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Réseaux

é mobiles et sans ffil


« RSX116 »

L réseaux
Les é 3G
« UMTS : Universal Mobile Telephone System »

Pierre SWEID
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 1 Pierre SWEID
Références

 UMTS : les origines, l'architecture, la norme (Infopro 01 informatique, 2° Ed.). LESCUYER


Pierre. Date de parution: 06-2002
 Principes
Pi i de
d radiocommunication
di i ti de
d troisième
t i iè génération
é é ti : GSM,
GSM GPRS,
GPRS UMTS
UMTS.
LUCIDARME Thierry. Date de parution: 04-2002
 WCDMA for UMTS,, radio access for third generation
g mobile communications (revised
(
edition 2001). HOLMA Harri, TOSKALA Antti. Date de parution: 01-2001
 UMTS (Réseaux & Télécommunications, 2° Ed.). SANCHEZ Javier, THIOUNE Mamadou.
Date de parution: 02-2004
 Radio Network Planning and Optimisation for UMTS (2nd Ed.). LAIHO Jaana. Date de
parution:
ti 12
12-2005
2005
 Radio resource management strategies in UMTS. PEREZ ROMERO Jordi, SALLENT
Oriol,, AGUSTI Ramon,, DIAZ-GUERRA Miguel-Angel.
g g Date de p
parution: 06-2005

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Page 2 Pierre SWEID
Historique système 3G - UMTS

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Page 3 Pierre SWEID
Introduction

 L’UMTS (Universal Mobile Telecommunication System) n’est qu’une solution


parmi tant dd’autre
autre pour doter la radiotéléphonie dd’un
un système global dit de 3eme
génération, amené à terme à prendre le relais des systèmes 2G (GSM, IS95,PDC)
ou 2.5G
2 5G (GPRS,PDC-P)
(GPRS PDC P)

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Page 4 Pierre SWEID
Introduction
 La plupart des systèmes de deuxième génération sont incompatibles entres eux au
niveau radio : IS95 ou IS136 (US), GSM/GPRS (Europe) ou PDC/PDC-P (Japon).

 En raison de ces incompatibilités, les voyageurs tributaires de la norme de leur


opérateur sont privés de leurs mobiles dans ces pays là.

GSM en 2000: 300 millions d’abonnés. 370 réseaux dans 137 pays

2004: Le 1 milliard d’abonnés Source: www.gsmworld.com


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Page 5 Pierre SWEID
L’IMT 2000-1-
 L'ITU a défini le concept d'IMT-2000, visant à rassembler les propositions des
différents organismes de normalisation et de parvenir ainsi à définir une norme
internationale.
 Plusieurs interfaces ont été envisagées, fondées sur la technologie CDMA (Code
Di i i Multiple
Division M lti l Access)
A ) ett TDMA (Time
(Ti Di i i Multiple
Division M lti l Access).
A )

 On va travailler ensemble:
T1P1 TIA TTA
CWTS ARIB
organismes de normalisation
 Sur une bande de fréquence commune:

1850 1900 1950 2000 2050 2100 2150 2200 2250

1885 MHz 2010 MHz 2110 MHz 2170 MHz

IMT 2000 MSS IMT 2000 MSS

2025 MHz

ITU : International Telecommunication Union


MSS : Mobile Satellite System
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Page 6 Pierre SWEID
L’IMT 2000-2-
 Pour les objectifs suivants :

 L’ITU a défini les vitesses de transmission suivantes pour l’UMTS (3G = 2.5G
étendue aux services multimédia avec ):
 144 kbits/s (milieu rural),

 384 kbits/s (urbain externe),

 2 Mbits/s (proche de l'antenne d'émission de la cellule et en mobilité réduite).

 En 1992 on identifia les fréquences des futurs réseaux 3G dans le cadre de l’IMT
2000.
2000
 La gamme de fréquence retenue est celle des 2 Ghz.

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Page 7 Pierre SWEID
Japon et Europe: OK
Le Spectre 3G-1- Chine et US: Systèmes existants
Chine: Difficulté d’avoir deux bandes pour faire du FDD
 Mais la bande de fréquence pose problème:
Bandes non appariées Bandes Appariées
Spectre IMT-2000
1850 1900 1950 2000 2050 2100 2150 2200 2250
1885 MHz 2010 MHz 2110 MHz 2170 MHz

ITU IMT 2000 MSS IMT 2000 MSS

2025 MHz

1920 MHz

UMTS UMTS
Europe GSM 1800 DECT TDD
FDD
MSS TDD
FDD
MSS

1805 MHz 1880 MHz 1980 MHz

1990 MHz 2160 MHz


PCS
USA A DB EF C A D B EF C
MSS Broadcast auxiliary Reserve MSS
885
895

918

2170 MH
MHz
18
18

19

Japan C PHS IMT 2000


A
MSS
MSS B IMT 2000
A’
MSS

Voir aussi 1850 1900 1950 2000 2050 2100 2150 2200 2250

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Page 8 Pierre SWEID
Deux tranches ont été identifiées:
Le Spectre 3G-2-  la première entre 1885MHz et 2025MHz et
 la seconde entre 2110MHz et 2200MHz.
 Dans la bande terrestre, 2x 60MHz sont apparies, et 35MHz ne le sont pas
 Bandes de Fréquences UMTS : 2 modes :
TDD/TD-CDMA : 35 MHz FDD/W-CDMA : 2x60 MHz
((non apparies)
pp ) ((appariés)
pp )

1900 1920 1980 2010 2025 2110 2170 2200

TDD FDD MSS TDD FDD MSS


UL/DL UL UL UL/DL DL DL

7 x 5 MHz

12 x 5 MHz UL
12 x 5 Mhz DL
FUL/DL
FDL
FUL

FDD Mode TDD Mode


(W-CDMA) (TD-CDMA)
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Page 9 Pierre SWEID
FDD : Frequency Division Duplexing
Le Spectre 3G-3- TDD : Time Division Duplexing

 Rappel
R l : FDD versus TDD

Temps
DOWNLIN
K
Temps de
Garde
UPLINK
Temps de
Garde
DOWNLIN
K
Temps de
Garde Fréquence
UPLINK
Temps

Illustration des modes FDD-WCDMA et TDD-WCDMA

UPLINK DOWNLINK

Fréquence

Écart Duplex

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Page 10 Pierre SWEID
Le Spectre 3G-4-
 En
E Juin
J i 1998,
1998 16 propositions
iti d’i
d’interfaces
t f radio
di étaient
ét i t sur lla ttable
bl dde l’ITU
l’ITU.
 Ces propositions émanaient de 12 organismes de normalisation différents.
 La technologie CDMA était reine car près des 2/3 des propositions y faisaient référence.

On travaille sur l’interface radio : 16 propositions faites à l’ITU

CDMA (Code Division Multiple Access)


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Le Spectre 3G-5-
 L’ITU a retenu au final 6 technologies d’accès : UMTS

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Page 12 Pierre SWEID
Le Spectre 3G-6-
 Les réticences des uns et des autres, les contraintes spectrales en Chine et aux US, les
enjeux commerciaux, les scénarios de migration 2G vers 3G ont fait capoter le rêve d’une
norme universelle
i ll de
d 3eme
3 génération.
é é ti

 Désormais on se trouve devant 2


choix possibles :

1. Norme UMTS défendue par le


consortium 3GPP

2. Norme CDMA 2000 défendue par


le consortium 3GPP2

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Page 13 Pierre SWEID
Le Spectre 3G-7-
1. Consortium 3GPP : (ETSI (Europe) / TTA (Corée) / TTC (Japon) / ARIB (Japon) / T1P1 (US)) déclinée en
deux sous normes : FDD et TDD et s’appuyant sur un coeur de réseau de type GSM.
2. Consortium 3GPP2 : (TIA (US) / TTA (Corée) / TTC (Japon) / ARIB (Japon) / CWTS (Chine)) s’appuyant
sur un coeur de réseau de type ANSI-41, permettant ainsi une évolution en douceur des réseaux actuels IS95

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Page 14 Pierre SWEID
Le Spectre 3G-8-
 Les différences technologiques sont notoires
Entre ces différentes
solutions un penchant pour le
CDMA est clairement affirmé.
Mais ce point commun entre
la majorité des solutions ne
doit pas masquer les
nombreuses divergences,
comme les résume le tableau
ci-contre

Par ces choix, on contente:


• Les opérateurs Japonais et
Européen qui souffrent
d’un manque de spectre
(UMTS FDD)
• Les opérateurs US et
Chinois qui pourront faire
évoluer leur réseau IS95
vers CDMA2000 ou IS136
vers UWC136
• Les opérateurs Chinois qui
ont leurs problèmes de
dualités de bande ainsi
résolu (UMTS TDD ou
TD/SCDMA)

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Page 15 Pierre SWEID
Le Spectre 3G-9-
 Suivant son statut, l’opérateur peut imaginer diverses stratégies

UMTS
UMTS
Scénario 1

De la 2G à la 3G Scénario 2

GPRS EDGE
Pas d’autre
évolution
Pas d’autre
évolution Scénario 5
GSM
Scénario 4

UMTS Nouvel
UMTS
entrant

Scénario 3
S é
Scénario
i 6

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Page 16 Pierre SWEID
Le Spectre 3G-10- HSDPA : High Speed Downlink Packet Access

 US, Japon et Europe: quelle stratégie?


 Le bilan général de ces normes de la 2eme à la 3eme génération peut se résumer ainsi

dét il
détails

 La technologie HSDPA est une méthode permettant d'offrir une vitesse de téléchargement rapide aux utilisateurs. (accès
par paquet sur la liaison DL

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Page 17 Pierre SWEID
RAN : Radio Access Network
La norme UMTS
 Approche
A h UMTS :
En 3G on va chercher a dissocier le Réseau d’Accès BRAN
Radio (RAN) du Cœur de Réseau (CN). Afin que l’on
puisse avec un même CN s’appuyer
s appuyer sur diverses
interfaces radio.

UTRAN

UMTS CORE NETWORK

GERAN

SRAN : Satellite Radio Acces Network


BRAN : Broadcast Radio Acces Network
GERAN : GPRS EDGE Radio Access Networks
UTRAN : UMTS Terrestrial Radio Access Network
SRAN
(SAT)

L idée majeure dans UMTS est de bien séparer les deux mondes et de rendre souples et claires les
L’idée
interfaces afin qu’a l’avenir l’on puisse imaginer de connecter n’importe quel Core Networks 3G à
n’importe quelle interface radio 3G.
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Page 18 Pierre SWEID
La norme UMTS-1- (Rappel NSS)

 Pour l’instant le CN UMTS ressemble au NSS (NSS : Network SubSystem ) GSM/GPRS.


 Mais on va vers un cœur nouveau entièrement IP

Cœur de réseau Cœur ANSI 41 équipant les Cœur de réseau unique universel
GSM/GPRS réseaux Wireless américains basé sur la technologie IP.

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Page 19 Pierre SWEID
UTRAN : UMTS Terrestrial Radio Access Network
La norme UMTS-2- DSCH : Downlink Shared Channel
GERAN : GPRS EDGE Radio Access Networks

 Plusieurs versions « releases » UMTS : V i Evolutions


Voir E l ti 3G

1. La première version de la norme UMTS, dite également Release 99 ou R3, fut


approuvée en mars 2000.
 Elle définit essentiellement le nouveau réseau d’accès radio UTRAN explicitant d’un
coté le mode FDD (W-CDMA) et de l’autre le mode TDD (TD-CDMA) pour l’interface radio.
 L’UTRAN dans cette release est basé sur une technologie de transport ATM.
 Le cœur de réseau choisi n’est qu’une évolution du cœur existant 2G+ GSM/GPRS
2. Release 4 NGN, pour Next Generation Network est
une nouvelle architecture de réseau de
 Introduction du NGN pour le domaine circuit communication.
 Transport IP dans le réseau d’accès 1. Le principe est d’utiliser les technologies
de transport en mode paquet, réservé
 Introduction de Edge comme 2ème réseau d’accès (GERAN) jusqu’alors pour les données, pour
 Mode TDD à bande étroite transporter l’ensemble des services de
télé
télécommunications.
i ti
 Compléments et amélioration de la release R3 2. De plus, on sépare les interfaces des
3. Release 5 : vers une architecture « tout IP » différentes couches du réseau de
communication (transport, commande et
 HSDPA ((Highg Speed
p Downlink Packet Access)) applications) pour permettre une
applications),
= Accès paquet haut débit sur canal DSCH évolutivité plus importante du réseau.
3. Enfin, NGN utilise les nouvelles
 Introduction du domaine IP multimédia dans le réseau cœur technologies paquets pour proposer des
 Nouvelles fonctionnalités IP (protocole SIP) services hauts débits.
Avec NGN, l’objectif est donc de disposer
 Nouvelle architecture du réseau d’accès basée sur IP d’un réseau unique pour l’ensemble des
services,
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Page 20 Pierre SWEID
GERAN : GPRS EDGE Radio Access Networks
La norme UMTS-3- UTRAN : UMTS Terrestrial Radio Access Network

 Points importants de chaque Release 3G V i Evolutions


Voir E l ti 3G

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Page 21 Pierre SWEID
La norme UMTS-4-
 La norme UMTS est produite par le consortium 3GPP (Third Generation
Partnership Project).
 Un ensemble de documents est régulièrement produit par les divers
groupes de travail: les TSG (Technical Specification Group)

3GPP

ETSI ARIB TTA T1P1 TTC CWTS

3GPP: Third Generation Patnership Project 5 Groupes Techniques (TSG)


 Harmoniser les standards WCDMA 1. Radio Access Network (RAN)
 Harmoniser les choix de l’UTRAN 2. Core Network (CN)
3. Services and System Aspects (SSA)
En 1999 : 4. Terminals (T)
Gros Travail au niveau du RAN 5. GERAN (depuis Août 2000)

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Page 22 Pierre SWEID
La norme UMTS-5-
 La norme UMTS est organisée en thèmes: les séries.
 La numérotation des thèmes est spécifique:

Certaines normes sont reprises du


GSM. Pour s’y retrouver entre les
numérotations GSM et UMTS on peutp
appliquer la règle:

(E
(Exemple:
l GSM 4.08
4 08  UMTS 24
24.08)
08)
On peut trouver les documents sur
www.3gpp.org
gpp g

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Page 23 Pierre SWEID
La norme UMTS-6-
 Le spectre UMTS s’étend :
 Le spectre UMTS n’a cessé depuis de s’étendre. On a désormais pour les possibilités suivantes :

Pour le mode
FDD

Pour le mode
TDD

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Page 24 Pierre SWEID
La norme UMTS-7-
 Avec toutes ces normes on va couvrir large

2M 30 min
1M
Débit Data

alternative: A2

100 k
64 k
EDGE UMTS
kbps
s

HSCSD
14.4
10 k
GPRS
9.6

1k SMS
1998 1999 2000 2001 2002

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Page 25 Pierre SWEID
UMTS « Architecture »

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Page 26 Pierre SWEID
Rappel de l’Architecture GSM/GPRS
 Architecture GSM/GPRS - rappel
NSS

BSS

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Page 27 Pierre SWEID
En UMTS, on sépare deux mondes-1-
 Comme pour le GSM, le réseau UMTS est divisé en deux sous parties :
 Le réseau cœur (CN pour Core Network)
 Le réseau d’accès radio (RAN pour Radio Access Network) / appelé UTRAN (Universal
Terrestrial Radio Access Network  Réseau Universel d‘Accès Radio Terrestre)

CN:
 Gère le routage du trafic (Circuit ou Paquet)
 Gère la sécurité
 Gère l’itinérance des mobiles

Réseau Cœur et UTRAN


communique via l’interface Iu.

BRAN (Broadband RAN)


Après négociation la QoS est
SRAN (Satellite RAN) RAN: Gère les aspects radio l’affaire du CN et du RAN
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Page 28 Pierre SWEID
En UMTS on sépare deux mondes-2-
A. Le réseau d’accès UTRAN (Universal Terrestrial Radio Access Network ) est
composé de 2 principaux constituants :
1. Le RNC (Radio Network Controler)
2. Le NodeB.

