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La mine de cuivre de Kamoa-Kakula — une joint-venture entre Ivanhoe Mines (39,6 %), Zijin Mining Group (39,6 %),
Crystal River Global Limited (0,8 %) et le Gouvernement de la République Démocratique du Congo (20 %) — est une
grande surface de gisement de cuivre stratiforme en plateure adjacente aux zones d’exploration prospectives
dans la ceinture de cuivre d’Afrique centrale, à environ 25 kilomètres à l’ouest de la ville de Kolwezi et à environ
270 kilomètres à l’ouest de la capitale de la province de Lubumbashi.
Rapports techniques 2020
La production initiale de concentrés de cuivre à l’usine de traitement de la mine de Kakula a commencé le 25 mai
2021.
Kakula devrait être la mine de cuivre majeure à la plus haute teneur au monde, avec un taux de production minière
initial de 3,8 millions de tonnes par an, augmentant jusqu’à 7,6 millions de tonnes par an au T3 2022. La phase 1
devrait produire environ 200 000 tonnes de cuivre par an et les phases 1 et 2 combinées devraient produire
environ 400 000 tonnes de cuivre par an. Il a été déterminé, sur la base d’une analyse indépendante, que le
scénario d’expansion progressif du projet jusqu’à 19 millions de tonnes par an positionnerait Kamoa-Kakula
comme le second complexe minier de cuivre le plus grand au monde, avec une production de cuivre annuelle
maximale de plus de 800 000 tonnes.
Étant donné le prix du cuivre actuel, Ivanhoe ainsi que son partenaire, Zijin examinent l’accélération de l’expansion
de la phase 3 du concentrateur de Kamoa-Kakula de 7,6 à 11,4 millions de tonnes par an, qui peut être alimenté
par des exploitations minières étendues à Kansoko ou par de nouvelles zones d’exploitation minière à Kamoa
Nord (notamment la zone de Bonanza) et Kakula Ouest.
La mine de cuivre de Kakula en République démocratique du Congo (RDC) est en bonne voie pour la première
production en juin 2021
Le développement souterrain de la mine Kansoko se fait actuellement dans des zones de minerai à faible et
moyenne teneur, avec une teneur en cuivre comprise entre environ +2 % et +3 %. Kansoko est développé par un
personnel de bord et constituera une source supplémentaire de minerai lorsque la capacité de traitement du
concentrateur de Kakula doublera pour atteindre 7,6 millions de tonnes par an : sa mise en service est
actuellement prévue pour le deuxième trimestre 2022.
Vue aérienne du stock de Kakula Nord
En septembre 2020, Ivanhoe Mines a annoncé les conclusions extrêmement positives d’une étude de faisabilité
définitive (DFS) indépendante pour le développement de la mine de cuivre de Kakula, ainsi qu’une étude de
préfaisabilité actualisée qui inclut le minerai extrait de la mine de cuivre de Kansoko située à proximité en plus du
minerai extrait de Kakula et une évaluation économique préliminaire actualisée et élargie pour le plan de
développement global de tous les gisements de cuivre découverts à ce jour dans le cadre du Kamoa-Kakula
Project situé dans la ceinture cuprifère d’Afrique centrale en RDC.
L’étude de faisabilité définitive (DFS), l’étude de préfaisabilité (PFS) et l’évaluation économique préliminaire (PEA)
actualisée, collectivement appelées le Plan de développement intégré 2020 de Kamoa-Kakula (IDP20 de Kamoa-
Kakula), confirment les excellents résultats des études précédentes annoncés en février 2019. La nouvelle étude
de faisabilité définitive (DFS) incorpore l’avancée des activités de développement et de construction à ce jour et a
confirmé une nouvelle fois la rentabilité remarquable de la première phase de la mine de Kakula. De même, la
nouvelle évaluation économique préliminaire (PEA) élargie démontre l’excellent potentiel que présente un
développement du projet à une bien plus grande échelle, avec une capacité de production considérablement plus
grande.
Licence minière Kamoa-Kakula, indiquant les zones de ressources minérales de Kamoa, Kamoa Nord, Kakula et
Kakula Ouest, ainsi qu’une partie de la zone d’avenir occidentale appartenant à 100% à Ivanhoe.
