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Objectif du module
Donner les bases principales pour réussir une présentation orale. Parmi les compétences à
acquérir : Savoir préparer un exposé ; Savoir présenter un exposé ; Savoir capturer l’attention de
l’assistance.
Faire un exposé oral, c'est présenter devant un public ou un jury, le résultat d'un travail de recherche
ou un sujet contenant des informations fournies par plusieurs documents écrits sur un même thème, dont
l’objectif est d’Instruire et de convaincre votre public.
L’exposé oral comporte une préparation tout comme le travail écrit. En fait, la préparation est plus que
nécessaire : elle est essentielle. Vous devez prévoir quelques semaines afin de bien préparer votre
présentation orale.
I-2. Préparation d’un exposé oral
A la fin de la dernière l’année de votre parcours universitaire, vous devez réaliser un exposé (le
mémoire) que vous devez le présenter oralement devant un public : C’est prendre la parole. Les aides
audiovisuels (moyen audiovisuels) clarifient les points difficiles à comprendre et rend plus vivant
l’exposé oral. Ils améliorent considérablement l'efficacité d'une communication orale. Par contre, ils
doivent être simples et adaptés à votre sujet.
Avant la préparation de l’exposé oral, il faut tenir compte de la méthode pédagogique qui va être
vous voulez animer (texte, cadre, image...): Cliquez sur l’onglet Animations > Personnaliser l’animation :
Un bandeau « personnaliser l’animation » s’ouvre à droite. A vous maintenant de choisir et de paramétrer
votre animation, soit en forme de : losange, damier, store, etc…
I-3-2. Le poster
Objectifs du poster : Le but du poster est de présenter votre travail de recherche sous forme d’un
affichage, c’est en quelques sorte votre carte de visite scientifique. Il faut se mettre à la place de celui qui
va le lire : la problématique et le vocabulaire doivent donc être simples.
Le poster doit attirer l'attention, c'est un support de communication visuelle
Le poster sert à faire passer un message : c’est informer
Le poster doit donner envie au lecteur d’approfondir le sujet : c’est convaincre
Le poster doit être pédagogique, présenter un enchaînement logique et ne pas être trop dense.
Attention : le poster doit être autonome c.à.d. compréhensible même si vous n'êtes pas à côté
pour l’expliquer.
I-3-2-1. La composition d’un poster
La forme du poster est libre. Mais il doit nécessairement comporter :
1. Un titre : identification de l’auteur (formation, année de thèse, ajouter une photo), du laboratoire
de recherche (ED, encadrant, responsable du laboratoire), du sujet de recherche
2. La présentation du travail de thèse : objectifs, méthodologie, résultats et publications éventuelles
3. Les perspectives
Titre
Texte
Graphique
Texte
Photo
Texte
Carte
Références bibliographiques
3. La réalisation : Vous réaliserez votre poster en format A3 au début pour voir la structure
finale du poster et vous permettre de corriger : les couleurs, la police, les zones de texte, etc.
Vous rendrez au professeur une version en .pdf qui sera validée avant d’imprimer votre
version. Pensez à signer votre poster et à citer vos sources.
4. La mise en page
La version papier de votre poster doit être conforme aux standards suivants :
Format A0 : hauteur 120 cm x largeur 80 cm
Polices: Arial/Helvetica, taille 18 minimums
Étant donné que vous allez présenter votre travail oralement, il est important de suivre une logique
argumentative simple et claire, pour que le reste de la classe puisse suivre votre développement.
II-1. La présentation
Lors d’une présentation orale, il est recommandé de :
Eviter une longue lecture qui aurait pour conséquence d'endormir votre auditoire.
parler suffisamment fort pour capter l'attention de la classe.
n'utilisez pas de mots difficiles sans les expliquer et soyez comme un professeur qui présente le
fruit de son travail de recherche.
Soyez aimable, exprimez-vous avec soin et notez les mots-clefs au tableau.
Articulez avec soin et parlez lentement pour ceux qui veulent prendre des notes.
Pour mettre de la vie dans votre exposé, vous pouvez utiliser des dessins, des schémas, des
vidéos….etc, qui sont en rapport avec le sujet. Vous pouvez aussi vous déplacer dans la classe de façon à
maintenir l'attention de votre auditoire à travers le mouvement.
