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S4
2019-2020
1
Chapitre I: Introduction aux systèmes d’informations
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Partie 1 : Introduction aux Système d’informations
3
1. Définition d’un Système
2. La représentation schématique d’un système
3. Définition d’un Système d’information (SI)
4. Les informations et traitements
5. Les approches par niveaux
4
1. Définition d’un Système
Processus
Flux d’Operations Flux de
d’entrée sortie
5
2. La représentation schématique d’un système
Système
Système de pilotage Système opérant
d’information
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3. Définition d’un Système d’information (SI)
Une méthode définit une démarche reproductible qui produit des résultats
fiables.
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3. Définition d’un Système d’information (SI)
Informations
(partie
Statique)
SI
Traitements
(partie
dynamique)
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4. Les informations et traitements
Les informations:
• L’interview.
• L’étude des documents internes.
• L’étude des documents externes.
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4. Les informations et traitements
• Une des phases du recueil d’information est un entretien avec les différents
acteurs de l’organisation. Cet entretien permet de définir le périmètre de
L’interview l’applicatif futur. Les informations orales sont classées et regroupées en
parties distinctes. Ainsi, les informations concernant l’enregistrement des
données de l’organisation seront regroupées
• L’étude des documents externes (comme factures des fournisseurs, bons de livraison fournisseurs...) tout
comme l’étude des documents internes permet de découvrir des informations oubliées lors des
interviews et de découvrir aussi quelques règles de gestion.
• Pour ce recueil d’informations, il est nécessaire de respecter certaines règles pour éviter des erreurs
futures.
documents
• Avant d’ajouter une information, il est impératif de s’assurer qu’elle n’est pas déjà présente. Par
externes exemple, un numéro client peut apparaître sur un bon de livraison et sur une facture. Ce n’est pas la
peine de le répertorier deux fois.
• De même, une information peut être synonyme d’une autre. Par exemple sur le bon de livraison il
apparaît « Code client » et sur la facture « Numéro Client ». Il est impératif de ne garder qu’une seule
des deux informations.
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4. Les informations et traitements
Par exemple, un nom de client ou sa raison sociale ne peuvent pas être inventés.
Une quantité commandée ne peut pas non plus être inventée. une information doit
être atomique, c’est-à-dire non décomposable.
Les traitements:
● automatiques ;
● manuels.
Le niveau conceptuel(MCD)(MCT)
(Question le quoi faire, avec quelle données)
Le niveau organisationnel(MOD)(MOT)
(Qui,? Ou?, Quand?)
Le niveau physique(MPD)(MPT)
(Comment?)
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5. Les niveaux d’approches
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5. Activité
Concevoir un Système
commercial ?
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Données
Données Physique
Logique Comment Gérer Cette grande
quantité des données?
Données
Conceptuel
Comment stocker , chercher les
informations
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1. Définition d’une base de données
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2. Évolution et Origine des BD
40 ans d’histoire:
Les années 60: organisation classique en fichier reliés par
des pointeurs.
Fin des années 60: apparition des premiers SGBD
hiérarchiques et réseaux, séparation de la description des
données et la manipulation par les applications.
Les années 70: deuxième génération de SGBD, le modèle
relationnel.
Début des années 90: troisième génération de SGBD, le
système orienté objets.
A partir de 2000: Data mining, les SGBD OLAP, le SGBD
XML et les SGBD de contraintes.
1ére génération de BD 2éme génération de BD 3éme génération
(années 60) (années 70) de BD (années 90)
Modèles E/A
•Modèles hiérarchiques et Modèle relationnel •Modèles
réseaux Modèle réseau Objets
sémantique 23
3. Modèles de BD 3.1 Modèle hiérarchique
Niveau 1
Niveau 2
feuilles
24
3. Modèles de BD 3.1 Modèle hiérarchique
Département
1-1 1-N
Chef-Départ Service
25
3. Modèles de BD 3.1 Modèle hiérarchique
26
3. Modèles de BD 3.2 Modèle réseau
Inconvénients:
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3. Modèles de BD 3. 3 Modèle relationnel
Modèle relationnel
Avantages du modèle:
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4. Système de gestion de base de données (SGBD)
BD
Programme 1
Fichier 1
Fichier 2 SGBD
Programme 2
Fichier 3
Programme 3
SGBD est composé de :
Gestionnaire de fichier
SGBD interne
SGBD externe
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4. Système de gestion de base de données (SGBD)
Mise en forme,
présentation des
données aux
programmes
d’applications, et aux
Terminaux PA: Programme d’application
utilisateurs.
