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STATIQUE APPLIQUEE
0.1. Définition
- Une interrogation
- Un travail pratique
- Un travail dirigé
- Un examen
0.8. Historique
des poutres.
élastique.
1888).
1958
PREMIER CHAPITRE
STRUCTURES ISOSTATIQUES DANS LE PLAN
I .1. DEFINITIONS
Structure
Mur
Structure
Mur
- la composante verticale
- la composante horizontale
- l’élément de rotation (le moment)
De présentation.
A 𝑀𝐴
𝐴
𝑅𝐴𝑥
𝑅𝐴𝑦
𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒
Structure
Représentation
Structure
Structure Structure
𝑜𝑢 𝑜𝑢
𝑅𝐴𝑋 A 𝑅𝐴𝑋 A
ou
𝑠𝑡𝑟𝑢𝑐𝑡𝑢𝑟𝑒
Représentation.
A A
RA
𝑅𝐴𝑦
𝐹
𝑅
Résumé :
Articulation La rotation
Encastrement Aucun
DEUXIEME CHAPITRE
RESULTANTE DES CHARGES REPARTIES
Nous avons vu que les charges réparties sont des charges qui
agissent sur une surface ou sur une ligne (si une dimension est petite).
𝑥0
𝑥 𝑃
𝑑𝑝
𝑝(𝑥)
𝑂 𝑥
𝑎 𝑏
𝑑𝑥
P= dp
b
= p.dx
a
b b b
x0 .P x.dp p.x.dx x. pdx
a a a
x0 = a
x. pdx
p
x0 =
x. pdx
a
b
pdx.
a
P= pdx p.x
l l
car p est constant
0 0
P p.l
∫0 2
0 0
∫0
l
l l p p x² p l2
D’où p= p' dx .xdx
l
.
l
2 l 2
0 0
0
p.l
P
2
3
∫
3
D’où
0
3
TROISIEME CHAPITRE
DIFFERENT TYPES DE STRUCTURES ISOSTATIQUES ET
CALCUL DE LEURS REACTIONS D’APPUI
∑ ∑
Exemple
𝑝 1 𝑁 𝑚 𝑃1 = 4
3 °
𝐴 𝐵
3𝑚 𝑚 3𝑚
3 ° 3 1
3 °
𝑃
𝑃1𝑦
𝐴 𝑃1𝑥 𝐵
𝑅𝐴𝑥
𝑅𝐴𝑦
1 𝑚 3 𝑚 3𝑚 𝑅𝐵𝑦
3 1
1 3
1 1
31
Exemple 1 :
𝑀 𝐴 𝐵
𝑙
𝑅𝐴𝑦 𝑅𝐵
Exemple 2: 50N D
2m
A B
4m 6m
Résolution
𝑀
𝑃
A B
𝑅𝐴 1 𝑚 𝑅𝐵
D’où :
1
1
1
∑ 1
A B
Exemple :
𝑃 𝑁
𝐴 𝐶 𝐵
°
1 𝑚 1 𝑚
𝑄 𝑁
𝑃𝑦
𝑀𝐴
𝐴
𝑅𝐴𝑥 𝐶 𝐵 𝑄𝑥
𝑅𝐴𝑦 𝑄𝑦
1 1 1
1 1 1
∑ 1 1 1
1 1 1
∑ 1 3
1 31 1 1 1 3
1 3
Exemple :
(1)
( )
na=nr-3
-Ces rotules sont placées (disposés) de telle sorte que chaque élément soit
stable. En effet, une travée courante (intermédiaire) ne doit pas avoir plus de
deux articulations tandis qu’une travée de rive n’aura qu’au plus une rotule
pour une travée appuyée et deux pour une travée encastrée. Pour la
détermination des réactions d’appui, on décompose la structure en
structures simples isostatiques on détermine d’abord les réactions d’appui
des poutres entre les articulations intermédiaires (poutre suspendues) et l’on
applique ensuite les opposées de ces réactions comme charges aux
extrémités des poutres consoles reposant sur des appuis. On peut aussi
exploiter le théorème de déplacement virtuel.
𝑃1 𝑃2 𝑃3 𝑃4
𝐴 𝐵 𝐹 𝐺 𝐶 𝐷 𝐻 𝐸
𝑃2 𝑃4
𝐹 𝐺 𝐻
𝐹 𝐺 𝐻 𝑅𝐸
𝑃1 𝐹 𝐺 𝑃3 𝐻
𝐴 𝐵 𝐶 𝐷
𝑅𝐴 𝑅𝐵 𝑅𝐶 𝑅𝐷
Les plus utilisés sont les arcs à trois articulations si on fixe une
structure au plan d’appui par 2 appuis fixes, la structure est indéterminée
parce qu’il y a 4 composants de réactions inconnues. Alors la structure est
hyperstatique.
