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2023
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Page du Comité
UNIVERSITÉ DE KOLWEZI
FACULTE POLYTECHNIQUE
Par
MUKONKOLE LUMAMBA John
Il a été défendu le
September 2, 2023
Et approuvé par
Ilunga YANO Yannick, Chef des travaux, Département des mines
Nom du membre du comité, rang académique, affiliation au département
Nom du membre du comité, rang académique, affiliation au département
Directeur de thèse / Directeur de thèse : Bokwala Bokenka Freddy, Professeur Associe,
Université de Lubumbashi
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Table of Contents
Page du Comité....................................................................................................................1
Remerciements....................................................................................................................3
Avant-propos.......................................................................................................................3
Résumé................................................................................................................................3
CHAPITRE 1. Introduction.................................................................................................3
1.1 Portée.........................................................................................................................3
1.2 Énoncé du problème...................................................................................................3
1.3 Buts............................................................................................................................3
1.4 Questions de recherche..............................................................................................3
1.5 Hypothèses de recherche............................................................................................3
1..6 Guide du lecteur........................................................................................................3
CHAPITRE 2. Revue de la littérature.................................................................................3
2.1 Expériences................................................................................................................3
2.2 Études de cas..............................................................................................................3
2.3 Études longitudinales.................................................................................................3
CHAPITRE 3. Méthodologie..............................................................................................3
3.1 Participants.................................................................................................................3
3.1.1 Population............................................................................................................4
3.1.2 Échantillonnage...................................................................................................4
3.2 Matériaux...................................................................................................................4
3.2.1 Questions d’entrevue...........................................................................................4
3.2.2 Questions de l’enquête........................................................................................4
3.3 Collecte de données...................................................................................................4
3.4 Analyse des données..................................................................................................4
3.5 Mise à l’essai des hypothèses.................................................................................4
CHAPITRE 4. Résultats..................................................................................................4
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Remerciements
Avant-propos
Résumé
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CHAPITRE 1. Introduction
1.1 Portée
Dans une exploitation minière (à ciel ouvert ou en souterraine) l’objectif poursuivi
est d’extraire les minerais à moindre coût et dans les meilleures conditions de
sécurité .Pour y arriver il y a plusieurs opérations qui sont prises en considération dont les
plus fondamentales sont : la fragmentation, le chargement, le transport, et la mise en terril.
Etant donné que les opérations de chargement et transport représentent 40/ a 60/ du coût
global d’exploitation dans les mines à ciel ouvert en générale, le nombre d’unités de
transport pour la production dans une mine à ciel ouvert doit être optimal c’est-à-dire
équilibré par rapport au cubage à déplacer. Les bennes doivent travailler d’une manière
maximale pour minimiser l’attente. Si l’attente benne est nulle le nombre de celles-ci est
optimal. L’opération de transport nécessite d’être réalisée dans les conditions les plus
favorables possible pour avoir un bon rendement dans un bref délai et tout en réduisant le
temps d’attente bennes. Le transport constituent la principale opération dans pratiquement
toutes les mines, il ne peut se faire sans le chargement. C’est ainsi que ces deux Opérations
sont gérées simultanément par une section, division ou département de chargement et
transport, appelée production ou exploitation dans les mines à ciel ouvert. Dans les mines à
ciel ouvert, 90 % du d’exploitation minière sont budgétiser au chargement et transport, dans
les mines souterraines, il est de 50 à 70 %. D’où l’importance que revêtent ces deux
Operations dans l’exploitation des mines. Le chargement fait partie des opérations minières
fondamentales, et est très déterminante pour le succès de tout projet minier du fait que la
production minière dépend pratiquement de la quantité des déblais chargés.
minière dépend pratiquement de la quantité des déblais chargés. Cet aspect des choses a posé le
fondement de l’initiation du présent travail.
Afin de se rassurer sur la quantité des déblais qu’il faut déplacer dans la mine à ciel
ouvert de Mashamba vert différentes destinations, Il nous a été proposé, comme sujet de fin de
cycle : «Détermination du rendement horaire moyen des bennes dans la mine à ciel ouvert de
Mashamba Est, cas du projet réduit CUT 5A ». (Cas de la mine à ciel ouvert de Mashamba).
