Vous êtes sur la page 1sur 12

Lycée abde el moumane oujda Résumé de cour : SUITE NUMERIQUE 2bac BIOF Prof : FAYSSAL

1) Raisonnement par récurrence 2) Suite majorée ; minorée ; bornée 5) Limite de la suite géométrique (𝒒𝒏 )
Soit P(n) une proposition tel que 𝒏 ≥ 𝒏𝟎 , Si  𝑼𝒏 > 𝒂 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒎𝒊𝒏𝒐𝒓é𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒂  −𝟏 < 𝒒 < 𝟏 ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝒒𝒏 = 𝟎
𝒏→+∞
 la propriété P(n) est vraie pour n0  𝑼𝒏 < 𝒃 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒎𝒂𝒋𝒐𝒓é𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒃  𝒒 > 𝟏⇒ 𝒏
𝐥𝐢𝐦 𝒒 = +∞
 Pour n un entier fixé tel que 𝒏 ≥ 𝒏𝟎 𝒏→+∞
La proposition : 𝑷(𝒏) ⇒ 𝒑(𝒏 + 𝟏)  𝒂 < 𝑼𝒏 < 𝒃 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒃𝒐𝒓𝒏é𝒆 𝒒 < −𝟏 ⇒ 𝒏
(𝒒 ) n’admet pas de limite
est vraie 3) Suite convergente 6) Limite d’une suite et l’ordre
 Alors la propriété P(n) est vraie pour  Toute suite croissante et majorée est 𝑽𝒏 < 𝑼𝒏
tout entier n ³ n0 convergente  { 𝐥𝐢𝐦 𝑽 = +∞ ⇒
𝒏
𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = +∞
𝒏→+∞
Exemple :  Toute suite décroissante et minorée est 𝒏→+∞
convergente 𝑼𝒏 < 𝑽𝒏
La suite (Un) définie pour tout entier  { 𝐥𝐢𝐦 𝑽 = −∞ ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = −∞
naturel n par 𝐮𝐧+𝟏 = 𝐮𝐧 + 𝟐𝐧 + 𝟑 et 𝐮𝟎 = 𝟏. 4) Suite géométrique - arithmétique 𝒏→+∞
𝒏 𝒏→+∞
Démontrer par récurrence que (𝑼𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 une suite de premier terme 𝑼𝟎 et 𝑽𝒏 < 𝑼𝒏 < 𝑾𝒏
𝟐
pour tout n entier naturel ; 𝐮𝐧 = (𝐧 + 𝟏) . p un entier tel que 𝟎 ≤ 𝒑 ≤ 𝒏  { 𝐥𝐢𝐦 𝑽𝒏 = 𝐥𝐢𝐦𝑾𝒏 = 𝒍 ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = 𝒍
𝟐
 Pour n=0 on a : (𝟎 + 𝟏) = 𝟏 = 𝐮𝟎 . (𝑼𝒏 ) géométrique (𝑼𝒏 ) arithmétique 𝒏→+∞ 𝒏→+∞
𝒏→+∞

Donc la propriété est donc vraie pour n = 0. Définition : Définition : |𝑼𝒏 − 𝒍| < 𝑽𝒏
 Soit n un entier naturel .  { 𝐥𝐢𝐦 𝑽 = 𝟎 ⇒ 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = 𝒍
𝑼𝒏+𝟏 = 𝒒 𝑼𝒏 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 = 𝒓 𝒏→+∞
𝒏 𝒏→+∞
𝟐
Supposons que 𝐮𝐧 = (𝐧 + 𝟏) . ( H.R) 𝑼𝒏 en fonction de n 𝐔𝐧 en fonction de n
et démontrons que 𝐮𝐧+𝟏 = (𝐧 + 𝟏 + 𝟏)𝟐 , 7) La suite (𝐕𝐧 ) définie par : 𝐕𝐧 = 𝒇(𝐔𝐧 )
𝑼𝒏 = 𝑼𝒑 × 𝒒𝒏−𝒑 𝑼𝒏 = 𝑼𝒑 + (𝒏 − 𝒑)𝒓 Si la fonction 𝒇 est continue en 𝒍 et
soit encore 𝐮𝐧+𝟏 = (𝐧 + 𝟐)𝟐
𝐮𝐧+𝟏 = 𝐮𝐧 + 𝟐𝐧 + 𝟑, par définition Cas particulier : Cas particulier : 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 = 𝒍 alors 𝐥𝐢𝐦 𝑽𝒏 = 𝒇(𝒍 )
𝒏 𝒏→+∞ 𝒏→+∞
= (𝐧 + 𝟏)𝟐 + 𝟐𝐧 + 𝟑 , (par H.R) 𝑼𝒏 = 𝑼𝟎 × 𝒒 𝑼𝒏 = 𝑼𝟎 + 𝒏𝒓
𝟐 8) La suite (𝐔𝐧 ) liée à une fonction 𝒇 ,
= 𝐧 + 𝟐𝐧 + 𝟏 + 𝟐𝐧 + 𝟑 Somme des termes Somme des termes
𝟐 (
= 𝐧 + 𝟒𝐧 + 𝟒 = 𝐧 + 𝟐 ) 𝟐 définie par : 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒇(𝐔𝐧 )
𝑺𝒏 = 𝑼𝒑 + ⋯ + 𝑼𝒏 𝑺𝒏 = 𝑼𝒑 + ⋯ + 𝑼𝒏
 Conclusion : f une fonction définie sur un intervalle 𝑰
𝟏 − 𝒒𝒏−𝒑+𝟏 (𝒏 − 𝒑 + 𝟏)(𝑼𝒑 + 𝑼𝒏 )
D'après le principe de récurrence, on a = 𝑼𝒑 = et (𝐔𝐧 ) une suite définie par
𝟏−𝒒 𝟐
Pour tous entier naturel ; 𝐮𝐧 = (𝐧 + 𝟏)𝟐. Cas particulier : (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒇(𝐔𝐧 ) et 𝐔𝟎 ∈ 𝑰
2) Suite croissante ; décroissante Cas particulier :
𝑺𝒏 = 𝑼𝟎 + ⋯ + 𝑼𝒏 et (𝐔𝐧 ) la suite tel que : 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒇(𝐔𝐧 ) ; si
 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 > 𝟎 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝑺𝒏 = 𝑼𝟎 + ⋯ + 𝑼𝒏
(𝒏 + 𝟏)(𝑼𝟎 + 𝑼𝒏 )  f est continue sur l’intervalle 𝑰
 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 < 𝟎 ⇒ (𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒅é𝒄𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝟏 − 𝒒𝒏+𝟏 =
= 𝑼𝟎 𝟐  𝒇(𝑰) ⊂ 𝑰
 𝑼 − 𝑼 = 𝟎 ⇒ (𝑼 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒕𝒂𝒏𝒕𝒆 𝟏−𝒒
𝒏+𝟏 𝒏 𝒏
a ; b et c trois a ; b et c trois termes  La suie (𝐔𝐧 ) est convergente
(𝑼𝒏 ) 𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 alors (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝑼𝒏 ≥ 𝑼𝟎 termes consécutifs consécutifs Alors la limite de la suite (𝐔𝐧 ) est l la
(𝑼𝒏 ) est décroissante alors∀𝒏 ∈ ℕ; 𝑼𝒏 ≤ 𝑼𝟎
𝒂 × 𝒄 = 𝒃𝟐 𝒂 + 𝒄 = 𝟐𝒃 solution de l’ équation 𝒇(𝒙) = 𝒙
Lycée abde el moumne oujda Résumé de cours1 : NOMBRES COMPLEXES 2bac bioF Prof : Fayssal
A) Ensemble des nombres complexe 𝒛 B) Argument d’un complexe z : 𝒂𝒓𝒈(𝒛) 𝒙 𝟎 𝝅 𝝅 𝝅 𝝅
ℂ = {𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 \(𝒂; 𝒃) ∈ ℝ𝟐 𝒆𝒕 𝒊𝟐 = −𝟏} On appelle argument de 𝟔 𝟒 𝟑 𝟐
z une mesure 𝜽, en radian 𝒔𝒊𝒏 𝒙 𝟎 𝟏 √𝟐 √𝟑 𝟏
 L’écriture 𝒂 + 𝒊𝒃 s’appelle la forme
de l’angle orienté (𝒆 ⃗⃗⃗⃗𝟏 , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑴) 𝟐 𝟐 𝟐
algébrique du nombre 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 𝟏
