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3) Montrer que : (∀𝒙 ∈ ℝ) ; √𝒙𝟐 + 𝟏 − 𝒙 > 𝟎 𝒏(𝒏 + 𝟏)(𝒏 + 𝟐) = 𝟑 𝒌(𝟑𝒌 + 𝟏)(𝟑𝒌 + 𝟐) 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ √𝒙𝟐 + 𝟏 − 𝒙 > 𝟎
Utiliser les deux cas : (𝒙 < 𝟎) 𝒆𝒕 ( 𝒙 ≥ 𝟎) 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒏(𝒏 + 𝟏)(𝒏 + 𝟐) est un multiple de 3 2ème méthode :
4) Résoudre dans ℝ les équations suivantes : 𝑪𝒂𝒔 𝟐 ∶ 𝒏 = 𝟑𝒌 + 𝟏 ; 𝒌 ∈ ℕ (√𝒙𝟐 + 𝟏 − 𝒙)(√𝒙𝟐 + 𝟏 + 𝒙)
√𝒙𝟐 + 𝟏 − 𝒙 =
(𝑬𝟏 ): 𝒙𝟐 − |𝒙 − 𝟏| − 𝟏 = 𝟎 𝒏(𝒏 + 𝟏)(𝒏 + 𝟐) = (𝟑𝒌 + 𝟏)(𝟑𝒌 + 𝟏 + 𝟏)(𝟑𝒌 + 𝟏 + 𝟐) √𝒙𝟐 + 𝟏 + 𝒙
𝟐
Utiliser les deux cas : (𝒙 < 𝟏) 𝒆𝒕 ( 𝒙 ≥ 𝟏) = (𝟑𝒌 + 𝟏)(𝟑𝒌 + 𝟐)(𝟑𝒌 + 𝟑) √𝒙𝟐 + 𝟏 − 𝒙𝟐
(𝑬𝟐 ) ∶ |𝒙 + 𝟏| − 𝟑|𝒙 − 𝟐| + 𝟏 = 𝟎 =
= 𝟑(𝟑𝒌 + 𝟏)(𝟑𝒌 + 𝟐)(𝒌 + 𝟏) √𝒙𝟐 + 𝟏 + 𝒙
Solution 𝒙𝟐 + 𝟏 − 𝒙𝟐
1) Soit 𝒏 ∈ ℕ; Montrer que pour tout 𝒏 ∈ ℕ 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒏(𝒏 + 𝟏)(𝒏 + 𝟐) est un multiple de 3 =
𝟐 √𝒙𝟐 + 𝟏 + 𝒙
l’entier 𝒏 + 𝒏 + 𝟏 est impair 𝑪𝒂𝒔 𝟐 ∶ 𝒏 = 𝟑𝒌 + 𝟐 ; 𝒌 ∈ ℕ 𝟏
𝑪𝒂𝒔 𝟏 ∶ 𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒊𝒓 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒏 = 𝟐𝒌 ; 𝒌∈ℕ = > 𝟎 ; 𝒄𝒂𝒓 𝒙 > 𝟎
𝒏(𝒏 + 𝟏)(𝒏 + 𝟐) = (𝟑𝒌 + 𝟐)(𝟑𝒌 + 𝟐 + 𝟏)(𝟑𝒌 + 𝟐 + 𝟐) √𝒙𝟐 + 𝟏 + 𝒙
𝒏𝟐 + 𝒏 + 𝟏 = (𝟐𝒌)𝟐 + 𝟐𝒌 + 𝟏
= (𝟑𝒌 + 𝟐)(𝟑𝒌 + 𝟑)(𝟑𝒌 + 𝟒) 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ √𝒙𝟐 + 𝟏 − 𝒙 > 𝟎
= 𝟒𝒌𝟐 + 𝟐𝒌 + 𝟏
4)Résoudre dans ℝ les équations :
= 𝟐(𝟐𝒌𝟐 + 𝒌) + 𝟏 = 𝟑(𝟑𝒌 + 𝟐)(𝒌 + 𝟏)(𝟑𝒌 + 𝟒)
(𝑬𝟏 ): 𝒙𝟐 − |𝒙 − 𝟏| − 𝟏 = 𝟎
Donc l’entier 𝒏𝟐 + 𝒏 + 𝟏 est impair 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒏(𝒏 + 𝟏)(𝒏 + 𝟐) est un multiple de 3 Rappel :