Les aides audiovisuels (moyen audiovisuels) clarifient des points difficiles à comprendre et rend
plus vivant l’exposé oral. Ils améliorent considérablement l'efficacité d'une communication orale. Par
contre, ils doivent être simples et adaptés à votre sujet.
Il remplit mieux l’objectif de clarifier certains points que les moyens verbaux ne le font pas et il
n’est pas là pour vous empêcher de parler. Il est utile pour mettre l’accent sur des éléments essentiels.
Les éléments inscrits sur le matériel présenté doivent être succincts (brefs). Assurez-vous aussi que tous
peuvent voir et entendre votre matériel.
C’est à l’occasion de ces « ratés de communication » que l’on se rend compte que l’exposé oral est
une compétence complexe qui fait trop rarement l’objet d’un apprentissage systématique lors des
premières années de formation, bien qu’elle constitue une compétence professionnelle clé, dont la
maîtrise devrait être assurée par toute formation universitaire.
Les premières minutes de l’exposé oral sont importantes, alors l’introduction doit :
Attirer l’intérêt de l’auditoire.
Permettre d’éveiller la curiosité et de maintenir l’attention de l’auditoire.
Etre brève, occupant environ 10 % du temps (quelques lignes).
Enoncer votre sujet, l’idée principale et les idées secondaires.
Etre intéressante et inviter l’auditoire à poursuivre l’écoute. « Pour ce faire, vous pouvez
poser une question, mentionner une citation frappante, énoncer un fait choquant ou amener
un fait vécu (toujours en lien avec votre sujet). Il faut que les autres sachent où vous voulez
en venir.
De plus, l’introduction peut vous aider à dominer le trac : Surtout, lors de votre introduction, il faut
éviter de vous excuser parce que vous êtes stressé ou parce que vous croyez être un mauvais orateur :
cela détourne l’attention de votre contenu et l’auditoire oubliera votre message.
II-4-2. Le développement
organisées.
• Le développement doit contenir les idées principales ainsi que les idées secondaires
clairement formulées. Celles-ci sont cohérentes et distinctes les unes des autres.
• Une attention particulière est portée aux transitions entre les idées secondaires. Vous
pouvez ajouter des exemples qui vont illustrer celles-ci, des descriptions, des citations, des
comparaisons, etc. C’est aussi la partie où vous justifiez ou prouverez ce que vous dites.
Voici quelques questions pour vous aider dans l’élaboration de votre développement. Vos idées
peuvent-elles être traitées dans le temps donné ? Est-ce que ces idées vont avoir le meilleur effet ? Les
idées apportent-elles des éléments à l’atteinte de l’objectif visé ? Sont-elles trop nombreuses ou en
manque-t-il ? Est-ce que vous connaissez suffisamment les idées développées ?
II-4-3. La conclusion
C’est la partie la plus courte de votre présentation orale, mais il est important de la
soigner. Cette partie est importante, car le contenu résume vos points principaux afin que
l’auditoire puisse retenir vos idées.
Il est approprié d’élever le ton, car l’auditoire peut-être un peu fatigué. Il est pertinent
d’utiliser des phrases comme «je termine en…», «en conclusion», «en finissant cette…»
pour marquer votre intention de terminer votre exposé oral.
Vous pouvez terminer avec une question pour ouvrir une discussion, pour susciter une
réflexion, pour relancer une idée ou, encore, pour projeter votre auditoire dans l’avenir,
lui recommander des modifications à apporter, etc.
La conclusion doit faire l’objet de :
1. Résumer ce qui précède Effectuer une rapide synthèse de ce qui a été dit auparavant.
2. Conclure : Conclure peut être :
énoncer une affirmation ou un doute
résoudre un problème
poser un nouveau problème
proposer une action ou une réflexion
resituer dans un contexte plus large et d'avenir.
3. Ouvrir un débat :
• Faciliter les questions.
• Inviter l'auditoire à s'exprimer et à donner son point de vue.
Les notes ou les aide-mémoires : Elles sont utiles pour vous aider en cas de trou de mémoire. Elles
servent aussi à noter les citations. Les notes doivent être facilement utilisables pour ne pas vous
déconcentrer ni déranger l’auditoire (avec le bruit des feuilles). Pour ce faire, elles sont numérotées,
sans agrafes, sont écrites seulement sur un côté de la feuille et en nombre limité (15 fiches maximum).