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝒄𝒐𝒔𝒙 𝟏 √𝟑 √𝟐 𝟎
1) Conjugué d’un nombre complexe z : 𝒛̅ 𝒂𝒓𝒈(𝒛) ≡ (𝒆 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ )[𝟐𝝅]
⃗⃗⃗⃗𝟏 , 𝑶𝑴
𝟐 𝟐 𝟐
𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 ⇔ 𝒛̅ = 𝒂 − 𝒊𝒃 ; 𝒛̅ le conjugué de z 1) Opérations sur l’argument
Propriété de conjugué d’un complexe  𝐚𝐫𝐠(𝒛𝒛′ ) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝒛) + 𝐚𝐫𝐠(𝒛′ ) [𝟐𝝅]
̅̅̅̅̅̅̅̅
𝐳 + 𝐳′ = 𝐳̅ + 𝐳̅′ ; 𝐳̅̅̅̅̅̅̅̅
× 𝐳 ′ = × 𝐳̅′ ; 𝒛̅ = 𝒛 𝒛 𝒂; 𝒃 ∈ ℝ∗+
 𝐚𝐫𝐠 ( ′) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝒛) − 𝐚𝐫𝐠(𝒛′ ) [𝟐𝝅]
̅𝐳 = 𝐳̅ ; 𝒛𝒛̅ = 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 ; ̅̅̅
𝐳 𝐧 = (𝐳̅)𝐧
𝒛
𝟏
𝐳 ′̅
𝐳′  𝐚𝐫𝐠 ( ) ≡ − 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
𝒛
 𝒛 ∈ ℝ ⇔ 𝒛 = 𝒛̅ ; 𝒛 ∈ 𝒊ℝ ⇔ 𝒛̅ = −𝒛
 𝐚𝐫𝐠( 𝒛𝒏 ) ≡ 𝐧 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
2) Représentation géométrique d’un complexe
 𝐚𝐫𝐠(𝒛̅) ≡ − 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
 𝐚𝐫𝐠(−𝒛) ≡ 𝝅 + 𝐚𝐫𝐠(𝒛) [𝟐𝝅]
2) Forme trigonométrique d’un complexe
𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 =∣ 𝒛 ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) 3)Opérations sur la forme trigonométrique
𝒂 𝒃
avec 𝐜𝐨𝐬(𝜽) = et 𝒔𝒊𝒏(𝜽) = 𝑶𝒏 𝒑𝒐𝒔𝒆 𝒛 =∣ 𝒛 ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) = [𝒓, 𝜽]
∣𝒛∣ ∣𝒛∣
L’écriture : 𝒛 =∣ 𝒛 ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) 𝑬𝒕 ∶ 𝒛′ =∣ 𝒛′ ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽′) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽′)) = [𝒓′, 𝜽′]
Soit 𝑨(𝒛𝑨 ); 𝑩(𝒛𝑩 ) et 𝑪(𝒛𝒄 )des points du plan :
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝒆𝒔𝒕 ∶ 𝒁⃗⃗⃗⃗⃗⃗
est appelé forme trigonométrique du  𝒛𝒛′ = [𝒓, 𝜽][𝒓′ , 𝜽′ ] = [𝒓𝒓′ ; 𝜽 + 𝜽′ ]
 L’affixe du vecteur𝑨𝑩 𝑨𝑩 = 𝒛𝑩 − 𝒛𝑨 complexe z avec 𝛉 un argument de z 𝒛 [𝒓 ,𝜽 ] 𝒓
 L’affixe de I le milieu du segment [AB] est  = [𝒓′ = [ ′ ; 𝜽 − 𝜽′ ]
𝒛 +𝒛
Détermination du forme trignométrique 𝒛′ ,𝜽′ ] 𝒓
𝟏 𝟏 𝟏
𝒛𝑰 tel que : 𝒁𝑰 = 𝑩 𝑨  Cas particulier 𝒂; 𝒃 ∈ ℝ∗+  = [𝒓,𝜽] = [ ; − 𝜽]
𝟐 𝒛 𝒓
𝐳𝐁 −𝐳𝐀
 Points A, B et C sont alignés ⇔ ∈ 𝐈𝐑 𝒛 = 𝒂 ∈ ℝ∗+ ⇔ 𝐚𝐫 𝐠(𝒛) ≡ 𝟎 [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒂  𝒛𝒏 = [𝒓, 𝜽]𝒏 = [𝒓𝒏 , 𝒏𝜽]; 𝒏 ∈ 𝒁
𝐳𝐂 −𝐳𝐀
3) Module d’un nombre complexe z : ∣ 𝒛 ∣ 𝒛 = −𝒂 ∈ ℝ∗− ⇔ 𝐚𝐫 𝐠(𝒛) ≡ 𝝅 [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒂 4) Interprétation géométrique d’argument
𝝅
Le module de 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 d’image M est le 𝒛 = 𝒊𝒃 ∈ 𝒊ℝ∗+ ⇔ 𝐚𝐫𝐠(𝒛) ≡ [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒃 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝒛 −𝒛
𝟐  (𝑨𝑩 𝑨𝑪) ≡ 𝐚𝐫𝐠( 𝑪 𝑨 )[𝟐𝝅]
nombre réel positif noté ∣ 𝒛 ∣ définie par 𝝅 𝒛𝑩 −𝒛𝑨
𝒛 = −𝒊𝒃 ∈ 𝒊ℝ∗− ⇔ 𝐚𝐫𝐠 𝒛 ≡ − [𝟐𝝅] et ∣ 𝒛 ∣= 𝒃 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝒛 −𝒛
∣ 𝒛 ∣= 𝑶𝑴 = √𝒛𝒛̅ = √𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
 (𝑨𝑩 𝑫𝑪) ≡ 𝐚𝐫𝐠( 𝑪 𝑫)[𝟐𝝅]
Propriété de module et Distance  Cas générale ou 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 ; 𝒂; 𝒃 ∈ ℝ∗ 𝒛𝑩 −𝒛𝑨
𝒛 −𝒛
1) On calcule ∣ 𝒛 ∣ le module de 𝒛  (AB) // (DC) ⇔ 𝐚𝐫𝐠( 𝑪 𝑫) ≡ 𝟎[𝝅]
 ∣ 𝒛 ∣=∣ −𝒛 ∣=∣ 𝐳̅ ∣=∣ −𝐳̅ ∣= √𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 𝒂 𝒃
𝒛𝑩 −𝒛𝑨
𝒛 −𝒛 𝝅
 ∣ 𝒛 × 𝒛′ ∣=∣ 𝒛 ∣×∣ 𝒛′ ∣
𝒛 ∣𝒛∣
; ∣ ′ ∣= ′ 2)Factorisation: 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 =∣ 𝒛 ∣ ( + 𝒊)  (𝑨𝑩) ⊥ (𝐃𝐂)⇔𝐚𝐫𝐠( 𝑪 𝑫) ≡ [𝝅]
∣𝒛∣ ∣𝒛∣ 𝒛𝑩 −𝒛𝑨 𝟐
𝒛 ∣𝒛 ∣
𝒏
 ∣ 𝒛 ∣=∣ 𝒛 ∣ 𝒏
; ′ ′
∣ 𝒛 + 𝒛 ∣≤ ∣ 𝒛 ∣ +∣ 𝒛 ∣ 3) On cherche 𝜽 un argument de z tel que * A,B,C et D sont cocycliques ( appartenant
𝒂 𝒃
 Soient 𝑨(𝒛𝑨 ) 𝒆𝒕 𝑩(𝒛𝑩 ) deux points alors la 𝐜𝐨𝐬 ( 𝜽) = et 𝒔𝒊𝒏 ( 𝜽) = 𝒛 −𝒛 𝒛 −𝒛
∣𝒛∣ ∣𝒛∣ au même cercle) ⇔ ( 𝑪 𝑨 × 𝑩 𝑫 ) ∈ 𝑰𝑹
distance AB définie par : 𝑨𝑩 =∣ 𝒛𝑩 − 𝒛𝑨 ∣ en utilisant le tableau et le cercle suivant : 𝒛𝑩 −𝒛𝑨 𝒛𝑪 −𝒛𝑫
Lycée abde el moumne oujda Résumé de cours 02 : NOMBRES COMPLEXES 2bac bioF Prof : Fayssal
C) Notation exponentielle 𝒆𝒊𝜽 E) Transformation dans le plan ABC triangle isocèle et rectangle en A
On note 𝒆𝒊𝜽 le complexe de module 1 et Translation 𝑻⃗𝒖 de vecteur 𝒖 ⃗ (𝒛⃗𝒖 ) 𝐀𝐁 = 𝐀𝐂
d’argument 𝜽 donc 𝒆𝒊𝜽 = 𝐜𝐨𝐬( 𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽) ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝝅
Soit M’(z’) l’image de point M(z) par 𝐞𝐭 (𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪) ≡ [𝝅]
1) Forme exponentielle : 𝐳 = 𝐫 𝐞𝐢𝛉 𝟐
⃗ d’affixe 𝒛𝒖⃗
translation 𝑻𝒖⃗ de vecteur 𝒖
𝒛 =∣ 𝒛 ∣ (𝐜𝐨𝐬(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) =∣ 𝐳 ∣ 𝐞𝐢𝛉 ABC triangle Equilatérale
𝐀𝐁 = 𝐀𝐂
L’écriture 𝒛 =∣ 𝒛 ∣ 𝐞𝐢𝛉 , est appelé forme ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝝅
𝐞𝐭 (𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪) ≡ [𝝅]
exponentielle du complexe z 𝟑
2) Opérations sur la forme exponentielle l’écriture complexe du translation 𝑻𝒖⃗ ABCD est un Parallélogramme
𝒊𝜽 ′ ′ 𝒊𝜽′ ′ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝑼 ⃗⃗
Soient 𝒛 = 𝒓𝒆 et 𝒛 = 𝒓 𝒆 𝑻𝒖⃗ (𝑴) = 𝑴 ⇔ 𝐌𝐌 ′
𝟏) 𝐀𝐁 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑫𝑪 A D

 ∣ 𝒆𝒊𝜽 ∣= 𝟏 ; 𝐚𝐫𝐠(𝒆𝒊𝜽 ) ≡ 𝜽[𝟐𝝅] ⇔ 𝒛′ = 𝒛 + 𝒛𝒖⃗ 2) Les diagonales


′ 𝒊𝜽 ′ 𝒊𝜽′
 𝒛𝒛 = 𝒓𝒆 𝒓 𝒆 = 𝒓𝒓 𝒆 ′ 𝒊(𝜽+𝜽′ ) Homothétie de centre 𝛀(𝝎) et de rapport k ont même milieu B C
𝒛 𝒓 𝒆𝒊𝜽 𝒓 ′ M’(z’) l’image de M(z) par l'homothétie ABCD est un Losange
 ′ = 𝒊𝜽′ = ′ 𝒆𝒊(𝜽−𝜽 )
𝒛 𝒓′ 𝒆 𝒓 h de centre 𝛀(𝝎) et de rapport 𝒌 1) Parallélogramme dont les diagonales
𝟏 𝟏 𝟏 −𝒊𝜽 −𝒊𝜽
 = 𝒊𝜽 = 𝒆 ; ̅𝒛 = 𝒓𝒆 sont perpendiculaires
𝒛 𝒓𝒆 𝒓
 ̅̅̅̅
𝒆𝒊𝜽 = 𝒆−𝒊𝜽 ; −𝒆𝒊𝜽 = 𝒆𝒊(𝜽+𝝅) 2) Parallélogramme 𝐞𝐭 𝐀𝐁 = 𝐀𝐃
Formule de MOIVRE l’écriture complexe del'homothétie h ABCD est un Rectangle
𝒏
 (𝒛)𝒏 = ( 𝒓𝒆𝒊𝜽 ) = 𝒓𝒏 𝒆𝒊𝒏𝜽 1) Parallélogramme qui a un angle droit
𝒉(𝑴) = 𝑴′ ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐌′ = 𝐤 𝛀𝐌 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏
(𝒄𝒐𝒔(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) = 𝐜𝐨𝐬(𝒏𝛉) + 𝐢 𝐬𝐢𝐧(𝐧𝛉) 2) Parallélogramme dont les diagonales
⇔ 𝒛’ − 𝝎 = 𝒌(𝒛 − 𝝎)
sont isométriques
3) Formule D’EULER Rotation R de centre 𝛀(𝝎) et d’angle 𝜽
𝒆𝒊𝜽 +𝒆−𝒊𝜽 𝒆𝒊𝜽 −𝒆−𝒊𝜽 ABCD est un Carré
𝐜𝐨𝐬(𝜽) = et 𝐬𝐢𝐧(𝜽) = Soit M’(z’) l’image du point M(z) par la
𝟐 𝟐𝒊
′ 𝟏) Rectangle et losange
D) Résolution d’équations du second degré Rotation R de centre 𝜴(𝝎) 𝒆𝒕 𝒅 𝒂𝒏𝒈𝒍𝒆 𝜽 𝝅
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ [𝝅] 𝐞𝐭 𝐀𝐁 = 𝐀𝐃
𝟐
Soit dans C l’équation (𝑬) : 𝒂𝒛 + 𝒃𝒛 + 𝒄 = 𝟎 𝟐) 𝐀𝐁 = 𝑫𝑪 𝐞𝐭 (𝑨𝑩 𝑨𝑫 ) ≡
𝟐
tels que a ; b et c sont des réels Ensemble des points M(z)
𝟐
On note 𝚫 = 𝒃 − 𝟒𝒂𝒄 son discriminant  l’ensemble des points M d’affixe z tel
Si 𝚫 < 0, alors l’équation (𝑬) a deux racines l’écriture complexe de la Rotation R est que : |𝒛 − 𝒛𝑨 | = 𝒓 est un cercle de
complexes distinctes conjuguées ′
centre 𝑨(𝒛𝑨 ) et de rayon r ;𝒓>0
𝒛𝟏 𝒆𝒕 𝒛𝟐 𝒕𝒆𝒍 𝒒𝒖𝒆 ∶ 𝛀𝐌 = 𝛀𝐌  l’ensemble des points M d’affixe z tel
𝑹(𝑴) = 𝑴′ ⇔ {̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
−𝒃+𝒊√−𝚫 −𝒃−𝒊√−𝚫 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝛀𝐌 𝛀𝐌 ′ ) ≡ 𝜽[𝟐𝝅] que : |𝒛 − 𝒛𝑨 | = |𝒛 − 𝒛𝑩 | est la droite (D)
𝒛𝟏 = et 𝒛𝟐 = ̅̅̅𝒛𝟏 =
𝟐𝒂 𝟐𝒂 ⇔ 𝒛′ − 𝝎 = 𝒆𝒊𝜽 (𝒛 − 𝝎) le médiatrice du segment [AB]
LYCEE ABDE EL MOUMEN OUJDA Résumé : GEOMETRIE DANS L’ESPACE Prof : FAYSSAL 2 bac sc & 1 bac SM
(𝑶, 𝒊, 𝒋 , ⃗𝒌)un repère orthonormé de l’espace Formule analytique de produit scalaire Position relative de deux plans
Condition de colinéarité de deux vecteurs Soient ⃗𝑼 ⃗ (𝒙; 𝒚; 𝒛) 𝒆𝒕 𝑽 ⃗ (𝒙′ ; 𝒚′ ; 𝒛′ )on a : Soient (𝑷) Un plan de vecteur normale 𝒏 ⃗
𝒙 𝒙′ et (𝑸) un plan de vecteur normale𝒏′ ⃗⃗⃗
Soient ⃗𝑼 ⃗ (𝒙; 𝒚; 𝒛) 𝒆𝒕 ⃗𝑽(𝒙′ ; 𝒚′ ; 𝒛′ )deux vecteurs
⃗⃗ ⃗⃗⃗
 𝑼 . 𝑽 = (𝒚) . (𝒚′) = 𝒙𝒙′ + 𝒚𝒚′ + 𝒛𝒛′  (𝑷)//(𝑸) ssi 𝒏⃗ et ⃗⃗⃗
𝒏′ sont colinéaire
⃗⃗ 𝒆𝒕 𝑽
𝑼 ⃗ sont colinéaires si ; ∃𝜶 ∈ 𝑰𝑹: 𝑼 ⃗⃗ = 𝜶𝑽 ⃗
𝒛 𝒛′
⃗⃗ ⃗
 𝑼 𝒆𝒕 𝑽 sont colinéaires si ∆𝒙 = ∆𝒚 = ∆𝒛 = 𝟎  ⃗𝑼 ⃗ ⊥ ⃗⃗⃗𝑽 ⟺ ⃗𝑼 ⃗ . ⃗𝑽 = 𝟎
𝒚 𝒚′ 𝒙 𝒙′
∆𝒙 = | | ; ∆𝒚 = | 𝒙 𝒙′ | 𝒆𝒕 ∆𝒛 = | | DROITE DANS L’ESPACE
𝒛 𝒛′ 𝒛 𝒛′ 𝒚 𝒚′ Soit (𝑫) la droite qui passant par le point
Vecteurs coplanaires 𝑨(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) et de vecteur directeur
⃗⃗ (𝒙; 𝒚; 𝒛) ; 𝑽
𝑼 ⃗ (𝒙′ ; 𝒚′ ; 𝒛′ ) et 𝑾 ⃗⃗⃗⃗ (𝒙′ ′; 𝒚′ ′; 𝒛′ ′) Les ⃗⃗⃗𝑼(𝒂; 𝒃; 𝒄)
⃗⃗ ⃗ ⃗
⃗⃗⃗
vecteurs 𝑼 ; 𝑽 et 𝑾 sont coplanaires Une représentation paramétrique de(𝑫)
𝟐
ssi ∃(𝜶; 𝜷) ∈ 𝑰𝑹 ∶ 𝑾 = 𝜶𝑼 + 𝜷𝑽 ⃗
⃗⃗⃗ ⃗⃗ ⃗ 𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝒂𝒕  (𝑷) ⊥ (𝑸) 𝒔𝒔𝒊 ⃗𝑼
⃗ et ⃗𝑽 sont orthogonaux
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
 Les vecteurs 𝑼 ⃗⃗ ; 𝑽 ⃗ et 𝑾
⃗⃗⃗⃗ sont coplanaires ( )
𝑫 : { = 𝒚𝑨 + 𝒃𝒕
𝒚
ssi 𝒅𝒆𝒕(𝑼 ⃗⃗ ; ⃗𝑽 ; ⃗𝑾⃗⃗⃗ ) = 𝟎 𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝒄𝒕
Position relative de deux droites
(𝑫) une droite de vecteur directeur 𝑼 ⃗⃗ et
(𝑫′) une droite de vecteur directeur ⃗𝑽
Norme d’un vecteur et distance entre deux  (𝑫)//(𝑫′) ssi ⃗𝑼 ⃗ et ⃗𝑽 sont colinéaire Position relative d’un plan et une droite
points 𝑨(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) 𝒆𝒕 𝑩(𝒙𝑩 ; 𝒚𝑩 ; 𝒛𝑩 )  (𝑫) ⊥ (𝑫′ )𝒔𝒔𝒊 𝑼 ⃗⃗ et 𝑽
⃗ sont orthogonaux (𝑫) une droite de vecteur directeur 𝑼 ⃗⃗
 Soit⃗⃗⃗⃗⃗𝑼(𝒙; 𝒚; 𝒛) un vecteur dans l’espace: Plan dans l’espace - Vecteur normale 𝒆𝒕 (𝑷) Un plan de vecteur normale 𝒏 ⃗
⃗⃗ ‖ = √𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐
‖𝑼  (𝑷) ⊥ (𝑫) ssi ⃗⃗⃗𝐧 et ⃗⃗⃗𝐔 sont colinéaires
 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩(𝒙𝑩 − 𝒙𝑨 ; 𝒚𝑩 − 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑩 − 𝒛𝑨 )
