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Introduction

Les cartes traditionnelles ont toujours été un outil de représentation, de communication, d’aide à la
décision, de conservation de la mémoire. Elles permettent de rassembler un nombre important
d'informations mais présente des limitations dues notamment au support physique qu'est le papier et
qui la rendent relativement statique. On peut aussi le choix réduit des éléments à représenter dans un
but de lisibilité du document, impossibilité de changer d'échelle nécessité par l'analyse globale de
l'information, mises à jour onéreuses et consommatrices de temps, recherche d'informations
laborieuse sur de grandes quantités de cartes, etc. Depuis le milieu des années 80 et l’arrivée des
Systèmes d’Information Géographiques (SIG) la cartographie a pris une nouvelle dimension. Le SIG
permet la centralisation et le partage de l’information, l’analyse complexe, la gestion, la modélisation,
la simulation. Il permet également un accès rapide à l’information favorisant le partage d’informations
graphiques et alphanumériques

Objectif :

A la fin de ce cours l’etudaint devra etre capable de :

 Géoréférencé une carte


 Manipuler les données vecteurs
 Manipuler les données rasters
 Digitaliser les données
 Importer les données GPS dans ArcGIS et Qgis
 Installer une base de données spatiale
 Enregistre les données depuis une base de données spatiale
 Mettre sur pied un SIG complet

Ingénieur JOSEPH WOUNAYE


Chapitre I Introduction aux
SIG

I. Définition et concept

1 Qu’est-ce qu’un SIG?


Un système d’information géographique étant un système d’information permettant de créer,
d’organiser, de présenter des données et informations localisées géographiquement. En d’autres
termes un SIG peut aussi se définir comme un outil informatique permettant de représenter et
d’analyser toutes les choses qui existent sur terre ainsi que tous les évènements qui s’y produisent.
C’est donc un système permettant de communiquer et de traiter l’information géographique. Un SIG
est capable de gérer une multitude d’informations et renseigne sur les objets spatialisables

2 Qu’est-ce que la géomatique

La géomatique est une science qui regroupe l'ensemble des outils et méthodes permettant d'acquérir,
de représenter, d'analyser et d'intégrer des données géographiques. La géomatique consiste donc en
au moins trois activités distinctes : collecte, traitement et diffusion des données géographiques. Le
mot "géomatique" est issu de la contraction des termes "géographie" et "informatique". La géomatique
est étroitement liée à l'information géographique, qui est la représentation d'un objet ou d'un
phénomène localisé dans l'espace. Le domaine de la géomatique comprend les SIG. Il est donc plus
large que ce dernier.

3 Les différentes composantes d’un SIG


Un SIG est constitué de cinq principaux composants à savoir :

Les données : elles doivent correspondre aux besoins des utilisateurs, elles doivent être très bien
structurées et les mises à jour doivent être régulièrement faites.

Les méthodes : Les méthodes utilisées peuvent être simples (requêtes) ou complexes (analyse
thématique, analyses spatiales

Les utilisateurs : Les utilisateurs sont de plusieurs types les experts, les utilisateurs avancés, les
utilisateurs en consultation. N’est utilisateur que toutes personnes qui utilisent le système.

Le matériel : Le matériel est adapté pour accueillir des logiciels puissants et doit correspondre aux
standards informatiques les plus récents

Les logiciels : ils doivent être puissant, répondre a besoin, facile à utiliser, évolutif et assez bon marché

Ingénieur JOSEPH WOUNAYE


Figure 1: Les composants d'un SIG

Un SIG doit comporter toutes les informations relatives aux objets ou phénomènes concernés, de près
ou de loin, en fonctions des questions qui pourront lui être posées. Ces informations sont
généralement organisées par couches « homogènes », rassemblant à un même type d’objets
(topographie, cadastre, géologie, population, etc.). La notion de couche est donc centrale. Une couche
est un ensemble d’objets partageant certains attributs (un tronçon route est défini par : un identifiant,
une catégorie, une largeur, une longueur, une capacité, une limitation de vitesse)