Étude de faisabilité définitive pour la phase 1 du développement de la mine de Kakula. L’étude de faisabilité
définitive (DFS) 2020 de Kakula évalue le développement d’une mine souterraine de phase 1 de 6 millions de
tonnes par an et le complexe de traitement en surface au niveau du gisement de Kakula d’une capacité de
7,6 millions de tonnes par an, bâtis en deux modules de 3,8 millions de tonnes par an, dont le premier est déjà
en construction avancée.
Étude de préfaisabilité incluant le développement de la mine de Kansoko. L’étude de préfaisabilité (PFS) 2020
Kakula-Kansoko évalue le développement des activités minières au niveau du gisement de Kansoko en plus
de la mine de Kakula, initialement à un taux de 1,6 million de tonnes par an pour alimenter le concentrateur à
Kakula, pour s’élever progressivement finalement à 6 millions de tonnes par an, alors que les réserves à
Kakula s’épuisent.
L’IDP 2020 de Kamoa-Kakula, qui inclut l’étude de faisabilité définitive (DFS) 2020 de Kakula, l’étude de
préfaisabilité 2020 de Kakula-Kansoko et l’évaluation économique préliminaire (PEA) 2020 de Kamoa-Kakula, a été
préparé de façon indépendante, dans sa totalité par : OreWin Pty Ltd. d’Adélaïde en Australie, China Nerin
Engineering Co. Ltd de Jiangxi en Chine, DRA Global de Johannesburg en Afrique du Sud, Epoch Resources de
Johannesburg en Afrique du Sud, Golder Associates Africa de Midrand en Afrique du Sud, KGHM Cuprum R&D
Centre Ltd. de Wroclaw en Pologne, Outotec Oyj de Helsinki en Finlande, Paterson and Cooke du Cap en Afrique
du Sud, Stantec Consulting International LLC de Phoenix aux États-Unis, SRK Consulting Inc. de Johannesburg en
Afrique du Sud et Wood plc de Reno aux États-Unis.
L’évaluation économique préliminaire (PEA) 2020 de Kamoa-Kakula est, par nature, basée en partie sur les
ressources minérales inférées. Les ressources minérales inférées sont considérées comme trop spéculatives,
d’un point de vue géologique, pour les considérer comme réserves minérales avec les effets économiques
conséquents (et il n’existe aucune certitude que les résultats se réaliseront). Les ressources minérales ne
démontrent pas de viabilité économique et ne constituent pas des réserves minérales.
Une option de développement étendu, modulaire et intégré est prévue pour les gisements de Kakula et Kamoa,
grâce à la construction d’une fonderie blister, pour un total d’exploitation de 19 millions de tonnes par an.
Production initiale de la mine de Kakula à un taux de 6 millions de tonnes par an, suivie par les opérations
minières souterraines séparées ultérieures aux mines avoisinantes de Kansoko, Kakula Ouest et Kamoa
Nord, ainsi que par la construction d’une fonderie blister. La zone de Kamoa Nord comprend cinq mines
séparées qui seront développées lorsque les ressources s’épuiseront ailleurs, pour maintenir un taux de
production jusqu’à 19 millions de tonnes par an, avec une durée de vie globale dépassant les 40 ans.
Dans le cas du développement intégré à plusieurs étapes de 19 millions de tonnes par an, l’évaluation
économique préliminaire (PEA) envisage des dépenses en immobilisations initiales restantes de 0,7 milliard
$USD. L’expansion future des mines de Kansoko, Kakula Ouest et Kamoa Nord pourraient être financées par
les flux de trésorerie de la mine de Kakula, pour une valeur actualisée nette après impôts, avec un taux
d’actualisation de 8 % (NPV8 %), de 11,1 milliards $USD, un taux de rendement interne de 56,2 % et une
période de récupération de 3,6 ans.
La part proportionnelle d’Ivanhoe des dépenses en immobilisations initiales restantes de cette option est
d’environ 0,36 milliard $USD pour l’évaluation économique préliminaire (PEA) 2020 de Kamoa-Kakula.
Dans le cadre de cette approche, l’évaluation économique préliminaire (PEA) envisage également la
construction d’une fonderie de cuivre blister à l’usine de Kakula avec une capacité d’un million de tonnes de
concentrés de cuivre par an, financée par des flux de trésorerie internes. Cela interviendrait dans la cinquième
année d’exploitation, et produirait des économiques significatives sur les frais de traitement et les coûts de
transport.