𝑨𝑩 = √(𝒙𝑩 − 𝒙𝑨 )𝟐 + (𝒚𝑩 − 𝒚𝑨 )𝟐 + (𝒛𝑩 − 𝒛𝑨 )𝟐
 Coordonnées de I le milieu de [𝑨𝑩] est ;  Tout vecteur 𝒏 ⃗ non nul sa direction est
𝒙 +𝒙 𝒚 +𝒚 𝒛 +𝒛
𝑰 ( 𝑨 𝑩 ; 𝑨 𝑩 ; 𝑨 𝑩) perpendiculaire au plan (𝑷)s’appelle
𝟐 𝟐 𝟐
vecteur normale au plan (𝑷)
Formule trigonométrique du produit scalaire
 Tout plan à une équation cartésienne 𝐧 et⃗⃗⃗𝐔 sont orthogonaux
 (𝑷)// (𝐃)𝒔𝒔𝒊 ⃗⃗⃗⃗
Soient ⃗𝑼
⃗ 𝒆𝒕⃗⃗⃗𝑽deux vecteurs non nuls dans de la forme : (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎
l’espace donc : 𝑼 𝑨𝑩 𝒆𝒕⃗⃗⃗⃗𝑽 = ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪  Le Vecteur ⃗⃗⃗𝒏(𝒂; 𝒃; 𝒄) est un vecteur
Le produit scalaire de ⃗𝑼 ⃗ 𝒆𝒕⃗⃗⃗𝑽 dans l’espace normal au plan (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎
est le nombre réel noté 𝑼 ⃗⃗ . ⃗⃗⃗𝑽 et définit par :  A un point et 𝒏 ⃗ un vecteur de l’espace
L’ensemble des points M(𝒙; 𝒚; 𝒛)de
⃗⃗ . ⃗⃗⃗𝑽 = 𝑨𝑩
 𝑼 𝑨𝑪 = 𝑨𝑩 × 𝑨𝑪 × 𝒄𝒐𝒔(⃐⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩; 𝑨𝑪 ⃗⃗⃗⃗⃗ )
l’espace tel que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑴 . ⃗⃗⃗𝒏 = 𝟎 est un plan (P)
 𝑼 ⃗⃗ ‖ × ‖⃗⃗⃗𝑽‖ × 𝒄𝒐𝒔(⃐⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗ . ⃗⃗⃗𝑽 = ‖𝑼 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑼;𝑽 ⃗) passant par A et de vecteur normale ⃗⃗⃗𝒏
LYCEE ABDE EL MOUMEN OUJDA GEOMETRIE DANS L’ESPACE Résumé 2 Prof : FAYSSAL 2 bac sc & 1 bac SM
DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN Position relative d’une sphère et un plan Position relative d’une sphère et une droite
Soient (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎un plan et Soit (S) une sphère de centre 𝛀 et de rayon Soit (S) une sphère de centre 𝛀 et d rayon R
A(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) un point de l’espace et H la R (P) un plan et d la distance entre le 𝒆𝒕 (∆) la droite passant par le point A et de
projection orthogonale de A sur le plan (P) centre 𝛀 est le plan (P) : 𝒅 = 𝒅(𝜴; (𝑷)) vecteur directeur⃗⃗⃗𝑼(𝜶; 𝜷; 𝜸)
Pour déterminer les cordonnées des points
d’intersections de sphère (S) et la droite (∆)
on résoudre le système suivant :
𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝜶𝒕
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
(∆): {𝒚 = 𝒚𝑨 + 𝜷𝒕
{ 𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝜸𝒕
La distance de point A au plan(𝑷) est : (𝑺) : (𝒙 − 𝒙𝛀 )𝟐 + (𝒚 − 𝒚𝛀 )𝟐 + (𝐳 − 𝒛𝛀 )𝟐 = 𝑹𝟐
| 𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 + 𝒅|
𝒅(𝑨; (𝑷)) = 𝑨𝑯 = Expression analytique du produit vectoriel
√𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 𝒙 𝒙′
Sphère dans l’espace ⃗𝐔 ∧ 𝐕
⃗ = (𝒚) ∧ (𝒚′)
𝒛 𝒛′
𝒚 𝒚′ ′ 𝒙 𝒙′ ⃗
=| | 𝒊 − |𝒙 𝒙′| 𝒋 + | |𝒌
𝒛 𝒛′ 𝒛 𝒛 𝒚 𝒚′
 𝐔 ⃗ 𝐞𝐭 𝐕⃗ 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐥𝐢𝐧é𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 ssi 𝐔 ⃗ ∧𝐕⃗ =𝟎 ⃗
 A ; B et C sont alignés ssi ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐀𝐁 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐀𝐂 = ⃗𝟎
 Le vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐀𝐁 ∧ 𝐀𝐂⃗⃗⃗⃗⃗ est un vecteur
Soit (S) la sphère de centre 𝛀(𝒂; 𝒃; 𝒄) et de normal au plan (ABC)
rayon r l’équation cartésienne de (S) est :
(𝒙 − 𝒂)𝟐 + (𝒚 − 𝒃)𝟐 + (𝐳 − 𝐜)𝟐 = 𝒓𝟐
 L’équation cartésienne de la sphère (S)
définit par son diamètre [𝑨𝑩] est donné par
𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝐒) ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑴.𝑩𝑴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟎
Proposition : l’ensemble des points M
Suivant un cercle (C) de centre H et de Distance d’un point 𝛀 à une droite (𝑫)
L’ensemble des points 𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) de
l’espace tel que :
𝟐
rayon r tel que :𝐫 = √𝑹 − 𝒅 𝟐 (𝑫) la droite qui passe par 𝑨 et de vecteur
(𝑺) : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝐜𝐳 + 𝒅 = 𝟎  Pour déterminer les cordonnées de H on directeur ⃗⃗⃗𝑼 et 𝛀 un point de l’espace
est un sphère si 𝑫 = 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝐝 > 𝟎 résoudre le système suivants : ( )
‖⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐀∧⃗⃗⃗𝑼‖
𝒙 = 𝒙𝛀 + 𝒂𝒕 Alors 𝒅(𝛀; 𝐃 ) =
𝒂 𝒃 𝒄 ‖⃗⃗⃗𝑼‖
 Son centre est le point 𝛀 (− ; − ; − ) ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
𝟐 𝟐 𝟐 (𝛀𝐇): {𝒚 = 𝒚𝛀 + 𝒃𝒕 Aire d’un triangle ABC
{ 𝒛 = 𝒛𝛀 + 𝒄𝒕 ̂ 𝟏
√𝑫 𝑨𝑩 × 𝑨𝑪 × 𝒔𝒊𝒏 𝑨
 Son rayon est 𝒓 = 𝑺 = ⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
= ‖𝐀𝐁 𝐀𝐂‖
𝟐 (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎 𝑨𝑩𝑪
𝟐 𝟐
Prof : Fayssal Site web : www.elboutkhili.jimdofree.com Résumé de cours : Probabilités 2BAC-SC Page 01
A) Dénombrement. 4) Combinaisons.