𝑪𝒂𝒔 𝟏 ∶ 𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒊𝒓 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒏 = 𝟐𝒌 + 𝟏 ; 𝒌 ∈ ℕ Conclusion ; l’entier 𝒏(𝒏 + 𝟏)(𝒏 + 𝟐) est un |𝒙 − 𝟏| = 𝒙 − 𝟏 𝒔𝒊 𝒙 ≥ 𝟏
𝒏𝟐 + 𝒏 + 𝟏 = (𝟐𝒌 + 𝟏)𝟐 + 𝟐𝒌 + 𝟏 + 𝟏 multiple de 3 |𝒙 − 𝟏| = −(𝒙 − 𝟏) 𝒔𝒊 𝒙 < 𝟏
= 𝟒𝒌𝟐 + 𝟒𝒌 + 𝟏 + 𝟐𝒌 + 𝟐 3)Montrer que : (∀𝒙 ∈ ℝ) ; √𝒙𝟐 + 𝟏 − 𝒙 > 𝟎 𝑪𝒂𝒔 𝟏 ∶ 𝒙 ∈ [𝟏; +∞[ ; 𝒄 − 𝒕 − 𝒅𝒊𝒓𝒆 𝒙 ≥ 𝟏
= 𝟒𝒌𝟐 + 𝟔𝒌 + 𝟐 + 𝟏 𝑪𝒂𝒔 𝟏 ∶ 𝒙 ∈ ]−∞; 𝟎] ; 𝒄 − 𝒕 − 𝒅𝒊𝒓𝒆 𝒙 ≤ 𝟎 Donc |𝒙 − 𝟏| = 𝒙 − 𝟏
= 𝟐(𝟐𝒌𝟐 + 𝟑𝒌 + 𝟏) + 𝟏 On a 𝒙 ≤ 𝟎 𝒅𝒐𝒏𝒄 − 𝒙 ≥ 𝟎 𝒙𝟐 − |𝒙 − 𝟏| − 𝟏 = 𝟎 ⟹ 𝒙𝟐 − (𝒙 − 𝟏) − 𝟏 = 𝟎
Donc l’entier 𝒏𝟐 + 𝒏 + 𝟏 est impair ⟹ 𝒙𝟐 − 𝒙 + 𝟏 − 𝟏 = 𝟎
Et on a : √𝒙𝟐 + 𝟏 > 𝟎
Conclusion : Pour tout 𝒏 ∈ ℕ l’entier ⟹ 𝒙𝟐 − 𝒙 = 𝟎
𝒏𝟐 + 𝒏 + 𝟏 est impair Donc √𝒙𝟐 + 𝟏 − 𝒙 > 𝟎
⟹ 𝒙(𝒙 − 𝟏) = 𝟎
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⟹ 𝒙 = 𝟎 𝒐𝒖 (𝒙 − 𝟏) = 𝟎 Donc d’après le tableau il y a trois cas : Exercice 9
⟹ 𝒙 = 𝟎 𝒐𝒖 𝒙 = 𝟏 𝑪𝒂𝒔 𝟏 ∶ 𝒙 ∈ [𝟐; +∞[ Raisonnement par contra-posée
Or : 𝟎 ∉ [𝟏; +∞[ |𝒙 + 𝟏| − 𝟑|𝒙 − 𝟐| + 𝟏 = 𝟎 1) Soient 𝒚 ∈ ℝ et 𝒙 ∈ ℝ+ ; montrer que :
Donc 𝑺𝟏 = {𝟏} a) (𝒚 ≠ 𝟐 𝒆𝒕 𝒚 ≠ −𝟐) ⇒ (𝟐𝒚𝟐 − 𝟖 ≠ 𝟎)
⇒ 𝒙 + 𝟏 − 𝟑 (𝒙 − 𝟐 ) + 𝟏 = 𝟎 𝒙
𝑪𝒂𝒔 𝟐 ∶ 𝒙 ∈ ]−∞; 𝟏 [; 𝒄 − 𝒕 − 𝒅𝒊𝒓𝒆 𝒙 < 𝟏 b) (𝒙 ≠ 𝟎) ⇒ (√𝒙 + 𝟏 ≠ 𝟏 + )
⇒ 𝒙 + 𝟏 − 𝟑𝒙 + 𝟔 + 𝟏 = 𝟎 𝟐
Donc |𝒙 − 𝟏| = −(𝒙 − 𝟏) 2) Soit 𝒏 ∈ ℕ ; Montrer que
⇒ −𝟐𝒙 + 𝟖 = 𝟎
𝒙𝟐 − |𝒙 − 𝟏| − 𝟏 = 𝟎 ⟹ 𝒙𝟐 + (𝒙 − 𝟏) − 𝟏 = 𝟎 si (𝒏𝟐 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒊𝒓 ) alors (𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒊𝒓)
−𝟖
⟹ 𝒙𝟐 + 𝒙 − 𝟐 = 𝟎 ⇒𝒙= 3) Soient 𝒙; 𝒚 ∈ ]𝟐; +∞[, montrer que
−𝟐
On pose : 𝐚 = 𝟏 ; 𝐛 = 𝟏 𝐞𝐭 𝐜 = −𝟐 (𝒙 ≠ 𝒚) ⇒ (𝒙𝟐 − 𝟒𝒙 ≠ 𝒚𝟐 − 𝟒𝒚)
⇒ 𝒙 = 𝟒 ∈ [𝟐; +∞[
∆= (𝟏)𝟐 − 𝟒 × 𝟏 × (−𝟐) = 𝟏 + 𝟖 = 𝟗 Rappel 08 :
𝐃𝐨𝐧𝐜: 𝑺𝟏 = {𝟒}