MS: Mémoires secondaires 32
4. Système de gestion de base de données (SGBD)
33
4. Système de gestion de base de données (SGBD)
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4. Système de gestion de base de données (SGBD)
35
5. Objectifs des SGBD
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5. Objectifs des SGBD
38
5. Fonctions des SGBD
Example :
create TABLE ami( RefAmi Integer, Nom Varchar(20),
Prenom Varchar(20), Date de Naissance date
CONSTRAINT index PRIMARY KEY(RefAmi)
)
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5. Fonctions des SGBD
40
5. Fonctions des SGBD
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Objectif du MCD :
Ecrire de façon formelle les données d’une base de données. Il s’agit donc
d’une représentation des données. Facilement compréhensible, permettant de
décrire la base de données à l’aide d’entités.
Il est à la base de tous SGBD dits relationnels (Access, Oracle, DB2…) qui
sont les plus utilisés actuellement dans les entreprises.
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1. Concepts de base du formalisme E/A
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Entité :
Concept concret ou abstract (un fait, un moment …) identifié du monde réel
caractérisé par un nom et une liste de propriétés.
Exemples:
Une entité concrète possède une existence physique : client, équipement, et
produit.
Une entité abstract a une existence conceptuelle : une transaction, un tarif,
l’annulation d’un vol d’avion.
Le client Jean Dupond est une entité concrète.
La commande COM0001 est une entité abstraite.
L’entité Personne(nom, prénom), et l’entité Voiture(nom, puissance fiscale)
ne peuvent pas être groupés en une même entité car ils ne partagent pas leurs
propriétés (prénoms, puissance fiscale).
Client
L’entité se représente par un cadre contenant le nom de l’entité.
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Attribut (Entité) :
Propriété d’une entité ou d’une association caractérisée par un nom et un type
élémentaire.
Exemple:
Client Entité
N° client
Nom Attributs
Prénom
Règle 1:
Un attribut ne peut en aucun cas être partagé par plusieurs
entités/associations.
Règle 2:
Un attribut est une donnée élémentaire, ce qui exclut des données
calculées ou dérivées.
Règle 3:
Une entité et ses attributs doivent être cohérente entre eux (i.e. ne
traitent qu’un seul sujet).
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Occurrence: entité
Elément particulier d’une entité, identifiable de façon unique (instance)
Exemple:
L’entité client1 dont le N° est 06464M est une occurrence de l’entité client
Client1 Client2
064646M 012646M
Dupont Revaud
Frank Jerome
23 BD zola 2 BD alpha
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Identifiant : entité
Attribut ou groupe d’attributs permettent d’identifier chaque occurrence d’une
entité.
Regle4:
Chaque entité possède au moins un identifiant éventuellement formé de
plusieurs attributs
Exemple:
Client
Identifiant
N° client simple
Nom
Prénom
Adresse
50
1. Concepts de base du formalisme E/A
Exemple:
entité avec identifiant composé
Appartement
N° Appt Identifiant
Identifiant2 Composé
Superficie
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Association :
Lien logique entre entités dont le type est défini par un verbe et une liste
éventuelle de propriétés.
Règle 5:
Un attribut peut être placé dans une association (association porteuse)
uniquement lorsqu’il dépend de toutes les entités liées par l’association.
