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II Plateaux, rue L40, 01 BP 12159 Abidjan 01, tel. 22422265 / 07231862 /45842102 / 66040081
Fax: 22 42 27 24 / www.iua-ci.org
Volume 2
Les manuels de l’Institut Universitaire
d’Abidjan
Édition 2020-2021
o
N IUA-2020/ADA/L3/S5
Licence 3 Marketing
Semestre 5
Volume 2
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Les Manuels de l’Institut Universitaire d’Abidjan / 2020-2021
Note introductive
Aka KOUAMÉ
Président de l’Institut Universitaire d’Abidjan
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NOS FORMATIONS
FACULTÉ DES SCIENCES JURIDIQUE ET FACULTÉ DES SCIENCES
POLITIQUE ÉCONOMIQUES ET SOCIALES
DÉPARTEMENT DE DROIT DÉPARTEMENT DES SCIENCES
Droit Privé et Public Ivoirien ÉCONOMIQUES
Droit Privé et Public Français Économie Pure
Économie Monétaire et Bancaire
DÉPARTEMENT DE SCIENCE POLITIQUE Stratégies de Développement
Politiques Publiques et Bonne Gouvernance
Affaires Internationales et Diplomatie DÉPARTEMENT D’ADMINISTRATION
DES AFFAIRES
FACULTÉ DES SCIENCES ET Comptabilité
TECHNOLOGIES Finances
DÉPARTEMENT DE MATHÉMATIQUES ET Marketing
INFORMATIQUE Logistique
Actuariat Gestion des Ressources Humaines
Génie Logiciel
DÉPARTEMENT DES SCIENCES DE
DÉPARTEMENT DES SCIENCES DE L’INFORMATION ET DE LA
L’INGÉNIERIE COMMUNICATION
Mécanique Énergétique Publicité Marketing
Génie des Procédés Communication Numérique
Génie Civil Communication des Organisations
DÉPARTEMENT DE MUSIQUE
Musique et Musicologie (composition
instrumentale, électro-acoustique)
II Plateaux, 7ème tranche rue L40, Carrefour Cascades, LotPage 5 of
3016, Illot 251329
BIS 01 BP 12159 Abidjan 01 – Tel : 22 42 22 65 / 07 23 18 62 /
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L’ENVIRONNEMENT D’ETUDES
Services d’accompagnement
La mobilité étrangère et Coopération Internationale
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Département de Mathématiques-Informatique
Manuel de cours de Licence 1 Manuel de cours de Licence 3
Manuel de cours de Licence 2
Mathématiques appliquées Manuel de cours de Master 1
Manuel de cours de Licence 2 Manuel de cours de Master 2
Informatique
Département d’Ingénierie
Manuel de cours de Licence 1
Manuel de cours de Licence 2
Manuel de cours de Licence 3
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Présentation du programme de Licence en Administration des Affaires
1. Objectif général
Adapté aux programmes du même genre en vigueur dans les universités publiques
ivoiriennes et inspiré des programmes des universités nord-américaines et européennes,
la licence en Droit de l’IUA offre une formation juridique générale de base donnant la
possibilité aux étudiants de poursuivre leurs études jusqu’au plus haut degré de
qualification (Master, Doctorat). Il permet aussi d’entrer directement dans la vie active
(concours administratifs de catégorie A, emplois dans le secteur privé). Selon les
secteurs d’activité vers lesquels les étudiants souhaitent s’orienter, il leur est conseillé
d’opter lors de la troisième année pour la spécialité Droit privé ou public.
Le programme de licence en Droit de l’IUA permet aux étudiants d’acquérir des
connaissances sur l’ensemble du domaine du Droit : Droit privé, Droit public, histoire
du Droit, Science politique, Économie politique, etc.
Il permet de :
- Donner une formation générale en Droit privé et Droit public afin de permettre
la poursuite d’études en master.
- Offrir l’apprentissage de la méthodologie, de l’analyse et des techniques du
Droit nécessaires pour travailler dans toutes les branches du Droit.
- Outiller les étudiants à la gestion et à l’analyse juridiques.
- La préparation aux différents métiers du Droit donnant accès à l’administration
et aux entreprises.
- La spécialisation dans l’une des carrières du Droit.
Plus précisément, ce programme vise à assurer aux étudiants :
- Une solide formation de base en Droit permettant d’entrer en première année de
Master, de présenter certains concours de la fonction publique, de postuler à des
emplois relevant de ce niveau d’études ou créer leur propre entreprise.
- L’acquisition d’une grande culture générale lors des trois années du cycle de
formation.
- La familiarisation avec les structures et le fonctionnement des principales
institutions législatives, judiciaires et politiques.
2. Objectifs spécifiques
Selon l’option choisie, les compétences attendues sont les suivantes :
Pour l’option Droit privé
- la maîtrise de tous les aspects liés à l’ingénierie juridique, comptable, fiscale et
financière inhérente à la gestion de l’entreprise et des personnes ;
- la rigueur de raisonnement ;
- la méthodologie du travail universitaire ;
- la connaissance de l’environnement juridique et économique ;
- la connaissance des métiers du Droit ;
- les contraintes liées à une activité professionnelle.
Pour l’option Droit public
- la maîtrise de tous les aspects liés à l’ingénierie juridique inhérente à la gestion
de l’administration ;
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Les Manuels de l’IUA – Licence 3 Administration des Affaires/ Semestre 5
SOMMAIRE
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Vente Relationnelle
g
Institut Universitaire d'Abidjan
Vente
Relationnelle
KOUASSI Evariste Arthur
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Vente Relationnelle
Vente Relationnelle
KOUASSI Evariste Arthur
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Vente Relationnelle
- La prise de contact,
- La découverte des besoins du client,
- L’argumentation,
- La réfutation des objections,
- La conclusion de la vente,
- La prise de congé.
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Vente Relationnelle
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Vente Relationnelle
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Vente Relationnelle
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Vente Relationnelle
contrôle de
gestion et
d’évaluation des
résultats
personnels
3. La politique - Favoriser - Réunions - Direction
commerciale : l’argumentaire et d’information générale
- Politique de la prospection - Notes - Direction du
développement - Favoriser la d’information marketing
des nouveaux négociation - Organigramme -Direction du
produits commerciale - Visites personnel
- Politique de - Eviter le ‘’ je ne organisées - Direction des
tarification et de sais pas, je dois - Plan résumé de ventes
remise consulter’’ marketing
- Plans des - Donner au client - Tarifs
campagnes le sentiment de - Catalogues des
publi- confiance et autres produits
promotionnelles d’efficacité commercialisés
- Organisation par la société.
commerciale :
les hommes en
place et les
procédures
administratives
- Autres produits
commercialisés
par la société
4. Les opérations - Favoriser -Journal interne - Direction du
de production et l’argumentaire et -Note personnel
de transport la réponse aux d’information - Direction des
- Les objections -Visites ventes
fournisseurs et - Permettre de organisées et
les organisations maîtriser les commentées
d’achat éléments -Organigramme
- Les chaînes de techniques
production essentiels
et leurs rythmes -Prendre
- les systèmes de conscience du
contrôle de rôle des autres et
qualité prévenir certains
- Les systèmes conflits
de stockage et - Favoriser le
distribution : dialogue avec les
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Vente Relationnelle
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Vente Relationnelle
Pour réussir, le vendeur doit tout d’abord bien situer les produits de son
entreprise par rapport aux diverses clientèles. Son action sur le terrain lui
confère une place privilégiée pour être à l’écoute de toutes les évolutions
susceptibles de poser problème pour le développement de l’activité de
l’entreprise qui l’emploie. Il lui faut faire montre de beaucoup d’attention,
de vigilance et de curiosité, à l’égard des besoins, des attentes,
récriminations de tous ordres des diverses catégories de consommateurs.
Dans cette perspective, les vendeurs doivent bien discerner :
- Les non-consommateurs absolus,
- Les non-consommateurs relatifs,
- Les consommateurs actuels.
Le vendeur peut, à partir de cette clarification du marché par grande
catégories de clientèles orienter des actions de fidélisation et/ou de
prospection, et ainsi agir de façon fondée et compétente. On n’appréhende
pas de façon identique, en effet, ses propres clients (pour leur faire acheter
davantage ou autre chose dans sa gamme de produits) et ceux des
concurrents ou les non-consommateurs relatifs. Il faut dans chaque cas une
approche appropriée.
Pour être efficace le vendeur doit aussi avoir une connaissance précise de
l’offre, c’est-à-dire de l’ensemble des entreprises susceptibles de fournir
aux consommateurs visés un bien ou un service comparable. Cette offre
doit être étudiée tant sur le plan de son importance que sur ceux de sa
structure et de la variété des formes de la concurrence à laquelle
l’entreprise est confrontée.
- Si l’offre est importante, le volume de produits qui en découle place
le vendeur devant une difficulté, à savoir que le consommateur,
ayant un large choix, a une tendance à être plus exigeant et de ce fait
plus difficile à convaincre. A contrario, lorsque le nombre de biens
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Vente Relationnelle
2-Rapport de la préparation
Connaitre sa société
Analyser le développement
r
Q7 : avez-vous préparé avec soin votre matériel de
prospection ?
ir
Contrôler
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Vente Relationnelle
3-La check-list
Une bonne check–list facilite et améliore la préparation des visites. Elle
pose les questions indispensables, invite à effectuer les recherches
nécessaires, stimule les réflexions souhaitables et crée un entrainement
mental préalable à la négociation.
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Le client Le vendeur
A un besoin A une solution
A de l’argent A un savoir-faire
Est plus ou moins
Est crédible
profane
Exercice d’application
Cochez la ou les affirmations correspondant à la bonne relation
acheteur/vendeur, en d’autres termes, repérez la situation Gagnant-Gagnant
parmi ces trois situations.