Le scénario à 19 millions de tonnes par an montre le potentiel d’une production annuelle de 501 000 tonnes
de cuivre pour un coût déboursé total de 1,07 $USD/livre de cuivre pendant les 10 premières années
d’exploitation et une production de 805 000 tonnes d’ici la huitième année. Le taux de production envisagé
ferait de Kamoa-Kakula la deuxième mine de cuivre au monde.
Figure 1. Plan de développement de l’évaluation économique préliminaire (PEA) à long terme de 19 millions de
tonnes par an pour Kamoa-Kakula.
Figure 2. Vue d’ensemble des gisements compris dans l’étude de faisabilité définitive (DFS) 2020 de Kakula
(6 millions de tonnes par an, indiquée par une ligne en pointillés bleue), l’étude de préfaisabilité (PFS) 2020 de
Kakula-Kansoko (7,6 millions de tonnes par an, indiquée par une ligne en pointillées violette) et l’évaluation
économique préliminaire (PEA) 2020 de Kamoa-Kakula (indiquée par une ligne en pointillées verte).
L’étude évalue le développement d’une première phase de mine souterraine à 6 millions de tonnes par an et le
complexe de traitement en surface au niveau du gisement de Kakula de 7,6 millions de tonnes par an, construit en
deux modules de 3,8 millions de tonnes par an, la construction du premier étant déjà avancée. La production du
premier module à 3,8 millions de tonnes par an commence au T3 2021 et celle du second au T1 2023. Le scénario
de production sur la durée de vie de la mine prévoit l’extraction de 110 millions de tonnes à une teneur moyenne
en cuivre de 5,22 %, produisant 8,5 millions de tonnes de concentré de cuivre à haute teneur, contenant environ
10,8 milliards de livres de cuivre.
L’analyse économique, qui se base sur un prix consensuel du cuivre à long terme, soit 3,10 $USD/lb, prévoit une
VAN après impôt de 5,5 milliards $USD avec un taux d’actualisation de 8%. Le taux de rendement interne après
impôt est de 77,0 % et la période de récupération est de 2,3 ans.
Les dépenses en immobilisations initiales restantes, y compris les imprévus, sont estimés à 0,65 milliard $USD à
partir du 1er juillet 2020. Les dépenses en immobilisations pour la production d’électricité hors-site, qui sont
comprises dans les dépenses en immobilisations initiales restantes, comprennent les avances versées à la
Société Nationale d’Electricité (SNEL) publique de la RDC dans le cadre de la modernisation de deux usines
hydroélectriques (Koni et Mwadingusha) pour alimenter le Projet Kamoa-Kakula en électricité propre pour ses
opérations planifiées. Les travaux de modernisation des centrales hydroélectriques sont dirigés par Stucky Ltd., de
Renens, en Suisse, et les avances seront récupérées par Kamoa-Kakula grâce à une réduction des tarifs d’énergie
payés.
Image aérienne du barrage et de la centrale hydroélectriques de Mwadingusha, avec les nouvelles conduites
forcées installées. Mwadingusha fournira bientôt 72 mégawatts (MW) d’hydroélectricité propre et durable au
réseau national. La mine de Kakula devrait être alimentée en permanence avec de l’hydroélectricité à 220 kilovolts
(kV) depuis le réseau national début 2021.
Scénario de développement élargi à 19 millions de tonnes par an pour les gisements de Kakula et Kamoa
L’évaluation économique préliminaire (PEA) 2020 de Kamoa-Kakula évalue également une option supplémentaire
de développement consistant en l’exploitation de plusieurs gisements du Kamoa-Kakula Project, sous la forme
d’un complexe intégré d’exploitation, de traitement et de fonte d’une capacité de 19 millions de tonnes par an,
devant être construit en plusieurs phases. Ce scénario envisage la construction et l’exploitation de trois mines
distinctes : premièrement, une exploitation minière initiale de 6 millions de tonnes par an serait établie à la mine
de Kakula sur le gisement de Kakula, deuxièmement, une exploitation minière distincte suivante de 6 millions de
tonnes par an à la mine de Kansoko, où deux équipes travaillent déjà, une troisième mine de 6 millions de tonnes
par an sera ensuite établie à la mine de Kakula Ouest, en plus d’une quatrième mine initiale dans la région de
Kamoa Nord, exploitée initialement à 1 million de tonnes par an. L’usine de traitement est construite en cinq
modules de 3,8 millions de tonnes par an, avec une capacité finale de 19 millions de tonnes par an.
