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Une base de données est un ensemble d’informations organisées ou structurés selon un but
précis et exploitable dans un système connu sous de Système d’Information Une base de
données géographiques est ainsi un ensemble d’informations à référence spatiale. Sur une
portion de la surface de la terre, les informations peuvent être représentées et organisées pour
plusieurs besoins à travers une carte. Il existe deux types de données cartographiques :
La carte est une représentation en plan des éléments d’une surface de la terre. Son exploitation
serait plus efficiente si elle est introduite dans un système numérique conventionnel.
Une base de données peut être créée afin de mieux structurer les informations fournies par une
carte. Pour une meilleure gestion d’une base de données (issue d’une carte analogique), il y a
lieu de comprendre les différentes étapes nécessaires à sa construction, son contrôle, son
exploitation.
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II. INTRODUCTION AUX SYSTEMES D'INFORMATION GEOGRAPHIQUE
(SIG)
Une information toujours nécessairement réductrice sur une carte car elle est le
résultat d'une synthèse etc.
Ainsi, est né, dès les années 60 (au Canada et aux Etats-Unis), le concept de cartographie
numérique et de Système d'Information Géographique (SIG).
Les SIG sont maintenant largement utilisés dans plusieurs secteurs de l'activité humaine :
Administration ;
Entreprise ;
Recherche ;
Enseignement ;
Gestion de l'environnement ;
Aménagement forestier ;
Etc.
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2.2 Définition d'un Système d'Information Géographique
Système : un système par définition est un ensemble globalement organisé et comprenant des
éléments qui se coordonnent pour concourir à un résultat. Ce système se réfère donc à
l'ensemble intégré utilisateur / machine pour l'élaboration de l'information. Ce sont toutes les
fonctionnalités informatiques et cognitifs nécessaires à la capture, au stockage, à la gestion, à
l'analyse et à la représentation des données (inputs, outputs) ;
Géographique : le terme géographique induit le caractère spatial des données. Ces données
doivent être référencées dans l'espace et présentées sous forme cartographique.
Un SIG n'est pas seulement l'outil informatique qui manipule les données, mais il intègre
plusieurs composantes qui font les spécificités d'un système complet :
La base de données géographiques : c'est le concept central des SIG. La base de données est
composée d'information décrivant les éléments géographiques et définissant les
caractéristiques thématiques (attributs) des données ;
Le système d'analyse spatiale : c'est le moyen qui permet d'analyser les données sur la base
de leurs caractéristiques spatiales. L'analyse géographique consiste à développer et à
appliquer des modèles d'analyse en vue d'étudier ou d'évaluer des processus spatiaux ;
Les systèmes auxiliaires : c'est l'ensemble des procédures permettant le traitement numérique
d'images aérospatiales et d'analyse statistique des données.
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2.4 Principales fonctionnalités d'un SIG
Un SIG est un système de gestion de base de données auquel on ajoute les possibilités de
représentation graphique. Les principales fonctions d'un SIG sont :
La collecte des données GP et des données tabulaires avec des informations localisées ;
D’autre part, les données sur le Système d’Information Géographique sont acquises sous
plusieurs formes :
Le pré traitement :
La photo-interprétation ;
La détection des erreurs et l’édition des données (les polygones non fermés, le mauvais
emplacement des arcs, la saturation des nœuds, etc.) ;
L’interpolation ;
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La conversion des différents formats.
"Un ensemble de données géographiques structurées, géré par un système, dont le but est
une meilleure compréhension de l'espace intégrant la dynamique des phénomènes analysés
; Ceci allant de paire avec une représentation pertinente de l'espace en question".
Etant un outil d'analyse et de représentation du résultat de cette analyse, le SIG est sans aucun
doute un instrument de décision judicieuse pour les scientifiques et les politiciens ; C'est donc
un outil de développement.
Tous les logiciels SIG doivent pouvoir manipuler deux types d'objets ou entités :
Les entités spatiales référencées que l'on peut représenter dans un plan ou dans l'espace par un
point (sommet, puits), une ligne (route, cours d'eau), une surface (lac, forêt) ;
Les entités descriptives porteuses d'informations qualitatives et quantitatives, se rapportant
aux précédentes entités : altitude, longueur ou débit, nom, etc.
Parmi les logiciels SIG on peut citer :
Arc Info;
Arc View;
Idrisi ;
Intergraph ;
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Map Info ;
Etc.
Les satellites tournent autour de la terre deux (2) fois par jours sur six (6) orbites avec un
angle d'inclinaison de 55° par rapport à l'équateur et à une distance d'environ 20.000 Km de la
terre.
