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http://e-biblio.univ-mosta.dz/bitstream/handle/123456789/1200/CD7.pdf?

sequence=1&isAllowed=y

La carte est document graphique basé sur la communication par les signes. Elle relève du langage
visuel. A ce titre, et même si sa construction doit suivre les règles de la perception graphique, elle
reste un outil formidable de communication et d’information qui ne doit pas restreindre son champ
d’actions aux seuls géographes. Le langage visuel est spécifique car il est l’inverse du langage écrit ou
parlé : l’œil perçoit d’abord un ensemble, il généralise, puis cherche le détail. La perception visuelle
est universelle. C’est un système spatial ou trois variables sont mises en relation : les deux
dimensions orthogonales du plan et les taches. Il doit transmettre une information. On doit retrouver
particulièrement les signes graphiques élémentaires (point, trait, tâche), le figuré cartographique
(construit à partir des signes élémentaires), l'implantation graphique (ponctuel, linéaire, zonal), les
variables visuelles (forme, taille, couleur, valeur, orientation, texture-structure, grain).

https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02092934/document

https://www-pub.iaea.org/iaeameetings/IEM9p/Session5/2Zouagui.pdf

geoserver li lfoug

https://blogs.univ-tlse2.fr/velo/files/2022/06/rapport_M1_SIGMA.pdf

https://constellation.uqac.ca/id/eprint/1968/1/13827437.pdf

https://www.ssi.gouv.fr/uploads/2018/11/guide-cartographie-systeme-information-anssi-pa-046.pdf

http://biblionumeric.epac-uac.org:8080/jspui/bitstream/123456789/1638/1/
Memoire_KOSSOU_Samia_RII5_compressed.pdf

http://julienas.ipt.univ-paris8.fr/vgodard/pub/geomarke/memoires/13-14/koskas14m2.pdf

p22 li lfoug

https://savoirs.usherbrooke.ca/bitstream/handle/11143/9494/Trevey_Yaovi_David_MA_2016.pdf?
sequence=4&isAllowed=y

important

https://www.ummto.dz/dspace/bitstream/handle/ummto/13038/Benyoucef%20L,%20Bouamara
%20N..pdf?sequence=1 visual studio

https://www.researchgate.net/publication/
301854166_Application_of_Webgis_in_the_development_of_interactive_interface_for_urban_mana
gement_in_Batna_City
http://article.sapub.org/10.5923.j.web.20130201.02.html

carthographie

Définition actuelle de la cartographie A la fois science par le degré de connaissance qu'elle implique
et art par son côté graphique, la cartographie englobe la conception, la préparation, la réalisation et
l'interprétation des cartes et des plans.

https://espace.inrs.ca/id/eprint/1939/1/T000119.pdf

W F S Web Feature Service

WMS Web Map Service

HTML

API Application Programming Interface

SIG Systèmes d'Informations Géographiques

SGBD (Système de Gestion de Base de Données)

T IC Technologies de l’Information et la Communication

OGC Open Geospatial Consortium

HTML HyperText Markup Language

CSS Cascading Style Sheets

PHP Hypertext Preprocessor

SQL Structured Query Language

XML eXtensible Markup Language

Momkn fihom ezayed


SIG :

S.I.G, signifie "Systèmes d'Informations Géographiques". C'est la traduction de l'acronyme anglais


GIS, qui signifie à la fois « Geographic Information System » et « Geographic Information Science ».
Ce système est un outil informatique qui permet d’intégrer, de localiser, d’analyser et de représenter
des données qui ont ou n’ont pas une dimension géographique. L'information géographique peut
être définie comme l'ensemble de la description d'un objet et de sa position géographique à la
surface de la Terre. C’est aussi un ensemble d’équipements informatiques, de logiciels et de
méthodologies pour saisir les données, dont la majorité est spatialement référencée, destiné à la
simulation de comportement d’un phénomène naturel, à la gestion et à l’aide pour une prise
décision.

 Son fonctionnement nécessite l'association des éléments suivants :

- Les utilisateurs.

- La disponibilité et l’exactitude des données.


- Le matériel.
- Les logiciels.

- Les procédures de traitement de l’information.