1. Le vendeur vend un produit en stock en faisant une remise
importante et visiblement ce produit n'était pas tout à fait celui
correspondant au besoin du client
2. L'acheteur dit : j'ai fait une affaire au lieu de dire j'ai acheté le
salon qui va embellir ma maison dans laquelle j'aurais plaisir à
m'asseoir.
3. L'acheteur dit : "Le vendeur a vraiment compris mon choix sur le
plan technique et il m'a vendu l'article au meilleur rapport Qualité /
Service / Prix".
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L’entretien téléphonique
o Comment parler au téléphone
- Tout d’abord, il ne faut pas parler d’une façon monotone (et savoir
changer de registre) ni parler trop haut (une voix agréable est plutôt
basse qu’élevée).
- Le débit de la parole ne doit être trop lent, trop élevé (150
mots/minute environ) et il faut savoir varier le rythme du discours
(les mots ou les phrases les plus importants doivent être prononcés
plus lentement et distinctement). Il est également indispensable de ne
pas faire trop de longues phrases.
- Il faut ensuite parler aimablement, sourire (car le sourire s’entend) et
bien écouter, ainsi que reformuler les propos les plus importants de
son interlocuteur.
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Vente Relationnelle
Bonjour M.SOUMAHORO,
Arsène SERI de la société
LÉFORFÈLÈFOR.
Certains de nos clients Economie du gain potentiel pour le client (ne jamais entrer
comme la société dans les détails : il faut intéresser le prospect, sans se
DJRANKEKLE ont réalisé dévoiler)
une économie de 30%
par rapport à la facture de
l’année précédente. Motif de
l’appel
Je souhaite vous
rencontrer pour faire une Tentative de prise de rendez-vous à l’aide de la question
première approche de alternative
votre économie
potentielle.
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OUI NON
Quand préfériez-vous ? Le …
ou le …
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d.L’organigramme de P. Chevalier
- Saluer
Oui
Avez- vous le nom ‘’Allo bonjour M. ou Mme …’’
Demander le poste du
du responsable ?
responsable
‘’Pourrai-je parler à M …
Non
Non
2ème objection de la
part du responsable Ne pas insister
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Vente Relationnelle
- Le contact physique
Il ne faut jamais oublier que le contact visuel est le tout premier contact
lorsque deux personnes se rencontrent. L’apparence physique a donc une
importance considérable pour la relation de communication qui va s’établir.
Elle reflète les références matérielles de chacun des interlocuteurs.
L’apparence physique doit donc se soigner autant que le discours
commercial. En fait, on n’a qu’une seule fois l’occasion de faire bonne
impression et lorsqu'on sait qu'un consommateur vous juge en quelques
secondes sur vos premiers gestes, il est fondamental d'adopter
immédiatement la bonne attitude que l'on dénomme la "règle des 4 x 20".
Sur quoi se construit la première bonne impression ?
La règle des 4 x 20 :
On estime en effet que le jugement que l’on a d’un individu se base à 80%
sur la voix ou le visuel. En fait, il vous faut attirer la sympathie du
prospect. Pour y parvenir, concentrez-vous sur votre démarche et votre
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Présentation
Identificateur de l’interlocuteur
Entrée en matière
Par ailleurs, il faut noter aussi qu’en laissant parler le futur client, vous
gagnez du temps pour réfléchir à ce que vous direz ensuite.
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Vente Relationnelle
certaines expressions
plutôt négatifs.
Eviter toutes excuses
superflues
Il faut un maintien Ne pas tourner le dos à
déférent à l’égard de son la personne qui vous
interlocuteur reçoit.
Il convient malgré tout de Rester à une distance
faire montre d’une raisonnable après l’avoir
Règle n04
confiance en soi saluée (respecter le
Des gestes à maitriser
périmètre de sécurité de
l’interlocuteur).
Eviter de gesticuler sans
raisons pour ne
détourner son attention
Il faut adapter son Ne pas être ‟une bouche
comportement et ses cousue dans le couloir‟.
premières paroles au lieu Ne pas s’impatienter
dans lequel on se trouve : ostensiblement
- Certaines choses Ne pas chercher à forcer
peuvent en effet être l’entrée du bureau.
dites dans le couloir ; Faire montre
Règle no 5
Un lieu à intégrer - D’autres ne peuvent d’éducation en
être abordées qu’à s’adaptant
l’intérieur du
bureau ;
- D’autres encore ne
peuvent l’être qu’à
l’intérieur du bureau,
une fois assis.
Attendre d’être invité à Ne pas manifester
s’asseoir. l’envie de prendre
Attendre d’être convié à possession d’un siège
prendre la parole pour s’installer.
Règle no6 Attendre que
Un début d’entretien à ne l’interlocuteur se soit
pas précipiter lui-même assis pour
s’asseoir
Démarrer par une phrase
appropriée, sans détour
ni superflu, flagornerie.
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Vente Relationnelle
En organisation
‟Monsieur DIAKITE, aimeriez-vous que toutes vos
archives tiennent dans ce meuble ?‟
‟Cher Monsieur Komara, attachez-vous de l’importance
à la motivation de vos collaborateurs ?‟
Dans le bâtiment
‟voudriez-vous Madame KOBENAN, économiser 30%
sur votre note de chauffage ?‟
‟Aimeriez-vous, ZAKPA, gagner vingt minutes à
chaque pause ?‟
En bureautique
‟Monsieur TOTO, souhaitez-vous relancer vos clients
trois fois plus souvent ?‟
‟Monsieur GBOSSIO, pourriez-vous m’indiquer
maintenant, de mémoire, qui sont vos deux petit
clients ?‟
b-Parler essentiellement de lui
c-Adopter un savoir-faire instinctif et original
La concurrence étant vive, les collaborateurs commerciaux des différents
concurrents procèdent eux aussi en respectant un minimum de règle.
Réussir exige alors de raisonner en termes de positionnement, c’est-à-dire
de concevoir et de mettre en œuvre une procédure de prise de contact, à la
fois :
- Distinctive, afin de ne pas ressembler à toutes celles auxquelles le
client potentiel est confronté,
- Et original, pour attirer l’attention
Il faut donc clairement souligner ici que, « faire bien » de nos jours, peut ne
pas suffire. Il faut en plus « faire mieux » que les autres, ou tout au moins
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1-Savoir questionner
a-Connaître le fond de questionnement
On peut poser des questions sur :
- Des faits « Possédez-vous actuellement une tondeuses à gazon »
- Des opinions « en êtes-vous satisfait ? »
- Des intentions « envisagez-vous de la remplacer par un˝
autoporté ˝ ? »
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La liste des mots imprécis est extrêmement vaste et dépend des produits
vendus : « on, ils, certains,...court, long, lourd, léger, lent, fiabilité, confort,
sécurité, salissant, travail bien fait… »
Le vendeur doit toujours avoir en permanence à l’esprit que la
signification de ces mots sera différentes selon chaque client.
La généralisation hâtive
Le client a tendance à généraliser à partir d’une ou de deux expériences, ou
à partir de ce qui s’est produit dans d’autres circonstances et à d’autres
personnes, etc.
Client : « les modèles vendus par les détaillants spécialisés sont toujours
plus chers »
Vendeur : « vraiment toujours ? » ou « les mêmes modèles ? »
A chaque fois que le vendeur entend ˝toujours˝, ˝la plupart du temps˝,
˝tous˝, …il lui faudra découvrir sur quels faits précis cette généralisation
est basée.
Les relations de cause à effet
Le client crée parfois des liens entre 2 ou plusieurs expériences.
S’il existe des expériences « universelles » et réelles (exemple : « quand je
porte du synthétique, je transpire »), d’autres au contraire sont à vérifier,
car elles ne sont probablement que le fruit de l’imagination du client.
Client : « il faut que vous prépariez ma robe pour demain matin »
Vendeur : «que se passerait-il si elle n’est pas prête à cette date ? »
Client : « je ne peux acheter de matériels japonais »
Vendeur : « qu’est-ce qui vous en empêche ? »
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Parfaitement à
l’aise …?
Clarifier un propos Client : « Je veux A utiliser
en demandant au quelque chose de uniquement sur les
client une performant » critères très
comparaison Vendeur : « importants
conditionnant Performant par
Comparaison l’achat rapport à quoi ? »
Client : « Je veux
un produit fiable »
Vendeur : «
Comparé à quel
autre produit ? »
Chercher à éviter Client : « Est-ce A utiliser au
une question. que je pourrai la maximum une fois
Permettre de porter réellement par entretien de
connaître les dans toutes les vente.
En retour
motivations cachées occasions
Vendeur : « Mais
vous, qu’en pensez-
vous ? »
Permettre de ne pas Le vendeur à la A utiliser
répondre soi-même femme du client : essentiellement lors
à la question. « Madame vous de la vente en
Relais Permettre de donnera couple.
valoriser un tiers. certainement son
point de vue sur ce
sujet … »
Amener le client à « Donc d’après Cela peut servir de
préciser sa pensée vous, ce qu’il y a reformulation.
De contrôle
Permettre de de mieux sur le
relancer le dialogue. marché, c’est … »
Permettre une « Que pensent en Questionnement très
interrogation général les intéressant, car le
adoucie, en donnant membres de votre client « se livre »
Généralisante l’impression au club VTT, de cette d’autant plus, qu’il
client qu’il ne parle marque VTT » considère
pas réellement de s’exprimer au sein
lui d’un « collectif ».
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C’est une mauvaise façon de présenter les choses, car le vendeur ne sait pas
ce que recherche le client.
Il faut l’aider à formuler la demande en termes positifs.
Vendeur : « Ce que vous voulez, c’est un costume qui dure longtemps ? »
Client : « Pas seulement, ce que je veux c’est un costume qui restera
impeccable même après une semaine de voiture… je suis VRP et je roule
beaucoup… »
Voilà, donc grâce à vous, le client a formulé positivement son objectif
d’achat et donc au vendeur d’y répondre.