I II
- Méthode graphique.
𝑅𝐵
𝑃
𝐼𝐼
𝐼
𝑅𝐴
𝐴 𝐵
𝑅𝐵
𝑅𝐴
Ceci nous donne déjà les lignes d’action des réactions d’appui :
𝐶 𝑅𝐵
𝐼 𝐼𝐼
𝑅𝐴
𝐴 𝐵
𝑅𝐴 𝑅𝐵
𝑅𝐵1
𝑃1
𝑅𝐵2
𝑅𝐴1 𝑃2
𝑃1 𝑅𝐴2
𝑃2
𝐶
A B
𝑅𝐴2
𝑅𝐵1
𝑅𝐴1 𝑅𝐵
𝑅𝐴 𝑅𝐵2
𝑅𝐵1
𝑅𝐴2 𝑅𝐵
𝑅𝐵2
𝑅𝐴
𝑅𝐴1
Elle est générale car elle traite tous les cas de charges vus.
Comme il y a 4 composantes de réactions inconnues, on a besoin de 4
équations indépendantes dont trois équations sont des équations bien
connues :
Mi 0
Xi 0
Yi 0
𝑅𝐴𝑥 𝐴 𝑅𝐵𝑥
𝐵
𝑅𝐴𝑦 𝑅𝐵𝑦
M / B 0(ouM / A 0)
M C /(barreI ) 0 ou M C (barreII ) 0
Yi 0
Xi 0
Les treillis sont des structures formées des barres droites dont
les extrémités sont réunies entre elles par des articulations
dénommées « nœuds ». Il existe des treillis plans et des treillis en espace
parmi les treillis plans, nous nous occuperons des treillis rigides,
indéformables sous l’action de n’importe quelle charge.
Exemple :
Au total on aura :
3 (1)
3 ( )
( ) 3 (3)
(3) (1) 3 ( 3)
D’où :
QUATRIEME CHAPITRE
LES FORCES INTERIEURES ET SOLLICITATIONS DANS LES
STRUCTURES PLANES ISOSTATIQUES
IV.1 Concepts fondamentaux
1 2
𝑅2
𝑅1
Ces forces sont appelées forces intérieures alors que les charges
et les réactions s’appellent forces extérieures. Les forces intérieures sont
réparties sur la surface du plan de coupe : on les appelle des contraintes.
Les règles de répartition de contraintes ne sont définies que dans le cas où
l’on considère la structure comme un corps solide c’est à dire en Résistance
des matériaux. Mais toutes ces forces réparties peuvent être remplacées par
leur résultante. Le plus souvent on a besoin de cette résultante en certains
points du plan coupant par exemple au centre de gravité. Comme elle peut
ne pas passer en ce point on doit alors réduire le système à ce point en
ajoutant un couple de forces. On peut enfin décomposer cette résultante en
deux composantes dont l’une perpendiculaire et l’autre parallèle au plan de
coupe. Pour avoir ainsi trois éléments de réduction(ou sollicitations).
𝑅
𝐼
𝐼
𝐼𝐼
𝑅1 𝐼𝐼
𝐺
𝑅1
𝐼 𝑅
𝐼𝐼 𝐼 𝑅
𝐺 𝑀
𝑅1
𝐼𝐼
𝐺 𝑀
𝑅1
𝑁
IV.1.2 Sollicitations
On a quatre sollicitations :
- L’effort normal
- L’effort tranchant
- Le moment flechissant et
- Le moment de torsion
*l’effort normal N
*L’effort tranchant.
𝐹 𝐹
Les forces sont transmises par le nœud aux barres et ces mêmes
forces sont transmises au nœud par ses barres (loi de l’action et de la
relation). Les forces agissant aux barres résultent des forces intérieures dans
les barres. Ces forces intérieures sont perpendiculaires au plan de la section
c’est-à-dire elles sont des efforts normaux. Elles créent soit la traction soit la
compression. Leurs grandeurs sont égales aux grandeurs des forces agissant
sur les extrémités de barres.
