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PLAN
Partie 1 : Généralités 2
1- Définition
2- Introduction générale
Partie 2 : Rappels 4
1- Oxydoréduction
2- Description et fonctionnement d’une chaine électrochimique 5
Pile de Daniel 6
3- La notion de potentiel – tension dans une cellule électrochimique 7
4- Méthodes de mesure 8
a- Electrode de référence
b- Electrode au calomel saturée (ECS) 9
1- Electrosynthèse
2- Importance et production de la soude 10
3- Production de l’aluminium 11
4- Traitement des surfaces 12
Galvanoplastie (surtout chlorure de zinc)
Affinage électrochimique des métaux 13
5- Stockage et conversion de l’énergie
Batterie au lithium
Pile à hydrogène 14
Batterie au plomb 15
Pile au lithium 17
Pile à hydrogène 18
6- Analyse et mesure
Electrode à oxygène 19
7- Environnement 20
8- Bio électrochimie
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Partie 1 : Généralités
1- Définition
Elle est issue des termes de l’électricité et de la chimie utilisée pour désigner une science et un
secteur d’industrie. Science qui analyse et décrit les transformations de la matière à l’échelle
atomique par déplacement de charges électriques contrôlable à l’aide de dispositifs électriques.
L’électrochimie correspond à une partie de la chimie traitant les relations entre les courants
électriques et les réactions chimiques ainsi que la conversion de l’énergie chimique en
énergie électrique (et inversement).
Au sens large, l’électrochimie est l’étude des réactions chimiques produisant des effets
électriques et des phénomènes chimiques causés par l’action du courant ou l’application
d’une tension.
On ne pourra introduire cette notion sans parler de la notion d’oxydoréduction.
2- Introduction générale
Ces transformations faisant intervenir des électrons sont décrits à l’échelle atomique.
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Application aux solides :
Protéger les métaux contre les agressions de l’oxygène ou de l’eau
Historique :
Origine vers le début du 18e siècle, expérience de Galvani, patte de grenouille qui se contracte
par contact avec un arc, composée de 2 métaux (le Zn et le Cu par exemple).
Volta (1801) présente sa pile à l’institut de France et énonce la loi des tensions ainsi que la
valeur des tensions classée par ordre de positivité décroissante du zinc à l’argent (il classe par
ordre décroissant la tension des différents métaux).
2 différents métaux séparés par un buvard contenant une solution d’électrolytes permettant
l’échange des électrons. La même année, il énonce la loi des tensions et classe les métaux en
fonction de leur électropositivité du zinc à l’argent.
1800 Nicholson et Carliste réalise la 1ere électrolyse de l’eau au moyen d’une pile et observe
un dégagement gazeux (dihydrogène)
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1824 Davy utilise le zinc pour protéger de la corrosion les pièces en cuivre et en fer des
bateaux 1826 Becquerel observe les effets de polarisation des électrodes consécutives au
dégagement d’hydrogène. On commence à parler d’anode et de cathode.
Partie 2 : Rappels
1- Oxydoréduction
Une réaction d’oxydoréduction est une transformation de la matière à l’échelle atomique par
déplacement d’électrons.
L’oxydation est une transformation chimique dans laquelle des électrons sont perdus par un
atome, une molécule ou un ion.
La réduction est une transformation chimique dans laquelle des électrons sont gagnés par un
atome, une molécule ou un ion.
Fe -> Fe2+ + 2e- les atomes de Fe sont oxydés en ions ferreux Fe2+
Cl2 + 2e- -> 2Cl- le chlore moléculaire est réduit en chlorures Cl -
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Comme le nombre total d’électron doit être conservé, l’oxydation et la réduction ont toujours lieu
de façon simultanée (concomitante).
On parle de réaction redox dans le cas où le nombre total d’électrons perdu doit être égale au
nombre d’électrons gagnés par réduction
Fe + Cl2 --> Fe2+ +2Cl-
L’électronégativité est définie comme étant la propriété d’un atome à attirer à lui les électrons
d’une liaison. Plus la différence est grande entre les électronégativités plus la liaison est
polarisée, et aura donc un caractère ionique.
Ex : la pile volta est un des exemples de chaine électrochimique dont chaque élément est
constitué de l’enchainement de trois matériaux conducteurs.
Zn | solution aqueuse de NaCl | Cu
Succession de rondelles de zinc et de cuivre reliées par un « buvard » avec une solution
d’électrolytes NaCl (chlorure de Sodium), permettant les échanges (à l’échelle atomique :
transferts d’électrons) entre zinc et cuivre.
Pile de Daniel
Zn | solution aqueuse ZnSO4 | solution aqueuse de KMnO3 (pont salin) | solution aqueuse de
CuSO4 | Cu
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Elle est constituée de 2 demi-électrodes :
- Constituée : d’une anode (lame de zinc plongée dans une solution contenant du sulfate de
zinc) - Et d’une cathode (lame de cuivre plongée dans une solution contenant du sulfate de
cuivre).
