est rende bientôt compte que la routine n’est vraiment changé et
aussi Charles n’est pas le seul médecin dans le village.
Fatiguée par la grossesse, elle reprend petit à petit sa vie, avec un amour
secret pour Léon.
Léon quittera la ville, pour aller à Rouen, et elle est très triste, quand il se
saluent, Léon embrasse Bette, et fait comprendre aussi qu’il voulait
embrasser Emma.
Emma veut que Charles accueilli statu dans le village, et Charles essaie de
faire une opération à un homme, mais l’opération ne termine pas bien et il
perde la jambe. Il l’avait fait tout çà pour Emma.
Pag 148
Dans le cabinet du Charles se présentent 2 hommes, un doit se faire prélever du
sang, mais Charles fait un erreur et ne prélève trop , et l’autre, Rodolfe, remarque
Emma, elle a l’air d’être ennuyé, l’homme comprend que Emma est une victime
facile pour lui, Emma se sent flatté par Rodolfe, il est un homme de monde, il sait
quoi dire et conquise Emma.
Rodolfe fait transparaître de sentiments pour Emma qui n’existent pas en réalité.
Emma ne sait pas quoi faire, et Charles en les voyant heureuse pense que rodolfe est
une influence positive pour elle

j’ai an amant
Rodolfe dit à Charles que une promenade ferait très bien à Emma, elle
consente.
Le jour du rencontre arrive et ils s’éloignent ensemble
C’est Rodolphe qui, du début à la fin, mène le jeu. Pour lui, Emma n’est
qu’un plaisir parmi d’autres.

• Ce séducteur expérimenté et stratège charme principalement Emma


avec ses paroles.
Il fait de longs discours
• Il lui fait entrevoir la possibilité du bonheur
Mais l’acte qui l’a transformée le plus radicalement et qui l’a fait
définitivement aimer Rodolphe n’est pas la parole mais la relation
sexuelle : la manifestation du désir sexuel de l’autre.
« Elle se répétait : "J’ai un amant ! un amant !" , on a une pris de
conscient, mais l’auteur sait que Emma avait idéalisée cette relationne
adultéré.
Cet rapport avec Rodolfe rappelle à Emma les histoires d’amour que
Emma avait lu, an amour que ne pouvait pas trouver avec Charles, parce
que elle avait une considération bas de lui.

Flaubert ne donne pas des descriptions détaillé, il fait imaginaire la plus


part des avènements.
Au dîner avec Charles, Emma a un nouveau couleur de peau, elle se répété
« j’ai un amant », comme pour dégoûter cette mot. Elle se sent encore une
fois adolescente.
Charles lui dit qu’il avait achète une pouliche.
-----
Emma commence à imaginer une vie ensemble, en ville, au
dehors de leurs possibilité, elle commence à faire de dettes, et
Rodolphe ne nie le désir de s’enfuir avec elle.
…..
Emma parvient à se faire dégueuler la gestion du patrimoine de famille, et elle
hypothèque la maison. Le jour suivant tout est prêt, Emma est prêt à fuir avec
Rodolphe, mais il envoie un de ses collègues avec une lettre d’excuses pour elle
elle voudrait se touer, elle grimpe sur la maison et essaye de se suicider en laissant
tomber la lettre de Rodolphe

emma se reprendra après de moins, quand elle se reprend, Charles lui


propose d’aller à Rouen, à théâtre.
Emma regarde les dames, et rencontre Leon.
Ils boivent un verre ensemble
Léon propose à Emma et Charles de voir le landeman de voir un autre
spectacle ensamble.
Charles ne peut pas mais emma oui, Léon déclare à Emma qu’il était
amoureux d’elle, et il se sent coupable pou ne l’avoir pas encouragée à
suivir la carrière du spectacle.
Le lendemain Charles est parti, Léon propose ad Emma de rester ancore
un jour à Rouen.

