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Ivan CANSTADO
DEDICACE
Je dédie ce travail.
J
AVANT –PROPOS
A vous tous dont les noms n’ont pas été cité, que mon silence
apprécie à sa juste valeur toute aide et tout conseil que j’ai pu obtenir de vous.
TABLE DES MATIERES
EPIGRAPHE...............................................................................................................................1
DEDICACE................................................................................................................................2
AVANT –PROPOS....................................................................................................................3
RESUME....................................................................................................................................8
INTRODUCTION GENERALE................................................................................................9
CHAPITRE I.............................................................................................................................10
I.1 INTRODUCTION...........................................................................................................10
I.2.1 localisation................................................................................................................10
I.3.1. introduction..............................................................................................................12
CHAPITRE II...........................................................................................................................21
CHARGEMENT ET TRANSPORT.........................................................................................21
II.1. Introduction...................................................................................................................21
II.2. Le chargement...............................................................................................................21
II.3. Le transport...................................................................................................................33
CHAPITRE III..........................................................................................................................39
CHARGEMENT ET TRANSPORT.......................................................................................39
III.1.Introduction...................................................................................................................39
CHAPITRE IV..........................................................................................................................52
CONCLUSION.........................................................................................................................66
BIBLIOGRAPHIE....................................................................................................................67
LISTE DES FIGURES
Tableau IV- 1 cubage mensuel a excavé par niveau d'exploitation et distance mesurée
sur terrain entre le point de chargement et celui de déchargement (Boss mining). 55
Tableau IV- 2.Distance standard par niveau d'exploitation du projet KKE Cut 2..........58
Tableau IV- 3:temps de cycle de la pelle...............................................................................59
Tableau IV- 4:calcul du temps de cycle moyen de la pelle..................................................60
Tableau IV- 5:temps de cycle de la benne............................................................................61
Tableau IV- 6:calcul du temps de cycle moyen de la benne................................................62
Tableau IV- 7 Calcul du nombre des pelles par mois.........................................................64
Tableau IV- 8 Calcul du nombre des bennes par mois......................................................65
RESUME
Une productivité de 356,844 mètre cube par heure pour une pelle ayant un godet
d’une capacité de 4,5 mètre cube, un coefficient de remplissage de 1.2, un coefficient
de foisonnement de 1,6 pour un temps de cycle moyen de 24,6 secondes
Une productivité de 52,02 mètre cube par heure pour une benne ayant une capacité
de 17 mètre cube, un coefficient d’utilisation absolu de 75%, un coefficient de
remplissage de 1,02 pour un temps de cycle de 18,23 minutes.
Une flotte de 5 bennes de 17 mètre cube et une pelle d’une capacité de 4,5 mètre
cube pour la réalisation du projet dans le délai prévu par le service de planification
(4mois)
La phase finale d’exploitation de ce projet accusera une distance standard moyenne
de chantier de 2,95 Kmstd
INTRODUCTION GENERALE
C’est ainsi que pour notre travail de fin de cycle et dans le but de
mieux planifier les opérations de chargement et transport a BOSS MINING il nous a été
demander de faire une étude sur " la détermination de la productivités des engins de
chargement et transport dans le projet KAKANDA EST EXTENSION"
.
CHAPITRE I
I.1 INTRODUCTION
L’entreprise Boss Mining S.A.S est une société qui dispose des potentiels
humains et naturels reposants sur l’exploitation des minerais.
Les détails sur le gisement de KAKANDA EST se trouvent étalés dans les
contenus des points qui suivent.
I.2.1 localisation
Une grande partie de ce territoire est caractérisée par des mines parmi
lesquelles la mine de KAKANDA EST qui est située à plus ou moins 7 Kilomètres au
Nord-Ouest de KAKANDA, cette région est repérée par ses coordonnées géographiques
suivantes :
Longitude : 26°28’42’’Est
Latitude : 10° 50’48’’ sud
Altitude moyenne: 1400 mètres
La moyenne des précipitations calculée pour une période allant de 1967 à 1979
est de 1175,584mm. Les précipitations annuelles varient entre 767 et 1434,5mm.
