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Février 2006
numéro 03
L'assainissement en France
en 1998 et 2001
Enquête « les collectivités locales et l'environnement »
volet assainissement
Eau
Nature
Air
Sol
Territoires
Déchets
Risques
Pressions
Économie
Société
Synthèses
Développement durable
i n s t i t u t f r a n ç a i s d e l ' e n v i r o n n e m e n t
i n s t i t u t f r a n ç a i s d e l ' e n v i r o n n e m e n t
L’enquête a été menée par l’Ifen et le Scees, en partenariat avec le ministère de l’Écologie et du Développement
durable.
Elle a été complétée par des informations fournies par les Satese (services d’assistance technique aux exploi-
tants des stations d’épuration).
i n s t i t u t f r a n ç a i s d e l ' e n v i r o n n e m e n t
Summary
A
s a complement to their survey of 5 000 local Treatment reduced the organic pollutant load by 88 per
authorities, the Ifen and Scees gathered infor- cent for effluent discharged into inland waters, by 94 per
mation from ‘Satese’ (providers of technical cent for water that was re-used but by only 78 per cent
assistance to treatment plant operators) on the charac- for waters discharged into the sea.
teristics of plants in 2001. Treatment of sewage produced 963 700 tonnes of dried
In France at that time, 23.5 million households were sludge of which 56 per cent was used in agriculture,
connected to a collective mains sewer system and 5 mil- either spread on the land or used for compost.
lion had independent systems; 1.4 million households This document -a follow up to Studies and Works No.
were, however, still releasing their effluents directly into 44, on drinking water management– contains the
the natural environment. results for the sewerage part of the survey in 1998 and
The collective system for waste and storm water collec- 2001.
tion covered 328 700 km and carried 5.6 billion m3 of It provides detailed tables for the whole of France
effluents to 16 100 public treatment plants. (including overseas territories) as well as for each region
and river basin agency. •
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L
'Ifen et le Scees, en complément de Après traitement, la charge polluante organique de
l’enquête effectuée auprès de 5 000 ces effluents a été réduite de 88 % pour les rejets
collectivités locales, ont interrogé les services vers les eaux continentales, de 94 % pour les eaux
d’assistance technique aux exploitants des stations réutilisées mais seulement de 78 % pour les rejets
d’épuration (Satese) sur les caractéristiques des vers le milieu marin.
stations d’épuration en 2001. Le processus d’assainissement a engendré la produc-
En France à cette date, 23,5 millions de logements tion de 963 700 tonnes de matière sèche de boues
sont reliés à un réseau d’assainissement collectif, dont 56 % ont été valorisées en agriculture sous
5 millions sont équipés d’un système autonome forme d’épandage ou de compost.
mais 1,4 million de logements déversent encore Le présent document fournit les résultats
leurs effluents directement dans la nature. concernant la partie assainissement pour les
Le réseau collectif d’eaux usées domestiques et plu- années 1998 et 2001, faisant suite à l’Études et
viales couvre 328 700 km et achemine 5,6 milliards travaux n° 44 sur la gestion de l’eau potable.
de m3 d’effluents vers les 16 100 stations d’épura- Il met à disposition des tableaux détaillés pour
tion publiques. l’ensemble de la France (DOM compris) ainsi que
par région et par bassin d’agence. •
Des obligations se sont imposées Parmi elles, 9 600 l’avaient soumis à enquête publi-
aux communes que et pour 8 300 il était définitif.
