12/10/2023 18:34 How the British Invented Globalism - Richard Poe

Comment les Britanniques ont inventé le

mondialismeHow the British Invented
Globalism
Le mondialisme moderne est né dans l’Angleterre victorienne. Le plan était de
fusionner l’Empire britannique et les États-Unis en un seul super-État.Modern
globalism was born in Victorian England. The plan was to merge the British Empire
and the United States into a single superstate.
RICHARD POÉRICHARD POE
27 AVR. 202127 AVR. 2021

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LA PLUPART DES PATRIOTES conviennent que nous luttons contre ce qu’on appelle le
« mondialisme ».

Mais qu'est-ce que c'est?

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C’est avant tout une invention britannique.

Le mondialisme moderne est né dans l’Angleterre victorienne, puis promu par les
socialistes fabiens britanniques.

C’est désormais le système de croyance dominant du monde d’aujourd’hui.

George Orwell l'appelait Ingsoc.

Dans son roman 1984 , Orwell a prédit un avenir dans lequel l'Empire britannique
fusionnerait avec les États-Unis pour former l'Océanie, un superÉtat animé par une
1
idéologie maléfique appelée Ingsoc (une abréviation de Socialisme anglais).

La dystopie d’Orwell reposait sur sa connaissance des véritables projets mondialistes.

« Fédération du monde »
À mesure que la puissance britannique s’étendait au XIXe siècle, la domination mondiale
semblait inévitable.

Les administrateurs impériaux ont élaboré des plans pour un monde uni sous la
domination britannique.

La clé pour que cela fonctionne était d’unir nos forces avec les États-Unis, tout comme
Orwell le décrit dans son roman.

De nombreux anglophiles aux États-Unis étaient plus que désireux d’adhérer à ce projet.

« Nous faisons partie, et une grande partie, de la Grande-Bretagne qui semble si

clairement destinée à dominer cette planète… » s'enthousiasmait le New York Times en 1897,
2
lors des festivités du jubilé de diamant de la reine Victoria.

En 1842, Alfred Tennyson – qui deviendra bientôt le poète officiel de la reine Victoria –
écrivit le poème « Locksley Hall ». Il envisageait un âge d'or de paix, sous une « loi
3
universelle », un « Parlement des hommes » et une « Fédération du monde ».

Les paroles de Tennyson préfiguraient la Société des Nations et l'ONU. Mais Tennyson n’a
pas inventé ces concepts. Il a simplement célébré les projets déjà en cours parmi les élites
britanniques.

Des générations de mondialistes britanniques ont chéri le poème de Tennyson comme s’il
s’agissait d’une Écriture sainte. Winston Churchill l'a salué en 1931 comme « la plus

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merveilleuse de toutes les prophéties modernes ». Il a qualifié la Société des Nations de

4
réalisation de la vision de Tennyson.

L'impérialisme libéral
Un autre dirigeant britannique influencé par le poème de Tennyson était le philosophe
John Ruskin.

Lors de sa première conférence à Oxford en 1870, Ruskin électrisa les étudiants en

déclarant que le destin de la Grande-Bretagne était de « régner ou mourir », c'est-à-dire de
5
gouverner le monde ou d'être gouverné par les autres.

Avec ces mots, Ruskin a donné naissance à une doctrine qui sera bientôt connue sous le
nom d’« impérialisme libéral » : l’idée selon laquelle les pays « libéraux » devraient
6
conquérir les pays barbares afin de propager des valeurs « libérales ».

Un meilleur nom serait « impérialisme socialiste », car la plupart des personnes qui ont
promu ce concept étaient en réalité des socialistes.
7
Ruskin se disait « communiste » avant que Marx ait fini d'écrire Das Kapital .

Selon Ruskin, l'Empire britannique était le véhicule idéal pour propager le socialisme.

Le socialisme de Ruskin était étrangement mêlé d'élitisme. Il vantait la supériorité des

races « du Nord », c'est-à-dire les Normands, les Celtes et les Anglo-Saxons qui ont bâti
l'Angleterre. Il considérait l’aristocratie – et non le peuple – comme l’incarnation de la
8
vertu britannique.
9
Ruskin était également un occultiste et (selon certains biographes) un pédophile. À ces
égards, ses excentricités ressemblaient à celles encore à la mode aujourd’hui dans certains
milieux mondialistes.

