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Préparation
Premiers ajustements
Observation
À la fin de la séance
- couper l'éclairage à la fin de la séance ;
- replacer le plus faible objectif et retirer la préparation microscopique ;
- ranger le microscope dans son coffret à la fin de la séance.
Le microscope : un outil indispensable pour la li
Les pionniers comme Elias Magnus FRIES (1794-1878) n’avaient pas de microscope ; ils ont ét
macroscopiques des champignons (champignons lichénisés inclus) pour établir les bases de la m
utiliser un microscope, par exemple Lucien QUÉLET (1832-1899), disposaient d’un matériel ru
grossières qui étaient réalisées conduisaient souvent à des conclusions inexactes.
Avec l’avènement d’un matériel optique plus performant, le 20ème siècle a permis à la lichéno-
et si, actuellement les reconstitutions phylogénétiques basées sur l’étude des ADN remettent en
systématique classique, établie à partir des études en microscopie optique, le microscope à fond
du lichénologue.
C'est le principal outil pour vous permettre de progresser dans les clés de détermination, celles-c
l'observation de caractères non décelables à l’œil nu (les seuls à considérer si vous étudier les m
1590 Zacharias découvre le principe du microscope composé.
Principe de fonctionnement du m
10 10 100
20 10 200
40 10 400
Le microscope binoc
à mise au point par
Le microscope trino
5 ou 6 objectifs plan
et de nombreux acc
B) La platine porte-objet
C) La sous-platine
D) La tourelle porte-objectifs
E) La tête porte-oculaires
La tête porte-oculaires : dans les microscopes simples (p
dans sa partie supérieure un tube monoculaire droit ou inc
œil, ce qui entraîne rapidement une fatigue importante des
(1) Ampoule halogène ; (2) Lentille collectrice ; (4) Zone d'insertion des filtres (12) Réflecteur et capot
diffuseur de chaleur ; (13) Partie basale du statif du microscope.
L'intensité lumineuse se règle avec un potentiomètre (une lumière trop
puissante fatigue les yeux) et une bague contrôle un diaphragme,
le diaphragme de champ, que l’on ferme plus ou moins, pour ajuster le
diamètre de la zone éclairée au diamètre à la partie visible de la préparation
(champ du microscope).
Si le diaphragme de champ est trop fermé, la partie périphérique de l’objet
n’est pas éclairée (présence d’une zone périphérique sombre dans le champ). Si
le diaphragme de champ est trop ouvert, des parties non observées de la
préparation sont éclairées, ce qui engendre des réflexions, diffractions et
diffusions parasites qui dégradent l’image finale.
Sur les microscopes que nous utilisons, la température de couleur des
halogènes de puissance 10 à 20 watts, ne dépasse pas 3200°K (celle de la
lumière solaire est de 5500°K) ; pour diminuer la dominante rouge qui en
résulte, il est fortement conseillé de placer en permanence un filtre bleu (en
principe fourni avec l’appareil par le fabricant) au dessus de la lentille de
champ ou avant l'entrée dans le condenseur.
Filtre bleu maintenu avec un morceau de toile adhésive pour éviter de le faire tom
transport du matériel.
Il évite la dominante rouge et permet d'observer une image en lumière plus proch
blanche.
Selon les modèles, il est posé sur la lentille de champ ou juste sous le condenseur
Pièces maîtresses du microscope, les objectifs seront manipulés avec beaucoup de soin.
Bloc optique avec 5 objectifs Fluotar du Leica Ortholux (Didier Lefebvre)
Plus leur angle de capture est grand, plus ils sont aptes à m
ont ainsi défini l’ouverture numérique par le formule :
Ouverture numérique = ON = NA (Num
n = indice de réfraction du milieu dans lequel travaille l’ob
ordinaire ; 1,515 ou 1,518 pour l’huile à immersion).
α = angle formé par l’axe de l’objectif et les rayons extrêm
formation de l’image.
Plus l’objectif grandit l’image, plus son ON augmente. Pou
l’ouverture numérique dépasse 1 (1,25 à 1,40 pour les plus
4x 10
OBJECTIFS
objectifs achromatiques 0,10 0,
objectifs semi- 0,12 0,
apochromatiques
objectifs apochromatiques 0,16 0,
Ouverture numériques de différent
Le grandissement
Couramment mais improprement appelé grossissement, le
de l’image formée par l’objectif et la taille réelle de l’objet
rapport entre des valeurs angulaires et non entre des valeur
1x 2x 4x 10 x 20 x
OBJ.
Le type
Les lettres sont noires pour les types standards, rouges pou
polarisée et vertes pour le contraste de phase.
En p
d'épa
lame
diffé
porté
La distance focale
Un anneau de couleur
caractérise Indispensable à connaître en photographie classique (180 m
chaque grandissement angle), la distance focale des objectifs pour microscope n’e
l’objectif ; elle est comprise entre 16 et 3 mm pour les obj
objectifs à immersion. L’objectif pour microscope est donc
focale extrêmement petite, mais on le définit surtout par so
Le pouvoir pénétrant
Le pouvoir séparateur
ultraviole
t
Longueur d’onde (en nm) 365
Pouvoir séparateur (en nm) 0,13
Valeurs du PS en fonction de la longu
4x
objectif achromatique 2,75
objectif apochromatique 1,72
Valeurs du PS en fonction du typ
nm = nanomètre = millième partie du micron - unité de m
principales valeurs : ultraviolet moins de 400 nm ; violet 400
nm ; jaune 580-610 nm ; rouge 610-700 nm ; i
La distance parafocale
4x 10 x
Grandissement
Ouverture numérique 0,13 0,25
Distance focale (mm) 30,03 16,90
Distance frontale (mm) 18,23 7,18
Exemple de valeurs pour les objectifs olymp
Remarque :
Certains object
la monture, son
travail importan
manipuler.
<<<<
Objectif semi-
apochromatique
à la fluorine (notée FL
sur le fût)
>
Objectif apochromat
noté Apo sur le fû
l'obj
3 exem
(1) obj
(2) Ob
(3) Ob
L’immersion
Remarque 2 :
- Autrefois on utilisait la résine de cèdre ou huile de cèdre
essuyée correctement en fin de séance, elle durcissait et, lo
détérioration de l’objectif à immersion qui est très onéreux
- Actuellement on utilise des huiles de synthèse non résin
Ces huiles ne durcissent pas et il n’est pas nécessaire de ne
chaque utilisation du microscope ; il suffit d’essuyer l’obje
sont disponibles en différentes viscosités ; pour les utilisat
position verticale elles sont très visqueuses, pour les utilisa
fluides. En mycologie on utilise uniquement l’huile de visc
Milieux Les oculaires
L’oculaire possède trois fo
- il grossit l’image intermédiaire
L’oculaire possède trois - corrige certaines aberrations résiduelles et donne l’im
fonctions principales : - porte parfois un dispositif de mesure ou de repérage.
1. il grossit l’image L'oculaire est caractérisé par son grossissement et son indic
intermédiaire formée par la zone circulaire observable sur la préparation (de 12 à
l’objectif ; champ).
Suivant l’équipement optique du microscope et les p
proposent plusieurs types d’oculaires.