Les communes n’ayant pas encore délimité leurs
Les communes, responsables de l’assainissement col- zones ont, le plus souvent, une faible population :
lectif, ont des obligations reposant essentiellement sur 60 % d’entre elles ont moins de 400 habitants,
la loi sur l’Eau du 3 janvier 1992 qui introduit une alors que leur part dans l’ensemble des communes
approche intégrée et globale des milieux récepteurs françaises n’est que de 52 %. Il est vrai qu’un grand
et des systèmes d’assainissement. Si elles ont une nombre de ces communes n’ont pas de réseau col-
obligation de résultats, elles sont cependant libres des lectif et ne sont concernées que par l’assainissement
moyens qu’elles choisissent pour les obtenir. autonome. Malgré tout, quand elles ont un réseau
Elles ont le choix du type d’organisation (commu- collectif sur leur territoire, elles étaient 64 % à ne
nal ou intercommunal) et du mode de gestion de pas avoir délimité leurs zones en 2001, contre 48 %
la collecte et du traitement des eaux usées (régie ou pour l’ensemble des autres communes assainies col-
délégation à un opérateur privé). lectivement.
Elles doivent en outre délimiter leur territoire en Les départements du quart nord-est de la France
zones d’assainissement collectif, zones d’assainis- semblent, en 2001, moins en avance dans leur déli-
sement autonome et zones dans lesquelles doivent mitation, avec moins du quart des communes de ces
être prises des mesures pour les eaux pluviales afin départements ayant délimité leurs zones.
d’assurer un traitement adapté aux objectifs de Pourcentage de communes ayant délimité leur zonage
qualité du milieu récepteur (eau douce, mer, zones d’assainissement
sensibles ou non).
Les dépenses relatives aux systèmes collectifs (réseau,
stations d’épuration, élimination des boues) ainsi
que les dépenses de contrôle des systèmes auto-
nomes leur incombent. Elles peuvent également
prendre en charge les dépenses d’entretien de ces
systèmes autonomes.
En 2001, seules 15 200 communes avaient délimité
leur zonage, soit 42 % des communes françaises.
Cf. Ifen, 2005. Enquête « Les collectivités locales et l’environne-
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60%
40%
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Pourcentage de linéaire remplacé en 2001 La situation a sans doute évolué depuis et un certain
par rapport à la longueur de canalisations existantes nombre de ces communes, pour la plupart de petite
taille, ont vraisemblablement engagé l’installation
et/ou le raccordement à un système épuratoire.
En 2001, on comptait ainsi encore 1 380 000 loge-
ments qui déversaient directement leurs effluents
dans la nature : 720 000 logements ni raccordés ni
équipés d’un assainissement autonome auxquels
s’ajoutaient 660 000 logements raccordés à un réseau
collectif, mais sans que ce réseau ne soit lui-même
relié à une station de traitement des eaux usées. Ce
sont principalement dans les départements au relief
accidenté que l’on trouve la plus forte proportion
de ces logements, correspondant vraisemblablement
à des habitations isolées en terrain peu propice aux
techniques traditionnelles d’assainissement auto-
nome et pour lesquelles l’assainissement collectif
Source : Ifen – Scees, enquête Eau 2001. serait trop onéreux.
Pourcentage de logements dont les eaux usées sont Ces stations ont été dimensionnées pour recevoir les
rejetées sans traitement dans la nature eaux résiduaires urbaines des 47,1 millions d’habi-
tants raccordés, mais aussi la pollution émise par les
industries et services raccordés sur le réseau public,
la surcharge touristique et les premiers flots d’orage
lors des épisodes pluvieux. Au total, elles peuvent
accueillir la pollution produite par 86,4 millions
d’équivalents-habitants (EH).
On compte de nombreuses stations de petite capa-
cité : la moitié a une capacité inférieure à 500 EH
tandis que seules 2 % d’entre elles ont une capacité
supérieure à 50 000 EH. Ces dernières concentrent
toutefois plus de la moitié de la capacité totale de
traitement.
Les capacités sont importantes dans les départements
ayant des villes et agglomérations de grande taille et
dans les zones où le tourisme est très développé, sur
le littoral en particulier.
Source : Ifen – Scees, enquête Eau 2001.
Capacité totale de traitement des stations
d’épuration
Les stations d'épuration publiques
peuvent traiter la pollution de
86,4 millions d’équivalents-habitants
10 i n s t i t u t f r a n ç a i s d e l ' e n v i r o n n e m e n t
Les autres méthodes (épandage non agricole, revé- Utilisation des boues d’épuration par région
gétalisation, combustibles pour cimenterie…) ne
représentaient qu’une faible part des utilisations.
