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Ce rapport relate l’essentiel de nos activités réalisées au cours de notre stage effectué aux usines
hydrométallurgiques de Kwatebala à Tenke-Fungurume Mining. Ce dernier est le fruit de la
participation de plusieurs personnes envers qui nous tenons à exprimer notre gratitude. Il s’agit
principalement de :
Dans le souci de concilier la théorie vue aux cours à la pratique professionnelle, il est de coutume
d’organiser dans les institutions universitaires, des stages de professionnalisation à l’attention des
étudiants finalistes afin de répondre à ce besoin. C’est dans cette optique que nous avons effectué un
Stage, deux mois durant, à l’entreprise Tenke-Fungurume Mining, afin de nous imprégner des réalités
professionnelles.
L’entreprise Tenke-Fungurume Mining (TFM en sigle) est située à 180 km au nord-ouest de la ville de
Lubumbashi. Notre stage, en ce lieu, a été réalisé à l’usine hydrométallurgique de Kwatebala. Ces
dernières produisent des cathodes de cuivre et des hydroxydes de cobalt. Les minerais extraits sont
acheminés à l’usine où ils sont fragmentés dans un broyeur semi-autogène, pour ensuite passer par
plusieurs phases de traitement qui aboutissent à l’extraction du cuivre et du cobalt. Les étapes de
traitement comprennent la lixiviation par agitation, l’épaississement et la décantation à contre-
courant(DCC).L’opération finale est l’extraction par solvant/électrolyse au terme de laquelle sont
produites les cathodes de cuivre. L’extraction du cobalt consiste en une opération de purification en
trois phases pour obtenir de l’hydroxyde de cobalt.
Notre séjour en ce lieu, a été réalisé en deux phases, la première réalisée du 04/09 au 02/10 /2014,
consistait essentiellement en une affectation dans différentes sections de l’usine, et la seconde, réalisée
du 03/10 au 29/10/2014, consistait en une affectation au laboratoire métallurgique pour diverses
manipulations et travaux de recherche.
L’intérêt de ce stage consistait d’une part, à nous permettre d’appréhender de façon pratique le
déroulement de différentes opérations unitaires du processus conduisant à la production du cuivre,
cobalt et de l’acide sulfurique. Et d’autre part, à la mise en œuvre et au contrôle de différents
appareillages utilisés.
Mises à part la présente introduction et la conclusion, le présent rapport comprend deux chapitres à
savoir :
Introduction
Nous avons réalisées un mois de tournée dans ces différentes sections de l’usine, soit du 04/09 au
02/10/2014, dont l’essentiel des opérations y réalisées est repris ci-dessous.
Section CCL
A l’aire de stockage, les minerais tout-venants y sont rangés en remblai suivant leur nature :
teneur en Cu,
teneur en Co, et
consommation de l’acide par la gangue
Les minerais sont ensuite alimentés à l’usine en commençant par une préalable opération dénommée
blending qui consiste en un mélange des minerais de différentes natures dans le but de répondre à la
demande en Cu et Co de l’usine tout en tenant compte de la nature de la gangue qui accompagne ces
minéraux.
Le concassage
Les opérations de concassage sont effectuées spécifiquement pour les grossiers dans le concasseur à
mâchoire (jaw crusher) où dans le concasseur cylindrique (sizer). L’objectif recherché à ce stade
consiste à obtenir des particules des minerais aux dimensions inférieures à 300 mm.Les particules
concassées sont ensuite soumis à un criblage au grizzly où seules les particules aux dimensions
recherchées sont recueillies dans une goulotte d’alimentation semi-pleine, laquelle goulotte alimente à
son tour la chaine métallique(upron feeder) qui favorise par son mécanisme l’amortissement de la
chute des blocs et une meilleure répartition des grossiers et fines particules sur la bande transporteuse
qui acheminent ces minerais vers le broyeur semi-autogène. Le principal paramètre métallurgique
surveillé à ce stade est la dimension des passants qui doit être inférieure à 300 mm .Nous illustrons en
image sur la figure 2 respectivement le jaw crusher et le sizer.
Le broyage
L’opération de broyage est réalisée sur les particules issues du concassage et s’effectue dans un
broyeur semi-autogène (sag-mill).Le circuit de broyage est constitué en amont d’un broyeur, suivi
immédiatement d’un cribleur à trommel qui refoule d’une part les refus de broyage(scats) et d’autre
part les passants qui sont ensuite introduits dans une bâche où ils sont davantage pulpés et alimentés
vers la batterie des hydrocyclones et seules les particules ayant déjà atteint les dimensions recherchées
sont acheminées vers l’étape suivante, les refus de cette classification sont ramenés dans le broyeur et
constituent une charge circulante. Les paramètres métallurgiques essentiellement suivis à ce stade
sont :
le son du broyeur : qui renseigne sur la quantité des minerais alimentés dans le broyeur,
le p80 : qui doit être autour de 212 microns en vue des opérations ultérieures,
le % solide à l’alimentation, under-flow et over-flow de la batterie des hydrocyclones.
