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1) Raisonnement par récurrence 2) Suite majorée ; minorée ; bornée 5) Limite de la suite géométrique (𝒒𝒏 )
Soit P(n) une proposition tel que 𝒏 ≥ 𝒏𝟎 , Si 𝑼𝒏 > 𝒂 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒎𝒊𝒏𝒐𝒓é𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒂 −𝟏 < 𝒒 < 𝟏 ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝒒𝒏 = 𝟎
𝒏→+∞
la propriété P(n) est vraie pour n0 𝑼𝒏 < 𝒃 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒎𝒂𝒋𝒐𝒓é𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒃 𝒒 > 𝟏⇒ 𝒏
𝐥𝐢𝐦 𝒒 = +∞
Pour n un entier fixé tel que 𝒏 ≥ 𝒏𝟎 𝒏→+∞
La proposition : 𝑷(𝒏) ⇒ 𝒑(𝒏 + 𝟏) 𝒂 < 𝑼𝒏 < 𝒃 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒃𝒐𝒓𝒏é𝒆 𝒒 < −𝟏 ⇒ 𝒏
(𝒒 ) n’admet pas de limite
est vraie 3) Suite convergente 6) Limite d’une suite et l’ordre
Alors la propriété P(n) est vraie pour Toute suite croissante et majorée est 𝑽𝒏 < 𝑼𝒏
tout entier n ³ n0 convergente { 𝐥𝐢𝐦 𝑽 = +∞ ⇒
𝒏
𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = +∞
𝒏→+∞
Exemple : Toute suite décroissante et minorée est 𝒏→+∞
convergente 𝑼𝒏 < 𝑽𝒏
La suite (Un) définie pour tout entier { 𝐥𝐢𝐦 𝑽 = −∞ ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = −∞
naturel n par 𝐮𝐧+𝟏 = 𝐮𝐧 + 𝟐𝐧 + 𝟑 et 𝐮𝟎 = 𝟏. 4) Suite géométrique - arithmétique 𝒏→+∞
𝒏 𝒏→+∞
Démontrer par récurrence que (𝑼𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 une suite de premier terme 𝑼𝟎 et 𝑽𝒏 < 𝑼𝒏 < 𝑾𝒏
𝟐
pour tout n entier naturel ; 𝐮𝐧 = (𝐧 + 𝟏) . p un entier tel que 𝟎 ≤ 𝒑 ≤ 𝒏 { 𝐥𝐢𝐦 𝑽𝒏 = 𝐥𝐢𝐦𝑾𝒏 = 𝒍 ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = 𝒍
𝟐
Pour n=0 on a : (𝟎 + 𝟏) = 𝟏 = 𝐮𝟎 . (𝑼𝒏 ) géométrique (𝑼𝒏 ) arithmétique 𝒏→+∞ 𝒏→+∞
𝒏→+∞
Donc la propriété est donc vraie pour n = 0. Définition : Définition : |𝑼𝒏 − 𝒍| < 𝑽𝒏
Soit n un entier naturel . { 𝐥𝐢𝐦 𝑽 = 𝟎 ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = 𝒍
𝑼𝒏+𝟏 = 𝒒 𝑼𝒏 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 = 𝒓 𝒏→+∞
𝒏 𝒏→+∞
𝟐
Supposons que 𝐮𝐧 = (𝐧 + 𝟏) . ( H.R) 𝑼𝒏 en fonction de n 𝐔𝐧 en fonction de n
et démontrons que 𝐮𝐧+𝟏 = (𝐧 + 𝟏 + 𝟏)𝟐 , 7) La suite (𝐕𝐧 ) définie par : 𝐕𝐧 = 𝒇(𝐔𝐧 )
𝑼𝒏 = 𝑼𝒑 × 𝒒𝒏−𝒑 𝑼𝒏 = 𝑼𝒑 + (𝒏 − 𝒑)𝒓 Si la fonction 𝒇 est continue en 𝒍 et
soit encore 𝐮𝐧+𝟏 = (𝐧 + 𝟐)𝟐
𝐮𝐧+𝟏 = 𝐮𝐧 + 𝟐𝐧 + 𝟑, par définition Cas particulier : Cas particulier : 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = 𝒍 alors 𝐥𝐢𝐦 𝑽𝒏 = 𝒇(𝒍 )
𝒏 𝒏→+∞ 𝒏→+∞
= (𝐧 + 𝟏)𝟐 + 𝟐𝐧 + 𝟑 , (par H.R) 𝑼𝒏 = 𝑼𝟎 × 𝒒 𝑼𝒏 = 𝑼𝟎 + 𝒏𝒓
𝟐 8) La suite (𝐔𝐧 ) liée à une fonction 𝒇 ,
= 𝐧 + 𝟐𝐧 + 𝟏 + 𝟐𝐧 + 𝟑 Somme des termes Somme des termes
𝟐 (