Donc ∆> 𝟎 d’où 𝒍′ é𝒒𝒖𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝐱 𝟐 + 𝐱 − 𝟐 = 𝟎 Résonnement par contraposition
admet deux solutions dans ℝ sont : 𝑪𝒂𝒔 𝟐 ∶ 𝒙 ∈ ]−𝟏; 𝟐[;
|𝒙 + 𝟏| − 𝟑|𝒙 − 𝟐| + 𝟏 = 𝟎 Pour montrer que la proposition 𝑷 ⇒ 𝑸
−𝒃 + √∆ −𝒃 − √∆
𝒙𝟏 = 𝒆𝒕 𝒙𝟐 = ⇒ 𝒙 + 𝟏 − 𝟑(−𝒙 + 𝟐) + 𝟏 = 𝟎 est vraie on montre que la proposition
𝟐𝒂 𝟐𝒂
̅⇒𝑷
𝑸 ̅ est vraie
−𝟏 + √𝟗 −𝟏 − √𝟗 ⇒ 𝒙 + 𝟏 + 𝟑𝒙 − 𝟔 + 𝟏 = 𝟎
𝒙𝟏 = 𝒆𝒕 𝒙𝟐 = ̅ est
𝟐×𝟏 𝟐×𝟏 ⇒ 𝟒𝒙 − 𝟒 = 𝟎 Pratiquement :on suppose que 𝑸
𝒙𝟏 = 𝟏 𝒆𝒕 𝒙𝟐 = −𝟐 𝟒 ̅ est vraie
vraie et on montre que 𝑷
Or : 𝟏 ∉ ]−∞; 𝟏 [ ⇒𝒙=
𝟒 Solution
Donc 𝑺𝟐 = {−𝟐}
⇒ 𝒙 = 𝟏 ∈ ]−𝟏; 𝟐[ 1) Soient y ∈ ℝ et 𝒙 ∈ ℝ+ ; montrer que :
Conclusion : 𝑺 = 𝑺𝟏 ∪ 𝑺𝟐 = {−𝟐; 𝟏}
𝐃𝐨𝐧𝐜: 𝑺𝟐 = {𝟏} a) (𝒚 ≠ 𝟐 𝒆𝒕 𝒚 ≠ −𝟐) ⇒ (𝟐𝒚𝟐 − 𝟖 ≠ 𝟎)
4) b)Résoudre dans ℝ les équations :
𝑪𝒂𝒔 𝟑 ∶ 𝒙 ∈ ]−∞; −𝟏]; Soit y ∈ ℝ :Par contraposée montrons que
(𝑬𝟐 ) ∶ |𝒙 + 𝟏| − 𝟑|𝒙 − 𝟐| + 𝟏 = 𝟎
Rappel : |𝒙 + 𝟏| − 𝟑|𝒙 − 𝟐| + 𝟏 = 𝟎 (𝟐𝒚𝟐 − 𝟖 = 𝟎) ⇒ (𝒚 = 𝟐 𝒐𝒖 𝒚 = −𝟐)
𝒙+𝟏 𝒔𝒊 𝒙 ≥ −𝟏 ⇒ −𝒙 − 𝟏 − 𝟑(−𝒙 + 𝟐) + 𝟏 = 𝟎
|𝒙 + 𝟏| = { (𝟐𝒚𝟐 − 𝟖 = 𝟎) ⇒ 𝟐𝒚𝟐 = 𝟖
−(𝒙 + 𝟏) 𝒔𝒊 𝒙 < 𝟏 ⇒ −𝒙 − 𝟏 + 𝟑𝒙 − 𝟔 + 𝟏 = 𝟎
𝒙−𝟐 𝒔𝒊 𝒙 ≥ 𝟐 𝟖
|𝒙 − 𝟐| = { 𝟔 ⇒ 𝒚𝟐 =
(
− 𝒙−𝟐 ) 𝒔𝒊 𝒙 < 𝟐 ⇒ 𝟐𝒙 − 𝟔 = 𝟎 ⇒ 𝒙 = 𝟐
𝟑 𝟐
⇒𝒚 =𝟒
On trace le tableau des cas suivants :
⇒ 𝒙 = 𝟐 ∉ ]−∞; −𝟏]
𝒙 −∞ −𝟏 𝟐 +∞ ⇒ (𝒚 = 𝟐 𝒐𝒖 𝒚 = −𝟐)
|𝒙 + 𝟏| −𝒙 − 𝟏 𝟎 𝒙+𝟏 𝒙+𝟏 𝐃𝐨𝐧𝐜: 𝑺𝟑 = 𝚽
D’où : (𝒚 ≠ 𝟐 𝒆𝒕 𝒚 ≠ −𝟐) ⇒ (𝟐𝒚𝟐 − 𝟖 ≠ 𝟎)
|𝒙 − 𝟐| −𝒙 + 𝟐 −𝒙+𝟐 𝟎 𝒙−𝟐 Conclusion : 𝑺 = 𝑺𝟏 ∪ 𝑺𝟐 ∪ 𝑺𝟑 = {𝟒 ; 𝟏}
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𝒙
b) Montrons : (𝒙 ≠ 𝟎) ⇒ (√𝒙 + 𝟏 ≠ 𝟏 + ) 3)Soient 𝒙; 𝒚 ∈ ]𝟐; +∞[, montrer que Solution
𝟐 𝟐 𝟐
(𝒙 ≠ 𝒚) ⇒ (𝒙 − 𝟒𝒙 ≠ 𝒚 − 𝟒𝒚) 𝟐
1) Montrer que : (∀𝒙 ∈ ℝ − { }):
𝟒𝒙+𝟏
≠
𝟒
𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝒙 ∈ ℝ+ ; par contraposée montrons : 𝟑 𝟑𝒙−𝟐 𝟑