Figure 2: les types d'information d'un SIG

Ingénieur JOSEPH WOUNAYE


Plus précisément, les SIG comportent des fonctions de saisie des données géographiques (Acquisition),
de gestion de ces données (Archivage), de manipulation, de croisement et de transformation de ces
données spatiales (Analyse) et de mise en forme des résultats (Affichage). En tant que système
d’information, un SIG réalise une certaine modélisation du monde réel. Il comporte pour cela des outils
permettant cette abstraction de la réalité (Abstraction). Ces fonctions constituent ce qu’on appelle
communément les « 5 A ». Attention, tous les logiciels SIG ne proposent pas l’ensemble de ces
fonctions. Certaines fonctions sont aussi moins développées que d’autres au sein des SIG. Ainsi, la
fonction

4 Les questions auxquelles un SIG doit répondre

Où ? : Recherche spatiale d'objets par rapport à leurs caractéristiques « où se trouvent tous les objets
d'un même type ?» Cette interrogation permet de mettre en évidence la répartition spatiale d'un objet

Quoi ? Recherche de caractéristiques d'objets par rapport à leur positionnement, « Que trouve-t-on à
cet endroit ? » Il s'agit de mettre en évidence tous les objets ou phénomènes présents sur un territoire
donné.

Comment ? Recherche de relations qui existent entre différents objets, création d'une nouvelle
information par croisement d'informations,

Quand ? Recherche de changements intervenus sur les données, « C'est la problématique de l'analyse
temporelle. »

Et si ? Définir en fonction de certaines hypothèses l'évolution du terrain, « Que se passerait-il si tel


scénario d'évolution se produisait »

5 Quelques préoccupations pouvant être résolues par un SIG

La distance entre deux points géographiques ;


La superficie d’une zone géographique ;
Intersection en deux ou plusieurs couches
La fusion de deux ou plusieurs couches
Découper une ou plusieurs couches
Le point moyen, le point médian entre une multitude de points ;
Le nombre de points se situant à une certaine distance d’un autre ;
Superposition des plusieurs entités géographiques.

6 Applications des SIG


Les SIG sont utilisés pour toutes les activités à vocation spatiale et s’insèrent très souvent dans
certains domaines qui jadis utilisaient la cartographie classique. Nous pouvons citer.

La foresterie : Aménagement forestier, suivi de l’exploitation du bois, simulation de


la déforestation ;
L’aménagement du territoire : choix de tracés routiers, attribution des titres
d’exploitation forestiers et miniers, études d’impacts, etc. ;
L’agriculture : Analyse des bassins de production, suivi et prévision des récoltes,
sylviculture, etc. ;

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L’environnement : définition des zones sensibles, suivi des évolutions de peuplement,
études des déplacements des populations animales, cartographie pour
aménagement, protection des paysages, etc. ;
Les transports planification des transports urbains, optimisation d'itinéraires)

Chapitre 2 : Systèmes de coordonné géographique et projeté

1. Système de coordonné géographique

1.1 Définition

Un système de coordonnées est un système utilisé pour donner la situation d’un point sur le
globe terrestre. Il peut être défini par un ellipsoïde et un point sera alors localisé par ses coordonnées
géographiques, exprimées par la latitude Ф, la longitude λ, et la hauteur ellipsoïdale h mesurée suivant
la normale à l'ellipsoïde.

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Les coordonnées peuvent être exprimées en degrés, en mètres et dans des référentiels
différents. Un même point aura des coordonnées différentes selon le système de coordonnées utilisé.
On distingue donc deux types de systèmes de coordonnées : Les systèmes de coordonnées
géographiques (SCG) et les systèmes de coordonnées projetées (SCP).

Un système de coordonnées projetées se définit sur une surface plane, à deux dimensions.
Contrairement à un système de coordonnées géographiques, un système de coordonnées projetées
possède des longueurs, des angles et des surfaces constants dans les deux dimensions. Un système de
coordonnées projetées est toujours basé sur un système de coordonnées géographiques, lui-même
basé sur une sphère ou un ellipsoïde.

