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1.Fonctionnement de la dualité BA
2 – Les Poutres
3– Les poteaux
4 – Les Dalles
5 – Les Semelles de fondations
RESULTATS DES DEFAUX DE
III.
DIMENTIONNEMENT
IV. CONCLUSIONS
Pr. OUAHMANN ABDERRAZZAQ
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I. Dualité acier béton
BETON
Sable Ciment
+ +
Gravillons Eau
BETON
granulats pâte
Le béton destiné au béton armé se différencie du béton ordinaire
par son dosage et par la grosseur des granulats employés.
POINTS COMMUNS
-Même coefficient de dilatation
L’adhérence est possible (liaison)
-L’acier est protégé par le « béton adhérent »
L’association béton-acier en résulte
DIFFÉRENCES
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1. Fonctionnement du béton armé
2‰< ε bc <3,5 ‰
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4. Recapitulation
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Prenons le cas d’un exemple d’une poutre classique soumise à la flexion.
Le diagramme déformation de la section à l’allure suivante :
3.5 2
2.17 10
Dans cet exemple, la section est ici bien dimensionnée car les
déformations de l’acier et du béton sont dans les intervalles énoncés
précédemment. Les matériaux travaillent donc de manière efficace.
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II . Principe du béton armé
1.Fonctionnement de la dualité BA
Etudions le principe de fonctionnement de quelques éléments
de béton armé dans une structure courante :
- Poutre
- Poteau
-Dalle
- Fondations
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2 – Les Poutres
A.1 Expériences
Livrons-nous à une série d’expériences de rupture de poutre à la flexion :
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Poussons à la rupture une poutre de béton en flexion sans armature.
Ce sont des fissures inclinées, près des appuis, qui vont brusquement
s’ouvrir et provoquer la rupture de la poutre…
Ce type de fissure est dû à l’ effort tranchant (ou cisaillement).
Pour empêcher ce type de rupture, nous allons concevoir une 3ème poutre
possédant en plus des armatures transversales (cadre)
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Ainsi armée (aciers longitudinaux + aciers transversaux), la poutre aura
encore une résistance améliorée).
La rupture intervient à F = 110 000 N (18 fois plus) 13
De manière à stabiliser les armatures, on place des aciers de construction
dans les zones de la poutre où il n’y a pas d’acier longitudinaux :
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A.2 Bilan des différents types d’aciers :
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- Les aciers de construction : Ces aciers permettent de rigidifier la cage
d’armatures et de permettre le levage de celle-ci.
Ces aciers ne sont pas calculés. Ils sont également appelés acier de montage
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B.Dispositions constructives
B.1 L’enrobage :
Les aciers doivent être protégés des agressions extérieures et ne doivent
pas gêner le remplissage du béton.
Il faut pour cela respecter une distance d’enrobage c (ou e).
L’enrobage varie selon l’agressivité du milieu : 1, 3 ou 5 cm.
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B.2 Longueur de recouvrement :
Lorsqu’une barre d’acier n’est pas assez longue, on prolonge avec une autre
barre. Pour que l’effort puisse se transmettre d’une barre à une autre, il
est nécessaire de « recouvrir » les barres sur une certaine longueur dite
longueur de recouvrement.
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Poutre : exemple de plan de ferraillage
Coupe en élévation Section rabattue Nomenclature
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3 – Les Poteaux
Les poteaux des constructions classiques sont soumis à de la compression.
Même si le béton résiste bien à la compression, on ajoute des aciers :
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A-2 Poteau : Exemple de plan de ferraillage
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B.Liaisons des éléments poteau poutre
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Des aciers de liaison permettent de relier les éléments de la structure
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4 – Les Dalles
A.1Objectifs principaux :
Intégrité constructive
Action diaphragme pour transfert d’efforts horizontaux
Distribution transversale de charges concentrées
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B. Type des dalles
1. Planchers à poutrelles et entrevous
Planchers à poutrelles et entrevous Les entrevous existent
en différents matériaux
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2.Disposition constructive
Planchers à poutrins et entrevous
entrevous semi-porteurs
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2.Dalles alvéolées
Procédés de production
par extrusion ou lissage
Sous-face lisse
Masse propre réduite
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3.Eléments nervurés
Béton précontraint
Grande capacité portante
Grandes portées
Masse réduite par sections
transversales élancées
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4.Planchers à prédalles
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C . Types de planchers et éléments de toitures préfabriqués
m mm mm kN/m²
± 20 120 - 500 600 - 1200 2,2 - 5,2
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5 – Les Semelles de fondations
A – Principe
L’effort de compression du poteau se transmet à la fondation par des
bielles de compression inclinées.
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C.Recapitulations
Fonctions Conditions Solutions
STABILITÉ de l'ouvrage et des fondations •Les tassements du terrain d'assise ne doivent pas •Limitation des tassements compatibles avec
autoriser de désordres graves des fondations et de l'utilisation de l'ouvrage (ordre de grandeur :
l'ouvrage. quelques mm de 5 à 25 mm)
•Éviter ou, au pire, limiter les tassements •Vérifier que les poussées d'Archimède soient
différentiels. inférieures au poids de l'ouvrage (rare) sinon
•Tenir compte de la présence d'eau dans le sol prévoir un ancrage du bâtiment par tirants ou
(poussée d'Archimède) prévoir un lestage.
•L'ouvrage ne doit pas se déplacer sous l'action des •Prendre les dispositions constructives adaptées à
forces horizontales ou obliques appliquées à la chaque cas (utilisation de bêches, frottements
structure (vent, poussées des terres, poussée sol/béton suffisant, tirants ou clous,...)
hydrostatiques) •Pente maximale entre semelles de fondations de
•Éviter les glissements de l'ouvrage pour les 2/3 (env. 30°)
constructions réalisées sur un terrain en pente. •Drainage périphérique
RÉSISTANCE des massifs de fondations •Les actions qui sollicitent les fondations ne doivent •Respect des règles en vigueur.
pas entraîner leur rupture •Dimensionnement correct des fondations en
fonction du type de l'ouvrage, des charges et
surcharges supportées par la structure, de la nature
du terrain, du type de fondations et des matériaux
employés.
RÉSISTANCE du terrain de fondations •Les actions qui sollicitent le sol de fondations ne •Respect des règlements en vigueur. L'étude des
doivent pas entraîner son poinçonnement ni des comportements du sol fait l'objet de la mécanique
déformations incompatibles avec l'utilisation de des sols (DTU 13.1)
l'ouvrage supporté.
DURABILITÉ des fondations •La résistance des massifs de fondations doit être •Les massifs de fondation doivent être protégés de
assurée pendant toute l'existence de l'ouvrage. l'oxydation, de l'érosion, de la décomposition
chimique, de l'action du gel.
•S'assurer de la stabilité du sol à l'érosion, au
glissement de terrain, à la dissolution de certaines
particules dans l'eau (gypse,...), au gel.
ÉCONOMIE •Réduire les coûts de mise en oeuvre •choisir avec prudence parmi les solutions
compatibles avec l'ouvrage et le sol celle qui sera
35la
plus économique.
D . Type des semelles
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Fondation filante ou continue
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Fondation sur pieux
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Radiers :
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Fondation isolée :
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E. dimensionnements
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Sol solide Sol faible
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III. CONCLUSIONS
planification
ordonnancement
pilotage
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