Deux types de codes sont transmis par les satellites en mouvement. Il s'agit de :
Code C/A (corse acquisition code) : c'est un code civil qui est presque à la portée de tout le
monde. En effet, l'appareil GPS que nous utilisons sur le terrain capte les données sur le code
civil. Les signaux sur le code C/A sont émis presque chaque milli seconde ;
Code P (protected code) : comme son nom l'indique, c'est un code ultra protégé et uniquement
à l'usage de l’armées Américaine et Européenne pour des opérations exclusivement militaires.
Le récepteur GPS capte continuellement les signaux et enregistre dans sa mémoire deux types
de données envoyées par les satellites composant le système. Il s’agit des données Almanac
et des données Ephemeris.
Les signaux Ephemeris contiennent des informations relatives aux paramètres précis d'un
satellite spécifique.
Toutes ces informations, collectées et stockées par l'appareil, sont traitées avec une extrême
rapidité. Ce système de traitement permet de calculer, en fonction du temps entre la
transmission et la réception des signaux des satellites, la distance plus ou moins précise de
chaque satellite qui le sépare de la terre.
Le système de liaison, sur terre, est composé de :
Une station principale de contrôle basée au Colorado (USA) qui est chargée de : calculer la
position des satellites, corriger les erreurs et envoyer les données aux stations de support ;
Quatre (4) stations secondaires de suivi et de contrôle : elles ciblent les satellites pour la
station principale de contrôle ;
Trois (3) stations de support chargées de la transmission des corrections faites par les stations
de contrôle.
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Les stations de supervision et les antennes à travers le monde parcourent tous les satellites en
recueillant les données qu'elles transmettent à la station de contrôle. A cet effet, la position
exacte des satellites ainsi que les qualités des signaux peuvent être préservées. Si toute fois un
satellite quelconque émet des mauvais signaux ou n'opère pas, une station terrestre note tout
de suite son mauvais état de fonctionnement et fait ensuite émettre aux récepteurs un code
particulier. Ainsi, lorsqu'un satellite affecté envoie des données au récepteur GPS, ce dernier
les rejette totalement et passe à un autre satellite aux données meilleures.
Les domaines d'utilisations de système GPS sont multiples et variés. Il s'agit notamment de :
La cartographie ;
Etc.
3.2 Description générale de l’appareil et détails sur les fonctions les plus
Garmin 12, 12 XL, II, III Plus, 38, 45,48, 50, 75, 100, Etrex ;
TDC 1 ;
Géoexplorer II ;
Etc….
Une antenne
Elle permet à l'appareil de recevoir des signaux satellitaires. Elle peut être apparente ou
incorporée selon les types d'appareil et leurs versions. C'est le canal d'échange entre le
récepteur et les satellites. C'est pourquoi, il est vivement déconseillé d’utiliser le GPS au
moment des tornades (attraction de la décharge électrique);
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Un écran (display)
C’est le lieu d’affichage de toutes les informations reçues ou données par l'appareil. C'est
donc un périphérique de sortie ;
Un clavier
Le clavier est généralement composé de deux (2) types de touches : les touches de fonction et
les touches alphanumériques. Ces dernières peuvent être apparentes ou incorporées selon les
types d'appareil ou leurs versions.
Tous les deux types de touches sont utilisés pour mettre en marche l'appareil, avoir accès à
l'information et pour toute manipulation de l'appareil.
3.2.2 Détails sur les fonctions les plus utilisées de l'appareil (exemple de la version 50
12XL)
ON / OFF : cette touche permet de démarrer (mettre sous tension), d'éteindre (mettre hors
tension) et d'éclairer l'écran.
Mise sous tension : une simple pression permet de lancer l'appareil à faire un auto-test sur les
données qui sont dans sa mémoire et sur la source d'alimentation énergétique (piles, courant) ;
Mise hors tension : une pression de trois secondes permet d'éteindre l'appareil.
b)
c) ENTER : elle permet de valider ou de lancer une opération quelconque sur l'appareil
d) MENU : cette touche permet à l'opérateur de personnaliser son récepteur. En effet, une
pression sur cette touche permet d'afficher la page menue dans laquelle on sélectionne le sous
- menu "NAV SET UP" avec la touche flèche puis on appuie sur ENTER.
Sélectionner ensuite :
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NB : sur cette touche (menu), on peut sélectionner le sou_ menu LANGUAGE pour choisir
la langue de travail (Anglais, Français, Espagnol, etc.)