= 𝐧 + 𝟒𝐧 + 𝟒 = 𝐧 + 𝟐 ) 𝟐 définie par : 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒇(𝐔𝐧 )
𝑺𝒏 = 𝑼𝒑 + ⋯ + 𝑼𝒏 𝑺𝒏 = 𝑼𝒑 + ⋯ + 𝑼𝒏
Conclusion : f une fonction définie sur un intervalle 𝑰
𝟏 − 𝒒𝒏−𝒑+𝟏 (𝒏 − 𝒑 + 𝟏)(𝑼𝒑 + 𝑼𝒏 )
D'après le principe de récurrence, on a = 𝑼𝒑 = et (𝐔𝐧 ) une suite définie par
𝟏−𝒒 𝟐
Pour tous entier naturel ; 𝐮𝐧 = (𝐧 + 𝟏)𝟐. Cas particulier : (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒇(𝐔𝐧 ) et 𝐔𝟎 ∈ 𝑰
2) Suite croissante ; décroissante Cas particulier :
𝑺𝒏 = 𝑼𝟎 + ⋯ + 𝑼𝒏 et (𝐔𝐧 ) la suite tel que : 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒇(𝐔𝐧 ) ; si
𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 > 𝟎 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝑺𝒏 = 𝑼𝟎 + ⋯ + 𝑼𝒏
(𝒏 + 𝟏)(𝑼𝟎 + 𝑼𝒏 ) f est continue sur l’intervalle 𝑰
𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 < 𝟎 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒅é𝒄𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝟏 − 𝒒𝒏+𝟏 =
= 𝑼𝟎 𝟐 𝒇(𝑰) ⊂ 𝑰
𝑼 − 𝑼 = 𝟎 ⇒ (𝑼 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒂𝒏𝒕𝒆 𝟏−𝒒
𝒏+𝟏 𝒏 𝒏
a ; b et c trois a ; b et c trois termes La suie (𝐔𝐧 ) est convergente
(𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 alors (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝑼𝒏 ≥ 𝑼𝟎 termes consécutifs consécutifs Alors la limite de la suite (𝐔𝐧 ) est l la
(𝑼𝒏 ) est décroissante alors∀𝒏 ∈ ℕ; 𝑼𝒏 ≤ 𝑼𝟎
𝒂 × 𝒄 = 𝒃𝟐 𝒂 + 𝒄 = 𝟐𝒃 solution de l’ équation 𝒇(𝒙) = 𝒙
Lycée abde el moumne oujda Résumé de cours1 : NOMBRES COMPLEXES 2bac bioF Prof : Fayssal
A) Ensemble des nombres complexe 𝒛 B) Argument d’un complexe z : 𝒂𝒓𝒈(𝒛) 𝒙 𝟎 𝝅 𝝅 𝝅 𝝅
ℂ = {𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 \(𝒂; 𝒃) ∈ ℝ𝟐 𝒆𝒕 𝒊𝟐 = −𝟏} On appelle argument de 𝟔 𝟒 𝟑 𝟐
z une mesure 𝜽, en radian 𝒔𝒊𝒏 𝒙 𝟎 𝟏 √𝟐 √𝟑 𝟏
L’écriture 𝒂 + 𝒊𝒃 s’appelle la forme
de l’angle orienté (𝒆 ⃗⃗⃗⃗𝟏 , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑴) 𝟐 𝟐 𝟐
algébrique du nombre 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 𝟏
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝒄𝒐𝒔𝒙 𝟏 √𝟑 √𝟐 𝟎
1) Conjugué d’un nombre complexe z : 𝒛̅ 𝒂𝒓𝒈(𝒛) ≡ (𝒆 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ )[𝟐𝝅]
⃗⃗⃗⃗𝟏 , 𝑶𝑴
𝟐 𝟐 𝟐
𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 ⇔ 𝒛̅ = 𝒂 − 𝒊𝒃 ; 𝒛̅ le conjugué de z 1) Opérations sur l’argument
Propriété de conjugué d’un complexe 𝐚𝐫𝐠(𝒛𝒛′ ) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝒛) + 𝐚𝐫𝐠(𝒛′ ) [𝟐𝝅]
̅̅̅̅̅̅̅̅
𝐳 + 𝐳′ = 𝐳̅ + 𝐳̅′ ; 𝐳̅̅̅̅̅̅̅̅
× 𝐳 ′ = × 𝐳̅′ ; 𝒛̅ = 𝒛 𝒛 𝒂; 𝒃 ∈ ℝ∗+