Depuis le 1er janvier 2002, la mise en décharge
ne peut cependant être réservée qu’aux boues non
conformes aux seuils de recyclage et à celles dont
l’épandage est localement impossible.
L’utilisation agricole est le débouché le plus fré-
quemment utilisé dans la plupart des régions, sauf
en Corse, dans les DOM, en Provence-Alpes-Côte
d’Azur et dans le Limousin où la mise en décharge
arrive en tête. Ce dernier mode d’évacuation est
également très utilisé en Auvergne et Île-de-France.
L’incinération des boues n’est pas pratiquée dans
toutes les régions, mais elle est le procédé principal
en Rhône-Alpes et en Haute-Normandie. Elle est
utilisée pratiquement à égalité avec la valorisation
agricole en Alsace.
12 i n s t i t u t f r a n ç a i s d e l ' e n v i r o n n e m e n t
L es tableaux présentés ici sont issus d’enquêtes effectuées en 2000 et 2003 par l’Ifen et le Scees (Service
central des enquêtes et études statistiques du ministère de l’Agriculture et de la Pêche), auprès de
5 000 collectivités locales. Elles portaient sur les années civiles 1998 et 2001. L’enquête étudie les services
publics de l’eau sous divers aspects : les prix pratiqués, l’existence et la qualité des services rendus, l’or-
ganisation et la gestion des services, ainsi que les équipements nécessaires à leur bon fonctionnement.
Différentes publications ont analysé les résultats et ont connu de nombreuses reprises. Pour la der-
nière enquête portant sur l’année 2001, ont été publiés :
•u n «-4 pages », fait en collaboration Ifen-Scees et édité conjointement dans les collections Les
données de l’environnement n° 90 (Ifen) et Agreste Primeur n° 91 (Scees). Il a fourni, fin 2003,
les premiers éléments sur le prix, l’organisation et la gestion des services ainsi que sur les évo-
lutions constatées entre 1998 et 2001 ;
•u n «-4 pages », édité en juillet 2004 par le Scees dans la collection Agreste Primeur n° 145,
portait sur l’eau potable ;
•d eux autres «-4 pages » édités par l’Ifen en août 2004 et décembre 2004 dans la collection
Les données de l’environnement (n° 93 et n° 98) traitaient de l’assainissement (collecte et trai-
tement) ;
•d ans la collection Études et travaux, le n° 44 édité par l’Ifen en mai 2005 mettait à disposi-
tion une série de tableaux détaillés, issus de cette enquête, sur l’organisation et la gestion
des services de l’eau, avec une partie consacrée à l’eau potable plus particulièrement
développée.
Le présent document complète ces publications avec une série de tableaux
détaillés consacrés à l’assainissement, portant sur les deux années 1998 et 2001.
L’information est fournie pour l’ensemble de la France (départements d’outre-mer compris), les
bassins d’agence et les régions.
Nombre d'observations réalisées 928 736 578 429 1 423 894 4 988
Nombre de communes au recensement 1990 19 301 9 017 3 948 1 882 1 659 858 36 665
Nombre de communes au recensement 1999 18 894 9 119 4 066 1 930 1 775 895 36 679
Nombre de communes françaises extrapolées
dans l'enquête 19 260 9 016 3 953 1 896 1 634 860 36 619
Population française au recensement 1990 3 681 187 5 671 049 5 468 337 4 903 756 9 415 418 29 142 844 58 282 591
Population 1990 extrapolée dans l'enquête 3 641 836 5 656 906 5 481 772 4 896 772 9 222 060 23 963 626 57 862 971
Population française au recensement 1999 3 617 815 5 775 972 5 668 858 5 059 062 10 069 909 29 994 215 60 185 831
Population 1999 extrapolée dans l'enquête 3 780 859 5 961 021 5 852 782 5 234 562 9 700 563 29 582 895 60 112 682
Définitions Organisation
La commune détermine le cadre de l’organisation la
Assainissement plus appropriée pour chacune des activités de l’eau.