2. il corrige certaines
aberrations résiduelles et - L’oculaire de Huygens, le plus simple et le moins onére
donne l’image définitive entre lesquelles il y a un diaphragme de champ situé au ni
plus plane et plus nette ; lentille d’œil ; la lentille inférieure ou lentille de champ apla
Oculaire
des imag
optique d
est à cou
- Les ocula
grossisseme
peuvent sem
qualité optiq
oculaires n'a
plus, sur un
toujours fac
exactement
Remarque 4 :
Un ensemble cohérent dans la gamme Les objecti
Olympus : objectif LB D achromatique, chez Nikon
oculaire positif LB pour observer, oculaires C
oculaire négatif NFK pour la photo. l'image fina
Partie ap
parietina
nitrophil
(brun ro
liseré am
melzer ;
x10 conc
Rappel :
de l'endo
(ascomy
type rost
Les condenseurs
Situé entre la préparation et le dispositif d’éclairage, le condenseur est un
système optique qui contrôle le cône lumineux envoyé sur la préparation ; la
qualité de l’image dépend de son réglage méticuleux.
La lumière issue du condenseur converge vers la préparation ; lors de son
passage à travers la préparation la lumière devient divergente et forme un cône
inversé (par rapport au cône convergent envoyé par le condenseur) qui est capté
par la lentille frontale de l’objectif.
La valeur angulaire de ce cône est contrôlée par le diaphragme
d’ouverture situé à la base du condenseur.
L’Ouverture Numérique du condenseur doit être légèrement supérieure ou
au moins égale à l’ON de l’objectif ayant la plus grande des ouvertures
numériques.
Le diaphragme d’ouverture permet d’adapter l’ON du condenseur à l’ON de
l’objectif.
Rappel : En général on n’utilise jamais le diaphragme d’ouverture à la valeur
de l’ouverture numérique de l’objectif, on le ferme toujours un peu pour avoir
une plus grande profondeur de champ et un peu plus de contraste (on le ferme
bien souvent aux trois quarts ou aux deux tiers de l’ouverture numérique de
l’objectif).
Si on utilise une gamme étendue d’objectifs il est parfois nécessaire de
posséder plusieurs condenseurs différents. Le plus souvent, le microscope ne
possède qu’un seul condenseur, choisi en fonction de l’objectif le plus puissant,
et, sur certains modèles, ce condenseur possède une lentille (ou un bloc de
lentilles) escamotable.
Condenseur à lentille supérieure escamotable permet l'utilisation
d'une gamme plus important d'objectifs ; son ON varie de 0,16
(pour le x2 et le x4 avec lentille supérieure escamotée) à 0,90.
L'objectif à immersion (ON = 1,25 par exemple) ne bénéficie
que d'un condenseur ouvert à 0,9, on peut donc le considérer
comme fermé aux 2/3 par rapport à un condenseur ayant une ON
de 1,25. Avec l'objectif x100 il n'est pas recommandé de
diaphragmer davantage.
- Si la lentille escamotable est à la partie supérieure du condenseur, elle doit
être retirée pour utilisation des objectifs 4x et 2x (la lumière est ainsi moins
concentrée sur le préparation, l’ON diminue).
- Si la lentille escamotable est à la partie inférieure du condenseur, elle doit être
(en général, sauf spécification du constructeur) retirée pour utilisation des
objectifs 10x à 100x (la lumière est ainsi plus concentrée sur le préparation, son
ON est plus grande).
Condens Condense Condenseu Condens
eur ur à r eur
d’Abbe lentille achromati ultra-
Type de escamota que faible
condense ble aplanétiqu
ur e
et
ON ON = 0,9 ON = 1,40 ON =
domaines
= 1,25 – 0,16 0,16
d’utilisati
on 2 lentilles 4 lentilles 7 lentilles 3 lentilles
en en en 4 en
2 groupes 3 groupes groupes 3 groupes
1x
2x Lentille domaine
4x escamoté d’utilisati
e on
10x
20x domaine
40x d’utilisati domaine domaine Impossib
50x on d’utilisati d’utilisatio le
60x
100x on
Compatib
le n
Exemples de condenseurs fond clair pour olympus BH2 et domaines d’utilisation
Principaux types de condenseurs
- Le condenseur d’Abbe comprend deux à trois lentilles non corrigées des
aberrations chromatiques et sphériques. La lentille supérieure qui est
pratiquement en contact avec la préparation présente une face supérieure plane.
L’ouverture numérique est d’environ 1,2 (deux lentilles) à 1,3 (trois lentilles).
C’est le condenseur généralement livré avec le microscope. Il travaille à sec (ce
qui signifie qu’il n’est pas nécessaire de mettre une goutte d’huile à immersion
entre la lentille supérieure du condenseur et la lame lors de l’utilisation
d’objectifs ayant une ON supérieure à 1 (objectifs à immersion).
- Le condenseur achromatique possède un nombre plus important de lentilles
et est corrigé pour les défauts de chromatisme. L’ouverture numérique atteint
1,25 à 1.3.
- Le condenseur ultra-faible permet l'utilisation d'objectifs à faible
grandissement x1 ou x2 (et x4). Son ON varie de 0,02 à 0,16 est faible, ce qui
lui permet d'éclairer correctement la partie périphérique de la zone observée.
- Les aberrations géométriques : en particulier l’aberration sphérique qui
donne une déviation plus importante des rayons marginaux qui se forment ainsi
devant les rayons issus de la partie centrale de l’objet.
- La courbure de champ : responsable de la formation de l’image sur une
portion de sphère et non dans un plan.
Remarque : Attention lors de l'achat d'une tête trinoculaire, renseignez-vous d'abord sur les cap
Des adaptateurs existent mais ils sont parfois très difficiles à trouver (le vendeur vous dit toujou
ensuite vous ne voyez jamais rien venir, nombre de mycologues attendent depuis des années leu
Achetez l'adaptateur en même temps que le microscope et ne payez que si les 2 sont livrés !!!!
- A droite : sommet de la tête trinoculaire qui porte un oculaire photo sp
l'objectif utilisé ; à gauche : (1) boîtier photo ; (2) tube adaptateur qui se
sommet de la tête trinoculaire ; (3) bague de liaison entre le boîtier (Ni
l'adaptateur pour la tête trinoculaire Olympus.
5. Le changeur de grossissement
6. L'écran de projection
8) Le tube à dessiner
9) Entretien du microscope.
Les surfaces peintes et les parties plastifiées du microscop
elles seront, si nécessaire, simplement essuyées avec un ch
toucher les parties optiques).
Par contre, il est fondamental que les parties optiques du m
Les tubes porte-oculaires ne seront jamais laissés sans cou
entrent dans le tube optique.
Il faut prendre l'habitude de protéger l'appareil par une hou
petites saletés viennent se déposer sur les surfaces optiques
performances et de la qualité de l'image finale.
Nettoyage -
Chasser les im
(une vieille p
parfaitement)
particules qu
lentilles.
On peut égal
bouche mais
parfois proje
Seul l'objec
fonctionner
sur le x40 à
pour le 40 e
indications
Le corps humain
Secondaire 3
Toute seule, la cellule peut réaliser une multitude de tâches (digestion, respiration,
déplacement, reproduction, etc.). Toutefois, dans le but de réaliser des tâches encore plus
complexes, les cellules peuvent s'organiser entre elles et s'assembler afin de former des
organismes pluricellulaires.
