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Le réalisme
Balzac
Biographie
Il a étudié à Vendôme, à Tours et à Paris où il étudiera lois
Il écrit ses premières œuvres sous pseudonymes sans être
apprécié par la critique
Après la rencontre de Mme de Berny, grâce à son aide, il
ouvre une imprimerie: il devient éditeur mais sans avoir de succès
Le roman gotique, raconte d’un homme qui fait un pat avec le diable.
Il essaie de se jeter d’un pont, parce que il avait perdu son argent
(l’argent et son importance est un de thèmes les plus important traité
par Balzac) à la roulette.
Il se cache à l’intérieur d’un magazine parce que des camarades le voulait
sauver. Le propriétaire du magazine le trouve, pendant çà Raphaël se sent
quelque chose sur épaule, le propriétaire lui dit qu’il a la peau de chagrin.
(una lampada dei desideri).
La peau de chagrin représente la vie du jeun homme, quand il demandera
des désires la peau commencera a se retirer.
Un jour, la peau deviendra minuscule, disparaîtra, l’homme mourra, et elle
rappariait dans le magazine.
Le roman aura un succès formidable.
La Comédie humaine
La comédie humain est née au fur à mesure que Balzac faisait des instantané de la
société. (1830 )
Balzac photographe la société dans une façon si équilibré, que les autours successives
dirons que personne a su décrire la société de l’époque comme Balzac.
-Les héros de Balzac agissent comme de personnes normal, qui ne font pas de gestes
héroïque si non ce qu’il peuvent accomplir dans leur petit
- il écrit une lettre à madame Hanska lui expliquant le projet à la base de la comédie
humaine.
Les personnages sont 4000 et ils se répètent dans les divers romans, ils
se rencontrent et ils vivent dans des lieux et des situations différentes
Cette œuvre est partagée en trois parties:
1 Les Études de mœurs, (ou on a Père Goriot),dont le but est une analyse
des épisodes de la société, on a une présentation des effets .
On de scènes de vie (privée, de province..)
2 Les Études philosophiques, ( ou on a la Peau de Chagrin) chargées de
mettre au jour les raisons d'une destinée particulière, ce sont de principes
philosophiques, de mécanismes qui permettent à un personnage de
changer rôle social. Ce sont le Cause
3 Les Études analytiques, qui analyse dans une façon spécifiques
certains principes régissant la société.
Résumé du roman
Paris, automne 1819.
La pension vaquer
Balzac nous présent la pension, la structure, comme s’il avait une camera,
il donne une description impitoyable, çà pour une résonne de réalisme.
La première chambre a des meubles banals, les tissues, tous est d’un
aucun goût. Pour décrire l’odeur on devrait mélanger l’odeur de tous les
pensionnaires .
Dans ce passage, le narrateur nous emmène en une visite guidée d'un lieu
"la pension", en faisant d'une description minutieuse, en effet l'abondance
de détails accentue l'effet du réel.
On remarque le nombre important des adjectifs employés, on a une
accumulation:" humide, nauséabondes, catarrhales, vieux, boisée, gluants,
ternies, estropiées, misérables, crevassé, pourri..." ainsi la description de
mobilier et l'énumération des biblots : "buffets gluants, carafes échancrées
(sbrecciate), des ronds de moiré métallique (porta tovaglioli), des pilles
d'assiettes en porcelaine (piatti di nessun valore), une longue table
couverte de toile, des chaises...".
Sur le même plan, la description est caractérisée par l'emploi de termes
péjoratifs "exhaler" qui rend compte de l'odeur exécrable, renforcé par
l'impossibilité de la décrire; on remarque ainsi que l'auteur donne de la
profondeur à ses descriptions si dévalorisantes qu'elles soient, en les
chargeant de portée métaphorique:
« il faudrait en faire une description qui retarderait trop l'intérêt de cette
histoire, et que les gens pressés ne pardonneraient pas. » ( Comme Hugo,
il fait un « vedo non vedo », romantisme de Balzac. Les misérables ont
une coté romantique, ils sont aristocrates dans un point de vue
humain, mais dans la misère de la pension n’a rien de poétique, misère
économe )
Cet narrateur est omniscient.
coté réaliste :
-Balzac étudie si tant la réalité, et la présent comme elle est, par
exemple la Rue Saint-Genevieve, qu’on ne trouve pas dans le même
quartier, existe dans un autre.