𝐹
𝐹 1 2
𝐹 𝑁
1 Par Ass Ir MAPENDO KABYABU Feja
37
STATIQUE APPLIQUEE
Un nœud d’un treillis est chargé d’une part par des forces
intérieures agissant sur lui et d’autre part par des forces transmises par des
barres.
𝑏
𝑎
𝐹2 𝑐
𝐹1
𝐹3 𝑑 𝑋
𝑌 Par Ass Ir MAPENDO KABYABU Feja
𝐹3
𝐹1
𝑒
38
STATIQUE APPLIQUEE
- Quand la barre est tendue, elle tire sur le nœud ; on placera la flèche
en évoquant l’écartement du nœud. (Exemple : barre b.).
- Quand une barre est comprimée, elle pousse sur le nœud ; on placera
donc la flèche en évoquant le rapprochement du nœud. (Exemple :
barre a). Nous aurons donc autour du nœud : 2 s’écarte du nœud, 3
𝑏
𝑎
a. Nœud V
𝑁𝑎
𝑁𝑎
𝑁𝑎
𝐹
𝐹
𝑁𝑏
𝐹
𝑁𝑎
𝑁𝑏
b. Nœud T
𝐹 𝑏
𝑎
𝑐
𝑁𝑎
𝑁𝑐
𝐹 𝑏
𝐹 𝑁𝑏
𝑎
𝑐
En ce cas la force intérieure dans cette barre (tige) est égale à l’opposée de la
force extérieure tandis que dans les deux barres, les forces intérieures sont
des mêmes grandeurs mais de sens opposés.
N.B : Si le nœud n’est pas chargé (F=0), la force intérieure dans la tige est
nulle.
C. Le nœud X
𝑁1 𝑁4
𝑁2 𝑁3
a. Méthode graphique
b. Méthode analytique
1 2 3 1
𝑃2
P1 𝑃3
𝐶
1𝑚
𝐵 𝐷
13
1𝑚
1 1
𝐴 3 11 1 𝐸
𝐺 𝐹
𝑚 𝑚 𝑚 𝑚
𝑅𝐵
𝑅𝐴
Résolution
Nœud A
𝑁1 1𝑚
𝑁3 1𝑚
𝑅𝐴
𝑚 𝛼
𝑚
√ 2 12 √
2 2√5 1 √5
,
√5 5 √5 5
2√5 √5
1 1 , 1 1 √5
2
3 3 , 3
√
∑ 1 3
√
∑ 1
√ √
1 3 1 3
√ √
{ 1 1 { 1 3
3 3 ( )
;1500 5
1 √5
De (2) } 1 33 ( )
33
Nœud B
4 1 4 1 ( )
2 1 2 33 ( )
𝑃1
𝑁2
𝑁1
𝑁4
Nœud H
√
3 3 5 5
3{ | 5
3 √
{ 5 5
4 4
|
3{ 6 6
4 6{
6
√
∑ 3 5 6
√
∑ 4 5
√
3 5 6 (1)
√
1 5 ( ) 5 1 1
{ 5 1 1 ( )
√2
5 dans (1) 6 3 ( 1 1 )
2
6 1 ( )
𝑁4
𝑁5
𝑚
𝛽
𝑁3 𝛽 𝑁6 𝑚
Β= 45 °
Nœud G
𝑁7
𝑁6 𝑁11
11 6 11 1
a) Exposé de la méthode
Dans les équations ne figureront que les forces extérieures agissant d’un
côté (gauche ou droite) de la section et les forces intérieures agissant dans
les barres coupées (forces inconnues).
b) Avantages
- Elle permet de calculer une inconnue d’une seule équation dans le cas
où les équations de projections de la méthode de nœuds ont plusieurs
inconnues.