Nom de l’association
Client
Commande
N° client
Effectuer
Nom N° Commande
Prénom Date Commande
Attribut de lien
Adresse Date livraison
Total commande
Extrémités de l’association
Collection de l’association 52
1. Concepts de base du formalisme E/A
Association : identifiant
Règle 6 :
La concaténation des identifiant des entités liés à une association constitue
l’identifiant de cette association (cet identifiant n’est pas mentionné sur le
modèle).
Exemple:
L’identifiant de l’association effectuer est le couple (N° client, N°
commande)
Client Commande
N° client N° Commande
Effectuer Date Commande
Nom
Prénom Date livraison
Adresse Total commande
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Exemple:
Un client peut effectuer de 0 à n commande, mais une commande ne peut être
effectuer que par un seul client
Sens de lecture
Source Destination
Client Commande
N° client
(0,n) Effectuer (1,1) N° Commande
Nom Date Commande
Prénom Date livraison
Adresse Total commande
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Client Commande
N° client
(0,n) Effectuer (0,n) N° Commande
Nom
Date Commande
Prénom
Date livraison
Adresse
Total commande
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Client Commande
N° client N° Commande
Nom Effectuer
Date Commande
Prénom (0,n) (1,1) Date livraison
Adresse Total commande
Sur l’extrémité client, le 0 signifie que le client peut ne pas être reliés à la
commande lors de sa création.
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Entité 1 Entité 2
N° Entité 1 Association
N° Entité 2
Nom Entité 1 (0,n) (1,1) Nom Entité 2
Prénom Entité 1 Attribut
Prénom Entité 2
Etc Etc
Faux
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Une association binaire ne peut en aucun cas porter des cardinalité 1,1 des deux
extrémités!
Entité 1 Entité 2
N° Entité 1 N° Entité 2
Association
Nom Entité 1 Nom Entité 2
Prénom Entité 1 (1,1) (1,1) Prénom Entité 2
Etc Etc
Faux
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Exercice
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1. Concepts de base du formalisme E/A
Correction:
TypePiéce
Pièce
(1,1) Avoir (1,n) CodeTypeP
NumPiece
LibelleTypeP
DesignationPiece
PrixUnitaire Fabriquer
(1,1)
(1,n)
Machine (1,1)
Appartenir
NumMachine
NomMachine (1,n)
(1,1) TypeM
Fournisseur
NumFournisseur (1,n) CodeTypeM
NomFournisseur Construire LibelléTypeM
Adresse
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2. Les différents types d’associations:
Parent
Personne
(0,n)
N° Etre parent
Nom
Prénom
Adresse Enfant
(1,n)
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2. Les différents types d’associations:
Une association ternaire est une association qui décrit un lien sémantique entre
trois entités.
A (0,n) Association (1,n) B
idA idB
(1,n)
C
Exemple:
idC
Créneau
horaire (0,n) (1,n) Salle
Projeter
N° Créneau Date Projection N° Salle
Date Capacité
Heure de début (0,n)
Film
N° Film
Titre
Durée 63
2. Les différents types d’associations:
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2. Les différents types d’associations:
A retenir…
Entités
Règle 2: Pour chaque occurrence d’une entité, chaque attribut ne peut prendre
qu’une valeur.
Règle 3: Un attribut ne peut en aucun ces être partagé par plusieurs E/A.
Règle 4: Un attribut est une donnée élémentaire, ce qui exclut des données
calculées ou dérivées.
Règle 5: Deux occurrence de l’entité ne pourrait avoir la même valeur pour leur
identifiant.
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2. Les différents types d’associations:
A retenir…
Associations :
Règle 5 : un attribut peut être placé dans une association uniquement lorsqu’il dépend de
toutes les entités liées par l’association.
Règle 6 : la concaténation des identifiants des entités liés à une association constitue
l’identifiant de cette association (cet identifiant n’est pas mentionné sur le modèle (il est
implicite))
Règle 7 : l’expression de la cardinalité est obligatoire pour chaque patte d’une association
Règle 8:une cardinalité minimal est toujours 0 ou 1, et une cardinalité maximale est
toujours 1 ou n
Règle 10 : Une association binaire ne peut en aucun cas porter des cardinalités 1.1 des
deux extrémités.