Les deux solutions sont reliées par un pont salin (solution de chlorure de potassium (KCl)) qui
sert à l’échange des électrons (produits lors de réactions d’oxydoréduction), entre l’anode et la
cathode ce qui permet de générer de l’électricité. Il n’apporte pas de charges et permet de faire
passer les électrons de façon neutre.
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La tension aux limites de la pile (c’est-à-dire la différence de potentiel entre ses électrodes)
est u = E+ - E - 1,10V
- Le mot potentiel est un raccourci de potentiel électrique par rapport à une référence.
- Le potentiel est toujours défini à une constante près, et le potentiel absolu n’existe pas.
- Les seules grandeurs qui sont accessibles de façon expérimentale sont des différences de
potentiel (ddp) entre 2 points, encore appelées tensions.
- Ainsi la notion de potentiel doit être entendue comme une tension entre un point donné et
une référence.
- Pour définir une référence de potentiel utilisable en électrochimie, on prend un couple redox
de référence.
4- Méthodes de mesure
- Les méthodes d’analyse du potentiel (potentiométriques) sont basées sur des mesures de la
tension de cellules électrochimiques en l’absence du courant.
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- 1 électrode de référence
- 1 électrode indicatrice qui va mesurer sélectivement les ions en solution à étudier.
- 1 appareil de mesure du potentiel (potentiomètre : système de mesure) entre les deux
électrodes.
a- Electrode de référence
Electrode de référence :
- Electrode à hydrogène (EH) ;
- - Electrode à chlorure d’argent ;
- Electrode au calomel (Hg2Cl2)
Une demi-électrode dont la réponse dépend de la concentration de l’analyte (ion) est appelée
électrode indicatrice ou de travail. Elle est reliée à l’électrode de référence par un voltmètre.
En mesurant la différence entre les 2 électrodes, nous renseigne sur la concentration de l’ion en
solution.
Composition (Cl-Hg-Hg-Cl)
L’ECS est composée de mercure métallique (Hg) en contact avec du calomel Hg2Cl2 lui-même
en équilibre avec une solution de chlorure de potassium (KCL) saturée Calomel = Chlorure de
Mercure
Chaine électrochimique :
Symbolisé par Hg | Hg2Cl2 (saturée) | KCL (XM) |
X représente la concentration molaire du chlorure de potassium présent en
solution
On utilise une solution saturée de chlorure de potassium voisine de 5 moles
par litre ceci à température ambiante. C’est le système le plus utilisé dans le
commerce.
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Base de l’électrode : cristaux de chlorure de potassium.
Intérêt
Pour certaines solutions, le calomel ne sera pas utilisé, comme par exemple avec une solution
argent car il y a un risque de précipité avec le chlore pour former le chlorure d’argent.
1- Electrosynthèse
Procédé utilisé dans l’industrie chimique moderne lourde (utilisée actuellement à grande
échelle), car il peut avoir un meilleur rendement énergétique au niveau de la synthèse
chimique (notamment par rapport aux procédés thermiques qui sont plus coûteux et moins
rentables). C’est un processus très bien maitrisé.
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Les matières premières produites par ce procédé dans des quantités importantes, application : -
Aluminium (38 Mt) :
- Soude (56 Mt)
- Dichlore (50Mt) matière plastique, détergent, solvants pour peinture
- Sodium
- Lithium
- Magnésium.
Elle a plusieurs dénominations. La soude est aussi appelée hydroxyde de sodium, soude,
soude caustique, lessive de soude, sodium hydrate et ascarite.
C’est une des substances chimiques les plus utilisées en laboratoire et en milieu industriel, pour
la pâte à papier, produits chimiques divers, textile de synthèse, produits de nettoyage,
plastiques, produit de nettoyage, essence, biodiesel, les savons, le traitement de l’aluminium.
C’est aussi un additif alimentaire (E524).
Principe
Anode : titane recouvert d’une couche électro catalytique d’oxyde de ruthénium et d’oxyde
de titane.
Cathode : acier
Séparateur : membrane échangeuse de cations électro active.
3- Production de l’aluminium
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Le processus est plus complexe. L’aluminium est extrait par électrolyse à partir d’un minerai
de bauxite, dont le principal constituant de ce bauxite est l’alumine (Al 2O3). Le bauxite
contient l’oxyde d’aluminium.
Après différentes étapes, l’alumine est introduite dans des cuves d’électrolyse avec un additif tel
que la cryolithe (Na2AlF3) et le fluorure d’aluminium (AlF3) qui en abaissent le point de
fusion de l’oxyde d’aluminium de 2040°C à 960°C (comme les catalyseurs).
