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Graduat de Polytechnique
0. INTRODUCTION
0.1. Définition
Le cours de méthodes graphiques est une discipline qui résoud les
problèmes de Mécanique Générale et de Résistance des Matériaux par
l’utilisation des processus graphiques.
- La mécanique rationnelle
- La statique appliquée
- Une interrogation
- Un travail pratique
- Un travail dirigé
- Un examen écrit
Du point de vue physique, la force est toute cause qui modifie ou qui
essaye de modifier l’état de repos ou de mouvement d’un corps ou
capable de produire une déformation.
Du point de vue statique appliquée, la force est une cause de
modification du mouvement et non la cause de mouvement.
Elle exprime l’action qu’exerce un cops sur un autre (et réciproquement)
Support
Sens
F Point d’application
Grandeur,
intensité
I.1.3. Echelle
a) notion d’échelle
On entend par échelle, le segment rectiligne qui représente l’unité
d’une grandeur concrète.
𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒𝑢𝑟 𝑟𝑒𝑝𝑟é𝑠𝑒𝑛𝑡𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒
𝐸𝑐𝑒𝑙𝑙𝑒 𝐸 =
𝐺𝑟𝑎𝑛𝑑𝑒𝑢𝑟 𝑟𝑒𝑝𝑟é𝑠𝑒𝑛𝑡é𝑒
𝑅𝑒𝑝𝑁
𝐴 𝐵
𝐷
𝐶
𝑅𝑒𝑝𝑋 𝑅𝑒𝑝𝑁′
𝑂 1 𝑁
𝑅𝑒𝑝𝑋 N
𝑅é𝑝 𝐹 = 18𝑚𝑚
b) Représentation d’une force à une échelle donnée
Soit représenter une force de 1500N à une échelle de 0,4cm pour 100N
Solution
- On peut procéder par la règle de trois pour 100N on dessine 0,4cm.
0,4
Pour 1N on dessine 𝑐𝑚
100
0,4
- Pour 1500N on dessinera 𝑐𝑚 × 1500, 𝑠𝑜𝑖𝑡 6𝑐𝑚
100
I.1.5. Erreurs
𝑅 C 𝐹1
A 𝑅 C
A
𝐹2
D 𝐹2
𝐷
Ce principe est devenu la règle de l’addition de deux vecteurs, il s’applique
aussi aux moments. Il s’exprime donc par l’équation (addition vectorielles)
𝐹 𝐹
𝑇
𝑇
𝑅1−2
𝐹1
𝐹2
𝑅1−2−3
𝐹3
𝑓2
𝐵 𝐶
𝐹1
𝑓2 𝑓3
𝐹2
𝑟
𝑝 𝑅 𝑟 𝐴 𝐷
𝐹3
Dynamique
Plan de situation
Exercice
Déterminer la résultante
𝑦
𝐹1 = 5𝑁 𝐹2 = 10𝑁
45°
60°
30° 𝑥
𝐹3 = 15𝑁
𝐹
−𝐹
𝐹1
𝑀
µ 𝐹2
Ce qui vient d’être fait, fait l’objet du plan de situation. Dans le dynamique, il
fait porter bout à bout les vecteurs 𝑓1 et 𝑓2 qui déterminent la représentative 𝑟
de la résultante𝑅 . Dans le plan de situation, on trace, par le point M, la
parallèle à 𝑟, qui constitue le support de la résultante 𝑅
𝐹1 𝐹3
𝐹2 𝐴
𝑑𝑒𝑝𝑎𝑟𝑡 𝐺 𝑓1
𝐸 2′ 3′ 1
𝐵 2 0
𝑓2 3
4′
1′
𝑀 𝐶 4
𝑅 𝑓3
𝐷
𝑟
b.2. Remarques
- en conservant le pôle o, si on avait choisit d’autres points de départ E, E’,
E’’,… sur le support de 𝐹1 , on aurait obtenu les points de passage M, M’, M’’…
alignés sur le support de la résultante.