-effet « camera »
Cette description est réaliste dans la mesure où Balzac se refuse à
idéaliser la réalité à la manière des romantiques, la misère n’a rien de
poétique (à différence de misérables que d’un coté sont des héros).
· Il cherche à reproduire les objets tels qu'ils sont, y compris dans leur
abjection.
· il adopte la position d'un visiteur qui les découvrirait pour la
première fois.
· Cet aspect se révèle dans la tonalité péjorative des caractérisations
juxtaposées: «elle sent le renfermé, le moisi, le rance». Le mot sans
doute le plus juste, réalisme agressif.
- tous les 5 sens sont mis en cause, réalisme.
· Balzac veut que nous ayons la sensation physique des lieux qu'il écrit.
· La vue: les objets sont recensés par un regard d'une acuité extrême.
· Tout est indiqué: couleur, matière première, origine de fabrication.
La salle à manger est « entièrement boisée », les « assiettes en porcelaine
épaisse, à bords bleus » ont été fabriquées « à Tournai » ; le « cartel » est
« en écaille incrustée de cuivre » etc.
· Par l'odorat qui des cinq sens celui qui nous immerge le plus
profondément au cœur des choses et des êtres, nous pénétrons dans
l'intimité des de cet endroit
· des sensations tactiles d'humidité, de crasse et de graisse : odeur
« humide au nez », « buffets gluants », « poussière » qui « se combine
avec l'huile », « toile cirée grasse ».
· En fait, l'odeur de pension du salon de Mme Vauquer est tellement
nauséabonde que le narrateur ne peut s'empêcher d'avoir une réaction
personnelle. Voyons donc en quoi ce texte est subjectif.
« madame Vauquer explique la pension comme la pension explique
Madame Vauquer «
L'humidité suggère la pingrerie de Mme Vauquer qui ne chauffe pas
la maison, la crasse renvoie au passage du temps, la graisse annonce la
nourriture peu raffinée d'une cantine.
Elle est décrit arriver, avec le corset déboutonné.
La soif de parvenir
Ici Balzac décrit pas seulement ce qui se passe, mais pourquoi et comment.
Mécanisme de cause-effet, il se retrouve pauvre, conséquence, il doit
changer style de vie, conséquence, son corps subi de conséquences.
On voit l’appauvrissement de Goriot, vers la troisième années.
le père Goriot réduit ses dépenses, il montre au 3 étage, qui coûte 45 franc
de pension en mois
il renonçait au tabac, il renonce à son style de vie,
Entre tous les invité au dîner de madame vaquer la personne plus laid et
triste était Goriot
cette descendance de père Goriot confirme la théorie de madame vaquer, il
était un vieux libertin qui avait contracte une maladie vénère qui
survie seulement grâce aux médecin.
personne ne s’intéressait pas, tous étaient pris par la vie vite parisienne, si
Goriot est comme çà, il y avait une résonne, mais personne imagine qu’il
n’a pas était comme çà tous le temps.
Madame vaquer demande à Goriot si ses filles revenaient à le trouvait, il
réponse oui quelques fois.
« Criste de la paternité »
Mm vaquer pense que si les femmes étaient ses filles, elles ne lui lassèrent
vivre comme çà.
Tous ces histoires, on les découvre aussi grâce à Rastiniaque, alter ego de
Goriot.
Goriot devient pauvre à cause de ses filles, Rastiniaque, qui appartient à la
noblesse campagnarde, il devient riche.
Rastiniaque a une tante, qui fait la belle vie.
Il va chez sa tante, dans une soirée, et il rencontre Anastasia et Delphine. Il
n’a aucune idée qu’il s’agit des filles de Goriot.
Il fait la court à Anastasie, il va chez elle à 8 heures du matin, mais elle ne
le regarde pas.
L’amant qui se présent un peu plus tard, est accueilli et lui pas.
Il raconte ce qu’il a fait a sa tante et elle lui dit qu’il y a une étiquette qu’il
faut respecter. Il ne pourra plus visiter la maison de Anastasie.
Un jour il voit sortir Goriot par la maison d’Anastasia, grâce à sa tante,
Rastiniaque découvre l’histoire.
Beaucoup hommes a paris gagne une position social seulement parce que
ils ont fréquentes des femmes aristocrates et malheureuse de leur vie.