Dans un système de coordonnées projetées, des emplacements sont identifiés par des coordonnées x,
y sur une grille, dont l'origine est située au centre de cette grille. Chaque position possède deux valeurs
qui la situent par rapport à cet emplacement central. L'une précise sa position horizontale et l'autre,
sa position verticale. Ces deux valeurs sont appelées la coordonnée x et la coordonnée y.
Avec cette notation, les coordonnées à l'origine sont x = 0 et y = 0.

Figure 3:Coordonnées géographiques : latitude et longitude (source : pôle ARD)

La longitude et la latitude sont des mesures d'angles et peuvent être exprimées en degrés, en grades
ou en radians. Il ne faut pas confondre la hauteur ellipsoïdale, mesurée par rapport à l'ellipsoïde, et
l'altitude normale mesurée par rapport au géoïde. Avant les années 1960, les altitudes étaient
mesurées par rapport au niveau de la mer (altitude orthométrique).

1.2 Quelques exemples de systèmes de coordonnées

Il existe de nombreux systèmes de coordonnées. Ils sont recensés par l'EPSG (European
Petroleum Survey Group) qui a attribué un code à chacun. Quelques exemples :

World Geodetic System (WGS84) : système mondial (pas de point fondamental), mis au
point par le Département de la Défense des États-Unis et utilisé par le GPS, basé sur
l'ellipsoïde WGS84. Son exactitude est métrique, et son ellipsoïde se nomme IAG-
GRS80.

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Nouvelle triangulation de la France (NTF) : officiel jusqu'en décembre 2000 ; la plupart
des cartes de l'IGN sont toujours dans ce système, basé sur l'ellipsoïde Clarke 1880 IGN.
Le point fondamental est au Panthéon à Paris. C’est le système de coordonnée utilisé
par le MINFOF
Réseau géodésique français (RGF) 1993 : France, basé sur l'ellipsoïde IAG-GRS80.
Officiel depuis 2000.
European Datum (ED) 50 : système européen, basé sur l'ellipsoïde Hayford 1909 Ce
système est facilement compatible avec le WGS84 par exemple

Certains systèmes seront adaptés à une zone précise, d'autre à la Terre entière. Plusieurs
systèmes coexistent souvent pour une même zone, en raison par exemple de l'avancée des techniques
ou de règlements. Un même point aura des coordonnées différentes selon le système utilisé pour les
mesurer.

2. Les Systèmes de coordonné projeté


1 Définition
C’est la correspondance mathématique ponctuelle, continue et généralement biunivoque
entre les points d'un ellipsoïde et les points du plan. On distingue essentiellement les projections
conformes qui conservent les angles, les projections équivalentes qui conservent les surfaces et les
projections aphylactiques, qui ne conservent ni les angles, ni les surfaces.

Figure 4: Le géoïde

La projection cartographique est un ensemble de techniques géodésiques permettant de représenter


la surface de la Terre dans son ensemble ou en partie sur la surface plane d'une carte.

2.1 Présentation des différents types de projection.

Selon la nature des altérations, on distingue trois principaux types de projection : conforme,
équivalente, aphylactique. Les projections vont permettre de passer d’un système en trois dimension
(x, y, z) vers un système en deux dimension (x, y).

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Figure 5:les différents type de projection cartographique

2.2 Description d’une projection couramment utilisée (Projection de Mercator Transverse)


Elle a été définie au 19ème siècle par Gauss. Elle fait partie des projections les plus utilisées
dans le monde. C'est une projection cylindrique transverse, le cylindre est tangent ou sécant à un
méridien que l'on appelle le méridien d’origine. L'image du méridien central et de l'équateur sont des
droites perpendiculaires. Les parallèles et les méridiens sont des courbes mais demeurent orthogonaux
entre eux.

UTM (Universal Transverse Mercator) C'est un système de 122 projections. Il a été défini vers
1950 par l'armée américaine pour représenter l'ensemble de la Terre, Il est constitué par la
juxtaposition de 120 projections Mercator Transverse conformes :

- 60 fuseaux de 6° pour couvrir le globe (entre 80°Sud et 80°Nord),

- 2 projections pour chaque fuseau (Nord et Sud).