Si on avait choisi d’autres pôles o,o’o’’… on aurait obtenu les points de passage
N, N’,N’’,… alignés sur le support de la résultante.
b.3. emploi du polygone funiculaire
Le polygone funiculaire permet de déterminer :
- La résultante
- Le moment fléchissant
- Le centre de gravité
- Le moment d’inertie
Par le Chef de Travaux MAPENDO KABYABU Feja, Ingénieur BTP Page 10
Cours des Méthodes Graphiques destiné aux étudiants de Première année de
Graduat de Polytechnique
Pour le cas des forces parallèles, le polygone de forces dégénère à une ligne
a. Forces de même sens
𝐹1 𝐹2
𝑓1 1
𝑓𝑖 2
2’ 3’
𝑓2 3 0
𝑟=
1’ 4’ 4
𝑓3
𝑀
𝑅 𝑟
b. forces des sens opposés
Il faut prendre garde de la numérotation des rayons polaires dans le
plan de forces. Pour éviter les erreurs, il est conseillé de tracer les arcs orientés
indiquant la succession des vecteur- forces
𝐹1 𝐹2 𝐹3 𝐹4
𝑓1 1
4’
3’ 4
𝑓𝑖
2’
2 0
5’ 𝑓4 5
1’
𝑟=
𝑀 𝑓2 𝑓3 3
𝑀
𝑅
Par le Chef de Travaux MAPENDO KABYABU Feja, Ingénieur BTP Page 11
Cours des Méthodes Graphiques destiné aux étudiants de Première année de
Graduat de Polytechnique
P 𝑓1
𝑓
𝐶
𝑑1 𝐹
𝑑2
𝑓2
𝐵
𝑑
Soit à déterminer le moment d’une force 𝐹 par rapport à un point A qui lui est
distant de d
- Dans le plan de situation, on trace le support de la force 𝐹 et on
positionne la point A.
- Dans le dynamique, on trace la représentative 𝑓 de 𝐹 et on adopte un
pole o à une distance h de 𝑓 puis on trace les rayons polaires a et b.
- Dans le plan de situation, à partir d’un point B pris sur le support de𝐹 ,
on trace les parallèles a’ à a et b’ à b.
𝑓 o
𝐹
b
X
𝑀𝐴 (𝐹)
h
B
Exemple
Si Ech F=0,01mm/N, EchL=10mm/m et h=20mm, on a :
0,01.10
𝐸𝑐 𝑀 = 𝑚𝑚/𝑚𝑁 = 0,005𝑚𝑚/𝑚𝑁
20
Si on a trouvé 𝑋𝑌 = 32𝑚𝑚, 𝑎𝑙𝑜𝑟𝑠 𝑅𝑒𝑝𝑀 = 32𝑚𝑚
𝑅𝑒𝑝𝑀 32𝑚𝑚
𝐷’𝑜ù𝑀 = = 0,05𝑚𝑚 = 6400𝑚𝑁
𝐸𝑐𝑀
𝑚𝑁
𝐴 𝐴
𝐹1 𝐹3
𝐹2
𝑓1
𝐵 1
𝑑𝑒𝑝𝑎𝑟𝑡 𝑋 2
2′ 3′ 𝑓2 0
3
𝐶 4
4′
1′
𝑓3
𝑀
𝐷
𝑌
𝑅
Etant donné que la résultante est parallèle aux forces, on fait passer par le
point par rapport auquel on calcule le moment, une parallèle aux forces et on
trace le funiculaire comme d’habitude
Les côtés extrêmes du funiculaire délimitent sur cette parallèle un segment XY
qui représente le moment du système.
𝐹1 𝐹2 𝐹3
𝐴
𝑓1
1
𝑋
4′ 2
0
𝑓2 3
3′
2′
4
𝑀𝐴 (𝐹1 ) 𝑓3
1′
𝑌
La résultante est une force lorsque les points initial et final du polygone de
forces sont deux points éloignés l’un de l’autre. On dit que le polygone de forces
est ouvert.