I.3.1. introduction
Il est évident que l’exploitation minière est toujours précédée d’une exploration
géologique et minière en vue d’une connaissance approfondie du gisement retrouvé.
Ceci nous conduit à un ensemble des données géologiques lequel nous permet de connaitre les
propriétés physico mécaniques de notre gisement et de la roche encaissante, les
différentes formations rencontrées, les zones minéralisées de notre gisement et autres
éléments…
Grâce à ces données géologiques, nous pourrions connaitre les teneurs et le tonnage
du gisement, la nature du minerai, la paragenèse (les associations minérales), la
structure et la profondeur du gisement en bref : les facteurs qui peuvent influencer
l’exploitabilité d’un gisement.
Ces facteurs peuvent nous permettre d’élaborer une étude technico-
économique enfin de choisir rationnellement un mode d’exploitation, une méthode
d’exploitation et une limite d’exploitation (fond de la fosse d’exploitation) pour une
extraction minière efficiente de notre gisement.
1.3.2.1. Le Katanguien
le groupe de Roan,
le groupe de Nguba et
le groupe de Kundelungu.
Il est mal connu car des brèches micro gréseuses interrompent la succession
des sédiments le long de quelques horizons bien déterminés, parallèlement à la stratification
(François, 2006).
Il est souvent rencontré à son état altéré, présentant des teintes gris vert
ou lilas a brun rougeâtre, on y reconnait trois formations (Cailteux et al., 2007) : la
formation de Kamoya (R4.1) constituée de shales dolomitiques, microgrès, grés avec les
nodules des cherts et des roches pyroclastiques; la formation de Kafubu (R4.2) constituée
de shales carbonates, et la formation de Kanzadi qui comprend une alternance des
microgrès et shales (R4.3).
2. Le groupe de Nguba
la formation Lubudi, Ku1.4, ancien Ks 1.2.4, formée d’une alternance de calcaire avec
des lits sablo-carbonatés;
la formation Kanianga, Ku1.3, ancien Ks1.2.2 et 1.2.3, constituée des shales et
microgrès carbonatés;
la formation Lusele, Ku1.2, ancien Ks1.2.1: c’est de la dolomie massive ou finement
et régulièrement litée, de teinte rose ou gris clair. Elle est communément
nommée « Calcaire rose »;
la formation Kyandamu, Ku1.1, ancien Ks1.1: il s’agit d’une mixtite massive : ‘petit
conglomérat’, dont le ciment est constitué de grains détritiques entourés par une pâte
séricito-dolomitique très fine.
B. Le sous-groupe Ngule (Ku2):
Cet ensemble est constitué de bas en haut par la succession des formations
Mongwe ou Ku2.1 (ancien Ks1.3), Kiubo ou Ku2.2 (ancien Ks2.1) et Sampwe Ku2.3
(ancien Ks2.2). La formation Mongwe est constituée des pélites dolomitiques, des siltstones
et de grès. Celle de Kiubo comprend le grès dolomitique, le microgrès et des pélites
tandis que la formation Sampwe est constituée de pélites dolomitiques et argilo-
microgréseux (Francois, 2006; Batumike et al., 2007).
Tableau I. 1 Litho stratigraphie du super groupe du Katanguien au Katanga
1.3.2.2 minéralisation
On trouve aussi des minéraux de fer disséminés dans les SD (goethite) et les
RGS (pyrite). Souvent la gangue est siliceuse ou dolomitique (présence ou absence de la
chaux CaO), la Gécamines a donné le modèle suivant de classification des minerais, en
fonction de la nature de la gangue :
I.3.4 l’hydrogéologie
Les sondages forés dans les limites du projet KAKANDA EST extension
n’ont pas mis en évidence une nappe souterraine. Le problème d’exhaure se limite à
l’évacuation des eaux de pluie qui se fait naturellement en suivant la pente des pistes
jusqu’à la plateforme de travail, c’est ainsi qu’à ce niveau, l’entreprise d’aménager des
drains aux alentours de la colline pouvant permettre à cette eau d’affluer dans les
tranchées drainantes hors de la mine à ciel ouvert de KAKANDA EST.
