Ahmed ………….., ou Sidi ……………….., évoque son ……………. passée à l'ancienne
……… de Fès. Il menait une vie ……………………. auprès de sa mère, femme au …………., et son père, …………….. Il a consacré une bonne partie du livre à parler des ………………., des amis de la famille, de leurs habitudes, de leur problèmes et de leur vie ………………., et particulièrement de ………………, la meilleure amie de sa mère, qui a souffert à cause de son ………… ingrat. La vie paisible de cet enfant de six ans fut troublée par la perte de la bourse de son ………, une bourse qui contenait tout son …………. Ce qui obligea le père de la famille à ………….. dans les champs pour pouvoir reprendre son travail. Pendant son …………., la mère et l'enfant visitaient quotidiennement des …………….. pour demander aux saints de leurs rendre le ………. sain et sauf. Leur vœu fut exaucé un ………. après le départ du père, ensuite les choses s'arrangèrent petit à petit. Au milieu de tous ces événements, la boîte à merveilles que possédait Sidi Mohammed ………….. un rôle très important, elle lui représentait un véritable réconfort quand il avait des ……………………, c'était synonyme d'accès à son propre ……………... Remplir le vide par le mot qui convient : (Voir la liste des mots)
condamné - condamnation - crime - exécution - ferrage - forçat - foule - grâce - Grève - guillotine - heure - Marie mort - murs - nom - note - prêtre - prison - quatre - reconnaît Toulon - trois
Dans la prison de………………..., un condamné à………………... est en attente de son………………...
Jour après jour puis, à mesure que l'échéance fatale se rapproche, après heure, il ………………...ses angoisses, ses espoirs fous, ses pensées, ainsi que les événements qui rythment la vie de la ……………….... Le narrateur, dont on ignorera toujours le ………………... , l'âge et le ………………..., rappelle les circonstances de son procès et de sa ………………... . Il décrit son ………………... qui ressemble déjà à un tombeau : sur les ………………..., les condamnés qui l'ont précédé ont griffonné des inscriptions. Il assiste au ………………... des forçats et à leur départ pour le bagne de ……………….... .Il est transféré à la ………………..., où il rencontre un «friauche», un autre ………………... à mort. D'angoisses en hallucinations, de malaises en cauchemars, il éprouve une épouvante grandissante. Un ………………...le visite : le condamné aimerait dialoguer avec lui pour pouvoir affronter la mort avec plus de courage ; mais l'autre se montre très détaché, ne parle pas avec son ………………..., disant seulement de façon machinale ce qu'il dit habituellement avec les condamnés. La visite de ………………..., sa fille âgée de ………………... ans, loin de le consoler, le laisse dans un état de solitude absolue : elle lui dit que son père est ………………... . Elle ne ………………... plus son père qu'elle n'a pas vu depuis plusieurs mois.
C'est enfin l'ultime trajet, de la Conciergerie à la place de ………………..., où se dresse
l'……………….... Sur son passage, la ………………... se presse, rit, applaudit. Le narrateur nous fait part de son désespoir, de son désarroi face à la mort ; il tremble, implore la ………………... , refuse de mourir. Il préfère souffrir, même être un ………………... , que de passer sous le couteau de la ………………... . Puis il finit par se résigner, commence à accepter sa mort, à l'affronter, se questionne sur son destin dans l'au-delà et l'imagine de diverses façons. Il parle d'un retour place de Grève, sous forme de spectre, pense au paradis comme étant un endroit de lumière. Il est ………………... heures. Au ………………... désormais d'accomplir sa sinistre besogne. Le condamné à mort vit ses derniers instants, cessant d'………………... quand le moment de l'exécution est arrivé.