- Elle est très convenable pour l’analyse des treillis aux membrures
parallèles. Membrures
Montants
C) Exemple
𝑃2
𝑃3
𝑃1 𝐶
1𝑚
𝐵 𝐷
13
1𝑚
1 1
𝐴 3 11 1 𝐸
𝐺 𝐹
𝑚 𝑚 𝑚 𝑚
𝑅𝐵
𝑅𝐴
𝑁1
𝐴
𝑁3
𝑅𝐴
∑ 1 3 3 1
3 3 (1)
3
∑ 1 1
√ √ √
n
1
1 33 (1)
√
𝐷
𝑃1
1𝑚
𝑁2
𝑁5
1𝑚
𝐻 𝐺
𝑁6
𝑡
𝛽
𝑅𝐴
𝑚 𝑚
1 6 1
6 3 1 ( )
∑ 1 5 5
n n °
√
√ 5 1 1 ( )
√
3
∑ ( ) 1 2 2
√
2 33 ( )
a a-a
Dans les barres de treillis, nous avons vu que tous les efforts
intérieurs étaient du même type : ″ l’effort normal″. Les barres étaient donc
soit tendues, soit comprimées. Il n’en est pas le cas pour les structures à
âme pleine : On a en général les trois sortes d’efforts : l’effort normal, l’effort
tranchant et le moment fléchissant. Dans les barres de treillis, chargées
uniquement au nœud, les efforts sont constants le long des barres et sont
exprimés par des chiffres ou nombres. Mais dans les structures à âme
pleine, les efforts intérieurs (M-N-T) varient d’une section droite à l’autre en
fonction de l’abscisse de la section, ils sont en général exprimés par des
fonctions mathématiques. La représentation graphique de chacune de ces
fonctions le long de la poutre s’appelle « diagramme ».
Ainsi, on a le :
IV.3.2 Procédure
N N
⊖
N
⊕
a) Charge concentrée
Poutre encastrée
𝑄1 𝑄2 𝑄3
𝐻𝐴
1 2 3 1
∑ 1 2 3
1 2 3
1
1
1
Pour une poutre encastrée, on commence toujours à l’extrémité
libre : . Entre B et E : N=0. Au point E : 3 1 .
Entre E et D :
N=-10N 1 . En D : 1 1 .
Entre D et C : N=10N 1
Au point C : =10+5=15N
Entre C et A : N=15N
C 𝑄1 D 𝑄2 𝑄3 E B
A
1
+ + 1
- 1
𝑄1 𝑄
𝐷 𝐶
𝐴 𝐵
1 , 2 1
De droite à gauche
Entre C-B : 1
Entre B-A : 1
1 3
De gauche à droite
Entre D-A :
3 1
Entre A et C : 1
𝑄1 𝑄
𝐷 𝐶
𝐴 𝐵
Poutre encastrée
q(N m)
𝐵 𝐴
l
Par Ass Ir MAPENDO KABYABU Feja
57
STATIQUE APPLIQUEE
q(N/a)
A B
+ +
𝐴 𝐵 𝐶
𝑙1 𝑙2
En A, N=0
Entre A et B : avec à 1
( 2)
𝐴 𝐵 𝐶
𝑙1 𝑙2
𝑁𝐵𝑔
⊕+
⊝
-
𝑁𝐵𝑑
+
+
𝑇
𝑇
a) Charge concentrée
Poutre encastrée
𝑃
(1) 𝐵 𝐴
𝐵
Par Ass Ir MAPENDO KABYABU Feja
𝑥 𝑇
60
STATIQUE APPLIQUEE
𝑃1 𝑃2 𝑃3
𝐴
𝐴
-
𝑃1 -
-
𝑃1 𝑃2
𝑃1 𝑃2 𝑃3
T=P
Entre 2 et 3, on a :
𝑃1 𝑃2
( 1 2)
Pour une section située entre 3 et l’encastrement
( 1 2 3)
D’où on procède comme suit :
Entre B et C : 1
En C : 1 2
1 2
1 2
1 2 3
1 2 3
𝑅𝐴
-
𝑅𝐵
et
𝑅𝐴
𝐶
𝐴
𝑇
𝑅𝐴
D’où ce processus, pour tracer le diagramme :
Entre A et C :
Entre C et B :
Poutre encastrée
𝐴
𝐵
- -
Par Ass Ir MAPENDO KABYABU Feja
63
STATIQUE APPLIQUEE
𝑥
𝑇
𝐵
𝐴
𝑝𝑙 𝑥
+
𝑝𝑙
+
𝑥
𝑇
𝑅𝐴
∑
( )
Or (2 )
2
En B : 2
b) Force concentrée
Poutre encastrée
1er cas
𝐴
𝐵
𝑃𝑙
𝑃
𝑀
𝑥 𝑇
2ième cas
𝑙1
𝑙2
1 2
1 2 2( 2 1)
1 avec x=0 à 1. En 1 1 1
1 ( 1 ) 2 avec x=0 à 2
1 1 1 2
( 1 2)
[ 1 2]
1 1 ( 1 2) 2
1( 1 2) 2 2
𝑃1 𝑃2
𝐴
𝐵
𝑙1
𝑙2
𝐴𝑐 ⊝
⨁+ -
𝐴 𝐶 𝐵
𝑎 𝑏
𝑃𝑎𝑏
𝑙
C et B
:(; : )
( ) avec x=0 à b
( )
( )
𝐹1 𝐹2
𝐴 𝐷 𝐵
𝑅𝐴 𝑅𝐵
𝑎 𝑏 𝑐
𝑀𝐵
𝑀𝐷
( ) 1 ( 1)
𝑞(𝑁 𝑚)
𝑥
𝑙
𝑃𝑙²
𝑥
𝑇
²
En B, M=0, en A, 2
²
∑
²
( )
( ) ( )
Mx
RA
²
∑
8
( )
( )
( ) ( )
maximum.