V-Ecoute active
Pour bénéficier des informations livrées par le client, il ne suffit pas de
poser des questions. Il faut en plus « écouter » les réponses qui y sont
faites.
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Le schéma suivant résume assez fidèlement la logique qui peut être suivie
pour améliorer les performances du vendeur.
Origine Ecoute
Réponse écoute
active
Oui Non
Oui
Non
Exprimer le désaccord
Ecouter
Devons-nous continuer?
Oui Non
Reconnaitre l’impasse
Chercher un compromis
Arrêter la discussion
Souligner l’accord
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- Comment procéder ?
Ecouter toutes les personnes
Déceler le plus rapidement le décideur, le prescripteur et
l’utilisateur
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I-DEFINITIONS
Argument : raisonnement, preuve apportée à l’appui ou à l’encontre d’une
proposition.
Argumenter : c’est sélectionner les arguments correspondant à la (ou aux)
motivation(s) du client, et les présenter de façon organisée dans le bon
ordre. En d’autres termes, argumenter c’est mettre en valeur et prouver les
avantages que les biens ou services proposés par le vendeur vont apporter
au client.
Un argumentaire est l’ensemble des arguments auquel le vendeur recourt
en vue de convaincre un client potentiel.
L’argumentation commence bien sûr avec la présentation du produit, il faut
donc :
- Argumenter sur le bien-fondé de la sélection (ce qui permet de
vérifier la découverte et donc de vérifier les motivations d’achat),
- Argumenter de façon générale sur la ou les motivations du client,
- Argumenter de façon détaillée lors de l’essai ou de l’écoute du client
- Vérifier la portée de l’argumentation.
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Exemple :
4 Qu’en pensez-vous ?
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III-SAVOIR ARGUMENTER
Pour convaincre un client, tout vendeur doit argumenter, c’est-à-dire
ensemble de ressources du vocabulaire et de l’expression pour l’amener à
prendre une décision favorable à son offre. Autrement dit, il doit parvenir à
le persuader que son produit est celui qui lui apportera le plus de
satisfaction eu égard au besoin à satisfaire. Sa tâche n’est pas simple. Tous
les professionnels le savent. Un savoir-faire est nécessaire.
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- L’adhésion,
- La mémorisation
- L’action.
Pour y parvenir, tout argument doit donc respecter certaines règles. Quatre
paraissent fondamentales.
Règles à suivre Pour être efficace, C’est-à-dire Observation
l’argument doit générale
Règle N°1 Etre personnalisé - Etre conçu sur la On s’adresse à un
base des attentes du individu, pas à un
client, segment de
-Donner l’image du marché
« sur mesure » ;
- Etre exprimé dans
le langage du client.
Règle N°2 Etre crédible -S’appuyer sur des Ne pas confondre
faits ; argument et
- Ressortir d’une boniment
logique ;
- Etre soutenu par
des documents.
Règle N°3 Arriver au bon -N’être présenter que La vente est un
moment lorsque le client processus
parait à même de le
recevoir ;
- Arriver après que
le vendeur ait bien
reformulé l’essentiel
des attentes de son
interlocuteur ;
- Etre clairement
inscrit dans une
démarche de
progression.
Règle N°4 Voir son impact -Etre suivi de L’objectif est de
contrôlé question de vendre, pas
contrôle ; d’informer
- Pour une maitrise
du déroulement de la
vente
- Par un traitement
instantané des
réponses apportées.
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Par analogie -Porter à l’attention du client « Pour que vous ayez une
des solutions assez voisines de idée, j’ai fait un placement
la sienne qui ont donné tout à de financement du même
fait satisfaction à des type à monsieur untel, que
concurrents, vous connaissez, voilà ce
- Cette preuve est qu’il a décidé. »
principalement utile dans la « Non, je n’ai pas encore
vente de service. fait d’étude sur les produits
de la mer. Mais dans le
secteur agro-alimentaire,
j’ai par exemple … »
« tenez voilà le dossier »
Par déduction -Consiste à procéder à partir « Ce que, je peux vous dire,
d’essais réalisé en laboratoire, c’est qu’avant de lancer ce
- Il faut que l’interlocuteur modèle, nous avons fait des
accorde de l’importance aux tests précis sur … »
tests réalisés « Nos derniers tests
montrent clairement … »
Toutes ces preuves n’ont toutefois de réelle efficacité que si le vendeur est
clair et précis durant son entretien.
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Dans cette perspective, les spécialistes s’accordent pour lui conseiller tout
particulièrement :
- De n’avancer qu’une idée à la fois,
- D’être bref et concis,
- D’éviter tout langage sophistiqué,
- D’illustrer son propos,
- De ne pas glorifier ses produits,
- De ne pas affirmer, mais de prouver.
Certains vendeurs, à leur début surtout, sont tentés d’essayer de vendre en
prenant appui sur la concurrence. L’idée est en soi, intéressante dans la
mesure où l’acheteur procède en général par comparaison entre plusieurs
marques. Son application peut toutefois conduire à l’échec, si d’aventure
l’interlocuteur perçoit dans la démarche du vendeur une volonté de
dévaloriser un concurrent.
Argumenter selon une démarche comparative nécessite donc de procéder
par « contournement » et non de façon « frontale ». L’habileté consiste
alors à faire admettre au client que si ses choix précédents étaient
certainement fondés, ce qui lui est proposé à présent l’est davantage encore.
Selon cette logique, le vendeur doit chercher à progresser pas à pas,
souvent sous la forme interrogative, à l’aide de question type :
« N’est-ce pas au fond ce que vous souhaitez ? »
« Avec cette solution vous ne gagnerez peut-être que 50 000 francs,
mais ne sont-ils quand même pas mieux dans votre poche ? »
Etc.
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Vente Relationnelle
faire »
9. Les Font perdre sa « Je puis vous Ne pas
formules crédibilité à assurer qu’en confondre
excessives l’argumentation. 20 ans nous « Prouver » et
n’avons jamais « Exagérer »
eu le moindre
problème. »
« Vous savez,
nos clients
achètent ce
produit sans
même le
regarder, tant il
est partout
apprécié. »
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Exemple :
Propos du vendeur
Entrée en matière
Réponse négative
Question ouverte
Réponse positive
Bien, puis-je vous demander :
- Le nom de la société
Propos du vendeur
- Le montant des garantis
Je suis chargé par ma société, la compagnie X …, de vous exposer un plan qui vous aidera
à résoudre deux problèmes importants qui se posent à tout le monde, mais que tout le
monde n’est pas capable de résoudre : celui des garanties en cas de « coup dur » et celui
d’un placement sûr dont vous aurez besoin plus tard.
Propos du vendeur
Réponse positive
Propos du vendeur
Le premier concerne les garanties dont vous bénéficierez en cas de malheur et qui sont insuffisantes (selon le cas, sécurité sociale, etc.).
Actuellement, tout se passe bien dans votre foyer, parce que vous travaillez… vous pouvez le faire car vous êtes en bonne santé.
Mais que se passerait-il si un jour, vous étiez victime d’une maladie grave ou d’un accident ?
Hélas, vous le savez comme moi, ce sont des choses qui arrivent au moment où l’on s’y attend le moins. Regardez autour de vous.
Les maladies graves, les accidents de circulation…Alors votre femme se trouverait dans l’embarras et l’avenir de vos enfants serait compromis.
Question fermée
Réponse positive
Propos du vendeur
Le deuxième concerne l’épargne pour les vieux jours. La retraite dont vous bénéficiez risque d’être insuffisante.
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Vente Relationnelle
Question fermée
Réponse négative
Propos du vendeur
- A partir du 61ème jour d’incapacité de travail nous ne vous demandons plus aucun paiement et épargnons à votre
place,
- En plus, si vous êtes définitivement invalide à 66% (donner des exemples) non seulement vous n’avez plus rien à
payer, mais nous vous remettons la totalité du capital auquel vous aurez souscrit soit 1000 000 de francs
revalorisés et pas seulement le montant de votre épargne
Question fermée
Réponse positive
Propos du vendeur
La disparition prématurée du chef de famille est la chose la plus grave qui puisse survenir. Bien sûr, j’espère que cela ne vous arrivera pas, mais il vaut
mieux prévoir.
Réponse positive
Propos du vendeur
En cas de disparition par maladie, nous mettrions à la disposition de Mme Pierre le capital, soit 1 000 000 de francs revalorisés.
Si cette disparition étaient due à un accident, ce capitale serait doublé soit 2 000 000 de francs plus revalorisation.
S’il s’agit d’un accident de circulation, chose trop fréquente de nos jours, ce capital est multiplié par trois, Mme Pierre toucherait donc 3 000 000 de
francs revalorisés.
D’autre part, si après vous Mme Pierre venait elle aussi à disparaître en laissant un enfant de moins de 21 ans, nous verserions un capital
supplémentaire de 1 000 000 revalorisés.
Toutes ces garanties vous sont acquises même si n’avez effectué qu’un seul paiement trimestriel, donc versé une somme minime.
Je m’excuse de parler de malheurs, mais ces choses n’arrivent pas qu’aux autres.
Arrivé en bonne santé au moment de la retraite, ce que je vous souhaite, supposons 60 ans, vous trouverez alors l’épargne que vous avez constituée.
Elle arrivera au bon moment.
En outre, pour compenser l’augmentation du coût de la vie, notre Société a prévu une revalorisation automatique du capital et des primes. Si cela
n’est pas suffisant, vous pourrez toujours augmenter le montant de votre contrat.
Question ouverte
Réponse
Le 06-07-19…
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Vente Relationnelle
Propos du vendeur
Eh bien, en supposant une revalorisation automatique de 4,50% par an, le capital de départ de 1 000 000 francs deviendrait : 3 745 300 de francs que nous vous
remettrions à 60 ans.