1) Cardinal d’un ensemble fini Soit 𝐧 un entier naturel, et soit 𝐄 un ensemble de cardinal n
Soit E un ensemble fini de n éléments distincts 𝐄 = {𝐱 𝟏 ; 𝐱 𝟐 ; … ; 𝐱 𝐧 }  Le nombre de combinaison de 𝐩 éléments de 𝐄 pris parmi 𝐧
𝐩
Le nombre d’éléments n est appelé le cardinal de E , noté 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐄) 𝐩 𝐩
éléments est noté 𝐂𝐧 , et on a : 𝐂𝐧 =
𝐀𝐧
=
𝐧!
𝐩! 𝐩!×(𝐧−𝐩)!
2) Principe fondamentale de dénombrement
Soit 𝐄 une expérience dont les résultats nécessitent 𝐤 choix, Remarques : 𝐂𝐧𝟏= 𝐂𝐧𝐧−𝟏 =𝐧 ; 𝐂𝐧𝐧 = 𝐂𝐧𝟎= 𝟏 et 𝐂𝐧𝐏 = 𝐂𝐧𝐧−𝐏
Si le premier choix se fait de 𝐧𝟏 façons différentes 5) Type de tirage et importance d’ordre .
Le deuxième choix se fait de 𝐧𝟐 façons différentes, …, Type de tirage Nombre de tirages Importance de
possibles l’ordre
……. 𝐩
Avec remise 𝐧 Important
Le 𝐤 𝐢è𝐦𝐞 choix se fait de 𝐧𝐤 façons différentes, 𝐩
Sans remise 𝐀𝐧 Important
Alors le nombre de résultats possibles est donné par le produit : 𝐩
Simultané 𝐂𝐧 Sans importance
𝐧𝟏 × 𝐧𝟐 × … × 𝐧𝐤
Nombre de possibilité d’arranger p éléments (Coefficient d’ordre)
3) Arrangements.
Si on a 𝐩𝟏 éléments de type A et 𝐩𝟐 éléments de type B et 𝐩𝟑
a) Arrangements sans répétition.
Soient 𝐧 et 𝐩 deux entiers naturels non nuls. éléments de type C tel que 𝐩𝟏 + 𝐩𝟐 + 𝐩𝟑 = 𝒑
 Le nombre d’arrangements sans répétition de 𝐩 éléments pris Alors le nombre de possibilité d’arranger les p éléments est :
𝐩 𝐩!
parmi par 𝐧 est noté 𝐀𝐧 , et on a : (𝟏 ≤ 𝐩 ≤ 𝐧)
𝐩 𝐩𝟏 ! × 𝐩𝟐 ! × 𝐩𝟑 !
𝐀𝐧 = 𝐧 × (𝐧 − 𝟏) × (𝐧 − 𝟐) × … × (𝐧 − 𝐩 + 𝟏).
B) Probabilité d’un évènement.
Remarques : On pose par convention 𝟎! = 𝟏.
1) Propriétés : Soit 𝛀 l’univers d’une expérience aléatoire, on a :
 Soient 𝐧 et 𝐩 deux entiers naturels non nuls tels que : 𝐩 ≤ 𝐧,  𝐏(𝛀) = 𝟏 et 𝐏(∅) = 𝟎.
𝐩 𝐧!
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐀𝐧 = (𝐧−𝐩)! ; 𝐀𝐧𝐧 = 𝐧! ; 𝐀𝟏𝐧 = 𝐧 .  Pour tout événement 𝐀 de 𝛀, on a : 𝟎 ≤ 𝐏(𝐀) ≤ 𝟏.
Cas particulier : Permutations.  Pour tout événement 𝐀 de 𝛀, on a : 𝐏(𝐀 ̅ ) = 𝟏 − 𝐏(𝐀)
Soit 𝐧 un entier naturel non nul.  Si 𝐀 et 𝐁 deux événements de 𝛀, on a :
 Tout arrangement sans répétition de 𝐧 éléments est appelé 𝐏(𝐀 ∪ 𝐁) = 𝐏(𝐀) + 𝐏(𝐁) − 𝐏(𝐀 ∩ 𝐁)
permutation 𝐧 éléments.  Si 𝐀 et 𝐁 deux événements incompatibles de 𝛀 ; (𝐀 ∩ 𝐁 = ∅),
 Le nombre permutations de 𝐧 éléments est noté 𝐧!, se lit alors 𝐏(𝐀 ∪ 𝐁) = 𝐏(𝐀) + 𝐏(𝐁)
factorielle 𝐧, et on a : 𝐧! = 𝐧 × (𝐧 − 𝟏) × … × 𝟐 × 𝟏. 2) Hypothèse d’équiprobabilité.
b) Arrangements avec répétition. Soit 𝛀 l’univers d’une expérience aléatoire, la probabilité de
 Le nombre d’arrangements avec répétition de 𝐩 éléments pris l’événement 𝐀 de 𝛀 est : 𝐏(𝐀) =
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐀)
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀)
parmi par 𝐧 est noté 𝐧𝐩
Prof : Fayssal Site web : www.elboutkhili.jimdofree.com Résumé de cours : Probabilités 2BAC-SC Page 02
3) Probabilité conditionnelle. 2) Espérance mathématique-Variance et écart-type.
Soient 𝐀 et 𝐁 deux événements associés à une même expérience Soit 𝐗 une variable aléatoire définie sur un univers 𝛀 associé
aléatoire tes que : 𝐏(𝐀) ≠ 𝟎.  L’espérance mathématique de la variable aléatoire 𝐗 est le
La probabilité de l’événement 𝐁 sachant que de l’événement 𝐀 est nombre réel noté 𝐄(𝐗) définie par :
𝐢=𝐧
𝐏(𝐀∩𝐁)
réalisé est noté 𝐏𝐀 (𝐁) ou 𝐏(𝐁/𝐀) défini par : 𝐏𝐀 (𝐁) =
𝐏(𝐀) 𝐄(𝐗) = ∑ 𝐱 𝐢 𝐩𝐢 = 𝐱 𝟏 𝐩𝟏 + 𝐱 𝟐 𝐩𝟐 + ⋯ + 𝐱 𝐧 𝐩𝐧
Remarques : On a : 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀) + 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀 ̅) 𝐢=𝟏

Donc 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏𝐀 (𝐁) + 𝐏(𝐀 ̅ ) × 𝐏𝐀̅ (𝐁)  La variance de la variable aléatoire 𝐗 est le nombre réel noté
𝟐
Cette relation est appelée loi des probabilités totales. 𝐕(𝐗) définie par : 𝐕(𝐗) = 𝐄(𝐗 𝟐 ) − (𝐄(𝐗))
4) Indépendance de deux événements. 𝐢=𝐧
Soient 𝐀 et 𝐁 deux événements associés à une même expérience 𝐀𝐯𝐞𝐜 𝐄(𝐗 𝟐 ) = ∑ 𝐱 𝐢𝟐 𝐩𝐢 = 𝐱 𝟏𝟐 𝐩𝟏 + 𝐱 𝟐𝟐 𝐩𝟐 + ⋯ + 𝐱 𝐧𝟐 𝐩𝐧
 On dit que les événements 𝐀 et 𝐁 sont indépendants si 𝐢=𝟏
𝐏(𝐀 ∩ 𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏(𝐁).  L’écart-type de 𝐗 est : 𝛔(𝐗) = √𝐕(𝐗)
 Les événements 𝐀 et 𝐁 sont indépendants si et seulement 3) Loi binomiale.