CHAPITRE II
CHARGEMENT ET TRANSPORT
II.1. Introduction
II.2. Le chargement
Parmi les engins de chargement utilisés dans les mines à ciel ouvert, on
distingue deux types fondamentaux selon leur mode de fonctionnement ou de travail à savoir:
L’excavation globale
L’excavation globale est la plus répandue dans les mines à ciel ouvert et se fait
généralement le long du gradin sans lotissement du front de travail en
zone détachées, autrement dit tous les types des roches des chantiers d’exploitation
(minerais et stériles) sont excavés et chargés dans le même matériel de transport.
(KAMULETE, 2012)
L’excavation sélective
L’excavation sélective est généralement utilisée dans les cas particuliers et notamment
là où il y a nécessité de séparer les minerais des stériles intercalaires. Cette excavation
se fait par des tranches ou zones détachées dont les dimensions sont déterminées en
fonction de la structure du gisement et de la teneur des minerais.
Soit à partir d’une extrémité de l’enlevure par chantier latéral. Il s’agit de l’excavation
par enlevure orientée en direction du front du gradin ;
Soit l’excavation se fait du côté de talus du gradin par le chantier frontal
Parmi les engins de chargement les plus utilisés dans une mine à ciel ouvert
actuellement, on peut citer :
Les chargeuses
Les pelles
Les pelles destinées à l’enlèvement des stériles qui recouvrent les minerais
sont généralement de grande capacité que celles destinées à l’extraction du minerai, leurs
godets pouvant aller jusqu’à 50 m3 de capacité.
Pour les minerais, ils peuvent varier de 0.6 à 8m3, dans certain cas 12 m3 Les
pelles sont des engins de chargement à giration, immobiles pendant le chargement ; la
giration est assurée par un pignon engrenant sur une couronne dentée solidaire au chariot
inferieur.
Cavage ;
Soulèvement du godet chargé ;
Giration ;
Déversement ;
Giration entrainant le godet à la position de creusement.
a. La pelle hydraulique
Les pelles hydrauliques ont été développées initialement pour des petits
travaux mais ont connu un grand développement avec des capacités approchant actuellement
celles des pelles électriques à câble.
Les pelles hydrauliques sont très adaptées aux travaux effectués dans une mine à ciel
ouvert. Elles ont une grande précision pour l’attaque du fond du travail lorsque celui-ci
présente des couches alternativement dures et tendres. Il est possible avec cette pelle de
réaliser une excavation sélective de partie tendres. Les parties dures tombent d’elles-
mêmes une fois que le sous cavage est effectué.
Il existe deux types de pelles hydrauliques, les pelles sur roues utilisées sur des
sols ayant une bonne capacité portante. Pour les sols de faibles capacités portantes, le cas le
plus courant, on utilisera la pelle hydraulique sur chenille.
Vu leur plus grande mobilité, les pelles sur roues ont un rendement légèrement
supérieur (+/-15%) à celui des pelles sur chenilles.
1. La partie fixe
Un châssis sur lequel sont fixés les deux bâtis de chenilles ; chaque bâti
de chenille a à son extrémité un moteur de traction et à l’autre extrémité une roue tendeuse.
Les chenille facilitent le déplacement de l’engin et assurent une bonne adhérence au sol.
Grace à ses chenilles, la pelle hydraulique peut franchir une rampe de 35% de pente. Une
couronne de giration permet la rotation de la partie tournante. Cette couronne est fixe et
dentée ; la rotation est obtenue à l’aide pignons montés sur des moteurs hydraulique de
rotation.
2. La partie tournante
Elle se compose de :
Une cabine de l’opérateur qui abrite tous les éléments de commande et de contrôle des
mouvements de l’engin
Un bras qui s’articule au bout de la flèche
Une flèche qui s’articule sur le bâti tournant ou bâti supérieur
Un godet
Quatre vérins qui commandent les différents mouvements dont deux pour les
levages et la descente du bras, un pour le basculement de la flèche et un pour les
manœuvres du godet.
Les avantages et inconvénient des pelles hydrauliques sont présentées dans le tableau suivant :
Tableau II. 1 Avantage et inconvénient des pelles hydrauliques
La production envisagée ;
La nature des matériaux ;
La granulométrie ;
La hauteur du front de taille.