Question fermée
Réponse positive
Propos du vendeur
En ce qui concerne la prime, maintenant, le plan de sécurité et d’épargne que je vous propose ne vous demandera qu’un effort
financier très modeste.
Je m’adresse maintenant au ministre des Finances, n’est-ce pas Madame ? Je suis sûr que sans vous gêner, vous pouvez mettre de
côté la somme de 100 francs par jour, soit, en chiffres ronds 10 000 francs par trimestre. Cela correspondrait à un capital de décès
de 1 000 000 de francs.
Question alternative
Conclusion de la vente
Prise de congé
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Vente Relationnelle
I-DEFINITIONS
Par souci de concision, deux points doivent principalement retenir
l’attention du commercial : d’une part, la nature des objections qui sont
susceptibles de lui être faites et, d’autre part, le type d’attitude à développer
à leur égard pour parvenir à convaincre les clients.
Il est important de rappeler, tout d’abord qu’une objection n’est pas
une réclamation. En effet si cette dernière a pour origine un fait
concret et fondé, l’objection est plus généralement l’expression de la
subjectivité de l’interlocuteur ou d’une sous information de sa part
sur un problème donné.
De ce fait, s’il est indispensable de traiter toute réclamation sur le champ,
afin d’apaiser les esprits, il est souvent conseillé de laisser l’objection
s’exprimer, se préciser. En procédant ainsi, le vendeur se donne le temps de
bien cerner le type d’objection qui lui est adressé, et ainsi, de mieux y
répondre.
La seconde remarque a donc trait à la variété des objections que le
vendeur doit bien connaître afin d’apporter à chacune d’elles la
réponse la plus adaptée. Les spécialistes se sont penchés sur ce
problème.
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Vente Relationnelle
Demande d’informations
ou
Objection =
Demande d’argumentation
Exemple : « Et puis cet imperméable court ferait double emploi avec mon
imperméable classique » peut signifier « convainquez-moi que c’est mon
intérêt d’acheter ce deuxième imperméable ! »
Cette définition met clairement l’accent sur le fait que tout ce que le
vendeur dit à son client est susceptible de provoquer chez ce dernier une
réaction d’opposition et donc de faire échouer la vente. On comprend ainsi
l’utilité d’inscrire d’emblée l’entretien de vente dans une démarche de
communication afin d’éviter tout comportement négatif de la part du client.
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Vente Relationnelle
Exemple :
Client : « Une tondeuse à gazon de marque italienne, je n’aime pas ça, les
produits italiens ne sont pas fiables… »
Vendeur : « Oui, bien sûr, je comprends que vous recherchiez un produit
fiable… Avez-vous eu des problèmes de fiabilité avec certains produits
italiens ? »
Ou « … cette tondeuse est justement garantie 3 ans ce qui prouve sa
qualité. On ne garantirait pas aussi longtemps un produit non fiable… »
- Le client peut rechercher en fait des informations supplémentaires.
Le vendeur doit instantanément donner les informations que recherche le
client.
Exemple :
Client : « L’entretien doit être difficile.. »
Vendeur : « vous avez raison de parler d’entretien… en fait c’est très
simple… pour la vidange il vous suffit d’ouvrir ce robinet qui est très
accessible, quant à… »
- Le client teste la compétence du vendeur
Le vendeur doit être capable de la lui prouver afin de se crédibiliser.
Exemple :
Client : « je vois que ce modèle est cousu ‘’good year’’, quel est l’intérêt de
ce type de fabrication ? »
Vendeur : « je suis content de constater que vous savez apprécier la qualité
d’une chaussure…comme vous le savez certainement que le cousu ‘’good
year’’ donne de la durabilité car la semelle de marche n’est pas un élément
de construction de la chaussure qui peut donc être ressemelée…du confort
car.. »
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Vente Relationnelle
1-Ecouter
C’est-à-dire, laisser impérativement l’objection s’exprimer en :
- Ecoutant avec attention le client ;
- Surtout sans l’interrompre ;
- En laissant quelques secondes de silence avant de répondre à
l’objection.
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3-Chercher à comprendre
C’est-à-dire :
- Savoir si l’objection est sincère ou non
- Identifier clairement l’objection
Ceci n’est pas toujours simple, les clients partant parfois dans des
monologues confus et digressant. En cas de doute sur la réalité de
l’objection, il faudra impérativement reformuler pour vérifier.
Exemple :
Client : « de toutes les façons, avec vous les vendeurs, c’est toujours la
même chose, le produit est toujours de bonne qualité… c’est comme ma
précédente paire de mocassins… vous me direz que je ne l’ai pas achetée
ici,… et bien au bout de 6 mois, j’avais déjà la semelle qui se détachait…là
sur le côté…vous me direz ce que vous voudrez, je ne trouve pas cela
normal !... »
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Vendeur : « Je suis d’accord avec vous, en fait si j’ai bien compris ce que
vous recherchez c’est une paire de mocassins de très bonne qualité qui vous
fasse un usage de plusieurs années ? »
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1-La soustraction
On énumère les avantages perdus par le client s’il n’achète pas le produit.
Exemple : « sur les autres modèles moins cher, vous ne disposez pas de
bluetooth, wi-fi, … »
3-La division
On divise le prix du produit par une durée d’utilisation, de façon à en
atténuer l’impact.
Exemple : « En fait cet appareil sur dix ans d’utilisation ne vous reviendra
qu’à 6 000 francs par an,… ». On peut ajouter « Soit 500 francs par mois ».
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4-L’addition
Au prix est opposée une suite d’avantages que le vendeur additionne.
« Pour 149 000, vous disposez d’un objectif NIKON de grande qualité,
d’une mémorisation possible de la mise au point, d’un adaptateur pour
format panorama, zoom autofocus 35/70 et d’une garantie de 3 ans… »
5-La comparaison
Le vendeur compare le prix avec celui d’un autre produit pour obtenir un
effet de contraste.
« Ça ne représente en fait qu’un plein d’essence d’une voiture moyenne…»
6-La minimisation
La différence de prix entre deux produits est présentée en pourcentage,
pour en atténuer l’impact.
« En fait, ce modèle vaut seulement 12% de plus que celui-ci… »
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1
Unité de mesure de volume équivalent à un mètre cube pour mesurer le bois de chauffage
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1-L’école douce
Elle considère que le client ne doit pas subir la moindre pression, en un mot
c’est à lui de prendre l’initiative de l’achat dans un environnement serein,
sans que le vendeur n’exerce aucune manœuvre pour l’influencer ou pour
le brusquer dans sa décision.
2-L’école normative
Elle va utiliser certaines techniques qui permettront d’obtenir plus
facilement et plus rapidement l’accord du client :
- L’invitation directe : qui est la formulation par le vendeur de l’accord
afin d’obtenir l’adhésion du client :
Exemple : En faisant mine de commencer à emballer le
produit ou de ranger les autres :
« C’est donc bien ce modèle…
o Que vous avez choisi …
o Que vous prenez…
o Qui correspond à ce que vous recherchiez …
o Qui vous plaît ? »
Ou
Vendeur : « Il vous plaît ? »
Client : « Oui. »
Vendeur : « Eh bien, prenez-le… »
- L’alternative qui suppose l’accord du client obtenu et lui donne le
choix entre deux propositions favorables :
« Vous prenez le bleu ou le fuschia ? »
« Vous le porter tout de suite ou je vous fais un paquet ? »
« Vous l’emporter ou c’est à livrer chez vous »
Etc.
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OUI NON
Proposition d’une remise « Et bien, pourquoi ne souhaitez-
supplémentaire « exceptionnelle » vous pas faire des affaires ? »
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Ces deux méthodes pouvant être plus ou moins dramatisées avec l’entrée
en scène du directeur de l’entreprise ou du directeur régional ou de toute
autre personne « exceptionnelle » qui donnera l’illusion au client que c’est
une proposition « extraordinaire » , qui n’est pas faite à tout le monde et
qu’il doit immédiatement saisir.
- La manipulation : c’est souvent le dernier combat des ventes forcing.
Le vendeur essaie de provoquer l’orgueil du client afin que celui-ci
se sentant vexé, diminué… décide d’acheter.
« Vous voulez que je vous dise, Monsieur, vous n’achèterez
jamais de salon, vous n’êtes pas capable de vous décider et de
faire une affaire… »
Ou alors l’intervention du réel ou pseudo-directeur de l’entreprise
qui dit au vendeur : « Laisse tomber M. SERI, tu vois bien que ce
monsieur n’achètera jamais de cuisine aménagée…il n’est pas
capable de se décider, il a peur de se décider… »
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Remerciement
Sécurisation
Vous avez bien fait de choisir ce modèle
Echantillon ou
carte de visite
Félicitations
« Je suis heureux de vous compter parmi mes
nouveaux clients » Salutations
Remerciement
(de l’accueil)
Salutation
« Au revoir et bonne journée »
Feed back
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Le
récepteur
« DECODE »
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Ouverture
Auto-
aux autres Auto-
accomplissement
élévée exposition
Autonégociati
on
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I-PRESENTATION
Définitions
La programmation neuro-linguistique est l'étude de la structure de
l'expérience subjective.
1- Programmation
Depuis notre naissance, voir depuis notre existence fœtale,
notre inconscient crée et développe des programmes comportementaux.
Parfois nommés "automatismes", ces programmes sont appelés ainsi en
référence au fonctionnement des ordinateurs.
Définition
Suite d'instructions dont l'organisation permet la réalisation d'un but.
La grande majorité des programmes informatiques se présentent sous forme
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Une analogie peut être trouvée entre les programmes psychologiques issus
d'un apprentissage, et les programmes informatiques se présentant sous
forme de logiciels, de même qu'entre les programmes informatiques inscrits
dans la structure physique des machines et les programmes
psychologiques innés , inscrits par hypothèse dans la structure nerveuse de
l'organisme.