𝐏𝐀 (𝐁) = 𝐏(𝐁) ; avec 𝐏(𝐀) ≠ 𝟎 Soit une expérience aléatoire formée d’une répétition 𝐧 fois de
5) Epreuves répétées. manière indépendante d’une même épreuve à deux issues sont :
Soit 𝐀 un événement associé à une expérience de probabilité 𝐩.
𝐀 succès de probabilité 𝐩, et 𝐀 ̅ échec de probabilité 𝐪 = 𝟏 − 𝐩
On répète l’expérience n fois dans les mêmes conditions
Soit 𝐗 la variable aléatoire égale au nombre de fois que le succès
Alors la probabilité de réaliser exactement 𝐤 fois l’événement 𝐀
se réalise au cours de cette expérience.
est : 𝐂𝐧𝐤 𝐩𝐤 (𝟏 − 𝐩)𝐧−𝐤 , pour tout 𝐤 ∈ {𝟎, 𝟏, 𝟐, … , 𝐧}  On dit que la variable aléatoire 𝐗 suit la loi binomiale de
C) Variable aléatoire-Loi de probabilité d’une variable aléatoire. paramètres 𝐧 et 𝐩, notée 𝐗 → 𝐁(𝐧; 𝐩).
1) Définitions :  La loi de probabilité de la variable aléatoire 𝐗 est appelée loi
 Toute fonction définie sur l’univers 𝛀 à valeur dans ℝ est
binomiale de paramètres 𝐧 et 𝐩.
appelée variable aléatoire, notée 𝐗 ou 𝐘 ou 𝐙….
Propriété.
 Les valeurs prises par la variable aléatoire 𝐗 notées 𝛀(𝐗).
Soit 𝐗 une variable aléatoire suit une loi binomiale de
 Soit 𝐗 une variable aléatoire définie sur un univers 𝛀 associé à paramètres 𝐧 et 𝐩, on a :
une expérience aléatoire telle que : 𝐗(𝛀) = {𝐱 𝟏 , 𝐱 𝟐 , … , 𝐱 𝐧 }.  Les valeurs prise par la variable aléatoire 𝐗 sont : {𝟎, 𝟏, 𝟐, … , 𝐧}
Déterminer la loi de probabilité de la variable aléatoire 𝐗,  (∀𝐤 ∈ {𝟎, 𝟏, 𝟐, … , 𝐧} ) ∶ 𝐏(𝐗 = 𝐤) = 𝐂𝐧𝐤 𝐩𝐤 (𝟏 − 𝐩)𝐧−𝐤 .
C’est calculer la probabilité de chacun des événements {𝐗 = 𝐱 𝐢 } où  L’espérance de la variable aléatoire 𝐗 est : 𝐄(𝐗) = 𝐧𝐩.
𝐢 ∈ {𝟏, 𝟐, … , 𝐧}.  La variance de la variable aléatoire 𝐗 est :
 On résume la loi de probabilité de 𝐗 par le tableau suivant : 𝐕(𝐗) = 𝐧𝐩𝐪 = 𝐧𝐩(𝟏 − 𝐩) = 𝐄(𝐗). (𝟏 − 𝐩)
𝐱𝐢 𝐱𝟏 𝐱𝟐 … 𝐱𝐧
 L’écart-type de 𝐗 est : 𝛔(𝐗) = √𝐕(𝐗) = √𝐧𝐩(𝟏 − 𝐩)
𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) 𝐩𝟏 𝐩𝟐 … 𝐩𝐧
Lycée abde el moumne oujda Résumé de cours Etude de fonctions 2 2bac biof Prof : fayssal
Définition : La fonction exponentielle Définition fonction logarithme népérien Primitive d’une fonction : 𝒓 ∈ ℚ/−𝟏
𝟏 𝒙𝟐
 La fonction réciproque de la fonction ln  La primitive de 𝒙 ⟼ sur ]𝟎, +∞[ qui  ∫𝟏 = 𝒙+𝒄 ; ∫𝒙 = + 𝒄
𝒙 𝟐
est appelé fct exponentielle, elle est 𝒓+𝟏
s’annule en 1 est appelée fonction 𝒙 𝑼(𝒙)𝒓+𝟏
définie et dérivable Sur IR 𝒓
∫𝒙 = 𝒓
; ∫ 𝑼′(𝒙) × 𝑼(𝒙) =
 Pour tout 𝒙 dans 𝑰𝑹 : 𝐞𝐱𝐩(𝐱) = 𝐞𝐱 logarithme népérien on la note par ln 𝒓+𝟏 𝒓+𝟏
 La fonction ln est définit et dérivable 𝑼′ (𝒙)
 Pour tout 𝒙 de 𝑰𝑹: 𝐞𝐱 > 𝟎 et 𝐞𝟎 = 𝟏  ∫
𝟐√𝑼(𝒙)
= √𝑼(𝒙) ; ∫ 𝐞𝒙 = 𝐞𝒙
′ sur l’intervalle ]𝟎, +∞[ et 𝒍𝒏(𝟏) = 𝟎
 (𝐞𝐱 )′ = 𝐞𝐱 et (𝐞𝐔(𝐱) ) = 𝐔′(𝐱)𝐞𝑼(𝒙) 𝟏
 Pour tout 𝒙 de ]𝟎, +∞[ : 𝒍𝒏′ (𝒙) =
𝟏
 ∫ 𝐔′(𝐱)𝐞𝑼(𝒙) = 𝐞𝑼(𝒙) ; ∫ 𝐞𝒂𝒙 = 𝒂 𝐞𝒂𝒙
Propriétés algébrique le la fonction exp 𝒙
𝟏  On a ; 𝐋𝐧(𝒆) = 𝟏 avec le nombre e est 𝟏 𝑼′ (𝒙)
 𝐞 𝐱+𝐲
=𝐞 ×𝐞 𝒙 𝒚
; 𝐱
𝐞 ≠𝟎 ; 𝐞 −𝐱
=  ∫ = 𝐥𝐧(|𝒙|) ; ∫ = 𝐥𝐧(|𝑼(𝒙)|)
𝐞𝐱 un nombre irrationnel ; 𝒆 ≈ 𝟐, 𝟕 𝒙 𝑼(𝒙)
𝐞𝐱
 𝐞𝐱−𝐲 = et (𝐞𝐱 )𝒓 = 𝐞𝐫𝐱 ;𝒓 ∈ ℚ Propriétés algébriques le la fonction ln  ∫ 𝒔𝒊𝒏 𝒙 = −𝒄𝒐𝒔 𝒙 ; ∫ 𝒄𝒐𝒔 𝒙 = 𝒔𝒊𝒏 𝒙
𝐞𝒚 𝟏
Equations et inéquations  𝐥𝐧(𝒙 × 𝒚) = 𝐥𝐧(𝒙) + 𝐥𝐧(𝒚)  ∫ 𝒄𝒐𝒔(𝒂𝒙 + 𝒃) = 𝒔𝒊𝒏(𝒂𝒙 + 𝒃) + 𝒄
𝒂
𝒙 𝟏 𝟏
 𝐞 = 𝐞 ⇔ 𝒙 = 𝒚 ; 𝐞 𝐱 < 𝐞𝒚 ⇔ 𝒙 < 𝒚
𝐱 𝒚
 𝐥𝐧 ( ) = 𝐥𝐧(𝒙) − 𝐥𝐧(𝒚) ; 𝐥𝐧 ( ) = − 𝐥𝐧(𝒙)  ∫ 𝒔𝒊𝒏(𝒂𝒙 + 𝒃) = − 𝒄𝒐𝒔(𝒂𝒙 + 𝒃) + 𝒄
𝒚 𝒙 𝒂
 𝐋𝐧(𝐞𝐱 ) = 𝒙 𝒆𝒕 𝐞𝒍𝒏(𝒂) = 𝒂 ; avec 𝒂 > 𝟎  𝐥𝐧(𝒙 𝒓)
= 𝒓 𝒍𝒏(𝒙) ;𝒓 ∈ ℚ Les éléments de symétrie 𝒅𝒆 (𝑪𝒇)
 𝐞𝐱 = 𝒂 ⇔ 𝒙 = 𝒍𝒏(𝒂) ; avec 𝒂 > 𝟎 Equations et inéquations Axe de symétrie de (𝑪𝒇)
Limites de la fonction exp  𝐥𝐧(𝒙) = 𝐥𝐧(𝒚) ⇔ 𝒙 = 𝒚  la droite d’équation (∆) : 𝒙 = 𝒂 est un
𝟎 ∞
 𝑭𝑰: ; ; 𝟎×∞ ; +∞ − (+∞)  𝐥𝐧(𝒙) < 𝐥𝐧(𝒚) ⇔ 𝒙 < 𝒚 axe de symétrie de (𝑪𝒇) ssi ∀𝒙 ∈ 𝑫𝒇 ∶
𝟎 ∞
 𝐥𝐢𝐦 𝐞 = 𝟎 𝐱 +
; 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = +∞  𝐋𝐧(𝒙) = 𝟎 ⇔ 𝒙 = 𝟏 (𝟐𝒂 − 𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(𝟐𝒂 − 𝒙) = 𝒇(𝒙)
