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INTRODUCTION
I.1. Contexte général
Il est important de connaitre et d’analyser les performances d’un engin qui travaille dans des
conditions géologiques variables à l’image de la machine SOLO SANDVIK DL 431 d’où le choix
pour nous d’analyser les performances de cette machine sous la facette : « Evaluation des
performances de la machine d’exploitation Solo Sandvik Dl 431 dans les différentes formations
géologiques de la mine souterraine de KAMOTO»
b) Intérêt de l’étude
Intérêt personnel :
Ce sujet est pour nous une occasion de comprendre les différentes notions sur le forage
et de connaitre le fonctionnement d’une machine de forage dans une mine souterraine.
Etant étudiante en géologie et mine, nous pensons qu’à l’issu de ce travail, nous allons
acquérir une certaine maitrise dans le choix d’une machine d’exploitation minière, afin
de nous en servir dans la vie professionnelle.
Intérêt social :
Les résultats de nos recherches permettront aux entreprises minières en général et à KCC en
particulier d’orienter les décisions concernant l’utilisation des machines d’exploitation.
Intérêt scientifique :
Ce travail, résultat de nos recherches, constitue notre apport ou contribution à la science qui se
veut toujours innovante. Nous osons croire qu’il constituera une documentation non
négligeable pour des générations futures toujours dans la perspective évolutive.
c) Problématique
b) Objectifs
Tout travail qui se veut scientifique doit se servir des méthodes et techniques qui
permettent de bien mener les investigations et qui garantissent les résultats en terme de
fiabilité. Raison pour laquelle nous présentons les méthodes et techniques qui nous
permettrons d’effectuer nos recherches et élaborer ce travail.
I.4.1. Méthodes
La méthode est « l’ensemble des règles pour conduire raisonnablement, logiquement
nos pensées. En d’autres termes, c’est la voie à suivre pour atteindre le but qu’on s’est fixé ».
Autrement dit, une méthode est une réflexion coordonnant un ensemble de
techniques concrètes en vue de vérifier une hypothèse émise.
Pour ce qui est de notre travail, la méthodologie comprendra une analyse approfondie des
données de performances de la machine collectées par chronométrage lors de notre passage
dans la mine de kamoto. De plus, des enquêtes sur terrain et des entretiens avec les opérateurs
et les personnels techniques de la mine ont été réalisés pour recueillir des informations
nécessaires associées à l’utilisation de la machine.
I.4.2. Techniques
Nous définissons les techniques comme étant les outils mis à la disposition de la
recherche et organisés par la méthode dans ce but. Elles sont limitées en nombre et communes
à la plupart des sciences sociales, sciences humaines, sciences exactes …
<< Les techniques sont les moyens utilisés et dont la méthode se sert pour effectuer les
différentes opérations intellectuelles.>>
La technique d’enquête
L’enquête consiste pour un chercheur, à recueillir les informations auprès d’une
personne par un questionnaire écrit ou oral.
Nous nous sommes servi de cette technique pour recueillir les informations relatives
à notre sujet auprès des agents travaillant dans la mine et beaucoup plus les opérateurs.
La technique documentaire
II.1. Introduction
Les paramètres de forage sont des données primordiales pour planifier et réaliser un
forage. Plusieurs tentatives théoriques et pratiques ont été effectué pour capter et contrôler
ces données. Les études théoriques consistent à établir des relations rationnelles ou empiriques
entre les différents paramètres, tandis que les appareils de mesure ont le rôle de capter
fidèlement les paramètres dans les déférentes phases de forage.
a) Le rendement:
b) La profondeur de forage
Il s’agit de la profondeur maximale que la machine de forage peut atteindre. Une
machine capable de forer à des profondeurs plus Importantes peut être considérée
comme plus performante.
c) La vitesse de forage
Il s’agit de la vitesse à laquelle la machine de forage peut pénétrer dans le matériau. Elle
est généralement mesurée en mètres par heure (m /h) ou en mètres par minutes (m/min). Une
vitesse élevée peut accélérer le processus de forage et améliorer la productivité.