Le problème majeur que nous avons rencontré lors de notre passage dans la zone
étang Nord dans cette étude est dû à la chaleur causée par un recyclage d’air vicié. L’air frais
entre dans la zone étang par la rampe 38 via une cheminée et le retour d’air( air vicié) se fait par
rampe ; arriver au niveau 550 où une partie de celui-ci croise l’air frais, ce mélange d’air frais et
d’air vicié est aspiré par les ventilateurs situé sur la cheminée de la rampe 38 pour encore
alimenté la zone , ainsi donc il se crée un circuit bouchon qui mélange l’air frais et l’air vicié ,
ce mélange est emporté par une ramification des cheminées jusqu’au niveau 640 et y circule à ce
niveau jusqu’à être aspiré par le collecteur principal de retour d’air . Cela suscite trois questions
à savoir :
Quel est le besoin en air dans la zone ?
Quels sont les infrastructures et équipements à disponibiliser pour aérer la zone ?
Quel serait le cout alloué pour des conditions d'hygiène et de sécurité convenables de la
zone ?
1.3 Buts
L’objectif de ce présent travail de fin d’étude est de fournir une analyse de l’aérage dans
la mine souterraine de kamoto précisément dans la zone étang north. Pour se faire il a été utilisé
différentes équations pour le calcul du débit d’air nécessaire à la mine pour chasser l’air pollué,
choisir un schéma et le type d’aérage ainsi que le mode de répartition de l’air dans cette zone et
le calcul de la dépression totale de la mine et du tirage naturel permettant de choisir un ou
plusieurs ventilateurs, dont les caractéristiques obéissent aux besoins d’air de la mine.
Installation de portes en toiles dans les chantiers abandonnés et qui se situent dans le circuit
d’aérage afin d’éviter les pertes d’air, d’où cette analyse doit être critique.
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Elle appartient en grande partie au groupe Glencore et a l’état Congolais (25% de la part),
par son projet actuel dénommé « NJIYA YETU » la mine de MASHAMBA EST de la grande
entreprise KCC SA, l’entreprise vise à devenir première productrice de cuivre (Cu) en Afrique
dont l’objectif est d’atteindre 300.000 Tonnes de cuivre par an.
APPERCU HISTOTRIQUE
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L’exploitation de la mine à ciel ouvert de MASHAMBA Est a débuté en 1984 par les
travaux préparatoires. Ces dernières ont consisté en un aménagement des accès et des
infrastructures permettant le démarrage de l’exploitation proprement dite en 1985. Les travaux
en premier phase avaient pour but d’extraire 9.8millions tonnes sèche des minerais entre les
niveaux 1420 et 1300, 19288495m3 des matériaux (minerais +stérile=) ont été excavés entre les
années 1985 et 1988.
Entre les années 1988 et 1990 l’extraction de Mashamba Est ont connu de problèmes
financiers et des difficultés qui étaient liées à la l’exhaure.
I.2. HYDROGRAPHIE, CLIMAT ET VEGETATION DE LA REGION
Comme nous le savons tous, la région de Kolwezi connait un climat tropical humide et
tempéré à deux saisons ; une saison de pluie longue de 7 à 8 mois allant du mois de Septembre
au mois d’Avril et une autre sèche longue de 4 à 5 mois allant du mois de Mai au Mois de
Septembre.
La température moyenne annuelle varie entre 19 et 21° C. les températures moyennes
mensuelles varient entre 18 et 22° C avec une moyenne mensuelle des valeurs maximales
atteignant 29° C au début de la saison pluvieuse et celle minimales atteignant 10° C en Juin et
Juillet. La mine à ciel ouvert de MASHAMBA EST appartient au bassin versant du Lualaba, elle
est constituée des plusieurs cours d’eaux qui prennent leurs sources dans le plateau de Manika et
se rattachent au sous basin de Luilu et de Musonoie ; deux rivières importantes de la région
D’après FRANCOIS (1973) les gisements de Mashamba Est appartient au sous bassin versant de
Musonoie. Il est à signaler que pour permettre l’exploitation du gisement de Mashamba Est et
Dikulwe-kov, la rivière Musonoie fut détournée.
2.2. CADRE GEOLOGIQUE
Le gisement de MASHAMBA EST appartient au district de Kolwezi situé à l’Est
occidentale de l’arc cupro-cobaltifère Katanguien dans le temps du grand Katanga mais au
présent parlons du Lualabien. C’est un gisement sédimentaire stratiforme, composé de deux
corps minéralisés et appartient au groupe du Roan caractérisé par une grande fissuration.