𝒙→−∞ 𝒙→+∞  le tableau de signe de ln𝒙 sur ]𝟎, +∞[ Cas particulier
𝐞𝐱
 𝐥𝐢𝐦 𝒙 𝐞𝐱 = 𝟎− ; 𝐥𝐢𝐦 = +∞ x 0 1 +∞  La fonction f est paire ssi ∀𝒙 ∈ 𝑫𝒇 ∶
𝒙→−∞ 𝒙→+∞ 𝐱
𝐞𝐱 ln(x) -- 0 + (−𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(−𝒙) = 𝒇(𝒙)
 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝒓 𝐞𝐱 = 𝟎 ; 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝒙→−∞ 𝒙→+∞ 𝐱 𝒓 Limites de la fonction ln
𝐞𝐱 −𝟏 La droite (Oy)est un axe de symétrie de (𝑪𝒇)
 𝐥𝐢𝐦 =𝟏  𝐥𝐢𝐦+ 𝐥𝐧(𝒙) = −∞ ; 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧(𝒙) = +∞
𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙→+∞ Centre de symétrie de (𝑪𝒇)
𝐥𝐧(𝐱)
Rappel : Continuité d’une fonction en un point  𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝐥𝐧(𝒙) = 𝟎 −
; 𝐥𝐢𝐦 =𝟎 +  Le point 𝑨(𝒂 ; 𝒃) est centre de symétrie
𝒙→𝟎+ 𝒙→+∞ 𝐱
𝐟 est continue en 𝐚 ⇔ 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐟(𝐚) 𝐥𝐧(𝐱) de (𝑪𝒇) ssi ∀𝒙 ∈ 𝑫𝒇 ∶
𝐱→𝐚
 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝒓 𝐥𝐧(𝒙) =𝟎 ; 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐟 est continue à droite de 𝐚 ⇔ 𝐥𝐢𝐦
𝐱→𝐚
𝐟(𝐱) = 𝐟(𝐚) 𝒙→𝟎+ 𝒙→+∞ 𝐱 𝒓 (𝟐𝒂 − 𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(𝟐𝒂 − 𝒙) + 𝒇(𝒙) = 𝟐𝒃
𝒍𝒏(𝒙) 𝒍𝒏(𝒙+𝟏)
𝐱>𝐚  𝐥𝐢𝐦 =𝟏 ; 𝐥𝐢𝐦 =𝟏 Cas particulier
𝐟 est continue à gauche de 𝐚 ⇔ 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐟(𝐚) 𝒙→𝟏 𝒙−𝟏 𝒙→𝟎 𝒙
𝐱→𝐚 Dérivée de la fonction ln(U) avec 𝐔 ≠ 𝟎  La fonction est impaire ssi ∀𝒙 ∈ 𝑫𝒇 ∶
𝐱<𝐚
La fonction 𝐟 est continue en 𝐚 ⇔ 𝐟 est continue Si U est dérivable sur I alors ln(U) est (−𝒙) ∈ 𝑫𝒇 𝒆𝒕 𝒇(−𝒙) = −𝒇(𝒙)
𝑼′ (𝒙)
à droite et à gauche du point 𝐚 dérivable sur I et on a ; 𝐥𝐧′(|𝐔(𝐱)|) = Le point 𝑶 est centre de symétrie de (𝑪𝒇)
𝑼(𝒙)
Lycée ibno el haytam oujda Résumé 3:CALCULE D’INTEGRALE PROF :FAYSSAL 2BAC BIOF
1)Primitive d’une fonction ( 𝒓 ∈ ℚ/−𝟏) 3) Propriétés d’intégrale: 6)Aire d’un domaine plan
 La linéarité de l’intégrale L’aire du domaine délimité
 ∫𝟏 = 𝒙 ; ∫ 𝒌 = 𝒌𝒙
𝒃 𝒃 𝒃 par la courbe(𝑪𝒇 ) et l’axe
𝟐 𝒙𝒓+𝟏 ∫𝒂 𝐟(𝐱) + 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱 = ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 + ∫𝒂 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱
 ∫ √𝒙 = 𝒙√𝒙 ;
𝟑
∫ 𝒙𝒓 = 𝒓+𝟏
; des abscisses et les droites
𝒃 𝒃 d’équations 𝒙 = 𝒂 𝒆𝒕 𝒙 = 𝒃
𝒓 𝑼(𝒙)𝒓+𝟏 ∫𝒂 𝐤 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 = 𝐤 ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 ; avec 𝒌 ∈ ℝ
 ∫ 𝑼′(𝒙) × 𝑼(𝒙) = est :
𝒃
𝑨(𝒇) = (∫𝒂 |𝒇(𝐱)| 𝐝𝐱) × 𝒖. 𝑨
𝒓+𝟏  Relation de CHELS
𝑼′ (𝒙) 𝟏 𝑼′ (𝒙)
 ∫ 𝟐 =− ; ∫ = 𝟐√𝑼(𝒙) 𝒃 𝐜 𝒃
∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 = ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 + ∫𝒄 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱
Avec u.A est l’unité d’aire (1𝒖. 𝑨 = ‖𝒊‖ × ‖𝒊‖ )
𝑼 (𝒙) 𝑼(𝒙) √𝑼(𝒙)
𝟏  L’intégrale et l’ordre :
𝑺𝒊 ∶ 𝒇 > 0 sur[𝒂 ; 𝒃]alors :
 ∫ 𝐞𝒙 = 𝐞 𝒙 ; ∫ 𝐞𝒂𝒙 = 𝒂 𝐞𝒂𝒙 𝒃
𝒃
 ∫ 𝐔′(𝐱)𝐞𝑼(𝒙) = 𝐞𝑼(𝒙) ; Si ∀𝒙 ∈ [𝒂; 𝒃]; 𝒇(𝐱) > 0alors ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 > 0 𝑨(𝒇) = (∫ 𝒇(𝐱) 𝐝𝐱) 𝒖. 𝑨
∫ 𝐞−𝒙 = −𝐞−𝒙 𝒂
𝟏 𝑼′ (𝒙) 𝒃 𝒃
 ∫ = 𝐥𝐧(|𝒙|) ; ∫ = 𝐥𝐧(|𝑼(𝒙)|) Si f(𝐱) > 𝑔(𝑥)alors∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 > ∫𝒂 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱
𝒙 𝑼(𝒙) 𝒔𝒊 ∶ 𝒇 < 𝟎sur[𝒂 ; 𝒃] alors :
𝒃 𝒃 𝒃
 ∫ 𝒔𝒊𝒏 𝒙 = −𝒄𝒐𝒔 𝒙 ; ∫ 𝒄𝒐𝒔 𝒙 = 𝒔𝒊𝒏 𝒙  |∫𝒂 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱| ≤ ∫𝒂 |𝐠(𝐱)| 𝐝𝐱
𝑨(𝒇) = (∫ − 𝒇(𝐱) 𝐝𝐱) 𝒖. 𝑨
𝟏
 ∫ 𝒄𝒐𝒔(𝒂𝒙 + 𝒃) = 𝒔𝒊𝒏(𝒂𝒙 + 𝒃) 4) Valeur moyenne d’une fonction : 𝒂
𝒂
𝟏 Si f est une fonction continue sur [𝒂 ; 𝒃] Si 𝒇 > 𝟎 sur [𝒂 ; 𝒄]
 ∫ 𝒔𝒊𝒏(𝒂𝒙 + 𝒃) = − 𝒄𝒐𝒔(𝒂𝒙 + 𝒃) alors il existe au moins un réel c dans et𝒇 < 𝟎 sur [𝒄 ; 𝒃] alors :
𝒂
𝟏 𝒃 𝒄 𝒃