Figure 1. Définition d'un SIG

http://biblio.univ-antananarivo.mg/pdfs/nirisoaMurielleA_ESPA_MAST2_19.pdf

La structuration de données dans un SIG

 Les données graphiques


L’information géographique peut être définie comme étant une représentation de la réalité localisée
dans le temps et dans l'espace, Cette information possède deux composants: données spatiales
représentées sur les cartes par des points, des lignes et des polygones, et données attributaires qui
décrivent les propriétés spécifiques des objets géographiques. Elle a également deux formats de
données : mode vecteur et mode raster.

http://biblio.univ-antananarivo.mg/pdfs/nirisoaMurielleA_ESPA_MAST2_19.pdf

- Mode vecteur :
Dans ce mode les dessins sont constitués de deux formes élémentaires appelés primitives,
les éléments habituels utilisés sont : le point, la ligne, le polygone (zone, surface).

https://beep.ird.fr/collect/thies/index/assoc/HASH01e1.dir/pfe.gc.0084.pdf

Figure : Représentation vectorielle des données


- Mode raster :
L’espace est divisée régulièrement sous forme de cellule (pixel) de taille et de forme
identique, chaque cellule est référencée par une ligne et une colonne et contient une valeur
numérique. La forme des objets est identifiée par le voisinage de pixel de valeurs identiques
ou proche.

https://beep.ird.fr/collect/thies/index/assoc/HASH01e1.dir/pfe.gc.0084.pdf
Figure : Représentation raster de données

Les fonctionnalités du SIG :

Pratiquement, cinq fonctions leur sont classiquement attribuées :

- l’acquisition des données spatialisées et thématiques ;

- l’archivage des informations sous forme de plans thématiques permettant un accès rapide à une
base d’information géographique cohérente des points de vue spatial, scalaire et sémantique ;

- l’accessibilité aisée à l’ensemble des informations de la base soit par un affichage des plans
thématiques soit par un accès direct aux fichiers numériques ;

- l’analyse des informations par l’usage de paramètres et d’opérateurs spatiaux permettant de


produire une information inédite ;

- l’affichage et la visualisation des résultats obtenus sous différentes formes : tableaux, rapports,
cartes ou consultations à l’écran.

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00321106/file/HDR_FG_vol3_synthese.pdf

15/Les domaines d’application de SIG

On a des diffèrent domaine d’application de SIG et on peut situer par exemple :

• Tourisme (gestion d’infrastructure, itinéraire touristique).

• Marketing (localisation de climat, analyse de site).

• Planifications urbaine (cadastre, voirie, réseaux assainissement).

• Protection civile (gestion et prévention des catastrophes).


• Transport (planification des transports urbains, optimisation d’itinéraires).

• Hydrologie.

• Géologie (prospection minière).

• Biologie (études du déplacement des populations animales).

• Télécoms (implantation d’antennes pour les téléphones mobiles).

6 Les Systèmes de Gestion de Base de Données : SGBD


2.6.1 Définition
Le logiciel informatique nommé SGBD (Système de Gestion de Base de Données) permet la
création, la modification et l’omission des données dans une base de données. Il sert comme une
interface entre les utilisateurs de la base et les programmes d'application. Les SGBD permettent de
diminuer les frais de saisie des données et de réduire les coûts de développement des logiciels en
assurant la portabilité et la sécurité des données en contrôlant leurs accès (Niang, 2003).

https://beep.ird.fr/collect/thies/index/assoc/HASH01e1.dir/pfe.gc.0084.pdf

2.6.2 Base de données


Une base de données est une collection de données avec aussi peu de répétition inutile que
possible pour servir une ou plusieurs applications de la façon la plus favorable (Niang, 2003).

2.6.3 Les fonctions d’un système de gestion de base de données


Le SGBD est le logiciel qui assure la gestion à tous les niveaux des structures se trouvant dans une
base de données qui intègre les fonctions suivantes (Figure 4) :

• La manipulation de données

• L’intégrité des données

• La gestion des accès concurrents

• La confidentialité

• La sécurité du fonctionnement
Définition de

données

Manipulation
Système

d’exploitation
SGBD Sécurité

Confidentialité

Base de données
Interface

Figure 4. Architecture fonctionnelle d’un SGBD

Webmapping

1 Notion Webmapping

Le Webmapping désigne, au sens large, tout ce qui relève de la cartographie en ligne sur Internet.
Sous ce terme générique, on englobe différents types d'applications cartographiques allant du
simple « visualiseur » à l'outil de cartographie thématique, voire au SIG en ligne. Leur point commun
est d'être accessible à travers un simple navigateur Internet. Le passage au web dynamique permet
de dépasser le téléchargement de cartes statiques et d'accéder à des données géographiques
contenues sur un serveur cartographique (bases de données ou fichiers SIG), voire de superposer
des couches d'information aux données en local. Le Webmapping est alors synonyme de
cartographie dynamique, l'utilisateur pouvant interagir avec différentes applications cartographiques
via Internet.