La fiducie Rhodes
Les enseignements de Ruskin ont inspiré toute une génération d’hommes d’État
britanniques.

L'un des Ruskinites les plus dévoués était Cecil Rhodes (1853-1902). En tant qu'étudiant de
premier cycle, Rhodes a entendu la conférence inaugurale de Ruskin et en a rédigé une
dix
copie, qu'il a conservée pour le reste de sa vie.

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En tant qu'homme d'État, Rhodes a activement encouragé l'expansion britannique. "Plus

11
nous habitons dans le monde, mieux c'est pour la race humaine", a-t-il déclaré.

Dans son testament, Rhodes a laissé une fortune pour promouvoir « la domination
britannique dans le monde entier » ; la consolidation de tous les pays anglophones en une
seule fédération ; et – selon les mots de Rhodes – « le rétablissement ultime des États-Unis
12
d'Amérique en tant que partie intégrante de l'Empire britannique ».

Tout cela était censé conduire à « la fondation d’une puissance si grande qu’elle rendrait
désormais les guerres impossibles et promouvrait les meilleurs intérêts de l’humanité », a
13
conclu Rhodes dans son testament.

Ainsi, la paix mondiale serait atteinte grâce à l’hégémonie britannique.

Dans les années 1890, la plupart des dirigeants britanniques étaient d’accord avec Rhodes.

La table ronde
Après la mort de Rhodes en 1902, Alfred Milner reprit son mouvement, créant des groupes
secrets de « Table ronde » pour faire la propagande en faveur d'une fédération mondiale de
14
pays anglophones.

Dans chaque pays cible – y compris les États-Unis – les tables rondes ont recruté des
dirigeants locaux pour agir comme des « boucs de Juda ». Une chèvre de Judas est un
animal dressé pour conduire les autres à l'abattoir.

En fait, la Table ronde conduisait les gens à un véritable massacre. Une guerre avec
l’Allemagne était attendue. La Table ronde a demandé à chaque colonie anglophone de
s'engager à envoyer des troupes le moment venu. L'Australie, le Canada, la Nouvelle-
15
Zélande et l'Afrique du Sud ont accepté.

La Première Guerre mondiale a poussé le monde vers le mondialisme, donnant naissance à

la Société des Nations.

C'était intentionnel. Conception britannique.

Des générations d’écoliers ont appris que Woodrow Wilson était le père du mondialisme.
Mais les « idéaux » de Wilson lui ont été nourris à la cuillère par des agents britanniques.

Guerre pour mettre fin à la guerre

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Le 14 août 1914, dix jours seulement après que l'Angleterre eut déclaré la guerre, le
romancier HG Wells écrivit un article intitulé « La guerre qui mettra fin à la guerre ». "
[C]'est désormais une guerre pour la paix..." a-t-il déclaré. "Il vise un règlement qui mettra
16
un terme à ce genre de choses pour toujours."

Wells a publié une version livre de « La guerre qui mettra fin à la guerre » en octobre 1914.
Il a écrit : « Si les libéraux du monde entier... insistent sur une conférence mondiale à la fin
17
de ce conflit... ils pourraient... créer une Ligue de la Paix qui contrôlera le monde. »

Wells n’a pas inventé l’idée d’une « Ligue de la Paix ». Il faisait simplement la promotion de
la politique officielle britannique. Wells était un agent secret du Bureau britannique de
18
propagande de guerre (connu sous le nom de Wellington House).

Agents britanniques à la Maison Blanche

Les dirigeants britanniques ont compris que leur Ligue pour la Paix ne fonctionnerait
jamais sans le soutien des États-Unis. C’est pour cette raison que les renseignements
britanniques ont déployé des efforts particuliers pour pénétrer dans la Maison Blanche
Wilson, ce qui s’est avéré étonnamment facile.

Le conseiller le plus proche de Wilson était le « colonel » Edward House, un Texan ayant de
solides liens familiaux avec l'Angleterre.