Femmes comme ascensoristes sociales
Rastiniaque revient à la pension et regarde Goriot avec un œil diffèrent, il
le défend et il a l’opportunité
Aussi la tante de Rastiniaque avait un amant, mais sa meilleure amie dit à
sa tant que son amant est en train de s’épouser, avec une femme plus jeune
et riche.
C’est l’argent qui donne la loi
sa tante fait un ultime balle, puis elle aura à vivre en campagne .
Rastiniaque fait la cour à Delphine, encouragé par Goriot qui veut voir sa
fille joueuse
Avec ses dernière économie il achète un appartement ou Rastiniaque et
Delphine peuvent vivre, e aussi lui-même, mais au dessus dans un
compartiment.
Les maries de Anastasia et Delphine font faillite, Goriot mourra seulement
avec rastiniaque et son amie à coté.
Le filles ne viennent pas au funéral, il n’y aura que le carrosse de famille,
Rastiniaque lance un défie contre la société qui ne respect rien que
l’argent
Stendhal
Henri Beyle naît à Grenoble le 23 janvier 1783 d'une famille
bourgeoise.
Sa mère, Henriette Gagnon, meurt quand il avait sept ans
Son père, Chérubin Beyle, est un avocat. Il n'a pas un
rapport étroit avec Henri.
Il passe beaucoup de temps avec son grand-père, Henri Gagnon, qui lui transmet la
passion pour la littérature.
Tout jeune, Henri s'aligne avec les républicains, en conflit avec les idéaux paternels.
Grâce au prix qu'il obtient en mathématique, il a la possibilité d'entrer à l'École
Polytechnique de Paris.
BIOGRAPHIE
Il arrive à Paris avec des grandes prospectives, mais à cause de sa timidité, ses
projets échouent.
En suivant ses idéaux républicains, Henri s'enrôle dans l'armée et descend en
Italie pour combattre les autrichiens.
À Milan, il connaît les salons et la culture italienne et il ne reste profondément
impressionné.
Revenu en France, il perd l'admiration pour Napoléon qui est devenu empereur,
en trahissant les idéaux républicains de Henri.
En 1804 il connaît Mélanie, une jeune fille divorcée qui sera sa amante pour un an.
Il retourne dans l'armée, avec laquelle il voyage en Allemagne et en Autriche.
Quand il retourne à Paris, Henri connaît Alexandrine Daru, femme de son cousin
Pierre et de laquelle il sera toujours secrètement amoureux.
en 1821, il se sent obligé de retourner à Paris alors que Milan change ses idéaux
la naissance et le développement rapide des soulèvements Carbonari seront la
raison pour laquelle il retournera en France.
En 1830 il se concentre sur le chef-d'œuvre "le rouge et noir". Les dernières pages
seront écrites lors de la révolution parisienne en Juillet.
Avec l’avènement du nouveau gouvernement orléanais, la course et aux emplois
prestigieux commence.
En novembre 1830, Stendhal partit pour Livourne, il se retrouve à Civitavecchia.
Un congé lui fut accordé en 1841 pour des raisons de santé. Le 23 mars 1842 il meurt
à Paris.
“Le grand homme est comme l’aigle ; plus il s’élève, moins il est visible, et il est puni
de sa grandeur par la solitude de l’âme.”
Julien Soreil était bûcheron,( taglia legna), il avait aussi une scierie
(segheria), l’ambition est le coté romantique du livre, il est poussé par sa
recherche, il est très déterminé, cette passion extrême est la coté
romantique du livre.
Stendhal est capable de ce mettre à la place de julien et d’autres
personnages, il se présent entend de narrateur omniscient et il est capable
de changer point de vu.
Un père et un fils
Julien est immergé dans la lecture d’un texte qui est son livre préféré,Le
mémorial de Sainte Hélène.
Ici l’auteur nous présent Julien, l’héro du roman, qui par les premières
lignes de son apparaît comme l’opposé de son père.
Cette opposition est théâtralisée par un registre tragique à travers le champ
lexical de la violence, « force du coup » « larmes aux yeux », de la
machine, qui donne un portrait hostile de la scierie.
