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1. Un échantillon d’argile saturée a une masse de 1.526 kg ; après passage à l’étuve, sa masse n’est
plus que de 1.053kg. Le constituant solide a une densité de 2.7. On demande :
- la teneur en eau w ;
- l’indice des vides e ;
- la porosité n ;
- le poids volumique humide γh ;
- la densité humide (γh /γw ). On prendra : g = 9.81 m/s².
2. Un échantillon de sol a une masse de 129.1g et un volume de 56.4 cm3.
La masse des grains est de 121.5 g. Le constituant solide des grains a une densité de 2.7. On demande :
- la teneur en eau w ;
- l’indice des vides e ;
- le degré de saturation sr. On prendra : g = 9.81 m/s².
3. Un sable quartzeux pèse à l’état sec 15.4 KN/m3.
Quel est son poids volumique γh et sa densité humide γh /γw quand il est sauré ?
On prendra : densité du quartz : G= 2.66 ; g = 9.81 m/s² et poids volumique de l’eau : ρ = 103kg/m3.
4. Un échantillon d’argile est placé dans un récipient en verre. La masse totale de l’échantillon humide
et du récipient est A= 72.49 g. cette masse est ramenée à B=61.28g après passage à l’étuve. La masse
du récipient est C=32.54 g. Une mesure au pycnomètre montre que la densité du constituant solide
est : 2.69.
a) En supposant l’échantillon saturé, on demande :
- la teneur en eau w ;
- la porosité n ;
- l’indice des vides e ;
- la densité humide (γh /γw ) ;
- la densité sèche (γd /γw ) ;
- la densité déjaugée (γ’ /γw). Pouvait-on faire les mêmes calculs si l’échantillon n’était pas saturé ?
b) Avant de passer l’échantillon l’étuve, on mesure son volume par immersion dans le mercure. On
trouve que ce V=22.31 cm3. On demande le degré de saturation réel, ainsi que les nouvelles valeurs
des densités.
5. Pour un échantillon d’argile limoneuse, les caractéristiques suivantes ont été déterminées : γd =
18.5KN/m3, w= 25%, γs = 26.5 kN/m3. On prendra en outre γw=10 kN/m3.
- Calculez le poids volumique apparent sec γd , le degré de saturation Sr, la porosité n et l’indice des
vides e.
- On suppose qu’on sature ce sol par adjonction d’eau. Recalculer les caractéristiques du sol.
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6. Un échantillon de sol a une hauteur de 15 cm et un diamètre de 5,5 cm. Soumis à la pression d’une
hauteur d’eau de 40 cm, évacue 40 g d’eau en 6 secondes. Calculer le coefficient de perméabilité du
sol en question.
7. Un massif de sol est constitué de trois couches horizontales de même épaisseur. Les coefficients de
perméabilité sont 10-3 cm/s, 10-2 cm/s et 10-3 cm/s. Calculer les coefficients de perméabilité horizontale
et verticale.
8. Calculer la contrainte effective au point M de profondeur D. Le niveau de la nappe est situé à la
profondeur d (<D). Le sol au dessus de la nappe est saturé par capillarité. On donne : D=3, 6 m; d=1, 2
m; γsr=20, 3 KN/m3.
9. Une couche d’argile submergée a une épaisseur de 15m. Sa teneur en eau est de 54%. La densité
des grains est de 2,78. Calculer la contrainte verticale effective à la base de la couche.
10. Un sable est formé de grains solides de densité égale à 2,66. La porosité dans l’état le plus léger
est de 45%. Dans l’état le plus dense elle est de 37%. Quel est le gradient hydraulique critique pour ces
deux états.
11. Considérons un réseau d'écoulement dans le plan. Montrer que la perte de charge est constante
dans le canal d'écoulement lorsque les mailles sont de forme carrée.
12. Soit la réserve d'eau de la figure 1. Tracer:
Les trajectoires des particules liquides L1, L2, L3, L4.
Les lignes équipotentielles passant par les points p1, p2, p3.
13. Considérons le réseau d'écoulement de la figure 2. Calculer:
Le coefficient de perméabilité moyenne.
La vitesse de décharge aux points A et B.
La pression de l'eau au point C.
14. Soit le barrage de la figure 3. Tracer un réseau d'écoulement
Calculer le gradient hydraulique aux points A et B.