P=p(x).dx
M
M+dM
T+dT
dx
( )
∑ ( ) ( )
2 2
M+ 2 2 2
- 2
D’où
²
( )
²
Ces trois équations différentielles permettent de calculer les
diagrammes des efforts intérieurs par intégration, en déterminant les
constantes par les conditions mécaniques avec limites.
Conclusion :
- La fonction de l’effort tranchant est une fonction dérivée de la fonction
du moment fléchissant.
( )
²
( )
²
𝐴 𝐶
𝐵
𝑎 𝑏
𝑙
𝑅𝐴
𝑅𝐵
𝑃𝑎𝑏
𝑙
Entre A et C
( )
( ) ∫ ( )
( < )
Entre C et B
( )
( )
( ) avec x=a à l
D’où ( ) ( )
( )
( ) ( )
( 1)
En C,
En B, x=b ( )
𝐴 𝐵
𝑙
𝑝
+
𝑙 + 𝑙
𝑝
⊕
+ ⊕
+
𝑙²
𝑝
( ) avec à
2
( )
est décroissant
( )
()
²
( ) avec à
2 2
( )
Etude de signe
²
2 8
-x 0 l2 l
T(x) + 0 -
𝑙²
𝑝
Mx
)
0 0
𝑝𝑙
𝑝𝑙²
Effort tranchant
D’où
²
( )
( )
( )
Moment fléchissant
3
( ) ∫ ( )
𝑅𝐴 𝑅𝐵
𝑅𝐴
𝑅𝐵
𝑝𝑙 3
√3
Effort tranchant
2
( ) ( )
( ) ( )
( ) ( ) ( )
√3
√3 3
Moment fléchissant
3 2
( ) ( )
( )
𝑀𝐴 𝑀𝐵
1er cas
𝑅𝐴
𝑅𝐵
𝑙
𝑀𝐵
𝑀𝐴
En B,
2ième cas
𝐴 𝐵
𝐶
𝑅𝐴 𝑅𝐵
𝑎
𝑇𝐴 𝑇𝐵
𝑀𝑎
𝑙
𝑀𝑏
𝑙
( )
𝐴
𝐵 𝐶
𝑎 𝑏
𝑅𝐴
𝑅𝐵
𝑜𝑢
Moment en B.
2
IV.3.6.1 Méthode
- Assembler tous les diagrammes de même type sur une même ligne de
référence.
IV.3.6.2 Exemple
IV.3.7.1 Généralités
IV.3.7.2 Méthode
IV.3.7.3 Exemple
𝑞 1 𝑡 𝑚
𝐷
𝐶
𝑚
𝐵
𝐴
𝑚
∑ ∑
Efforts normaux 𝑁𝐴
- Barre AC 𝑁𝐶
𝑅𝐴𝑦 𝐴 𝐶
- Barre CD
𝑁𝐶 𝑄 𝑅𝐴𝑥
𝑄 𝐶 𝐷
𝑅𝐴𝑥
- Barre DB
𝐷
𝐵 𝑅𝐵
Efforts tranchants
- Barre AC
𝑞 𝑇𝐴 𝑅𝐴𝑥 𝑡
𝑇𝑥 𝑞𝑥 1 𝑥
C
A 4
𝑇𝐶 1
𝑅𝐴𝑥
- Barre CD
𝑇𝐶 𝑅𝐴𝑦 𝑡
𝐶
𝐷
𝑅𝐴𝑦 𝑇𝐷 𝑅𝐵 𝑡
𝑅𝐵
- Barre DB
𝐷 𝑇𝐶 𝑇𝐵
𝐵
Moment fléchissant
- Barre AC :
Entre A et C : 2
2
1
1
- Barre CD
1
Entre CD : M=12-2x
1
- Barre DB :
CINQUIEME CHAPITRE
THEOREME DES DEPLACEMENTS VIRTUELS
Il concerne les modes rigides.