 On peut imaginer d’autres accès radio de type :


 BRAN (Broadband
(B db d RAN) réseaué d’accès
d’ è large
l bande
b d utilisant
tili t la
l technologie
t h l i
WLAN (WiFi, Hiperlan, ...)
 SRAN (Satellite RAN) réseau d’accès satellite

B. Le réseau cœur est composé de deux domaines :


 Le CS (Circuit Switched)
 Le
e PS
S ((Packet
ac et S
Switched).
tc ed)

 Réseau Cœur et UTRAN communique via l’interface Iu.


 Cette
C tt iinterface
t f se veutt suffisamment
ffi t souple
l ett ouverte
t pour imaginer
i i qu’à
’à tterme CN
et RAN ne soient plus intimement lié et qu’une multitude de réseaux d’accès
différents puisse s’interconnecter
s interconnecter au réseau cœur.

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Page 29 Pierre SWEID
Le Mobile UMTS-1-
 Le Mobile : Comme en GSM on va trouver la même découpe logique.
 D’un coté le terminal référencé par un numéro de série (IMEI : International Mobile
Equipment Identity)
 et de l’autre une carte SIM dite USIM en UMTS pour Universal Subscriber Identity
Module. Cette carte référence l’abonné.
 Comme en GSM, le mobile UMTS est capable de fonctionner sans carte USIM
uniquement pour les appels d’urgence.
d’urgence

ME (Mobil Equipment): Terminal Radio

USIM (UMTS Subscriber Identity Module): Carte


contenant ll’identité
identité de l’abonné,
l abonné, les algorithmes de
chiffrement et les informations relatives à l’abonnement

4 classes de puissances sont


définies pour les mobiles =>

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Page 30 Pierre SWEID
Le Mobile UMTS-2-
 L’USIM, contient les informations suivantes :
– L’IMSI (International Mobile Subscriber Identity) : l’identité
absolue de l’abonné
– Le MSISDN (Mobile Station ISDN Number) : le numéro
de téléphone de l’abonné
– Les options préférentielles à utiliser sur le terminal
retenu (langue
(langue, options d’affichages
d affichages, ...))
– Les clés de sécurité (chiffrement, intégrité) pour les
services des domaines PS ou CS.
– Les identités temporaires du mobile (TMSI en CS et P P-
TMSI en PS).
– Les identités des zones de localisation/routage (CS/PS)
courantes.
– les codes d’accès aux informations de la carte USIM (PIN,
PUK).
Le GSM est présent dans un mobile UMTS
 Un mobile UMTS doit être pensé en fonction de l’ancien monde GSM. De ce fait le module SIM traditionnel GSM
devra être supportée.
 Deux solutions sont possibles :
1. Un module USIM GSM respectant les nouvelles interfaces
2. Un module SIM traditionnel GSM géré à l’ancienne
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Page 31 Pierre SWEID
Le Mobile UMTS-3-
 C
Cette
tt dualité
d lité GSM/UMTS se décline
dé li éégalement
l t ttechnologiquement.
h l i t On
O se doit
d it de
d
définir diverses versions de terminaux :
Un terminal GSM/UMTS sait driver les deux
technologies

Le terminal est manuellement positionné en mode GSM ou UMTS.UMTS Une fois


engagé dans une des deux technologies il se refuse à regarder l’autre.
Ainsi la mobilité GSM  UMTS est impossible

Le terminal
L i l appréhende
éh d lles deux
d modes
d (G M et UMTS)
(GSM UMT ) et lorsqu’un
l ’ mode
d
est choisi l’autre pourra etre monitoré afin d’envisager une mobilité.
Cela ne signifie pas pour autant que le terminal possède la capacité d’écouter
physiquement en parallèle l’autre monde et que le mobile possède un deuxième
récepteur radio.
radio

Mobile un peu science fiction:


• type
yp 2 avec la p
possibilité de recevoir dans les deux modes en p
parallèle
 Double récepteur

Mobile encore plus science fiction de type 3 avec la possibilité d’émettre dans
les deux modes en parallèle
parallèle:  Double émetteurs

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Page 32 Pierre SWEID
Le Mobile UMTS-4-
La capacité radio du mobile UMTS
doit être prise en compte:

Il existe quatre classes


de services UMTS, qui
tiennent compte des
limitations de
l’interface air.

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Page 33 Pierre SWEID
Le Mobile UMTS-5-
 Pour les identités du mobile c’est pareil qu’en GSM/GPRS

- MSISDN
- IMSI, TMSI ou P-TMSI
- sans oublier l’IMEI

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Page 34 Pierre SWEID
Réseau d’accès -L’UTRAN-1-
 L’architecture de la partie radio ressemble a celle vue en GSM.
GSM On a (deux composants
essentiels : RNC et NodeB) :

Circuit Switched Packet Switched


Core Network Core Network

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Page 35 Pierre SWEID
Réseau d’accès -L’UTRAN-2-
 L’UTRAN est responsable :
 De la gestion de la ressource radio (RRM : Radio Resource Management)
 De la mobilité des mobiles dans ce sens ou il doit veiller à assurer la continuité
des communications.
communications
 L’UTRAN est relié aux mobiles par l’interface air (Uu) et au Core Network par
l’intermédiaire de l’interface Iu

1. Node B : Equivalent à la BTS du GSM:


 Gestion de l’émission et de la réception radio
 Agit sur une zone géographique limitée: la cellule
 Peut être un équipement sectorisé (mono sectoriel avec antennes omni
directionnelles, tri sectoriel, hexa sectoriel)
 Cas typique 2 antennes en Rx et 1 en Tx (la norme prévoit l’option TxDiv avec
deux antennes en Tx)
 S’interface avec son contrôleur (RNC) via l’Iub

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Page 36 Pierre SWEID
Réseau d’accès -L’UTRAN-3-
2. RNC : Equivalent au BSC du GSM,
- A pour mission d’assurer le routage des communications entre les NodeB et le réseau cœur.
p
- Le RNC est responsable du routage
g de l’abonné q
quand celui-ci se déplace
p de NodeB en NodeB.
- Il est, comme le BSC en GSM, le gestionnaire de la ressource radio. Cette ressource est en UMTS
un code. Mais au même titre que la ressource radio GSM (fréquence + timeslot) elle est attribuée
par le RNC en fonction du service à rendre ainsi que de la disponibilité de ce code.
- Peut être Drift ou Serving
- S’interface
S’i t f avec lle réseau
é cœur (CN) via
i l’Iu
l’I
- Contrairement au GSM les RNC ont la possibilité de communiquer entre eux par le biais de
l’interface Iur
- Maître du HANDOVER

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Page 37 Pierre SWEID
Réseau d’accès -L’UTRAN-4-
 Handover: hard et SOFT (rappel)

 Le soft Handover n’est pas restreint à deux liens !


Zone à trois liens de
handover

Zone à deux liens de handover

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Page 38 Pierre SWEID
Serving et Drift RNC-1-
 Cette architecture un peu particulière fait apparaître la notion de Serving et de Drift RNC
(s-RNC et d-RNC :

1. Le serving
g RNC fournit la ressource radio ((un code)) associée a son
domaine et gère la connexion radio (niveau RRC) tout en assurant le
routage avec le CN.

2. Le drift RNC fournit la ressource radio associée à son domaine.

NODE
Un code affecté B
par le s-RNC
NODE s-RNC
B
UE

Un code affecté NODE


par le d-RNC B

NODE d-RNC
B

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Page 39 Pierre SWEID
Serving et Drift RNC-2-
 RNC ((s-RNC
RNC , d
d-RNC)
RNC)
NODE NODE
Un code affecté B B
par le s-RNC
NODE s-RNC NODE s-RNC
B B
UE

Un code affecté NODE NODE


par le d-RNC B UE B

NODE d-RNC NODE d-RNC


B B

Figure a Le Drift RNC est un routeur de données. Figure b

 L’évolution du mobile peut l’amener à quitter la cellule sur Figure c


q
laquelle il avait initialisé la communication et ainsi se retrouver NODE
dans la situation (figure b). B

NODE s-RNC
 Cette situation ne peut être que transitoire, car l’UMTS ne B
prévoit pas un chaînage infini des RNC entre aux. Le pire cas est
celui
l i décrit
dé it en figure
fi (a)
( ) ett (b) comprenantt un serving
i RNC ett un
NODE
drift RNC. B
UE
 La procédure de relocalisation des RNC va permettre de revenir à NODE s-RNC
une situation plus saine (figure c) B

Voir aussi :ACCES_UMTS_EFORT.pdf-


page 5
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 40 Pierre SWEID
Interfaces UTRAN: portés par ATM
Interface Localisation Description en bref Equivalent
GSM/GPRS
Uu UE-UTRAN Interface radio qui permet au mobile de communiquer avec l’UTRAN –repose sur la Um
technologie CDMA
lu UTRAN-RC lu-CS : permet au RNC de communiquer avec les MSC/VLR A
lu-PS – permet au RNC de communiquer avec le SGSN Gb
lur RNC-RNC Communication entre deux RNC, notamment dans le cadre de la procédure de
macro-diversité
lub NodeB-RNC Communication NodeB-RNC Abis

 En UMTS les interfaces sont


totalement définies ce qui permet
(théoriquement) la possibilité de mixer
les constructeurs au sein d’un même
UTRAN (RNC
RNC de la compagnie A et
NodeB de la compagnie B
B).
 En GSM l’ensemble du réseau radio
(BSS) était fourni par le même
constructeur car beaucoup de
spécificités « propriétaires » liaient
BTS et BSC.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 41 Pierre SWEID
Notion de RAB (Radio Access Bearer)-1-
 CN et UTRAN établissent des RABs pour communiquer
 Au niveau UTRAN on gère des canaux de communication globaux que l’on appelle des RAB
(Radio Access Bearer).
 RAB pour Radio Access Bearer :
→ Une dimension radio (Radio Bearer) et une autre Iu (Iu Bearer)
 RAB correspond à l’ensemble des services support coté radio (Radio Bearer) et coté interface Iu
(Iu Bearer) mis en œuvre dans UTRAN pour assurer le transport des données usager et de la
signalisation du mobile jusqu’au réseau cœur.
cœur
 Lors de l’établissement de l’appel on négocie entre usager et réseau les attributs de type de service à
ouvrir (débit, QoS, délai, ...). Cette négociation se fait conjointement entre Mobile, UTRAN et CN.
 Le RAB est établi conformément à la négociation menée. Les attributs du RAB sont :
 Classe de service
RAB = RB + IuB
 Débit maximal / garanti UE RAN CN

 SDU: taille / taux d’erreur résiduel


Radio Access Bearer
 Délai de Transfert
Radio Bearer Iu Bearer
 Priorité

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Page 42 Pierre SWEID
Notion de RAB (Radio Access Bearer)-2-
→ En fonction des attributs du RAB, UTRAN joue sur:
 Paramètre de protection
 Choix des protocoles (mode acquitté ou non acquitté, …etc.)
 Dimensionnement des ressources radio
 Allocation
All ti de d ressource radio
di Iu
I ett Radio
R di

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Page 43 Pierre SWEID
Notion de RAB (Radio Access Bearer)-3-
 RAB (Radio Access Bearer) = RB (Radio Bearer) + IuB (lu Bearer)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 44 Pierre SWEID
Le Core Network

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 45 Pierre SWEID
Le Core Network-1-
 Core Network: en attendant un cœur tout IP on utilise le NSS GSM/GPRS

Domaine Circuit Domaine Paquet

AuC
Gi
C H
GMSC Gd GGSN
E
HLR Gn
D Gr

VLR G VLR Gf
F EiR Gn
B B SGSN SGSN
Gs
MSC E MSC

Iu CS Iu PS

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Page 46 Pierre SWEID
Le Core Network-2-
 Le cœur du réseau UMTS est divisé principalement en deux domaines de services :
1. Un domaine de services pour la téléphonie (s’apparentant au NSS Circuit du
GSM),
GSM)
2. Et l’autre domaine de services pour tout ce qui touche au monde paquet
(s’apparentant
(s apparentant au NSS Paquet du GPRS)

 L’UMTS est donc capable de gérer une communication par paquets et une
communication par circuit.
 Le domaine CS (Circuit Switched ) comprend le GMSC et le MSC/VLR
 le domaine PS (Packet Switched) comprend le SGSN et le GGSN.
 La liaison entre ces deux domaines s’effectue via HLR, EIR et l’AUC.

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Page 47 Pierre SWEID
Le Core Network - Les équipements-1-

• HLR (Home Location Register) « éléments commun » HLR

— Base de données générale des abonnés


— Interrogée lors du routage des appels entrants
— Stocke les données de localisation du mobile (routage MSC et SGSN)

• MSC/VLR (Mobile Services Switching Centre / Visitor Location Register)


« domaine CS » MSC
VLR
— Switch (MSC)

— Base de donnée (VLR) locale à la zone gérée par le MSC (mémorise : LAI, TIMSI)

— Gère plusieurs Node B

GMSC

• GMSC (Gateway MSC) « domaine CS »


— Switch principal connecté au réseau circuit extérieur (PSTN)

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Page 48 Pierre SWEID
Le Core Network - Les équipements-2-
 Core Network : les équipements

• SGSN (Serving GPRS Support Node) « domaine PS » SGSN

— Équivalent à un MSC/VLR pour le sous réseau GPRS

— Permet le transfert des paquets de données en provenance ou à destination d’un


d un PDN
externe.

• GGSN (Gateway GSN) « domaine PS » GGSN


— Équivalent à un GMSC connecté au réseau paquet extérieur (X25 / IP)

 Placé coté CS et associé au MSC, le VLR sert au SGSN pour la g


gestion de l’itinérance
d’un abonné mobile transitant dans le domaine paquet.
– On trouvera également dans ce domaine, comme en GPRS, le DHCP chargé d’affecté
d
dynamiquement
i t des
d adresses
d aux MS

– Ainsi que les DNS permettant de résoudre tout problème d’adressage physique référencé par
un nom logique

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Page 49 Pierre SWEID
Le Core Network - Les équipements-3-
 Les éléments communs :
 Le HLR (Home Location Register) est une base de données dans laquelle sont stockées
les informations relatives à chaque abonné de l’opérateur : le numéro d’appel de l’abonné,
l’identité du mobile, les informations sur l’abonnement, l’équipement VLR qui a en charge le
MS, ...

• Auc (Authentification Center) « éléments commun »


— Permet d’assurer
d assurer ll’authentification
authentification de l’abonné
l abonné et les chiffrements de la
communication. Le AuC est interconnecté avec le HLR et contient pour chaque
abonné une clé d’identification.
• EiR (Equipment Identity Register) « éléments commun »
— est une base de donnée qui regroupe l’identité des terminaux et permet
théoriquement de les classer en trois listes :
 Li t Blanche
Liste Bl h : terminaux
t i autorisés
t i é à transiter
t it sur le
l réseau.
é
 Liste Grise : terminaux douteux à surveiller
 Liste Noire : terminaux interdits sur le réseaux (vols, vices cachés,...)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 50 Pierre SWEID
Le Core Network – les fonctions-1-
 En GSM les deux domaines sont indépendants en terme de gestion de l’itinérance (mise
à jour le localisation PS et CS indépendantes) [ SGSN interroge MSC/VLR via Gs].

 Via l’interface Gs (entre SGSN et MSC/VLR) les deux domaines paquets et circuits
pouvaient se relié pour assurer la gestion de l’itinérance.

 Avec UTRAN, on va vers un réseau cœur intégré pour lequel on verra des
équipements communs associant SGSN, MSC et VLR (UMSC = UMTS MSC) facilitant
d’autant plus la liaison entre les deux domaines.
domaines

MSC / VLR CS SGSN PS CS UMSC = UMTS MSC PS

UTRAN UTRAN

UMSC = UMTS MSC

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Page 51 Pierre SWEID
Le Core Network – les fonctions-2-
 Comme en GSM, le VLR entretien l’état d’itinérance des mobiles en enregistrant le numéro
de zone de localisation(LAI: Location Area Identity) ou de routage (RAI : Routeing Area
Identity) sur lesquels ils transitent.

