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CONNAISSANCES TOPOGRAPHIQUES E4B DOMAINE PRO TECHNIQUE

LES SYSTEMES D’INFORMATIONS GEOGRAPHIQUE

I - Historique et définitions :

● Repères historiques
- 1961 : premiers logiciels de cartographie statistique
-1972 : début de l’imagerie par satellite
-1975 : utilisation de la cartographie numérique pour le recensement par l’INSEE
-1976 - 1984 : 1ère base de données cartographiées (par l’Institut
Géographique National) à l’échelle du territoire nationale.
-1985 : naissance du CNIG, Conseil National de l’Information Géographique

● définitions :
1. Ensemble de données repérées dans l’espace, structuré de façon à en extraire
commodément des synthèses utiles à la décision.

2. Système informatique permettant, à partir de différentes sources, de rassembler et


d’organiser, de gérer, d’analyser et de combiner, d’élaborer et de présenter des
informations localisées géographiquement, contribuant notamment à la gestion de
l’espace.

3. Système informatique de matériels, de logiciels et de processus conçus pour


permettre la collecte, la gestion, la manipulation, l’analyse, la modélisation et
l’affichage de données à référence spatiale afin de résoudre des problèmes
complexes d’aménagement et de gestion.

Définition de l’Informatique appliquée aux SIG : Géo-informatique ou Géomatique

Quelques synonymes :
- SIRS : Système d’Information à Référence Spatiale
- GIS : Géographic(al) Information System – traduction anglaise
- SIT : Système d’Information du Territoire (Land Information System– traduction anglaise)
- BDU : Banque de Données Urbaines
- SIU : Système d’Information Urbain

II - Composition :
Un Système d'Information Géographique est
constitué de 5 composants majeurs: Le Matériel
: Les SIG fonctionnent soit sur des serveurs de
données ou des ordinateurs de bureaux connectés
en réseau ou utilisés de façon autonome. Les
Logiciels : Les logiciels de SIG offrent les outils et
les fonctions pour stocker, analyser et afficher

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toutes les informations. Principalement des
outils pour saisir et manipuler les informations
géographiques, un système de gestion de base
de données; des outils géographiques de
requête, analyse et visualisation. Une interface
graphique utilisateur pour une utilisation facile.

Les Données : Les données sont les éléments


essentiels des SIG. Les données
géographiques et les autres données associées
peuvent, soit être constituées en interne, soit
acquises auprès de producteurs de données.

Les Utilisateurs : Un SIG étant avant tout un


outil général, c’est sa spécialisation dans tel
domaine d'activité qui va lui permettre de prendre tout son sens en répondant spécifiquement
aux questionnement de ses utilisateurs.

Les Méthodes : La mise en œuvre et l’exploitation d’un SIG ne peut s‘envisager sans le
respect de certaines règles et procédures propres à chaque organisation. Un SIG est d’abord
un Système d’Information, ce qui implique plusieurs notions relatives à la description et la
manipulation de données, au sein de bases de données : Modélisation, Instrumentation,
Saisie, Mise à jour, Communication et échange,...

III - Structuration générale des données:


Un SIG stocke les informations concernant le monde sous la forme de couches thématiques
pouvant être reliées les unes aux autres par le géoréférencement.

Le géoréférencement : L’information géographique contient soit une référence


géographique explicite (latitude & longitude ou grille de coordonnées nationales) ou une
référence géographique implicite (adresse, code postal, nom de route…).Le géocodage,
processus automatique, est utilisé pour transformer les références implicites en références
explicites et permettre ainsi de localiser les objets et les événements sur la terre afin de les
analyser. Des couches d'information :
Un SIG
contient généralement
plusieurs sortes
d'objets
géographiques qui sont
organisés en thèmes que
l'on affiche souvent sous
forme de couches.
Chaque couche contient
des objets de même type
(routes, bâtiments, cours
d'eau, limites
de communes, entreprises,...).

Pour comprendre ce qu’est un SIG on peut tout aller sur le Géoportail qui permet la
superposition de photographies aériennes (orthophoto), des tracés routiers, de cartes
topographiques, d'informations touristiques...
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IV- Les deux grandes familles de données :
Les Systèmes d’Information Géographique exploitent deux différents types de modèles
géographiques qui composent les couches d'informations précédemment citées:

Le modèle vecteur : dans le modèle vecteur, les informations sont regroupées sous la
forme de coordonnées x, y.
● Les objets de type ponctuel sont dans ce cas représentés par un simple point.
● Les objets linéaires (routes, fleuves…) sont eux représentés par une succession de
coordonnées x,y.
● Les objets polygonaux (territoire géographique, parcelle…) sont, quant à eux,
représentés par une succession de coordonnées délimitant une surface fermée : on les
appelle également des objets surfaciques.