Pendant la guerre civile, le père d'origine britannique de House a fait fortune en tant que
coureur de blocus, échangeant du coton contre des munitions britanniques pour armer les
19
troupes rebelles.
20
Le jeune Edward House et ses frères fréquentèrent des internats anglais.

Tout en conseillant le président Wilson, le colonel House a travaillé en étroite

collaboration avec des espions britanniques, notamment Sir William Wiseman, chef de
station américain du Secret Intelligence Service (SIS) britannique. House, Wiseman et
21
Wilson sont devenus des amis intimes, passant même des vacances ensemble.

L'idée d'une « Société des Nations » est venue de Sir Edward Grey, ministre britannique
des Affaires étrangères. Dans une lettre du 22 septembre 1915, Gray demanda au colonel
House si le président pouvait être persuadé de proposer une Société des Nations, car l'idée
22
serait mieux accueillie venant d'un président américain.

Wilson était d'accord.

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Lorsque Wilson assista à la Conférence de paix de Paris en 1919, Wiseman et House

étaient à proximité, guidant chacun de ses mouvements, aux côtés d’un groupe d’autres
responsables britanniques et américains, tous engagés dans l’agenda mondialiste et dont
23
beaucoup étaient directement liés à la Table ronde.

La relation particulière
L'ancien officier du SIS, John Bruce Lockhart, a qualifié plus tard Wiseman de « l'agent
24
d'influence » le plus efficace que les Britanniques aient jamais eu. » L'historien
britannique AJP Taylor a écrit que « lui [Wiseman] et House ont fait de la « relation
25
spéciale » une réalité.

De nombreux historiens estiment que les « relations spéciales » entre les États-Unis et le
Royaume-Uni n’ont commencé qu’après la Seconde Guerre mondiale, avec la création de
l’OTAN et de l’ONU. Cependant, Taylor note à juste titre que les graines de la « relation
spéciale » ont été semées plus tôt, lors de la Conférence de paix de Paris en 1919.

À Paris, les responsables américains et britanniques ont secrètement convenu de

coordonner leurs politiques, afin que les deux pays agissent comme un seul homme. Deux
groupes de réflexion ont été créés pour faciliter cela, Chatham House (Royaume-Uni) et le
26
Council on Foreign Relations (États-Unis).

Au grand désarroi des mondialistes britanniques, le Sénat américain a refusé d’adhérer à la

Société des Nations. Il a fallu une autre guerre mondiale – et les talents de persuasion de
Winston Churchill – pour finalement impliquer les États-Unis dans un gouvernement
mondial, via l’OTAN et l’ONU.

Winston Churchill, père du mondialisme moderne

La vision de Churchill du gouvernement mondial ressemblait étrangement à celle de Cecil
Rhodes et de la Table ronde. Churchill a appelé à une « organisation mondiale » soutenue
par une « relation spéciale » entre les pays anglophones.

Le 16 février 1944, Churchill avertissait qu'« à moins que la Grande-Bretagne et les États-
Unis ne s'associent dans une relation privilégiée... dans le cadre d'une organisation
27
mondiale, une autre guerre destructrice aura lieu ». C’est ainsi que l’ONU fut fondée le
24 octobre 1945.

Mais l’ONU n’a pas suffi. Cecil Rhodes et la Table ronde ont toujours soutenu que le
véritable pouvoir derrière tout gouvernement mondial doit être une union des peuples

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anglophones. Churchill a répété ce plan dans son discours sur le « Rideau de fer » du 5
mars 1946.

Churchill a prévenu que l'ONU ne disposait pas de « force armée internationale » ni de

bombes atomiques. Les États-Unis doivent donc s’associer à la Grande-Bretagne et aux
autres pays anglophones dans le cadre d’une alliance militaire, a soutenu Churchill.
Aucune autre force ne pouvait arrêter les Soviétiques.

"Association Fraternelle des Peuples Anglophones"

Churchill a déclaré que « l'organisation mondiale » était inutile sans « l'association
fraternelle des peuples anglophones. Cela signifie une relation spéciale entre le
28
Commonwealth et l'Empire britanniques et les États-Unis ».