L’électrolyse est menée typiquement par l’application d’une tension de 4V avec un très fort
ampérage (300 000 A) 12kW/h/kg Al.
Ces anodes permettent de donner ces 3 carbones, on les appelle les anodes sacrificielles, elles
s’épuisent en donnant tout leur carbone.
- Electroformage
- Galvanoplastie (ex : dépôt de Zinc sur une pièce métallique)
- Métallisation décorative (argent, or, chrome)
- Affinage des métaux
- Maitrise des conditions de traitements : courant, tension, transfert de matière…
Principe :
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- Est un procède permettant d’appliquer au moyen d’un courant électrique continu un dépôt
métallique, à la surface d’un objet, le métal étant initialement sous forme de cation en
solution dans un solvant (en général de l’eau). Cette technique est utilisée pour préserver
l’objet de l’oxydation de l’air et de l’eau mais également dans le cadre de la décoration.
L’anode est constituée d’un bloc du métal à déposer et la cathode de l’objet à recouvrir. La
réduction du métal à la cathode permet l’obtention d’un dépôt métallique en couche mince
très résistant.
Entre l’anode et la cathode on génère un faible courant qui génère les mouvements d’électrons
qui passent l’argent sous forme solide.
On a 2 électrodes :
A l’anode, les métaux s’oxydent et de viennent solubles (Cu 2+, Fe2+…) = ils s’ionisent et peuvent
former en fonction des conditions un dépôt de métal pur sur la cathode.
Cette anode composée de plusieurs types de métaux va s’oxyder, on va avoir des métaux qui
vont se mettre sous forme ionique (zinc, fer, cuivre) et vont pouvoir, en fonction de la tension,
se déposer sur l’électrode de cuivre ou zinc.
Les métaux plus nobles : l’argent, le platine, l’or, ont un potentiel différent du cuivre donc ils
ne s’oxydent pas et forment une sorte de boue au fond de la cuve pour pouvoir les récupérer.
C’est une forme de purification des métaux.
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5- Stockage et conversion de l’énergie
Il faut inventer des accumulateurs qui durent dans le temps. Ce sont des générateurs
électrochimiques, applications de faibles puissances et de très forte croissance : alimentation
électrique des petits appareils électroniques portables. Le processus doit être fiable, durer dans
le temps et qu’on puisse le recharger. Exemple : capsule d’exploration digestive (LED qui va
illuminer l’intérieur du tube digestif, caméra), des pacemakers, une prothèse auditive.
Batterie au lithium
C’est la plus utilisée de nos jours, c’est un accumulateur électrochimique. Elle a l’avantage
d’être miniaturisée (à la différence des batteries au plomb).
Ses caractéristiques :
- Durée dans le temps
- Pas d’effet mémoire (lors de la décharge)
- Possibilité de se recharger (générateur qui va permettre aux ions lithium de retourner dans le
compartiment négatif).
La batterie au lithium est un accumulateur électrochimique qui utilise le lithium sous forme
ionique. Elle libère l’électricité par échange réversible d’ions lithium entre 2 électrodes :
Anode : Graphite (type stable du carbone)
Cathode : oxyde métallique
L’échange se fait au sein d’un électrolyte liquide. Cela permet la libération d’un courant (ions
lithiums qui avancent dans le sens des électrons). Les électrons se déplacent du moins vers le
plus.
Le fonctionnement des batteries au lithium est basé, sur l’échange entre les électrons d’ions
lithium accompagnés d’un mouvement d’électrons.
Pile à hydrogène
C’est une pile à combustible utilisant le dihydrogène et le dioxygène. Il s’agit d’une combustion
électrochimique contrôlée (production eau, de chaleur et d’électricité).
Principe :
La cathode et l’anode sont séparées par un électrolyte qui est un milieu bloquant le passage
des électrons mais laisse passer les ions.
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A la cathode : on injecte de l’oxygène sous forme gazeuse : O 2
(g) + 4H+ (aq) + 4 électrons = 2 H2O (l)
Les voitures fonctionnent sur une pile à combustible appartiennent à la famille des véhicules à
zéro émission, mais produire de l’hydrogène nécessite beaucoup d’énergie. Le mode de
production le plus courant et le moins cher utilise le gaz naturel comme matière première.
Une voiture émet donc 120 g de CO2 par km contre 160 g pour un véhicule équipé d’un moteur
diesel (faux de dire 0 émission).
La recharge des bonbonnes se fait en 6 minutes contre 4-5h pour celle au lithium.
Batterie au plomb
Constitution :
- Dans une batterie au plomb, à l’anode, on trouve du plomb spongieux
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Les cristaux de sulfate de plomb (PbSO 4), très solubles, se déposent à la surface de la matière
active poreuse (ce que cette représentation reflète peu).