Les niveaux d’organisation
En s'assemblant entre elles, les cellules forment des tissus qui, à leur tour, s'unissent pour
former des organes. Plusieurs organes s’organisent de façon à créer un système. Un ensemble
de systèmes peut ainsi assurer le fonctionnement de tout organisme vivant.
On peut placer par ordre croissant de complexité ces éléments qu'on nomme niveaux
d'organisation. Ces niveaux d’organisation vont de structures plus simples, comme des
atomes et des molécules, à des structures plus complexes, comme l’organisme entier.
L’atome
La molécule
La cellule
Les tissus
Les organes
Les systèmes biologiques
L'organisme
2. La fonction de relation : besoin de maintenir son équilibre et d'interagir avec son
environnement
La cellule est l’unité de base de tout organisme vivant. Dans cette fiche, on distingue deux
sortes de cellules : les cellules animales et les cellules végétales.
Ces sortes de cellules ont plusieurs ressemblances. Toutefois, de par leurs fonctions
différentes, elles ont aussi quelques différences dans leur constitution. Bien que les cellules
animales et végétales aient des constituants et des organites en commun, certains sont propres
à un seul type de cellule.
Les organites sont les constituants de la cellule qui baignent dans le cytoplasme.
Il existe plusieurs sortes de cellules animales. On attribue à ces cellules des noms différents
selon la fonction qu’elles assurent dans l’organisme. Voici quelques exemples de cellules
animales.
Les gamètes
Les globules blancs
Les globules rouges
Les neurones
Les cellules musculaires
Les cellules épithéliales
Chacune de ces cellules a ses particularités tant au niveau de sa structure que de ses fonctions.
Certaines cellules sont mobiles et possèdent un flagelle. C’est le cas du spermatozoïde qui
doit se rendre à l’ovule pour le féconder. D’autres cellules peuvent se contracter énormément.
C’est le cas des cellules musculaires.
Les constituants de la cellule animale
La cellule animale
Constituant Description et r
Le noyau communique avec le reste de la cellule par l’enveloppe nucléaire qui perme
Il dirige et contrôle toutes les activités qui se produisent dans la cellule.
Noyau
Il dirige la division cellulaire.
Il contient les chromosomes, qui sont porteurs des gènes. Les chromosomes sont faits
Le cytoplasme est une substance gélatineuse dans laquelle baignent le noyau et les au
Cytoplasme
Il est impliqué dans les échanges dans la cellule. Les substances peuvent voyager entr
La vacuole est un sac situé dans le cytoplasme servant à entreposer des substances com
Vacuole
Il y a plusieurs petites vacuoles dans la cellule animale.
C’est dans les mitochondries que se produit la respiration cellulaire. Elles convertissen
Mitochondrie
utilisable par la cellule.
La cellule végétale
La cellule végétale est à la base de tous les organismes végétaux. Elle se distingue de la
cellule animale par 3 caractéristiques :
1. Elle possède une paroi cellulosique, une membrane extérieure rigide faite de cellulose.
2. Elle possède une seule grande vacuole servant à entreposer des substances et permettant la
croissance de la cellule en y emmagasinant l’eau par un phénomène d’osmose.
3. Elle possède des chloroplastes qui contiennent la chlorophylle, un pigment à l’origine de la
couleur verte des végétaux et qui participe au processus de photosynthèse.
Les constituants de la cellule végétale
La cellule végétale
Constituants Description et r
Le noyau communique avec le reste de la cellule par l’enveloppe nucléaire qui perme
Il dirige et contrôle toutes les activités qui se produisent dans la cellule.
Noyau
Il dirige la division cellulaire.
Il contient les chromosomes, qui sont porteurs des gènes. Les chromosomes sont faits
Le cytoplasme est une substance gélatineuse dans laquelle baignent le noyau et les au
Cytoplasme
Il est impliqué dans les échanges dans la cellule. Les substances peuvent voyager entr
Vacuole La vacuole est un sac situé dans le cytoplasme servant à entreposer des substances.
Constituants Description et r
Mitochondrie C’est dans les mitochondries que se produit la respiration cellulaire. Elles convertissen
Les chloroplastes sont de petites bulles vertes situées dans le cytoplasme. Leur couleu
Chloroplaste
Ils absorbent la lumière du Soleil pour faire la photosynthèse.
Noyau X X
Enveloppe nucléaire X X
Cytoplasme X X
X X
Vacuole
(plusieurs petites) (une grande)
Mitochondrie X X
Chloroplaste X
Membrane cellulaire X X
Constituant Cellule animale Cellule végétale
Paroi cellulosique X
En savoir plus
Le nucléole se situe au centre du noyau des cellules animales et végétales. C’est à cet endroit
que s’effectue la transcription de l’ADN en ARN lors de la division cellulaire.
Le réticulum endoplasmique
Les ribosomes sont les organites qui fabriquent les protéines. Ils se situent soit sur le
réticulum endoplasmique rugueux ou sont libres dans le cytoplasme. On les retrouve à la fois
dans les cellules animales et végétales.
Les tissus
Les organes
Les tissus
Un tissu se définit comme un ensemble de cellules spécialisées ayant une structure semblable et
participant à une fonction commune dans l’organisme.
La branche de la biologie qui étudie les tissus vivants se nomme l’histologie.
Pour être considérées comme un tissu, les cellules doivent adhérer les unes aux autres. Cette
adhérence est causée soit par une substance recouvrant les cellules, soit par un entrelacement
de fibres entre les cellules.
En histologie, on classe les tissus selon 4 sous-groupes principaux :
Le tissu épithélial
Les cellules formant le tissu épithélial sont serrées et disposées en couches afin de remplir
leur fonction de barrière permettant ainsi à l’organisme d’être protégé contre les intrusions
de microorganismes, les lésions et les pertes de liquides.
Le tissu conjonctif se trouve partout dans le corps, entre autres dans les tendons, le cartilage
du nez, les os, le sang et les muscles.
Les fonctions principales du tissu conjonctif sont généralement le soutien et la liaison des
autres tissus de l’organisme.
Le tissu conjonctif a aussi pour fonctions la protection, le soutien et l'union des tissus entre
eux. Il permet aussi le transport de la nourriture nécessaire au fonctionnement de l’organisme.
Tissu conjonctif d’un os
Choksawatdikorn, Shutterstock.com
Les tissus osseux (les os) soutiennent l’organisme et les tissus adipeux (les cellules
graisseuses) emmagasinent des nutriments pour nourrir les tissus musculaires.
Le tissu musculaire
Le tissu musculaire est fait de cellules allongées qui ont la capacité de se contracter. Ce type
de tissu se trouve dans le cœur, la vessie et les muscles comme le biceps.
Le tissu nerveux est composé d'un réseau de cellules appelées neurones. Ce tissu forme le
cerveau, la moelle épinière et les nerfs.
Le tissu nerveux a pour fonctions de recevoir les stimulus extérieurs, de les analyser et de
transmettre une réponse. Autrement dit, ce sont les neurones du tissu nerveux qui
produisent et conduisent les influx nerveux.
Tissu nerveux
Digital Photo, Shutterstock.com
Les neurones possèdent des extensions qui leur permettent de communiquer entre eux. Les
dendrites acheminent l'influx nerveux au corps cellulaire du neurone. L’influx nerveux
continue son chemin en passant par les axones vers les terminaisons axonales. Il est ensuite
transmis vers d’autres régions de l’organisme afin d’y provoquer une réponse.