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Cours du Module Méthodologie 2 (Méthodologie de la présentation)
Il est très important que vous ne lisiez pas vos notes, car c’est ennuyant pour l’auditoire et vous ne
mettez pas en pratique vos aptitudes d’orateur. C’est pourquoi vos notes ne contiennent que des mots
clés ou les idées principales et secondaires. Vous pouvez écrire votre introduction pour vous aider à
vous sentir plus en confiance, mais il n’est pas dynamique de lire. Il peut être efficace d’écrire en
grands caractères et clairement, en mettant aux mots des couleurs pour vous aider à vous y retrouver
plus facilement.
II-5-1. L’argumentation
Elle doit être rigoureusement étayée. Elle peut être décomposée en trois étapes :
Énoncer l'idée force, l'argument lui-même,
Énoncer plusieurs sous-arguments tendant à justifier la position annoncée, choisis si
possible dans des champs différents,
Illustrer chacun par des références à des situations, à des faits précis, incontestables, à
des données chiffrées.
L'argument doit être adapté à la cible Pour convaincre dont Le discours doit contenir une logique
interne, afin de faire appel à la raison de son interlocuteur :
- Utilisation de connecteurs logiques afin de lier vos idées : « tout d’abord, ensuite,
mais, de plus, en outre… »
- Structurer son discours : annonce du thème, des arguments : 1 paragraphe = 1 idée
- Employer des faits indiscutables, des chiffres
II-5-2. L'adaptation du discours à l'auditoire
Il est question ici des habiletés (agir avec compétence) d’orateur dans le choix du langage. Pour être un
bon orateur, vous devez imaginer que vous parlez à une personne tout en respectant les points suivants :
Les mots :
1) Pour être clair dans votre présentation les mots choisis pour votre exposé oral doivent être
simples et provenir du langage courant afin que tout l’auditoire comprenne (Utiliser un
vocabulaire accessible à tous). Tout cela sans oublier que le langage doit être approprié, naturel,
proche de celui de votre auditoire, sans être trop familier ni trop spécialisé.
2) Les mots doivent être soigneusement sélectionnés pour éviter d’être mal interprétés et,
donc, qu’ils soient précis est nécessaire : Ayez recours à un langage clair, précis, vivant et
mobilisateur. Utilisez le mot juste, explicitez chaque terme nouveau ou ambigu.
Les phrases :
1) Évitez les phrases « à rallonges » ou « à tiroirs » qui perdront l’auditeur. Faites plutôt des
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Cours du Module Méthodologie 2 (Méthodologie de la présentation)
Le discours :
Essayer d’être vivant en variant le discours, en étant direct et en exprimant votre pensée de
manière figurée et de manière originale : vous pouvez y insérer des figures de style.
Si vous faites des digressions ou des parenthèses, introduisez-les (« En passant, je
voudrais signaler que… »), sans oublier de les fermer (« Revenons à… »).
Interpellez les auditeurs en les prenant à témoin (« Vous savez tous que… »), en les
impliquant (« Nous avons eu l’occasion de… »), en parlant en leur nom (« Vous
pensez peut-être que… »), en ayant recours aux fausses interrogations et en anticipant
leur réaction (« Vous me direz que… »).
Enfin, la redondance et la répétition ne sont pas à exclure à l’oral : elles permettent de
signaler les passages importants. Faites aussi la chasse à l’abus d’interjections (« Euh
») et aux tics verbaux (« Alors », « Disons », « D’accord
», …).
II-5-3. La prise en compte des réactions de l'auditoire
Il ne faut pas attendre la fin de l'exposé pour s'intéresser aux réactions de l'auditoire. Certains indices
non-verbaux, certaines réactions au cours de l'exposé nous renseignent sur le niveau de réception.
Les interventions du public peuvent globalement répondre aux objectifs suivants :
Demande de précisions, d'informations complémentaires,
Contestation de certains aspects développés,
Réfutation d'un aspect de l'argumentation,
Développement de contre-arguments,
Évaluation globale du travail présenté,
Opposition de principe.
On peut opter pour deux types d'organisation.