E T E : estimation de temps à mettre entre les deux points en fonction de la vitesse de votre
moyen de transport (préalablement intégré) ;
Etc.
POOR COVERAGE : insuffisance des satellites GPS dans l'espace ou du moins la position
du récepteur ne lui permet d'accéder aux données (obstacle quelconque) ;
NO SATELITE IN THE SKY : pas de satellite dans le ciel. Ce message apparaît quand
généralement l'administration du système brouille les données ou que les stations de contrôle
sont en maintenance ;
BATTERY LOW : lorsque la source d'énergie est déchargée. Il faut donc rapidement charger
pour éviter la perte des données non enregistrées ou tampons.
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Concevoir une fiche de collecte de données comportant les points suivants : nature de
relevé, n° de la fiche, nom du releveur, date, n° des points à relever, coordonnées
géographiques, observations, etc.
Règle générale :
o Les mesures suivantes doivent être observées lors des opérations de relevé :
o Choix du point assez éloigné des surfaces réfléchissantes (toit en tôle, plan d'eau…) ou
perturbantes (antenne d'émission ou de réception, fils électriques ou téléphoniques…).
o Choisir le second point distant d'au moins 50 à 100 mètres du premier et répéter la
même opération.
o Le relevé par cheminement qui consiste à positionner les points l'un après l'autre de
façon ordonnée (le relevé des pistes et des surfaces) ;
o Le relevé par points qui consiste à relever les points d'une manière désordonnée.
Toutes ces données, une fois collectées, seront traitées soit par report direct sur la carte (fonds
topo), ou soit par intégration dans le Système d'Information Géographique (SIG).
L’intégration dans le système SIG des données (coordonnées) collectées commence par
leur saisie sur format excel.
Les données doivent être en degrés décimaux. Ce format peut être directement obtenu
après configuration de l’appareil récepteur GPS (h.dddd) ou après calcul avec EXCEL.
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IV QUELQUES APPLICATIONS SUR EXCEL
Dans cette feuille de calcul, vous pouvez saisir vos données et faire plusieurs types
d’opération :
Addition
Multiplication
Division
Opérations complexes : exemple convertir les données en degré – minute - seconde en degrés
décimaux.
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V TRANSFERT DES DONNEES GPS
Le transfert automatique des données GPS prises sur le terrain est une technique qui permet à
l’utilisateur d’éviter certaines erreurs. Les erreurs liées à la saisie manuelle des données
peuvent être fatales pour le résultat du relevé.
Les principales étapes sont (exemple d’un GPS Garmin et de Map source) :
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Après avoir lancer cette commande, une autre fenêtre s’ouvre :
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L’opération commence et à la fin une fenêtre s’ouvre. Celle-ci paraît sans données, mais en
cliquant sur l’ondulet «123 waypoints », tous les points enregistrés s’affichent avec leurs
coordonnées.
6. A partir de là, les données peuvent être exportées sous format (.txt).
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7. Le fichier avec extension (txt) est ensuite récupéré avec EXCEL.
- Ouvrir d’abord une fenêtre Excel ;
- Pour le type de fichier, sélectionner « tous les fichiers » pour afficher votre fichier
(txt) ;
- Une 1ère fenêtre s’ouvre, cliquer « suivant »
- Une 2ème fenêtre s’ouvre, cocher « Espace »
- Ensuite terminer.
Votre fichier s’affiche avec entre autres les colonnes « Latitude » et « Longitude »
Cependant les contenus des cellules commencent par N pour les Latitudes et E pour les
Longitudes.
10. Le résultat de cette opération est copié et collé (collage spécial ‘valeur’) dans d’autres
cellules.
Ce fichier est enregistré en (.dbf4) pour la procédure de génération de couche.
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VI TRAVAILLER AVEC ARCVIEW
ArcView est un logiciel SIG performant et convivial qui permet de gérer une base de données
territoriale. On peut acquérir des coverages PC-ARCINFO ou Shapefiles (Fichier de forme),
des tableaux dBase et des images en différents formats (GIS, LAN). Sur les données chargées
il est possible exécuter des visualisations, élaborations, analyses territoriales et sortie
d'imprimés.
ArcView
ArcView GIS
GIS
Base Projet.apr
Projet.apr
Base de
de données
données
BD
BD Vues
Vues
Géographique
Géographique
Tables
Tables Mise
Mise en
en page
page
BD
BD Tabulaire
Tabulaire
Diagrammes
Diagrammes
Script
Script
L'unité de base de l’application ArcView est définie Projet. Un Projet est un fichier de texte,
avec extension. APR, qui contient toutes les spécifications nécessaires pour visualiser, lier et
soigner l'editing graphique et effectuer les analyses sur la base des informations appelées dans
la base de données. Le fichier. APR ne contient pas les coverages, tableaux ou données, mais
l'ensemble des commandes qui appellent et qui lient les éléments qui composent une
visualisation ou une élaboration.