2- Neuro
Tout programme comportemental repose sur une base neuronale, fruit d'un
engramme issu de nos perceptions sensorielles.
3- Linguistique
Le langage est une manifestation des états internes vécus par la personne,
états internes issus des programmes neuronaux. La PNL permet donc
l'étude de la manière dont les êtres humains structurent
les perceptions qu'ils ont de leurs environnements. En découvrant les
structures inconscientes de la communication, l'expert en PNL peut
s'accorder d'une manière très précise avec son interlocuteur.
C'est en cela que la PNL constitue la clef de l'intuition dans
la communication, car elle permet de partager les émotions d'autrui et ainsi
de mieux comprendre la nature réelle de son message. En prenant en
considération la partie non-verbale du discours, comme le rythme
cardiaque et la position du corps, il est possible de percevoir
le message inconscient derrière la verbalisation consciente. De plus, en
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Celui qui va donc mettre en pratique les techniques de la PNL sait que son
comportement influence celui de ses partenaires et qu’en le modifiant, il
provoquera un changement chez ceux-ci pour que ses comportements
s’oriente vers l’adaptation.
La PNL définit trois systèmes principaux de représentation sensorielle.
Nous possédons tous un système de représentation sensorielle (SRS)
dominant, mais nous l’ignorons souvent et à fortiori nous ignorons celui
des autres. Connaître le SRS de l’autre (client) pourra renforcer au
maximum le message à transmettre.
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Vente Relationnelle
KOUASSI Evariste Arthur
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Les Manuels de l’IUA- Licence 3 Marketing / Semestre 5
Gestion des
Produits et
des Marques
KOUASSI Evariste Arthur
Direction mercatique
2-Compétences requises
Elles sont les suivantes :
- De la marque,
- Du design,
- De la qualité,
- Du conditionnement,
- De l’emballage,
- De l’étiquette.
C’est l’ensemble des éléments d’un produit qui participent à son
identification.
2-La marque
Elle peut être un nom, un sigle, un symbole, un dessin ou toute
combinaison de ces éléments servant à identifier les biens ou services d’une
entreprise et à les différencier des concurrents.
3-Le design
C’est l’ensemble des éléments qui affectent l’aspect et le fonctionnement
du produit du point de vue de son utilisateur. Pour le client, le produit doit
être agréable à regarder, facile à ouvrir, à installer, à utiliser à repérer.
Généralement, le design a trait à l’esthétique donc à la forme, à la couleur
tout en gardant la tradition observée par l’entreprise.
4-La qualité
C’est la capacité d’un produit à satisfaire un ou plusieurs besoins. Quelques
critères permettent de mesurer la qualité :
- Le rapport qualité & prix : quand q/p > 1, le produit a une qualité
supérieure au prix.
5-Le conditionnement
C’est l’enveloppe matérielle qui contient le produit.
11
- La conception du conditionnement
La conception d’un conditionnement doit tenir compte de plusieurs
paramètres :
6-L’emballage
C’est l’ensemble des enveloppes successives qui contiennent le
conditionnement.
7-L’étiquette
C’est l’ensemble des mentions figurant sur l’emballage d’un produit et
permettant aux consommateurs d’identifier le nom du produit, le nom du
fabricant, de connaître le prix du produit, l’origine du produit, sa date de
fabrication, la date de péremption, son mode de fabrication, et enfin
permet de promouvoir le produit.
13
Service : prestation
immatérielle
Beurre/huile végétale
15
Essentiel : le niveau de
risque admissible est le
premier critère de choix.
V- LA GAMME DE PRODUIT
1-La définition
La gamme de produit est l’ensemble des produits liés entre eux du fait
qu’ils fonctionnent de la même manière, satisfont les mêmes besoins,
s’adressent aux mêmes clients, ou sont vendus dans les mêmes types de
points de vente, ou dans la même zone prix. Elle peut être également
définie comme toutes les variétés de produits fabriqués et vendus par
l’entreprise. Elle est composée d’une ou plusieurs lignes.
Une référence
La largeur= 6 lignes
La profondeur : PL1=7 ; PL2=6 ; PL3= 5 ; PL4= 4 ; PL5= 3 ; PL6= 3
la longueur= PL1+PL2+PL3+PL4+PL5+PL6
= 7+6+5+4+3+3
17
le bas de gamme,
le milieu de gamme
et le haut de gamme.
19
Précisons tout d'abord qu'un produit haut de gamme n'est pas forcément un
produit de luxe.
Le marketing des produits hauts de gamme et de luxe est particulier :
21
Avantages Inconvénients
1
L'entreprise doit prendre garde au risque de cannibalisation entre ses produits. On
parle de cannibalisation lorsque la vente d'un nouveau produit va se faire au détriment
d'un autre produit de la gamme...
23
1- L’analyse du macro-environnement
Les comportements des clients et les actions des entreprises sont influencés
par des tendances et des évolutions globales relève du macro-
environnement. Le premier niveau d’analyse, et le plus général, est celui
des facteurs susceptibles d’influencer les marchés dans lesquels on opère.
On identifie généralement six composantes du macro-environnement :
a. L’environnement démographique
Taille de la population, structuration par âge, par région, par ethnie ou
religion, etc. Ainsi, la croissance très forte de la population hispanophone
aux Etats-Unis est un facteur d’environnement très important pour les
entreprises qui opèrent sur ce marché, de même que le vieillissement de la
population en Europe et au Japon.
b. L’environnement socioculturel
Le développement de l’individualisme, l’influence des facteurs regroupés
sous le terme de ‘’postmodernité’’ en rupture avec les modèles culturels
modernes, à l’inverse le retour à la tradition et l’influence grandissante des
religions dans beaucoup de partie du monde, le changement de perception
de la famille et de sa structure, les peurs sociales ou le dynamisme des pays
émergents, etc. sont autant de tendances qui peuvent influencer les marchés
et les comportements des clients. Une entreprise multinationale doit
intégrer les tendances socioculturelles fortes et divergentes que connaissent
c. L’environnement économique
PNB, revenu par habitant, croissance ou stagnation économique, évolution
des taux d’intérêts ont un impact direct sur les dépenses en matière de
construction immobilière par exemple.
d. L’environnement politico-légal
Législation nationale ou communautaire, réglementation,
déréglementation… Ces évolutions créent parfois de nouvelles opportunités
et souvent de nouvelles contraintes (par exemple la dérégulation
européenne des monopoles, la réglementation européenne autorisant la
présence d’huile végétales dans le chocolat, des avantages fiscaux pour
certains investissements, etc.).
e. L’environnement technologique
Développement technologique en matière de production ou entraînant une
substitution de produits, innovations électroniques et informatiques, etc.
Ainsi, le développement de l’accès à l’internet haut débit permet à un grand
nombre de particuliers d’accéder rapidement des produits et des services
tels que le téléchargement de musique ou de films.
f. L’environnement écologique
Etats des ressources naturelles, pollution, climat, etc. ont soit un impact
global (comme le souci d’intégrer le développement durable dans les
politiques d’entreprise), soit un impact spécifique sur les marchés (par
25
c- La distribution
Lorsque les produits auxquels on s’intéresse sont distribués, au moins en
partie par des intermédiaires, il faut analyser la structure du réseau de
distribution :
Le nombre et les caractéristiques des intermédiaires,
La répartition des ventes globales actuelles par type d’intermédiaires,
la tendance future de cette répartition ;
La politique pratiquée par ces intermédiaires (prix, marges,
promotion, etc.)
Les motivations et attitudes de ces intermédiaires à l’égard du choix
des marques vendues et promues par eux.
27
2
Un marché fragmenté ou marché atomisé est un marché concurrentiel dans lequel, il y a de
nombreux offreurs mais dont chacun n’a pas de part de marché importante. Par exemple le
marché ivoirien de l’auto-école.
3
Un marché concentré est un marché où un petit nombre d’intervenants détient la totalité du
marché
29
31
A +++ +++ _ - ++
B ++ ++ +++ ++ +++
C + - ++ + +
33
La synthèse SWOT
Ce diagnostic se fait souvent sous la forme de deux tableaux récapitulatifs,
l’un consacré aux forces et faiblesses de l’entreprise, et l’autre aux
opportunités et menaces qui ont été identifiées au cours de l’analyse du
marché. L’ensemble constitué par des tableaux est désigné par le terme de
synthèse ‘’SWOT’’ (tiré des initiales des mots anglais strenghs, weakness,
opportunities et threats).
1-Opportunités et menaces
La définition de la mission de l’entreprise aide le management à identifier
la nature de l’environnement à observer. Par exemple, la division des
compresseurs d’Atlas Copco étudiera le taux de croissance des secteurs
industriels achetant ce type de produit, l’influence de la productivité des
compresseurs dans la structure des coûts des clients, la stratégie des
concurrents, l’évolution technologique (nouveaux types de compresseurs,
nouveaux matériaux), l’évolution des réglementations et normes
susceptibles d’affecter la conception des produits, la structure des circuits
de distribution, ainsi que les fournisseurs et les approvisionnements.
a- Les opportunités
La valeur de l’opportunité est liée à son attrait et à sa probabilité de succès.
Celle-ci dépend des compétences distinctives de l’entreprise et de sa
maîtrise des facteurs clé de succès dont dépend l’opportunité identifiée.
b- Les menaces
Une menace est un problème posé par une tendance défavorable ou une
perturbation de l’environnement qui, en l’absence d’une réponse marketing
approprié, conduirait à une détérioration de la position de l’entreprise. Une
menace est d’autant plus grave qu’elle affectera en profondeur la rentabilité
de l’entreprise et qu’elle a de grandes chances de se réaliser.