d) Le taux de pénétration
Il s’agit du nombre de mètres fores par unité de temps. Il est souvent exprimé en mètres
par minute (m/min). Un taux de pénétration plus élevé indique une machine de forage
plus performante.
e) Le temps d’arrêt
Il s’agit du temps pendant lequel la machine de forage est hors service en raison de
pannes, de réparations ou d’autres problèmes. Un temps d’arrêt réduit est souhaitable,
car il maximise le temps de fonctionnement de la machine et la productivité globale.
f) La consommation d’énergie
g) La précision du forage
Il s’agit de la capacité de la machine de forage à forer des trous avec précision et une
conformité aux spécifications requises. Une précision élevée est essentielle pour
garantir la sécurité, la stabilité des excavations et la qualité du forage.
Le taux de pénétration est influencé par plusieurs paramètres les quels sont classés dans
deux classifications générales : Contrôlables et Environnement. Les facteurs contrôlables sont
des facteurs qui peuvent être immédiatement changés comme le poids sur le l'outil, vitesse de
rotation, l'hydraulique (débit…). Les facteurs environnementaux ne sont pas contrôlables
comme les propriétés de la formation, les exigences des fluides de forage.
Il existe un vaste critère de choix des outils de forage, Cependant ces outils dans leur
grande majorité ont été conçus pour forer des puits verticaux, or il existe des différences
majeures entre le travail demandé à un outil dans un puits vertical et celui dans un puits
horizontal.
D'après des études en laboratoire et des essais effectués sur les chantiers, il a été
constaté qu’à une vitesse de rotation constante, une augmentation de la vitesse d'avancement.
Cette augmentation varie en proportion directe du poids sur l'outil.
La règle de base est d'une tonne par pou trois (3) tonnes dans les terrains dure.
Toutefois, la vitesse d'avancement peut atteindre un maximum si le poids appliqué à l'outil
atteint la charge limite qui fait pénétrer entièrement une dent dans supplémentaire est
supporté par le corps du cône qui s'applique contre la formation et il en résulte une diminution
de la vie du roulement sans augmentation correspondante de la vitesse d’avancement.
Cette charge limite est d'autant plus importante que le terrain est plus dur et peut ne
pas pouvoir être atteinte. En plus de cette charge limite, le poids sur l'outil est limité par sa
construction même, c'est –à- dire par son type.
Le poids sur l'outil peut également être limité par le poids de la masse tiges utilisée. Si
l'on applique sur l'outil un poids plus élevé que celui qui est disponible en masse- tige, on risque
:
Le seuil du poids de l'outil est le poids minimum appliqué sur la roche étant forée à
lequel l'outil commence à forer. Au-dessous de ce seuil du poids de l'outil, aucun taux
significatif de pénétration n’est réalisé. La relation entre ROP et le WOB tenant tous autres
facteurs constants.
II.2.1.5. Effet de la vitesse de rotation (RPM) sur ROP
L'effet de la vitesse de rotation sur le taux de pénétration de l'outil à roue dentée est
légèrement plus difficile à évaluer que l'effet du poids de l'outil. La rotation du train et de l'outil
de forage est associée aux vibrations qui commencent de l'outil de forage. Ces vibrations
influencent sur l'action de l'outil sur la roche et donc peuvent provoquer l'échec du processus
de forage de la roche. Afin d'éviter de tels résultats défavorables, la pratique de forage a tendu
vers des vitesses de rotation plus lente avec de plus grands poids sur l'outil pour obtenir des
vitesses plus rapides de pénétration.