V.1. Travail
𝛼
𝐴
𝑑𝑝
Pour un moment : ( )
𝛿𝑝
𝐹3 𝐹𝑛
∑ ∑ ∑
∑ ∑ ∑ .
Donc . Alors le travail virtuel total est nul sur une particule en
équilibre. Ceci est aussi vrai pour un solide en équilibre. D’où le théorème
des déplacements virtuels : « Si un solide est en équilibre, le travail virtuel
est nul pour tout déplacement rigide ». Il s’agit de la somme algébrique des
travaux de toutes les forces et moments.
A C B
b
𝑙
Réaction :
Appliquons en B de telle façon que l’extrémité B se déplace
verticalement d’une quantité c’est-à-dire dans la direction de . Il y a
formation d’un angle et le point C subit un déplacement vertical .
𝑃
𝐶 𝐵
𝛿𝑦𝑐 𝛿𝑦𝐵
𝐴 𝛿𝜑 𝐵
𝐶
𝑎
𝑅𝐵
𝑙
𝛼 𝛿𝑥𝐵
𝛿𝑥𝑐
𝐵
𝛿𝑦 𝐶
𝐹
𝐵 𝐶
D’où
V.4.3 Détermination des efforts de réduction dans les barres de
treillis
L’application du théorème des déplacements virtuels au calcul de
l’effort normal dans une barre de treillis demande d’abord de couper cette
barre et d’extériorisation sur les deux lèvres de la couple l’effort normal qui y
nait (paire de forces).
Exemple : Calculer l’effort normal dans la barre a
(a)
𝑐 𝑃 𝑃
𝑁𝑎
𝑁𝑎 (b)
𝐴 𝑃 𝑃
𝛿𝛼
(𝑐)
𝐴 𝑐 𝛿𝛼 𝐶𝛿𝛼
𝛿𝛼
5
D’où :
SIXIEME CHAPITRE
CHARGES MOBILES ET LIGNES D’INFLUENCE.
VI.1. Généralités
-Charge fixes.
Une structure soumise à des charges fixes peut mettre en évidence deux
sortes de problèmes :
2) Sans tenir compte de l’économie et réaliser une pièce de section constante sur
toute la longueur. Le moment, l’effort tranchant et l’effort normal orientent le choix
de la section, grâce à leurs diagrammes.
-Charge mobile.
VI.2.1. Définition
Soit une poutre quelconque AB parcourue par une telle force d’abscisse x
variable ainsi qu’un effet déterminé produit par cette force pour la section
fixe d’abscisse , on appelle ligne d’influence de cet effet, la courbe telle que
son ordonnée lue sous diverses positions de la charge donne la valeur de
l’effet considéré.
𝐶
𝐴 𝐵
- Au point A
La charge P se déplace de A vers B, lorsqu’elle atteint la
section d’abscisse x sur AB, la réaction d’appui RA aura comme valeur
( ; )
. Si dans cette relation de la réaction d’appui, nous posons P=1,
;
cette relation devient . Cette équation s’appelle coefficient d’influence
𝑃
𝑥
𝐴 𝐵
1 𝐶
𝐴 𝐵
𝐶
1 2 3
1 1 2 2 3 3 4 4 1 2 3
Donc :
𝑥2
𝑥1 𝑃 (𝑁 𝑚)
𝐵
𝐴
𝐵
𝐴
𝑃
𝑥 ℓ 𝑥
𝐴 𝐵
𝛼 ℓ 𝛼
( )
(; )
qui est l’équation de la réaction d’appui en A. En
;
posant P=l, on a le coefficient d’influence
𝑥 ℓ 𝑥
𝐴
𝐶
1 𝐷
𝐴 𝐵
𝐶 𝐷
1
2° à droite de la charge :
d’appui B :
En posant P=1,
𝑃1 𝑃2 𝑃3 𝑃4
𝛼 𝑙 𝛼
1
𝑦3
𝑦4
𝑦1 𝑦2
1
1 1 1 2 3 3 4 4
𝑥 ℓ 𝑥
𝑆 𝐶
𝐴 𝐵
𝛼 ℓ 𝛼
(; ) ;
Le coefficient d’influence est
Pour x=0, y= ,
( ) ( ) ( )
Pour x =0,y=0,
Pour x =ℓ, ℓ
𝑥 ℓ x
ℓ
ℓ 𝛼
𝐴 𝐶 𝐵
0.1. Définition........................................................................................................................i