2)Définition d’intégrale d’une fonction [𝒂 ; 𝒃] tel que : 𝒇(𝒄) = ∫ 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 𝑨 = ∫ 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 + ∫ −𝒇(𝐱) 𝐝𝐱
𝒃−𝒂 𝒂
Soit F une primitive de f sur [𝒂 ; 𝒃] 𝟏 𝒃 𝒂 𝒄
∫𝒂
𝐟(𝐱)𝐝𝐱 , est appelé la valeur
𝒃−𝒂
L’intégrale de la fonction f de a à b est le D le domaine délimité
𝒃 moyenne de fonction sur [𝒂 ; 𝒃]
nombre réel noté par ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 tel que : par(𝑪𝒇 ) et(𝑪𝒈 )et les droites
5) Intégration par parties d’équations 𝒙 = 𝒂 𝒆𝒕 𝒙 = 𝒃
𝒃
∫ 𝒇(𝒙) 𝐝𝐱 = [𝐅(𝐱)]𝒃𝒂 = 𝑭(𝒃) − 𝑭(𝒂) Alors l’aire de domaine D est :
𝒂 𝒃

Remarque : 𝑨 = (∫ |𝐟(𝐱) − 𝐠(𝐱)| 𝐝𝐱) 𝒖. 𝑨


𝒂
𝒃 𝒃 𝒃
 ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 = ∫𝒂 𝐟(𝐭) 𝐝𝐭 = ∫𝒂 𝐟(𝐲) 𝐝𝐲 7) Volume d’un solide de révolution
𝒃 𝐚 ⃗)
L’espace est rapporté à R.O.N ( 𝑶, 𝒊, 𝒋 , 𝒌
 ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 = − ∫𝒃 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 le volume de solide de révolution engendré par la
𝒂
 ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 = 𝟎 rotation de (𝑪𝒇) par rapport à (Ox) (tour complet)
𝒃 𝟐

𝒃
∫𝒂 𝒌 𝐝𝐱 = [𝐤𝐱]𝒃𝒂 = 𝒃 − 𝒂 sur [𝐚 ; 𝐛] 𝒆𝒔𝒕 ; 𝑽(𝒇) = (∫𝒂 𝛑 (𝒇(𝒙)) 𝐝𝐱) × 𝒖. 𝑽
⃗‖
l’unité de volume est 𝒖. 𝑽 = ‖𝐢‖ × ‖𝒋‖ × ‖𝒌
Prof : Fayssal Site web : www.elboutkhili.jimdofree.com Résumé de cours 04 : Equations différentielles 2 BAC SC
Equations différentielles de premier ordre : 𝒚′ = 𝒂𝒚 + 𝒃 Equations différentielles du second ordre : 𝒚′′ + 𝒂𝒚′ + 𝒃𝒚 = 𝟎
1) L’équation (E) ; 𝒚′ = 𝒂𝒚 + 𝒃 tel que a et b deux constantes 1) L’équation (𝑬): 𝒚′′ + 𝒂𝒚′ + 𝒃𝒚 = 𝟎 tel que a et b deux
réelles est appelée équation différentielle linéaire d’ordre1 ; constantes réelles est appelée équation différentielle
ou y est la fonction inconnue et 𝒚’ sa fonction dérivée linéaire du second ordre ou y est la fonction inconnue et y’
2) On appelle solution de l’équation (E) , toute fonction f qui sa dérivée première et y’’ sa dérivée d’ordre 2

vérifie 𝒇 (𝒙) = 𝒂𝒇(𝒙) + 𝒃 2) L’équation 𝒓𝟐 + 𝒂𝒓 + 𝒃 = 𝟎 s’appelle l’équation
Résolution de l’équation : (E) ; 𝒚′ = 𝒂𝒚 + 𝒃 caractéristique associée à l’équation (𝑬): 𝒚′′ + 𝒂𝒚′ + 𝒃𝒚 = 𝟎
1) Les solutions de l’équation 𝒚′ = 𝒂𝒚 Résolution de : (E) ; 𝒚′′ + 𝒂𝒚′ + 𝒃𝒚 = 𝟎
sont les fonctions y définies sur ℝ par : 𝒚(𝒙) = 𝒌𝒆𝒂𝒙 Soit ∆ le discriminant de L’équation caractéristique
ou k est une constante réelle 𝒓𝟐 + 𝒂𝒓 + 𝒃 = 𝟎 , associée à (𝑬): 𝒚′′ + 𝒂𝒚′ + 𝒃𝒚 = 𝟎
2) Les solutions de l’équation 𝒚′ = 𝒂𝒚 + 𝒃  Cas 01 ; ∆> 𝟎
𝒃
𝒂𝒙
sont les fonctions y définies sur ℝ par : 𝒚(𝒙) = 𝒌𝒆 − L’équation caractéristique
𝒂
ou k est une constante 𝒓𝟐 + 𝒂𝒓 + 𝒃 = 𝟎 , admet deux solutions réelles 𝒓𝟏 et 𝒓𝟐
3) Soient 𝒙𝟎 ∈ ℝ et 𝒚𝟎 ∈ ℝ Donc les solutions de l’équation (E) sont les fonctions y
Il existe une solution unique y de (E) qui vérifie 𝒚(𝒙𝟎 ) = 𝒚𝟎 définie sur ℝ par :
Exemple 𝒚(𝒙) = 𝜶𝒆𝒓𝟏 𝒙 + 𝜷𝒆𝒓𝟐 𝒙 ; 𝜶; 𝜷 ∈ ℝ
1) Résoudre dans ℝ l’équation différentielle suivantes :  Cas 02 ; ∆= 𝟎
(𝐄𝟏 ); 𝐲′ + 𝟐𝐲 = 𝟑 L’équation caractéristique
𝐲 ′ + 𝟐𝐲 = 𝟑 ⟺ 𝐲 ′ = −𝟐𝐲 + 𝟑 𝒓𝟐 + 𝒂𝒓 + 𝒃 = 𝟎 , admet une solution réelle unique 𝒓𝟎
La solution générale de l’équation (𝐄𝟏 ); Donc les solutions de l’équation (E) ; sont les fonctions y
sont les fonction y définie sur ℝ par : définie sur ℝ par :
𝟑 𝒚(𝒙) = (𝜶𝒙 + 𝜷)𝒆𝒓𝟎 𝒙 ; 𝜶; 𝜷 ∈ ℝ
𝒚(𝒙) = 𝒌𝒆−𝟐𝒙 + ou k est une constante
𝟐  Cas 03 ; ∆< 𝟎
2) Déterminer la solution 𝒇 de (𝐄𝟏 ) qui vérifie 𝒇(𝟏) = 𝟐 L’équation caractéristique
𝟑
𝒇(𝟏) = 𝟓 ⟺ 𝒌𝒆−𝟐 + = 𝟓 𝒓𝟐 + 𝒂𝒓 + 𝒃 = 𝟎 , admet deux solutions complexes
𝟐
𝒛𝟏 = 𝒑 + 𝒊𝒒 et 𝒛𝟐 = ̅̅̅
𝒛𝟏
−𝟐
𝟕 𝟕𝒆𝟐
⟺ 𝒌𝒆 = ⟺ 𝒌 = Donc les solutions de l’équation (E) ; sont les fonctions y
𝟐 𝟐
𝟕 𝟐 −𝟐𝒙 𝟑 𝟕 −𝟐𝒙+𝟐 𝟑 définie sur ℝ par :
𝐃𝐨𝐧𝐜 ; 𝒇(𝒙) = 𝒆 𝒆 + = 𝒆 + 𝒚(𝒙) = (𝜶𝒄𝒐𝒔(𝒒𝒙) + 𝜷𝒔𝒊𝒏(𝒒𝒙))𝒆𝒑 𝒙 𝒐𝒖 𝜶; 𝜷 ∈ ℝ
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐

Vous aimerez peut-être aussi