𝑓1
𝑟
𝑓2
𝑓3
𝐹4 𝐴
𝐹1
𝐹3
𝐹2 4′ 5′
𝑓1
3′ 1≡5
2′ 2 𝑓4
0
𝑓2 3
𝐶 4
𝑓3
1′
𝐴
𝑓4
𝑓1
𝑓1
2 1≡5
𝑓4
0
𝑓2 4′
𝑓3 𝑓2 3
𝐶 4
1′ 𝑓3
2′ 3′
5′
𝐹1
𝑓1 𝑓2
P
𝑟1−2
𝐹3 𝐹2
𝑓3
r
𝐴
𝑏
𝑎 𝑅
𝐴
𝐹1 𝐹2 𝐹3
4′
𝑓1
𝐴 𝐿𝐹 1 𝑏′
1′ 𝐵 𝑎
𝐿𝐹′ 2
𝑓2 0
𝑅
2′ 3′ 3
𝑏
4
𝐵
𝑓3
NB : Cette méthode est générale et elle est même appliquée pour le cas où la
résultante coupe la ligne d’action donnée b dans notre dessin. Comme
application, considérons l’exemple ci-haut en utilisant cette méthode.
Cette méthode nous permettra de déterminer les réactions d’appui
d’une poutre simple posée sur deux appuis.
Elles se coupent
à l’infini
R R
c
a
b
Système à déséquilibre
Problèmes insolubles
R
c
a b
a b c
b) Méthode
Elle a été établie par CULMANN. Elle ne traite que le cas pour lequel
la résultante des forces connues est une force.
Procédé :
- Rechercher la résultante de forces connues
- Déterminer la ligne d’action d’une force auxiliaire 𝑆 appelée
« véhicule »
Cette force 𝑆 est portée par une ligne déterminée par l’intersection
de la résultante avec une de ces trois supports et de l’intersection des deux
autres supports c’est ainsi par exemple que si on considère que la force 𝑆 est le
véhicule des forces 𝐵 et 𝐶 des supports respectifs b et c, on prendra le point
d’intersection de b et c et celui de a et r avec r le support de la résultante, pour
constituer le support s de 𝑆.
- Equilibrer la résultante 𝑅 à l’aide des forces 𝐴 et 𝑆, puis décomposer 𝑆 en
deux forces 𝐵 et 𝐶 . On a ainsi les grandeurs et les sens de toutes les
forces inconnues 𝐴, 𝐵 et 𝐶 .
𝑅
𝑎 𝐶
𝑆
𝑅
𝑏
𝐵
𝑐 𝑠
II.1.2. Trapèze :
𝑏 B
𝑥 N
M 𝑦
𝑏
𝐵
tracer la médiane XY
porter la petite base à la suite de la grande
porte la grande base à la suite de la petite mais en sens contraire
joindre MN
L’intersection MN et XY donne G.
Deuxième façon
Tracer la médiane XY
Diviser l’un de côtés non parallèle en trois parties égales 1-2,2-3,3-4
-joindre 5-2et 6-3 qui se coupent en P.
- par P tracer une parallèle aux bases qui coupe la médiane en G.
X
1
5
G P
6
4
𝑋
II.1.4. Remarques
g
S1 G
S2 S3
S4 S6 S8 S9 S1
S5
2’ S7 S 2
x S2 1
9’ 3
S3
3’ 4
8’
4’
S4
5
1’
5’ 7’
6’
S5 6 0
7
S6
10’
b
8
y
S7
9
y S8 10
S9 h
Théorème
EchL : en cm/cm
EchS : en cm/cm2
H en cm
D’où 𝐼𝑦𝑦 en cm4
Dans la relation de l’échelle, l’aire Ω à écrire dans la relation est la
surface du funiculaire de votre épure sans tenir compte d’aucune échelle. C’est
la valeur en cm2 qu’on obtiendra en planimètres la surface du polygone
funiculaire.