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FODER| EU-CFPR ǀ Manuel de formation en SIG

Figure 6:Découpage UTM mondial

.
Chapitre 3 Typologie des données d’une SIG et géo référencement

3.1 Typologie des données d’une SIG


En SIG la matérialisation ou la représentation des données se fait suivant deux principales classes de
données, Les données RASTER et les données vecteurs.

3.2 Les données raster


Les RASTER sont des images (plans scannés, photographies aériennes, images satellitaires) repérées
dans l'espace. Les données raster peuvent être sous plusieurs types de format à savoir donc voici les
plus utilisés : Les GeoTIFF - format TIFF enrichie avec des métadonnées relatives au SIG ; les Portable
Network Graphics (PNG) ; les JPEG2000 - format compressé, permettant une compression avec ou sans
perte., ESRI grid - fichier binaire ou ASCII utilisé par ESRI et les IMG - ERDAS IMAGINE1

Exemple :

Vue du port de Baltimore, dans le Maryland (USA). Les zones végétalisées sont codées en rouge
(activité chlorophyllienne mesurée par le proche infrarouge), les zones portuaires en cyan (fortes
réflectances dans les canaux rouge et vert) et les surfaces résidentielles sont colorées en gris-bleu
foncé. L'eau, parce qu'elle absorbe le rayonnement infrarouge, apparaît en noir profond, avec
quelques nuances dues à la turbidité.

Figure 7: Image Raster

3.3 Les données vecteurs


Les vecteurs se définissent uniquement par des coordonnées. On trouve des données vecteurs de type
point, ligne, polygone. Un point sera défini par un couple de coordonnées XY, une ligne ou un polygone
par les coordonnées de leurs sommets. Une couche vecteur sera soit de type point, soit de type ligne,
soit de type polygone mais ne pourra contenir de données de deux type différents
Figure 8: Les données vecteur

Les points : Ils définissent des localisations d'éléments séparés pour des phénomènes géographiques
trop petits pour être représentés par des lignes ou des surfaces qui n'ont pas de surface réelle comme
les points cotés.

Les lignes : Les lignes représentent les formes des objets géographiques trop étroits pour être décrits
par des surfaces (ex : rue ou rivières) ou des objets linéaires qui ont une longueur mais pas de surface
comme les courbes de niveau.

Les polygones : Ils représentent la forme et la localisation d'objets homogènes comme des pays, des
parcelles, des types de sols

3.4 Acquisition des données


La vectorisation
Elle s’opère sur une image scannée. C’est l’interprétation de successions de points en entités vectoriel
(Point, arc, cercle, polygone, ligne). Comme le montre ci-dessous une image scannée présente de
nombreuse imperfection : des traits d’épaisseur variable, voir accidentellement discontinus, des noms
des objets parfois non lisible. Le travail sera donc de pouvoir dupliquer les traits mais sur une autre
couche
Le scannage
Il est possible de réaliser des rasters en
scannant des plans, des cartes papier, des
photographies aériennes. Une fois scanné,
il est nécessaire de géoréférencer l’image.

Acquisition sur le terrain

Il est parfois nécessaire de réaliser des acquisitions sur le terrain via des GPS. Il existe différents GPS.
Des GPS « grand public » (type Garmin) et des GPS différentiels de haute précision. Ces derniers GPS
permettent également d’enregistrer des données attributaires.

Une fois les relevés réalisés, il faut importer les points et leurs attributs dans le logiciel SIG sous la
forme de couches vectorielles.

