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Cinq Ennemis de Notre Exaucement
Cinq Ennemis de Notre Exaucement
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1. LA PARESSE.
Les paresseux ne veulent pas travailler ni fournir d’effort. Ils sont pleins de désirs et de rêves
mais dès qu’on leur dit quoi faire pour y arriver, ils soufflent, se plaignent et se découragent
avant même d’avoir commencé. La seule pensée de difficulté et d’effort suffit à les pousser à
ne même pas se mettre à la tâche. Ce sont des personnes capables, intelligentes mais très
oisives. Pleines de potentiel mais ne faisant rien de significatif avec leur vie. S’il n’y a
personne derrière elles pour les forcer à travailler, elles ne font rien.
Les rêveries ne mènent nulle part tant que nous ne retroussons pas nos manches pour se
donner au travail. Nous pouvons être très intelligents, remplis de l’Esprit de Dieu, regorger de
dons et de talents, si nous ne bougeons pas nous n’obtiendrons rien ! Même si nous sommes
pleins de foi, si Dieu nous ouvre des portes et nous accorde de la faveur, si nous ne mettons
pas en mouvement, le Seigneur ne le fera pas à notre place ! Et le résultat de ne rien faire,
c’est de ne rien obtenir!
2. L’APATHIE.
Les personnes apathiques donnent l’impression dans leur façon de parler et d’agir d’être
toujours fatiguées. Elles sont molles et prennent un temps extraordinaire pour faire quelque
chose qu’une personne lambda ferait en quelques minutes ou heures. Aucune énergie n’émane
d’elles; bien au contraire, elles paraissent ennuyées par ce qu’elles font. Émotionnellement
parlant, ces personnes se laissent facilement marcher dessus et ont tendance à être des
suiveurs plutôt que des initiateurs.
Il est bien évident que la nonchalance ne produit pas grand chose. On ne peut compter sur une
personne passive, elle crée plus de problème plus qu’elle n’en résout. Elle occupe de la place
mais n’est pas d’une grande utilité quant au travail et à la productivité attendue d’elle. Un
apathique n’est pas nécessairement paresseux, il parait paresseux mais il peut être très
travailleur; c’est sa nonchalance qui le rend improductif.
Si nous avons en nous cet esprit d’apathie, nos progrès seront si lents, qu’en dix ans, nous
n’aurons quasiment rien bâti. Cela nous décourage, nous fatigue et nous finissons par vouloir
ne rien faire à cause du peu de résultats que nous obtenons.
3. L’INCRÉDULITÉ.
Définition Larousse :
Absence de foi. Etat d’esprit de quelqu’un qui doute de ce qu’on lui dit.
L’incrédulité bibliquement parlant, c’est « refuser de croire » ou « avoir une petite foi
stagnante » . Dès que nous commençons à douter de Dieu et de Sa capacité, nous ouvrons la
porte aux doutes, aux confusions et à la peur. Une personne incrédule par définition n’a pas la
foi ou n’a pas assez de foi. Lorsque nous sommes dans cet état, nous n’avons aucun
enthousiasme pour mener des projets à bien. C’est la foi qui produit en nous cette adrénaline
qui nous pousse à nous lever et agir tout en ayant l’assurance que Dieu est avec nous dans ce
que nous faisons. L’incrédulité nous décourage et aspire toute joie. Nous en oublions nos
projets, nous freinons nos initiatives car désormais nous avons peur et nous posons plein de
questions, nous ne nous sentons plus à la hauteur et nous sommes complètement abattus et
découragés.
4. LA PEUR.
Définition Larousse :
Sentiment d’angoisse éprouvé en présence ou à la pensée d’un danger, réel ou supposé,
d’une menace. Crainte qui pousse à fuir ou à éviter une situation.
La peur découle du manque de foi donc de l’incrédulité. Quand nous remettons Dieu en
question, nous remettons tout en question. C’est une grande porte ouverte au diable. Il nous
bombarde alors de pensées de peur, de confusion; nous nous sentons perdus, seuls,
désemparés, sans force ni soutien ni appui. La peur est une arme de satan pour paralyser le
chrétien. Il sait qu’un être humain qui a peur ne bouge pas. Il reste immobile et finit par faire
demi-tour pour retourner dans sa zone de confort et de sécurité. Dès que Dieu nous donne un
projet, le diable nous attaque avec la peur dans le seul but de nous empêcher de prendre les
risques nécessaires pour obtenir son accomplissement.
5. LA SUPERFICIALITÉ.
Comment espérons-nous bâtir quoi que ce soit si nous commençons mais ne finissons
jamais ? La vie est rude et même avec Dieu elle sera encore et toujours rude ! Accomplir,
conquérir et bâtir n’est pas un jeu pour les enfants mais pour les adultes aguerris. Il nous faut
devenir capables d’encaisser des coups sans descendre du ring, subir des échecs et des
déceptions tout en continuant de courir vers la ligne d’arrivée.
La paresse, l’apathie, le manque de foi, la peur et la superficialité sont les 5 plus grands
ennemis de notre productivité. Si ces choses demeurent dans nos cœurs, malgré que nous
ayons Dieu dans nos vies et tout pour réussir, nous échouerons fois après fois et
resterons stériles. Il nous faut nous débarrasser de ces flèches tirées par satan pour nous
affaiblir et nous empêcher de recevoir les bénédictions de Dieu.