Les paroles de Churchill ont conduit au Traité de l’OTAN de 1949 et à l’accord des « Cinq
Yeux » qui ont regroupé les efforts de renseignement des États-Unis, du Royaume-Uni, du
Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande. Pas à pas, Churchill nous a rapprochés
toujours plus du super-État mondial qu’Orwell appelle l’Océanie.

« Anarchiste conservateur » autoproclamé, Orwell détestait le communisme soviétique. S'il

l'avait souhaité, il aurait pu écrire 1984 comme une sorte d' Aube rouge britannique , avec
une Angleterre gémissant sous l'occupation soviétique. Mais tel n’était pas le message
29
d’Orwell.

Orwell a mis en garde contre un danger plus proche de chez lui. Il a mis en garde contre
les mondialistes britanniques et leur projet d’union des pays anglophones animé par
l’idéologie Ingsoc.

À bien des égards, le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui est celui qu’Orwell avait
prévu.

Richard Poe est un auteur et journaliste à succès du New York Times . Il a co-écrit avec David
Horowitz The Shadow Party : Comment George Soros, Hillary Clinton et les radicaux des
années 60 ont pris le contrôle du Parti démocrate . Poe écrit actuellement une histoire du
mondialisme. Son travail est disponible sur richardpoe.substack.com et RichardPoe.com .

Cet article est basé en partie sur deux fils de discussion Twitter datés du 15 janvier 2021 et du 1er
mars 2021.

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Richard Poe 🇺🇸
@RealRichardPoe

1 sur 40 FIL Pourquoi Nancy Pelosi tente-t-elle d'inciter à

un coup d'État ? En une semaine, elle : 1. a demandé au
général Milley de destituer Trump de son poste de
commandant en chef ; 2. A donné 24 heures au vice-
président Pence pour évincer Trump en vertu du 25e
amendement ; 3. Des articles de mise en accusation ont
été imposés. nytimes.com/2021/01/08/us/…

17h40 ∙ 15 janvier 2021

64 Aime 39 Retweets

Richard Poe 🇺🇸
@RealRichardPoe

1 sur 38 FIL La plupart des patriotes conviennent que nous

luttons contre ce qu'on appelle le « mondialisme ». Mais
qu'est-ce que c'est? Le mondialisme a été inventé dans
l’Angleterre victorienne, puis poussé par les Fabiens
britanniques. C’est désormais le système de croyance
dominant du monde d’aujourd’hui. George Orwell
l'appelait INGSOC.

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16h21 ∙ 1er mars 2021

213 Aime 147 Retweets

NOTES DE BAS DE PAGE

1 George Orwell, 1984 (New York : New American Library/Signet Classics, 1961), pp 152-153, 246

2 New York Times , 24 juin 1897 ; cité dans National Union Gleanings Vol. IX juillet-décembre 1897
(Londres : Union nationale des associations conservatrices et constitutionnelles ; 1897), p42

3 Alfred Tennyson, Locksley Hall (Boston, MA : Ticknor and Fields, 1869), pp 51-53

4 Très bien. L'hon. Winston Churchill, « Cinquante ans plus tard », Maclean’s , 15 novembre 1931,
p. 66-67

5 John Ruskin, Conférences sur l'art dispensées devant l'Université d'Oxford à Hilary Term , 1870 (New
York : Maynard, Merrill, & Co., 1893), pp 36-37.

6 Carroll Quigley, Tragédie et espoir : une histoire du monde à notre époque (New York : The
Macmillan Company, 1966), p 130

7 John Ruskin, Fors Clavigera : Lettres aux ouvriers et ouvriers de Grande-Bretagne, Vol. I (Londres :
George Allen, 1907), p116

8 Ruskin, 1893, p. 35-37 ; Quigley, 1966, p. 130

9 Philip Hoare, « John Ruskin : un prophète pour nos temps troublés », New Statesman , 13 février
2019 ; Candy Bedworth, « John Ruskin : peintre, prophète, pervers », Daily Art Magazine , 3
décembre 2020

dix Quigley, Tragédie et espoir , 1966, p 130

11 The Last Will and Testament of Cecil John Rhodes , édité par WT Stead (Londres, « Review of
Reviews » Office : 1902), page 58