Un neurone
Les organes
L'estomac est un organe. Il renferme plusieurs types de tissus qui remplissent chacun une
fonction spécifique :
Les organes
La bouche
Le pharynx
L’œsophage
L’estomac
L’intestin grêle
Le gros intestin
Le tube digestif
Le tube digestif est un long tube musculeux dans lequel cheminent les aliments ingérés.
Important!
Le rôle du tube digestif est de décomposer les aliments, d’absorber les nutriments et d’évacuer
les déchets.
Les organes qui composent le tube digestif sont identifiés dans l’image suivante.
La bouche
Le pharynx
L’œsophage
L’estomac
L’intestin grêle
Le gros intestin
La bouche
Description Fonctions
La bouche
Le pharynx
Description Fonctions
Description Fonctions
L’œsophage
L’estomac
Description Fonctions
L’estomac
L’élasticité de sa paroi lui permet de contenir jusqu’à 4 L de nourriture alors que son volume
n’est que de 50 mL lorsqu’il est complètement vide.
L’intestin grêle
Description Fonctions
Absorption des nutriments
Digestion chimique
L’intestin grêle, aussi appelé petit intestin, est un long
Digestion mécanique
tube musculeux d’environ 2,5 à 4 cm de diamètre. Il est
(Segmentation)
situé entre l’estomac et le gros intestin. Il s’agit du plus
Propulsion des aliments vers
long organe du système digestif.
le gros intestin
par péristaltisme
L’intestin grêle
Le tissu épithélial qui recouvre sa paroi interne forme de fines protubérances allongées
ressemblant à des poils. Il s’agit des villosités intestinales.
Chaque cellule recouvrant la surface des villosités intestinales est également recouverte de
microscopiques protubérances qu’on appelle des microvillosités.
Quelle est la longueur de l’intestin grêle?
Le gros intestin
Description Fonctions
Le gros intestin
Attention!
Les termes côlon et gros intestin ne sont pas synonymes. En effet, le côlon n’est qu’une
section du gros intestin.
Les sections du gros intestin
Qu’est-ce qu’une appendicite?
'
Les glandes digestives
Les glandes digestives sont des glandes dont les sécrétions contribuent à la dégradation des
aliments.
En savoir plus
Les glandes salivaires
Description Fonction
Description Fonction
Description Fonction
Description Fonction
Description Fonction
À voir aussi
Les processus digestifs sont tous les traitements subis par les aliments lors de leur passage
dans le tube digestif.
Les processus digestifs permettent de faire entrer les aliments dans l’organisme, de les faire
cheminer dans le tube digestif et de les transformer en nutriments assimilables par
l'organisme. Ils permettent également d’absorber les nutriments et d’évacuer les résidus non
digestibles.
Les principaux processus digestifs sont les suivants.
L’ingestion
La propulsion
La digestion mécanique
La digestion chimique
L’absorption
La défécation
Les organes du tube digestif sont le lieu d’un ou plusieurs processus digestifs. L’image et le
tableau qui suivent associent les organes du tube digestif aux processus digestifs qui s’y
déroulent.
Les aliments ingérés subissent plusieurs transformations tout au long de leur progression dans
le tube digestif. Ainsi, les propriétés physiques et chimiques du mélange contenu dans le tube
digestif varient considérablement d’un organe à l’autre.
En fonction de l'organe dans lequel il se trouve, le contenu du tube digestif est identifié par
différents termes. Le tableau suivant présente les noms donnés au contenu du tube digestif en
fonction de sa composition et des organes dans lequel il se trouve.
Matières fécales
résidus alimentaires non absorbés + mucus gros in
(Fèces)
L’ingestion
L’ingestion est l’introduction de la nourriture dans le tube digestif. Les aliments sont ingérés
par la bouche.
Les organes de la bouche
La propulsion
La mastication
Le brassage
La segmentation
L’émulsification des graisses
La mastication
Lors de la mastication, les joues et les lèvres fermées maintiennent les aliments entre les dents
pendant que la langue mélange la salive aux aliments mâchés.
Une fois bien mélangée à la salive, la nourriture est compactée par la langue et forme ce
qu’on appelle le bol alimentaire.
Le brassage
Le brassage, ou pétrissage, est la contraction cyclique des parois de l’estomac, ce qui a pour
effet de presser son contenu et de le mélanger au suc gastrique. Une fois bien réduit et
mélangé au suc gastrique, le contenu forme une sorte de bouillie appelée le chyme.
Le brassage
La segmentation
Attention!
Contrairement au péristaltisme, la segmentation ne provoque pas de progression significative
des aliments dans le tube digestif.
L’émulsification des graisses par la bile
Puisque les lipides sont des gras, ils ne sont pas solubles dans le chyle, qui est principalement
composé d’eau. Cette insolubilité des lipides dans l’eau nuit à leur dégradation en nutriments.
Une fois l’émulsification des graisses effectuée, il devient plus facile de dégrader les lipides
sous forme de nutriments.
Attention!
L’émulsification des graisses n’est pas un processus de digestion chimique. Contrairement
aux sucs digestifs, la bile ne contient pas d’enzymes digestives capables de décomposer les
lipides en nutriments assimilables par l’organisme. Les sels biliaires que contient la bile
permettent seulement de réduire la taille des amas de lipides et de les mélanger aux sucs
digestifs, ce qui correspond à un processus de digestion mécanique.
'
La digestion chimique
L’image ci-dessous présente les principales molécules complexes qui composent les aliments,
ainsi que les nutriments rendus accessibles par la digestion chimique.
La décomposition de molécules complexes en nutriments
La digestion chimique est possible grâce à l’action des enzymes digestives présentes dans les
sucs digestifs.
Les sucs digestifs sont des sécrétions de glandes digestives contenant des enzymes digestives.
Les enzymes digestives sont des protéines capables d’accélérer la dégradation de certaines
molécules complexes.
Tout au long du parcours des aliments dans le tube digestif, des sucs digestifs sont produits
par certaines glandes digestives et ajoutés au contenu du tube digestif.
Le tableau suivant présente les sucs digestifs, les glandes digestives qui les sécrètent, leur lieu
de déversement ainsi que leurs principaux rôles dans la digestion chimique des aliments.
Glandes Lieu de
Sucs digestifs Rôles
digestives déversement
Glandes
La salive Bouche Décomposition de certains glucides
salivaires
Glandes
Le suc gastrique Estomac Décomposition des protéines
gastriques
La salive
La salive est sécrétée par les glandes salivaires dans la bouche. Elle contient, entre autres, une
enzyme appelée amylase salivaire.
Le suc gastrique est sécrété par les glandes gastriques, situées dans la paroi interne de
l’estomac.
Le suc pancréatique est sécrété par le pancréas et est déversé dans la partie supérieure de
l’intestin grêle, le duodénum.
Le suc pancréatique contient diverses enzymes digestives lui permettant de décomposer tous
les types de constituants alimentaires.
Le pancréas
Le suc intestinal
Le suc intestinal contient une faible quantité d’enzymes digestives lui permettant de terminer
la digestion chimique des protéines et des glucides.