 En UMTS, Le plan géographique est comme en GSM découpé en zones à la liberté de


l’opérateur :

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 52 Pierre SWEID
Le Core Network – les fonctions-3-
 L
La découpe
dé entre
t réseau
é cœur (CN) ett réseau
é d’accès
d’ è radio
di (RAN) estt relativement
l ti t plus
l nette
tt qu’en

GSM.
 En effet, l’idée est que l’UTRAN doit gérer uniquement la composante radio alors que le cœur se doit de
gérer les services. De ce fait le codage/décodage
g g g de pparole pplacé au niveau du RAN dans le système
y
GSM se retrouve désormais coté CN en UMTS.
2G-GSM 3G-UMTS

CN MSC

MSC TRAU

RAN
TRAU
Ainsi l’UTRAN ne s’occupe plus
des services. Il gère des tuyaux de
BSC QoS prédéterminés.
prédéterminés Cela justifie RNC
pleinement la notion de RAB.
C’est le CN qui gère désormais tous
BTS les services. Node B

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 53 Pierre SWEID
En INTERNE:
Le Core Network – les interfaces
 Les classiques A, Abis, B, C, ... du NSS GSM.
 Les interfaces Gi,
Gi Gs,
Gs Gr,
Gr ... du NSS GPRS
 Les fonctions du Core Network
En EXTERNE:
• Interfaces CN
 Iu décliné :
 en Iu CS pour le domaine circuit et
 en Iu PS pour le monde paquet sur un support ATM

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 54 Pierre SWEID
La coexistence GSM – UMTS-1-
 La plupart des opérateurs UMTS sont des opérateurs GSM. Comment organiser ce nouveau
réseau par rapport à l’ancien.
 Deux stratégies sont possibles :
1 Coexistence GSM-UMTS: Deux cœurs
1.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 55 Pierre SWEID
La coexistence GSM – UMTS-2-
2. Coexistence GSM-UMTS: Un cœur unique
 Un cœur unique (2G/3G) s’appuyant sur un accès radio 3G et un autre pouvant être 2G ou bien
avoir évolué à l’ interface vers la 3G.

Pour cela il faut un GERAN ayant fait sa révolution d’interface.


Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 56 Pierre SWEID
l’OMC-1-
C
Comme en GSM on dispose
di d’une
d’ architecture
hit t hié
hiérarchique
hi d
de ttype TMN
(Telecommunication Management Network) permettant de superviser et d’opérer
l’ensemble des équipements du réseau.

 En UMTS on trouve la découpe suivante :


1. Pour l’UTRAN, deux éléments s’occupent de l’opération et de la maintenance
 l’OMC-B : l’équipement d’opération et maintenance du NodeB
 l’OMC-R : l’équipement d’opération et maintenance du RNC

2. Pour le CN, deux éléments s’occupent de l’opération et de la maintenance


 l’OMC-S : l’équipement d’opération et maintenance pour la partie Circuit (MSC/VLR,
HLR, AuC et EIR)
 l’OMC-D : l’équipement d’opération et maintenance de la partie Paquet (SGSN,
GGSN, DHCP, DNS)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 57 Pierre SWEID
l’OMC-2-

OMC-B: pour le NodeB


OMC-R:
OMC R: pour le RNC
OMC-S: pour le NSS GSM
OMC-D: pour le NSS GPRS

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 58 Pierre SWEID
Evolutions IP de l’UMTS

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 59 Pierre SWEID
Introduction
 En plus La norme UMTS n’est pas encore implantée dans des réseaux réels que
déjà on parle en comité de normalisation de ses évolutions. Nous avons deux
volets d’évolutions p
possibles :
 l’introduction de l’IP dans l’architecture UMTS aussi bien du coté CN que du
coté l’UTRAN
 l’évolution de l’interface radio FDD avec HSDPA, HSUPA et MIMO.

 Dans la suite, on va traiter les aspects IP

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 60 Pierre SWEID
L’IP dans l’UTRAN-1-
 L’introduction de la technologie IP dans l’UMTS se fait par étape.
→ Une des étapes de cette migration vers IP consiste à partir de la Release 5 d’introduire IP au
niveau de l’UTRAN.
→ Cette introduction ne concerne que le transport. On va vers une architecture IP dans
laquelle tous les équipements de l’UTRAN (NodeB, RNC et OMC) seraient connectés
entre eux par l’intermédiaire d’un backbone IP, comme le suggère le schéma suivant :

R99

Release 5
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 61 Pierre SWEID
L’IP dans l’UTRAN-2-
 Cette architecture permet de faire communiquer :
→ N ’importe quel RNC avec n’importe quel NodeB
→N
N’importe
importe quel RNC avec nn’importe
importe quel RNC
→ N’importe quel NodeB avec n’importe quel NodeB
Théoriquement possible mais peu utile car la couche protocolaire inter NodeB n’existant
pas dans UTRAN

 Cette architecture présente quelques avantages :


→ Optimisation du chemin entre RNC et NodeB permettant d’envisager d’éliminer l’interface
Iur mais aussi de supprimer
pp ((en tout cas limiter)) les p
procédures de relocalisation de RNC.

→ Optimisation du partage de la ressource de transport qui est globale et doit se partager


entre tous. La précédente
d architecture
hi obligeait
bli i a dimensionner
di i correctement au départ
d l taille
la ill
des liens inter équipement puis ATM permettait au sein de chaque lien de balancer la charge de
trafic et ainsi de jouer avec la QoS.
QoS

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 62 Pierre SWEID
L’IP dans l’UTRAN-3-
 Les interfaces Iub, Iur deviennent alors virtuelles

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 63 Pierre SWEID
L’IP dans l’UTRAN-4-
 L’IP est introduit au niveau UTRAN pour assurer le transport en s’appuyant sur
divers types de couches L1/L2.
 On ne bénéficie donc plus à priori de la gestion de la QoS assurée basiquement par
l’ATM.
l’ATM
 Cette gestion était basée essentiellement sur la faculté de pouvoir différencier des
chemins (VP/VC) et d’associer chaque connexion à des chemins spécifiques subissant
au sein du réseau de transport ATM un traitement adapté au trafic supporté.
supporté

 Les mécanismes de QoS doivent s’appliquer aussi bien au flux de trafic qu’au
flux de signalisation.
signalisation
 La norme n’impose rien mais préconise l’utilisation des mécanismes IP pour tenter
d’obtenir une QoS.

 On y évoque MPLS, DiffServ ou RSVP.


 Libre aux opérateurs/constructeurs de faire les bons choix et d’associer les classes de
services UMTS aux mécanismes IP de QoS.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 64 Pierre SWEID
L’IP dans l’UTRAN-5-
 Exemple d’utilisation de MPLS / DiffServ dans l’UTRAN pour assurer la QoS

Chaque flux labellisé suit une


Paquets classés et voie en fonction de sa QoS
labellisé en fonction
de leurs QoS
Routage inverse

Trafic

Qos

VCG (Virtual Containers Group)


Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 65 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-1-

 L’évolution du CN UMTS vers l’IP est due essentiellement à la volonté de coller à


l’évolution actuelle qui se profile pour les réseaux fixes. On cherche à regrouper le
domaine circuit (RTCP) et le domaine paquet (PDN) et l’on va de ce fait vers plus
d’IP. On imagine de remplacer le classique RTCP ou l’élément de base est le
commutateur (SWITCH) par un réseau générique IP qui assurerait le transport de
la voix et de l’ensemble des services de type
yp circuit.

 Aidé des mécanismes DiffServ/MPLS pour assurer la QoS et s’appuyant sur l’ensemble
des normes VoIP (H323, SIP, …) on peut imaginer d’unifier les deux réseaux afin que
le routeur devienne l’unique élément de base du futur réseau unifié.
unifié

 L’évolution passe également par une stratification plus claire des fonctions du réseau.
Ce concept hérité des travaux sur les réseaux intelligents (IN) tente de distinguer
clairement dans un réseau le service du transport
transport..

 Enfin il convient d’universaliser la gestion de la mobilité en s’appuyant sur les concepts


de mobilité développés nativement pour les réseaux radiotéléphoniques
(GSM/GPRS/UMTS) mais aussi sur ceux hérités des travaux sur la mobilité IP.
IP

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 66 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-2-
 C’est le concept NGN : NEXT GENERATION NETWORK

 Ces nouveaux réseaux sont dits NGN (Next Generation Networks)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 67 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-3-
 Avec
A NGN
NGN, on
n di
dissocie
i lles couches
h suivantes
i nt :

1. La couche « Accès » permet l’accès de l’utilisateur aux


pp
services via des supports de transmission et de collecte
divers : câble, cuivre, fibre optique, boucle locale radio,
xDSL, réseaux mobiles.

2. La couche « Transport » gère l’acheminement du trafic en


mode
d paquett verss sas destination
d sti ti fi l
finale. E bordure
En b d d
du
réseau de transport, des « media gateways » et des «
signalling gateways » gèrent respectivement la conversion
des flux de données et de signalisation aux interfaces avec
les autres réseaux ou les réseaux tiers interconnectés.
interconnectés

3. La couche « Contrôle » se compose de serveurs dits «


softswitch » gérant d’une part les mécanismes de contrôle
d’appel (pilotage de la couche transport, gestion des
adresses), et d’autre part l’accès aux services (profils
d’abonnés, accès aux plates-formes de services à valeur
ajoutée).

4 La couche « Services » regroupe les plates-formes


4. plates formes
d’exécution de services et de diffusion de contenus. Elle
communique avec la couche contrôle du cœur de réseau via
des interfaces ouvertes et normalisées, indépendantes de
la nature du réseau d
d’accès
accès utilisé.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 68 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-4-
 Au niveau du CN on part de l’architecture R99 suivante:

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 69 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-5-
 Et l’on prépare en R4 une convergence IP pour le transport:

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 70 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-6-
 Dans cette première
è évolution
é on se contente d’unifier le transport au sein du Core Networks et de
s’appuyer sur des passerelles MGW (Media Gateway) et SGW (Signalling Gateway) pour opérer avec
les réseaux RTCP existants.

 Le réseau
é de transport est IP pour tout type de trafic. Le MSC traditionnell du monde GSM est
coupé en deux et devient :

• MSC Serveur pour s’occuper de toute la partie de contrôle et de signalisation. On peut


é l
également l appeler
les l des
d Media
d Gateway
G Controler
l (MGWC).
( G )
• Il s’occupe de l’échange des messages de signalisation transmise de part et d'autre avec
les passerelles de signalisation,
• et l’interprétation de cette signalisation, du traitement des appels, du choix du MGW de
sortie selon l'adresse du destinataire, le type d'appel ou la charge du réseau et de la
réservation des ressources dans le MGW et le contrôle des connexions internes.

• MGW (Media Gateway) chargé du routage du trafic usager en respectant la QoS qualifiant le
service transporté. Son rôle consiste à assurer
d
d’une
une part le codage et la mise en paquets du flux média reçu du RTCP et vice-versa
vice versa
(conversion du trafic TDM / IP)
 et d’autre part la transmission, suivant les instructions du Media Gateway Contrôleur,
des flux média reçus de part et d'autre.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 71 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-7-
 P
Pour bien
bi comprendre
d cette
tt première
iè é évolution
l ti - architecture
hit t R99 -

 En R99 : 3 transporteurs

Transport Circuit
MSC Trafic CS GMSC
Monde RTCP
VLR
HLR
RAN EiR Transport par Paquet (SS7) AuC
Signalisation des Appels CS
Si li ti MAP CS ett PS
Signalisation

SGSN GGSN Monde IP

Transport par Paquet (IP)


Trafic PS
Signalisation des Appels PS

 On voit clairement 2 dimensions de transport : une circuit et une autre paquet


Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 72 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-8-
 E Release
En R l 4
4, on va unifier
ifi lle transport,
t t  Une seule dimension de transport avec des
 IP universalise le transport besoins en QoS différents.

A différentiation de service

Transport Paquet (IP)


Trafic CS
MGW MGW Monde RTCP
MSC SGW
MSC
Server Server

Transport par Paquet (IP) HLR


RAN
AuC
EiR Signalisation des Appels CS
Signalisation MAP CS et PS

SGSN GGSN Monde IP

Transport par Paquet (IP)


Sans différentiation de service

Trafic PS
Signalisation des Appels PS

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 73 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-9-
 En
E Release
R l 4
4, on va unifier
ifi lel transport,
t t

MSC MSC Server

VLR MGW

 MSC/VLR est coupé en deux :


- MSC Server pour tous les aspect signalisations:
- signalisation MAP des UE inscrit au domaine CS
- signalisation de gestion des appels CS (interne CN jusqu’au RTCP)
- contrôle
t ôl ddes MGW pour configurer
fi le
l routage
t des
d flux
fl en transit
t it
- MGW pour le routage du trafic TR
 Un protocole de dialogue spécifique (H245 – Megaco) leur permet de
communiquer via un transport IP (bien sur)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 74 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-10-
 Avec
A lla Release
R l 5 on va vers un CN ttoutt IP iincluant
l tdde b
boutt en b
boutt lla
gestion du multimédia.

SIPou
SIP ou H323
H323 ? ?

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 75 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-11-

 L
La release
l R5 de
d l’UMTS introduit
i t d it un nouveau domaine,
d i l’IP Multimédia
M lti édi (IM)
Subsystem, s’appuyant sur les services du domaine paquet pour fournir des
services de communications convergents (voix sur IP, données, multimédia…) en
IP natif.
natif Ainsi,
Ainsi les communications multimédia ne sont plus supportées de
manière transparente mais deviennent le mode de communication cible de
l’UMTS.

 Ce n’est que pour des raisons de compatibilité avec les réseaux GSM/GPRS,
UMTS R99 et avec les terminaux non IP multimédia que le domaine circuit
(MSC servers et MGW associées) est maintenu.

 Le cœur de réseau UMTS IP multimédia utilise le protocole SIP pour gérer les
sessions IP multimédia,, et le pprotocole IP ppour le transport
p du trafic et de la
signalisation associés. Il supporte l’inter fonctionnement avec les réseaux voix et
données IP fixes et mobile existants, y compris Internet.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 76 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-12-
 L’architecture R5 devient:

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 77 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-13-
 Le rôle de chaque élément ?

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 78 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-14-
Le MGCF (Media Gateway
Controller Function) s’occupe de Le CSCF (Call State Control Server)
contrôler les MGW et assure le s’occupe de contrôler les sessions multimédias
li avec le
lien l CSCF.
CSCF transitant sur le Réseau.
Réseau Il ss’occupe
occupe de la
 Revenons en détail sur le rôle gestion de l’appel (établissement/relâchement),
de la gestion des adresses (analyse, traduction,
de chacun. transposition), de la gestion de la session
multimédia ouverte (ajout/retrait de support).

Le HSS (Home Subscriber Server) est la base de donnée regroupant


l’ensemble des informations liées à l’abonnement des usagers de
l’opérateur. Il est un HLR étendu au domaine IP.
Il contient l’identification de chacun IMSI, @ SIP, @ IP, …), les
informations de sécurité (n-uplet de chiffrement), les informations de
localisation de l’usagers (SGSN id), le profil de l’abonnés (services
autorisés, restrictions, …).

Le MRF (Multimedia Resource Function) établit les conférences


multimédia et contrôle les sessions multiparties.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 79 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-15-
 On gère l’accès à trois domaines: CS, PS et IM en s’appuyant sur un CN doté de
mécanismes hérité des Réseaux intelligents (IN) notamment au niveau de la gestion des
terminaux qui sont vus comme des terminaux SIP.

Au niveau de la mobilité on disposera à terme:


• d la
de l gestion
i ded la
l mobilité
bili é au niveau
i UTRANA
• de la gestion SIP des individus (avec SIP les terminaux doivent s’enregistrer auprès du REGISTRAR puis les PROXY
SERVER peuvent rediriger les appels)
• de Passer à la première page
Page 80la gestion de la macro
Pierre SWEID mobilité selon IPv4 ou IPv6
Date : 06/02/2014
L’IP au Core Network-16-
 Au niveau de la mobilité on disposera à terme:

• de la gestion de la mobilité au niveau UTRAN

• de la gestion SIP des individus (avec SIP les terminaux doivent s’enregistrer auprès du
REGISTRAR puis les PROXY SERVER peuvent rediriger les appels)

• de la gestion de la macro mobilité selon IPv4 ou IPv6

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 81 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-17-
 La mobilité selon IPv4

Phase 1: Le mobile dans son


Réseau mère possède une adresse
absolue connue de tous.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 82 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-18-
Home Agent
Phase 2: Le mobile change de réseau. Il y
obtient une adresse temporaire

Foreign Agent

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 83 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-19-
Phase 3: Chaque correspondant envoi
son flux au réseau mère qui tunnellise
jusqu’à la destination finale du mobile.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 84 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-20-
 Au niveau UMTS, le CSCF va jouer le rôle majeur de gestionnaire de la mobilité.