𝐚𝐫𝐠 ( ′) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝒛) − 𝐚𝐫𝐠(𝒛′ ) [𝟐𝝅]
̅𝐳 = 𝐳̅ ; 𝒛𝒛̅ = 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 ; ̅̅̅
𝐳 𝐧 = (𝐳̅)𝐧
𝒛
𝟏
𝐳 ′̅
𝐳′ 𝐚𝐫𝐠 ( ) ≡ − 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
𝒛
𝒛 ∈ ℝ ⇔ 𝒛 = 𝒛̅ ; 𝒛 ∈ 𝒊ℝ ⇔ 𝒛̅ = −𝒛
𝐚𝐫𝐠( 𝒛𝒏 ) ≡ 𝐧 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
2) Représentation géométrique d’un complexe
𝐚𝐫𝐠(𝒛̅) ≡ − 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
𝐚𝐫𝐠(−𝒛) ≡ 𝝅 + 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
2) Forme trigonométrique d’un complexe
𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 =∣ 𝒛 ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) 3)Opérations sur la forme trigonométrique
𝒂 𝒃
avec 𝐜𝐨𝐬(𝜽) = et 𝒔𝒊𝒏(𝜽) = 𝑶𝒏 𝒑𝒐𝒔𝒆 𝒛 =∣ 𝒛 ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) = [𝒓, 𝜽]
∣𝒛∣ ∣𝒛∣
L’écriture : 𝒛 =∣ 𝒛 ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) 𝑬𝒕 ∶ 𝒛′ =∣ 𝒛′ ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽′) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽′)) = [𝒓′, 𝜽′]
Soit 𝑨(𝒛𝑨 ); 𝑩(𝒛𝑩 ) et 𝑪(𝒛𝒄 )des points du plan :
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝒆𝒔𝒕 ∶ 𝒁⃗⃗⃗⃗⃗⃗
est appelé forme trigonométrique du 𝒛𝒛′ = [𝒓, 𝜽][𝒓′ , 𝜽′ ] = [𝒓𝒓′ ; 𝜽 + 𝜽′ ]
L’affixe du vecteur𝑨𝑩 𝑨𝑩 = 𝒛𝑩 − 𝒛𝑨 complexe z avec 𝛉 un argument de z 𝒛 [𝒓 ,𝜽 ] 𝒓
L’affixe de I le milieu du segment [AB] est = [𝒓′ = [ ′ ; 𝜽 − 𝜽′ ]
𝒛 +𝒛
Détermination du forme trignométrique 𝒛′ ,𝜽′ ] 𝒓
𝟏 𝟏 𝟏
𝒛𝑰 tel que : 𝒁𝑰 = 𝑩 𝑨 Cas particulier 𝒂; 𝒃 ∈ ℝ∗+ = [𝒓,𝜽] = [ ; − 𝜽]
𝟐 𝒛 𝒓
𝐳𝐁 −𝐳𝐀
Points A, B et C sont alignés ⇔ ∈ 𝐈𝐑 𝒛 = 𝒂 ∈ ℝ∗+ ⇔ 𝐚𝐫 𝐠(𝒛) ≡ 𝟎 [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒂 𝒛𝒏 = [𝒓, 𝜽]𝒏 = [𝒓𝒏 , 𝒏𝜽]; 𝒏 ∈ 𝒁
𝐳𝐂 −𝐳𝐀
3) Module d’un nombre complexe z : ∣ 𝒛 ∣ 𝒛 = −𝒂 ∈ ℝ∗− ⇔ 𝐚𝐫 𝐠(𝒛) ≡ 𝝅 [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒂 4) Interprétation géométrique d’argument
𝝅
Le module de 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 d’image M est le 𝒛 = 𝒊𝒃 ∈ 𝒊ℝ∗+ ⇔ 𝐚𝐫𝐠(𝒛) ≡ [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒃 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝒛 −𝒛
𝟐 (𝑨𝑩 𝑨𝑪) ≡ 𝐚𝐫𝐠( 𝑪 𝑨 )[𝟐𝝅]
nombre réel positif noté ∣ 𝒛 ∣ définie par 𝝅 𝒛𝑩 −𝒛𝑨
𝒛 = −𝒊𝒃 ∈ 𝒊ℝ∗− ⇔ 𝐚𝐫𝐠 𝒛 ≡ − [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒃 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝒛 −𝒛
∣ 𝒛 ∣= 𝑶𝑴 = √𝒛𝒛̅ = √𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝑨𝑩 𝑫𝑪) ≡ 𝐚𝐫𝐠( 𝑪 𝑫)[𝟐𝝅]
Propriété de module et Distance Cas générale ou 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 ; 𝒂; 𝒃 ∈ ℝ∗ 𝒛𝑩 −𝒛𝑨
𝒛 −𝒛