Avec des RPM de l’outil de forage croissantes, le taux de forage (ROP) augmente, atteint
un maximum puis diminue. L'augmentation de la vitesse de rotation des trépans diminue leur
durée de vie en infligeant une usure intense aux roulements, réduisant ainsi le nombre de
mètres par passage. Pour le forage géothermique, il est devenu pratique courante de forer avec
un moteur hydraulique à la profondeur totale du puits, et pas seulement la partie de build-up
des puits déviés. Puisque, la vitesse de rotation finale du bit est plus que doublée avec une
amélioration correspondante de la vitesse de pénétration.
Par la vibration du train de tige (phénomène de résonance qui peut être la cause
de fatigue et de rupture).
Par certains type d'outil qui travaillent par broyage ; le facteur de poids est plus
important ; une vitesse de rotation excessive entrainerait une diminution de la
vitesse d'avancement ainsi que la détérioration des pastilles en carbure de
tungstène
Par les frottements en forage dévié
II.2.1.5. Usure des dents de l'outil de forage
La plupart des outils de forage tendent à forer plus lent pendant que la course de l’outil
de forage progresse en raison de l'usure de dent. Cette usure est très importante dans certains
terrains durs et abrasifs, d’où la diminution du taux de pénétration de cette partie du forage.
Pour refroidir correctement les dents et éviter de le bruler, il est important d'avoir un
débit de circulation important. Le respect d'un débit de circulation élevé est prépondérant pour
les outils de forage tout d'abord pour refroidir les taillants et ensuite pour nettoyage du front
de taille.
Le nettoyage des trous est l'un des plus grands défis dans le forage des puits fortement
déviés. Malgré toutes les améliorations récentes dans les technologies et les procédures, nous
ne pouvons pas encore savoir ce qui se passe réellement dans le fond, même si des efforts ont
été faits pour comprendre ce qui se passe par rapport aux déblais et aux conditions de forage.
Figure II. 1. Le déplacement des déblais dans des puits verticaux et horizontaux
1) Le temps de cycle : C’est le temps nécessaire pour effectuer un cycle complet de forage. Un
temps de cycle court indique une performance améliorée. Parlant du temps de forage, nous
avons :
o Le temps de manœuvres au forage qui est le temps pendant lequel la machine doit
effectuer quelques mouvements afin de se positionner sur l’endroit marqué pour le
forage.
o Le temps de forage est le temps pendant lequel le taillant commence à détruire la roche
pour y créer un trou.
o Le temps de détigeage est le temps pendant lequel l’opérateur commence à retirer les
barres du trou après avoir atteint la profondeur planifiée.
2) Les couts opérationnels : Cela comprend les couts liés à la main d’œuvre, à l’équipement, aux
matériaux et à la maintenance. Une performance de forage efficace doit minimiser les couts
globaux.
3) La sécurité : La sécurité est un élément crucial dans l’analyse de la performance de forage. Il faut
tenir compte du nombre d’incidents, des accidents et des mesures prises pour assurer la
sécurité des travailleurs et de l’environnement.
4) La qualité du forage : La qualité du forage peut être évaluée en fonction de la précision de
l’emplacement du forage, de la rectitude du trou, de la qualité de l’échantillonnage, etc. Une
performance élevée implique un forage de haute qualité.
5) Le rendement du forage : Il s’agit du rapport entre la quantité de matériau foré et la quantité de
matériau extrait. Un rendement élevé signifie que le forage est efficace et minimise les pertes.
6) La vitesse de forage : C’est le rythme auquel le forage progresse en termes de profondeur par
unité de temps. Une vitesse de forage élevée indique une meilleure performance.
7) La profondeur de forage : Il s’agit de la profondeur totale atteinte par le forage. Une
performance enlevée serait caractérisée par une profondeur importante attente dans un laps de
temps donné.
CHAPITRE III : COLLECTE DES DONNEES
III.1. Introduction
III.2 : Présentation de l’entreprise
La mine souterraine de Kamoto est à ces jours sous la gestion de l’entreprise Kamoto
Copper Company (KCC), une société anonyme (S.A). Kamoto Copper Company est une
entreprise privée filiale de Katanga Mining Limited et du groupe Glencore.
