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:
poèmes / Jacques
d'Adelswärd-Fersen
in chantait
j~' Marsyas.
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POtMES.
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AUHREYHEARDSÎ,ET.
1907
Ofi~nat en couttur
Nf Z M-1ÏD-B
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Jacques
Ainsi chantait
Marsyas.
POÈMES.
Hyaqueiquechose
de merveilleux dans la Douleur.
AUDREY BEARDSLEY.
FLORENCE et PARIS
LIBRAIRIE LEON VANIER, ÉDITEUR
A. MESSEIN, SUCCESSEUR
19 Quai St. Michel 19
1907
A LA MÊME LIBRAIRIE
Du Ndême auteur.
PROSE: Ebauches et débauches, 1901, préface de F. Coppée.. 3.~0
JVa<M Daine 'DM Mers Mortes, 1902, couverture de
L. Morin
Lord Lyllian (Messes Noires), 190~, couverture de
;o
C. Simpson !.<o
Une Jeunesse, 1907, (vient de paraltre) ;o
~ET~
Morin, in-16, 1900.
Chansons Légères, préface de Rostand. Illustr. de Louis
~o
~o
Le Da~MM~- aux Caresses, 1906 3.50
AINSI CHANTAIT MARSYAS.
POEMES
T!POQRAPtA UONM CAPPBLU
=== ROCCA S, CASHANO-–=:
~/A~Y C~4~7~T ~47?6F.4~
VOLUPTUAIRE
pour F. v. K.
f' .].
Sourcils gamins; gestes soyeux, langUeur voilée,
"Bt-M~M del''amant; dont l'étreinte accablée
CfM'tt l'ardeur de mes bras,
NÎNO
LA VICTIME RAVIE
CHANTERELLE CONVULSÉE
~o~~y.
ms la pénombre où chaque chose a son mystère,
Où le silence est fait de voix qui ont prié,
Quelqu'un m'est apparu, semblable à vous naguère!
Reflet désenchanté de votre vie sur terre.
Les yeux éteints, la face morte, les poings liés.
Son corps exaspéré d'étreintes solitaires
Évoquait je ne sais quel violon brisé
Dont l'âme a trop gémi sa musique altière:
Et plus rien n'existait, sonore en la
peau claire,
Des nerfs qui se gonflaient sous l'archet du baiser!
ADELS M~7'~P~~V
LA FRIPEUSE DE MOËLLE
LES EXTATIQUES
IL FURTO
aE.C.
arce que la voilà et qu'elle a vu mon bien
Et qu'elle a blasphémé notre ardente prière,
Parce qu'elle a souri pendant que j'étais loin
Vers tes yeux qui n'ont pas compris l'amer chagrin
D'avoir trompé ton seul ami et ton seul frère,
JUMIÈGES
L'ICÔNB
I.
n.
EN MINEUR
POUR APRÈS
NOSTALGIQUE
RELIQUES AU CRÉPUSCULE
LES RETOURS
ET NIHIL.
Si ta gorge patricienne
Rue, un geste à l'esclave latin
Suffira, en coupant. ton destin
Pour voir ta peur, o brute humaine.
GONGS
ivre à l'écart
D'un dagobar
De porcelaine:
Vers qu'on égréne,
Vols de phalène,
Décors d'ébëne,
Parfums et fards.
Vêtu de soie,
Sans peur ni joie
Frôler des mains
ADELSWARD-FERSEN
Soleils en mer,
Bouddah des khmers
Ou gong des brahmes.
Vibrantes âmes
Des oriflammes,
Danses des flammes
Sakis amers.
Pleurs de guitares.
Et puis, bizarres,
Dans l'atrium,
Lits d'opium
Comme un vélum
De minium
Aux rêves rares
De Pnom. Penh.
AINSI CHANTAIT MARSYAS
I.
.1-
Que c'est peut-etre un rêve mien
Que c'est peut-être un beau mensonge!
II.
LA CÈNE
Dédicace.
Liminaire
lumière.
Ton nom, c'estde la
· 7
9
10
Toute ma vie est blottie au coin de tes lèvres 12
Pour toi qui m'a fait souffrir l?3
Dans la pénombre où chaque chose a son mystère. t;
LesExtatiques.
La Fripeuse de
Il furto
Moelles 17
19
L'icône.
Jumièges.,
mineur.
Ce matin, tu dormais comme un petit enfant.
21
23
25
nihil.
27
So.
En 3'r
Nostalgique.
Pour après
crépuscule.
!33
Lesretours. 3!
amours.
Reliques au 37
?9
Et 41
voulu.
Cène.
Les deux 43
Gongs 47
Li. Ti. 49
En vain j' aurai i
Le Palais sur la Mer
La 57