L'environnement d'un « Projet » est divisé dans les sections suivantes :
Vues : Visualisation des couches, projection des couches dans le système de coordonnées
désiré, classifications des éléments de la couche sur la base des données des tableaux associés,
interrogation des éléments d’une couche sur la base de critères géographiques. Il est possible
de travailler sur tous les aspects graphiques des coverages visualisées, d'attribuer des
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étiquettes aux différents éléments, d'effectuer des sélections sur la base des données des
tableaux, sur la base de la distance ou intersection avec d'autres couvertures, de créer ex novo
des couvertures à partir de coordonnées ou nouvelles parties graphiques directement dessinées
(shapefiles) qui pourront être traitées comme coverages.
Tables : gestion des tableaux (fichiers. dbf), création et modification des attributs,
élaborations, recherches logiques, liaisons entre tableaux (commandes « Jointure » et
« Lier »).
Diagrammes : graphiques à partir de tableaux dBase
Mise en page : préparation de sorties pour imprimante sur laquelle il est possible de visualiser
des Vues, Tables, Diagrammes et images reportées en différents formats.
Scripts : composante qui permet, à travers un langage propre de programmation (Avenue), de
personnaliser l'environnement de travail ArcView et d’écrire des macros qui peuvent être
exécutées à l’intérieur des Projets.
Chaque section possède un menu propre avec des instruments spécifiques, mais tous les
éléments, tableaux, couches, mise en page et diagrammes sont toujours en relation entre eux.
La modification ou sélection d’un élément sur la section Tables comportera automatiquement
la mise à jour de l’élément sur les autres sections (vues, diagrammes, mise en page) et vice-
versa.
Fenêtre
ArcView
Fenêtre
de Projet
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Lancer ARCVIEW
NB : Si vous avez créé sur votre bureau un raccourci, il vous suffit de cliquer deux fois sur
l’icône de ArcView
La bannière ArcView GIS apparaît et une jauge graphique permet de suivre la progression
du lancement
Dans la boîte de dialogue qui s’affiche, cocher la case as blank project
A l’ouverture d’ArcView, une fenêtre nommée ArcView GIS s’affiche : c’est la fenêtre
d’application.
Cette fenêtre contient une fenêtre plus petite appelée « untitled » : c’est la fenêtre de projet.
En effet, Arcview structure votre travail à travers des projets.
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Lorsque vous ouvrez un Projet, tous les composants du Projet s'affichent sous forme d'une
liste dans la fenêtre du Projet.
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Dans cette fenêtre, vous pouvez créer de nouveaux composants de Projet, ouvrir ou renommer
les composants existants, ou retirer des composants de votre Projet. Lorsque la fenêtre du
Projet est active, vous pouvez exécuter d'autres opérations sur le Projet et ses composants à
l'aide des options de menu et des boutons préposés.
La section « Vues » permet de visualiser les couches. Pour ouvrir une nouvelle Vue cliquer
sur le bouton « Nouvelle » dans la fenêtre de Projet. Les couches à l’intérieur de la Vue sont
dénommées « thèmes ».
La section « Vues » est douée de sept menus principaux :
Fichier : Instruments de gestion du module Vue
Edition : gestion des éléments graphiques et des couches présentes sur la vue
Vue : gestion des propriétés de la vue (système de projection etc.)
Thème : gestion des propriétés de la couche active
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Graphique : gestion des éléments graphiques de la couche
Fenêtre : gestion de l’affichage
Aide : guide en ligne
Menu
Boutons
Fenêtre Vue
Thème inactif
Thème actif
Table des
matières
Fenêtre de
visualisation
Pour ouvrir une nouvelle couche utiliser la commande « Ajouter un thème » du menu
« Vue ». Le nom de la couche avec un symbole associé apparaîtra dans la "Table des
matières".
Le logiciel ArcView est doté d’une série d’outils qui permettent d’exécuter des requêtes et des
sélections tant sur la base des attributs des éléments que sur celle de leur représentation
graphique.
Rechercher : cet outil permet de trouver un élément sur la base d’un de ses attributs, pour
exemple un village à partir du nom. Le village sélectionné est visualisé au centre de la vue.
Identifier : cet outil permet d’interroger les attributs liés à un élément.