L’absorption
L’absorption consiste au passage des nutriments présents dans le tube digestif vers le sang ou
la lymphe.
L’eau, les vitamines et les minéraux sont des nutriments suffisamment petits pour être
absorbés sans avoir à subir de transformations. D’autres nutriments comme les acides aminés,
le glucose, le glycérol et les acides gras sont rendus accessibles grâce à la digestion
mécanique et à la digestion chimique des aliments ingérés.
La majorité des nutriments sont absorbés par l’intestin grêle. Des replis, appelés villosités,
tapissent la paroi interne de l’intestin grêle. La surface des cellules recouvrant les villosités est
également recouverte de microscopiques replis, appelés microvillosités. Cette configuration
favorise l’absorption des nutriments alors qu’elle augmente considérablement la surface de
contact entre le contenu de l’intestin grêle et sa paroi. Les nutriments traversent alors la paroi
pour rejoindre les capillaires et les vaisseaux lymphatiques.
'
Description Fonctions
Les fosses nasales sont deux cavités bien Réchauffer l’air grâce aux vaisseaux sanguins
vascularisées, tapissées d’une muqueuse épaisse, Filtrer l’air grâce aux poils et cellules ciliées
de cellules ciliées et de poils. Humidifier l’air grâce à la muqueuse
Bien qu’il soit possible de respirer par la bouche, les fosses nasales restent la structure la
mieux adaptée pour accueillir l’air dans l’organisme.
Attention!
Il ne faut pas confondre les cellules ciliées avec les poils de nez. Les poils sont à l’entrée des
narines et ils sont bien visibles à l’œil nu. Les cils des cellules ciliées, eux, sont
microscopiques.
Des poils de nez à l’entrée des narines
monte_a, Shutterstock.com
Des bactéries (en vert) emprisonnées par les cellules ciliées des fosses nasales (en rouge)
Kateryna Kon, Shutterstock.com
En savoir plus
L’air inspiré par l’organisme contient de fines poussières, des particules de pollution et
certains allergènes comme le pollen. Plusieurs structures du système respiratoire sont
tapissées d’une membrane muqueuse composée de cellules ciliées et de cellules productrices
de mucus.
Les cellules ciliées, ou cils vibratiles, permettent le mouvement du mucus dans les voies
respiratoires et permettent d’emprisonner les particules. Par exemple, les cellules ciliées de
la trachée propulsent le mucus vers le haut pour qu’il soit avalé ou toussé. Les cellules ciliées
se raréfient des fosses nasales aux bronchioles et elles sont absentes des alvéoles.
Le pharynx
Description Fonction
Le pharynx contient également les amygdales, une structure du système lymphatique. Leur
rôle est de produire des anticorps afin de prévenir et de guérir les infections.
Le larynx
Description Fonction
Le larynx contient une structure cartilagineuse appelée épiglotte. Son rôle est d’empêcher la
nourriture d’atteindre la trachée.
Le larynx contient également les cordes vocales. Leur rôle est de produire les sons de la voix.
La trachée
Description Fonction
La trachée est un conduit flexible comprenant des Assurer le passage de l’air entre le larynx et
anneaux de cartilage rigides et des cellules ciliées. les bronches
Les cellules ciliées de la trachée déplacent le mucus et ses particules indésirables vers le haut.
De cette façon, le mucus peut être toussé ou avalé.
Les poumons
Description Fonctions
Le poumon gauche est plus petit que le poumon droit pour laisser plus d’espace au cœur dont
la pointe est légèrement vers la gauche.
Pourquoi les poissons n’ont-ils pas de poumons?
Les bronches
Description Fonction
Les anneaux de cartilage permettent de maintenir l’ouverture des bronches et évitent qu’elles
ne s’affaissent sur elles-mêmes, ce qui empêcherait le passage de l’air.
Les bronchioles
Description Fonction
Description Fonction
Les alvéoles sont regroupées en sacs alvéolaires. Elles sont recouvertes de capillaires
sanguins.
Exercices
Astuce
Lors de l’INspiration, l’air se déplace vers l’INtérieur du corps.
Lors de l’EXpiration, l’air se déplace vers l’EXtérieur du corps.
Plusieurs structures et muscles sont impliqués dans les mouvements respiratoires. Ils sont
identifiés dans l’image qui suit.
La cage thoracique comprend le sternum, les côtes et les vertèbres thoraciques. Ensemble, ils
forment une cavité semi-rigide dans laquelle se trouvent les poumons. Les muscles
intercostaux et le diaphragme contrôlent le volume de la cage thoracique. Le cartilage qui lie
les côtes au sternum est flexible. C’est entre autres ce qui permet à la cage thoracique de
modifier sa forme lors des mouvements respiratoires.
Les os de la cage thoracique, les muscles intercostaux, le diaphragme, les poumons et la
plèvre sont décrits dans le tableau suivant.
Structure D
Plèvre Double membrane qui recouvre les poumons, les maintient en place dans
Ensemble, ces structures font varier le volume de la cage thoracique et la pression dans les
poumons, ce qui permet les mouvements de l’air lors de l’inspiration et l’expiration.
La mécanique de l’inspiration et de l’expiration
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Les échanges gazeux pulmonaires
respiration
échanges gazeux
dioxygène
dioxyde de carbone
respiration cellulaire
alvéoles
poumons
hémoglobine
globule rouge
capillaire sanguin
Les échanges gazeux entre l’air et le sang permettent d’accomplir la fonction principale
du système respiratoire qui est d’approvisionner l’organisme en dioxygène (O2)(O2) et
d’en expulser le dioxyde de carbone (CO2).(CO2).
Les structures ci-dessous sont impliquées dans les échanges gazeux pulmonaires.
Les structures du système respiratoire qui sont impliquées dans les échanges gazeux
pulmonaires
Le tableau suivant décrit les différentes structures impliquées dans les échanges gazeux
pulmonaires.
Structure Descri
Poumons Les poumons sont deux organes spongieux et élastiques. On y retrouve les bronchioles
Structure Descri
Bronchioles Les bronchioles sont des petits conduits qui assurent le pass
Alvéoles Les alvéoles sont des petites bulles aux extrémités des bronchioles dont la paroi est min
Dans l’air, les particules de gaz respiratoires sont dissoutes. En revanche, dans le sang, les
particules de gaz respiratoires sont en partie dissoutes et en partie fixées à l’hémoglobine,
une protéine présente dans les globules rouges.
Les gaz respiratoires sont le dioxygène (O2),(O2), un intrant de la respiration cellulaire,
et le dioxyde de carbone (CO2),(CO2), un extrant de la respiration cellulaire.
La diffusion est un processus de transport passif où les particules d’un soluté ont tendance à
se déplacer d’un milieu où sa concentration est plus élevée vers un milieu où sa concentration
est plus faible afin que la concentration des deux milieux soit à l’équilibre.
Les gaz respiratoires ont la capacité de traverser la mince paroi des alvéoles et des capillaires
sanguins. Cela rend possibles les échanges gazeux pulmonaires par diffusion. Les gaz
respiratoires passent de l’air des alvéoles au sang des capillaires sanguins et vice versa en
fonction de leur concentration.
