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Avec la diversité des moyens de communication humaine, les technologies de l’information et des
télécommunications sont devenues une condition suffisante pour assurer une communication
illimitée avec tous les habitants de la planète. Nous pouvons alors nous demander quelle sera la
prochaine étape ?
Nous pouvons donc imaginer, en se servant de ces services fournis à travers la technologie
GSM, que le contrôle à distance des machines, des systèmes d’alarme et de surveillance sont
possible.
C’est dans ce cadre que se situe mon stage intitulé ”Etude et réalisation d’un système de
surveillance à distance par le GSM ”.
Dédicace
Je dédie ce travail :
Son affection, bienveillance et présence à mes côtés a toujours été une source
Que ce travail traduit ma gratitude et mon affection à mon très cher père qui a
A mes chers frères et sœurs Puisse Dieu vous donner santé, bonheur, courage
et plus de réussite.
Remerciement
Avant tout propos je tiens à remercier Dieu tout puissant qui m’a donné la
patience, la volonté, le courage d’aller jusqu’au bout de mon travail.
J'adresse également mes remerciements à Mr Noureddine El Mezouari
Directeur des études à l’Institut du Génie appliqué (IGA) Maarif pour sa
confiance et sa patience envers ma personne.
Je tiens évidemment à remercier, Mr NABIL Arsalane, qui est mon Professeur
actuel à l’(IGA) Maarif, pour son accueil, sa patience et le partage de son
expertise au quotidien. Il fut d'une aide précieuse tout au long de ce stage. Je
remercie également l’ensemble du personnel de l’IGA Maarif pour leurs
accueils chaleureux.
Enfin, Je tiens à remercier toutes les personnes qui m’ont conseillés et relus
lors de la rédaction de ce rapport de stage.
Plan
Introduction
Problématique
1. Norme GSM
2. Systèmes d’identifications
II Etude et conception d’un système de gestion des alertes utilisant la norme GSM
1. Etude du SIM900A
1.2. Rôle
2. Parking
Avec la diversité des moyens de communication humaine, les technologies de l’information et des
télécommunications sont devenues une condition suffisante pour assurer une communication
illimitée avec tous les habitants de la planète. Nous pouvons alors nous demander quelle sera la
prochaine étape ?
Nous pouvons donc imaginer, en se servant de ces services fournis à travers la technologie
GSM, que le contrôle à distance des machines, des systèmes d’alarme et de surveillance sont
possible.
C’est dans ce cadre que se situe mon stage intitulé ”Etude et réalisation d’un système de
surveillance à distance par le GSM ”.
I. Généralité de la Norme GSM et des systèmes
d’identifications
1. Historique
L’histoire de la téléphonie mobile (numérique) débute réellement en 1982. En effet, à cette date, le
Groupe Spécial Mobile, appelé GSM2 , est créé par la Conférence Européenne des administrations
des Postes et Télécommunications (CEPT) afin d’élaborer les normes de communications mobiles
pour l’Europe dans la bande de fréquences de 890 à 915 [MHz] pour l’émission à partir des stations
mobiles 3 et 935 à 960 [MHZ] pour l’émission à partir de stations fixes. Il y eut bien des systèmes de
mobilophonie analogique (MOB1 et MOB2, arrêté en 1999), mais le succès de ce réseau ne fut pas
au rendez-vous.
Ainsi, en 1987, le groupe GSM fixe les choix technologiques relatifs à l’usage des
télécommunications mobiles : transmission numérique, multiplexage temporel des canaux radio,
chiffrement des informations ainsi qu’un nouveau codage de la parole. Il faut attendre 1991 pour
que la première communication expérimentale par GSM ait lieu. Au passage, le sigle GSM change de
signification et devient Global System for Mobile communications et les spécifications sont adaptées
pour des systèmes fonctionnant dans la bande des 1800 [MHz].
En Belgique, c’est en 1994 que le premier réseau GSM (proximus) est déployé ; Mobistar et
Orange (rebaptisé Base) viendront plus tard. Aujourd’hui, le nombre de numéros attribués pour des
communications GSM dépasse largement le nombre de numéros dédiés à des lignes fixes et cette
tendance se poursuit.