Sélectionner l’entité : permet la sélection directe des éléments sur la vue, c’est un outil de
sélection graphique. Les éléments sélectionnés sont mis en évidence sur la Vue et sur la
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table.
Sélection dans la table : avec cet outil on peut sélectionner des records de la table et
parallèlement les éléments sont sélectionnés dans la section Vue.
Requête logique : permet de sélectionner les éléments sur la base de leurs attributs. Cette
typologie de sélection fonctionne :
à partir de la commande « Propriétés » du menu « Thème » de la Vue : le thème qui sera
affiché sur la vue après la sélection contiendra seulement les élément sélectionnés. Même la
table contiendra seulement les éléments sélectionnés ;
à partir de la commande « Requête logique » du menu « Thème » de la Vue, à partir du
bouton sur la Vue, à partir de la commande « Requête logique » du menu « Table » de la
Table, à partir du bouton sur la table. Permet seulement de mettre en évidence les éléments
sélectionnés avec la couleur de sélection.
Sélectionner par thème : avec cette commande à partir du menu « Thème » de la Vue on
peut sélectionner les éléments d’un thème sur la base de leurs interactions avec les éléments
d’un autre thème.
Avec ArcView il est possible d’apporter des changements tant à la partie tabulaire qu’à la
partie géographique d’une couche.
Les modifications peuvent être apportées à la partie géographique seulement si la couche est
en format de shapefile (fichier de forme .shp).
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Dans le module Table on dispose d’une série d’outils pour la gestion des tables. Les outils de
modification de la table peuvent être activés dans une session de « édition ». Pour démarrer
une session d’édition utiliser la commande « Mise à jour » du menu « Tables ».
A ce moment il est possible d’ajouter un nouveau Champ d’attributs (aussi dit item) à la table
à partir de la commande « Ajouter un champ » dans le menu « Edition ».
Il est possible de créer les attributs du nouveau champ avec les outils suivants :
pointeur « Mise à jour » qui permet de rentrer dans chacune des cellules à modifier.
bouton « Calculer » avec lequel il est possible de calculer la valeur des attributs du nouveau
champ sur la base d’opérations mathématiques exécutées sur les autres champs.
Avec les fonctions d’édition on peut également choisir d’effacer un champ. A la fin de la
session d’édition cliquer sur la commande « Fin de mise à jour » du menu « Table » et toutes
les modifications seront enregistrées au niveau de la table originale.
Cliquer sur la fenêtre de visualisation et sélectionner l’entité à laquelle vous voulez ajouter
l’attribut avec l’outil « Sélectionner l’entité ».
Sur la table des attributs de la couverture simultanément sera sélectionnée la ligne
correspondant aux attributs de l’entité sélectionnée.
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Repérer sur la carte originale le code de l’élément qui a été sélectionné sur la Vue.
Activer la fenêtre des attributs de la couverture.
Sélectionner le pointeur « Mise à jour » et se placer sur le nouveau champ.
Saisir l’attribut correspondant à l’élément sélectionné.
Répéter la même opération pour toutes les entités de la couverture.
Vérifier que toutes les lignes du nouveau champ sont complètes avec le bouton « Tri
ascendant ».
Enregistrer les modifications effectuées sur la table des attributs de la couverture avec la
commande « Fin de Mise à jour ou stop editing» du menu « Table ».
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VII GENERATION DE COUCHE EN POINTS
1 : Dans explorateur Windows, créez votre propre répertoire de travail. Evitez des noms longs
(de plus de 6 caractères).
2 : Saisissez les coordonnées dans Excel avec en 1 ère colonne les longitudes et en deuxièmes
les latitudes.
Aux premières cellules écrivez longitude et latitude.
3 : Enregistrez le fichier avec l’extension dbf4 dans votre répertoire de travail. Pour le faire,
vous faites « enregistrer sous » vous cherchez votre répertoire et en bas deux (2) fenêtres
s’ouvrent : dans la première vous donnez un nom à votre fichier. Dans le second, vous
spécifiez le type de format. Une flèche défilement à droite vous permet de choisir l’extension.
Vous sélectionnez .dbf4
Excel vous rappelle que ce type de fichier ne s’applique qu’à une feuille. Vous cliquez sur
« OK »
Il vous demande ensuite d’enregistrer les modifications sur le fichier Excel d’origine, vous
répondez « non ».
Vous quittez Excel.
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Démarrer ArcView
NB : Si vous avez créé sur votre bureau un raccourci, il vous suffit de cliquer deux fois sur
l’icône de ArcView
La bannière ArcView GIS apparaît et une jauge graphique permet de suivre la progression
du lancement
A l’ouverture d’ArcView, une fenêtre nommée ArcView GIS s’affiche : c’est la fenêtre
d’application.