Soient 𝒙; 𝒚 ∈ ]𝟐; +∞[; par contraposée 𝟐 𝟒𝒙+𝟏 𝟒
𝒙 On suppose que: (∃𝒙 ∈ ℝ − {𝟑}): 𝟑𝒙−𝟐 = 𝟑
(√𝒙 + 𝟏 = 𝟏 + ) ⇒ (𝒙 = 𝟎) montrons : (𝒙𝟐 − 𝟒𝒙 = 𝒚𝟐 − 𝟒𝒚) ⇒ 𝒙 = 𝒚
𝟐 𝟒𝒙 + 𝟏 𝟒
𝒙 𝟐+𝒙 𝒙𝟐 − 𝟒𝒙 = 𝒚𝟐 − 𝟒𝒚 ⇒ 𝒙𝟐 − 𝟒𝒙 + 𝟒 = 𝒚𝟐 − 𝟒𝒚 + 𝟒 = ⟺ 𝟑(𝟒𝒙 + 𝟏) = 𝟒(𝟑𝒙 − 𝟐)
𝟑𝒙 − 𝟐 𝟑
√𝒙 + 𝟏 = 𝟏 + ⇒ √𝒙 + 𝟏 =
𝟐 𝟐 ⇒ (𝒙 − 𝟐)𝟐 = (𝒚 − 𝟐)𝟐 ⟺ 𝟏𝟐𝒙 + 𝟑 = 𝟏𝟐𝒙 − 𝟖)
⇒ 𝟐√𝒙 + 𝟏 = 𝟐 + 𝒙
𝟐 𝟐
⇒ (𝒙 − 𝟐) − (𝒚 − 𝟐) = 𝟎 ⟺𝟑=𝟖
𝟐 ⇒ (𝒙 − 𝟐 + 𝒚 − 𝟐)(𝒙 − 𝟐 − 𝒚 + 𝟐) = 𝟎 Contradiction
⇒ (𝟐√𝒙 + 𝟏) = (𝟐 + 𝒙)𝟐 ⇒ (𝒙 + 𝒚 − 𝟒)(𝒙 − 𝒚) = 𝟎 𝟐 𝟒𝒙 + 𝟏 𝟒
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ (∀𝒙 ∈ ℝ − { }): ≠
⇒ 𝟒(𝒙 + 𝟏) = 𝟒 + 𝟒𝒙 + 𝒙𝟐 ⇒ 𝒙 + 𝒚 − 𝟒 = 𝟎 𝒐𝒖 𝒙 − 𝒚 = 𝟎 𝟑 𝟑𝒙 − 𝟐 𝟑
𝟔𝒏+𝟓
2) Montrer que : ( ∀ 𝒏 ∈ ℕ) ; ∉ℕ
⇒ 𝟒𝒙 + 𝟒 − 𝟒 − 𝟒𝒙 − 𝒙𝟐 = 𝟎 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒙; 𝒚 ∈ ]𝟐; +∞[ 𝟒𝒏+𝟐
Donc 𝒙 > 𝟐 𝒆𝒕 𝒚 > 𝟐 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒙 + 𝒚 > 𝟒 𝟔𝒏+𝟓
⇒ −𝒙𝟐 = 𝟎 On suppose que : ( ∃ 𝒏 ∈ ℕ) ; 𝟒𝒏+𝟐 ∈ ℕ
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒙 + 𝒚 − 𝟒 > 𝟎
𝟔𝒏 + 𝟓 𝟔𝒏 + 𝟓
⇒ 𝒙𝟐 = 𝟎 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒙 + 𝒚 − 𝟒 ≠ 𝟎 ∈ℕ⟺ = 𝒌 ; 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒌 ∈ ℕ
𝟒𝒏 + 𝟐 𝟒𝒏 + 𝟐
⇒𝒙=𝟎 Donc 𝒙 − 𝒚 = 𝟎
⟺ 𝟔𝒏 + 𝟓 = 𝒌(𝟒𝒏 + 𝟐) ; 𝒌 ∈ ℕ
𝒙 Donc 𝒙 = 𝒚
D’où : (𝒙 ≠ 𝟎) ⇒ (√𝒙 + 𝟏 ≠ 𝟏 + ) ⟺ 𝟔𝒏 + 𝟒 + 𝟏 = 𝒌(𝟒𝒏 + 𝟐) ; 𝒌 ∈ ℕ
𝟐 D’où : (𝒙 ≠ 𝒚) ⇒ (𝒙𝟐 − 𝟒𝒙 ≠ 𝒚𝟐 − 𝟒𝒚)
2) Soit 𝒏 ∈ ℕ ; Montrer que ⟺ 𝟐(𝟑𝒏 + 𝟐) + 𝟏 = 𝟐𝒌(𝟐𝒏 + 𝟏) ; 𝒌 ∈ ℕ
Exercice 10 : (Raisonnement par L’absurde)
si (𝒏𝟐 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒊𝒓 ) alors (𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒊𝒓) 𝟐 𝟒𝒙+𝟏 𝟒 Or l’entier 𝟐(𝟑𝒏 + 𝟐) + 𝟏 est impair