Le modèle raster : Le modèle raster,


représente des données images où l'espace
est divisé de manière régulière (en petits
rectangles); à chaque petit rectangle (pixel)
sont associées une ou plusieurs valeurs
décrivant les caractéristiques de l'espace.

C'est la combinaison de ces deux types d'information qui vont représenter au mieux la réalité
et concourir à une exploitation des données présentes sur ces couches.

C'est le géomètre-topographe qui est le plus à


même de fournir les données géoréférencées pour
le fonctionnement du SIG.
Le plus fréquemment il s'agira de données
vectorielles issues d'un relevé de terrain avec
station totale mais de plus en plus souvent de
relevés GPS de précisions diverses.
Les données Raster sont issues de l'imagerie
spatiale ou des campagnes de relévé par
orthophographies nécessaires à la mise à jour de la
carte topographique de base de l'IGN.
V- La saisie des données :
● saisie de données anciennes (plans): Avant
d’utiliser des données papier dans un SIG, il est
nécessaire de les convertir dans un format
informatique. C'est la digitalisation qui permettra le
transfert du format papier au format numérique :

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Le document (carte topographique ou planche-mère) est disposé sur le plan de travail
de la table, relié à un ordinateur et muni d’un curseur magnétique, comportant une
loupe avec mire graduée. Lorsque l’on place le curseur sur un point donné, ses
coordonnées-table sont automatiquement enregistrées et envoyées à l’ordinateur.

Elles sont ensuite transformées


en coordonnéesgéographiques
ou cartographiques dans la
projection voulue, puis stockées
format vectoriel

De la même façon, la scannérisation consistera à produire un format raster de


ce même documents qui pourra être soit vectorisé manuellement, soit
automatiquement.

Remarque : Ce n'est pas parce que les données sont numériques qu'elles ont
précises; en effet, dans le cas précédent, un plan établi à l'échelle du 500 scannérisé
ou digitalisé gardera la précision graphique de ce report soit entre deux points :

● De la même façon, une donnée de type candélabre aura beau être référencée au cm
voire au mm prés, sa précision sera celle du relevé autrement dit du CCTP qui aura
définit ce relevé.

● La saisie de données, pour être cohérente doit être dans un système unique de
référence géographique ou alors connaître les formules de passage de l'un à l'autre...

VI- La gestion des données :


Face à la foule d'informations, la visualisation des données dans un SIG permet de faire
ressortir les données essentielles. (suivant les échelles , du niveau de détail, des
conventions de représentation…)

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Autant pour les petits projets, il est envisageable de stocker les informations
géographiques comme de simples fichiers, autant quand le volume de données grandit et
que le nombre d’utilisateurs de ces mêmes informations devient important, il convient
d’utiliser un SGBD (Système de Gestion de Bases de
Données) pour faciliter le stockage, l’organisation et la
gestion des données. Un SGBD n’est autre qu’un outil de
gestion de la base de données.Le plus utilisé est le SGBDR
(Système de Gestion de Bases de Données Relationnel).
Les données y sont représentées sous la forme de tables
utilisant certains champs comme lien.

La description des objets


A chaque objet est attribuée une fiche contenant des informations de type alphanumérique :
les attributs ou étiquettes.
Ces informations décrivent l'objet (nom de la ville, type de l'occupation du sol,...). Ces fiches
permettent de stocker des informations qui décrivent les objets.

VII- Interrogation et analyse :


Avec le SIG approprié, vous allez
pouvoir commencer par poser des
questions simple telles que:

● A qui appartient cette parcelle?


● Lequel de ces deux points est
le plus loin?
● Où sont les terrains utilisables
pour une industrie?

Et des questions intégrant une analyse, comme par exemple:


● Quels sont les terrains disponibles pour
construire de nouvelles maisons?
● Quels sont les sols adaptés à la
plantation de chênes?
● Quelles sont les parcelles concernées
par une zone de 100m autour d'une
route ?

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Pour répondre à ces questions, les SIG disposent d’algorithmes de calcul appelés
"buffering" afin de déterminer les relations de proximité entre les objets.