SAM Patindsaongo Robert,2011,MEMOIRE DE FIN DE CYCLE, « Conception et


réalisation d'une application Webmapping pour le suivi-évaluation des réalisation de
systèmes d'assainissement autonomes et la gestion des systèmes d'assainissement
collectifs, UNIVERSITE POLYTECHNIQUE DE BOBO-DIOULASSO, BURKl AFASO.p12

https://beep.ird.fr/collect/upb/index/assoc/ESI-2011-SAM-CON/ESI-2011-SAM-CON.pdf

2 Fonctionnalité :

Le serveur cartographique est le guichet automatique auquel l'utilisateur fait appel pour afficher des
cartes sur son poste informatique. Par le protocole de communication Internet, TCP/IP, des
ordinateurs branchés en réseau peuvent échanger de l'information via un navigateur Web ou
transférer des fichiers grâce au protocole FTP. L'architecture est de type client/serveur, c'est-à-dire
qu'un ordinateur, dit serveur, répond aux requêtes d'une série d'ordinateurs dits clients.

L'utilisateur, à partir de son terminal effectue des requêtes pour demander l'affichage d'une carte
spécifique ; le serveur cartographique interprète cette requête et renvoie la carte sous la forme
d'une image matricielle (png, jpg, ...) ou vectorielle (svg, swf, ...). Le moteur cartographique peut être
contrôlé par des langages de script tels que PHP, Python ou Perl qui lui permettent de générer
dynamiquement une carte en réponse à une requête préparée par une interface utilisateur. Le
serveur cartographique peut chercher l'information nécessaire à la réalisation de la carte dans ses
propres ressources, mais aussi sur des serveurs de données distants.

La diffusion de l'information en ligne requiert une installation côté serveur avec des logiciels tels
qu’Apache (projet Open Source) ou IIS (Internet Information Services, de Microsoft) qui tournent en
tâche de fond et donnent accès aux serveurs de cartes à l'Intranet et à l'Internet. Ces logiciels
serveurs voient souvent leurs fonctions étendues par des interpréteurs de scripts comme PHP ou
ASP. Le serveur cartographique s'appuie sur ces éléments pour recevoir des requêtes et renvoyer
des images et des données.

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3 Architecture d’un système webmapping :

L’architecture d’un système de Webmapping est généralement de type client/serveur. Ce système


repose principalement sur les quatre composantes suivantes : le Client, le Serveur cartographique, le
Serveur web et le Serveur de données.
https://www.academia.edu/42749398/
WEBMAPPING_POUR_LA_DIFFUSION_DE_LA_SITUATION_ACRIDIENNE20200415_57918_1ug0p04

a) Le client :

Les clients cartographiques permettent d’afficher des données spatiales. Il peut s’agir de logiciels
bureautiques ou de clients cartographiques à travers un navigateur Internet. C’est cette deuxième
solution qui va être utilisée dans le développement du DICRIM interactif à travers l’utilisation d’une
API. Cette API offre une bibliothèque Javascript et des fonctions pour intégrer des données
géographiques dans un site Internet. Ce langage de programmation permet d’effectuer des
interactions avec l’utilisateur. En revanche, ces actions peuvent être plus ou moins rapides en
fonction de la configuration matérielle du client.
https://savoirs.usherbrooke.ca/bitstream/handle/11143/9494/Trevey_Yaovi_David_MA_2016.pdf?
sequence=4&isAllowed=y

b) Serveur web :
Les serveurs web hébergent et proposent les ressources des pages web à la partie client par le
protocole de communication HTML. Ces ressources se composent des pages web en elles-mêmes,
des images et vidéos, et des fonctions qui les génèrent.

randriamorasataMaheriniaina_ESPA_MAST2_18.pdf (univ-antananarivo.mg)

c) Serveur cartographique :

Le serveur cartographique a pour fonction principale de délivrer les données spatiales sous les
standards OGC présentés ci-dessus.

randriamorasataMaheriniaina_ESPA_MAST2_18.pdf (univ-antananarivo.mg)

d) Serveur de données :

Le serveur de données contient les données consommées dans l’application. Ces données peuvent
être des bases de données, de nature spatiale ou non, ou de tout autre format (Esri SHP, GeoJSON,
geotiff, etc.).

randriamorasataMaheriniaina_ESPA_MAST2_18.pdf (univ-antananarivo.mg)

4 Les services web : les normes de l’OGC :

La diffusion des données geospatiales et l’interopérabilité des systèmes d’informations


géographiques font appel aux normes de l’OGC. Cette dernière est une association internationale,
créée en 1994 qui regroupe certaines spécifications et des standards.