Les images suivantes représentent la diffusion du dioxygène (O2)(O2) et du dioxyde de
carbone (CO2)(CO2) à travers une membrane perméable. Cette membrane pourrait
correspondre à la paroi des alvéoles ou à celle des capillaires sanguins.
Concentrations déséquilibrées
le rythme des entrées et des sorties d’air des alvéoles (inspiration et expiration);
l’apport de sang aux capillaires sanguins.
Le schéma suivant décrit les échanges gazeux entre l’air d’une alvéole et le sang d’un
capillaire sanguin.
Il se produit d’autres échanges gazeux dans le corps. Ceux-ci se déroulent entre les cellules
des tissus et le sang. On parle alors d’échanges gazeux systémiques.
À la suite des échanges gazeux pulmonaires, les globules rouges chargés de dioxygène (O2)
(O2) alimentent les tissus du corps en passant par la circulation sanguine. Par exemple, les
artérioles à proximité du biceps du bras acheminent du sang jusqu’aux capillaires sanguins.
En raison d’une variation de la concentration, le (O2)(O2) diffuse vers les cellules
musculaires. Dans le même ordre d’idée, le dioxyde de carbone (CO2)(CO2) produit par
les cellules musculaires diffuse vers les capillaires sanguins.
Les principales structures du système circulatoire sont identifiées dans l’image suivante.
Le sang
Le cœur
Les vaisseaux sanguins
Les artères et les artérioles
Les capillaires sanguins
Les veines et les veinules
Important!
Les rôles du système circulatoire sont les suivants.
Le cœur, ses cavités et ses vaisseaux sont identifiés, puis décrits dans l’image et le tableau qui
suivent.
Remarque : Puisque le cœur est vu de face, le côté droit et le côté gauche sont inversés sur
l’image.
Les parties du cœur
Description
Le cœur est un organe musculaire creux qui agit comme une double pompe séparée verticalement par une cl
du cœur rappelle celle d’un triangle et sa pointe, appelée apex, est dirigée légèrement vers la gauche et vers
Les oreillettes, aussi appelées atriums, sont les deux cavités supérieures du cœur. On distingue l’oreillette d
gauche.
La paroi des oreillettes est faite de tissu musculaire cardiaque beaucoup plus mince que celui de la paroi des
Les ventricules sont les deux cavités inférieures du cœur. On distingue le ventricule droit et le ventricule ga
Le tissu musculaire épais de leur paroi permet aux ventricules de se contracter avec beaucoup de puissance l
sang. De plus, la paroi du ventricule gauche est plus épaisse que celle du ventricule droit.
Description
Les vaisseaux coronaires sont des petits vaisseaux sanguins sur la surface externe du cœur.
Description
Elles se déversent toutes les deux dans l’oreillette droite et elles font partie de la circulation systémique.
Les veines pulmonaires sont des veines. Il y a deux veines pulmonaires droites (provenant du poumon droit
pulmonaires gauches (provenant du poumon gauche).
Les quatre veines pulmonaires se déversent dans l’oreillette gauche et elles font partie de la circulation pulm
Le tronc pulmonaire est une artère. Il se divise en deux artères plus petites appelées artères pulmonaires, a
des deux poumons. Le tronc pulmonaire fait partie de la circulation pulmonaire.
L’aorte est une artère. À sa sortie du ventricule gauche, l’aorte passe par-dessus le tronc pulmonaire, puis se
artères plus petites. Certaines d’entre elles dirigent le sang vers les bras et la tête alors que d’autres dirigent l
les jambes. L’aorte fait partie de la circulation systémique.
La dissection d'un coeur de porc
Les vaisseaux sanguins
L’ensemble des vaisseaux sanguins forme un circuit à sens unique où le sang est propulsé par
les contractions du cœur. Les artères, les artérioles, les capillaires sanguins, les veines et les
veinules sont les différents types de vaisseaux sanguins. Leur structure (diamètre de la
lumière, épaisseur, élasticité, etc.) et leurs tissus sont adaptés à leur fonction dans le système
circulatoire.
Les vaisseaux sanguins sont les conduits qui transportent le sang.
La lumière d’un vaisseau sanguin est l’espace libre à l’intérieur de ce vaisseau. C’est là où le
sang circule.
Les artères sont les vaisseaux sanguins qui dirigent le sang du cœur vers les organes.
Attention!
Sur un schéma, les artères sont souvent représentées en rouge. En réalité, elles sont incolores
ou légèrement jaunâtres.
Description
Une artère est un vaisseau sanguin dont la paroi est plus épaisse et plus élastique que celle d’une veine.
Dans la circulation systémique, le sang transporté par les artères est riche en dioxygène (O2).(O2). Par ex
c’est le cas de l’aorte.
Dans la circulation pulmonaire, le sang transporté par les artères est riche en dioxyde de carbone (CO2).(C
exemple, c’est le cas du tronc pulmonaire.
Une artériole est un petit vaisseau sanguin qui part d’une artère et se ramifie en plusieurs capillaires sanguin
En savoir plus
Les artères subissent une pression sanguine plus élevée que les veines en raison de la
propulsion du sang par les ventricules du cœur.
La paroi d’une artère comprend un agencement de couches de tissu épithélial, de tissu
conjonctif, de tissu musculaire lisse ainsi que des fibres élastiques.
Le diamètre de la lumière d’une artère varie selon sa proximité avec le cœur. Une artère près
du cœur a généralement une lumière plus large.
Les capillaires sanguins
Description
Les capillaires sanguins sont de très petits vaisseaux qui relient les artérioles aux veinules. Leur paroi est tr
La lumière d’un capillaire sanguin a tout juste l’espace nécessaire pour permettre le passage d’un globule ro
circuler l’un derrière l’autre.
Les veines et les veinules
Les veines sont les vaisseaux sanguins qui dirigent le sang des organes vers le cœur.
Attention!
Sur un schéma, les veines sont souvent colorées en bleu pour différencier facilement les
veines des artères. Ceci n’a rien à voir avec la couleur du sang. En effet, le sang des veines
n’est pas bleu, il est généralement rouge foncé. Ce rouge foncé est dû à une faible
concentration en dioxygène (O2)(O2). De plus, le sang des veines pulmonaires est rouge
clair en raison d’une forte concentration en O2O2.
De quelle couleur sont réellement les veines?
Description
Une veinule est un petit vaisseau sanguin qui regroupe plusieurs capillaires sanguins avant de rejoindre une
Les veines sont des vaisseaux sanguins dont la paroi est plus mince et moins élastique que celle des artères.
veines possèdent des valvules. Elles empêchent les reflux de sang.
Dans la circulation systémique, le sang transporté par les veines est pauvre en dioxygène (O2).(O2). Par e
des veines caves supérieure et inférieure.
Dans la circulation pulmonaire, le sang transporté par les veines est riche en O2.O2. Par exemple, c’est le
pulmonaires.
Une valvule est un petit repli de tissu à l’intérieur d’une veine. Elle permet la circulation du
sang dans un seul sens et empêche les reflux de sang.
Le reflux de sang est le mouvement du sang qui tend à redescendre dans une veine au lieu de
se diriger vers le cœur. La faible pression sanguine et la gravité ont tendance à causer du
reflux sanguin, principalement dans les veines des membres inférieures (jambes).
En savoir plus
La pression sanguine dans les veines est beaucoup plus faible que dans les artères.