III.2.1. Localisation
Située au Sud-Est de la République Démocratique du Congo dans la province minière du
Lualaba, la mine de Kamoto se trouve à plus ou moins 9 kilomètres à l’Ouest du centre de la
ville de Kolwezi et, à une distance d’environ 300 kilomètres de la ville de Lubumbashi, chef-lieu
de la province du Haut-Katanga. La mine souterraine de Kamoto est située à 1445 mètres au-
dessus de la surface de la mer, 25®27′ Est de longitude et 10®42′ Sud de latitude.
III.2.2. Minéralisation
La minéralisation cupro-cobaltifère de la mine de Kamoto est strictement localisée
dans les deux ore-bodies sous forme sulfurée. Le cuivre et le cobalt sont finement disséminés
dans la roche principalement sous forme de chalcosine et de carrollite. Il est à remarquer que
l’ore-body inférieur est moins riche en cuivre et en cobalt que l’ore-body supérieur.
III.2.3. Hydrogéologie
La mine de Kamoto est entourée de cinq nappes qui constituent les sources
principales d’eau. Les sondages de reconnaissance qui ont été faits ont permis d’identifier ces
différentes nappes dans les horizons de Kamoto principal, c’est notamment :
Ce gisement compte deux écailles : " Kamoto Principal" et " Kamoto Etang" comprenant
chacune deux couches minéralisées de 12 à 15 mètres de puissance désignées par les sigles OBI
et OBS (Ore Body Inferieur et Ore Body Supérieur), formées de schistes dolomitiques et
séparées par un banc stérile épais de 15 à 25 mètres d’origine récifale, algaire et formé de
roches siliceuses cellulaires (RSC) de très bonne tenue.
Le mur du gisement est constitué de roches argilo-talqueuses (RAT) de mauvaise tenue, due à
leurs diaclases et joints de fracturation à chlorites, argiles et oligistes. Le toit immédiat du
gisement est constitué d’un banc de dolomie massive, sans litage, de bonne tenue, dénommé
BOMZ, (Black Ore Mineralized Zone). Ce BOMZ, de 2 mètres d’épaisseur, est surmonté de
schistes dolomitiques de 4 mètres d’épaisseur finement stratifiés graphiteux et d’assez
mauvaise tenue.
Cette écaille est subdivisée en 9 zones qui sont définies en fonction du pendage, des
caractéristiques géotechniques, des situations géographiques des roches encaissantes et des
méthodes d’exploitations :
1. Lambeau Sud
Il contient les 3⁄4 (trois quart) de la réserve de cette écaille, il plonge en semi-dressant avec un
pendage de 35° du Sud-Ouest vers le Nord-Est et, cela depuis son affleurement jusqu’à la
profondeur de plus de 475 mètres. Ce lambeau est fortement altéré jusqu’à la profondeur
probable de 300 mètres.
2. Lambeau Nord
Non altéré, ce lambeau plonge en semi-dressant avec un pendage de 40° du NordOuest vers le
Sud et entre 405 et 575 mètres de profondeur. Son extrémité Nord-Est se glisse sous l’écaille de
Kamoto principal.
Notons qu’en plus des lambeaux principaux cités ci-dessus, quatre autres couches
minéralogiques ont été découvertes. Il s’agit notamment de l’esquille, BANKA, de l’écaille
renversée et de la zone 5 bis.
III.3.3.3. Stratigraphie
Les terrains de la mine de Kamoto ont leur origine dans des bassins de sédimentation sous
forme de boues déposées en couches plus ou moins horizontales. Ces couches sont
grossièrement parallèles entre elles et varient dans le sens vertical suivant les conditions de
dépôt et la profondeur du bassin.