Dans la scierie a, quelqu’un coupe à l’ache l’arbre, çà donne la sensation
du force de cet homme,
julien est assis à cheval sur l’une de pièce de la toi (su una delle travi del
tetto),
le père l’appelle plusieurs fois, il est furieux parce que julien n’est pas en
train do faire son travail, et ici on voit le fort contraste entre les deux.
Le père est analphabète, il déteste la passion de Julien, déteste son
physique, pas fait pour travailler dan une scierie, il est mince.
Julien est trop pris par le livre. Le père lui donnera une gifler, julien va
presque tomber sur la machine, mais le père le retient.
le livre tombe dans le fleuve, et il est plus triste par la perte de son livre
que pour le douleur physique, tant qu’ il est attaché à la lecture.
Il est fasciné par le prestige de Napoléon
Grâce à l'abbé Chélan, qui l'a pris en sympathie et qui lui a enseigné le
latin, Julien est engagé par Monsieur de Rénal, le maire légitimiste de la
ville. Ce dernier, recherche un précepteur pour ses enfants. Il juge en effet
nécessaire d'avoir recours à un tel service pour soutenir son rang face au
train de vie qu'affiche Monsieur Valenod, directeur du dépôt de mendicité.
Timide et indocile dans un premier temps, Julien Sorel ne tarde pas à
trouver un certain attrait à cette nouvelle vie. Il tombe sous le charme de
Mme de Rênal et devient son amant.
Combat sentimental
Coté romantique ?
-La passion et les sentiments sont très importantes dans cet texte,
même si
Julien n’est pas guidé par de sentiments, la conquête de Mme de Renal est
méditée, c’est un devoir à accomplir
-L’écrivain nous montre les avènements par les yeux de Julien, on à un
déplacement de l’auteur de l’extérieur à l’intérieur de personnage
- On est dans le Sud de la France, en été, époque de grand chaleur, Julien
rencontre les deux Dame
- julien est très agité, les deux personnages sont en train de se promener
dans la nature, l’air est plein d’electricité (la scène est vécue aussi par
Madame de Derville ), il est très pris par lui-même, sa voix est tremblant
par son agitation.
Il se sent au niveaux d’autres
Il s’impose de terminer son but après le 10, ou il va se tirer un coup à la
tête, c’est une défie à lui-même.
On entre dans la tête de Julien, il ne trouve pas de mots, son incontrôlable
angoisse est un exemple de vague de passion.
Il est si tellement concentré sur soi-même (egotisme) qu’il ne réalise
pas que son angoisse influence les autres.
Madame Rénal devient agitée aussi, Julien ne réalise pas.
il essaie de prendre la main de la femme, elle la retire, il insistera avec une
force convulsive et réussira dans son emprise.
Le procès
réalisme : les sources judiciaires sont réels.
« le roman c’est un miroir que l’on promène le long du chemin »
Flaubert
le père est un médecin, çà influencera beaucoup sa façon d’écrire.
Il avait étudié droit à paris, puis pour sa maladie, épilepsie, il s’enferme à
Rouen.
Flaubert vivra grâce à l’ héritage, mais vers la fin de sa vie commence à
avoir de problème économique,
MADAME BOVARY
1857
Inspirée par un fait divers, un élève de son père avait épousé une
femme très romanesque, elle s’était pris pour un clerc de notaire et un
Don Juan local, et elle s’est suicidée a 27 ans.
Le procès :
Flaubert a été condamné pou outrage à la morale publique et
religieuse, et aux bonne mœurs.
Il y avait en réalité une motivation politique, l’histoire avait été
publiée sur le journal « la revenue de paris » dont le pouvoir
aurait voulu se débarrasser.
Tout le monde achètera ce libre pour voir les obscénité, mais
Flaubert ne décrit rien de sexuelle dans le roman.
Il ne sera pas condamné parce que il faisait partie de la grande
bourgeoisie de Rouen, que le pouvoir ne tenait pas à indisposer en
vue des élections.
Emma, fille de paysan, elle doit s’occuper de son père, elle vit une vie
monotone.
Un jour le père se sent mal à la jambe et on appelle le « docteur » (il
n’avait pas terminé ses études) et arrive Charles Bovary (bourgeois) , il
remarque Emma, mais il est trop timide, c’est Emma qui séduise Charles.
C’est le père d’Emma qui l’invite à s’exprimer, c’est le père qui va
proposer le mariage, elle consente et on a une fêté du mariage de
campagne.