Cette fenêtre contient une fenêtre plus petite appelée « untitled » : c’est la fenêtre de projet.
En effet, Arcview structure votre travail à travers des projets.
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Vous cliquez sur «cancel» de la petite fenêtre de dialogue.
Vous ouvrez un nouveau projet
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A gauche de la fenêtre vous cliquez sur « table » et plus en haut cliquez sur « Add »
(Ajouter)
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Une fenêtre s’ouvre et en bas dBase.dbf s’affiche par défaut.
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En ouvrant votre répertoire de travail, votre table s’affiche plus en haut avec l’extension .dbf4
telle que vous l’avez enregistré avant de quitter EXCEL.
Cliquez une fois la dessus pour l’activer et fermez cette fenêtre.
Ainsi vous revenez au menu principal du projet
A gauche encore vous cliquez sur « Views » et plus en haut « New » : une nouvelle vue est
ouverte
Dans le menu principal, vous cliquez sur « Views » et la commande « Add event theme »
(Ajouter un thème de localisation)
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Une nouvelle fenêtre s’ouvre pour vous demander de préciser
Si X = Longitude et Y = Latitude
Cliquez sur Ok
Dans la vue votre table s’ajoute.
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Vous la visualisez en cliquant la dessus.
Les points s’affichent sur la vue.
Sélectionnez la table devenue thème et dans le Menu principal, vous cliquez sur Theme
Convert to shapefile
Une fenêtre s’ouvre qui vous demande de donner un nom à la table qui va passer de
l’extension .dbf à l’extension .shp (fichier de forme).
Avec Ok, il vous demande si vous voulez l’affichez sur la vue, vous cliquez sur Ok.
Ainsi vos coordonnées sont intégrées sous format ARCVIEW (.shp).
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VIII GENERATION DE COUCHE EN LIGNES
La procédure est la même jusqu’à la visualisation de la table en points. Pour avoir la ligne il
faut relier les points.
Dans le Menu principal, vous cliquez sur View (Vue) et « New theme » (Nouveau thème).
Une fenêtre s’ouvre pour spécifier le type fichier. Vous spécifiez « line » et Ok
Il vous demande de donner un nom au fichier que vous voulez créer.
Dans la barre d’outil affichée en haut vous cliquez sur la figurine en
Et avec la souris de l’ordinateur vous rejoignez les points de votre table en cliquant sur
chacun. Tout en avançant, la ligne se dessine. Celle-ci est géoréférencée.
Cette procédure étant assez mécanique, des extensions supplémentaires vous permettent de
créer la ligne automatiquement :
Ensuite, Xtools
Make one polyline with points
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IX GENERATION DE COUCHE EN POLYGONES
Vous cliquez sur tous les points, jusqu’à revenir sur le premier où vous cliquez deux (2) fois
pour terminer.
Toute fois, vous pouvez directement générer une couche polygone sans que vous même, vous
rejoigniez les points.
File (Fichier)
Extension
Xtools.
Xtools
Make polygon with points
Et OK
Il vous demande ensuite s’il faut l’afficher comme thème sur la vue
Cliquez sur Ok.
Si vous avez plusieurs lignes ou plusieurs polygones à numériser, depuis la saisie sur Excel,
vous les intercalez avec longitude latitude et la procédure est la même pour la suite.
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XI PREPARATION D’UNE VUE CREATION DES CHAMPS CODIFICATION ET
DISCRIMINATION DES ENTITES AVEC LES COULEURS
Les couches générées à partir des coordonnées GPS sont en coordonnées réelles, elle n’on pas
besoins de topologie
Toutes les couches avec topologie peuvent être visualisées sous forme de thème dans une vue
avec ARCVIEW
Lancer Arcview
File (Fichier)
New project (Nouveau projet)
Une fenêtre s’ouvre Add theme: vous cherchez le répertoire où se trouvent les couches
numérisées. Celles – ci s’affichent à gauche, vous sélectionnez les couches une à une et OK.
La VUE1 s’ouvre à nouveau avec à gauche les icônes indiquant les couches sélectionnées. En
cliquant sur chacune, elle s’affiche à l’écran selon sa typologie : points, lignes, polygone.
Mais dans ces couches tous les éléments numérisés ne sont pas discriminés (nom : villages,
code : pour l’occupation des sols, type de route, etc.).
Pour le faire, il faut ajouter un champ sur la table des attributs du thème.