- WMS (Web Map Service) : Un protocole qui permet aux serveurs de données de retourner des
cartes visuelles avec certaines entités à la suite la demande du client.

- WFS (Web Feature Service) : un protocole qui fait appel aux opérations de création, modification,
de suppression des entités géographiques vectorielles sur des cartes.

- WCS (Web Coverage Service) : Un service de grilles permet d’obtenir des données géographiques de
type grilles

WPS (Web Process Service) : Un service de geotraitement est un protocole qui permet d’effectuer un
geotraitement.

https://savoirs.usherbrooke.ca/bitstream/handle/11143/9494/Trevey_Yaovi_David_MA_2016.pdf?
sequence=4&isAllowed=y

Méthodologie :

Choix de l’architecture de l’application :

PostGresql est un moteur de base de données évolué gérant aussi bien les vues que les
déclenchements d’actions automatisés (triggers).
http://biblio.univ-antananarivo.mg/pdfs/nirisoaMurielleA_ESPA_MAST2_19.pdf

PostGis : est une couche supplémentaire à PostgreSQL qui permet de gérer la composante
géométrique et d’avoir la possibilité d’utiliser la base de données comme un SIG. Il peut gérer des
données 2d, 3d et raster.

https://savoirs.usherbrooke.ca/bitstream/handle/11143/9494/Trevey_Yaovi_David_MA_2016.pdf?
sequence=4&isAllowed=y

1) Serveur de données :

Pour stocker une base de données, on a besoin d’un outil de serveur de données appelé système de
gestion de base de données. Ce dernier est un logiciel qui permet de manipuler les informations
stockées dans une base de données c’est-à-dire créer, mettre à jour, interroger, visualiser et
administrer une base de données. Dans ce projet on a choisi le logiciel « PostgreSQL ». PostGreSQL
est un SGBD (Système de Gestion de Base de Données) open source de très bonne qualité et le plus
populaire au monde, notamment connu par sa robustesse, sa fiabilité et ses performances. De
nombreuses applications professionnelles sont construites sur PostGreSQL. PostGIS est une
surcouche de PostGreSQL qui permet de gérer la géométrie (l’information géospatiale).

2) Serveur cartographique :

Nous utilisions Geoserver comme notre serveur cartographique car il est libre et respect les
standards OGC.

Geoserver :

GeoServer est un serveur informatique open source écrit en Java qui permet aux utilisateurs de
partager et de modifier des données géographiques. Conçu pour l'interopérabilité, il publie les
données de toutes les sources principales de données spatiales qui utilisent des normes
ouvertes. GeoServer a évolué pour devenir une méthode simple de connexion d'informations
existantes à des globes virtuels tels que Google Earth et NASA World Wind, ainsi que pour les
cartes à base de services web tels qu’OpenLayers, Google Maps et Bing Maps. Geoserver
fonctionne en tant qu'implémentation de référence pour la mise en œuvre du standard du Web
Feature Service de l'Open Geospatial Consortium ; il implémente aussi le Web Map Service.

https://beep.ird.fr/collect/upb/index/assoc/ESI-2012-TRA-MIS/ESI-2012-TRA-MIS.pdf
Langages de la programmation :

Comme chaque application utilise la technologie GeoExt en client cartographique, une page
JavaScript est associée à chacune. Elle contient tous les scripts nécessaires pour gérer la cartographie
interactive (chargement des couches, style, action dans la carte).

L’application fait appel à plusieurs langages de programmation (HTML, PHP, CSS, JavaScript).

PHP est un langage de script coté serveur qui a été conçu spécifiquement pour le Web. Le code PHP
est inclus dans une page HTML et sera exécuté à chaque fois qu’un visiteur affichera la page. Le code
PHP est interprété au niveau du serveur web et généré du code HTML ou toute autre donnée
affichable dans le navigateur de l’utilisateur.

http://biblio.univ-antananarivo.mg/pdfs/nirisoaMurielleA_ESPA_MAST2_19.pdf

HTML signifie : Hyper Text Mark up Language, c’est-à-dire un langage d’hypertexte fondé sur des
balises. Le langage html est à la base de la création d’un site web et son utilisation est
incontournable. Pour consulter un site avec votre navigateur (internet explorer par exemple) il faut
savoir que, en coulisses, des rouages s'activent pour permettre au site web de s’afficher. L'ordinateur
se base sur ce qu'on lui a expliqué en HTML et CSS pour savoir ce qu'il doit afficher.