Au fur et à mesure que les ressources sont épuisées à Kakula, Kansoko et Kakula Ouest, la production débuterait,
de manière séquentielle dans cinq autres mines de la zone Kamoa Nord, de manière à maintenir une production
de 19 millions de tonnes par an vers le complexe de concentration et de fonte, existant alors, tel qu’illustré à la
Figure 1.
Les opérations minières ci-dessus consisteront en mines souterraines distinctes, qui partageront toutefois les
installations de traitement et autres infrastructures de surface situées sur le site de Kakula. Le minerai sera
transporté vers le complexe de traitement de Kakula par un système de convoyage de surface. Ce scénario prévoit
la construction d’une fonderie blister dont la capacité sera d’un million de tonnes de concentré de cuivre par
année.
L’évaluation économique préliminaire (PEA) 2020 de Kamoa-Kakula est, par nature, basée en partie sur les
ressources minérales inférées. Les ressources minérales inférées sont considérées comme trop spéculatives,
d’un point de vue géologique, pour les considérer comme réserves minérales avec les effets économiques
conséquents (et il n’existe aucune certitude que les résultats se réaliseront). Les ressources minérales ne
démontrent pas de viabilité économique et ne constituent pas des réserves minérales.
Carotte de forage à très haute teneur, composée presque entièrement de chalcocite, provenant d’un trou foré à
Kamoa Nord. Kamoa Nord est une source importante de minerai à haute teneur dans le scénario de
développement élargi de Kamoa-Kakula à 19 millions de tonnes par an. La chalcocite possède le plus grand
pourcentage de cuivre de tous les minéraux sulfurés communs contenant du cuivre : presque 80 % de cuivre en
poids.
Sommaire des principaux résultats de l’évaluation économique préliminaire (PEA) pour le scénario de
développement à 19 millions de tonnes par an
1. Une production de très haute qualité en phase initiale devant avoir une teneur en cuivre de 6,8 % durant la
première année de production et une teneur moyenne en cuivre de 5,1 % au cours des 10 premières années
d’exploitation, ce qui donne une production annuelle moyenne estimée de 501 000 tonnes.
2. La production de cuivre récupérée est estimée à 805 000 tonnes la 8e année, ce qui classerait le Kamoa-
Kakula Project au deuxième rang des producteurs de cuivre du monde.
3. Les dépenses en immobilisations initiales restantes, y compris les imprévus, s’élèvent à 0,71 milliard $USD.
Les agrandissements ultérieurs à Kansoko, Kakula Ouest et dans d’autres zones d’exploitation minières, ainsi
que la fonderie, seront financés par les flux de trésorerie de la mine de Kakula.
4. Coût déboursé total moyen de 1,07 $USD/lb de cuivre au cours des 10 premières années, en prenant en
compte les crédits d’acide sulfurique.
1. Le prix réel du cuivre à long terme utilisé pour les calculs de l’analyse financière est de 3,10 US$/livre. Les
calculs de l’analyse ont été effectués sur la base d’hypothèses concernant les coûts d’affinage et de
transformation en fonderie, les conditions de paiement et déductions, le transport du concentré, les taux de
récupération métallurgique et les redevances.
2. Dans le cadre de la planification minière, le prix du cuivre utilisé pour calculer les revenus nets de fonderie
(Net Smelter Return, NSR), sur la base du modèle de blocs, est de 3,00 US$/livre pour Kansoko et de
US$3,10/lb pour Kakula.
3. Une limite accrue des revenus net de fonderie, soit 100,00 USD/t, a été utilisée pour définir les blocs
d’abattage. Une limite marginale des revenus net de fonderie, soit 80,00 USD/t, a été utilisée pour définir le
minerai et les rejets.
4. Les ressources minérales indiquées ont été utilisées pour les réserves minérales probables.
5. Pour l’estimation des tonnages et des teneurs, des considérations concernant la dilution et la récupération
ont été prises en compte.