En profondeur, ces terrains sont généralement dolomitiques, il existe cependant des zones
altérées le long des cassures et des failles. En faciès dolomitique, les minerais se présentent
sous forme des sulfures de cuivre et de cobalt, en faciès altéré ces mêmes minerais se
transforment en oxyde de cuivre et de cobalt.
La mine de Kamoto a deux ensembles de couches minéralisées constituant les
deux corps minéralisés ou ore bodies. L’ore-body inférieur et l’ore-body supérieur sont
séparés l’un de l’autre par un puissant massif algaire de 15 à 25 mètres de puissance. Chaque
ore-body a une épaisseur moyenne de + 14 mètres. En allant du mur vers le toit du gisement,
donc du Sud vers le Nord, nous rencontrons :
RAT lilas : Roche Argilo Talqueuse lilas (RAT 3c), de couleur rose ou violacée, elle est
massive et fracturée, elle a la présence de l’oligiste ;
Brèche de RAT grise : couleur gris-vert, écrasée, de rubannage grossier, d’épaisseur
0,50 à 1,50 mètres, et de teneur 1% Cu ;
RAT Grise (Roches Argilo Talqueuses Grises) : microgrès, massives, de couleur grisvert
et d’épaisseur 2 mètres, sa teneur est de 4% Cu ;
D-Strat (Dolomie Stratifiée) : de couleur gris-noir, stratifiée grossièrement, présence
des niveaux cherteux à la base et au sommet, présence des nodules, épaisseur de 4
mètres et une teneur variant de 2 à 3% Cu ;
RSF Dolomitique (Roche Siliceuse Feuilletée Dolomitique) : stratifiée régulièrement,
mieux litées, teinte gris-noir, d’épaisseur + 1,60m et de teneur allant de 2 à 3% Cu ;
RSF Siliceuse (Roche Siliceuse Feuilletée) : structure feuilletée et ondulée, mieux litées,
couleur gris clair, d’épaisseur 3.5 à 4 mètres et de teneur allant de 6 à 8% Cu ;
RSC Minéralisée (Roche Siliceuse Cellulaire Minéralisée) : massive sans litage, présence
des taches noires, l’épaisseur de 1 à 2m et de teneur 5% Cu ;
Shales Intercalaires : lenticulaires (en forme d’une lentille), non continus, de couleur
gris-bleuté, parfois il y a la présence des sulfures massifs, la teneur de ±10% Cu ;
RSC Stérile (Roche Siliceuse Feuilletée Stérile) : massive sans litage, de teinte claire,
présence des grands cristaux de dolomite noire, d’épaisseur 15 à 25m ;
Ainsi donc, dans l’ore-body inférieur, nous trouvons les formations géologiques ou couches
suivantes : la brèche de RAT Grise, la RAT grise, le D-STRAT, les RSF Dolomitiques, les RSF
Siliceuses et les RSC Minéralisées. Tandis que l’ore-body supérieur est constitué de SDS
seulement et dans ce dernier, nous trouvons SD1a Argilo-Dolomitique, SD1a Dolomitique et les
bomzâtres.
Cette machine comprend deux grandes parties dont la partie foration ou de commande et la
partie dite tracteur
III.2.2. Fonctionnement
Pour son fonctionnement, la machine a besoin d’un courant électrique de tension de 500 à
550 Volts et des fluides tels que l’eau ; l’huile hydraulique et l’huile Almo raison pour laquelle
nous disons qu’elle est hydroélectrique.
o L’electricite : facilite les fonctionne ;ent des pompes qui font vehiculer l’huile
dans la machine ;
o L’eau sert à :
- Refroidir le taillant et nettoyer la machine;
- Curer le trou ou enlever les cuttings ;
- Rabattre la poussiere lors du forage ;
- Refroidir l’huile hydraulique (via le refrigerateur) venant du circuit
d’utilisation vers le reservoir.
o L’huile Almo : Cette huile sert à lubrifier le marteau perforateur ;
o L’huile hydraulique : Permet à la machine de faire des mouvements lau moment
du forage.