L'Analyse spatiale : L’intégration de données au travers des différentes couches


d’information permet d’effectuer une analyse spatiale rigoureuse. Cette analyse par
croisement d’information, si elle peut s’effectuer visuellement (à l’identique de calques
superposés les uns aux autres) nécessite souvent le croisement avec des informations
alphanumériques. Croiser la nature d’un sol, sa déclivité, la végétation présente avec les
propriétaires etc....est une analyse sophistiquée que permet l’usage d’un SIG;

Visualisation - production de cartes : Pour de nombreuses opérations géographiques, la


finalité consiste à bien visualiser des cartes et des graphes. sur le principe : Une carte vaut
souvent mieux qu’un long discours.

VIII- Logiciels :
Des logiciels comme AutocadMap à finalité principale de CAO-DAO permettent également la
mise en œuvre de solutions SIG mais leurs capacités demeurent très réduites et inadaptées
pour l’analyse et la gestion d’importantes bases de données géographiques. Autant ils
permettent le géoréférencement des données, autant ils peuvent se révéler insuffisant pour
traiter des images ou réaliser des requêtes complexes .
Il existe sur le marché français de nombreuses sociétés vendant des logiciels SIG. On peut
citer ESRI (d'où ce document est en grande partie tiré) et Géoconcept. Chaque produit est
adapté à un type de métier ou développé suivant les demandes particulières de grandes
collectivités.

VIII-L'intérêt des SIG sous forme d'exemples :


Analyse plus rapide des informations : Un agent
immobilier peut utiliser un SIG pour trouver des
maisons d’une certaine surface, avec 3 chambres et
comportant un garage. Il obtient ainsi simultanément
une liste des maisons répondant à ces critères ainsi
que leur localisation géographique.

Cette requête peut ensuite être affinée avec l’aide


de 2 nouveaux critères: une location inférieure à
700€ par mois et située à moins d’une certaine
distance d’une école. Le résultat de cette nouvelle
requête s’affiche dans les mêmes conditions.

Autre exemple qui illustre cet apport des SIG:


dans une société gérant des réseaux, les bases de
données clients et les bases de données des infrastructures peuvent être intégrées en une
seule et même entité. Il peut prévoir les travaux à réaliser sur les canalisations de plus de 30
ans (sous forme de requête). Et quand il décidera de procéder à la maintenance d’un
tronçon, tous les clients concernés pourront facilement être prévenus par une lettre
personnalisée directement produite par le SIG.

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Les exemples sont nombreux; grâce aux SIG, on peut visualiser, gérer, analyser,
résoudre et présenter les informations de façon visuel. Les relations entre les informations
apparaissent plus évidentes, leur apportant une valeur ajoutée ou éclairées sous un nouveau
jour.

IX- Outil stratégique et universel :

- Objectif 1er d’un SIG : aide à la décision

- la création d’un SIG requiert la maîtrise de plusieurs disciplines, notamment :


Informatique ; Communication visuelle ; Organisation humaine (des services et / ou des
ressources humaines pour sa mise en oeuvre et son exploitation) ; Cartographie ;
Infographie.

- un SIG doit offrir une capacité à gérer et à traiter les relations spatiales entre objets ou
phénomènes dans l’espace terrestre, donc des fonctions d’analyse spatiale et des fonctions
de synthèse pour l’aide à la décision.

- un SIG doit permettre de représenter l’espace terrestre sous forme de carte ou de plan donc
des fonctions de conception et production cartographiques.

Utilisateurs et utilisations
Utilisateur : tout individu qui modifie par son action la disposition d’objets sur le territoire,
directement ou indirectement
- ingénieurs
- architectes
- aménageurs
- décideurs (élus, maîtres d’ouvrage,...)
- entrepreneurs
- gestionnaires des réseaux et trafics pour les transports routiers
- concessionnaires et gestionnaires des réseaux : électricité, gaz, eau, télécommunications
- chercheur et statisticien : économiste, géographe, sociologue, archéologue,...

Utilisations :
- gestion des transports (suivi et gestion du trafic, calculs d’itinéraires,...)
- gestion du patrimoine immobilier, bâti et non bâti (gestion de la voirie, des réseaux de
distribution, des espaces verts,...)
- réseaux de distribution (gaz, eau, électricité)
- gestion du territoire (réseaux de transports, voies d’eau, forêts, zones cultivées,...) -
agriculture (gestion des zones cultivées, pollutions agricoles, prévention des inondations et
incendies, irrigation,...)
- choix des sites pour la construction de bâtiments et les projets d’aménagement par les
maîtres d’ouvrage et décideurs, simulation d’insertion de projets architecturaux,...
- domaine de l’eau : eau potable, rejets industriels, eau de baignade,...
- risques naturels ou technologiques et sécurité civile (localisation des sinistres, moyens
d’alerte, acheminement des secours,...)
- télécommunications
- géologie et ressources minières, gisements pétrolifères
- hydrographie et océanographie (gestion des équipements des grands ports, ostréiculture,
courants marins,...)