Ils se retrouvent en face à l’église de Rouen, Léon appelle un fiacre,


(carrozza) personne ne sait quoi faire, Léon dit au cocher de continuer à
aller, le public sera très agacé

Emma retourne a Rouen après avoir était avec Leon, et demande à Charles
de faire des leçons de piano à Rouen.
Emma s’achète de cadeaux, de vêtements, et elle commence a fréquenter
Leon, même si il est en société, et il a une copaine.
Quand elle revient un jour a Yonville elle reçoit une agence de payement,
les dettes sont nombreuses, ils veulent lui enlever la maison.
Emma est desesperé, leon le promette di aiutarla ma non ha intenzione di
darle dei soldi, e lei si vede abbandonata da leon, intanto le prendono i
mobili dalla casa, anche il busto che hanno i medici nei loro studi
lei va a contrare rodolfe vestita comme une grande dame, ma neanche
rodolfe la aiuta,
va dal farmacista, messieur omeit, il exploit ses travailleurs, il est mechant,
urla ferocemnte contro uno dei suoi dipendenti che aveva toccato qualcosa
vicino all’arsenico, con cui infine si avvelenerà.
Quando le jeun homme voi que Emma avait bu l’arsenique, Emma lui
demande de ne la pas trahir.
(l’uomo era colui che aveva perso una gamba x una operazione di charles,
era innamorato di Emma e tace)
Emma écrit une lettre, elle se couche, et Flaubert décrit tous les
symptômes de la mort d’Emma.
réalisme, Emma veut s’entendre mourir, elle veut comprendre ce qui se
passe dans son cœur.
Charles veut comprendre, elle réponse, demain.
On comprend qu’elle s’était changée parce que elle se réveille avec un
bluacre dans sa bouche.
De ce moment on la voit mourir, cette scène est GROTESQUE, elle a
chaud, frois, transpire, elle vomit
L’approche de Charles n’est pas cela d’un médecin
Charles voit la lettre, et comprend qu’elle s’était empoisonnée.
Il àpelle un docteur, on a un exemple de la superficialité de la bourgeoisie,
les médecins se remplient la bouche de mots en latin mais çà ne servira pas
à sauver Emma.
Tous le monde est coupable de cette suicide (par exemple le prête, elle n’a
trouver personne que la voulait écouter).
Un jour Charles trouve la lettre que Rodolphe avait écrit pour Emma, et
que elle était prêt à partir. Ce çà comme il mourra, tout d’un coup.
On a seulement Berthe, qui sera envoyée à travailler comme une
blanchisseuse.

Charles entre si tante dans le personnage, que c’était comme si les


sentiments étaient à lui, mais d’une autre coté on a une description
de symptômes très spécifique, Charles est détache dans sa
description parce que c’était comme si elle était une malade à
l’hôpital.

elle prend l’arsénique et s’écache sur son lit


les phrases sont courts, parce que il note des symptômes

elle est en train de percevoir ce qu’il passe dedans d’elle,


sa bouche est bleu, elle vomit,
Charles, qui n’a pas une attitude d’un médecin, touche Emma sur
le ventre et elle crie.

Elle sue froids, son alite est métallique, elle est pale, ses yeux ont
grandis, ses dents tremblant
Elle cherche à calmer Charles, mais les symptomnes continue et
elle a de contractions plus à plus fortes.

elle veut saluer Berthe, sa fille, pour la dernière fois


Charles appelle le médecin, Messieurs Omet crie a grand voit :
Madame Bovary s’est empoisonnée.
Comme Julien Soreil s’est rendu compte de l’amour de Madame
de Rénal, Emma se rende compte de l’amour de Charles, qui était
un amour réelle et fidèle.

elle se communie comme extrême onction, elle n’était plus si pale,


son visage était sereine, comme si le sacrement avait donnait lui la
paix . Elle regarde autours d’elle, et demande son miroir, elle
plonge, elle veut voir la mort.
Elle respire vitement, la langue sortie au dehors de la bouche, par
les yeux elle semblait déjà morte.
On la voit seulement ensimer, comme si son âme voulait sortir par
son corps

Charles prie en genoux


Elle écoute une voix chantant venant de l’extérieur, scène
paroxystique, on a Emma dans une contexte tragique, mais elle rie
dans une façon frenetique.
La voix appartenait à un misérable, qu’elle avait vu une fois à
Rouen, quand elle devait retourner à Yonville en prenant une
carrosse, elle était très inquiété, et elle se trouve face au face avec
cet homme, son visage était horrible. Elle le voit et elle crie.
Elle voit sa comme un pressentiment d’une chose qui est en train
d’arriver.
Cet pressentiment se trouve confirmé dans sa morte, elle croit voir
encore cette face.
Le miroir et la fenêtre sont en littérature une idée de mort ou
prémonition. Ce ne pas le paradis qui l’attende mais le diable.

Vous aimerez peut-être aussi