1) On calcule ∣ 𝒛 ∣ le module de 𝒛 (AB) // (DC) ⇔ 𝐚𝐫𝐠( 𝑪 𝑫) ≡ 𝟎[𝝅]
∣ 𝒛 ∣=∣ −𝒛 ∣=∣ 𝐳̅ ∣=∣ −𝐳̅ ∣= √𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 𝒂 𝒃
𝒛𝑩 −𝒛𝑨
𝒛 −𝒛 𝝅
∣ 𝒛 × 𝒛′ ∣=∣ 𝒛 ∣×∣ 𝒛′ ∣
𝒛 ∣𝒛∣
; ∣ ′ ∣= ′ 2)Factorisation: 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 =∣ 𝒛 ∣ ( + 𝒊) (𝑨𝑩) ⊥ (𝐃𝐂)⇔𝐚𝐫𝐠( 𝑪 𝑫) ≡ [𝝅]
∣𝒛∣ ∣𝒛∣ 𝒛𝑩 −𝒛𝑨 𝟐
𝒛 ∣𝒛 ∣
𝒏
∣ 𝒛 ∣=∣ 𝒛 ∣ 𝒏
; ′ ′
∣ 𝒛 + 𝒛 ∣≤ ∣ 𝒛 ∣ +∣ 𝒛 ∣ 3) On cherche 𝜽 un argument de z tel que * A,B,C et D sont cocycliques ( appartenant
𝒂 𝒃
Soient 𝑨(𝒛𝑨 ) 𝒆𝒕 𝑩(𝒛𝑩 ) deux points alors la 𝐜𝐨𝐬 ( 𝜽) = et 𝒔𝒊𝒏 ( 𝜽) = 𝒛 −𝒛 𝒛 −𝒛
∣𝒛∣ ∣𝒛∣ au même cercle) ⇔ ( 𝑪 𝑨 × 𝑩 𝑫 ) ∈ 𝑰𝑹
distance AB définie par : 𝑨𝑩 =∣ 𝒛𝑩 − 𝒛𝑨 ∣ en utilisant le tableau et le cercle suivant : 𝒛𝑩 −𝒛𝑨 𝒛𝑪 −𝒛𝑫
Lycée abde el moumne oujda Résumé de cours 02 : NOMBRES COMPLEXES 2bac bioF Prof : Fayssal
C) Notation exponentielle 𝒆𝒊𝜽 E) Transformation dans le plan ABC triangle isocèle et rectangle en A
On note 𝒆𝒊𝜽 le complexe de module 1 et Translation 𝑻⃗𝒖 de vecteur 𝒖 ⃗ (𝒛⃗𝒖 ) 𝐀𝐁 = 𝐀𝐂
d’argument 𝜽 donc 𝒆𝒊𝜽 = 𝐜𝐨𝐬( 𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽) ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝝅
Soit M’(z’) l’image de point M(z) par 𝐞𝐭 (𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪) ≡ [𝝅]
1) Forme exponentielle : 𝐳 = 𝐫 𝐞𝐢𝛉 𝟐
⃗ d’affixe 𝒛𝒖⃗
translation 𝑻𝒖⃗ de vecteur 𝒖
𝒛 =∣ 𝒛 ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) =∣ 𝐳 ∣ 𝐞𝐢𝛉 ABC triangle Equilatérale
𝐀𝐁 = 𝐀𝐂
L’écriture 𝒛 =∣ 𝒛 ∣ 𝐞𝐢𝛉 , est appelé forme ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝝅
𝐞𝐭 (𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪) ≡ [𝝅]
exponentielle du complexe z 𝟑
2) Opérations sur la forme exponentielle l’écriture complexe du translation 𝑻𝒖⃗ ABCD est un Parallélogramme
𝒊𝜽 ′ ′ 𝒊𝜽′ ′ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝑼 ⃗⃗
Soient 𝒛 = 𝒓𝒆 et 𝒛 = 𝒓 𝒆 𝑻𝒖⃗ (𝑴) = 𝑴 ⇔ 𝐌𝐌 ′
𝟏) 𝐀𝐁 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑫𝑪 A D
Donc 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏𝐀 (𝐁) + 𝐏(𝐀 ̅ ) × 𝐏𝐀̅ (𝐁) La variance de la variable aléatoire 𝐗 est le nombre réel noté
𝟐
Cette relation est appelée loi des probabilités totales. 𝐕(𝐗) définie par : 𝐕(𝐗) = 𝐄(𝐗 𝟐 ) − (𝐄(𝐗))
4) Indépendance de deux événements. 𝐢=𝐧
Soient 𝐀 et 𝐁 deux événements associés à une même expérience 𝐀𝐯𝐞𝐜 𝐄(𝐗 𝟐 ) = ∑ 𝐱 𝐢𝟐 𝐩𝐢 = 𝐱 𝟏𝟐 𝐩𝟏 + 𝐱 𝟐𝟐 𝐩𝟐 + ⋯ + 𝐱 𝐧𝟐 𝐩𝐧
On dit que les événements 𝐀 et 𝐁 sont indépendants si 𝐢=𝟏
𝐏(𝐀 ∩ 𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏(𝐁). L’écart-type de 𝐗 est : 𝛔(𝐗) = √𝐕(𝐗)
Les événements 𝐀 et 𝐁 sont indépendants si et seulement 3) Loi binomiale.