La lixiviation
L’opération de lixiviation est réalisée en commençant par un préalable épaississement des over-flows
provenant des hydrocyclones dans le but de diminuer la quantité d’eau qui accompagne les solides et
par conséquent diminuer la consommation en acide lors de la lixiviation. Après épaississement, la
pulpe obtenue alimente successivement une série de cinq tanks de lixiviation, dans lesquels tanks, on y
effectue des appoints d’acide frais(H2SO4), des solutions acidulées (high grade raffinat) provenant de
l‘extraction par solvant et de l’agent réducteur(SO2).La lixiviation s’effectue par agitation, et le temps
de séjour de la pulpe dans chaque tank varie entre 1h30 et 2h00.Les principaux paramètres
métallurgiques suivis à ce stade sont :
le pH :dont la valeur de consigne est de 1.8
le potentiel redox(ORP) : la valeur de consigne varie entre 200 à 350 mV.
le %solide dans les tanks : la consigne exige à ne pas dépasser 30 %, sinon il y a risque de
casser l’agitateur.
Après lixiviation, on réalise ensuite une séparation solide/liquide à l’issue de laquelle, les over-flow
constituent le high grade PLS (HG PLS) et les under-flows (60 à 65 %solide) sont soumis à une
opération de lavage à contre-courant.
Le lavage à contre-courant
L’opération de lavage est réalisée sur les solides issus de la séparation solide/liquide de la pulpe issue
de la lixiviation. Les solides passent successivement dans une série de cinq décanteurs où l’eau
(solution de liqueur cobalt) est alimentée dans le sens opposé à celui de la circulation des solides. Le
but recherché consiste à récupérer le plus possible les solutions imprégnantes contenues dans les
solides. Les solutions issues de cette opération constituent le low grade PLS (LG PLS).Les paramètres
métallurgiques régulièrement contrôlés à ce stade sont :
le wash ratio : le ratio entre le poids des solutions de lavage et le poids des solides secs.La
valeur de consigne varie entre 0.9 et 1.8,
l’efficency ; qui n’est rien d’autre que le rendement de lavage, il s’évalue successivement
pour le Cu et pour le Co,
le %solide au niveau de chaque décanteur : ces décanteurs sont conçus de sorte à supporter un
couple moteur assez élevé, par conséquent le % solide au niveau de ces décanteurs varie entre
60 et 65% solide.
Tout le processus de déroulement des opérations dans la section CCL est brièvement repris sur le
flow-sheet représenté sur la figure4.
Section SX/EW
(1)
(2)
Aux usines de Kwatebala,on commence par réaliser l’extraction du cuivre sur les solutions de LG PLS
en deux étages,suivi de l’extraction du cuivre dans les solutions de HG PLS, également en deux
étages. La phase organique chargée en cuivre est ensuite stockée dans un tank (loaded organic tank)
avant d’être acheminée au strippage, lequel est aussi effectué en deux étages.
Actuellement, après la phase d’extension de l’usine, on a ajouté par ailleurs deux autres étages
d’extraction et deux autres étages de strippage des solutions de HG PLS.Ainsi,l’ancien système est
dénommé old SX et le tout récent new SX.Les paramètres métallurgiques suivis, pour le contrôle et la
conduite de l’usine d’extraction par solvant sont les suivants :
le breaktime : c’est le temps de séparation des phases dans le settler.la valeur de consigne est
fixée à moins de 3 minutes. Dans le cas contraire, il y a donc un problème qui pourrait être
une dégradation de la phase organique, ou autre.
La température : elle permet d’éviter de dégrader précocement la phase organique soit par
évaporation du diluant, soit par décomposition moléculaire de l’extractant. A l’usine,la
température de consigne varie entre 40 et 45 centigrades.
Le ratio : c’est le rapport en proportion des phases présentes, il permet de se fixer sur la
continuité des phases et de voir dans quel rapport organique/aqueux s’effectue l’extraction(ou
strippage).Les valeurs de consigne du ratio ne sont pas identiques à l’extraction et au
strippage,et elles varient selon que l’on se trouve au old SX ou au new SX.
La conductivité : ce paramètre permet de vérifier la continuité des phases. Quand sa valeur
tend vers zéro, nous nous trouvons en continuité organique, autrement nous sommes en
continuité aqueuse.
Le depth :ce paramètre permet de vérifier la hauteur(ou profondeur) de chaque phase présente
dans le settler afin d’éviter les entrainements d’organique vers l’aqueux ou vice-versa,et de se
fixer sur la hauteur des cruds à l’interface pour prévenir les problèmes qu’ils peuvent causer.