Le secteur de l’assainissement regroupe deux acti- Il peut être différent pour chacune de ces activités au
vités : sein d’une même commune.
• la collecte des eaux usées : récupération des eaux Souvent, le cadre communal s’avère trop étroit ou
usées chez le consommateur et acheminement ; inadapté et plusieurs communes peuvent alors se
• l’épuration des eaux usées : traitement des eaux regrouper pour mettre en place un service commun.
avant restitution au milieu naturel. On parle alors d’organisation intercommunale.
On trouve différentes formes de coopération inter-
Directive européenne sur l’assainissement communale dont les principales sont les SIVU
collectif et sa transposition en droit français
(syndicat à vocation unique), les SIVOM (syndicat
Les eaux résiduaires urbaines (ERU) rejetées dans à vocation multiple) et les communautés de commu-
le milieu naturel, plus ou moins polluées, peuvent nes ou d’agglomérations.
constituer un danger pour l’hygiène publique et la
préservation de la qualité des eaux. Gestion
Une directive européenne (ERU n° 91/271/CEE Que ce soit dans le cadre communal ou intercommu-
du 21 mai 1991) impose des niveaux de traitement nal, la gestion peut être directe en régie (gestion publi-
minimum et fixe des échéances de mise en conformi- que) ou en délégation (gestion privée). Les situations
té des systèmes d’assainissement collectif en fonction de gestion intermédiaire (SEM : société d’économe
de la taille de l’agglomération d’assainissement et de mixte) sont rares.
la sensibilité du milieu récepteur. La délégation recouvre plusieurs types de contrats. Les
La transposition en droit français des dispositions principaux sont l’affermage, la concession et la gérance.
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Toutefois, le découpage physique des bassins dif- Les statistiques présentées pour l’agence Seine-
fère légèrement du découpage administratif. On a Normandie, par exemple, sont donc relatives à
privilégié le découpage physique, c’est-à-dire que la somme des bassins versants rattachés à cette
les communes rattachées administrativement à une agence. Ce territoire diffère légèrement de l’ensem-
agence, mais dont la majeure partie du territoire se ble des communes pour lesquelles l’agence Seine-
trouve dans un bassin-versant relevant d’une autre Normandie intervient.
agence, ont été affectées à la seconde agence.
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Les tableaux sont accessibles sous la forme de fichiers Microsoft ® Excel, en cliquant sur le titre du
critère choisi.
Selon le mode d’organisation de la collecte des eaux usées et la tranche de population ––––––
Longueur du réseau d’assainissement
Longueur du réseau d’assainissement par abonné raccordé
Longueur du réseau d’assainissement par logement raccordé
Selon le mode de gestion de la collecte des eaux usées et la tranche de population –––––––
Nombre de communes
Nombre de logements raccordés au réseau de collecte
Nombre de logements non raccordés au réseau de collecte
Nombre de logements raccordés à une station d’épuration
Nombre de logements équipés pour l’assainissement autonome
Nombre de communes
Nombre de logements raccordés au réseau de collecte
Nombre de logements non raccordés au réseau de collecte
Nombre de logements raccordés à une station d’épuration
Nombre de logements équipés pour l’assainissement autonome
Nombre de communes
Longueur du réseau d’assainissement
Nombre de logements raccordés au réseau d’assainissement
Volumes facturés
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Nombre de communes selon l’existence de mesures de maîtrise des eaux pluviales –––––––––––––––
Nombre de communes
Nombre de logements raccordés au réseau de collecte
Nombre de logements non raccordés au réseau de collecte
Nombre de logements raccordés à une station d’épuration
