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Mots-clé
o Conducteur,
o Isolant,
o Electrons libres,
o Sens conventionnel du courant.
Liste de matériel
Poste élève Référence
o Générateur de courant continu 01989
o Ampèremètre 02584
o Lampe 6V- 100 mA 03703
o Support pour lampe 03994
o Fils de connexion rouge 60000
o Fils de connexion noir 60001
o Deux pinces crocodiles 04078
o Plaque de fer 01412000
o Plaque de cuivre 01305000
o Plaque de zinc 01982000
o Plaque d’aluminium 01066000
o Sel de cuisine
o Sucre
o Sulfate de cuivre II 01317250
o Trois coupelles 06662
© PIERRON 2008
Conductibilité électrique de solides (page 1)
Document du professeur 2/5
Remarques, astuces
o Pour comparer le caractère plus ou moins conducteur du fer, du cuivre, du zinc et de
l’aluminium, des plaques de dimensions identiques sont nécessaires.
Nous conseillons ici des plaques de dimensions : 120 ×30 ×1 mm.
o Le sucre, le sel et le sulfate de cuivre II doivent être bien secs pour l’expérience et déposés
dans des soucoupes propres et sèches afin de ne pas fausser les résultats.
o En fonction du niveau de la classe ou des élèves, le calibre de l’ampèremètre pourra être
imposé par l’enseignant ou à laisser déterminer par les élèves, le professeur vérifiant ensuite.
Prolongements
Prolongements
Sa vie
John Joseph Thomson est né le 18 décembre 1856 dans la proche banlieue de Manchester en Angleterre. Il étudie
d’abord à l’université de Manchester puis au " Trinity College " à Cambridge.
Vers l'âge de vingt-huit ans, il devient professeur de physique expérimentale succédant à Lord Rayleigh à la chaire
Cavendish. Il enseigna pendant 42 ans.
En 1890, il se marie avec Rose Elizabeth Paget dont il a deux enfants, Joan et George qui sera prix Nobel de
physique en 1937.
Également professeur à l'institut Royal de Londres, il est nommé président de la Société royale.
Il est anobli en 1908.
A sa mort le 30 août 1940, il est enterré dans l’abbaye de Westminster.
Ses récompenses
J.J. Thomson reçut la médaille Hughes en 1902, le prix Nobel de physique en 1906 pour ses travaux relatifs à la
conductivité électrique des gaz et la médaille Copley en 1914.
Ses découvertes
Durant sa vie, Thomson fit plusieurs expériences et introduisit plusieurs théories. Dans les années 1880, il se pencha
sur les tubes de Crookes. À l'aide d'aimants et de champs électriques, il travailla sur le comportement des rayons
cathodiques.
Le 30 avril 1897, il annonça une de ses découvertes : les rayons lumineux dans le tube cathodique étaient des
électrons, c'est-à-dire de la matière formée de petites particules chargées d'électricité négative.
Plus tard, vers les années 1900, il mesura la charge massique de l'électron. Il proposera aussi une théorie qui sera : les
atomes sont sous forme de sphères d'électricité positive dans lesquelles sont enfoncés des électrons, des grains
d'électricité négative.
Il observa également la production de particules positives dans le tube cathodique. Ce qui l'amena à conclure que les
éléments constitutifs de l'atome étaient des particules positives et négatives. Thomson imagina un modèle atomique
nommé « Plum-Pudding » dont l'agencement consistait en une enveloppe positive contenant des charges négatives.
Pour toutes ses recherches il recevra le prix Nobel de physique en 1906.
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Conductibilité électrique de solides (page 2)
Document du professeur 3/5
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Conductibilité électrique de solides (page 3)
Document du professeur 4/5
Nom : Physique – Chimie
Prénom :
Classe :
Date : Conductibilité électrique de solides
Objectifs
o Comparer le caractère conducteur de différents solides à l’aide d’un circuit électrique ;
o Expliquer la nature du courant électrique dans les conducteurs métalliques.
1. Expérience :
2. Résultats :
Rassembler vos résultats dans le tableau ci-dessous :
3. Exploitation :
4. Conclusion :
Tous les solides ne sont pas des conducteurs électriques.
Les métaux sont tous des conducteurs électriques.
5. Remarque :
Le corps humain est-il conducteur ou isolant ? Justifier votre réponse.
Le corps humain est un matériau conducteur car on peut se faire électrocuter.
Les métaux contiennent des très petites particules chargées négativement susceptibles de se déplacer
appelées électrons libres.
Dans un circuit électrique fermé, le générateur provoque un déplacement d’ensemble des ces électrons
libres créant ainsi le courant électrique qui y circule.
Il faut retenir que le sens de déplacement d’ensemble des électrons qui créent le courant électrique est
contraire au sens conventionnel du courant car ce sens conventionnel avait été défini bien avant la
découverte des électrons.
3. Indiquer sur le schéma le sens de déplacement des électrons libres par une flèche verte.
f. Conclusion :