Le district de Kolwezi comprend trois ensembles géologiques à savoir :
➢ Le Kahalarien : d’âge cénozoïque ;
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106070 196688
3,60% 0,7%
RSC, d’autres substances minérales de concentration mineure, telles que l’Or, l’Argent et autres
métaux non ferreux accompagnent cette minéralisation.
Ils seront déclaré si les teneurs atteignent des valeurs significatives, valorisable dans les
gisements ou les produits.
Du point de vue minier, le gisement de MASHAMBA EST fait partie du GROUPE
DIMA (DIKULUWE, MASHAMBA OUEST) dans la philosophie GECAMINES, ce groupe
formait une seule carrière.
2.5. PROJETS MINIERS
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Trois
Projets miniers 1340-1300 et 1250 furent élaborés à EMI pour l’exploitation à ciel ouvert
d’une partie de ces réserves, le solde devrait être pris en souterrain.
2.6. RESERVES MINIERES
Les réserves minières prévues d’être exploitées à ciel ouvert se présentent de la manière
suivante :
PROJET TONNAGE CUIVRE TONNAGE COBALT
1540 86-090TCU 9-979TCO
1300 348-190TCU 44-892TCO
1250 211-672TCU 28-355TCO
TOTAL 645-954TCU 83-226TCO
2.6. Katanguien.
Le Katanguien est constitué d’une succession de sédiments déposés durant la période
Séparant l’orogenèse Kibarienne de celle Lufilienne. Ces sédiments katanguiens se sont
déposés entre 880 et 500Ma. Le Katanguien affleure au Sud de la chaîne Kibarienne, plus
précisément au Sud, au centre et au Nord du Katanga. On y observe au Nord, le Katanguien
tabulaire comprenant les plateaux de Biano au Nord-Ouest et celui de Kundelungu au Nord-Est
et au Sud, le Katanguien plissé communément appelé « arc Lufilien » qui part de la Zambie
jusqu’à Kolwezi et en Angola. Nous présentons les subdivisions du système Katanguien, ainsi
que sa lithologie dans le tableau ci-dessous.
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Nous nous intéresserons encore plus au groupe du Roan et plus particulièrement au sous-
groupe des mines, auquel appartiennent les formations géologiques du site d’étude. Les roches
du sous-groupe des mines, où se loge principalement la méga-brèche de Kolwezi, ont été
classées dans 5 types de faciès sédimentaires sur base des caractéristiques des horizons RSF,
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RSC et particulièrement des SDB et SDS (Franck NGWEJ, 2016). Il s’agit des faciès Menda,
Kalumbwe, Kilamusembu (entoure les formations de faciès Musonoï), Musonoï et Long.
S.D SUPERIEUR
KATAGUIEN ROAN
R.22
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RAT GRISE
Des phénomènes d’altérations très importants sont remarqués dans ces formations. Ces
altérations sont surtout constatées aux alentours des fissures. Tableau I-2 : Produits d'altération
des formations de KOV.
PRODUCTION
D’ALTERATION
Dstrat Argile
sablonneuse grise
jaune ou blanchâtre
RSF Argile sablonneuse
grise clair
RSC Sable fin avec un peu d’argile ; blanc ou brun
avec paillette de mica et pulvérulente par
endroit
SD Argile sablonneuse blanchâtre ou brun avec
paillettes de mica et pulvérulente par endroit
CMN Argile avec un peu de sable ou sable argileux,
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− Camion-citerne (eau) : 4
− Dozer sur pneus : 2
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2.1 Expériences
2.2 Études de cas
2.3 Études longitudinales
CHAPITRE 3.
3.1 Participants
3.1.1 Population
3.1.2 Échantillonnage
3.2 Matériaux
3.2.1 Questions d’entrevue
3.2.2 Questions de l’enquête
3.3 Collecte de données
3.4 Analyse des données
3.5 Mise à l’essai des hypothèses
CHAPITRE 4. Résultats
4.1 Question de recherche 1
4.2 Question de recherche 2
4.3 Question de recherche 3
Conclusion
Discussion
Interprétation des résultats
Limitations
Pistes de recherche future
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Recommandations
Liste de référence
Annexe A. Protocoles
Annexe B. Transcriptions des entrevues
Annexe C. Calculs
Annexe D. Consentement éclairé]