𝐏𝐀 (𝐁) = 𝐏(𝐁) ; avec 𝐏(𝐀) ≠ 𝟎 Soit une expérience aléatoire formée d’une répétition 𝐧 fois de
5) Epreuves répétées. manière indépendante d’une même épreuve à deux issues sont :
Soit 𝐀 un événement associé à une expérience de probabilité 𝐩.
𝐀 succès de probabilité 𝐩, et 𝐀 ̅ échec de probabilité 𝐪 = 𝟏 − 𝐩
On répète l’expérience n fois dans les mêmes conditions
Soit 𝐗 la variable aléatoire égale au nombre de fois que le succès
Alors la probabilité de réaliser exactement 𝐤 fois l’événement 𝐀
se réalise au cours de cette expérience.
est : 𝐂𝐧𝐤 𝐩𝐤 (𝟏 − 𝐩)𝐧−𝐤 , pour tout 𝐤 ∈ {𝟎, 𝟏, 𝟐, … , 𝐧} On dit que la variable aléatoire 𝐗 suit la loi binomiale de
C) Variable aléatoire-Loi de probabilité d’une variable aléatoire. paramètres 𝐧 et 𝐩, notée 𝐗 → 𝐁(𝐧; 𝐩).
1) Définitions : La loi de probabilité de la variable aléatoire 𝐗 est appelée loi
Toute fonction définie sur l’univers 𝛀 à valeur dans ℝ est
binomiale de paramètres 𝐧 et 𝐩.
appelée variable aléatoire, notée 𝐗 ou 𝐘 ou 𝐙….
Propriété.
Les valeurs prises par la variable aléatoire 𝐗 notées 𝛀(𝐗).
Soit 𝐗 une variable aléatoire suit une loi binomiale de
Soit 𝐗 une variable aléatoire définie sur un univers 𝛀 associé à paramètres 𝐧 et 𝐩, on a :
une expérience aléatoire telle que : 𝐗(𝛀) = {𝐱 𝟏 , 𝐱 𝟐 , … , 𝐱 𝐧 }. Les valeurs prise par la variable aléatoire 𝐗 sont : {𝟎, 𝟏, 𝟐, … , 𝐧}
Déterminer la loi de probabilité de la variable aléatoire 𝐗, (∀𝐤 ∈ {𝟎, 𝟏, 𝟐, … , 𝐧} ) ∶ 𝐏(𝐗 = 𝐤) = 𝐂𝐧𝐤 𝐩𝐤 (𝟏 − 𝐩)𝐧−𝐤 .
C’est calculer la probabilité de chacun des événements {𝐗 = 𝐱 𝐢 } où L’espérance de la variable aléatoire 𝐗 est : 𝐄(𝐗) = 𝐧𝐩.