1. Répondre aux questions au coup par coup : Cela permet une participation régulière et
spontanée ainsi que des interactions dans le public.
2. Recueillir les questions en faire une synthèse et organiser une réponse de façon
structurée autour de nouveaux thèmes mis en évidence.
3.1. Définition
Le plagiat est un nom masculin, dont le sens est une action du plagiaire. Le verbe plagier peut-être
remplacé par copier, calquer [1].
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Chapitre 3 : Plagiat et propriété intellectuelle
Par définition, c'est un « Vol littéraire ». Le plagiat consiste à s’approprier les mots ou les idées de
quelqu’un d’autre et de les présenter comme siens » [1].
Plagier c’est : « Résumer l'idée originale d'un auteur en l'exprimant avec ses propres mots, mais en
omettant d'en mentionner la source »[1].
Plagier est non seulement un acte malhonnête, mais aussi une infraction qui peut entraîner des sanctions
[1].
L’expression « propriété intellectuelle » désigne les œuvres de l’esprit : les inventions, les noms et
images utilisés dans le commerce. Donc c’est le domaine comportant l’ensemble des droits exclusifs
accordés sur des créations intellectuelles [2].
La propriété intellectuelle comporte deux branches :
La propriété littéraire et artistique qui s’applique aux œuvres de l’esprit, est composée du
droit d’auteur telles que romans, poèmes œuvres musicales, artistiques…
La propriété industrielle, qui comprend les inventions, marques, dessins et modèles
industriels [2].
C’est dans la Convention de Paris pour la protection de la propriété industrielle de 1883 et dans la
Convention de Berne pour la protection littéraire et artistique de 1886 qu’a été reconnue pour la 1ère
fois l’importance de la propriété intellectuelle. Ces deux traités sont administrés par l’Organisation
Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI) [2].
Ils désignent l’ensemble des droits dont jouissent les créateurs sur leurs œuvres littéraires ou
scientifiques. Les œuvres protégées par le droit d’auteur sont :
Romans ;
Poèmes ;
Journaux ;
Logiciels ;
Bases de données ;
Dessins ;
Photographies ;
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Chapitre 3 : Plagiat et propriété intellectuelle
Créations publicitaires ;
Articles scientifiques ;
Ouvrages.
En résumé, la nocivité du plagiat de la recherche est avant tout collective et affecte l’intérêt général
bien au-delà du trouble qu’elle cause indiscutablement au chercheur plagié. Ce dernier en effet, s’il a
intégré la méthode de recherche scientifique, est beaucoup mieux placé pour contribuer à l’avancement
de la connaissance que toute autre personne, y compris le plagiaire. Par ailleurs l’accès de ce dernier à
une profession pour laquelle il n’a, en fait, pas rempli les exigences de formation diffuse dans le
système professionnel une quantité de personnes incompétentes et nuit au fonctionnement social dans
son ensemble.
Les références et les citations renforcent la crédibilité des écrits scientifiques et soulignent l’originalité
de votre contribution au développement du savoir. Citer ses sources est un pilier fondamental de
l’intégrité en recherche et une obligation. Il est important de prendre en note les sources d’informations
que vous recopiez : citation….sinon c’est du plagiat! L'objectif d'une citation et d'une référence
bibliographique est de protéger les droits d’auteurs et de permettre au lecteur d'accéder au document
cité sans trop de difficultés.
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Chapitre 3 : Plagiat et propriété intellectuelle
3.4. Comment emprunter les travaux des autres auteurs, les citations
Citer tout emprunt à une autre personne présenté sous forme de texte, de statistiques, de graphiques ou
d’images, provenant d’un texte écrit, d’une présentation orale ou d’un site Web, ou encore des
documents cartographiques ou des données géospatiales.
Exemples d'emprunt : les théories, les concepts, les données, les documents originaux, les méthodes,
les résultats.
Citer tout extrait emprunter à un document, publié ou non, imprimé ou non, provenant d’une autre
personne ou issu de ses propres travaux et auquel notre texte fait référence.
Obtenir la permission de l’auteur avant d’utiliser des informations, données, méthodes, résultats,
documents originaux ou concepts nouveaux obtenus grâce à l’accès à des manuscrits confidentiels, à
des demandes de financement de la recherche et à des demandes de bourses.