12 Basil Williams, Cecil Rhodes , (New York, Henry Holt & Company : 1921), page 51.

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13 Williams, Cecil Rhodes , 1921, page 51

14 Carroll Quigley, L'establishment anglo-américain : de Rhodes à Cliveden (New York : Books in

Focus, 1981), pp117-118 ; Carroll Quigley, Tragedy and Hope : A History of the World in Our Time
(New York : Macmillan Company, 166), pp 146, 950

15 Quigley, L'establishment anglo-américain , 1981, pages 117-118 ; Quigley, Tragédie et espoir , 1966, p
144

16 HG Wells, « La guerre qui mettra fin à la guerre », Daily News & Leader , 14 août 1914

17 HG Wells, The War That Will End War (Londres, Royaume-Uni : Frank & Cecil Palmer, octobre
1914), page 62

18 Peter Edgerly Firchow, La mort du cousin allemand : variations sur un stéréotype littéraire, 1890-1920
(Lewisburg, PA : Bucknell University Press, 1986), p114 ; Kenneth J. Calder, Britain and the Origins
of the New Europe, 1914-1918 (New York : Cambridge University Press, pour le Center of
International Studies, London School of Economics and Political Science, 1976), p54 ; Burton
Yale Pines, La plus grande erreur de l'Amérique : la décision fatidique d'entrer dans la Première Guerre
mondiale (New York : RSD Press, 2013), p39

19 Charles E. Neu, Colonel House : A Biography of Woodrow Wilson's Silent Partner (États-Unis :
Oxford University Press, 2014), p 3-5, 8

20 Godfrey Hodgson, La main droite de Woodrow Wilson : La vie du colonel Edward M. House (New
Haven : Yale University Press, 2006), pp 16-19 ; Neu, Colonel House , 2014, pp 3-8.

21 Christopher Andrew, Rien que pour les yeux du président : les renseignements secrets et la présidence
américaine de Washington à Bush (Londres : HarperCollins, 1995), p. 57 ; Keith Jeffrey, L'histoire
secrète du MI6 1909-1949 , (New York : Penguin Press, 2010), p116

22 Edward Mandell House et Charles Seymour, The Intimate Papers of Colonel House (Cambridge,
MA : Houghton Mifflin Company, 1926), pp. 87-89, 92

23 Inderjeet Parmar, Think Tanks and Power in Foreign Policy : A Comparative Study of the Role and
Influence of the Council on Foreign Relations et du Royal Institute of International Affairs, 1939-1945 (
Basingstoke, Royaume-Uni : Palgrave, 2004), p26-27.

24 John Bruce Lockhart, « Sir William Wiseman Bart—Agent of Influence », RUSI Journal (Royal
United Services Institute for Defence Studies) (Grande-Bretagne), vol. 134, non. 2 (été 1989),
pp.63-67

25 AJP Taylor, Short Notices, The English Historical Review , Volume LXXXVI, Numéro
CCCXXXVIII, janvier 1971, p198 (Une revue de : WB Fowler, British-American Relations, 1917-
1918 : The Role of Sir William Wiseman (Princeton, Princeton University Press , 1969)

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26 Inderjeet Parmar, Think Tanks and Power in Foreign Policy : A Comparative Study of the Role and
Influence of the Council on Foreign Relations et du Royal Institute of International Affairs, 1939-1945 (
Basingstoke, Royaume-Uni : Palgrave, 2004), pp. 3, 19, 27, 29, 109

27 Herb Greer, « Amantium Irae – « Special » No More : Relations anglo-américaines : rhétorique et

réalité par John Dickie », Affaires mondiales , Washington, Vol. 157, numéro 2 (automne 1994) : 98

28 Sir Winston Spencer Churchill, Harry S. Truman, The Sinews of Peace : A Speech by Winston
Churchill to Westminster College Fulton, Missouri, 5 mars 1946 (États-Unis : Halcyon-
Commonwealth Foundation, 1965)

29 Peter Wilkin, « George Orwell : le dissident anglais en tant qu'anarchiste conservateur », Études
politiques , Vol. 61, numéro 1, mars 2013, pp 197-214

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John Mugge 8 septembre

Le Royaume-Uni et les 5 Eyes doivent donc soutenir le WEF.
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