15. Estimer la contrainte verticale due au poids du béton armé aux points A et B ;
Calculer la contrainte effective en ces mêmes points ;
Formuler vos remarques sur la sécurité de ce projet. (fig.3)
16. Une charge verticale uniforme d'intensité q est répartie sur une surface horizontale en forme de
disque plat d'ouverture α, de rayons intérieur Ri et extérieur Re. Calculer la contrainte verticale au point
M.
17. Calculer la contrainte verticale en un point M situé à la verticale du centre d'une surface circulaire
uniformément sollicitée par une charge d'intensité q.
18. Retrouver la solution de Flamant.
19. Retrouver la solution dans le cas d'une charge uniforme sur une bande de longueur infinie et de
largeur B.
20. Une semelle de fondation de 12m de côté et de 20cm d'épaisseur supporte une surcharge de
densité uniforme de 0,78daN/cm2. Calculer la composante verticale de la contrainte supplémentaire
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résultant de ces charges dans un plan situé à 24m sous la surface libre et à la verticale des points ACE
et F. On prendra la densité du béton égale à 2,5.
21. Faites le même exercice précédant en supposant que la charge est concentrée au centre de la
semelle.
22. Calculer la contrainte verticale aux points M et M'.
24. Pendant un essai de consolidation sur une argile non remaniée, nous avons obtenu les données
ci-contre.
a. tracer le graphique de la pression en fonction de l'indice des vides sur une échelle semi-
logarithmique et sur une échelle arithmétique.
b. Formuler les équations de la courbe de compression vierge et de la courbe de rebondissement
pour un déchargement commençant à 1280 kPa.
c. Quels sont les indices de compression modifiés et de rebondissement de ce sol.
d. Evaluer la contrainte à laquelle cette argile a été préconsolidée.
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25. Pendant un essai de consolidation, nous avons relevé les mesures (e, σ'vc) portées sur le tableau
ci-contre. L’indice des vides initial est de 0,725. La contrainte due au poids des terres est de 130 kPa.
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33. Un dépôt d'argile a 12 m d'épaisseur moyenne et semble drainé à sa base. Le coefficient de
consolidation de l'argile a été estimé à 10-8m2/s. Le tassement final est estimé à 1,2 m sous les charges
appliquées sur le terrain.
a. Combien de temps serait nécessaire pour obtenir des tassements de 400 et 700 mm.
b. Quel tassement pourrait-on prévoir après 5, 10 et 50 ans.
c. Combien de temps sera nécessaire pour atteindre le tassement final de 1,2 m.
34. Les données relatives à la vitesse de consolidation présentées ci-contre correspondent à
l'incrément de charge de 20 à 40 kPa. La hauteur initiale de l'échantillon est de 25,4 mm et on a placé
des pierres poreuses dans les parties supérieure et inférieure de l'appareil d'essai.
Déterminer le coefficient de consolidation par les méthodes relatives aux courbes log(t) et (t)1/2
respectivement. Comparer les résultats obtenus par les deux méthodes.
35. A l'aide des données de l'exercice 33, estimer l'indice de compression secondaire et l'indice de
compression secondaire modifié, sachant que:
e0 = 2,6 ; H0 = 25,4 mm ; ρs = 2750 Kg/m3
à t = 0, e = 1,74 ; H = 19,28 mm
à t = 1485 mn, e = 1,455 ; H = 17,28 mm
36. Une couche d'argile normalement consolidée de 20 m d'épaisseur supportera une charge de 100
kPa répartie sur une grande surface. La couche d'argile est recouverte d'un remblai granulaire (ρ =
2000 Kg/m3) de 3m d'épaisseur. Sous l'argile, on trouve un gravier sableux dense. La nappe phréatique
se situe à la limite supérieure de la couche d'argile dont la masse volumique déjaugée est de 900 Kg/m3.
On a effectué des essais de consolidation sur des échantillons de 22 mm d'épaisseur, à double drainage
et on a obtenu t50 = 9 mn pour un incrément de charge similaire à celui qui sera appliqué sur le terrain.
Calculer la contrainte effective à une profondeur de 18 m sous la surface, 4 ans après la mise en
place de la charge.
37. A l'aide des données de l'exercice 35, déterminer le pourcentage de consolidation moyen de la
couche d'argile après 4 ans.
38. A l'aide des données de l'exercice 35, calculer la contrainte effective à une profondeur de 18 m
sous la surface, 4 ans après la mise en place de la charge, en supposant cette fois que la couche est à
drainage simple vers le haut. Commenter.
39. Déterminer le coefficient de perméabilité moyen de l'argile, corrigé à 20 °C et mesuré pendant
l'incrément suivant:
40. Justifier les relations :
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FIGURES