6. Les réserves minérales présentées ci-dessus ne peuvent être ajoutées aux ressources minérales.
En février 2020, Ivanhoe a annoncé une estimation mise à jour des ressources minérales indiquées et présumées
pour le gisement de Kamoa qui inclut les ressources dans la nouvelle zone de Kamoa North Bonanza et la zone de
Kamoa Far North. La date d’entrée en vigueur de la nouvelle estimation des ressources minérales de Kamoa est le
30 janvier 2020 ; l’estimation a été préparée par George Gilchrist, vice-président des ressources minérales
d’Ivanhoe Mines, sous la direction de Gordon Seibel, membre agréé de la Society of Mining, Metallurgy and
Exploration, du groupe Wood (anciennement Amec Foster Wheeler) de Reno, États-Unis, et est déclarée conforme
aux Normes de définition CIM 2014 pour les ressources minérales et les réserves minérales. M. Siebel est la
personne qualifiée pour l’estimation.
L’équipe géologique du projet a également mis à jour l’estimation des ressources minérales pour le gisement
Kakula. La date d’entrée en vigueur de cette estimation mise à jour est novembre 2018. Les ressources minérales
indiquées et présumées totales pour le projet de Kamoa-Kakula en vigueur le 30 janvier 2020, sont indiquées au
tableau 8. Des tableaux présentant les ressources minérales indiquées et présumées séparément pour les
gisements Kamoa et Kakula, ainsi que la sensibilité des ressources minérales à la teneur de coupure sont
présentés dans les annexes de ce communiqué
Tableau 8. Ressources minérales totales indiquées et présumées de Kamoa et de Kakula (à une teneur totale en
cuivre de 1%).
Total Projet Kamoa- Indiquées 1 387 77,0 2,74 6,5 38 000 83,7
Kakula
Inférées 339 27,4 1,68 4,5 5 690 12,5
Notes afférentes au tableau « Ressources minérales totales et combinées de Kamoa et Kakulajanvier 2020 » :
1. Le vice-président des ressources d’Ivanhoe, George Gilchrist, membre de la Société de géologie de l’Afrique
du Sud et scientifique naturel professionnel (Pr. Sci. Nat) et du Conseil sud-africain des professions
scientifiques naturelles (SACNASP), a estimé les ressources minérales sous la supervision de Gordon Seibel,
membre agréé (RM) de la Society of Mining, Metallurgy and Exploration (SME), employé du groupe Wood, et
personne qui est qualifiée pour l’estimation des ressources minérales. La date d'entrée en vigueur de
l’estimation est le 30 janvier 2020 et la date limite pour les données de forage est le 20 janvier 2020. Les
ressources minérales estimées respectent les normes de définition des ressources et des réserves minérales
2014 de l’ICM. Les ressources minérales incluent 100 % des réserves minérales.
2. Les Ressources minérales sont présentées sur la base d’une teneur de coupure en cuivre total (TCu) de 1 %
et d’une épaisseur verticale minimale de 3 mètres (m). Ces perspectives sont raisonnables pour une
extraction économique éventuelle dans l’hypothèse d’un prix du cuivre de 3,00 $US/livre, l’utilisation des
méthodes de chambre et piliers et de percement et remblayage, et la vente des concentrés de cuivre produits
à une fonderie. Les coûts d’exploration sont estimés à 27 USD/tonne. Le coût du concentrateur, du traitement
des résidus miniers ainsi que les dépenses administratives et frais généraux sont estimés à 17 USD/tonne.
Le taux de récupération métallurgique est estimé en moyenne à 84 % (86 % pour l’hypogène et 81 % pour le
supergène). La teneur de coupure en cuivre total (TCu) de 1 %, qui suppose des revenus nets de fonderie pour
100 % des blocs de ressources minérales couvrira le traitement, le traitement des résidus miniers, les
dépenses administratives et frais généraux.
3. Les ressources minérales déclarées ne prévoient aucune perte ou dilution au contact des épontes inférieures
ou supérieures. Aucune récupération d’exploitation minière n’a été appliquée.
4. La profondeur de la minéralisation sous la surface varie de 10 m à 1 320 m pour les ressources minérales
indiquées et de 20 m à 1 560 m pour les ressources minérales présumées.
5. Les espacements approximatifs des trous de forage est de 800 m pour les ressources minérales inférées
et 400 m pour les ressources minérales indiquées.
6. Le pendage moyen du gisement dans les contours des ressources minérales indiquées et inférées est
de 12,7 degrés. L’épaisseur verticale approche l’épaisseur réelle à Kamoa.