 Le CSCF peut être :

• Un serveur SIP de proximité (P-PCSF) correspondant au point d’attache CSCF du réseau étranger sur lequel le
mobile
bil se connecte.
t L’attachement
L’ tt h t du
d mobile
bil auprès
è de
d ce PP-CSCF
CSCF se fait
f it après
è interrogation
i t ti d réseau
du é nominal
i l de
d
l’abonné

• Un serveur SIP interrogé (I-CSCF) correspondant au CSCF que le P-CSCF tente de joindre pour établir un lien avec
le réseau nominal de l’usager.
g

• Le serveur principal SIP (S-CSCF) joue comme un registrar SIP serveur et enregistre la localisation du mobile dans
la base HSS.
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 85 Pierre SWEID
L’IP au Core Network-21-
 Un Core Networks Universel

 Un Core Network universel autour duquel transite une multitude de normes radio.
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 86 Pierre SWEID
Interface Radio

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 87 Pierre SWEID
Les modes d’accès
FDMA (analogique) P i
Puissance TDMA (N
(Numérique)
é i )
Puissance

30 KHz Temps
Temps 200 KHz
User 4
User 3
User 2 Fréquence

Fréquence User 1

User 5 User 4
User 4 User 3
User 2
User 3
User 2 User 1
User 1 Un canal est identifié par une fréquence et intervalle
de temps.
temps Le canal est un ensemble d’intervalle de
Un canal est identifié par une fréquence temps utilisés par une communication

FTDMA (GSM) CDMA (IS95, 3G)


Puissance Puissance

Temps Temps
Fréquence

Fréquence
User 1 & 2 & 3 & ...

Un canal est identifié par une fréquence


et un code par utilisateur
Frequency-Time Division Multiple Access
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 88 Pierre SWEID
Mode FDD vs. GSM
Temps
Puissance UL Utilisateur GSM

T
S DL T
S
T 4 T 4
S S
T 3 T 3
GSM T
S
2 T
S
2
S S
T 1 T 1
S S
0 577 ms 0

Fréquence
890 MHz (GSM) 200 KHz 915 MHz 935 MHz 200 KHz 960 MHz (GSM)
Spectre Uplink 1785 MHz 1805 MHz Spectre Downlink 1880 MHz (DCS)
1710 MHz ((DCS))
Ecart Duplex : 45 MHz (GSM), 95 MHz (DCS)

Puissance
Temps

Cch76 Utilisateur 2 UMTS

W-CDMA Cch31 Cch18

FDD Utilisateur 1 UMTS


Cch15

Fréquence
5 MHz 5 MHz
1920 MHz 1980 MHz 2110 MHz 2170 MHz
Spectre Uplink Spectre Downlink

Ecart Duplex : 190MHz

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 89 Pierre SWEID
Réutilisation de fréquence
UMTS : N=1
• En CDMA les utilisateurs sont 1

1
séparés par des codes, la même
1 1
fréquence peut être utilisée dans
1 1
des cellules adjacentes. 4
1 1 1
• Chaque cellule UMTS peut utiliser 1 1
les mêmes 5 MHz de bande. 1 1
5
 N = 1 (Reuse Factor)
6 4
 Le problème de réutilisation CELL
1
fréquentiel du GSM est supprimé
supprimé.
7 3

5 2

6 4
CELL
GSM : N=7
1 4
7 3

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 90 Pierre SWEID
L’émission CDMA est étalée

 La technique
h CDMA permet à un grand nombre d'utilisateurs
' l d'utiliser
' l l même
la ê onde porteuse sans interférer
fé les
l uns
avec les autres.
 Principe : répartir l'information radioélectrique émise sur une bande de fréquences plus large que celle réellement
nécessaire à la transmission du signal utile.
pp
 Ce dernier apparaît alors comme
mm un bruit et sa densité spectrale
p est constante sur l'intégralité
g de la bande occupée.
p .
Débit Chip = Débit Bit * SF
facteur d'étalement SF (Spreading Factor) : longueur L du code

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 91 Pierre SWEID
L’orthogonalité des Codes est la clé

Mixer
Rs kbps Source Rc bps Signal Etalé

Rc Mcps PN sequence

 En logique binaire {0 / 1}, l’opération élémentaire est de faire un XOR entre


l’information utile de débit utile Rs et un code pseudo random de débit Rc.
 multiplier au sens mathématiques du terme (OU exclusif) chaque bit à transmettre
par un code pseudo-aléatoire PN (Pseudo random Noise code) propre à chaque
utilisateur.

 En logique {-1,
{ 1 +1} (obtenue par ((-1)
1)bit) le XOR est alors une multiplication.
multiplication

Rc est grand devant Rb ( Tc = Tb/N)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 92 Pierre SWEID
Deux codes orthogonaux

 En logique binaire deux codes


 C1 = (c11, c21, ..., cN1)
 C2 = (c12, c22, ..., cN2) XOR conduit à un
nombre égal de 1
 de ta
taille
lle N sont orthogonaux ssi et de 0
leur XOR mutuel équilibre les 0
et les 1.
 En logique signée cela revient à dire
que :

N 111111

c c
k 1
1 2
k k 0 101010
010101

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Page 93 Pierre SWEID
En se focalisant sur un code
 Deux codes #i et #j de durée N ont pour propriétés 1 si l  0
l  
N N  0 si l  0

c #i # j
c
k k 0 c
k 1
#i
k c k#i l   l
k 1 L’autocorrélation du code et un pic de
DIRAC.
Les codes sont tous
 Il est orthogonal avec une duplication
orthogonaux
h entre eux
de lui-même mais décalée.
N
 En corrélant le code attendu #i avec ce qui est reçu

k 1
c k# i rk
La figure ci-dessous montre qu’en se calant sur les codes
désirés on démodule l’information présente et que l’utilisation
d’un
d un code incorrect, du fait de ll’orthogonalité,
orthogonalité, n
n’aboutit
aboutit à
Correlation Integration Symbole
rien.

1
Code Correc

Code Incorrect

Recepteur CDMA Code Incorrect

Code Incorrect

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Page 94 Pierre SWEID
Réception CDMA
Le mécanisme
é CDMA est donc un mécanisme
é fort simple comme l’illustre le visuel ci-dessous

Le prix à payer est un étalement de la bande de transmission.


En effet au niveau DATA un bit qui aurait théoriquement pu être transmis dans un canal de largeur
1/Tb
/ b devra, du fait de la transmission CDMA
DMA effectuée au moyen de chips de durée Tc, c, utiliser un
canal de largeur minimale 1/Tc. Le ratio (Tb/Tc) est appelé le facteur d’étalement (ou SF en
anglais pour spreading factor).
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 95 Pierre SWEID
Les équations du CDMA semblent simples ...
 Rapport signal à bruit affectant une réception
é CDM : RSB Le rapport signal à bruit est:
 Eb 
 
 Tb dans un canal de largeur B=1/Tb Putile T  R  E 
RSB    b    b   b 
 Tc
T dans
d un canall de
d largeur
l W 1/T
W=1/Tc Pbruit N 0W  W  N 0 

1 1 T
Rb  , W   W .Tb  b  SF
Tb TC TC
 E  1 
 RSB   b   
N
 0  SF 

4 Eb : brut  avant étalement


Tb : brut  avant étalement

1
2
3 5
 R   1   E b 
 Tb = N Tc  Rc= N.Rb avec N facteur d’étalement RSB   c   
 W  SF   N 0 
(noté souvent SF pour Spreading Factor)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 96 Pierre SWEID
Les équations du CDMA semblent simples ...
 Les équations précédentes faisant référence aux bits présents avant étalement.
étalement On peut exprimer
le RSB également par rapport aux bits utiles précédents un éventuel codage de transmission
présent dans la chaîne.

E butile R butile E butile


RSB  utile
 ( )( )
N 0 WT b W N0

Point de Fonctionnement qui garantit un niveau de perf


Gain de Processing > 0 donnée (BER : Bit Err.
Err Rate )

 Comme on a T b  SF .T c cela implique:


1 1 R
R b    c
T b SF .T c SF
En UMTS, Rc est choisi constant et égal à 3.84 Mchips/s

On a de plus SF = 2k  Rc 
Gain d’étalement : GP  10. log
   10. logSF 
R
 b
W  1 1 
GP  utile
 0 Tbutile  TC et W    TC  Tbutile  Rbutile  W 
Rb  TC W 

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Page 97 Pierre SWEID
Services & Eb/No
Eb/No
SF important
Désétalement de la
communication 1
Etalement de différentes communications
à différents débits dans la même bande.
Bande Wss=3.84 MHz = Rc Eb

N
No

Ec
Wb=Rb
• Une communication pour un certain service (voix par exemple)
exige un Eb/No minimum

• No est la conséquence des puissances d’émission des autres


communications (intra-cellulaire et inter-cellulaire).

SF faible • Si Eb augmente,
augmente No pour les autres communications augmente

• => contrôle de puissance précis et réactif, communication par


Spectre initial
communication.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 98 Pierre SWEID
Services & Eb/No
Eb/No

• Un Eb/No requis important induit un niveau de No


faible, donc un trafic global faible : La capacité diminue Eb

No

• Un Eb/No requis faible permet un niveau de No


important donc un trafic global important : La capacité augmente
Eb

• Une maîtrise performante du niveau de No dû au Eb


ttrafic
a c intra-cellulaire
t a ce u a e et inter-cellulaire
te ce u a e (pa(par
contrôle de puissance,..) optimise la capacité de
la cellule. No

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Page 99 Pierre SWEID
Notion de cell breathing
Si le trafic augmente
• Phénomène
hé è Uplink
li k
L’augmentation du trafic provoque une montée des interférences =
dimension des cellules variable

Eb Eb

Eb/No
Eb/N
suffisant Eb/No
insuffisant No
No

 Lors d’une montée en charge, le No augmente. Arrive un moment ou le mobile n’est plus capable
d’augmenter sa puissance pour maintenir le Eb/No min. Il y a réduction de la couverture de la
cellule (coupure).
 Dans les faits, l’ingénierie du réseau permet au mobile de passer en Soft Handover pour avoir
ainsi une continuité de service.
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 100 Pierre SWEID
Notion de cell breathing
• Phénomène Downlink Les interférences et le facteur d
d’orthogonalité
orthogonalité dépendent des multi-
multi
trajets au point de réception = dimension des cellules variable
cas urbain

compte
Eb

ar le réceptteur
gnaux ignorés

Eb Eb/No
ur

Eb/No

ux pris en c
du récepteu

insuffisant
suffisant

No

Signau
pa
d
Sig

Canaux orthogonaux (a = 0) Canaux non orthogonaux (a max =1)


(1 trajet) (multi-trajets)
 Dans un environnement mono trajet, tous les signaux émis par le Node B restent orthogonaux à la réception. Le mobile doit combattre
uniquement les interférences de type inter-
inter-cellulaire et le bruit thermique (KTB). Les signaux issus des différents utilisateurs de la cellule ne
sont donc pas perçus comme des interférences et sont ignorés du récepteur.
 Dans le cas d’un environnement multi
multi--trajets, cas urbain (figure de droite), il y a perte d’orthogonalité à la réception et donc prise en
p des signaux
compte g de type
yp intra-
intra-cellulaire comme des interférences.
 Lors d’une montée en charge, le No augmente.
augmente. Arrive un moment ou le RNC alloue à l’usager la puissance max autorisée par
communication DCH et n’est plus capable de maintenir le Eb/NoEb/No min nécessaire. Il y a réduction de la couverture de la cellule (coupure).
SHO possible
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Page 101 Pierre SWEID
L’accès multiple en UMTS : FDD et TDD
Canal i = [FMS(UL), FBTS(DL=UL+écart duplex)] (Bandes Appariées) : Mode FDD
OU

Canal i = [FMS(UL), FBTS(= FMS)] (Bandes non appariées) : Mode TDD

Canal i

Canal i

Canal i

Deux modes ont été retenu TDD et FDD mais c’est ce dernier qui sera le plus répandu.
Deux bandes de 60 Mhz autour des 2GHz pour des canaux UMTS de 5 Mhz de large
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 102 Pierre SWEID
L’émission DL est un composite de signaux mis en
forme au NodeB
 Un système CDMA est donc un système qui utilise des codes pour distinguer les utilisateurs ou des
canaux de natures différent entre eux
 Cette distinction peut se faire aussi bien pour les signaux émis dans le sens UL (Mobile vers BTS)
que pour ceux du sens DL (BTS vers Mobile).

 Schématiquement un système CDMA basique utilise les codes afin de :


 distinguer des mobiles différents pour le sens UL
 des canaux différents pour le sens DL. Ces canaux peuvent être communs (informations
systèmes canaux d’accès
systèmes, d accès, ...)) ou dédiés à une liaison particulière BTS-Mobile.
BTS Mobile

Dans le sens DL, tous les


canaux sont présents et
se distinguent entre eux
par un code spécifique.

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Page 103 Pierre SWEID
Séparation des utilisateurs par des codes
 En UMTS: 2 codes :
1. Cscramb: Scrambling Code (pour
distinguer :
 Les cellules dans le sens DOWNLINK
Channelization Scrambling  et les mobiles dans le sens UPLINK))
code code 2. Cch : Channelization Code (pour
distinguer :
 les communications entre elles)
DATA
Bit rate Chip rate Chip rate
Cscramb
Cscramb Cscramb
Cch Cch & Cch
Cellule 2
Cscramb
Cch
Cellule 1
Cellule 3

Cscramb
Cscramb
Cch
Cch
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Page 104 Pierre SWEID
Code de Scrambling et de Channelization
 Codes de Channelization (Orthogonal Variable Spreading Factor - OVSF)
 En DL et UL, un Cch alloué à chaque lien radio.
 Pour étaler (Spreading Factor SF) le débit des données au débit du système (Chip
R t ) : Notion
Rate) N ti ded Bande
B d Passante
P t
 Pour préserver l’orthogonalité entre les différents canaux physiques des utilisateurs.
 Les codes OVSF codes sont définis à partir d’un arbre.
 Où chaque niveau de l ’arbre définit un code de channelization de longueur SF.
 Un code peut être alloué si et seulement si aucun autre code sur le chemin entre le
code considéré et la racine de l’arbre
l arbre ou dans une branche sous le code considéré
n’est déjà utilisé par un autre utilisateur.
 Ce code est une ressource radio dimensionnante en UMTS

 Codes de Scrambling
 En DL, un Cscramb alloué par cellule.
 En UL, un Cscramb alloué par utilisateur.
 Pour réduire l’interférence entre les différents canaux physiques.
 Ce code est inhérent au système et n’a pas d’impact sur le
di
dimensionnement
i t dans
d un premier
i temps.
t

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Page 105 Pierre SWEID
Protocoles UTRAN & CN

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 106 Pierre SWEID
ACCESS STRATUM / NON ACCESS STRATUM

 Comme en GSM on va retrouver les mêmes notions protocolaires et l’on va d’un


coté trouver des couches p
protocolaires p
pour faire transiter le trafic et de
l’autres celles relatives à la signalisation.
 De ce coté on aura :
 CC : Call Control (cas circuit)
 SM : Session Management (cas paquet)
 MM : Mobility Management (circuit)
 GMM : GPRS Mobility Management (paquet)

 Au niveau protocolaire on a cherché en UMTS à conceptualiser les choses et


on a séparé en strates entre UTRAN et CN et au sein de ll’UTRAN
UTRAN on a
privilégié la découpe en plan

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 107 Pierre SWEID
Découpe en Strates-1-
 Le découpage en strates
consiste à modéliser le
réseau en 2 couches logiques
1 ll’ Access Stratum (AS)
1.
2. le Non Access Stratum
(NAS)

NAS

AS

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Page 108 Pierre SWEID
Découpe en Strates-2-
 Fonctions ?:
 Les fonctions de l’AS sont celles liées au réseau d’accès. On y trouvera les fonctions
relatives à la g
gestion des ressources radio ((en y incluant le handover),
) au
chiffrement.

 Les fonctions du NAS sont celles indépendantes du réseau d’accès. On y trouvera les
fonctions relatives à ll’établissement
établissement des appels (CC ou SM),
SM) à la mobilité (MM ou
GMM) et à la sécurité (authentification).