La paroi d’une veine est un agencement de couches de tissu épithélial, de tissu conjonctif et
de tissu musculaire lisse et un peu de fibres élastiques.
Le diamètre de la lumière d’une veine varie selon sa proximité avec le cœur. Une veine près
du cœur a généralement une lumière plus large.
Exercices
L’image suivante montre une vue d’ensemble des circulations pulmonaire et systémique.
Les circulations pulmonaire et systémique
La circulation pulmonaire
Le plasma
Le groupe sanguin d’une personne est déterminé par la présence ou l’absence d’antigènes à la
surface de ses globules rouges. Ces petites protéines se nomment agglutinogènes.
Un antigène est une protéine qui peut déclencher une réaction immunitaire lorsqu’elle est introduite
dans un organisme où elle est étrangère.
Les agglutinogènes sont des antigènes qu’on retrouve sur les globules rouges.
Attention!
Il ne faut pas confondre antigène, agglutinogène, anticorps et agglutinine.
Les principaux agglutinogènes sont les agglutinogènes A, les agglutinogènes B et les
agglutinogènes rhésus (Rh), aussi appelés le facteur rhésus.
Pour représenter ces petites protéines, on utilise généralement des formes. Dans cette fiche,
les agglutinogènes A sont représentés par des triangles rouges, les agglutinogènes B sont
représentés par des cercles bleus et les agglutinogènes Rh sont représentés par des rectangles
noirs.
Les agglutinogènes de chaque groupe sanguin
Quels sont les agglutinogènes présents sur les globules rouges d’une personne dont le sang est
du groupe A+?
Voir la solution
À partir de la légende suivante, comment peut-on représenter un globule rouge du groupe
sanguin B-?
Voir la solution
'
La compatibilité sanguine
Attention!
Il ne faut pas confondre anticorps, agglutinine, antigène et agglutinogène.
Les principales agglutinines sont les agglutinines A (Anti-A), les agglutinines B (Anti-B) et
les agglutinines rhésus (Anti-Rh). Chaque type d’agglutinine réagit à un type
d’agglutinogène correspondant.
Puisqu’il n’y a pas d’agglutinogènes B sur ses globules rouges, le plasma de cette personne
contient des agglutinines B. Celles-ci provoqueraient l’agglutination des globules rouges
portant des agglutinogènes B.
Quelles sont les agglutinines présentes dans le plasma d’une personne du groupe sanguin O+?
Voir la solution
L’image suivante montre les agglutinines dans le plasma pour chaque groupe sanguin.
Un globule rouge de chaque groupe sanguin et les agglutinines de son plasma
Lors d’une transfusion de sang, des globules rouges du donneur sont introduits dans le corps
du receveur. La réaction immunitaire provoquée par la transfusion de produits sanguins
incompatibles peut être grave.
La réaction immunitaire à une incompatibilité sanguine
Important!
Afin qu’il n’y ait pas de réaction immunitaire de la part du receveur, il faut s’assurer que les
globules rouges du donneur n’ont pas les agglutinogènes correspondant aux agglutinines du
receveur.
Un donneur du groupe A- a des agglutinogènes A sur ses globules rouges et un receveur du
groupe A+ n’a pas d’agglutinines A dans son plasma. Il a seulement des agglutinines B.
Le tableau suivant montre les possibilités de compatibilité entre les groupes sanguins.
La compatibilité sanguine
Remarques :
Les agglutinines A et les agglutinines B sont des anticorps naturels. Par exemple, un bébé
dont le groupe sanguin est A développera des agglutinines B dans son plasma sanguin dès les
premiers mois de sa vie. De la même manière, un bébé dont le groupe sanguin est B
développera des agglutinines A dans son plasma.
Par contre, les agglutinines Rh ne sont pas nécessairement présentes dans le plasma sanguin
d’une personne de rhésus négatif. Les agglutinines Rh sont des anticorps acquis. C’est à la
suite d’un évènement comme une transfusion de sang incompatible (sang Rh+) ou une
grossesse (fœtus dont le sang est Rh+) qu’un individu de rhésus négatif peut produire des
agglutinines Rh.
'
Vidéo
https://biofaculte.blogspot.com/2015/03/microscopes-optique-photonique-electronique.html
https://biofaculte.blogspot.com/2017/05/organisation-generale-de-la-cellule.html
Certains êtres vivants sont constitués d’une seule cellule : ce sont les unicellulaires.
Toutes leurs fonctions sont assurées dans cette unique cellule.
Certains unicellulaires possèdent dans leur cytoplasme des structures qui assurent
une fonction précise : ce sont les organites. Il existe, entre autres :
le noyau qui renferme l’ADN,
les mitochondries,
les chloroplastes qui sont spécifiques aux cellules végétales
chlorophylliennes.
Les êtres vivants dont les cellules possèdent des organites sont
dits Eucaryotes. Ceux qui n’en possèdent pas sont des Procaryotes : l’ADN est libre
dans leur cytoplasme (ex. : bactéries).
1) De l’organisme à la cellule :
Un organisme pluricellulaire animal ou végétal est constitué de
plusieurs organes, parfois regroupés en systèmes. Ils permettent le fonctionnement
de tout l’organisme. Les organes sont eux-mêmes composés de tissus,
assemblages de cellules spécialisées. Elles contiennent des organites qui
assurent les différentes fonctions dont la synthèse de molécules.
Ex. 1 : Animal : l’Humain, le système cutané, la peau, l’épiderme,
les mélanocytes, le mélanosome, la mélanine.
Ex. 2 : Végétal : le Hêtre, le système vasculaire, la feuille, le parenchyme
palissadique, la cellule chlorophyllienne, le chloroplaste, la chlorophylle.
2) Des cellules organisées en tissus :
a) Les tissus :
Au sein de chaque organe, on retrouve différents tissus. C’est un ensemble
de cellules partageant la même forme et la même fonction.
Ex. 2 : La feuille est un organe qui assure les fonctions de protection, de nutrition et
d’échanges gazeux. Elle est constituée de plusieurs tissus dont le parenchyme
chlorophyllien qui permet la photosynthèse.
b) La matrice extracellulaire :
Correction de l’exercice sur la matrice extracellulaire.
Dans un tissu, les cellules spécialisées adhèrent entre elles grâce à la
présence d’une matrice extracellulaire.
La matrice extracellulaire de la peau est composée de fibres de collagène. Ces
fibres, synthétisées par les fibroblastes, cellules du derme, lui assurent
son élasticité, sa souplesse et sa résistance. En effet, elles permettent
la cohésion entre les cellules du derme, ainsi que leur protection et
leur communication.
Chez les végétaux, la matrice extracellulaire est rigide et épaisse. Elle
est appelée paroi pecto-cellulosique. En plus de la cohésion cellulaire, elle permet
une protection contre la déshydratation, ainsi que la rigidité de la plante, jouant le
rôle de squelette.
3) Des cellules spécialisées :
A4 Le végétal vert : un ensemble de cellules spécialisées
Objectif : On cherche à comprendre comment l’agencement des cellules dans un
tissu lui permettent d’assurer sa fonction.
Chez les êtres vivants pluricellulaires, toutes les cellules ne sont pas identiques :
elles diffèrent par leur forme, les organites qu’elles renferment, les molécules qu’elles
possèdent ou qu’elles produisent. On dit que les cellules sont spécialisées. Cette
spécialisation est à mettre en relation avec leur fonction.