𝐢 ∈ {𝟏, 𝟐, … , 𝐧}. La variance de la variable aléatoire 𝐗 est :
On résume la loi de probabilité de 𝐗 par le tableau suivant : 𝐕(𝐗) = 𝐧𝐩𝐪 = 𝐧𝐩(𝟏 − 𝐩) = 𝐄(𝐗). (𝟏 − 𝐩)
𝐱𝐢 𝐱𝟏 𝐱𝟐 … 𝐱𝐧
L’écart-type de 𝐗 est : 𝛔(𝐗) = √𝐕(𝐗) = √𝐧𝐩(𝟏 − 𝐩)
𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) 𝐩𝟏 𝐩𝟐 … 𝐩𝐧
Lycée abde el moumne oujda Résumé de cours Etude de fonctions 2 2bac biof Prof : fayssal
Définition : La fonction exponentielle Définition fonction logarithme népérien Primitive d’une fonction : 𝒓 ∈ ℚ/−𝟏
𝟏 𝒙𝟐
La fonction réciproque de la fonction ln La primitive de 𝒙 ⟼ sur ]𝟎, +∞[ qui ∫𝟏 = 𝒙+𝒄 ; ∫𝒙 = + 𝒄
𝒙 𝟐
est appelé fct exponentielle, elle est 𝒓+𝟏
s’annule en 1 est appelée fonction 𝒙 𝑼(𝒙)𝒓+𝟏
définie et dérivable Sur IR 𝒓
∫𝒙 = 𝒓
; ∫ 𝑼′(𝒙) × 𝑼(𝒙) =
Pour tout 𝒙 dans 𝑰𝑹 : 𝐞𝐱𝐩(𝐱) = 𝐞𝐱 logarithme népérien on la note par ln 𝒓+𝟏 𝒓+𝟏
La fonction ln est définit et dérivable 𝑼′ (𝒙)
Pour tout 𝒙 de 𝑰𝑹: 𝐞𝐱 > 𝟎 et 𝐞𝟎 = 𝟏 ∫
𝟐√𝑼(𝒙)
= √𝑼(𝒙) ; ∫ 𝐞𝒙 = 𝐞𝒙
′ sur l’intervalle ]𝟎, +∞[ et 𝒍𝒏(𝟏) = 𝟎
(𝐞𝐱 )′ = 𝐞𝐱 et (𝐞𝐔(𝐱) ) = 𝐔′(𝐱)𝐞𝑼(𝒙) 𝟏
Pour tout 𝒙 de ]𝟎, +∞[ : 𝒍𝒏′ (𝒙) =
𝟏
∫ 𝐔′(𝐱)𝐞𝑼(𝒙) = 𝐞𝑼(𝒙) ; ∫ 𝐞𝒂𝒙 = 𝒂 𝐞𝒂𝒙
Propriétés algébrique le la fonction exp 𝒙
𝟏 On a ; 𝐋𝐧(𝒆) = 𝟏 avec le nombre e est 𝟏 𝑼′ (𝒙)
𝐞 𝐱+𝐲
=𝐞 ×𝐞 𝒙 𝒚
; 𝐱
𝐞 ≠𝟎 ; 𝐞 −𝐱
= ∫ = 𝐥𝐧(|𝒙|) ; ∫ = 𝐥𝐧(|𝑼(𝒙)|)
𝐞𝐱 un nombre irrationnel ; 𝒆 ≈ 𝟐, 𝟕 𝒙 𝑼(𝒙)
𝐞𝐱
𝐞𝐱−𝐲 = et (𝐞𝐱 )𝒓 = 𝐞𝐫𝐱 ;𝒓 ∈ ℚ Propriétés algébriques le la fonction ln ∫ 𝒔𝒊𝒏 𝒙 = −𝒄𝒐𝒔 𝒙 ; ∫ 𝒄𝒐𝒔 𝒙 = 𝒔𝒊𝒏 𝒙
𝐞𝒚 𝟏
Equations et inéquations 𝐥𝐧(𝒙 × 𝒚) = 𝐥𝐧(𝒙) + 𝐥𝐧(𝒚) ∫ 𝒄𝒐𝒔(𝒂𝒙 + 𝒃) = 𝒔𝒊𝒏(𝒂𝒙 + 𝒃) + 𝒄
𝒂
𝒙 𝟏 𝟏
𝐞 = 𝐞 ⇔ 𝒙 = 𝒚 ; 𝐞 𝐱 < 𝐞𝒚 ⇔ 𝒙 < 𝒚
𝐱 𝒚
𝐥𝐧 ( ) = 𝐥𝐧(𝒙) − 𝐥𝐧(𝒚) ; 𝐥𝐧 ( ) = − 𝐥𝐧(𝒙) ∫ 𝒔𝒊𝒏(𝒂𝒙 + 𝒃) = − 𝒄𝒐𝒔(𝒂𝒙 + 𝒃) + 𝒄
𝒚 𝒙 𝒂
𝐋𝐧(𝐞𝐱 ) = 𝒙 𝒆𝒕 𝐞𝒍𝒏(𝒂) = 𝒂 ; avec 𝒂 > 𝟎 𝐥𝐧(𝒙 𝒓)
= 𝒓 𝒍𝒏(𝒙) ;𝒓 ∈ ℚ Les éléments de symétrie 𝒅𝒆 (𝑪𝒇)
𝐞𝐱 = 𝒂 ⇔ 𝒙 = 𝒍𝒏(𝒂) ; avec 𝒂 > 𝟎 Equations et inéquations Axe de symétrie de (𝑪𝒇)
Limites de la fonction exp 𝐥𝐧(𝒙) = 𝐥𝐧(𝒚) ⇔ 𝒙 = 𝒚 la droite d’équation (∆) : 𝒙 = 𝒂 est un
𝟎 ∞
𝑭𝑰: ; ; 𝟎×∞ ; +∞ − (+∞) 𝐥𝐧(𝒙) < 𝐥𝐧(𝒚) ⇔ 𝒙 < 𝒚 axe de symétrie de (𝑪𝒇) ssi ∀𝒙 ∈ 𝑫𝒇 ∶
𝟎 ∞
𝐥𝐢𝐦 𝐞 = 𝟎 𝐱 +
; 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = +∞ 𝐋𝐧(𝒙) = 𝟎 ⇔ 𝒙 = 𝟏 (𝟐𝒂 − 𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(𝟐𝒂 − 𝒙) = 𝒇(𝒙)