 On peut voir ce niveau comme celui regroupant l’ensemble des couches protocolaires
de rang supérieur à 4 du modèle OSI.
OSI

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Page 109 Pierre SWEID
Découpe en Strates-3-
 Remarques :
 Entre CN et UTRAN, des RAB (Radio Access Bearer) sont utilisés.
 Lorsque le NAS demande à l’AS d’établir un chemin de communication c’est de RAB
dont il s’agit.
 L
L’AS
AS gère physiquement le RAB et sait comment il se met en œuvre au sein de
l’UTRAN ( type de canal radio, protocoles, ...)
 alors que le NAS n’a qu’une vision tronquée de ce RAB. Il ne le connaît que par
l’intermédiaire de ces attributs négociés de QoS aussi bien pour la dimension
radio (Radio Bearer) ou Iu (Iu Bearer)

UE RAN CN

Radio Access Bearer


 Le RAB est établi conformément à la négociation
Radio Bearer Iu Bearer menée. Les attributs du RAB sont :
 Classe de service
 Débit maximal / ggaranti
RAB = RB + IuB  SDU: taille / taux d’erreur résiduel
 Délai de Transfert
 Priorité

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Page 110 Pierre SWEID
CN – UTRAN : On scinde en deux plans
 Plan de contrôle

A noter : Sur l’interface


Iur –i.e. face à un
autre RNC, le
protocole de control
utilisé
tili é estt lle RNSAP
(et non RANAP)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 111 Pierre SWEID
CN – UTRAN : On scinde en deux plans
C h protocolaires
Couches t l i - Explication
E li ti

RRC: Radio Ressource Control (Détail slide suivant)


 Broadcast / paging…
Uu
 Gestion des connexions /radio Bearer (Etablissement / maintenance / release)
 …
RLC: Radio Link Control
NBAP : NodeB Application protocol
 Gestion des canaux communs et des radio Link
 Configuration des cellules
 …
ALCAP : Access Link Control Application Protocol
 Etablissement / libération des ressources transport Iub
 …
CC / MM : Call Control / Mobility Management (gestion des appels circuits)
GMM / SM : GPRS Mobility Management / Session Management (gestion des appels paquets)
RANAP : Radio Access Network Application Protocol
 Gestion des Radio Access Bearer (Rab Setup /Maintenance / release)
 Gestion des connections Iu
 …
SCCP: Signaling Connection Control Part / MTP3
Iu
 Gestion des liens coté Iu

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 112 Pierre SWEID
CN – UTRAN : On scinde en deux plans
 Plan usager

 En ll’occurrence,
occurrence, les débits
au niveau RLC sont donc
supérieurs aux débits
applicatifs et inférieurs aux
déb radio:
débits d Ill ffaut
considérer les en‐têtes
relatives à chaque couche.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 113 Pierre SWEID
Comparatif GSM – UMTS: Signalisation du Domaine CS
 Entre CN et UTRAN on va retrouver la découpe PS et CS à laquelle on va associer la vocation du
protocole : Signalisation ou Trafic.
 En GSM la partie protocolaire n’existait que pour la signalisation alors qu’en GPRS même le trafic
y était soumis. En UMTS on va retrouver tout cela.
ISUP
MAP

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 114 Pierre SWEID
Comparatif GSM – UMTS: Trafic du Domaine CS
 Pour le trafic CS il y a désormais utilisation de couches protocolaires :

 Désormais transporté par des couches protocolaires:


- jusqu’au RNC (Iu UP)
- RLC (en mode transparent)
- MAC (suivant
i t le
l canall physique
h i h i i)
choisi

Codec AMR : Codec Adaptive Multi-Rate


Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 115 Pierre SWEID
Comparatif GPRS – UMTS: Signalisation du Domaine PS
 La signalisation pour le domaine paquet est relativement proche de ce que l’on a pour la
signalisation circuit.
 Coté CN, on retrouvera les fondement MAP pour les discussions entre SGSN et HLR ou
MSC/VLR alors
MSC/VLR, l qu’entre
’ t GSN il conviendra
i d de
d respecter
t lla pile
il de
d transfert
t f t b
basée
é sur les
l
principes de tunnelisation GTP. On a :

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 116 Pierre SWEID
Comparatif GPRS – UMTS: Trafic du Domaine PS
 On retrouve comme en GPRS la tunnelisation GTP non plus seulement entre SGSN et
GGSN mais aussi jusqu’à l’UTRAN.
 La couche PDCP est, du coté UTRAN :
 GTP-U est le pprotocole de tunnelisation p
pour la partie
p usager.
g
 GTP-C est le protocole de tunnelisation pour la signalisation et la partie contrôle.

RNS : Radio Network Subsystem

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 117 Pierre SWEID
Protocoles UTRAN
 Tout cela fait apparaître la notion de découpe en plan qui est primordiale au sein
de l’UTRAN. On distingue deux parties :
1. Plan usager (USER PLANE)
 Regroupe l’ensemble des données qui sont échangées entre le réseau
cœur et le mobile (non access stratum). L’UTRAN reste transparent à
ces données (voix, datagrammes IP, SMS, ..) et joue uniquement un rôle
de transport.

2 Plan
2. Pl d
de contrôle
t ôl (CONTROL PLANE)
 Ensemble de la signalisation échangée entre l’UTRAN et le terminal
(établissement / libération de ressource radio) mais également entre le
réseau cœur et le terminal (couches MM, CM, GMM et SM)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 118 Pierre SWEID
Protocoles UTRAN
 Le schéma ci-dessous précise la place de ces deux plans au sein du modèle
protocolaires de l’UTRAN.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 119 Pierre SWEID
Découpe Verticale et Horizontale
 Horizontaux
— Radio Network (couches
couches applicatives
applicatives)
— Transport Network (couches
couches de transport)
transport
 Verticaux
— Plan de Contrôle: signalisation UMTS spécifique incluant les protocoles relatifs

aux applications. Ces protocoles permettent l’ initialisation des paramètres radios


utiles à la communication.
— Plan Usager: information incluant tous les types de flux de données (voix,
(voix
images, …)
— Transport Network Control Plan: signalisation relative à la gestion interne des

canaux de transport usager. Il n’inclut pas la gestion radio. Permet


l’indépendance des 2 Plans précédents. Inclut l’ALCAP (Access Link Control
Application Part)
— Transport Network User Plan: gère les Data et Signaling Bearer

• Protocoles dépendent de ll’interface


interface (Iub, Iur Iu)
(Iub Iur,

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 120 Pierre SWEID
Protocoles Radio

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 121 Pierre SWEID
Piles Protocolaires entre UE et UTRAN
 Entre le MS et l’UTRAN on va retrouver une découpe un peu particulière, au niveau
protocolaire. Comme l’explicite le schéma ci-dessous on trouvera la découpe suivante
:

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 122 Pierre SWEID
Piles Protocolaires entre UE et UTRAN
 Ces diverses couches se trouvent coté mobile et coté UTRAN (NodeB et RNC)
RNC). On
distingue 3 niveaux distincts: :
1. Layer 1 :
 Représente la couche physique (PHY) de ll’interface
interface radio.
radio
 Ce niveau réalise notamment : le codage canal, l’entrelacement, la modulation,
l’adaptation de débit et le contrôle de puissance.
 Cette couche se trouve coté MS et coté NodeB et intervient aussi bien coté User
Plane que coté control Plane.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 123 Pierre SWEID
Piles Protocolaires entre UE et UTRAN
2. Layer 2
2
A. On y trouve intimement liées deux couches majeures :
 RLC « radio link control » permettant le transfert fiable de données de point à point
 MAC « medium access control » qui s’occupe du multiplexage de différents flux de données
iissus d’
d’un même
ê utilisateur
tili t ou de
d fl
flux de
d ddonnées
é iissus d’utilisateurs
d’ tili t diffé
différents
t sur un
canal de transport. Unique
 Ces deux couches sont les fondements des transferts affectant l’interface radio et
existent aussi bien coté User Plane que Coté Control Plane.
B. On trouve au niveau 2 mais coté User Plane cette fois les couches suivantes :
 PDCP « packet data convergence protocol » qui assure l’indépendance de l’UTRAN vis à vis
des protocoles de transport réseau (par ex IPv4 ® IPv6) et réalise également la
compression dd’en-tête.
en tête.
 BMC « broadcast/multicast control » qui s’occupe de la diffusion de message sur
l’interface radio- ex : service type SMS (GSM)
 On trouvera ces couches au niveau du mobile et du RNC.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 124 Pierre SWEID
Piles Protocolaires entre UE et UTRAN
3 Layer 3
3.
 Présente coté Control Plane,
 la couche RRC « Radio Ressource Control » s’occupe de gérer les ressources radio et
dispose également de fonctions de contrôle de l’ensemble des couches inférieures
(PHY, MAC, RLC ).
 Elle est analogue à la couche RR du GSM,
GSM mais couvre pour UTRAN aussi bien le
domaine circuit que le domaine paquet)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 125 Pierre SWEID
Canaux Radio: Logique / Transport / Physique
 Pour rationaliser les choses au niveau de l’interface radio on fait apparaître la
notion de canaux logiques de canaux de transport et de canaux physiques. Ces
trois classes de canaux sont liées aux couches PHY, MAC et RLC comme le
montre
t lle schéma
hé ci-dessous
i d

canaux logiques

canaux de transport
p

canaux physiques

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 126 Pierre SWEID
Des rôles distincts

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 127 Pierre SWEID
Des rôles distincts
 Ensemble,
Ens mbl cela
l donne
d nn à peu
p près
p ès cela
l

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 128 Pierre SWEID
1. Les Canaux Logiques
 Le niveau des canaux logique s’apparente au niveau défini dans le GSM. On
distingue
1

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 129 Pierre SWEID
2. Canaux de Transport
 Au niveau transport on aura sept types de canaux :

A B

1 5

Diffusion d’Information Système dans l’ensemble Canaux dédié s’apparentant au TCH du GSM
de la Cellule
Power control rapide (closed loop)

2
Messages d’
M d’alerte
l pour des
d mobiles
bil recherchés,
h hé diffdiffusés
é ddans
6
l’ensemble de la Cellule
Canal montant partagé par un ensemble de mobiles
3 S’apparente au RACH
Power control rapide pour la partie Data et lent pour la partie
Appel initial caractérisé par un power control lent (open Préambule.
loop)
Détection de collision
Canal avec collision

4 7
Canal descendant partagé par un ensemble de mobiles
Informations de contrôle (réponses aux RACH par exemple)
diffusées dans ll’ensemble
ensemble de la cellule.
cellule Power control rapide possible
Associé à un canal DCH

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 130 Pierre SWEID
Association Canaux Logiques  Canaux de Transport
 Réalisée
Ré lisé par
p la
l couche
h MAC
Canaux logiques

CCCH DCCH PCCH BCCH CCCH CTCH DCCH


DTCH DTCH

UL DL

RACH CPCH DCH PCH BCH FACH DSCH DCH


Canaux de transport

 On voit une certaine logique se dessiner :


 Canal logique
g q PCCH sur la dimension de transport
p PCH ((DL))
canaux logiques
l
 Canal logique BCCH sur la dimension de transport BCH (DL)
 Canal logique CCCH sur les dimensions de transport RACH (UL) et FACH
(DL)
 Canaux logiques DCCH et DTCH sur la dimension de transport DCH (UL
canaux de transport
& DL)
DL

 Mais une souplesse supplémentaire est permise :


 Canal logique BCCH sur la dimension de transport FACH (DL)
 Canaux logiques DCCH et DTCH sur les dimensions de transport
FACH (DL) et RACH (UL)

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Page 131 Pierre SWEID
Association Canaux Logiques  Canaux de Transport
 Paramétrisation
P mét is ti n poussée
p ssé dud f
format
m t des
d sddonnées
nné s à ttransporter
nsp t
 Concept qui permet d ’avoir du débit variable
• Pour
u chaque
qu Transport
p Channel,, un
u Transport
p Format
F m (TF)
( F) est choisi p
parmi
m
l’ensemble des TF possibles (TFCS: Transport Format Combination Set)
• un Transport Format est caractérisé par plusieurs paramètres:
• Schéma de codage de canal (code convolutif / turbo codes / pas de protection)
• Rendement du codage de canal (1/3 ou 1/2)
• Degré
g de détection d ’erreur ((longueur
g CRC:0,, 8,, 12,, 16 ou 24))
• Récurrence temporelle: TTI (Transmission Time Interval: 10, 20, 40 ou 80 ms)
• Taille du transport block par TTI
• Nombre de transport block par TTI
• Taux de poinçonnage et de répétition (RM attribute)
• Un indicateur (TFI) est associé à chacun des Transport Block afin de pouvoir
différencier le transport Channel qu'ils représente

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Page 132 Pierre SWEID
Association Canaux Logiques  Canaux de Transport
« Transport Format »
 Transport Format
On distinguera différente
partie pour qualifier un
format de transport.
• Une partie
partiellement
statique(dite
stat qu ( t ssemim
statique)
• et une autre
dynamique

 On parle alors de CCTrCh (Coded Composite Transport Channel) qui correspond à un canal
intermédiaire entre canaux de transport et canaux physiques et qui s’illustre selon le schéma
su vant
suivant

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Page 133 Pierre SWEID
Association Canaux Logiques  Canaux de Transport
« Transport Format »
 Dans la Fi
Figure
ure ci dessous
dessous, deux canaux de transport ss’appuient
appuient sur un seul canal
physique.
 A la réception, les blocs de transport sont restitués aux couches hautes ainsi que des
indications relatives à d’éventuelles erreurs pour chaque bloc.
 Les canaux de transport peuvent avoir un nombre de blocs différents et ils ne sont
pas nécessairement actifs à chaque instant.
instant

• TFCI : Transport Format Combination Indicator


• TTI : Transport Format Indicator

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Page 134 Pierre SWEID
Les Canaux Physiques UMTS-1-
UMTS 1

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Page 135 Pierre SWEID
Les Canaux Physiques UMTS-2-

 En UMTS on dispose d’un nombre limité de canaux physiques différents. Chacun possède
sa structure propre et sa vocation. Certains d’entre eux sont directement reliés à des canaux
de transport vus précédemment alors que d’autres non. On a la correspondance suivante :

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Page 136 Pierre SWEID
Les Canaux Physiques UMTS-3-
 Des canaux logiques aux canaux physiques Logique

Transport

Physique

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Page 137 Pierre SWEID
Quelques Couches Protocolaires

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 138 Pierre SWEID
Couche MAC-1-

 La couche MAC (Medium Access Control) assure principalement :


• le mapping des canaux logiques sur les canaux de transport
• le multiplexage des canaux logiques sur les canaux de transport.
• le changement du type de canal de transport associé à un canal logique
• l contrôle
le t ôl dud volume
l d trafic
de t fi ett remontéeté à la
l couche
h RRC
• la sélection de TFCI (Transport Format Combination Indicator). à chaque période TTI (Transport
Format Indicator)
• l’identification des mobiles lorsqu’ils
q utilisent les canaux de transport
p communs ((Identificateur UE-Id
placé dans l’en-tête MAC)

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Page 139 Pierre SWEID
Couche MAC-2-

UE-Id: U- RNTI ou C-RNTI


C/T: quel canal logique est transporté dans le MAC-SDU (numérotation
d 1 à 15 / un numéro
de é réservé)
é é)
TCTF: lorsque RACH/FACH (TrCh) utilisé permet de préciser si
BCCH/CCCH/CTCH/DTCH

CAS 1

CAS 2

CAS 3

CAS 4

Header MAC
 Les champ UE-Id et UE-Id type permettent
A chaque cas son entête MAC: d’identifier le mobile concerné.
• Cas 1  mode transparent  Le champ TCTF (Target Channel Type Field)
• Cas 2  multiplexage sur un canal de transport dédié permet de préciser explicitement le type de
canal logique (BCCH/CTCH/CCCH/DTCH et
• Cas 3 & 4  multiplexage sur un canal de transport commun non son numéro) lorsque le canal de transport
utilisé est de type RACH/FACH

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Page 140 Pierre SWEID
Couche RLC-3-

 Suivant le canal, le mode de transmission RLC est plus ou moins imposé

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Page 141 Pierre SWEID
Couche PDCP (Packet Data Convergence Protocol)

• Seulement coté USER PLANE coté domaine Paquet


• Adapte le paquet IP à l ’interface Radio
• équivalent
é i l à SNDCP
NDCP d
du GPRS
GPR
• Fonctions:
• Compression des Header TCP/IP (méthode RFC 2507 ou RFC3095 de l’IETF)

TCP/IP header

IP data

• Les services offerts par PDCP sont les RADIO BEARER

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Page 142 Pierre SWEID
Exemple de la préparation d’un bloc PS

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Page 143 Pierre SWEID
Résumons le tout
dge Mode)
nacknowled
ge Mode)
Modee non acquittté (UM : Un
Acknowledg
Modee acquitté (A

Il convient de noter la présence de Radio Bearer un peu particulier:


particulier les SRB pour Signalling
Radio Bearer.