III.1.REACTIONS D’APPUIS
III.1.1. Les appuis
a) Principe de base
Les forces agissant sur un solide et les réactions constituent un système en
équilibre devant satisfaire a la double condition de statique :
𝐹=0 (1)
∕∕ (𝐹) = 0 (2)
On a vu que cette double condition d’équilibre se traduit en graphostatique
par :
- Le polygone des forces doit être fermé;
- le polygone funiculaire doit être fermé.
-
b) Procédure
Soit un corps isostatique soumis a l’action de trois forces quelconques et
coplanaires F1,F2 et F3 . IL est lie par un appui simple A et un appui fixe B.
F1
F2
K
1
RA F3
f1 RA
// LF
X O
A 2
RB 3’ RB 4
4’
f2 3
1’ LF L
T
2’ B f3
Cas particuliers :
F3
F1 K
F5
f1
A B 1
F2 f2 2
F4
RA
LF
3
1’ f3
2’ 4
6’ X // LF
f4 0
3’
5’
5
4’
RB
f5 6
L
III.2. FORCES INTERIEURES DANS LES BARRES DE TREILLIS
𝐹 −𝐹
Les forces sont transmises par le nœud aux barres et ces mêmes
forces sont transmises au nœud par ses barres (loi de l’action et de la relation).
Les forces agissant aux barres résultent des forces intérieures dans les barres.
Ces forces intérieures sont perpendiculaires au plan de la section c’est-à-dire
elles sont des efforts normaux. Elles créent soit la traction soit la compression.
Leurs grandeurs sont égales aux grandeurs des forces agissant sur les
extrémités de barres.
−𝐹
𝐹
1 2
𝐹 𝑁
1
−𝑁 −𝐹
2
III.2.1 Méthode
𝑏
𝑎
𝐹2 𝑐
𝐹1
𝐹3 𝑑 𝑋
𝑌
𝐹3
𝐹1
𝑒
𝐹2
𝑏
𝑎
𝑐
𝑁𝑎 𝑁𝑎
𝐹
𝑁𝑎
𝑁𝑏
𝐹
𝑁𝑎 𝐹
𝑁𝑏
b. Nœud T
C’est un nœud dans lequel concourent trois barres dont deux ont
une même direction.
𝐹 𝑏
𝑎
𝑐
𝑁𝑎
𝑁𝑐
𝐹 𝑏
𝐹 𝑁𝑏
𝑎
𝑐
4 3
1 2
𝑁1 𝑁4
𝑁2 𝑁3
Exemple :
𝑃2
𝑃1
1𝑚
2 8 𝑃3
𝐵 𝐷
5 7 13
4
1𝑚
1 9
12
𝐴 3 6 11 10 𝐸
𝐻 𝐺 𝐹
𝑅𝐴 2 2 2 2 𝑅𝐵
m m m m
𝐴𝑣𝑒𝑐 𝑃1 = 𝑃2 = 𝑃3 = 1000𝑘𝑔𝑓
𝑏 = 13, 𝑛 = 8 𝑒𝑡 𝑛 = 8
2𝑛 − 3 = 2.8 − 3 = 13
Le treillis est isostatique. Le calcul donne 𝑅𝐴 = 𝑅𝐸 = 1500𝑘𝑔𝑓
Prenons les échelles suivantes : 2𝑐𝑚 pour 1500kg et 1cm pour 1m.
Nœud A
1
𝑅𝐴
3
𝑅𝐴 Nœud B
𝑃1
1
𝐵 𝑃1
𝑁1
4
2
Nœud H
5 6
𝑁4 3
𝑁3 4 5
−3350 −3350
1410
0
1410
−3350
−1000
−1000
−3350
- Comme il arrive que plusieurs forces soient lues sur une même droite, le
repérage par numérotation centrale devient trompeur. Pour éviter toute
confusion, on procède au repérage par bornage.