1. Norme GSM
Les réseaux de première génération possédaient des cellules de grande taille (50 [km] de rayon)
au centre desquelles se situait une station de base (antenne d’émission). Au tout début, ce système
allouait une bande de fréquences de manière statique à chaque utilisateur qui se trouvait dans la
cellule qu’il en ait besoin ou non. Ce système ne permettait donc de fournir un service qu’à un
nombre d’utilisateurs égal au nombre de bandes de fréquences disponibles. La première
amélioration consista à allouer un canal à un utilisateur uniquement à partir du moment où celui-ci
en avait besoin permettant ainsi d’augmenter “statistiquement” le nombre d’abonnés, étant
entendu que tout le monde ne téléphone pas en même temps. Mais ce système nécessitait toujours
des stations mobiles de puissance d’émission importante (8 [W]) et donc des appareils mobiles de
taille et de poids conséquents. De plus, afin d’éviter les interférences, deux cellules adjacentes ne
peuvent pas utiliser les mêmes fréquences. Cette organisation du réseau utilise donc le spectre
fréquentiel d’une manière sous-optimale. C’est pour résoudre ces différents problèmes qu’est
apparu le concept de cellule. Le principe de ce système est de diviser le territoire en de petites
zones, appelées cellules, et de partager les fréquences radio entre celles-ci. Ainsi, chaque cellule est
constituée d’une station de base (reliée au Réseau Téléphonique Commuté, RTC) à laquelle on
associe un certain nombre de canaux de fréquences à bande étroite, sommairement nommés
fréquences. Comme précédemment, ces fréquences ne peuvent pas être utilisées dans les cellules
adjacentes afin d’éviter les interférences . Ainsi, on définit des motifs, aussi appelés clusters,
constitués de plusieurs cellules, dans lesquelles chaque fréquence est utilisée une seule fois. La
figure 1 montre un tel motif, en guise d’exemple.
Dans un réseau GSM, le terminal de l'utilisateur est appelé station mobile. Une station mobile est
composée d'une carte SIM (Subscriber Identity Module), permettant d'identifier l'usager de façon
unique et d'un terminal mobile, c'est-à-dire l'appareil de l'usager (la plupart du temps un téléphone
portable).
Les terminaux (appareils) sont identifiés par un numéro d'identification unique de 15 chiffres appelé
IMEI (International Mobile Equipment Identity). Chaque carte SIM possède également un numéro
d'identification unique (et secret) appelé IMSI (International Mobile Subscriber Identity). Ce code
peut être protégé à l'aide d'une clé de 4 chiffres appelés code PIN.
La carte SIM permet ainsi d'identifier chaque utilisateur, indépendamment du terminal utilisé lors de
la communication avec une station de base. La communication entre une station mobile et la station
de base se fait par l'intermédiaire d'un lien radio, généralement appelé interface air (ou plus
rarement interface Um).
Le réseau cellulaire ainsi formé est prévu pour supporter la mobilité grâce à la gestion du handover,
c'est-à-dire le passage d'une cellule à une autre.
Enfin, les réseaux GSM supportent également la notion d'itinérance (en anglais roaming), c'est-à-
dire le passage du réseau d'un opérateur à un autre.
Figure 1Architecture du réseau GSM.
2. Systèmes d’identifications
Tous les jours nous utilisons des produits RFID sans le savoir : à travers des cartes de transports, des
étiquettes antivols dans les magasins, des badges RFID, des badges de sécurité ou plus récemment
des clés sans contact pour voiture.
Cette technologie a pour avantage de faire gagner du temps aux usagers et de permettre une lecture
rapide des données.
La carte RFID
Le système RFID repose sur deux éléments essentiels : l'étiquette RFID et le lecteur RFID. Les lecteurs
RFID ont tous le même mode global de fonctionnement, mais le choix approprié du lecteur peut
s'avérer difficile du fait de la diversité de l'offre.
La puissance du lecteur RFID est à combiner avec l'antenne appropriée, ainsi plusieurs portées
optimales de lecture peuvent être définies :
Lorsqu’un véhicule se présente et que le parking est plein, l’afficheur affiche ‘FULL’ et l’accès au
stationnement lui est restreint.
Schéma synoptique
Le module GSM SIM900a est le module le plus petit et le moins cher pour la communication
GPRS/GSM. Il est courant avec Arduino et le microcontrôleur dans la plupart des applications
embarquées. Le module offre la technologie GPRS/GSM pour la communication avec les utilisations
d'une simulation mobile. Il utilise une bande de fréquences de 900 et 1800 MHz et permet aux
utilisateurs de recevoir/envoyer des appels mobiles et des SMS. Le clavier et l'interface d'affichage
permettent aux développeurs de personnaliser l'application avec lui. De plus, il dispose également
de modes de commande et de mode données. Dans chaque pays, le GPRS/GSM et différents
protocoles/ fréquences à opérer. Le mode Commande aide les développeurs à modifier le paramètre
par défaut en fonction de leurs besoins.
Le SIM900a est utilisé dans des applications de contrôle à distance, de domotique, et aussi
de sécurité.
figure: SIM900a
Caractéristiques :
● Bande 900/ 1800 MHz (devrait fonctionner avec tous les réseaux GSM de tous
● les pays)
● GPRS multi-slot class 10/8
● GPRS mobile station class B
● Conform à GSM phase 2/2+
● Contrôle à l'aide de commandes AT (Commandes standard : GSM 07.07 &07.05)
● Messages SMS (Il est ainsi possible d'envoyer de petites quantités de données via le réseau
mobile).
● Embarque une stack TCP/UDP (Permettant d'envoyer des données sur un serveur web.
Support RTC).
● Supporte la norme de température industrielle (-40°C à +85 °C).
● Tension d'entrée 5V-12V DC
III. Réalisation Du Produit (partie pratique)