On sélectionne le thème
Ensuite
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Table
Start editing (mise à jour)
Ensuite
Edit (Edition)
Add field (Ajouter un champ)
Une fois la table mise à jour, on peut procéder à la discrimination des différents éléments du
thème avec des couleurs différentes ou avec différentes trames.
Pour le faire
Cliquez 2 fois sur le thème à traiter.
Ensuite
Value Field (Valeur du champs) Vous appuyez sur la flèche à droite et cliquez sur le
nouveau champs créé.
Sur le tableau d’en bas tous les codes apparaissent avec différentes couleurs.
Vous pouvez modifier la couleur affichée par défaut pour chaque élément.
Lorsque vous ajoutez un thème à une vue, ArcView affecte à toutes les entités une couleur
sélectionnée de manière aléatoire (single symbol). Vous allez d’abord changer cette couleur
par défaut à l’aide de l’Editeur de légende.
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* Single symbol
La liste Legend Type montre que le type de légende en vigueur est le type par défaut, c’est à
dire Single symbol.
Pour modifier le symbole du thème Densmoy, cliquez deux fois sur le rectangle
affiché dans la colonne Symbol
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Pour afficher la Palette des couleurs, cliquez sur le bouton correspondant, dans le
haut de la Palette des trames.
Pour choisir une autre couleur, cliquez sur celle qui vous intéresse parmi les
couleurs proposées. Fermez la Palette des couleurs.
Cliquez sur le bouton Apply du Legend Editor (en bas, à droite) pour répercuter le
changement de couleur sur les entités du thème.
ArcView redessine le thème avec la nouvelle couleur. (Il peut être nécessaire de déplacer la
fenêtre de l’Editeur de légende pour mieux voir la carte affichée.)
* Unique value
Dans la liste des Values field (champs de valeurs), sélectionnez Region (champ de
la table attributaire du thème contenant tous les noms de régions administratives).
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La legend editor affiche chacun des noms des régions accompagnés d’un symbole unique
dans une couleur de la gamme intitulée Bountiful Harvest (récolte prolifique) qui est l’option
par défaut.
Dans la liste Color schemes (gamme des couleurs), choisissez Pastels, puis cliquez
sur Apply Les couleurs changent.
Changez de gamme de couleur (Color schemes) et voyez à chaque fois comment cela se
répercute sur les entités de la vue.
* Graduate color
Vous allez maintenant représenter les entités de densmoy selon une gamme de couleurs.
Les autres champs peuvent affichés sur les éléments (les noms des localités, la surface d’une
unité, etc.) dans la vue.
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Pour le faire Theme
Une fois que la vue est préparée avec tous les thèmes qu’on veut ressortir sur la carte, la vue
est envoyée sur une page
On ferme la vue
On clique sur l’icône Layout (mise en page)
Dans la barre d’outils, on clique sur le Bloc de vue (view frame), on définie sur la page
l’extension de la carte et on précise la vue à afficher.
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La vue s’affiche sur la page.
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On peut ainsi faire toutes les opérations d’habillage de la carte avec les commandes de la
barre d’outils :
Grille
Cadre de la carte
Ecriture (Titre, date, source, etc.)
Une mise en page cartographique permet d’agencer sur une même page des Vues, des Tables,
des Diagrammes et des éléments graphiques. Vous pouvez ensuite imprimer ce document sur
un traceur ou sur une imprimante.
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Le gestionnaire de modèles sert au stockage des modèles de mises en page. Chaque modèle
correspond à un agencement particulier des éléments de mise en page. Vous pouvez, au choix,
utiliser l’un des modèles par défaut ou créer le vôtre.
Pour créer une mise en page, sélectionnez l’option Landscape et cliquez sur OK
La mise en page se compose d’une vue sur les thèmes actifs. La carte est renseignée
par une légende, une barre d’échelle, une flèche d’orientation (Nord géographique)
et un titre. La grille affichée sert de guide pour placer les éléments graphiques de la
mise en page. Elle ne s’imprime pas sur le document cartographique final.
File (Fichier)
Print (imprimer)
Print set up (pour préciser le format d’impression et l’imprimante) et
OK
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XIII CALCULS DANS LA TABLE DES ATTRIBUTS
Pour effectuer les différents calculs, il faut définir les propriétés de la vue. Les données
recueillies ou les couches numérisées sont en degrés décimaux. Il y a lieu de définir le
système de projection de la vue en de lat - long à UTM.
Pour le faire
Vue (View)
Properties (propriétés)
Sur la ligne : Map Units (unité de la carte) : vous lisez « decimal degrees » (degrés
décimaux) ce qui veut dire que l’unité de la carte c’est le degré décimal.