Importation de données vecteurs et rasters


Il est possible d’utiliser des données créées par d’autres personnes. Les différents producteurs de
données sont décrits après. Lorsque l’on utilise des données provenant de producteurs, il est
indispensable de connaître le format et le système de projection utilisé. Ces renseignements sont
écrits dans les métadonnées. Les métadonnées sont des renseignements permettant de qualifier la
donnée en remplissant un certain nombre de champs descriptifs.
3.5 Georéférencement des données.
Le géoréférencement consiste à utiliser des coordonnées cartographiques pour affecter un
emplacement spatial à des entités cartographiques. Tous les éléments d'une couche de carte ont une
position et une étendue géographiques spécifiques qui leur permettent d'être repérés sur la surface
de la terre, ou près de celle-ci.
La capacité de localiser avec précision des entités géographiques est essentielle pour la cartographie
et le SIG. En d’autres termes Le géoréférencement s'applique à des images informatiques, appelées
raster ou matrice en géomatique. Son but est d'affecter une référence spatiale, dans une projection
géographique donnée, à une image qui n'en a pas

Chapitre 4 Affichage des données GPS sur QGIS et ArcGIS

4.1. Traitement des waypoints


Pour le faire, nous avons besoin d’un logiciel de traitement de donnée comme MS Excel qui nous
permettra de traiter tout d’abord les données et de les afficher par la suite.

Première méthode : Tout d’abord nous allons connecter le récepteur GPS à notre ordinateur s’il
dispose d’un câble. Ouverture d’une page Excel > fichier > ouvrir > on sélectionne le fichier dans
le répertoire du GPS > Ouvrir. On peut alors procéder à un nettoyage des données en fonction de
notre fiche de collecte pour ne garder que les coordonnées dont nous avons besoin.

Deuxième méthode : On ouvre une page Excel et on saisit les coordonnées sur la page en
respectant le système d’encodage pris en charge par les logiciels SIG.

NB : Comment encoder des coordonnées géographiques dans un tableur Excel ?


Pour encoder des coordonnées géographiques, il faut s’y prendre d’une manière rigoureuse afin
que ceux-ci soient pris en charge par QGIS ou tout autre logiciel SIG.
S’agissant d’un Système de Coordonnées Géographiques (SCG), les données sont entrées soit en
degrés décimaux c’est-à-dire sous la forme XX.XXXX (exemple de 2.8457), soit en
Dégré/Minutes/Secondes (DMS) c’est-à-dire sous la forme XX XX.XXX (exemple de 3° 15’ 254’’ qui
dans Excel sera encodé 3 15.254). Pour un Système de Coordonnées Projetées (SCP), les données
sont entrées sous la forme xxxxxx (exemple de 789544).

Après avoir terminé l’encodage, on enregistre nos coordonnées sous format .csv (séparateur
pointvirgule).

4.2. Visualisation des waypoints sur QGIS


Après avoir terminé l’encodage des waypoints collectés, nous pouvons dès maintenant les
afficher sur QGIS. Pour le faire, nous ouvrons notre page QGIS >Ajouter une couche de texte
délimité .
1
2

Ensuite Ok, On définit le système de coordonnées de référence (WGS 1984 ou WGS/ UTM Zone
…)> Ok.

Nous avons donc nos points qui s’affichent et on peut ainsi les exporter en shapefile (click droit >
enregistrer sous > Format : Esri Shapefile.

Eléments de mise en page

Toute carte doit comporter un certain nombre d'éléments d'habillage. Certains sont obligatoires :
 Une légende reprenant les différents signes utilisés et donnant leur signification
 Le titre
 La date
 La mention de la ou des sources des données
 L’orientation (c'est un élément qui reste souvent nécessaire)
 L’échelle (même remarque !)
 La latitude/longitude
 L’auteur
 La typonomie (facultatifs)
 Le cadre (facultatifs)
Les différents éléments qui peuvent être compris dans l'habillage d'une carte sont tous indiqués dans
le schéma ci-dessous.

Nous allons les énumérer et les décrire sommairement en les localisant selon l'endroit où l'on va les
faire apparaître. Pour bien comprendre comment les éléments sont organisés, retenez le sché ma ci-
dessous qui vous permettra d’identifier le cadre, l'orle (liséré encadrant la zone cartographiée) et la
zone d'impression.
Mise en page

Image 6

TP 1 : Installation de QGIS

TP2 : Utilisation du GPS


TP 3 : Importation des données dans un QGIS

TP 4 : Requête spatiales et attributaires (sur les jeux de données)

TP 5 : importation des données de OPEN STREET MAP dans QGIS

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