35
Il faut hiérarchiser les points présentés dans chacune quatre parties d’un
SWOT
A l’issue d’une analyse SWOT, on doit voir clairement quels sont les
enjeux et les problèmes stratégiques à traiter.
37
Noms
Emblème de marques
Packaging Signalétique
Logotype, symbole, slogan,
signature
Graphisme de marque
Tous les organes de sens des consommateurs sont mis à contribution pour
attirer l’attention sur la marque en vue de faciliter son identification.
a-Le nom
C’est l’élément majeur du dispositif construit pour identifier une marque.
39
- Le sigle
On parle de sigle lorsque la raison sociale de l’entreprise est transformée en
initiales. Il faut lui donner un sens à travers les moyens de communication.
Exemple UB : Universal Basic
- Le génécisme
C’est lorsque le nom de la marque reprend l’appellation de sa catégorie de
produit. Exemple : la marque de Microsoft dans la micro-informatique.
Exemple : Apple.
41
- Elle doit ensuite être non déceptive c’est à dire que les marques qui
comportent des indications propres à tromper le public sont interdites.
- Elle doit avoir une disponibilité totale c’est à dire une marque pour être
enregistrée doit être libre (non déposée) et ne doit pas ressembler à une
autre marque du même secteur d’activité.
Exemple : la vache sérieuse a été interdite pour copie de la vache qui rit.
- Enfin la non utilisation d’une marque pendant cinq ans peut entraîner la
déchéance des droits du propriétaire.
Exemple : Les fromageries Bel ont été déchues de leur droit sur la marque
Aperi pour non utilisation pendant cinq ans.
Emblème de marque
- Un jingle est un motif sonore court ou petit thème musical qui sert de
ritournelle publicitaire4.
- Le logotype est la représentation graphique de l'image d'une
société. L'entreprise devient alors identifiable visuellement et
graphiquement aux yeux de tous. En d’autres termes, le logotype est
un système graphique, alphabétique et/ou figuratif, généralement de
taille suffisamment petite pour trouver une place sur des cartes de
visites ou sur du papier à en-tête, mais susceptible d’être agrandi
autant que le support le permet5. En d’autres termes, le logotype peut
être considéré comme le drapeau de la marque.
- Définition Signature publicitaire
La signature d’une marque est une petite phrase aux grands effets qui porte
la vision de l’entreprise, annonce sa mission, résume son positionnement,
exprime sa personnalité. Elle vient compléter la promesse d’une marque.
Une signature est permanente ou est utilisé dans le moyen ou le long terme.
4
Ritournelle : court motif instrumental mis en tête et à la fin d’une publicité.
5
SEMPRINI A. (1995), ‘’La marque’’, Presse Universitaire de France, Paris, P.73
43
Nike : Just do it
Exemple de slogan :
Nature du produit
Identique Différente
Types Caractéristiques
6
C’est une marque commerciale française d’une série de fromages industriels appartenant au
groupe Bel. Ils ont une forme cubique et ils sont à pâte molle, principalement destinés, pour une
consommation à l’appéritif.
45
47
2-L’image de marque
L’image de marque correspond à la manière dont le client perçoit et
interprète la marque et ses attributs. C’est la représentation de la marque
dans l’esprit des consommateurs. Elle correspond à l’état de la situation
réelle telle qu’elle est perçue par les clients. Exemple d’image de marque :
- L’image de marque de Bic est associée aux valeurs : Jetable, Simple,
Pas cher,…
- Les pianos Yamaha avaient une image de produits performants et de
qualité à des prix abordables
7
La mission est le champ d’activité fondamental d’une organisation qui constitue sa raison d’être en
d’autres termes, c’est la déclaration de la raison d’être de l’entreprise et la façon dont elle entend atteindre
ses buts, en outre elle peut définir la culture de l’entreprise qui est en fait un ensemble de valeurs, de
mythes, de rites, de tabous et de signes partagés par l’ensemble du personnel.
49
Entreprise
Source : KAPFRER J-N,’’ les marques capital de l’entreprise’’, les chemins de la conquête, les éditions d’Organisation, Paris (1996)
51
Marque A
Promesse A
Source : KAPFRER J-N,’’ les marques capital de l’entreprise’’, les chemins de la conquête, les éditions d’Organisation, Paris (1996)
53
Source : KAPFRER J-N,’’ les marques capital de l’entreprise’’, les chemins de la conquête, les éditions d’Organisation, Paris (1996)
Marque A
Ligne A
Positionnement A
Source : KAPFRER J-N,’’ les marques capital de l’entreprise’’, les chemins de la conquête, les éditions d’Organisation, Paris (1996)
55
Marque Mère
Produit A Produit C
Produit B
Source : KAPFRER J-N,’’ les marques capital de l’entreprise’’, les chemins de la conquête, les éditions d’Organisation, Paris (1996)
f-La marque caution
La marque caution est similaire à la marque source, à la différence que la
marque caution est plus flexible étant donné que les marques dérivées en
tant que produits sont très autonomes et n’ont en commun que la caution.
La marque caution donne son acceptation et son support à des produits,
ligne de produits et gamme de produits. Elle consiste à ajouter à une
marque propre (marque ligne, marque produit, marque gamme) la caution
Marque A Marque C
Marque B Marque D
Marque-Caution
Source : KAPFRER J-N,’’ les marques capital de l’entreprise’’, les chemins de la conquête, les éditions d’Organisation, Paris (1996)
57
59
61
- Les inconvénients
Le développement d’un marché ne peut se faire par le biais d’une seule
marque, même si cette dernière en occupe 100% au début. Bien qu’ayant
c-Le cobranding
63
Les stratégies
Caractéristiques Exemples
d’alliances
Stratégie
monolithique :
Le produit est
dénommé par un La Smart concues par Mercedès et
nom unique et Swatch.
nouveau,
indépendant de
Co- deux marques.
développement Stratégie
d’endossement :
Nestea : crée par Nestlé et Coca
Permet à l’une des
Cola (endossement par la marque
marques alliées
Nestlé).
(ou aux deux
Minute Maid : produit par Danone
marques)
et Coca-Cola
d’authentifier le
produit
Publicité jointe : - La marque New Man qui
Deux marques recommande la marque Ariel
groupent leurs pour le lavage des vêtements
ressources pour délicats.
développer une - Kellogs et Tropicana ont créent
campagne une publicité montrant leurs
publicitaire produits consommés ensemble
Co-
commune à elle. au petit déjeuner.
communication
Promotion - Carte de paiement Air
Co-promotion
couplée : France/Américain Express
Les marques qui à chaque utilisation
s’associent pour transforme chacun des achats
mettre en place en en mille fréquences plus
une opération - La marque de Rhum Bacardi
promotionnelle vendue avec une bouteille de
inter-marques Coca-Cola
Ex : King’s cola
65
CHAPITRE V : L’INNOVATION
I-Le contexte et rôle de l’innovation
1-Le contexte de l’innovation
L’innovation, c’est n’importe quelle chose pouvant être perçue comme
nouvelle par un utilisateur éventuel. En d’autres termes, l’innovation peut
être définie comme le processus qui conduit une entreprise à faire une offre
nouvelle sur un marché existant ou à développer un nouveau marché. Elle
repose sur trois éléments essentiels :
Les raisons qui poussent les entreprises à lancer des produits nouveaux
peuvent être regroupées en plusieurs catégories :
67
69
71
La méthode rationnelle
Elle consiste, à partir de produits déjà existants à découvrir des
possibilités de les améliorer ou de créer de nouveaux produits.
4.L'analyse économique
Il s’agira ici de :
- prévoir les ventes, les coûts,
- les bénéfices futurs
- et vérifier si ces chiffres correspondent aux objectifs.
73
6.L'élaboration du produit
1. Avant de fabriquer le produit à proprement parler, on élabore d’abord un
prototype qui réunit les attributs du concept, rassemble tous les impératifs
de frais et de production.
7.Les marchés-tests
Un marché-test a pour objet de comprendre comment les consommateurs et
la distribution réagissent au produit et de mesurer le marché potentiel.
Pour la grande consommation l'avantage est que le marché test apporte des
éléments peu prévisibles comme : le taux d'essai, le rachat, la fréquence
d'achat.
Il existe plusieurs types de marché -tests :
– les tests de produits prolongés : on demande aux consommateurs, qui ont
déjà testé le produit gratuitement, d'acquérir une nouvelle quantité à un prix
réduit. L'offre est répétée de façon à ce que l'on connaisse la fréquence de
rachat.
– les marchés-tests simulés ou magasins-laboratoire : on invite un nombre
de personnes recrutées dans un centre commercial à regarder une série de
message publicitaires télévisés dans lesquels on a inséré la campagne
relative au produit. On donne ensuite un bon d'achat pour un magasin
expérimental où se trouve le produit ainsi que ses concurrents principaux et
on leur demande de réaliser des achats sur une catégorie de produits au
nombre desquels figurent le ou les produits de l’entreprise qui feront l’objet
d’un lancement ultérieur.
– Les marchés-tests classiques ou marchés-témoins : c'est la procédure la
plus élaborée pour le lancement d'un produit. Cette méthode est
caractérisée par un choix de magasins tests et le lancement d'une campagne
promotionnelle à échelle réduite.
75
2.Le lieu
Il faudra choisir le marché qui peut être soit national, soit international, la
ville. Certaine entreprise optent pour un élargissement progressif. Pour
choisir le lieu de lancement initial, il faut tenir compte de :
- La taille du marché potentiel,
- De l'image de marque,
- Du coût de distribution,
- Des possibilités locales d'étude de marché,
- De la position de la concurrence,
- L'impact sur les autres marchés.
3.La cible
Il faut cibler les clients qui présentent les caractéristiques suivantes :
- Les clients susceptibles d’être touché à moindre coût,
- Utilisateurs réguliers,
- Ceux qui peuvent induire un ‘’bouche à oreille’’ favorable pour le
produit,
4.Comment ?