Vous changez ça avec la flèche à droite en « meter »
Sur la ligne Distance units (unité de distance): également vous changez ça en « kilometers ».
Type : zone 32 (pour Mirriah, Zinder, Maradi par exemple) 31 (pour Tahoua, Niamey,
Dosso, Tillabéry, Téra etc.)
Vous cliquez une fois sur la vue, puis une fois sur le Scripts1.
Au niveau de la barre d’outils en haut cliquez sur ouvrir ( )
Puis sur le dessin de l’homme qui courre (run).
Ensuite aux deux (2) questions posées, vous cliquez sur OK
Fermez le scripts pour rouvrir la table des attributs.
Vous avez les différentes :
Area = superficie pour chaque polygone en m²
Perimeter = périmètre en m
46
Pour déterminer la superficie totale des entités semblables : zones de cultures, aires de
pâturage, mare etc.
Votre couche polygone doit disposer du champs avec ces entités : champs code
Vous ouvrez la table des attributs, vous sélectionnez le champ « code »
Dans la barre d’outils vous cliquez sur le symbole de somme ( )
Une fenêtre s’ouvre :
Field : vous choisissez Area
Summarize by : vous choisissez Sum
Puis Add
Et OK
Une nouvelle table (Sum1.dbf) est créée avec les différentes sommes.
Pour le calcul des superficies de éléments polygonaux, il est possible d’obtenir les
données en hectare. L’opération va consister à agir directement dur la table des
attributs. Ainsi en ouvrant la table attributaire, on crée un champ en numérique auquel
on peut ajouter une ou deux (2) décimales.
Opération :
1. Table : start editing
2. Edit : Add field
3. Le nouveau champ peut être nommé « Sup »
4. Dans le menu principal cliquer sur l’icône « calcute »
5. Dans la fenêtre qui s’ouvrir entrer la synthax : shape.returnarea*100*110*110 et
cliquer sur Ok. Le champ « sup » se remplit avec les attributs correspondant à chaque
polygone.
47
REFERENCES
Centre Régional AGRHYMET / Projet AP3A - Numérisation des cartes des potentialités
pastorales v.1.0. NT14/AP3A/12/96 Décembre 1996.
ESRI, INC – PC ARCEDIT . Interactive database creation, update and management. User’s
guide
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I. DÉFINITION D’UNE BASE DE DONNÉE.....................................................................1
II. INTRODUCTION AUX SYSTEMES D'INFORMATION GEOGRAPHIQUE (SIG)....2
2.1 Considérations générales...............................................................................................2
2.2 Définition d'un Système d'Information Géographique..............................................3
2.3 Composantes d'un SIG..................................................................................................3
2.4 Principales fonctionnalités d'un SIG............................................................................4
2.5 Pourquoi un SIG ?.........................................................................................................5
2.6 Les logiciels du SIG........................................................................................................5
III UTILISATION DU GPS ET COLLECTE DES DONNEES SUR LE TERRAIN...............6
3.1 Généralités sur le système GPS.....................................................................................6
3.2 Description générale de l’appareil et détails sur les fonctions les plus......................7
3.2.1 Description générale de l'appareil..............................................................................7
3.2.2 Détails sur les fonctions les plus utilisées de l'appareil (exemple de la version 50
12XL)..................................................................................................................................8
3.3 Collecte de données GPS................................................................................................9
IV QUELQUES APPLICATIONS SUR EXCEL....................................................................11
V TRANSFERT DES DONNEES GPS..................................................................................13
VI TRAVAILLER AVEC ARCVIEW.....................................................................................17
6.1 Introduction à ArcView................................................................................................17
6.3 Affichage des couvertures............................................................................................20
6.4 Les outils d’interrogation et de sélection....................................................................21
6.5 Les fonctions d’édition des tables................................................................................22
6.6 La mise à jour des tables des attributs........................................................................23
Démarrer ArcView....................................................................................................................26
VIII GENERATION DE COUCHE EN LIGNES....................................................................31
IX GENERATION DE COUCHE EN POLYGONES.............................................................32
XI PREPARATION D’UNE VUE CREATION DES CHAMPS CODIFICATION ET
DISCRIMINATION DES ENTITES AVEC LES COULEURS.............................................33
Table.............................................................................................................................34
Edit (Edition)................................................................................................................34
XII MISE EN PAGE.................................................................................................................38
XIII CALCULS DANS LA TABLE DES ATTRIBUTS........................................................42
REFERENCES.........................................................................................................................44
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