Les cellules spécialisées des organismes pluricellulaires sont limitées par
une membrane plasmique et sont remplies de cytoplasme. Une cellule contient des
organites qui lui permettent de réaliser une fonction précise. Chez toutes les cellules
on trouve :
un noyau qui renferme l’information génétique,
des mitochondries où a lieu la respiration.
Les cellules végétales chlorophylliennes contiennent en plus :
une paroi (squelette externe),
des chloroplastes où se déroule la photosynthèse,
une ou plusieurs vacuoles (réserves d’eau).
4) Le rôle des organites :
A5 Le rôle des organites
Objectif : On cherche à comprendre comment l’agencement des cellules dans un
tissu lui permettent d’assurer sa fonction.
Un organite peut assurer une fonction grâce aux molécules qu’il contient.
Ex.1 : L’épiderme a un rôle de protection contre les UV. Il peut le faire grâce à des
cellules spécialisées dans la production d’un pigment, les mélanocytes. Celles-ci
contiennent des organites, les mélanosomes, qui synthétisent de la mélanine.
Celle-ci colore la peau, la protégeant contre les rayons UV.
Ex. 2 : Le parenchyme chlorophyllien a un rôle de nutrition. Il peut le faire grâce à
des cellules spécialisées dans la production de matière organique,
les cellules chlorophylliennes. Celles-ci contiennent des organites,
les chloroplastes, capables de réaliser la photosynthèse. La molécule permettant
cette réaction chimique est la chlorophylle
En savoir plus : https://leblogdelaprofdesvt.webnode.fr/news/chapitre-1-les-niveaux-d-organisation-
des-etres-vivants/
Biologie
Parlons sciences
26 janvier 2023
Province/Territoire
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Les feuilles
Ce qu’on croit être de grosses fleurs rouges sont en fait des structures
spécialisées appelées bractées. Ce sont des feuilles spécialisées dont le
rôle est d’attirer les pollinisateurs comme les abeilles et les oiseaux.
Les fleurs sont les petites structures jaunes au centre des bractées.
Plusieurs fleurs sont attrayantes pour les animaux, comme les oiseaux et
les abeilles, qui transportent le pollen (qui contient les cellules
reproductrices mâles) d’une fleur à l’autre. Ces animaux sont
appelés pollinisateurs parce qu’ils aident à distribuer le pollen.
Les tiges
Les humains utilisent les tiges des plantes à de nombreuses fins. Nous
extrayons le sucre des tiges de canne à sucre et fabriquons du sirop
d’érable à partir de la sève (sucre et eau) qu’on trouve dans
les troncs (le nom qu’on donne aux tiges des arbres) des érables.
Although roots are generally below ground, they still need oxygen.
Generally, this small quantity of oxygen is found naturally between the
grains of soil. However, if the soil becomes filled with water, the oxygen
is forced out. If the roots cannot get enough oxygen, the plants will start
to produce roots above ground.
Même si les racines sont habituellement sous le sol, elles ont besoin
d’oxygène pour rester en vie. En général, elles trouvent le peu d’oxygène
dont elles ont besoin entre les grains de sol, mais si le sol est saturé
(rempli d’eau), l’oxygène est chassé hors de la terre. Si elles ne trouvent
pas d’oxygène sous le sol, les plantes commenceront à produire des
racines au-dessus du sol. Les racines peuvent être minces et ressembler
à des cheveux (racines fibreuses) [A], courtes et épaisses (racines
pivotantes) [B], ou entre les deux (p. ex., racines d’ancrage) [C].
Racines fibreuses d'un plant de tomates (A), racines pivotantes des
plantes carottes (B) racines d'ancrage d'un arbre figuier (C) (Sources :
(A) Rasbak at Dutch Wikipedia [CC BY-SA] via Wikimedia Commons ; (B)
Joe Larson / SDA Natural Resources Conservation Service [domaine
public] via Wikimedia Commons ; (C) Patti Neumann [CC BY-SA]
via Wikimedia Commons ).
NTRODUCTION
Le monde végétal regroupe
plus de 380 000 espèces, dont
plus des deux tiers sont des
plantes
vertes. Les plantes sont des
autotrophes (du grec autos : de
soi-même et trophê :
nourriture)
capables de fabriquer des
glucides grâce à l'énergie
solaire, au CO2 de
l'atmosphère (ou de l'eau)
et à l'eau puisée dans le milieu.
Résultat de plus de 3
milliards d’années
d’évolution, les plantes
présentent des modes de
croissance, de reproduction et
distributions d’une surprenante
diversité.
Des milieux terrestres aux
océans, des déserts aux régions
polaires en passant par les
forêts,
chaque milieu possède une
flore particulière, adaptée
aux conditions climatiques,
environnementales et aux
reliefs. Alors que, dans les
régions humides, les plantes
emmagasinent de l’air dans
leurs tissus, celles des milieux
arides se gorgent d’eau pour
résister
aux périodes de sécheresse.
À l’échelle du globe, les
végétaux composent une
formidable mosaïque. Une
mosaïque fragile,
constamment menacée par les
activités humaines. Afin de
vivre en harmonie avec les
plantes,
les protéger tout en tirant profit
de leurs bienfaits, il est
primordial de comprendre les
plantes,
les relations qui existe entre les
différentes plantes et les
relations qui existe entre les
plantes et
leurs environnement biotique
et abiotique.
I. BIOCENOSE ET BIOME
1.LES BIOCENOSES
Le terme Biocénose a été
inventé par le zoologiste Karl
Mobius (1877). La définition
originale
de la biocénose : C’est est un
groupement d'êtres vivants liés
par une dépendance réciproque
qui se maintiennent et se
reproduisant dans certains
endroits d'une façon
permanente.
A la partie végétale d'une
biocénose, on applique le
terme spécifique de
phytocénose. En
considère la biocénose comme
étant un ensemble de
communautés ou d'êtres
vivants de toutes
espèces, végétales et animales,
coexistant dans un espace
défini appelé biotope.
1.1.TYPES DE BIOCENOSES
En allant de la plus petite à la
plus étendue dans biocénoses,
on distingue :
A- Les Synusies
Il s'agit de fragments de
biocénoses ; un groupement
formé par les éléments d'une
seule strate
de végétation.
B- Les associations
Ce sont des groupements
d'espèces (ou communautés)
plus ou moins localisés et
définissables
avec précision. Ils constituent
les biocénoses proprement
dites. C'est le cas, par exemple,
d'une
palmeraie ou d'un champ qui
constitue une association avec
sa faune et sa flore.
C- Les biomes
Correspond à la biocénose
propre à des macro écosystème
Comment se nourrit une
plante ?
La plante, pour se développer, a besoin d’eau, de lumière, d’oxygène, de
carbone et d’éléments minéraux. Elle trouve tous ces éléments nutritifs dans
son environnement.
Les matières fertilisantes que sont les engrais, les amendements et les biostimulants
permettent d’assurer, de compléter et de favoriser la nutrition des végétaux et
d’améliorer les propriétés et la vie du sol.
L’apport de fertilisants permet de nourrir les plantes et de reconstituer les réserves du sol
lorsqu’on y fait des récoltes.
Fertilisant minéral ou organique ?