7. Ces chiffres sont arrondis tel que prescrit par les directives applicables, ce qui peut donner lieu à
d’apparentes différences entre les chiffres indiquant le tonnage, la teneur ou le contenu en métal.
8. Le vice-président des ressources d’Ivanhoe, George Gilchrist, membre de la Société de géologie de l’Afrique
du Sud et scientifique naturel professionnel (Pr. Sci. Nat) et du Conseil sud-africain des professions
scientifiques naturelles (SACNASP), a estimé les ressources minérales de Kakula sous la supervision de
Gordon Seibel, membre agréé (RM) de la Society of Mining, Metallurgy and Exploration (SME), employé du
groupe Wood, et personne qui est qualifiée pour les ressources minérales. La date effective de l’estimation de
Kakula est le 10 novembre 2018, et la date de coupure pour les données de forage est le 1er novembre 2018.
Les ressources minérales ont été estimées suivant les normes de l’ICM en matière de définition des
Ressources et Réserves minérales (2014) et sont reportées sur une base 100 %. Les ressources minérales
incluent 100 % des réserves minérales.
9. Les Ressources minérales sont présentées sur la base d’une teneur de coupure en cuivre total (TCu) de 1 %
et d’une épaisseur minimale approximative de 3 mètres (m). Ces perspectives sont raisonnables pour une
extraction économique éventuelle dans l’hypothèse d’un prix du cuivre de 3,00 $US/livre, l’utilisation des
méthodes de chambre et piliers et de percement et remblayage, et la vente des concentrés de cuivre produits
à une fonderie. Les coûts d’exploration sont estimées à 42 $US/tonnes. Le coût du concentrateur, du
traitement des résidus miniers et les frais généraux et dépenses administratives sont estimés à 18 $US/t. Le
taux récupération métallurgique est supposé atteindre en moyenne 85 %. Ivanhoe étudie actuellement la
possibilité de réduire les coûts d’exploitation minière en utilisant une méthode de chambres et piliers à
convergence contrôlée. Avec une teneur de coupure en cuivre total (TCu) de 1 %, les revenus nets de fonderie
de 100 % des blocs de Ressources minérales couvriront les coûts de concentration et de traitement des
résidus miniers, et les dépenses administratives et frais généraux.
10. Les ressources minérales déclarées ne tiennent pas compte des pertes ou dilutions au contact des épontes
inférieures ou supérieures. Aucune récupération d’exploitation minière n’a été appliquée.
11. Les espacements approximatifs des trous de forage est de 800 m pour les ressources minérales inférées et
de 400 m pour les ressources minérales indiquées.
12. Le pendage moyen du gisement dans les contours des ressources minérales indiquées et inférées est
de 17,8 degrés. L’épaisseur verticale approche l’épaisseur réelle à Kakula.
13. Ces chiffres sont arrondis tel que prescrit par les directives applicables, ce qui peut donner lieu à
d’apparentes différences entre les chiffres indiquant le tonnage, la teneur ou le métal contenu.
Les tonnages et les teneurs ont été calculés pour les blocs d’exploitation minière, et des considérations de dilution
et de récupération d’exploitation minière non prévues ont été prises en compte dans l’élaboration de l’énoncé des
réserves minérales.
Cliquez ici pour voir le rapport technique complet intitulé : Kamoa-Kakula 2018 Resource Update, mars 2018
Cliquez ici pour voir l’évaluation économique préliminaire 2016 de Kakula, janvier 2017
Alors qu'Ivanhoe Mines et son partenaire dans la coentreprise, Zijin Mining, continuent de faire
progresser la construction de la mine de cuivre Kakula en République démocratique du Congo,
Ivanhoe est heureux de présenter une courte vidéo d'animation montrant le projet de
développement de la mine de six millions de tonnes. minière (6 Mtpa) par an et les installations de
traitement de surface.
En mars 2015, l’équipe d’exploration d’Ivanhoe a reçu le prix 2015 PDAC Thayer Lindsley
International Discovery Award de l’Association canadienne des prospecteurs et entrepreneurs,
pour la mine de Kamoa
Rapports d’impact environnemental
Projet Kamoa-Kakula - Étude d’impact environnemental mise à jour en juin Cliquez ici pour afficher le PDF
2017
Exploitation et projets
Complexe minier de Kamoa-
Kakula
Projet de Western Foreland
Projet Kipushi
Projet de Platreef
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