Lors de la rédaction d'un texte, chaque emprunt doit faire l'objet d'une citation.
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Chapitre 3 : Plagiat et propriété intellectuelle
Si une phrase est recopiée, sans modification, il s'agit d'une citation textuelle. Une citation
textuelle doit être entre guillemets, Elle peut être introduite par une phrase ou un mot. Sans
guillemets, c'est du plagiat, même avec un renvoi bibliographique.
Le texte sera mis en italiques pour les citations dans une autre langue que celle du texte. Pour
éviter les guillemets, il faut au minimum paraphraser citation indirecte) le texte original (sans
oublier le renvoi bibliographique). Enfin de document la bibliographie doit lister tous les
documents utilisés avec leur référence complète rédigée selon les normes en vigueur.
Faire une citation de seconde main (ou une citation secondaire), c'est reprendre la citation utilisée
par un autre auteur et reproduire cette citation sans avoir eu la possibilité d'obtenir le document et,
dès lors, sans avoir lu le document original. Sans avoir le document en main, on ne peut garantir
l'exactitude de la citation (ou des idées reprises) ni celle de la référence bibliographique produite
par l'auteur qui cite cet autre auteur.
En principe, pour éviter de reproduire une éventuelle erreur, la référence originale n'est pas reprise
dans la liste bibliographique. Si la référence est malgré tout ajoutée dans la liste bibliographique,
elle devra être clairement identifiée comme une "référence non consultée" (dans une liste séparée
ou au moyen d'un astérisque ou d'un signe distinctif). La citation dans le texte aura la forme
suivante : (Brown, 2010 cité par Dupont, 2012).
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Chapitre 3 : Plagiat et propriété intellectuelle
3.8.1. Ouvrage
Ils sont composés de :
-Le nom de l’auteur en majuscules et en gras suivi de la première lettre du prénom.
-Le titre de l’ouvrage en italiques entre deux guillemets
-La maison d'édition
-Le lieu et la date d’édition
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Chapitre 3 : Plagiat et propriété intellectuelle
Prendre en note tous les éléments qui permettent d’identifier la source d’où est tirée
l’information : nom de l’auteur, titre du livre ou de l’article, volume, numéro, année de
publication, page (s) ;
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Chapitre 3 : Plagiat et propriété intellectuelle
Dès le départ, il faut noter correctement les références des documents utilisés même si certains seront
éliminés par la suite. Cela facilite également le travail au CDI d’une séance à l’autre, vous perdrez
moins de temps à retrouver les documents.
Prévoyez une feuille, une page de cahier, un carnet où vous noterez précisément les références des documents qui
vous intéressent.
Il vous faudra organiser vos références de manière ordonnée, logique et selon certains critères (ordre alphabétique
des auteurs, type de documents, sujets traités).
Vous respecterez des règles de présentation (normes) pour chaque type de documents conformément aux règles
suivantes :
Un ouvrage (monographie) : Nom de l'auteur*, Prénom. Titre (souligné si manuscrit, en italique si
tapé). Editeur, année d'édition [collection]. Nombre de pages.
Une partie, un chapitre, un tome de l'ouvrage : Nom de l'auteur*, Prénom. Titre. Editeur, année.
[collection]. N° et titre de la partie ou du chapitre ou du tome. Pages. (Si une seule page : p. 5 / si
plusieurs pp. 24-30). Quand un ouvrage contient plusieurs articles : Nom de l'auteur*, Prénom. Titre
in Titre de l'ouvrage ...
Un article de périodique : Nom de l'auteur*, Prénom. « Titre de l'article ». Titre du périodique
(souligné ou italique). N°. Date. Pages.
Documents internet : Nom de l'auteur*. Titre, date de création ou de modification, [adresse
URL], (date de consultation ou de téléchargement), taille du document.
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Chapitre 3 : Plagiat et propriété intellectuelle
Références bibliographiques
[1] Simonnot, B. (2014). Le plagiat universitaire, seulement une question d’éthique ?. Questions de
communication, (26), 219-233.
[2] Maréchal, C. (2007). L'évolution des droits de propriété intellectuelle sous l'effet du droit de la
concurrence (Doctoral dissertation, Paris 2).