Elle croit de changer classe social, mais elle se rende compte d’être passé
par une routine d’une autre.
LE BAL
Elle accouche d’une fille (l’appelle Bette, en mémoire d’une dame au balle
) et c’est rende bientôt compte que la routine n’est vraiment changé et
aussi Charles n’est pas le seul médecin dans le village.
Fatiguée par la grossesse, elle reprend petit à petit sa vie, avec un amour
secret pour Léon.
Léon quittera la ville, pour aller à Rouen, et elle est très triste, quand il se
saluent, Léon embrasse Bette, et fait comprendre aussi qu’il voulait
embrasser Emma.
Emma veut que Charles accueilli statu dans le village, et Charles essaie de
faire une opération à un homme, mais l’opération ne termine pas bien et il
perde la jambe. Il l’avait fait tout çà pour Emma.
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Dans le cabinet du Charles se présentent 2 hommes, un doit se faire prélever du
sang, mais Charles fait un erreur et ne prélève trop , et l’autre, Rodolfe, remarque
Emma, elle a l’air d’être ennuyé, l’homme comprend que Emma est une victime
facile pour lui, Emma se sent flatté par Rodolfe, il est un homme de monde, il sait
quoi dire et conquise Emma.
Rodolfe fait transparaître de sentiments pour Emma qui n’existent pas en réalité.
Emma ne sait pas quoi faire, et Charles en les voyant heureuse pense que rodolfe est
une influence positive pour elle
j’ai an amant
Rodolfe dit à Charles que une promenade ferait très bien à Emma, elle
consente.
Le jour du rencontre arrive et ils s’éloignent ensemble
C’est Rodolphe qui, du début à la fin, mène le jeu. Pour lui, Emma n’est
qu’un plaisir parmi d’autres.
Emma retourne a Rouen après avoir était avec Leon, et demande à Charles
de faire des leçons de piano à Rouen.
Emma s’achète de cadeaux, de vêtements, et elle commence a fréquenter
Leon, même si il est en société, et il a une copaine.
Quand elle revient un jour a Yonville elle reçoit une agence de payement,
les dettes sont nombreuses, ils veulent lui enlever la maison.
Emma est desesperé, leon le promette di aiutarla ma non ha intenzione di
darle dei soldi, e lei si vede abbandonata da leon, intanto le prendono i
mobili dalla casa, anche il busto che hanno i medici nei loro studi
lei va a contrare rodolfe vestita comme une grande dame, ma neanche
rodolfe la aiuta,
va dal farmacista, messieur omeit, il exploit ses travailleurs, il est mechant,
urla ferocemnte contro uno dei suoi dipendenti che aveva toccato qualcosa
vicino all’arsenico, con cui infine si avvelenerà.
Quando le jeun homme voi que Emma avait bu l’arsenique, Emma lui
demande de ne la pas trahir.
(l’uomo era colui che aveva perso una gamba x una operazione di charles,
era innamorato di Emma e tace)
Emma écrit une lettre, elle se couche, et Flaubert décrit tous les
symptômes de la mort d’Emma.
réalisme, Emma veut s’entendre mourir, elle veut comprendre ce qui se
passe dans son cœur.
Charles veut comprendre, elle réponse, demain.
On comprend qu’elle s’était changée parce que elle se réveille avec un
bluacre dans sa bouche.
De ce moment on la voit mourir, cette scène est GROTESQUE, elle a
chaud, frois, transpire, elle vomit
L’approche de Charles n’est pas cela d’un médecin
Charles voit la lettre, et comprend qu’elle s’était empoisonnée.
Il àpelle un docteur, on a un exemple de la superficialité de la bourgeoisie,
les médecins se remplient la bouche de mots en latin mais çà ne servira pas
à sauver Emma.
Tous le monde est coupable de cette suicide (par exemple le prête, elle n’a
trouver personne que la voulait écouter).
Un jour Charles trouve la lettre que Rodolphe avait écrit pour Emma, et
que elle était prêt à partir. Ce çà comme il mourra, tout d’un coup.
On a seulement Berthe, qui sera envoyée à travailler comme une
blanchisseuse.
Elle sue froids, son alite est métallique, elle est pale, ses yeux ont
grandis, ses dents tremblant
Elle cherche à calmer Charles, mais les symptomnes continue et
elle a de contractions plus à plus fortes.