Tableau
1 C 3350kg
2 C 3350kg
3 T 3000kg
. . .
. . .
𝑃1 = 𝑃2 = 𝑃3 = 1000𝑘𝑔
𝑃2
𝑃3
𝑃1 𝐶
2 8
𝐵 𝐷
7 13
5
1 4 12 9
1
3 6 11 𝑃110 𝑅𝐴
𝐴 𝐸
8.13.12 𝐻 𝐺 𝐹
2.4.5 𝑅𝐵
𝑃4
1
𝑃𝑁 = 𝐹1 × 𝑉
D’où
1
𝑀𝑃 = 𝑅𝐴 𝑈 − 𝐹1 𝑉
Avec
𝑅𝐴 𝑈 − 𝐹1 = 𝑀𝑓 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑠𝑒𝑐𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑋𝑋
u X
F2
F1 v F3
1
A B
RA 2
RB
0
RA
X
B // à LF
3
S
M DIAGRAMME
4
Rep M max
RB
DES M fl
E
A
P D
C tg // à LF h
T
N
Pour trouver le plus grand segment vertical qui donnera le moment fléchissant,
on tracera une tangente au contour parallèlement a la ligne de fermeture
(tg//LF).
L’échelle des moments est :
𝐸𝑐𝐹 × 𝐸𝑐𝐿
𝐸𝑐 𝑀 =
Convention des signes
Conclusion
En résumé :
1. Remplacer les charges reparties par des charges locales
2. Tracer le funiculaire des charges locales : ce sont les tangentes.
3. Tracer les cordes
4. Tracer les arcs successifs (on connait cordes et tangentes).
Moments fléchissant
0. INTRODUCTION ........................................................................................ i
0.1. Définition .......................................................................................... i
0.2. Objectifs du cours.............................................................................. i
0.3. Organisation pratique du cours ......................................................... i
0.4. Conditions de réussite ....................................................................... i
0.5. Pré requis ......................................................................................... ii
0.6. Contenu prévisionnel du cours ......................................................... ii
0.7. Evaluation des étudiants .................................................................. ii
0.8. Eléments de bibliographie ................................................................. ii
CHAPITRE I : STATIQUE DU SOLIDE DANS LE PLAN .................................- 1 -
I.1. FORCES ET ECHELLES DES FORCES..............................................- 1 -
I.1.1. Définition de la force ...................................................................- 1 -
I.1.2. représentation et caractéristiques d’une force ..............................- 1 -
I.1.3. Echelle........................................................................................- 1 -
I.1.4. Echelle de force et représentation d’une force ...............................- 3 -
I.1.5. Erreurs ........................................................................................- 4 -
I.2. PLAN DE SITUATION ET PLAN DE FORCES .......................................- 5 -
I.2.1. Le plan de situation .....................................................................- 5 -
I.2.2. Le plan de forces ou dynamique ...................................................- 5 -
I.3. PRINCIPES (OU AXIOMES) DE BASE DE LA STATIQUE .....................- 5 -
I.3.1. Principe de l’égalité de l’action et de la réaction ............................- 5 -
I.3.2. Principe du parallélogramme (des forces)......................................- 5 -
I.3.3. Principe de l’équilibre ....................................................................... 6
I.3.4. Principe du glissement des forces ..................................................... 6
I.3.5. Principe de transport ....................................................................... 6
I.3.6. Principe de dislocation ou principe de coupe .................................... 6
I.4. COMPOSITION DES FORCES COPLANAIRES......................................... 7
I.4.1. Composition de forces concourantes ................................................ 7
I.4.2. composition des forces quelconques ................................................. 8
I.4.3. Composition des forces parallèles................................................... 11
I.5. DECOMPOSITION DES FORCES .......................................................... 12