1) Montrer que : (∀𝒙 ∈ ℝ − { }): ≠
𝟑 𝟑𝒙−𝟐 𝟑 et 𝟐𝒌(𝟐𝒏 + 𝟏) 𝒑𝒂𝒊𝒓
𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝒏 ∈ ℕ ; par contraposée montrons : 𝟔𝒏+𝟓
2) Montrer que : ( ∀ 𝒏 ∈ ℕ) ; ∉ℕ Donc contradiction
𝟒𝒏+𝟐
si (𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒊𝒎𝒑𝒂𝒊𝒓 ) alors (𝒏𝟐 𝒆𝒔𝒕 𝒊𝒎𝒑𝒂𝒊𝒓)
3) Montrer que : (∀𝒙 ∈ ℝ) ; 𝒙 − √𝒙𝟐 + 𝟏 < 𝟎 𝐃’𝐨ù: ( ∀ 𝒏 ∈ ℕ);
𝟔𝒏+𝟓
∉ℕ
On a : 𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒊𝒎𝒑𝒂𝒊𝒓 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒏 = 𝟐𝒌 + 𝟏 ; 𝒌 ∈ ℕ 𝟒𝒏+𝟐
Rappel 09 :
Donc 𝒏𝟐 = (𝟐𝒌 + 𝟏)𝟐 3) Montrer que (∀𝒙 ∈ ℝ) ; 𝒙 − √𝒙𝟐 + 𝟏 < 𝟎
Résonnement par l’absurde
Donc : 𝒏𝟐 = (𝟐𝒌)𝟐 + 𝟐 × 𝟐𝒌 + 𝟏 On suppose que (∃𝒙 ∈ ℝ) ; 𝒙 − √𝒙𝟐 + 𝟏 ≥ 𝟎
Pour montrer que la proposition 𝑷 est vraie 𝟐
Donc : 𝒏𝟐 = 𝟒𝒌𝟐 + 𝟐 × 𝟐𝒌 + 𝟏 𝒙 − √𝒙𝟐 + 𝟏 ≥ 𝟎 ⟺ 𝒙𝟐 ≥ √𝒙𝟐 + 𝟏
̅ est vraie et on montre
On suppose que 𝑷 ⟺ 𝒙𝟐 ≥ 𝒙𝟐 + 𝟏
Donc : 𝒏𝟐 = 𝟐(𝟐𝒌𝟐 + 𝟐𝒌) + 𝟏
⟺𝟎≥𝟏
Donc : 𝒏𝟐 est impair que cela entraine une proposition fausse Donc contradiction
D’où : si (𝒏𝟐 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒊𝒓 ) alors (𝒏 𝒆𝒔𝒕 𝒑𝒂𝒊𝒓) Donc on conclut que 𝑷 est vraie 𝑫′ 𝒐𝒖: (∀𝒙 ∈ ℝ) ; 𝒙 − √𝒙𝟐 + 𝟏 < 𝟎
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Exercice 11 : ➢ Soit 𝐧 ∈ ℕ∗ Solution
∗
Pour tout 𝐧 ∈ ℕ on pose : 𝑺𝒏 = 𝟏 + 𝟐 + ⋯ + 𝐧 Supposons que : 𝟏 + 𝟐 + ⋯ (𝐧 − 𝟏) + 𝐧 =
𝐧(𝐧+𝟏) 𝟏) (∀𝒏 ∈ ℕ : « 𝟕𝒏 − 𝟐𝒏 est divisible par 5
∗)
𝟐
1) Calculer 𝑺𝟏 ; 𝑺𝟐 et 𝑺𝟑 ➢ Pour 𝒏 = 𝟏 on a : 𝟕𝟏 − 𝟐𝟏 = 𝟓
(𝐧+𝟏)(𝐧+𝟐)
2) Montrer par récurrence que ; Montrons : 𝟏 + 𝟐 + ⋯ (𝐧) + (𝐧 + 𝟏) = et 5 est divisible par 5
𝟐
𝐧(𝐧+𝟏) Donc la proposition est vraie pour 𝒏 = 𝟏
∗)
(∀ 𝐧 ∈ ℕ : 𝟏 + 𝟐 + 𝟑 + ⋯ + 𝐧 = 𝐧(𝐧 + 𝟏)