Le modèle 385C est équipé de la technologie de pointe ACERT qui lui permet
de respecter les réglementations antipollution tout en offrant des performances et un
rendement énergétique exceptionnels ainsi qu’une fiabilité éprouvée, il est conçu pour les
applications difficiles. Ils correspondent idéalement au chargement des Tombereaux 771D et
773E Cat.
Les caractéristiques techniques de la pelle CAT 385 C sont reprises dans le tableau
ci-dessous :
Tableau II. 2. Caractéristique technique de la pelle CAT 385C
II.3. Le transport
Bandes transporteuses ;
Locomotives ;
Bennes ;
Dans le cadre de notre travail nous allons plus parler des camions-bennes en
général.
Les camions, les tracteurs et les semi-remorques utilisés dans les mines à ciel
ouvert sont à moteur diesel ou diesel-électrique. Ils doivent être très robustes et souples. Ils
sont à deux ou trois essieux moteurs. Ces dernières sont sollicitées séparément grâce à une
boîte de transfert, ce qui permet à ces gros engins de franchir des grands obstacles.
(KAMULETE, 2012)
Ainsi nous avons deux types de camions dans les mines à ciel ouvert
selon la propulsion :
Ces camions se sont habituellement répandus grâce à une série d’avantages assurant la
souplesse d’utilisation telle que le rayon de virage, et par conséquent la grande
manœuvrabilité dans les conditions minières gênantes.
Diesel-électrique ;
Assisté par trolley.
a. Camion diesel-électrique
Ce sont des camions dont le moteur Diesel entraîne soit une génératrice qui,
grâce à une excitatrice, produit du courant continu, soit un alternateur qui produit du
courant alternatif. Ce dernier est redressé en courant continu et fait actionner le moteur
installé dans les roues motrices arrière fonctionnant sous une tension de 500 V et
alimenté en parallèle du démarrage jusqu’à la vitesse optimale préconisée de 12 km/h.
La technologie d'exploitation ;
Les tonnages à extraire et les distances de transport ;
Les conditions économiques du chantier ou de l'exploitation, taux de
découverture, contrainte d'environnement, valeur marchande des minéraux extraits etc.
CHARGEMENT ET TRANSPORT
III.1.Introduction
Ces facteurs seuls ne permettent pas d’établir, par l’analyse, la durée de chaque cycle.
Mais d’autres facteurs tels que :
3600∗Cg∗k
D’= (m3 /h); [III. 1]
tc∗f
Avec :
Avec :
Connaissant :
Vo = S. La (m3) ; [III. 4]
Avec :
3000−n∗td Cg
D= . .K. ρs (m3 /h) [III. 6]
t f
3000−n∗td Cg
D= . .K. CMD (m3 /h) [III. 7]
t f
Toutefois, on peut négliger l’influence des déplacements sur le débit tant que leur nombre n
reste inférieur aux chiffres suivants :
60∗CUE∗Ctr
Dch= (m3/h) [III. 8]
tc
Avec
3600∗Cg∗Kr∗CUA
Rch=
tcy∗Cf
[III. 9]
Avec;
Cg : Capacité du godet
tcy : Temps de cycle de la pelle
Kr : Coefficient de remplissage
Cf : Coefficient de foisonnement
CUA : le coefficient d’utilisation absolu de l’excavateur.
60∗CUB∗Ctr
Dch= (m3/h) [III.
T
10]
Avec :
Avec :
Pour déterminer le nombre de cycles par heure, nous le calculons par la formule :
CUA
N =60 [III. 12]
Tcy
Avec ;
On peut également la définir comme une mesure en carrière pour les distances
parcourues par les bennes en contrôlant le rendement aussi bien de transport que celui des
excavateurs des chantiers.
III.3.3.2. But de la notion de la distance standard
Temps d’attente
Temps de chargement
Vitesse moyenne des camions ou bennes, etc.
A : fond de la carrière
B et D : inclinés (8% à 10 %)
C : Hors carrière
E : remblai
Avec
Vst : volume de stérile (en m3)
Dstst : distance standard des stériles (en kmstd)
Vmin : volume des minerais (en m3)
Dstmin : distance standard du minerai (en kmstd)
Vt : volume total correspondent à la somme des volumes de stérile et du minerai
(en m3).