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Page 144 Pierre SWEID
Couche RRC-1-

La couche RRC (Radio Ressource Control) gère la signalisation sur l’interface


radio et assure le transport des messages de la couche Non Access Stratum

Non Access Stratum

Access Stratum

Plan de Signalisation
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Page 145 Pierre SWEID
Couche RRC-2-
 C’est le cerveau de l’UTRAN
 Seulement coté CONTROL PLANE
1
1. Assure la signalisation de Contrôle entre l ’UTRAN
UTRAN et l ’UE
UE
 MM ou GMM : Mobility management
 CM ou SM: Connexion ou Session management
 La gestion de la ressource radio influant directement la configuration des ressources
spécifiques gérées par les couches protocolaires 1 et 2 (PHY, MAC, RLC, PDCP et
BMC)
•Fonctions:
 Broadcasting des Informations Système
 Paging
 Sélection de Cellules (initiale et mise à jour)
 Gestion
G i d des différents
diffé b
bearer (l i
(logique, transport et physique)
h i ) par lle management
associé (setup / release / ajout)
 Gestion des mesures UE / du Power Control (gestion centralisée)
 Gestion du lien RRC (la gestion de la connexion RRC établie à l’initiative du mobile)
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Page 146 Pierre SWEID
SRB : Signalling Radio Bearer
Les SRBs-1- RAB : Radio Access Bearer

 SRB et le modèle OSI :


L’établissement d’une connexion RRC = établissement de trois SBR

CTRL USER USER CTRL


DATA DATA
RRC Signaling
RRC L3
Radio Bearer

Radio Bearer

RLC RLC RLC RLC L2


Logical Channel

MAC MAC L2
Transport Channel

PHY PHY L1
Physical Channel

UE UTRAN (Node B – RNC)

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Page 147 Pierre SWEID
Les SRBs-2-
 La couche RRC qui est chargée de la signalisation met en valeur la nécessité
d’ajouter au RAB de trafic des RAB un peu particuliers : les SRB.
 Les SRB sont relatifs à la signalisation
g :
 signalisation échangée entre UE et CN (SRB3 et SRB4)
 mais aussi signalisation auto générées par la couche RRC (SRB1 et SRB2) permettant la
gestion de la connexion radio établie entre le UE et le RNC .
 La norme 3GPP prévoit la présence d’au plus 5 SRB

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Page 148 Pierre SWEID
Couche RRC : Gestion de la Connexion UE-UTRAN-1-

 En GSM les états du mobile sont assez simples.


 Soit le mobile est en mode IDLE
 soit il est en mode CONNECTE et bénéfice d’une
d une ressource radio pour passer une
communication.
 Suivant cet état, la gestion de sa mobilité est différente.

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Page 149 Pierre SWEID
Couche RRC : Gestion de la Connexion UE-UTRAN-2-
 Pour GPRS le diagramme des états diffère quelque peu. Le mobile peut être
 IDLE (non connu du monde GPRS),
 READY (un flux radio est ouvert et est susceptible a tout moment de transporter du trafic)
 ou STANDBY (aucun flux n’est
n est actif mais il peut etre rapidement ré ouvert)
ouvert).
 La gestion de la mobilité dépend de cet état..

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 150 Pierre SWEID
Couche RRC : Gestion de la Connexion UE-UTRAN-3-
 Pour UTRAN, la couche RRC va tenter d’associer ces deux modes opératoires.
 Que le service soit issu du domaine CS ou du domaine PS une seule connexion RRC sera
présente
pr nt ccoté
t UTRAN.
U N.
 Les états précédents existent implicitement au niveau du MS et du réseau pour les
applications circuits (monde GSM)
 S t gérés
Sont é é explicitement
li it t coté
té MS ett coté
té SGSN pour les
l applications
li ti issues
i du
d domaine
d i
paquet (GPRS).

 Avec UTRAN cette double gestion est réunifiée et centralisée au niveau du RNC
gérant la communication (sRNC).
 En ce sens pour les applications du domaine PS cela constitue une rupture majeure avec la
gestion
ti GPRS
GPRS...

Une seule connexion RRC quel


que soit le nombre et la nature
des services présents sur la
liaison.

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Page 151 Pierre SWEID
Couche RRC : Gestion de la Connexion UE-UTRAN-4-
DCH Dedicated channel
PCH Paging Channel
 Les états RRC sont décrits sur le schéma ci-dessous : FACH Forward Access Channel

Dans ce mode le mobile est


connu du réseau sous son
identité classique :
IMSI TMSI ou P
IMSI, P-TMSI
TMSI

 le mode IDLE correspondant au cas des mobiles non connectés. Le passage en mode
CONNECTE se fait toujours à l’initiative du mobile même si c’est le réseau qui recherche
un mobile particulier par les mécanismes de paging.
é à la zone de localisation près
 Dans le mode IDLE, les mobiles sont localisés è :
 Ils se doivent de procéder à une mise à jour de localisation lorsque leur sélection autonome de
cellule les amène à en choisir une d’une autre zone (LA UPDATE).
 Dee même
ê e dadans
s cet état l’on
o pou
pourra
a êt
être
eaamené
e éàp
procéder
océde à des mises
ses à jour
jou de zone
o e de routage
outage
(RA_UPDATE) correspondant comme en GPRS aux zones associées aux nœuds SGSN du Core
Network.
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 152 Pierre SWEID
DCH Dedicated channel
Couche RRC : Gestion de la Connexion UE-UTRAN-5- PCH Paging Channel
FACH Forward Access Channel

 Le passage
passa e en mode CONNECTE permet d d’être
être connu du réseau d’accès
d accès et d’obtenir
d obtenir
des ressources radios pour pouvoir envoyer signalisation ou trafic.
 Le passage du mode IDLE au mode CONNECTE se fait par signalisation explicite
du mobile (Establish_RRC_Connection)
 le retour en mode IDLE également
(Release RRC Connection)
(Release_RRC_Connection).
 On distingue 4 états en mode CONNECTE :

1. CELL DCH :
 Le mobile est localisé à la cellule près ;
 Des canaux de transport dédiés lui ont été attribués (UL et DL)
 Et sa mobilité est contrôlée par le réseau en fonction des mesures effectuées en
permanence par lui-même ou le réseau.
réseau
2. CELL PCH :
• Dans cet état aucune ressource dédiée n’est attribuée au mobile ainsi aucune donnée usager ne
peut être transmise ni p
p par le mobile ni ppar le réseau.
• Cet état est assez similaire au mode IDLE (écoute des canaux communs de BCH et PCH) à la
différence que le mobile doit signaler au réseau tout changement de cellule (procédure
CELL_UPDATE).
• Ces changements
g de cellules sont réalisés p
par le mobile de façon autonome en considérant comme en
mode IDLE des critères de réception radio.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 153 Pierre SWEID
DCH Dedicated channel
Couche RRC : Gestion de la Connexion UE-UTRAN-6- PCH Paging Channel
FACH Forward Access Channel
RACH : Random Access Channel
3 CELL FACH :
3.
• Cet état hybride entre CELL_DCH et CELL_PCH pour lequel aucun canal dédié n’est alloué au
mobile permet quand même via RACH et FACH un moyen de faire communiquer mobile et
réseau. Tout changement de cellule doit être signalé au réseau.

4. URA PCH :
• Ce mode s’apparente au cas CELL_PCH à la différence que le mobile se doit de renseigner le
réseau sur sa mobilité non plus à chaque nouvelle cellule mais à chaque changement de zone URA
(UTRAN Routing Area).
Area)
• Une zone URA est une subdivision supplémentaire à la hiérarchie (LA) et (RA). Elle est constituée
d’un nombre fini de cellules et son identité est diffusée sur les canaux communs des cellules
correspondantes. La procédure adéquate sera appelée procédure URA_UPDATE.

• La zone URA est une zone de cellules gérées uniquement au niveau RNC

URA pas forcément incluse dans [RA


qui est incluse dans LA]
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 154 Pierre SWEID
Couche RRC : Gestion de la Connexion UE-UTRAN-7-
 Les transitions entre les différents états sont en général
énéral ordonnées par le réseau en
fonction d’événements extérieurs. Par exemple :
1. Passage de CELL_DCH à CELL_FACH puis à CELL_PCH à l’expiration d’un timer d’inactivité
2. Paging, changement de cellule ou d’URA pour passer
 de CELL_PCH/CELL_URA à CELL_FACH
3. Attribution d’une ressource dédiée p
pour p
passer
 de CELL_FACH à CELL_DCH

Et t de
Etats d service
i RRC

DCH Dedicated channel


PCH Paging
P i Channel
Ch l
FACH Forward Access Channel
RACH : Random Access Channel

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 155 Pierre SWEID
Couche RRC : Gestion de la Connexion UE-UTRAN-7 bis-
 Détail états RRC
Au niveau du protocole RRC, il existe différents états de service:
 Mode veille (Idle Mode): Il n’y a alors pas de connexion RRC entre l’UE et l’UTRAN
 Mode connecté: CELL
CELL_DCH
DCH / CELL_FACH
CELL FACH / CELL
CELL_PCH
PCH / URA
URA_PCH
PCH
Les états connectés:
 CELL_DCH :
 Dans ce mode, des ressources radio dédiées sont
attribuées au mobile
 Un mobile qui transfère de la donnée se trouve dans cet état
Baisse du
Reprise du trafic
trafic pendant
une période
 CELL_FACH :
donnée  Aucune ressource radio dédiée n’est allouée.
 Les transferts
f d
de d
données
é se font
f d
donc
sur les canaux communs de transport (RACH / FACH)
 Etat adapté au transfert de données
de petite taille ainsi qu’à la signalisation
Critère d’activité UL ou DL
Inactivité  CELL_PCH / URA_PCH
totale  Etat de « repos »: pas de trafic uplink
pendant • Par contre la transition vers le DCH est plus rapide qu’à partir du mode idle
une • La batterie du mobile est économisée
période  Surveillance du PICH / PCH
donnée
 Non implémenté actuellement sur le réseau
 Le mobile passera en idle si aucune activité n’est détectée pendant 10 ou 30 min (dépendant des
paramètres conctructeur)
 Le mobile passera en idle si aucune activité n’est détectée pendant 10 ou 30 min (dépendant des
paramètres conctructeur)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 156 Pierre SWEID
Couche RRC : Gestion de la Connexion UE-UTRAN-8-
 Couche RRC: la Mobilité

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 157 Pierre SWEID
Couche RRC : Ouverture de Connexion-1-
 La connexion RRC est établie par le mobile selon le cheminement suivant :

DCH Dedicated channel


PCH Paging
P i Channel
Ch l
FACH Forward Access Channel
RACH : Random Access Channel

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 158 Pierre SWEID
Couche RRC : Ouverture de Connexion-2-

 Lors de cette ouverture diverses informations peuvent être échangées

DCH Dedicated channel


PCH Paging
P i Channel
Ch l Mode transparent (TM : Transparent Mode)
FACH Forward Access Channel Mode non acquitté (UM : Unacknowledge Mode)
RACH : Random Access Channel Mode acquitté (Acknowledge Mode)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 159 Pierre SWEID
Couche RRC : Ouverture de Connexion-3-

 Une fois que la connexion RRC est établie elle nous permet d’accéder à un
service d’envoi de message de signalisation vers le réseau. On distingue la
possibilité :
p
1. D’envoyer des messages sur CCCH en mode RLC-UM (SRB#0),
2. Ou bien des messages de signalisation UTRAN sur DCCH en mode RLC-AM
(SRB#1)
3. Ou encore des messages à destination de couches supérieures (CN) en mode
RLC-AM
RLC AM (SRB#2).
(SRB#2) Ce dernier mode est également appelé Direct_Transfer
Direct Transfer mode.
mode

 Cette connexion peut a tout moment être relâchée par le réseau d’accès
radio (procédure RRC Connection Release).

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 160 Pierre SWEID
Couche RRC : Les Identités du UE

 Au niveau UTRAN en plus des identités IMSI, TMSI, P-TMSI nous associerons au
mobile une identité RNTI (Radio Network Temporary Identity). On utilisera l’u-
RNTI (UTRAN RNTI) constitué
tit é d
des id
identifiants
tifi t suivants
i t :
 Radio Network Temporary Identifier (RNTI) utilisé comme UE Id sur:

 RACH/FACH, RACH+CPCH/FACH
 DSCH par MAC
PCH par RRC
 Quelques Identifiants:

 s-RNTI (Serving RNC RNTI): alloué par le s-RNC et unique par connexion
RRC (Modifié dès que la connexion RRC évolue) sur 20 bits
 sRNC Id: identifiant du sRNC courant sur 12 bits
 u-RNTI (UTRAN RNTI): sRNC Id + s-RNTI (sur 32 bits)

 On peut avoir aussi le c-RNTI (Cell RNTI sur 16 bits) géré au niveau cellule par le
RNC responsable physiquement de la cellule considérée et utilisé lors de l’utilisation
des canaux communs.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 161 Pierre SWEID
Couche RRC: Gestionnaire des Ressources

 La couche RRC s’occupe de la configuration des différents Radio Bearer et donc de


l’ensemble des ressources mobilisées dans les différentes couches de protocoles
i t
intermédiaires
édi i (RLC
(RLC, PDCP
PDCP, canaux de
d transport,
t t canaux physiques).
h i )
 Cette configuration de ressources est toujours à l’initiative du réseau et est
constituée
const tuée de différentes
d fférentes procédures :

 C’est RRC qui par cette multiple configuration, s’assure de la cohérence de la protection des flux
 échangés entre UE et CN (via RNC)

Un RADIO BEARER est constitué de l’ensemble des moyens mis en œuvre pour faire
communiquer UE & UTRAN. Toutes les dimensions sont présentes (RLC, PDCP, BMC, MAC et
PHY).
A un RADIO BEARER ne correspond pas forcement un canal radio dédié (la partie radio peut
être obtenue via l’utilisation d’une ressource partagée)
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 162 Pierre SWEID
Couche RRC: RB Setup

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 163 Pierre SWEID
Replaçons toutes ces couches dans leur contexte

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 164 Pierre SWEID
Procédures Réseaux

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 165 Pierre SWEID
Quelques Procédures

 Mobilité: GMM et MM  Mais aussi: ISUP, MAP et GTP


coté CN
 Appels: SM et CM
 Sécurité
coté UTRAN

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 166 Pierre SWEID
Le RAB: Radio Access Bearer

L base
La b d communication
de i i entre UTRAN et CN.
CN Il est doté
d é d’une
d’ di
dimension
i IuI
mais aussi d’une dimension Radio

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 167 Pierre SWEID
Procédures UMTS: ca ressemble au GSM/GPRS

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 168 Pierre SWEID
Attachement au Réseau-1-

L’inscription initiale n’est qu’une mise à jour de


localisation particulière. IMSI_Attach avec
LA_Update ou GPRS_Attach avec RA_Update

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 169 Pierre SWEID
Attachement au Réseau-2-

Après une phase de sécurité l’on procède à la mise à jour de localisation coté CN.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 170 Pierre SWEID
Attachement au Réseau-3-
Comme en GSM on va veiller à cacher l’identité absolue IMSI de l’abonné. On utilisera de
manière préférentielle les identités temporaires suivantes :
- TMSI (domaine
(d i CS)
- P-TMSI (domaine PS)
es identités
Ces dent tés attr
attribuées
buées par le MS
MSC/VLR
/VLR (doma
(domaine
ne CS)
S) ou le SGSN (doma
(domaine
ne PS)
S) do
doivent
vent
être associées à la zone LA ou RA dans laquelle elles ont été attribuées pour rendre
l’identité indirecte non ambiguë.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 171 Pierre SWEID
Attachement au Réseau-4-

Une fois auprès du bon domaine (PS ou CS) la


connexion RRC peut être relâchée.