𝟐 ∗ 𝟏 + 𝟐 + ⋯ (𝐧) + (𝐧 + 𝟏) = + (𝐧 + 𝟏)
3) En déduire que 𝐧(𝐧 + 𝟏) est pair 𝟐 ➢ Soit 𝐧 ∈ ℕ∗
4) Calculer 𝑺𝟏𝟎𝟎 𝐧(𝐧 + 𝟏) + 𝟐(𝐧 + 𝟏) Supposons que 𝟕𝒏 − 𝟐𝒏 est divisible par 5
=
Rappel 10 : Résonnement par récurrence 𝟐 Et montrons que 𝟕𝒏+𝟏 − 𝟐𝒏+𝟏 est divisible
Soit 𝒏 ∈ ℕ et 𝒏𝟎 un entier donné (𝐧 + 𝟏)(𝐧 + 𝟐) par 5
=
𝟐 On a 𝟕𝒏 − 𝟐𝒏 est divisible par 5
Pour montrer que la proposition
➢ D’après le principe de récurrence en 𝐃𝐨𝐧𝐜 : 𝟕𝒏 − 𝟐𝒏 = 𝟓𝒌 ; 𝒕𝒆𝒍 𝒒𝒖𝒆 𝒌 ∈ ℕ
′′(∀𝒏 ≥ 𝒏𝟎 ) ; 𝒑(𝒏) ′′ , est vraie ; on suit les conclut que : 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝟕𝒏 = 𝟓𝒌 + 𝟐𝒏 ; 𝒕𝒆𝒍 𝒒𝒖𝒆 𝒌 ∈ ℕ
trois étapes suivantes : 𝑶𝒓: 𝟕𝒏+𝟏 − 𝟐𝒏+𝟏 = 𝟕 × 𝟕𝒏 − 𝟐 × 𝟐𝒏
𝐧(𝐧 + 𝟏)
(∀ 𝐧 ∈ ℕ∗ ): 𝟏 + 𝟐 + 𝟑 + ⋯ + 𝐧 =
➢ Initialisation : Pour 𝒏 = 𝒏𝟎 , on vérifie 𝟐 = 𝟕(𝟓𝒌 + 𝟐𝒏 ) − 𝟐 × 𝟐𝒏
que la proposition 𝒑(𝒏𝟎 ) est vraie 3) En déduire que 𝐧(𝐧 + 𝟏) est pair = 𝟕 × 𝟓𝒌 + 𝟕 × 𝟐𝒏 − 𝟐 × 𝟐𝒏
➢ Hérédité : Soit 𝒏 ≥ 𝒏𝟎 Soit 𝐧 ∈ ℕ∗ = 𝟕 × 𝟓𝒌 + 𝟓 × 𝟐𝒏
Supposons que 𝒑(𝒏) est vraie 𝐧(𝐧 + 𝟏) = 𝟓(𝟕𝒌 + 𝟐𝒏 )
et montrons que 𝒑(𝒏 + 𝟏) est vraie 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝟏 + 𝟐 + 𝟑 + ⋯ + 𝐧 =
𝟐 Donc 𝟕𝒏+𝟏 − 𝟐𝒏+𝟏 est divisible par 5
➢ Conclusion : d’après le principe de 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝐧 (𝐧 + 𝟏) = 𝟐(𝟏 + 𝟐 + 𝟑 + ⋯ + 𝐧) ➢ D’après le principe de récurrence en
récurrence en conclut que : 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝐧 (𝐧 + 𝟏) = 𝟐𝐤 conclut que :
(∀𝒏 ≥ 𝒏𝟎 ); 𝒑(𝒏) est vraie (𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 𝐤 = 𝟏 + 𝟐 + 𝟑 + ⋯ + 𝐧 ∈ ℕ ) (∀𝒏 ∈ ℕ∗ ) : « 𝟕𝒏 − 𝟐𝒏 est divisible par 5
Solution Donc 𝐧 (𝐧 + 𝟏) est pair
∗