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- démographie, socio-économie et santé (évolution des populations, classification des
ménages,...)
- géomercatique, tourisme, localisation d’une clientèle cible
- accumulation et agrégation dans une banque de données structurées de connaissances
éparses sur le territoire
- usage de cartes au contenu actualisé
- combinaison de données géographiques sur des cartes de synthèse
(représentation sur une même carte d’un réseau routier et de zones inondables) -
simulation d’évènement : optimisation d’un itinéraire, impact d’une pollution,...

X- Les données topologiques


Le mot topologie vient de la contraction des noms grecs topos et logos qui signifient
respectivement lieu, et étude. Au pied de la lettre, la topologie est l'étude du lieu. Elle
s’intéresse donc à définir ce qu’est un lieu (appelé aussi espace) et quelles peuvent en être
les propriété.
La topologie s’intéresse plus précisément aux espaces topologiques et aux applications qui
les lient, dites continues. Elle permet de classer ces espaces, notamment les nœuds, entre
autres par leur dimension (qui peut être aussi bien nulle qu’infinie). Elle s’intéresse aussi à
leurs déformations.
En analyse, grâce aux informations qu’elle fournit sur l’espace considéré, elle permet
d’obtenir un certain nombre de résultats (existence et/ou unicité de solutions d’équations
différentielles, notamment).
Les espaces métriques ainsi que les espaces vectoriels normés sont des exemples
d’espaces topologiques.
La gestion de la topologie est une fonction souvent indispensable pour les applications SIG,
notamment pour la détermination d’itinéraires (où sont les croisements de routes ?, dans
quel sens doit-on prendre un axe routier ?,...) ou pour la délimitation de zones (par exemple,
pour délimiter une zone inondable de part et d’autre d’un cours d’eau).

Un très bon exemple d’information topologique, le plan du métro parisien avec ses lignes et
stations : ce plan est très suffisant pour se déplacer n’importe où dans paris (on « suit »
l’alignement des stations sur le réseau pour se déplacer) mais nulle part figurent des
indications sur le positionnement géographique des stations (notamment l’adresse postale
correspondante).

Description de la topologie des objets, du point de vue de la modélisation des informations :


on utilisera pour cela les concepts de « noeud » (point), « arc » (ligne) et « face » (surface) :
- tout objet est décrit par une agrégation de noeuds, d’arcs et de faces
- un noeud est l’extrémité d’un arc
- un arc est limite d’une face
- un noeud est inclus dans une face

Par exemple :
- un arc avec deux noeuds sur un arc peuvent représenter un point de départ et un point
d’arrivée sur une ligne orientée,
- une ligne orientée et limite de deux faces va définir une face gauche et une face droite.

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3 types de données topologiques

1) les données sans topologie, dites données « spaghetti » : on dispose d’un ensemble de
lignes toutes indépendantes les unes par rapport aux autres, mais pour lesquelles on est
dans l’incapacité de spécifier les relations de voisinage, d’où cette appellation imagée.

2) Données avec topologie de réseau : informations sur les arcs et leurs sommets

3) Données avec topologie de voisinage : relations sur des surfaces


Exemple : étude de la propagation d’un feu, les faces gauche et droite sont données par l’arc
orienté modélisant la direction des vents

L’Information Géographique et le 3D, la prise en compte du relief


Il est difficile de prendre en compte le relief de manière approfondie pour les SIG : la gestion
complète du monde 3D par les SIG nécessite des développements complexes, elle est donc
encore limitée à des applications spécifiques (spécifiques notamment à un territoire bien
délimité).

En conséquence, on utilise le 2D 1⁄2 :


pour tout point de coordonnées (X , Y), on détermine un unique Z, hauteur correspondante
du point par rapport au sol
Z peut correspondre par exemple à la hauteur d’un poteau ou d’un arbre.

Dans cette optique, on utilise des modèles du relief ou Modèles Numériques de Terrain
(MNT). Un MNT est une représentation informatique de l’altitude, avec une fonction de type
Z = f(X , Y) Il existe 3 types de MNT :
- les courbes de niveau : on trace des courbes dont les points ont la même altitude - le
MNT maillé : on réalise un quadrillage régulier de la surface du territoire considéré. A chaque
noeud de ce quadrillage, on associe la hauteur Z
- la triangulation : on modélise la surface terrestre comme un assemblage en 3D de faces
élémentaires, le triangle étant la géométrie la plus utilisée pour ces faces. A chacun des
sommets d’un triangle, on fait correspondre un Z.

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