 On peut remarquer que la procédure c’est faite en mode CELL_FACH ou seuls les canaux
communs FACH (DL) et RACH (UL) sont permis.
 La norme n’impose pas cela. C’est un choix opérateur.
é Il aurait pu être
ê possible de passer en mode
CELL_DCH (canal dédié UL&DL DPDCH/DPCCH) pour cette procédure.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 172 Pierre SWEID
Détachement du Réseau
 Le détachement du réseau est également un cas particulier des procédure de mise à
jour de localisation.
 En mode CS, c’est un IMSI_Detach associé à la procédure LA_UPDATE alors qu’en
PS c’est un GPRS_Detach qui est utilisé avec le RA_UPDATE.

 Ce détachement est optionnel.

 L’inscription et la désinscription auprès des deux domaines peut se faire de manière


combinée.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 173 Pierre SWEID
Mise à Jour de Localisation-1-

 C’est toujours en mode IDLE et donc après une ouverture de connexion RRC que la
requête de mise à jour est envoyée au MSC/VLR (domaine PS- LA_UPDATE) ou au
SGSN (domaine PS – RA_UPDATE)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 174 Pierre SWEID
Mise à Jour de Localisation-2-

 Après la phase sécuritaire on procède comme en GSM à


la mise à jour des bases de données VLR et HLR.
 On clôt la procédure par une attribution d’une nouvelle
identité temporaire

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 175 Pierre SWEID
Mise à Jour de Localisation-3-

 Pour le monde PS c’est similaire: RA_UPDATE remplace LA_UPDATE


 Bien sur les mises à jour LA et RA peuvent être combinée [Cas d’un changement de
cellule qui fait à la fois changer de zone LA et de zone RA]

 Comme en GSM on va tenter de cacher l’identité absolue IMSI de l’abonné.


 Pour cela on distribue à chaque nouvelle requête du mobile une identité temporaire
TMSI pour le domaine CS ou P-TMSI pour le domaine PS.
 L’identité
L’id tité relative
l ti devient
d i t non ambiguë
bi ë lorsqu’elle
l ’ ll estt couplée
lé à l’identifiant
l’id tifi t ded la
l zone
(LAi ou RAi) dans laquelle elle a été attribuée.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 176 Pierre SWEID
Les cas d’appels

UE

 Appels CS: NodeB

 du UE au MSC
RNC
 Appels PS:
 du UE au SGSN

 Appels mixtes:
• le RNC aiguille vers le bon domaine

MSC/VLR SGSN

CS PS

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 177 Pierre SWEID
Les appels CS

Comme le GSM:
• DSS1 entre UE et MSC
• ISUP entre MSC

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 178 Pierre SWEID
Procédure d’appel CS Sortants-1-

On décide (choix réseau) de rester en


mode CELL_DCH).
CELL DCH).

Aussi un canal radio supportant


uniquement la signalisation initiale est
ou rt.
ouvert.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 179 Pierre SWEID
Procédure d’appel CS Sortants-2-

Suivi de la phase de sécurité, la requête DSS1 aboutit au MSC

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 180 Pierre SWEID
Procédure d’appel CS Sortants-3-

Un RAB (Radio Access Bearer) est


explicitement demandé par le MSC.

Le RL déjà présent (puisqu’en mode CELL


DCH) est reconfiguré.
reconfiguré

Le DSS1 se poursuit

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 181 Pierre SWEID
Procédure d’appel CS Sortants-4-

En parallèle du DSS1 se joue ll’ ISUP au niveau du MSC

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 182 Pierre SWEID
Procédure d’appel CS Sortants-5-

On aurait pu choisir de passer en mode CELL_FACH.


CELL FACH Alors seuls FACH (DL) et RACH (UL) sont
utilisés.

C’est un choix opérateur/constructeur.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 183 Pierre SWEID
Procédure d’appel CS Sortants-6-

Le RAB initialisé par le MSC déclenche


l’apparition d’un Radio Link et de ce fait
le passage en mode CELL
ELL_DDCHH

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 184 Pierre SWEID
Fin à l’initiative du UE

On se déconnecte au niveau DSS1 (messages


couches CC) puis l’on supprime la connexion Iu
qui entraîne en cascade la chute de la connexion
RRC,, des Radio
ad o L
Link,
nk, des connex
connexions
ons AAL2L et
SCCP.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 185 Pierre SWEID
Fin à l’initiative du Réseau

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 186 Pierre SWEID
Appels PS

On gère des sessions. On les appelle des


contextes PdP (Packet Data Protocol)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 187 Pierre SWEID
Activation d’un Contexte PDP primaire par l’UE

5. SM Activate PDP Context


A
Acceptt
(PDP Type = IPv4,
PDP address = 192.23.24.25,
QoS negotiated,
APN = mms.orange.fr)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 188 Pierre SWEID
Réactivation du RAB (Radio Access Bearer) pour
l’émission de paquets

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 189 Pierre SWEID
Réactivation du RAB (Radio Access Bearer) pour la
réception de paquets

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 190 Pierre SWEID
Appels PS: ouverture d’un contexte PdP

Le relâchement d’un contexte PdP se fait à l’initiative du UE ou du SGSN par envoi de la requête
DEACTIVATE_PdP_CONTEXT

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 191 Pierre SWEID
« services »

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 192 Pierre SWEID
Une 3G pour de nouveaux services

Une 3G pour de nouveaux services

Pour le Business:
- Télé Conférence
- Transfert de Fichiers
- Services Internet / Intranet 30 min
delay

Pour la Grande Mobilité:


-Services de Navigation Intelligents
- Services d’Urgences alternative:
A2
- Pages Jaunes Intelligentes

Pour la Vie Quotidienne:


- Vidéo et Musique à la demande
- Jeux interactifs
- Vidéo Téléphonie
- École virtuelle et interactive

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 193 Pierre SWEID
Une 3G en gardant l’existant
En gardant ll’ancien
ancien
Les services support:
- débits GSM: 1200, 2400, 4800, 9600 et 14400 bit/s)
- accès synchrone / asynchrone
- mode transparent / non transparent
Les téléservices:
éé
- téléphonie classique
- appell d’urgence
d’
- services de messages courts
Les services supplémentaires:
- identification appelant / appelé
- renvois d
d’appels
appels

- double appel
UMTS doit au minimum être capable d’assurer
d assurer les services support,
support les télé
services et les services supplémentaires du GSM

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 194 Pierre SWEID
3G – classification des services
 En 3G on classifie les services

• Conversationnel (Voice over IP,


IP Video téléphonie)
— L’important c’est le délai.

• Streaming (e.g. Audio and vidéo à la demande )


— Encore le délai

• Interactif (e.g. Web)


— Délai court pour des temps de réponse acceptable
— Faible taux d
d’erreur
erreur

• Background (email, FTP, SMS)


— Transferts transparents

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 195 Pierre SWEID
3G – attributs des services
 Et on
n distingue
di tin diffé
différents
nt attributs
tt ib t

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 196 Pierre SWEID
3G – classes de trafic
 P
Paramétrages
mét d
des classes
l de
d trafic
t fi

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 197 Pierre SWEID
Service conversationnel
 CONVERSATIONNEL

PHONIE
VISIOPHONIE

Symétrie des Débits

Délai de Transfert < 200 ms

Variation des Délais limitée (< 1ms)

Tolérance aux Erreurs

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 198 Pierre SWEID
Service streaming
 STREAMING
Serveur

STREAMING

Asymétrie des Débits (fort en DL et faible en UL)

Délai de Transfert < 10 s

Variation des Délais limitée (< 1ms)

Tolérance aux Erreurs

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 199 Pierre SWEID
Service interactif
 INTERACTIF

REPONSE

COMMANDE

Asymétrie des Débits (fort en DL et faible en UL)

Délai de Transfert entre 1 et 4s

Variation des Délais tolérable (~ 1s)

Intolérance aux Erreurs

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 200 Pierre SWEID
Services Background
 BACKGROUND
Serveur

DATA

DATA

Asymétrie
As métri d dess Débits (unidirectionnel
(unidir cti nn l llors
rs du tr
transfert
nsf rt –
mais pas un sens n’est privilégié)

Délai de Transfert non dimensionnant (> 10s)

Variation des Délais non dimensionnant

Intolérance aux Erreurs

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 201 Pierre SWEID
Services 3G - exemple
 Ex mpl de
Exemple d se que ll’on
n pourra
p voir:
i :

Error Conversational Streamingg audio


Voice messaging Fax
tolerant voice and video and video

E-commerce, E-mail arrival


Error Telnet, WWW browsing, FTP, still image, notification
intolerant interactive games paging

Conversational Interactive Streaming Background


(delay <<1 sec) (delay approx.1
approx 1 sec) (delay <10 sec) (delay >10 sec)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 202 Pierre SWEID
Pour la phonie
 P
Pour la
l phonie,
ph ni on
n reprend
p nd ce quii existe
xi t

«Bla Bla Bla...»

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 203 Pierre SWEID
Pour la phonie
 L’AMR ddu GSM s’adapte
’ d t aux conditions
diti radio.
di L’interface
L’i t f radio
di du
d GSM estt
pensée dans ce sens

En UMTS, l’adaptation est possible mais sera gérée au niveau du réseau cœur.
Dans un premier temps les codeurs AMR sont utilisés de manière individuelle.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 204 Pierre SWEID
La 3G Box
 Autre voie: la 3G box

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 205 Pierre SWEID
Les femtocells-1-

 Un des problèmes soulevé par ces femtocells est leur inclusion dans le réseau 3G
officiel de l’opérateur. On se pose le problème de:
• la maitrise de l’ingénierie radio globale (interférences générées)
• l’inclusion des cellules femtocells dans le voisinage des cellules de l’opérateur

 Des solutions sont proposées pour réguler les interférences générées:


• Plan de fréquence spécifique au réseau de femto (isolation par rapport au réseau
public 3G)
• Même
Mê plan
l ded fréquence
fé avec des
d codes
d ded scrambling
bli spécifiques
é ifi aux femtos
f t
• Un femto écoute son voisinage (c’est un MS) et ajuste sa puissance (c’est une BS)
en fonction des rapports de mesures

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 206 Pierre SWEID
Les femtocells-2-
 Une femtocell qui est incluse dans le plan de fréquence d’un opérateur se doit d’être
intégré au réseau macro de cet opérateur. On peut:
• associer une identité de PLMN spécifique au réseau de femto
• une zone de localisation spécifique à chaque femto ou à un groupe de femto
• la même zone de localisation que celle utilisée dans le voisinage du réseau macro
dans lequel la femto se trouve (nécessité de récupérer la zone de localisation vue
par la femto)
 L
Less cas
c s de
d mobilité
m bilité seront
s nt alors
l s résolus
és lus soit
s it par
p des
d s mécanismes
méc nism s de
d roaming,
min ded mise
mis à
jour de localisation ou de handover.

 L’accès à la femto doit être contrôlé. Si celui qui possède la femto à un accès libre,
comment gérer les autres ?
• aucun accès possible (pas de resélection/pas de trafic): échec en cas de LA/RA
p
update, , roamingg et cellule non p
proposée
p par
p le réseau dans le panel
p des mesures à
effectuer pour le handover
• juste le droit de resélection mais pas de trafic (en cas d’arrivée de trafic on redirigera
vers le réseau macro).
• accès possible avec une limitation sur les services (services d’urgence par exemple)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 207 Pierre SWEID
Les femtocells-3-

 Une femtocell se doit d’être contrôlée par l’opérateur:

 sa localisation physique doit être maitrisée:


• afin pour empêcher son utilisation dans des zones ou l’usage de fréquence 3G
serait interdit
• pour l’intégrer dans sa planification radio et réseau
 GPS, Mesures de voisinage 3G de la femto, Triangulation sur ces mesures

 sa connectivité au CN 3G se doit d’être vérifiée pour empêcher l’apparition de


fausses femtocells frauduleusement connectées au réseau

 Authentification entre femtocell et CN

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 208 Pierre SWEID
Push to Talk
 C’est une application PS temps réel.
 L’émetteur envoie son flux vers un serveur Push-To-Talk qui rediffuse vers les
potentiels destinataires.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 209 Pierre SWEID
Annexes

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 210 Pierre SWEID
Annexe 01 – Le Spectre 3G

Retour page 8

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 211 Pierre SWEID
Annexe 02 – canaux HSDPA
 Canaux
C HSDPA
 Le HSDPA introduit le canal de transport HS-DSCH (High Speed Downlink Shared Channel) comme
une évolution du canal DSCH de l'UMTS. Ce canal doit coexister avec les canaux déjà présents dans la
Release 99 et dans la Release 4 des spécifications techniques du 3GPP . Le HS-DSCH
HS DSCH est un canal haut
débit dont le rôle est de convoyer l'information du noeud B vers l'UE tout en garantissant la qualité de
service requise. Pour transporter les données jusqu'au mobile, il fait recours à un ou plusieurs canaux
physiques
p y q HS-PDSCH [[7,8]. ] Ces canaux sont transmis en utilisant le principe
p p de transmission
multicodes. Les canaux HS-PDSCH sont envoyés sur l'interface radio sous forme de trame .
 Dans le but de résumer ces caractéristiques, nous avons dressé un tableau comparatif 3.2 qui montre les
ressources associées aux canaux DCH, DSCH et HS-DSCH du lien descendant. Concernant le codage sur
le canal HS
HS-DSCH,
DSCH nous pouvons l'illustrer
l illustrer à travers un exemple avec 2 utilisateurs actifs qui utilisent le
même canal partagé HS-DSCH tel qu'illustré à la Figure 2.5. Tous deux vérifient l'information de
contrôle à partir des canaux HS-SCCH afin de déterminer les codes HS-DSCH à détaler

Canall
C HS-DSCH
HS DSCH DSCH Downlink
D li k DCH
Spécification Release R99 R99
Facteur d`etalement fixe 16 variable ( 256-4) Fixe (512-4)
M d l ti
Modulation QPSK/16 QAM
QPSK/16-QAM QPSK QPSK
Controle de Rapide base sur le DCH
puissance Puissance constante associe Rapide
Schéma de Codage Codage Turbo et Codage Turbo et
canal Codage turbo convolutionel convolutionnel

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 212 Pierre SWEID
Annexe 03 – releases UMTS-1-
1. Release 3: Introduit le réseau d’accès 3G ou UMTS appelé UTRAN (UMTS
Terrestrial Radio Access Network) constitué de NodeBs et de RNCs.
 La technologie que supporte UTRAN ss’appelle
appelle W-CDMA
W CDMA qui permet dd’offre
offre des
services circuit tels que la téléphonie et la visiophonie ainsi que des services de
données avec un débit maximum de 384 kbit/s dans les sens montant et descendant.

 Dans le cœur de réseau il s’agit de mettre à jour les MSC 2G afin qu’ils deviennent
des MSC 3G et les SGSN 2G afin qu’ils supportent l’accès 3G.

2. Release 4: Permet d’introduire le concept NGN mobile dans le domaine circuit. Avec
le passage à la 3G, il est difficile de faire évoluer les MSC 2G afin qu’ils s’interconnectent
avec l’accès UTRAN.
 Les opérateurs préfèrent remplacer les MSC 2G par une architecture NGN Mobile
((R4)) qu
qui supporte
suppo te les
es accès 2G
G ainsi
a s que les
es accès 3G.

 Avec le NGN mobile le transport de la voix dans le domaine circuit se fait sur IP met
uniquement
q dans le cœur de réseau.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 213 Pierre SWEID
Annexe 03 – releases UMTS-2-
3 Release
3. R l 5:
5 Introduit
I t d it la
l technologie
t h l i HSDPA à l ’accès
’ è par une mise
i à jour
j logicielle
l i i ll des
d
Node B et RNC.
 Le débit descendant devient égal à 14,4 Mbit/s alors que le débit montant reste
inchangé par rapport à WCDMA.

 Les réseaux 3G déployés actuellement son principalement basés sur cette Release.
Release

 L ’architecture IMS Phase 1 est aussi définie pour des services non temps -réels (e.g.,
présence, messagerie, etc) et pour un accès 3G.