Répartition du budget dans le mix, connaissance des techniques marketing
susceptibles de toucher au mieux la cible.
77
Ils constituent une partie de la population au niveau culturel plus faible que
la moyenne. Ils ont une aversion pour le risque et leurs moyens financiers
Cette répartition a été testée dans de nombreux cas (y compris par exemple,
pour l'adoption de lois innovantes dans les différents Etats des Etats-Unis).
Il faut toutefois se garder de chercher à l'appliquer de manière trop
mécaniste. D'autres facteurs peuvent influencer la diffusion d'une
innovation dans la population, par exemple l'apparition de nouvelles
applications, donnant accès à de nouveaux consommateurs. Par ailleurs, les
consommateurs n'adoptent pas nécessairement toutes les innovations dans
le même ordre. Un consommateur appartenant plutôt à la majorité tardive
peut adopter une innovation très précocement parce qu'elle a une utilité
particulière pour lui ou, symétriquement, un adopteur précoce peut rester à
l'écart d'un produit qu’il juge ne pas lui apporter suffisamment de
bénéfices, ou qu'il juge nocif.
Evaluation des forces et faiblesses de Etude du marché (concurrents et Contact avec le service recherche et
l’entreprise et de son ou ses Développement
produits Clients)
Modification éventuelle
81
Maturité Maturité
ascendante
Ventes stable Maturité
déclinante
Seuil de
rentabilité
Phase de
gestion du Lancem Croissa Maturi Décl
nouveau ent nce té in
produit
EXEMPLE DE CYCLE DE VIE DE PRODUITS ATYPIQUES
Ex : Maalox Echec après le lancement Produits à cycle de vie multiple après la relance
Phases
Plan
Lancement Croissance Maturité Déclin
Merca-
tique
Mise au Extension de Différenciatio Contraction
point la gamme. n de la
Produit (qualité, Optimum Modification gamme.
Performanc technique et de certains Innovation
e) qualitatif attributs Technique
Gamme de
étroite relance
Fonction de Evolution Forte baisse
la stratégie (baisse en Baisse des des prix
Prix Choisie fonction de la prix
mais concurrence)
généraleme
nt élevée
Axée sur la Communicati réduction des réduction
nouveauté, on intensive budgets des
Communicati l’innovatio adaptée à la Publicitaires, budgets
on n. cible le plus Maintien Publicitaire
Objectif : large partiel des Maintien
faire possible. Budgets partiel des
connaître. Objectif : promotionnel budgets
Elle vient persuader s promotionn
en soutien els
aux
distributeur
s
Constructio Distribution réduction du réduction du
n de extensive : réseau : réseau :
réseaux de élargissement compression compression
Distribution distribution du réseau des coûts de des coûts de
. distribution distribution
Distributio Distribution
n sélective sélective
développer développer la Fidélisation à se retirer ou
Objectif la demande demande de la marque se maintenir
globale la marque
Le temps de l’héroïsme
La marque apparait dès lors qu’elle crée une nouvelle norme ou une rupture
sur son marché avec un produit ou un service innovant. L’audace est
primordiale pour que la marque créée cette fameuse rupture : la marque se
pose puis s’impose en s’opposant. Elle doit être héroïque pour émerger.
Le temps de sagesse
Le temps de la sagesse constitue la deuxième étape du cycle de vie des
marques. Ce temps est comme son nom l’indique, le temps de repos, le
‘’calme après la tempête’’. Après avoir posé les bases, la marque doit
renforcer sa relation privilégiée avec les consommateurs usuels tout en
séduisant la nouvelle génération. Elle doit s’attarder sur la construction de
son histoire, encore en construction et qui est donc fragile par essence. La
sagesse est donc une période de lucidité, de réflexion.
Le temps du mythe
L’objectif inavoué mais bien réel de toute marque est de devenir une
marque mythique et de distancer la concurrence. Ceci étant dit, toutes les
marques n’ont pas pour vocation de rejoindre le cercle très fermé des
marques mythiques et certaines se contentent, souvent à raison, des places
de challengers. Cette troisième et ultime phase nécessite pour la marque de
5
L’idée n’est pas ici de trancher entre deux modèles de cycle de vie mais de
retenir que la marque est inéluctablement vouée à vieillir : toute marque
sera donc un jour confrontée au problème de vieillissement.
consommateurs, car elle perd voire toute son identité (Lehu, 2006). On
parle alors du vieillissement de la marque. Les principaux facteurs
responsables du vieillissement de la marque :
13
EPIDATA
BROU Pacôme
EPIDATA
BROU Pacôme
Code :
*Type : CM et TP
UE de rattachement :
*Semestre : 1
*Contact téléphonique : 09 91 25 85 / 02 23 23 27
*Email : broupacom@hotmail.fr
Les objectifs
Cette formation utilise une approche qui combine la présentation théorique et des
séances d’exercices pratiques.
Les pré-requis
Le contenu
Programme du cours
MODULE IV :
Séance 4 Questionnaire et 1. Généralités
Date : création d’un masque 2. Création du dictionnaire de données
(Partie 1)
La Méthode de ce cours sera axée sur une bonne formation théorique concernant
la maitrise du logiciel et l’analyse des traitements de données statistique du point
de vue pratique. Le support de cours est projeté en LATEX sur vidéoprojecteur.
Langue d’enseignement : Français
Modalités d’évaluation
Evaluation continue : 40%
Participation
Présence en salle informatique
Travaux pratique
I Mise en appétit 3
II Introduction à EpiData 9
2
Page 225 of 329
I. Mise en appétit
4
Page 227 of 329
Quelques remarques (1/3)
Ce questionnaire est donné à tous les propriétaires de chiens adultes (> 1 an) se
présentant dans différentes consultations de l’hôpital
Les questionnaires sont remplis dans la salle d’attente, puis rendus à
l’investigateur de l’étude une fois complétés
L’investigateur devra ensuite saisir informatiquement sur EpiData les données
recueillies dans le questionnaire
5
Page 228 of 329
Quelques remarques (2/3)
6
Page 229 of 329
Quelques remarques (3/3)
7
Page 230 of 329
Masque de saisie sous EpiData
n veut
à q uoi o !
Ce b o u tir
a
Texte du masque
8
Page 231 of 329
II. Introduction à EpiData
▪ Afin d’éviter tout problème de lecture des données dans Epi Info à partir des
données saisies dans Epi Data, il est préférable de modifier dans votre système le
séparateur de décimal : « , » → « . »
▪ Sous Windows XP, il faut passer par Panneau de configuration → Options régionales
et linguistiques
10
Page 233 of 329
Présentation du logiciel
▪ Contrairement à Excel (qui est tout sauf un logiciel de saisie des données), EpiData
permet de mettre en place des contrôles lors de la saisie
▪ EpiData exporte les données saisies sous différents formats, dont Excel
11
Page 234 of 329
Où trouver EpiData ? (1/2)
e W eb
Su r l
12
Page 235 of 329
Où trouver EpiData ? (2/2)
V E
Su r E
13
Page 236 of 329
Où installer EpiData ?
EpiData peut s’installer sur une clé USB et bien sûr, sur un disque dur
d’ordinateur
1) Vous êtes sur le terrain pour saisir vos données, et vos données peuvent être
éparpillées, et vous allez devoir les saisir sur différents ordinateurs
2) Vous n’avez pas le droit d’installer de logiciels sur l’ordinateur que l’on met à
votre disposition pour saisir vos données
▪ Vous vous baladerez avec votre clé qui contiendra EpiData, vos masques de saisie
ainsi que vos données saisies (du tout-en-un)
▪ Pour lancer EpiData installé sur votre clé, il faudra double-cliquer sur le fichier
EpiData.exe qui aura été créé suite à l’installation
14
Page 237 of 329
Installation d’EpiData
▪ Pour installer EpiData sur une clé USB, sélectionnez votre clé lors de l’installation
Conseil : ne créez pas de dossier EpiData dans le menu Démarrer si vous installez
EpiData sur une clé USB
15
Page 238 of 329
Comment s’organise EpiData ?
6 onglets
3. Définition des contrôles lors de la saisie afin d’éviter de rentrer par erreur
des valeurs aberrantes (onglet « Contrôles »)
6. Exporter les données vers différents formats, dont Excel (onglet « Exporter
les données »)
16
Page 239 of 329
Les options d’EpiData (1/6)
Fichier → Options
Onglet « Editeur »
Choix de la police lors de la création
du masque
17
Page 240 of 329
Les options d’EpiData (2/6)
Fichier → Options
Onglet « Masque »
Définition des options d’apparence
du masque lors de la saisie des
données
Ici, choix des champs en 3D, couleur
jaune pour les champs inactifs, et
vert pour les champs actifs
Fichier → Options nt !
o r ta
imp
Très
19
Page 242 of 329
Les options d’EpiData (4/6)
Fichier → Options
Onglet « Documentation »
Définition de la police dans le rapport
« documentation » (diverses
informations sur le fichier de
données)
Rien à modifier ici, a priori
20
Page 243 of 329
Les options d’EpiData (5/6)
Fichier → Options
Onglet « Avancé »
Rien à modifier ici, a priori
21
Page 244 of 329
Les options d’EpiData (6/6)
Fichier → Options
Onglet « Associations »
Rien à modifier ici, a priori
22
Page 245 of 329
III. Le masque de saisie
24
Page 247 of 329
Créer un masque de saisie – Théorie (2/6)
25
Page 248 of 329
Créer un masque de saisie – Théorie (3/6)
26
Page 249 of 329
Créer un masque de saisie – Théorie (4/6)
27
Page 250 of 329
Créer un masque de saisie – Théorie (5/6)
28
Page 251 of 329
Créer un masque de saisie – Théorie (6/6)
29
Page 252 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (1/17)
30
Page 253 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (2/17)
Ouvrez EpiData
1
31
Page 254 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (3/17)
32
Page 255 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (4/17)
33
Page 256 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (5/17)
34
Page 257 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (6/17)
35
Page 258 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (7/17)
36
Page 259 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (8/17)
37
Page 260 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (9/17)
38
Page 261 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (10/17)
39
Page 262 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (11/17)
40
Page 263 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (12/17)
Rappel : le masque est fait pour l’investigateur, pas pour celui qui remplit le
questionnaire (propriétaire, éleveur, …) ⇒ les phrases du texte du masque
sont plus courtes que celles du questionnaire, et vont directement à
l’essentiel !