La distance standard peut également être calculée par l’ancienne formule de
distance standard ci-dessous utilisée dans les mines à ciel ouvert de la Gécamines. Elle est
définie par l’expression suivante :
Avec
Dstd : distance standard en km std
Dh : distance sur terrain entre le point de chargement et celui de déchargement
(m). Dh=Df + Di+ Dr+ Dh .Les symboles ont la même signification que dans
la formule actuelle de la distance standard.
500 : distance totale minimum en mètres requise pour les manœuvres aux
points de chargement et de déchargement.
Avec :
CUA
Rhb =N*Cb*Kr et que N =60 ce qui donne
Tcy
CUA
N =60 *Cb*Kr
Tcy
Avec;
Dst
Tv = 2 ; [III. 18]
Vm
Avec ;
Dst : la distance standard en kmstd et Vm : la vitesse moyenne en km/min.
60∗Cb∗Kr∗CUA
Pro= Dst [III.
tf +2
Vm
19]
60∗Cb∗Kr∗CUA∗Vm
Pro= 2
(en m3kmstd /h) [III. 20]
10
k= 1+ log N [III. 21]
3
2. Etendue (d)
Avec :
d : l’étendue de la série ;
3. Amplitude (a)
d
a= [III.23]
k−1
Avec d = a.k
a
Lim inf = Xmin – [III.
2
25]
6. Fréquence (fi) :
tranche d'exploitation
1.6
1.4
1.2
1
0.8
0.6
0.4
0.2
0
1280- 1275- 1270- 1265- 1260- 1255- 1250- 1245- 1240-
1275 1270 1265 1260 1255 1250 1245 1240 1235
tranche d'exploitation
rd rg
Les calculs des distances standards par niveau d’exploitation du niveau 1280
au niveau 1235 du projet KAKANDA EST extension sont repris dans le tableau ci-dessous :
6 2.425 2.5375
2.2 2.3125
5 1.975 2.0875
1.75 1.8625
4 3.6995 3.812
3.2495 3.362 3.4745 3.587
3 2.912 3.0245 3.137
2
1
0
1280- 1275- 1270- 1265- 1260- 1255- 1250- 1245- 1240-
1275 1270 1265 1260 1255 1250 1245 1240 1235
Niveau d'exploitation
1280-1235
311031,5∗3.8+128468,5∗2.6
¿
439500
= 2,95 Kmstd
3600∗Cg∗Kr∗CUA
Rth =
tcy∗Cf
3600∗4.5∗1.02∗0.85
=
24,6∗1.6
= 356.844 m3/h
CUA
N =60 ou ;
Tcy
0,75
N= 6 0
18.23
Rhb = 3*17*1.02
= 52,02 *2.95
= 153,459 m3km.st/h
Hm
𝑁𝑜𝑚𝑏𝑟𝑒 𝑑′𝑒𝑛𝑔𝑖𝑛𝑠 =
HM
Avec :
cubage planifié
Hm= [heures]
Rdt∗MAD∗TU
Avec :
HM= HP * MAD * TU
Avec :
Le projet KAKANDA EST extension qui a une durée de 4mois accusera une distance
standard moyenne de 2,95 Kmstd à la phase finale de son exploitation.
Avec une capacité de 4,5 mètre cube, un coefficient de remplissage de 1.2, un
coefficient de foisonnement de 1,6 et un temps de cycle moyen de 24,6 secondes, la
pelle CAT 385C aura une productivité de 356,844 mètre cube par heure et
Avec une capacité de 17 mètre cube, un temps de cycle moyen de 18,23 minutes, un
coefficient de remplissage de 1,02 et un coefficient d’utilisation absolue de 75%, la
benne VOLVO A40F aura une productivité de 52,02 mètre cube par heure.
Pour que la réalisation de ce projet se fasse dans le délai prévu par le service de
planification (4mois), après le calcul d’un parc prévisionnel d’engins, nous aurons
besoins d’une pelle de 4,5 mètre cube et de 5 bennes de 17 mètre cube avec une
productivité de 153,459 m3km.st/h
BIBLIOGRAPHIE
I. DOCUMENTS