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3. Règles de bonne formation d’un modèle entités - associations
Un attribut multiple doit être remplacée par une association et une entité
supplémentaires
Un attribut multiple doit être remplacée par une association et une entité
supplémentaires
Commande Article
Contenir N° Article
N° Commande
Désignation
Date Quantité Prix unitaire
Montant total
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3. Règles de bonne formation d’un modèle entités - associations
fusionner
Médecin
N° médecin
Introduction Nom
Prénom
d’un attribut
Adresse
supplémentaire Spécialiste
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3. Règles de bonne formation d’un modèle entités - associations
Ecrivain Ecrire
N° Ecrivain 0,n Ecrire
Nom
Prénom 0,n
Adresse
0,n 0,n
Personne
Livre Livre
N° Personne
N° Livre N° Livre
Nom
Titre Titre
Prénom
Editeur Editeur
Adresse
Abonne
N° Ecrivain 0,n 0,n
Emprunter 0,n 0,n
Nom
Prénom
Adresse Emprunter
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3. Règles de bonne formation d’un modèle entités - associations
Règles de Fusion/Suppression entité/association
Il faut factoriser les entités quand c’est possible
Joueur de Tennis Joueur de Tennis
N° Joueur N° Joueur
Nom Nom
0,n Prénom 0,n Prénom
Genre Genre
Classement Classement
0,n
0,n 0,n
Jouer en Jouer en Jouer en Jouer en Jouer
tant que tant que tant que tant que
joueur1 joueur2 coéquipier1 coéquipier2 Type
1,1 0,1 1,n
Match de Tennis Match de Tennis
1,1 N° Match 0,1 N° Match
Type Type
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3. Règles de bonne formation d’un modèle entités - associations
Fournisseur
N° Fournisseur 1,1 Fournisseur
Nom
N° fournisseur
Prénom
Fusionner Nom
Adresse
Prénom
Travailler chez Adresse
Nom contact
N° tél contact
Contact
N° contact 1,1
Nom contact
N° tél contact
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4. Etablir le dictionnaire de données
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4. Etablir le dictionnaire de données
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5. Dépendances fonctionnelles
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5. Dépendances fonctionnelles
Autrement dit :
.Exemples:
(NumFacteur, RefProduit)QtéFacturé est élémentarité (ni la référence
produit seule, ni le numéro de facteur seul permettent de déterminer la
quantité).
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4. Dépendances fonctionnelles
Une DF ac est direct si elle n’est pas déduite par transitivité C’est-à-
dire s’il n’existe pas de DF ab et bc
(1) directe
a b
(2) directe
(3) directe
c
Exemple:
Considérons les dépendance fonctionnelles
N°Facteur N°Représentation est une DF direct
N°Représentant NomReprésentant est une DF directe
N°Facteur NomReprésentant n’est pas une DF direct
puisqu'elle obtenue par transitivité
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5. Dépendances fonctionnelles
Réflexivité
Si b est un sous ensemble de a alors ab est une DF
Transitivité
Si ab est bc sont des DF, alors ac est une DF
Union
Si ab et ac sont des DF, alors a (b,c) est une DF
Décomposition
Si a(b,c) est une DF, alors ab et ac sont des DF
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5. Dépendances fonctionnelles
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5. Dépendances fonctionnelles
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5. Dépendances fonctionnelles
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5. Dépendances fonctionnelles
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5. Dépendances fonctionnelles
84
5. Dépendances fonctionnelles
85
5. Dépendances fonctionnelles
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6. Applications
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6. Applications
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6. Applications
Prix unitaire d’un Prix unitaire d’un type de Type de Véhicule N Non
type de véhicule véhicule
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6. Applications
91
91
6. Applications
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6. Applications
ID comptable
Nom comptable
Date de naissance de comptable
Num Tel comptable
Id commune
Nom commune
Id agence
Nom agence
Directeur agence
Id exploitation
Nom Explotation
Surface exploitation (SAU)
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6. Applications
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6. Applications
95
6. Applications
96