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1. DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT VÉTÉRINAIRE
Incurin 1 m comprimés
4. ESPÈCE(S) CIBLE(S)
Chienne.
5. INDICATION(S)
Aucune relation entre la dose finale efficace et le poids corporel n'a été établie. En conséquence la
dose doit être déterminée individuellement pour chaque chienne.
La dose minimale ne devrait pas être inférieure à 0.5 mg par chienne par jour. S'assurer que la dose
utilisée pour obtenir l'effet thérapeutique est la plus petite possible. Ne pas administrer plus de 2
comprimés par chienne par jour. Si aucune réponse au traitement n'a été obtenue, le diagnostic devra
être reconsidéré afin de trouver d'autres causes à l'incontinence tels que des désordres neurologiques,
cancer de la vessie, etc .
Les animaux doivent être réexaminés tous les 6 mois pendant le traitement.
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7. MODE ET VOIE(S) D’ADMINISTRATION
Incurin doit être administré oralement, une fois par jour ou tous les deux jours.
Sans objet.
9. CONTRE-INDICATIONS
Ne pas utiliser chez les chiennes entières car l’efficacité a été établie uniquement chez la chienne
ovariohysterectomisée.
Les animaux présentant des symptômes de polyurie-polydipsie ne doivent pas être traités avec Incurin.
Des effets oestrogéniques tels que gonflement vulvaire, gonflement mammaire et/ou attraction des
mâles ainsi que des vomissements ont été observés à la dose recommandée la plus élevée de 2 mg
par chienne. L'incidence est d'environ 5 - 9 %. Ces effets sont réversibles après réduction de la dose.
Dans de rares cas, des saignements vaginaux ont été observés.
Sans objet.
De fortes doses d'oestrogène peuvent induire un effet promoteur tumoral au niveau des organes cibles
comportant des récepteurs aux oestrogènes (glande mammaire).
Tous médicaments vétérinaires non utilisés ou déchets dérivés de ces médicaments doivent être
éliminés conformément aux exigences locales.
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16. AUTRES INFORMATIONS
L'estriol est un oestrogène naturel à courte durée d'activité. Il n'y a pas d’accumulation après
administration orale répétée. Lors des études de tolérance chez l’animal cible et des essais cliniques,
comportant des traitements de longue durée, aucun signe d’aplasie médullaire n’a été observé. Ceci est
probablement du à l’activité oestrogénique de courte durée de l’estriol.
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