𝒙→−∞ 𝒙→+∞ le tableau de signe de ln𝒙 sur ]𝟎, +∞[ Cas particulier
𝐞𝐱
𝐥𝐢𝐦 𝒙 𝐞𝐱 = 𝟎− ; 𝐥𝐢𝐦 = +∞ x 0 1 +∞ La fonction f est paire ssi ∀𝒙 ∈ 𝑫𝒇 ∶
𝒙→−∞ 𝒙→+∞ 𝐱
𝐞𝐱 ln(x) -- 0 + (−𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(−𝒙) = 𝒇(𝒙)
𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝒓 𝐞𝐱 = 𝟎 ; 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝒙→−∞ 𝒙→+∞ 𝐱 𝒓 Limites de la fonction ln
𝐞𝐱 −𝟏 La droite (Oy)est un axe de symétrie de (𝑪𝒇)
𝐥𝐢𝐦 =𝟏 𝐥𝐢𝐦+ 𝐥𝐧(𝒙) = −∞ ; 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧(𝒙) = +∞
𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙→+∞ Centre de symétrie de (𝑪𝒇)
𝐥𝐧(𝐱)
Rappel : Continuité d’une fonction en un point 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝐥𝐧(𝒙) = 𝟎 −
; 𝐥𝐢𝐦 =𝟎 + Le point 𝑨(𝒂 ; 𝒃) est centre de symétrie
𝒙→𝟎+ 𝒙→+∞ 𝐱
𝐟 est continue en 𝐚 ⇔ 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐟(𝐚) 𝐥𝐧(𝐱) de (𝑪𝒇) ssi ∀𝒙 ∈ 𝑫𝒇 ∶
𝐱→𝐚
𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝒓 𝐥𝐧(𝒙) =𝟎 ; 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐟 est continue à droite de 𝐚 ⇔ 𝐥𝐢𝐦
𝐱→𝐚
𝐟(𝐱) = 𝐟(𝐚) 𝒙→𝟎+ 𝒙→+∞ 𝐱 𝒓 (𝟐𝒂 − 𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(𝟐𝒂 − 𝒙) + 𝒇(𝒙) = 𝟐𝒃
𝒍𝒏(𝒙) 𝒍𝒏(𝒙+𝟏)
𝐱>𝐚 𝐥𝐢𝐦 =𝟏 ; 𝐥𝐢𝐦 =𝟏 Cas particulier
𝐟 est continue à gauche de 𝐚 ⇔ 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐟(𝐚) 𝒙→𝟏 𝒙−𝟏 𝒙→𝟎 𝒙
𝐱→𝐚 Dérivée de la fonction ln(U) avec 𝐔 ≠ 𝟎 La fonction est impaire ssi ∀𝒙 ∈ 𝑫𝒇 ∶
𝐱<𝐚
La fonction 𝐟 est continue en 𝐚 ⇔ 𝐟 est continue Si U est dérivable sur I alors ln(U) est (−𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(−𝒙) = −𝒇(𝒙)
𝑼′ (𝒙)
à droite et à gauche du point 𝐚 dérivable sur I et on a ; 𝐥𝐧′(|𝐔(𝐱)|) = Le point 𝑶 est centre de symétrie de (𝑪𝒇)
𝑼(𝒙)
Lycée ibno el haytam oujda Résumé 3:CALCULE D’INTEGRALE PROF :FAYSSAL 2BAC BIOF
1)Primitive d’une fonction ( 𝒓 ∈ ℚ/−𝟏) 3) Propriétés d’intégrale: 6)Aire d’un domaine plan
La linéarité de l’intégrale L’aire du domaine délimité
∫𝟏 = 𝒙 ; ∫ 𝒌 = 𝒌𝒙
𝒃 𝒃 𝒃 par la courbe(𝑪𝒇 ) et l’axe
𝟐 𝒙𝒓+𝟏 ∫𝒂 𝐟(𝐱) + 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱 = ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 + ∫𝒂 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱
∫ √𝒙 = 𝒙√𝒙 ;
𝟑
∫ 𝒙𝒓 = 𝒓+𝟏
; des abscisses et les droites
𝒃 𝒃 d’équations 𝒙 = 𝒂 𝒆𝒕 𝒙 = 𝒃
𝒓 𝑼(𝒙)𝒓+𝟏 ∫𝒂 𝐤 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 = 𝐤 ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 ; avec 𝒌 ∈ ℝ
∫ 𝑼′(𝒙) × 𝑼(𝒙) = est :
𝒃
𝑨(𝒇) = (∫𝒂 |𝒇(𝐱)| 𝐝𝐱) × 𝒖. 𝑨
𝒓+𝟏 Relation de CHELS
𝑼′ (𝒙) 𝟏 𝑼′ (𝒙)
∫ 𝟐 =− ; ∫ = 𝟐√𝑼(𝒙) 𝒃 𝐜 𝒃
∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 = ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 + ∫𝒄 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱
Avec u.A est l’unité d’aire (1𝒖. 𝑨 = ‖𝒊‖ × ‖𝒊‖ )
𝑼 (𝒙) 𝑼(𝒙) √𝑼(𝒙)
𝟏 L’intégrale et l’ordre :
𝑺𝒊 ∶ 𝒇 > 0 sur[𝒂 ; 𝒃]alors :
∫ 𝐞𝒙 = 𝐞 𝒙 ; ∫ 𝐞𝒂𝒙 = 𝒂 𝐞𝒂𝒙 𝒃
𝒃
∫ 𝐔′(𝐱)𝐞𝑼(𝒙) = 𝐞𝑼(𝒙) ; Si ∀𝒙 ∈ [𝒂; 𝒃]; 𝒇(𝐱) > 0alors ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 > 0 𝑨(𝒇) = (∫ 𝒇(𝐱) 𝐝𝐱) 𝒖. 𝑨
∫ 𝐞−𝒙 = −𝐞−𝒙 𝒂
𝟏 𝑼′ (𝒙) 𝒃 𝒃
∫ = 𝐥𝐧(|𝒙|) ; ∫ = 𝐥𝐧(|𝑼(𝒙)|) Si f(𝐱) > 𝑔(𝑥)alors∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 > ∫𝒂 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱
𝒙 𝑼(𝒙) 𝒔𝒊 ∶ 𝒇 < 𝟎sur[𝒂 ; 𝒃] alors :
𝒃 𝒃 𝒃
∫ 𝒔𝒊𝒏 𝒙 = −𝒄𝒐𝒔 𝒙 ; ∫ 𝒄𝒐𝒔 𝒙 = 𝒔𝒊𝒏 𝒙 |∫𝒂 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱| ≤ ∫𝒂 |𝐠(𝐱)| 𝐝𝐱
𝑨(𝒇) = (∫ − 𝒇(𝐱) 𝐝𝐱) 𝒖. 𝑨
𝟏
∫ 𝒄𝒐𝒔(𝒂𝒙 + 𝒃) = 𝒔𝒊𝒏(𝒂𝒙 + 𝒃) 4) Valeur moyenne d’une fonction : 𝒂
𝒂
𝟏 Si f est une fonction continue sur [𝒂 ; 𝒃] Si 𝒇 > 𝟎 sur [𝒂 ; 𝒄]
∫ 𝒔𝒊𝒏(𝒂𝒙 + 𝒃) = − 𝒄𝒐𝒔(𝒂𝒙 + 𝒃) alors il existe au moins un réel c dans et𝒇 < 𝟎 sur [𝒄 ; 𝒃] alors :
𝒂
𝟏 𝒃 𝒄 𝒃
2)Définition d’intégrale d’une fonction [𝒂 ; 𝒃] tel que : 𝒇(𝒄) = ∫ 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 𝑨 = ∫ 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 + ∫ −𝒇(𝐱) 𝐝𝐱
𝒃−𝒂 𝒂
Soit F une primitive de f sur [𝒂 ; 𝒃] 𝟏 𝒃 𝒂 𝒄
∫𝒂
𝐟(𝐱)𝐝𝐱 , est appelé la valeur
𝒃−𝒂
L’intégrale de la fonction f de a à b est le D le domaine délimité
𝒃 moyenne de fonction sur [𝒂 ; 𝒃]
nombre réel noté par ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 tel que : par(𝑪𝒇 ) et(𝑪𝒈 )et les droites
5) Intégration par parties d’équations 𝒙 = 𝒂 𝒆𝒕 𝒙 = 𝒃
𝒃
∫ 𝒇(𝒙) 𝐝𝐱 = [𝐅(𝐱)]𝒃𝒂 = 𝑭(𝒃) − 𝑭(𝒂) Alors l’aire de domaine D est :
𝒂 𝒃