randriamorasataMaheriniaina_ESPA_MAST2_18.pdf (univ-antananarivo.mg)

CSS

Le CSS, Cascading Style Sheets, aussi appelées Feuilles de style, est un langage venu compléter le
HTML en 1996, les standards le définissant sont publiés par le World Wide Web Consortium (3WC).
C’est un langage qui sert à décrire la présentation des documents HTML et XML, donc il a pour rôle
de gérer l'apparence de la page web (agencement, positionnement, décoration, couleurs, taille du
texte…). Il constitue l’aspect décoratif et attractif de toute interface web de nos jours.

randriamorasataMaheriniaina_ESPA_MAST2_18.pdf (univ-antananarivo.mg)

JavaScript

est un langage de programmation de scripts principalement employé dans les pages web interactives
mais aussi pour les serveurs. C'est un langage orienté objet à prototype, c’est-à-dire que les bases du
langage et ses principales interfaces sont fournies par des objets qui ne sont pas des instances de
classes, mais qui sont chacun équipés de constructeurs permettant de créer leurs propriétés, et
notamment une propriété de prototypage qui permet d'en créer des objets héritiers personnalisés.
En outre, les fonctions sont des objets de première classe. JavaScript apporte des améliorations au
langage HTML en permettant d'exécuter des commandes du côté client, c'est-à-dire au niveau du
navigateur.
http://biblio.univ-antananarivo.mg/pdfs/nirisoaMurielleA_ESPA_MAST2_19.pdf

Visual studio code :

Visual Studio Code est un éditeur de code open-source et extensible développé par Microsoft pour
Windows, Linux et macOS. Il supporte un très grand nombre de langages grâce à des extensions. Il
supporte aussi l’autocomplétion, la coloration syntaxique, le débogage, et les commandes git. Il est
aussi bien performant et agréable à utiliser.

https://www.ummto.dz/dspace/bitstream/handle/ummto/13142/Hadj%20Said%20N.,%20Rekouane
%20H..pdf?sequence=1&isAllowed=y

Création des données :

La première étape de la création du WebSIG est bien entendu l'acquisition des données graphiques
et attributaires sur le terrain ou le cas échéant, leur digitalisation. Il y a deux types de données qui
peuvent être importées dans le WebSIG : les vecteurs et les rasters.

https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02092934/document

Création des styles

Afin d'attribuer un style de trait ou de remplissage à chacune des couches, Geoserver utilise le
langage SLD (Style Layer Descriptor)41. Il s'agit d'un schéma XML* préconisé par l'OGC* permettant
de styliser des données issues de flux WMS*.

https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02092934/document

Outils web GIS côté client

7.1. Outil de représentation cartographique

Plusieurs librairies JavaScript sont disponibles pour représenter des entités géographiques. Les
principales sont Leaflet, OpenLayers et Mapbox. Ces librairies sont assez complètes et mises à jour
très régulièrement. Il existe également des librairies JavaScript développées pour une utilisation
précise de représentations. Les 3 librairies de représentation cartographique ont énormément de
choses. Cependant, Leaflet a la particularité d’être séparée en différents modules. Il en découle une
réduction de la taille de la librairie et une augmentation de la rapidité de rafraichissement des pages.
OpenLayers possède nativement la plupart des fonctionnalités tandis que Leaflet utilise des plugins.
Mapbox et OpenLayers supporte le WebGL5 tandis que Leaflet non (Zunino et al., 2020). Un autre
avantage de la librairie Mapbox est qu’elle permet l’utilisation de fond de carte vectoriel. Pour des
données rasters, OpenLayers montre de meilleures performances tandis que pour des données
vecteurs, Mapbox obtient des résultats probants. Cependant, la diversité des plugins annexes
développés pour Leaflet fait de celle-ci la plus complète pour une utilisation vectorielle actuellement.
Cette librairie, combinée à ses nombreux plugins, offre énormément de possibilités de symbolisation
et sera utilisée pour la partie développement de ce mémoire.

Liste des librairies utilisées

 Leaflet.js (Agafonkin, 2020)

 Jquery.min.js (OpenJS foundation, 2020)

https://matheo.uliege.be/bitstream/2268.2/11759/4/M%C3%A9moire_CaroleSchillings.pdf

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