Pour tout 𝐧 ∈ ℕ on pose : 𝑺𝒏 = 𝟏 + 𝟐 + ⋯ + 𝐧 4) Calculer 𝐒𝟏𝟎𝟎
2)Montrons que : (∀𝒏 ∈ ℕ) :
➢ Calculer 𝑺𝟏 ; 𝑺𝟐 et 𝑺𝟑 𝟏𝟎𝟎 × (𝟏𝟎𝟎 + 𝟏) 𝟏𝟎𝟎 × 𝟏𝟎𝟏
𝐒𝟏𝟎𝟎 = = = 𝟓𝟎𝟓𝟎 𝟒𝒏+𝟏 −𝟏
𝑺𝟏 = 𝟏 ; 𝑺𝟐 = 𝟏 + 𝟐 = 𝟑 𝟐 𝟐 𝟒𝟎 + 𝟒 + 𝟒𝟐 + ⋯ + 𝟒𝒏−𝟏 + 𝟒𝒏 =
𝟑
Exercice 12 : Montrer par récurrence que ;
𝑺𝟑 = 𝟏 + 𝟐 + 𝟑 = 𝟔 𝟒𝟎+𝟏 −𝟏
1) (∀𝒏 ∈ ℕ∗ ) : « 𝟕𝒏 − 𝟐𝒏 est divisible par 5 » ➢ Pour 𝒏 = 𝟎 on a : 𝟒𝟎 = 𝟏 et =𝟏
➢ Montrer par récurrence que ; 𝟑
𝟒𝒏+𝟏 −𝟏 Donc la proposition est vraie pour 𝒏 = 𝟎
(∀ 𝐧 ∈ ℕ∗ ): 𝟏 + 𝟐 + 𝟑 + ⋯ (𝐧 − 𝟏) + 𝐧 =
𝐧(𝐧+𝟏) 2) (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝟏 + 𝟒 + 𝟒𝟐 + ⋯ ⋯ + 𝟒𝒏 =
𝟑
𝟐
𝟏×(𝟏+𝟏) 𝐧(𝐧+𝟏) 𝟐
➢ Pour 𝒏 = 𝟏 on a : 𝟏 = 3) ∀ 𝐧 ∈ ℕ ∶ 𝟏 + 𝟐𝟑 + 𝟑𝟐 + ⋯ + 𝐧𝟑 = [ ]
𝟐 𝟐
Donc la proposition est vraie pour 𝒏 = 𝟏 4) (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟐𝒏 ≥ 𝒏
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𝟐
➢ Soit 𝐧 ∈ ℕ 𝐧(𝐧 + 𝟏) Exercice 13 :
𝟏 + 𝟐 + ⋯ + (𝐧)𝟑 + (𝐧 + 𝟏)𝟑 = [
𝟑
] + (𝐧 + 𝟏)𝟑
Supposons que : 𝟐 1)Développer le produit : (𝐧 + 𝟏)(𝟐𝐧 + 𝟏)
𝟒𝒏+𝟏 − 𝟏 𝐧𝟐 (𝐧 + 𝟏)𝟐 + 𝟒(𝐧 + 𝟏)𝟑 2)Montrer par récurrence que ;
𝟎 𝟐
𝟒 + 𝟒 + 𝟒 + ⋯+ 𝟒𝒏−𝟏 𝒏
+𝟒 = = 𝐧(𝐧+𝟏)(𝟐𝐧+𝟏)
𝟑 𝟒 (∀ 𝐧 ∈ ℕ∗ ): 𝟏𝟐 + 𝟐𝟐 + ⋯ + 𝐧𝟐 =
𝟐 𝟐 𝟔
Montrons que : (𝐧 + 𝟏) (𝐧 + 𝟒(𝐧 + 𝟏)) Solution
=
𝟒𝒏+𝟐 − 𝟏 𝟒 1)Développer le produit : (𝐧 + 𝟐)(𝟐𝐧 + 𝟑)
𝟒𝟎 + 𝟒 + 𝟒𝟐 + ⋯ + 𝟒𝒏 + 𝟒𝒏+𝟏 = (𝐧 + 𝟏) (𝐧𝟐 + 𝟒𝒏 + 𝟒)
𝟐
𝟑 = (𝐧 + 𝟐)(𝟐𝐧 + 𝟑) = 𝟐𝐧𝟐 + 𝟑𝒏 + 𝟒𝒏 + 𝟔
𝟒 𝒏+𝟏
−𝟏 𝟒 = 𝟐𝐧𝟐 + 𝟕𝒏 + 𝟔
𝟒𝟎 + 𝟒 + ⋯ + 𝟒𝒏 + 𝟒𝒏+𝟏 = + 𝟒𝒏+𝟏 (𝐧 + 𝟏) (𝐧 + 𝟐)𝟐
𝟐
2)Montrer par récurrence que ;
𝟑 =
𝟒 𝐧(𝐧+𝟏)(𝟐𝐧+𝟏)
𝟒𝒏+𝟏 − 𝟏 + (𝟑 × 𝟒𝒏+𝟏 ) 𝟐 (∀ 𝐧 ∈ ℕ∗ ): 𝟏𝟐 + 𝟐𝟐 + ⋯ + 𝐧𝟐 =
= (𝐧 + 𝟏)(𝐧 + 𝟐) 𝟔
𝟑 =[ ] 𝟏×(𝟏+𝟏)(𝟐×𝟏+𝟏)
𝒏+𝟏 𝟐 ➢ Pour 𝒏 = 𝟏 on a : 𝟏 =
𝟒×𝟒 −𝟏 𝟔
= Donc la proposition est vraie pour 𝒏 = 𝟏