41
Page 264 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (13/17)
Il est tout à fait possible de coller dans le bloc-note le texte du questionnaire initial,
de procéder ensuite au raccourcissement du texte, et de le coller ensuite dans
l’éditeur de masque EpiData (ce qui évite de tout retaper !)
42
Page 265 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (14/17)
▪ Les options d’EpiData ont été définies de telle façon à ce que le nom de la
variable soit le premier mot de la ligne comportant le champ (diapo 16)
▪ Le nom de la variable du numéro d’identification du chien dans le fichier de
données sera IDEN, celui de la date, Q1, celui de l’âge, Q2, etc.
IMPORTANT : le nom de la variable doit se trouver sur la même ligne que les
caractères des champs (« # », « _ », ou « <dd/mm/yyyu> »)
43
Page 266 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (15/17)
▪ Les noms des variables auraient pu être différents (c’est celui qui conçoit le
masque qui choisit le nom des variables)
Exemple : « DATE » au lieu de « Q1 », « AGE » au lieu de « Q2 », etc.
▪ Le nom des variables ne doit comporter aucun espace, aucun accent ni caractère
spécial, ni signe underscore (« _ »), et doit comporter au maximum 10 caractères
44
Page 267 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (16/17)
2 variables Q61 et Q62 car il y a 2 lignes de champs pour saisir les précisions
éventuelles des propriétaires (si l’on s’attend à que les propriétaires écrivent
beaucoup de précisions, il faudra alors 3 lignes de précisions, donc 3 champs, donc,
3 variables)
45
Page 268 of 329
Créer un masque de saisie – Illustration (17/17)
▪ Dès que vous ajoutez ou supprimez une variable, ou modifiez le nom d’une
variable dans un masque, il est vivement recommandé de lui associer à
nouveau un fichier de données avec un nom différent
En effet, si vous choisissez le même nom de fichier de
données après modification du masque, toutes les
données qui auront été saisies dans ce fichier de données
à l’aide du précédent masque vont disparaître
49
Page 272 of 329
Associer un fichier de données au masque créé (3/4)
50
Page 273 of 329
Associer un fichier de données au masque créé (4/4)
2 3
Cliquez sur « Ok »
3
2
Il faut choisir le fichier de données dans lequel vous Cliquez sur « Ouvrir »
allez saisir les données via le masque de saisie
Ce fichier de donnée est celui que vous avez associé
au masque de saisie que vous venez de créer
53
Page 276 of 329
Saisie des données (2/8)
1 Le masque apparaît
Remarque 1 : la couleur des champs actifs et inactifs se définit dans les options (cf. diapo 15)
Remarque 2 : à partir de maintenant, le terme « fiche » sera employé pour désigner la fiche
clinique ou le questionnaire à saisir
54
Page 277 of 329
Saisie des données (3/8)
55
Page 278 of 329
Saisie des données (4/8)
56
Page 279 of 329
Saisie des données (5/8)
57
Page 280 of 329
Saisie des données (6/8)
58
Page 281 of 329
Saisie des données (7/8)
Remarques
⇒ Lors de la saisie, après avoir saisi le chiffre, vous devrez appuyer sur
« Entrée » pour passer au champ suivant, ce qui peut être préférable…
59
Page 282 of 329
Saisie des données (8/8)
Un caractère « # » a été
systématiquement ajouté en plus de ce
qui est nécessaire (un chien ne sera
jamais âgé de plus de 99 ans, et
pourtant, 3 « # » ont été tapés)
60
Page 283 of 329
VI. Contrôler la saisie des données
62
Page 285 of 329
Les contrôles – Théorie (2/2)
▪ Le fait de définir des contrôles va créer un « fichier contrôle » d’extension .chk qui
portera le même nom que le fichier de données (à l’extension près, puisque pour
un fichier de données, l’extension est .rec)
- LEGAL
- RANGE
- JUMPS
- MUSTENTER
- REPEAT
63
Page 286 of 329
Présentation des différents contrôles (1/6)
▪ LEGAL
- Exemple : LEGAL « 0,1 » (si la variable est binaire, et que les deux seules valeurs
que l’on puisse saisir sont soit « 0 », soit « 1 »)
64
Page 287 of 329
Présentation des différents contrôles (2/6)
▪ RANGE
Où « valeur_mini » doit être remplacé par la valeur mini souhaitée, idem pour
« valeur_maxi »
- Exemple n°1 : RANGE « 1-16 » (si la valeur mini à sais ir est « 1 » et la valeur maxi
est « 16 »)
65
Page 288 of 329
Présentation des différents contrôles (3/6)
▪ JUMPS
- Après avoir saisi une valeur dans le champ pour lequel on utilise le contrôle
JUMPS, le curseur se place ensuite sur différents champs en fonction de la
valeur qui vient d’être saisie
(Ce que l’on souhaite typiquement dans les questions du type « votre chien
reçoit-il un traitement anti-puce ? Si oui, à quelle fréquence lui donnez-vous ? Si
non, passez à la question suivante »)
66
Page 289 of 329
Présentation des différents contrôles (4/6)
▪ JUMPS (suite)
Le signe « > » doit être placé entre la valeur possible du champ et le nom du
champ où doit se placer le curseur
67
Page 290 of 329
Présentation des différents contrôles (5/6)
▪ MUSTENTER
- Ce contrôle permet d’imposer que le champ concerné soit rempli (exemple, il est
indispensable que le champ relatif au numéro d’identification d’un individu soit
rempli)
68
Page 291 of 329
Présentation des différents contrôles (6/6)
▪ REPEAT
- Exemple de situation
Si l’on sait que les questionnaires arrivent par paquet (un paquet entier de
questionnaire pour des chiens, et un autre paquet pour des chats), on spécifiera
« yes » pour REPEAT pour le champ « ESPECE » (ce qui évitera de taper pendant
les 30 ou 40 premiers questionnaires « chiens » dans le champ ESPECE)
69
Page 292 of 329
Les contrôles – Illustration avec le questionnaire (1/11)
70
Page 293 of 329
Les contrôles – Illustration avec le questionnaire (2/11)
Valeurs 0 ou 1 uniquement
Valeurs 1, 2, 3 ou 4 uniquement
71
Page 294 of 329
Les contrôles – Illustration avec le questionnaire (3/11)
72
Page 295 of 329
Les contrôles – Illustration avec le questionnaire (4/11)
73
Page 296 of 329
Les contrôles – Illustration avec le questionnaire (5/11)
Sélection de la variable Q1
Remarque
La définition des contrôles pour un champ met en valeur le champ
en question
74
Page 297 of 329
Les contrôles – Illustration avec le questionnaire (6/11)
Sélection de la variable Q2
75
Page 298 of 329
Les contrôles – Illustration avec le questionnaire (7/11)
Sélection de la variable Q3
76
Page 299 of 329
Les contrôles – Illustration avec le questionnaire (8/11)
Sélection de la variable Q4
77
Page 300 of 329
Les contrôles – Illustration avec le questionnaire (9/11)
Sélection de la variable Q5
78
Page 301 of 329
Les contrôles – Illustration avec le questionnaire (10/11)
Sélection de la variable Q7
79
Page 302 of 329
Les contrôles – Illustration avec le questionnaire (11/11)
80
Page 303 of 329
Les contrôles – Exemple d’erreur de saisie
Un message d’erreur
apparaît
81
Page 304 of 329
L’éditeur de contrôle (niveau avancé) (1/3)
82
Page 305 of 329
L’éditeur de contrôle (niveau avancé) (2/3)
83
Page 306 of 329
L’éditeur de contrôle (niveau avancé) (3/3)
84
Page 307 of 329
VII. Documenter les données saisies
On choisit de documenter le
fichier de données qui contient
les données qui viennent d’être
saisies (cliquez sur « Ouvrir »)
86
Page 309 of 329
Documenter les données – Structure du fichier de données (2/2)
87
Page 310 of 329
Documenter les données – Aperçu de la base de données (1/2)
On choisit de documenter le
fichier de données qui contient
les données qui viennent d’être
saisies (cliquez sur « Ouvrir »)
88
Page 311 of 329
Documenter les données – Aperçu de la base de données (2/2)
2 fiches saisies
89
Page 312 of 329
VIII. Lire ou exporter les données saisies
Pour lire les données dans Epi Info, il n’y a pas besoin d’exporter les données
sous EpiData sous un format particulier : le format EpiData est reconnu par
Epi Info
91
Page 314 of 329
Lire les données dans Epi Info (2/5)
Cliquez sur « Ok »
3
92
Page 315 of 329
Lire les données dans Epi Info (3/5)
3
Sélectionnez le fichier .rec
93
Page 316 of 329
Lire les données dans Epi Info (4/5)
Cliquez sur « Ok »
94
Page 317 of 329
Lire les données dans Epi Info (5/5)
95
Page 318 of 329
Exporter les données vers Excel (1/3)
Sélectionnez le fichier de
données à exporter, puis cliquez
sur « Ouvrir »
96
Page 319 of 329
Exporter les données vers Excel (2/3)
Sélection des fiches que vous voulez exporter (toutes par défaut)
97
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Exporter les données vers Excel (3/3)
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EPIDATA
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Manuels de cours
MANUEL DE COURS
2020-2021