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Il y a 6 accumulateurs dans la batterie. Elle a une longue durée et un gros stockage mais elle
est lourde et volumineuse, non utilisable pour les pacemakers…
Pile au lithium
C’est la pile la plus utilisée aujourd’hui, elle permet une miniaturisation des batteries, pour les
utiliser dans les vidéos capsules.
Elle libère de l’énergie par échanges d’ions réversibles, des ions lithium entre 2 électrodes
(mouvement de l'anode vers la cathode) :
- Une anode en graphite
- Une cathode en oxyde métallique.
Cet échange se fait au sein d’un électrolyte liquide.
Principe :
Le fonctionnement de la batterie de lithium est basé sur l'échange entre les électrodes d’ions
lithium accompagné d’un mouvement des électrons.
Utilisation de cette batterie : On la recharge facilement à l’aide d’un générateur qui permet aux
ions lithium de retourner au compartiment électronégatif et se retrouver avec tous les atomes
d’ions lithium, elle peut ensuite être réutilisée (environ 20 fois). Elle s’use moins vite.
Pile à hydrogène
6- Analyse et mesure
- Capteur à dioxygène : très utilisé dans l’observation des combustions, permet aussi de mesurer
la teneur en hydrogène dans un environnement.
- Electrodes spécifiques : glucose, lactate, Ca2+ (forme ionisée pour calculs rénaux), dosage de
certains cations.
Electrode à oxygène
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- Entre les 2 électrodes : pont de KCL (pont salin), elles sont séparées d’une cuve de mesure par
une membrane de téflon (peut faire passer l’O 2).
Principe :
Mesure du courant électrique I qui provient de la réaction d’oxydoréduction faisant
intervenir l’oxygène dissout, l’électrode de platine et la réaction d’oxydation de l’anode
d’argent. La tension utilisée est à 0,7 V, anode circulaire.
L’oxygène qui diffuse à travers la membrane est réduit au niveau de l’électrode de platine
O2 + 2H2O + 2e- -> H2O2 + 2 OH-
H2O2 + 2 e- -> 2 OH-
Soit : O2 + H2O2 → 4 OH-
Dosage du glucose
Ces systèmes de dosage sont embarqués dans des machines très développés (notamment des
automates pouvant coûter 450 000 euros).
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7- Environnement
8- Bio électrochimie
Un autre domaine où l’électrochimie joue un rôle important dans le déroulement des processus
est celui de la biologie : un très grand nombre de phénomènes intervenant dans le monde du
vivant font appel à des réactions d’oxydoréduction ou encore aux mouvements contrôlés d’ions
à travers des membranes.
Question 3 Electrochimie
A- L’électrochimie est l’étude des réactions chimiques produisant des effets électriques et des
phénomènes chimiques causés par l’action du courant ou l’application d’une tension
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B- On aborde généralement l’électrochimie en associant réaction d’oxydoréduction et
thermodynamique des états d’équilibre
C- L’oxydation est une transformation chimique dans laquelle des électrons sont perdus par un
atome, une molécule ou un ion
D- Sur certains automates de biochimie, la concentration en glucose est déterminée par une
méthode cinétique utilisant une électrode à oxygène où la vitesse maximale de consommation
d’oxygène sera directement proportionnelle à la concentration de glucose présente dans l’échantillon
E- La production de dichlore et de soude est obtenue par l’électrolyse de solutions aqueuses
concentrées de saumure saturée (chlorure de sodium)
Question 4 Electrochimie
A- La batterie au lithium-ion ne fait pas partie des accumulateurs électrochimiques
B- La batterie au lithium-ion utilise du lithium sous une forme ionique
C- La batterie au lithium-ion libère de l’électricité par échange réversible des ions lithium entre deux
électrodes
D- Dans la batterie au lithium-ion, l’anode qui correspond à l’électrode négative est du graphite
E- Dans la batterie au lithium-ion, la cathode qui correspond à l’électrode positive, est en oxyde métallique
Question 5 Electrochimie
A- L'électrochimie est l'étude des réactions chimiques produisant des effets électriques et des phénomènes
chimiques causés par l'action du courant ou l'application d'une tension
B- On aborde généralement l'électrochimie en associant réaction d'oxydo-réduction et thermodynamique
des états d'équilibre
C- L'oxydation est une transformation chimique dans laquelle des électrons sont perdus par un atome, une
molécule ou un ion
D- Les méthodes d'analyse du potentiel (potentiométrie) sont basées sur des mesures de la tension de
cellules électrochimiques en l'absence de courant
E- L'aluminium est extrait par électrolyse du minerai de bauxite, dont le principal constituant est l'alumine
(Al2O3)
Question 1 : A D E
Question 2 : A B C D E
Question 3 : A B C D E
Question 4 : B C D E
Question 5 : A B C D E
Question 6 : A C D E
Question 7 : B C E
Question 8 : A B D E
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