𝟑 ➢ D’après le principe de récurrence en
➢ D’après le principe de récurrence en conclut que : (∀ 𝐧 ∈ ℕ ) Supposons que :
conclut que : 𝟐 𝐧(𝐧 + 𝟏)(𝟐𝐧 + 𝟏)
𝐧(𝐧 + 𝟏) 𝟏𝟐 + 𝟐𝟐 + ⋯ (𝐧 − 𝟏)𝟐 + 𝐧𝟐 =
𝟑 𝟑 𝟑
𝟏 + 𝟐 + 𝟑 … + (𝐧 − 𝟏) + 𝐧 = [ 𝟑 ] 𝟔
𝟒𝒏+𝟏 −𝟏
(∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝟏 + 𝟒 + 𝟒𝟐 + ⋯ ⋯ + 𝟒𝒏 = 𝟐 Et montrons :
𝟑
𝟑) Montrons que : (∀ 𝐧 ∈ ℕ ) 4)Montrons que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟐𝒏 ≥ 𝒏 𝟏𝟐 + 𝟐𝟐 + ⋯ 𝐧 + (𝐧 + 𝟏)𝟐 =
(𝐧 + 𝟏)(𝐧 + 𝟐)(𝟐𝐧 + 𝟑)
𝟐 ➢ Pour 𝒏 = 𝟎 on a : 𝟐𝟎 = 𝟏 ≥ 𝟎 𝟔
𝟑 𝟑 𝟑
𝐧(𝐧 + 𝟏)
𝟑 𝐧(𝐧 + 𝟏)(𝟐𝐧 + 𝟏)
𝟏 + 𝟐 + 𝟑 … + (𝐧 − 𝟏) + 𝐧 = [ ] Donc la proposition est vraie pour 𝒏 = 𝟎 𝟏𝟐 + 𝟐𝟐 + ⋯ + 𝐧 + (𝐧 + 𝟏)𝟐 = + (𝐧 + 𝟏)𝟐
𝟐 𝟔
𝟏×(𝟏+𝟏) 𝟐
➢ Soit 𝐧 ∈ ℕ 𝐧(𝐧 + 𝟏)(𝟐𝐧 + 𝟏) + 𝟔(𝐧 + 𝟏)𝟐
➢ Pour 𝒏 = 𝟏 on a : 𝟏 = [ ] Supposons que : 𝟐𝒏 ≥ 𝒏 =
𝟐 𝟔
Donc la proposition est vraie pour 𝒏 = 𝟏 Et montrons que : 𝟐𝒏+𝟏 ≥ 𝒏 + 𝟏 (𝐧 + 𝟏)(𝐧(𝟐𝐧 + 𝟏) + 𝟔(𝐧 + 𝟏))
=
➢ Soit 𝐧 ∈ ℕ∗ 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝟐𝒏 ≥ 𝒏 𝒆𝒕 𝒐𝒏 𝒂 𝟐 ≥ 𝟏 𝟔
Supposons que : (𝐧 + 𝟏)(𝟐𝐧𝟐 + 𝟕𝐧 + 𝟔)
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟐𝒏 ≥ 𝒏 𝒆𝒕 𝟐𝒏 ≥ 𝟏 =
𝟐 𝟔
𝟑 𝟑
𝐧(𝐧 + 𝟏) 𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝟐𝒏 + 𝟐𝒏 ≥ 𝒏 + 𝟏 (𝐧 + 𝟏)(𝐧 + 𝟐)(𝟐𝐧 + 𝟑)
𝟏 + 𝟐 + 𝟑 … + (𝐧 − 𝟏 )𝟑 𝟑
+𝐧 =[ ]
𝟐 𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝟐 × 𝟐𝒏 ≥ 𝒏 + 𝟏 =
𝟔
Et montrons : 𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝟐𝒏+𝟏 ≥ 𝒏 + 𝟏 ➢ D’après le principe de récurrence on a :
𝟐
(𝐧 + 𝟏)(𝐧 + 𝟐) ➢ D’après le principe de récurrence en 𝐧(𝐧 + 𝟏)(𝟐𝐧 + 𝟏)
𝟏 + 𝟐𝟑 + ⋯ + (𝐧)𝟑 + (𝐧 + 𝟏)𝟑 = [ ] (∀ 𝐧 ∈ ℕ∗ ): 𝟏𝟐 + 𝟐𝟐 + ⋯ + 𝐧𝟐 =
𝟐 conclut que : ∀ 𝐧 ∈ ℕ ; 𝟐𝒏 ≥ 𝒏 𝟔