4 Release
4. R l 6:
6 Introduit
I t d it la
l technologie
t h l i HSUPA à l ’accès
’ è par une mise
i à jour
j logicielle
l i i ll des
d
Node B et RNC.
 Le débit montant
t t devient
d i t égal
é l à 5,75
5 75 Mbit/s.
Mbit/

 L ’architecture IMS Phase 2 est aussi définie pour des services non temps-réels (e.g.,
présence messagerie
présence, messagerie, etc) et temps réel (e.g.,
(e g téléphonie) pour un accès 3G..
3G

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 214 Pierre SWEID
Annexe 03 – releases UMTS-3-
5. Release 7: Les technologie HSPA+ (2 x HSPA ou 3 x HSPA) et EDGE+ (2 x EDGE)
sont proposées.
 L ’architecture IMS Phase 3 est aussi définie pour des services non temps -réels (e.g.,
présence, messagerie, etc) et temps réel (e.g., téléphonie) pour tout type d ’accès large
bande.
 Il s ’agit de Common IMS.

6. Release 8: Introduit les technologies pré-4G appelées OFDMA (100 Mbit/s dans le
sens descendant) et SC-FDMA (50 Mbit/s dans le sens montant) pour 20 MHz de
ffréquence.
é
 Le nouveau réseau d ’accès pré-4G est appelé LTE.
 La Release 8 définit par ailleurs un nouveau réseau cœur paquet pré-4G appelé ePC
(Evolved Packet Core).
 La Release 8 finalise aussi les spécifications concernant Common IMS initiées dans la
Release 7

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 215 Pierre SWEID
Annexe 03 – releases UMTS-4-
7. Release 10 introduit la LTE-Advanced. Elle permet 3 Gbit/s dans le sen descendant et
1,5 Gbit/s dans le sens montant avec 100 Mhz de fréquence.

retour

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 216 Pierre SWEID
Annexe 04 – technologie HSDPA -01-
 Le HSDPA a pour but d'améliorer les débits de manière importante entre le
Node B et le terminal, c'est-adire dans le sens descendant.
 Pour cela, le canal de transmission s'enrichit d'un nouveau canal de transport appelé
HS-DSCH (High-Speed Downlink Shared Channel). Ce canal introduit de nouvelles
fonctionnalités par rapport a ll'architecture
architecture UMTS.
UMTS

 Pour supporter celles-ci, et avec le minimum d'impact au niveau de l'architecture radio


et protocolaire déjà en place, une sous-couche MAC, dite MAC-hs, a été ajoutée.
 Il est alors tout a fait possible de faire cohabiter sur le même Node B l'UMTS et le
HSDPA.
 La sous-couche
sous couche MAC-hs
MAC hs offre une séparation fonctionnelle entre les couches et les nœuds
de l'UMTS.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 217 Pierre SWEID
Annexe 04 – technologie HSDPA – 02-
 Le concept HSDPA est base sur six évolutions majeures:
 Le canal de transmission partage,
 Une
U modulation
d l ti plus
l efficace,
ffi
 La réduction des intervalles de temps,
 L
L'adaptation
adaptation rapide du lien radio,
radio
 L'affectation rapide des canaux radio,
 Un nouveau mécanisme de retransmission des paquets de données

retour
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 218 Pierre SWEID
Annexe 05 – rappel : architecture NSS du système 2G-
( t
(retour)
)

AuC EIR PSTN

BSC

MSC
BSC

VLR HLR

• NSS : Network and Switching Sub-system


• VLR : Visitor Location Register MSC
• HLR : Home Location Register
• MSC (Mobile Switching Center).
• PSTN ("Public Switched Telephone Network") ou Réseau Téléphonique Public Commuté (PSTN)
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 219 Pierre SWEID
Annexe 06 – Architecture d'un réseau GSM-GPRS-UMTS.

retour

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 220 Pierre SWEID
Les codes: en résumé ...

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 221 Pierre SWEID
Étalement de spectre : principe et avantages

GSM

270 Kbit 200 KHz

W-CDMA
Processing
Gain

X Code (OVSF)

3.840 Mcps 5 MHz

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page Pierre SWEID
06/02/2014
Pierre SWEID

223 Passer à la
première page
Exemple Étalement OVSF – émission
Etalement OVSF : Signal Emis

Utilisateur 1 1 -1

x Code
C d Cch1 (SF=16)
(SF 16)

Utilisateur 2 1 -1 1 1 -1 1

x Code Cch2 (SF=4)

Signal Emis
(Chip Rate fixe)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 224 Pierre SWEID
Exemple Étalement OVSF – réception
Etalement OVSF : Extraction des données (Réception)

Signal reçu

x Code Cch2 (SF=4)

2 2 0 0 -2 -2 0 0 2 2 0 0 0 0 2 2 -2 -2 0 0 2 2 0 0
Soft Bits + + + +
=4 = -4 =4 =4 = -4 =4

U ili
Utilisateur 2 «1» «0» «1» «1» «0» «1»

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 225 Pierre SWEID
Arbre des OVSF
« Services » ‘ 384 ’ ‘ 128 ’ ‘ 64 ’ AMR 12.2

(1,1,1,1)

(1,1)
Inutilisable
(1,1,-1,-1)

((1))
(1,-1,1,-1)
Inutilisable

(1,-1)
(1 1 1 1)
(1,-1,-1,1)
Pas de Spreading Factor Inutilisable

SF = 1 SF = 2 SF = 4 SF = 8 SF = 16 SF = 32 SF = 64 SF = 128

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 226 Pierre SWEID
La couche radio
Node B
Attributs L1
des Bearer RNC
d’Accès L3/L2
Classes de Trafic
CRC Jusqu’àà 6 longueurs
Jusqu
Conversational
FDD Code Conventionnelle 1/2
Streaming DCH Codage Canal Code Conventionnelle 1/3
BER
Service ou Turbo code 1/3
ou
Interactive DSCH
Poinçonnage
Delay Adaptation du débit
TDD Répétition
Background
Inter Trame
Correspondance Entrelacement (TTI=10, 20, 40, 80 ms)
avec les canaux Contrôle du BER Intra Trame
physiques
Boucle fermée
Power Control Boucle ouverte

En ironnements
Environnements

Bilan de Dense
Eb/No Urban
Urban Suburban Rural
Liaison

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 227 Pierre SWEID
Les Canaux Physiques UMTS

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 228 Pierre SWEID
Les Canaux Physiques UMTS-4-
 Sans oublier également les canaux physiques partagés

Transport

DSCH CPCH

Ph siq e
Physique

PDSCH DL PCPCH UL

CA/CD-ICH DL CSICH DL

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 229 Pierre SWEID
Généralités
 Structure de trames, de slot : La transmission des différents canaux est structurée et l’on a
également les notions de trames et de slot

Slot de 2560 chips (666.67 s) dont


la structure dépend du type de canal
considéré

Slot #0 Slot #1 Slot #i Slot #14

Trame Radio = 15 slots = 10 ms

Trame #0 Trame #1 Trame #i Trame


#4095 ou #255

radio.
di

 Le temps système (SFN : System Frame Number) est modulo 4096 Mais l’émission reste continue
 Le temps associé aux communications est modulo 256

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 230 Pierre SWEID
Les canaux dédiés UL : DPCDH & DPCCH s-1-
 Sur le canal dédié UL, on multiplexe deux canaux physiques distincts :
1. Le DPDCH (Dedicated Physical Data Channel) qui va transporter les flux d’information ou de
signalisation préparés par les couches supérieures
2. le DPCCH (Dedicated Physical Control Channel) qui va aider le niveau physique (PHY) dans la
gestion du transfert des datas

PILOT: Détermination de la Réponse


Impulsionnelle du Canal de
Propagation
TPC: Commande de Puissance pour
demander une augmentation ou une
diminution de la puissance du
NodeB pour le lien dédié retour
(DL).
TFCI: Pour déterminer le multiplex des
canaux de transport porté par le
DPDCH et en déduire les schémas
de protections utilisés et aussi le SF
choisi pour
po r la voie
oie DPDCH.
DPDCH
FBI: Information donnée par le mobile au
NodeB pour optimiser la
transmission DL en cas de mode de
diversité de transmission (TxDIV)
au NodeB.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 231 Pierre SWEID
Les canaux dédiés UL : DPCDH & DPCCH s-2-
 Canal Dédié UL: Modulation

e (t )  si (t ) cos( 2 ft )  s q (t ) sin( 2 ft )
 a (t ) cos( 2 ft   (t ))

Deux voies
D i par construction
i
orthogonales qui peuvent
utiliser les mêmes codes

Poids de puissances relatifs aux parties


contrôle et data (pas de 1/15) Filtre classique RRC
(Racine de Cosinus
Surélevé)
1 code pour chaque voie
(SF libre
lib pour DPDCH / SF =
256 pour DPCCH)

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 232 Pierre SWEID
Les canaux dédiés UL : DPCDH & DPCCH s-3-
 Canal Dédié UL: les débits
 Le débit Rdata correspond au flux des bits présentés à l’étalement. Il convient d’appliquer le
rendement associé à la protection choisie pour en déduire le débit utile Rutile

 C
Ces débit
débits correspondent
d t au fl
flux bbrutt ttransportés
té sur la
l voie
i radio.
di LeL débit réellement
é ll t utile
til estt celui
l i
qui est présenté en amont et qui se voit ajouter divers niveau de protection (CRC + Code
Convolutif/Turbo Code). Pour une protection moyenne de rendement ½. On aurait alors :

 Au mieux avec un unique canal DPDCH on peut envisager un débit utile de 480 kbits/s

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 233 Pierre SWEID
Les canaux dédiés UL : DPCDH & DPCCH s-4-
 Canal Dédié UL: pour atteindre les 2 Mbits/s
Le Multicode est autorisé uniquement pour les SF = 4

6*960 = 5760 Kbits/s

Les codes de rang SF = 4 sont


identiques sur les voies I et Q

On peut décemment envisager un débit utile de 2 Mbits/s.


Dans ce cas le rendement de p
protection serait r ~ 0.35 ((1/2.88))
Date : 06/02/2014 Passer à la première page
Page 234 Pierre SWEID
Les canaux dédiés DL : DPCDH & DPCCH s-5-

 Pour le sens descendant on va retrouver une structure en DPDCH et DPCCH mais


organisée d’une façon différente. On a :
PILOT: Détermination de la
Réponse Impulsionnelle
du Canal de
Propagation
TPC: Commande de
Puissance pour
demander une
augmentation ou une
diminution de la
puissance du Mobile
pour le lien dédié retour
(UL).
TFCI: Pour déterminer le
multiplex des canaux de
transport porté par le
DPDCH et en déduire
les schémas de
protections utilisés.

Date : 06/02/2014 Passer à la première page


Page 235 Pierre SWEID
Les canaux dédiés DL : DPCDH & DPCCH s-6-
 Les
L débits
débit
Format de Débit SF Bits/ DPDCH DPCCH Data
Slot Canal Slot Bits/Slot Bits/Slot (Ndata1 + Ndata2)
(kbps)
NData1 NData2 NTPC NTFCI NPilot Bits/slots Débit (kbps)

0 15 512 10 0 4 2 0 4 4 6
1 15 512 10 0 2 2 2 4 2 3
2 30 256 20 2 14 2 0 2 16 24
3 30 256 20 2 12 2 2 2 14 21
4 30 256 20 2 12 2 0 4 14 21
5 30 256 20 2 10 2 2 4 12 18
6 30 256 20 2 8 2 0 8 10 15
7 30 256 20 2 6 2 2 8 8 12
8 60 128 40 6 28 2 0 4 34 51
9 60 128 40 6 26 2 2 4 32 48
10 60 128 40 6 24 2 0 8 30 45
11 60 128 40 6 22 2 2 8 28 42
12 120 64 80 12 48 4 8 8 60 90
13 240 32 160 28 112 4 8 8 140 210
14 480 16 320 56 232 8 8 16 288 432
15 960 8 640 120 488 8 8 16 608 912
16 1920 4 1280 248 1000 8 8 16 1248 1872

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Page 236 Pierre SWEID
Les canaux d’accès : RACH et AICH-1-
 Le canal physique PRACH (Physical Random Access Channel) est un canal montant
transportant le canal de transport RACH et permettant d’initier comme en GSM une connexion
avec le réseau mais également de transporter des datas issues des couches supérieures à
faible débit
débit.
 Le canal PRACH possède une structure particulière. Cette transmission aléatoire se fait selon
une approche dite slotée en mode ALOHA. Le mobile émet quand il le souhaite une
information minimale (un préambule) qui si elle est détectée par le réseau permet à ce dernier
via le canal de retour AICH (sens DL) d’indiquer au mobile qu’il peut désormais envoyer un
message contenant explicitement sa requête.

 Cette requête peut concerner :


 l’inscription après la mise sous tension du mobile
 la mise à jour de localisation
 ll’établissement
établissement d’une
d une connexion à l’initiative
l initiative du mobile
 la réponse à un message de paging
 la transmission d’un paquet de donnée (trafic à faible débit)

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Page 237 Pierre SWEID
Les canaux d’accès : RACH et AICH-2-
 Les principes d’envoi des informations RACH sont donnés dans la figure ci-dessous.

PREAMBULES
PPM pour la partie
PRAMP STEP pour les Message
Préambules

PINIT

P i Message
Partie M
PRACH

AICH

Pas d’AICH Pas d’AICH AICH


 On a :
 Envoi du préambule d’accès
 Attente d’une réponse du réseau sur le canal descendant AICH
 Si il n’y a pas de réponse AICH on retente un accès en émettant un nouveau préambule
 SS’ilil y a une réponse positive la partie message du RACH est envoyée
envoyée.
 Des préambules d’accès qui montent graduellement et dès qu’une réponse revient un envoi de message.

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Page 238 Pierre SWEID
Les canaux d’accès : RACH et AICH-3-
 Access Slot : Les moments ou le mobile est autorisé à émettre du RACH sont appelés des
slots d’accès (AS : Access Slot) et possèdent un timing très précis.

 La figure ci-dessous donne les règles relatives aux Access Slot :

Trame Radio: 10 ms Trame Radio: 10 ms

5120 chips
hi

Access slot #0 #1 #2 #3 #4 #5 #6 #7 #8 #9 #10 #11 #12 #13 #14

Random Access Transmission


Random Access Transmission

Random Access Transmission


Random Access Transmission

Les accès UL et les réponses DL sont envoyés au rythme des Access Slots (durée 2TS) alignés sur le P-CCPCH.
15 AS en deux trames radio

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Page 239 Pierre SWEID
En effet

 Un peu de mathématique

Code # i  c1 , c 2 , c 3 ,..., c N  Bit  b1 , b 2 , b 3 ,..., b l ,..., c N 

b l c 1 , b l c 2 , b l c 3 ,..., bl c N 

 Par
P corrélation
él ti n
 Les propriétés d’orthogonalité du code font ressortir le bit
N

c
k 1
#i l
r
k k
1 N #i #i

N k 1
ck ck l   l

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Page Pierre SWEID
S’il y a d’autres utilisateurs ou du bruit

b #i
l
c 1#i  b l# j c 1# j  n1 ,b l#i c2#i  b l# j c2# j  n2 ,..., b l#i c N#i  b l# j c N# j  n N 
Utilisateur #j Bruit
Utilisateur #i

1 N #i l

N k 1
ck rk bl#i N

c c  bl#i
# i #i
k k
N bl# j N
k 1
c #i # j
c
k k 0 N

c
N k 1
n  nl'
#i
k l
Utile
k 1
Autres Utilisateurs

Bruit

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Les codes en Downlink et Uplink
Code Scrambling Code Channelisation
(Cscramb) (Cch)

 RF
RF Cch User 1

Cch User 1

Secteur 1
Cscramb
User 1 MS secteur 1
Cscramb
secteur 1
RF
Cch User 5
 RF
Secteur 2 

DL
Cch User 5
Cscramb
C b Cscramb
C b
User 5 MS secteur 2 BTS secteur 2

Cch User 1’
 RF

Cscramb Cch User 1’


User 1 MS RF
User 1 MS
Secteur 1
Cscramb
C b 
User 1 MS Cch User 4’

Cch User 4’
 RF

User 1 MS Cscramb
User 4 MS
UL BTS
Cscramb
User 4 MS

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Page 242 Pierre SWEID

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