Nombre de logements équipés pour l’assainissement autonome
Nombre de communes
Nombre de logements raccordés au réseau de collecte
Nombre de logements non raccordés au réseau de collecte
Nombre de logements raccordés à une station d’épuration
Nombre de logements équipés pour l’assainissement autonome
Nombre de communes
Nombre de logements raccordés
Volumes facturés
Longueur du réseau d’assainissement
20 i n s t i t u t f r a n ç a i s d e l ' e n v i r o n n e m e n t
Nombre de stations
Volumes traités
Quantité de boues évacuées
Réduction de la pollution organique dans les stations de plus de 2 000 EH
selon l’année de première mise en service ou de dernier aménagement
Nombre de stations
Volumes traités
Quantité de boues évacuées
Charge en DBO5 entrant en station
Réduction de la pollution organique dans les stations de plus de 2 000 EH
Nombre de stations
Quantité de boues évacuées
Nombre de stations
Quantité de boues évacuées
Stations d’épuration
Tableaux 2001 par région et bassin d’agence
Nombre de stations
Volumes traités
Quantité de boues évacuées
Charge en DBO5 entrant en station
Charge en DBO5 en sortie de station (stations > 2 000 EH)
Réduction de la charge organique (stations > 2 000 EH)
Nombre de stations
Capacité des stations
Volumes traités
Quantité de boues évacuées
Charge en DBO5 entrant en station
Charge en DBO5 en sortie de station (stations > 2 000 EH)
Réduction de la pollution organique dans les stations de plus de 2 000 EH
Nombre de stations
Volumes traités
Charge en DBO5 entrant en station
Quantité de boues évacuées
Réduction de la pollution organique (stations > 2 000 EH)
Nombre de stations
Volumes traités
Charge en DBO5 entrant en station
Charge en DBO5 en sortie de station (stations > 2 000 EH)
Réduction de la charge organique (stations > 2 000 EH)
Nombre de stations
Quantité de boues évacuées
Nombre de stations
Quantité de boues évacuées
Estimation de la répartition des quantités de boues évacuées
selon le mode d’évacuation finale
22 i n s t i t u t f r a n ç a i s d e l ' e n v i r o n n e m e n t
Nombre de communes
Longueur du réseau d’assainissement
Logements raccordés au réseau d’assainissement
Volumes facturés
Nombre de communes
Nombre de logements raccordés
Volumes facturés
Longueur du réseau d’assainissement
24 i n s t i t u t f r a n ç a i s d e l ' e n v i r o n n e m e n t
Nombre de stations
Volumes traités
Quantité de boues évacuées
Charge en DBO5 entrant en station
Charge en DBO5 en sortie de station (stations > 2 000 EH)
Réduction de la pollution organique dans les stations de plus de 2 000 EH
Nombre de stations selon la date de leur mise en service et la date de leur aménagement
Réduction organique des stations de plus de 2 000 EH
Nombre de stations
Volumes traités
Quantité de boues évacuées
Réduction de la pollution organique dans les stations de plus de 2 000 EH
Nombre de stations
Quantité de boues évacuées
Nombre de stations
Quantité de boues évacuées
Stations d’épuration
Tableaux 1998 par région et bassin d’agence
Nombre de stations
Volumes traités
Quantité de boues évacuées
Charge en DBO5 entrant en station
Réduction de la pollution organique (stations > 2 000 EH)
Nombre de stations
Volumes traités
Capacité théorique des stations selon la tranche de taille
Quantité de boues évacuées
Charge en DBO5 entrant en station
Réduction de la pollution organique (stations > 2 000 EH)
Nombre de stations
Volumes traités
Charge en DBO5 entrant en station
Réduction de la charge organique (stations > 2 000 EH)
Nombre de stations
Quantité de boues évacuées
Nombre de stations
Quantité de boues évacuées
Estimation de la répartition des quantités de boues évacuées selon le mode
d’évacuation finale
26 i n s t i t u t f r a n ç a i s d e l ' e n v i r o n n e m e n t
© Ifen, 2006
Dépôt légal : février 2006
ISSN : 1776-8411