Vitesse d’agitation : ce paramètre permet de contrôler le niveau d’homogénéisation des deux
phases présentes dans le mixeur.
Par ailleurs,d’autres activités sont régulièrement menées pour conduire à bon escient les
opérations à l’extraction par solvant.Il s’agit notamment de :
L’inventaire de l’organique : c’est une opération qui permet de déterminer la quantité
d’organique encore présente dans le système (mixer,settler,loaded organic tank,tuyauterie). La
quantité actuelle d’organique utilisée est évaluée à 2400 m3 au old SX et à 2100 m3 au new
SX.
Le solide profile : c’est une opération qui consiste à donner une image des solides au fond du
settler, c’est-à-dire on détermine approximativement le niveau des solides au fond du
settler.Quand on atteint 30 % des solides dans le settler, ce dernier doit être nettoyé pour
éviter toute perturbation dans le processus de séparation des phases.
Il existe aussi dans la section SX, une unité de traitement de l’organique, ayant pour but de régénérer
l’organique suivant le schéma présenté à la figure 5.
Electrolyse du cuivre(EW)
La zone Fer-Aluminium-Manganèse(FAM)
La zone Décuivrage
La zone Décobaltage
La zone Fer-Aluminium-Cobalt
La zone Décuivrage
La zone Décobaltage
Le circuit acide
Le circuit acide vise à produire l’acide sulfurique à partir du soufre solide. L’opération de traitement
consiste successivement en : la fusion du soufre solide suivi immédiatement de la purification du
soufre liquide par filtration et stockage de ce dernier, la combustion du soufre liquide pour obtenir le
SO2,la conversion du SO2 en SO3 et absorption de ce dernier dans l’acide dilué.
Le circuit SO2
Le circuit SO2 est à moitié identique à celui de l’acide et partage le même circuit d’obtention du
soufre liquide propre. A la différence du circuit acide, le soufre liquide alimente 5 fours à combustion
disposés en parallèle pour l’obtention du SO2.
Le circuit eau.
Le circuit eau produit deux qualités d’eau, utilisées dans toute l’usine. La première est l’eau potable et
la seconde l’eau déminéralisée. L’eau potable est utilisée pour des besoins de consommation et divers,
alors que l’eau déminéralisée est utilisée principalement dans la chaudière de refroidissement des gaz
de combustion dans le but d’éviter les dépôts calcaires et les problèmes de corrosion localisée dans
cet équipement. Dans les deux qualités d’eau ; on part de l’eau soutirée en milieu souterrain puis
stockée dans le pond d’eau brute (raw water pond), avant de subir une première filtration dans une
série de tanks remplis de sable jusqu’à avoir un total de solide en suspension inférieur à 5 ppm. L’eau
filtrée est stockée dans le tank d’eau filtrée, lequel tank, constitue l’alimentation de deux circuits de
traitement d’eau.
Le circuit d’eau potable commence par une autre filtration au sable dans une série de 5 tanks
hermétiquement fermés pour éliminer davantage les particules solides en suspension, suivi
d’une filtration au charbon actif dans le but d’éliminer les matières organiques, les odeurs et
en partie les microorganismes, et on finit par un traitement aux hypochlorures et aux
rayonnements ultra-violets pour totalement supprimer les microorganismes. L’eau obtenue à
l’issue de ce traitement est stockée et constitue l’eau potable. Dans le tank de stockage, on
vérifie constamment le pH et le % de chlore résiduel, afin de prévenir toute possible altération.
Le circuit d’eau déminéralisée vise principalement l’élimination de la dureté (Ca et Mg) et
des gaz dissouts dans l’eau. Pour ce faire, les opérations de traitement comportent
successivement la désorption du CO2 dans une tour, suivi du traitement à la résine
échangeuse d’ions permettant l’élimination simultanée du Ca et Mg et par une élimination
d’abord physique de l’oxygène dissout par préchauffement et maintien d’eau à la pression de
vapeur saturante suivi d’une élimination de l’oxygène par voie chimique par ajout à l’eau du
diméthylaminepropylamine(DMPA).Les paramètres suivis pour contrôler la qualité d’eau
produite sont :le pH, la conductivité et la quantité de silice dissoute.
Notre séjour aux usines de Kwatebala a également été caractérisé par la réalisation de
plusieurs manipulations et l’apprentissage de gestion de divers équipements métallurgiques.
Nous présentons ci-dessous l’essentiel de travaux réalisés durant notre passage dans
différentes sections et particulièrement au laboratoire métallurgique où nous avons été
affectés un mois durant, soit du 03/10 au 29/10/2014.
Nos travaux de manipulations ont successivement été organisés à l’usine d’extraction par
solvant, à l’usine cobalt, au CCL, à l’usine acide pour finir par atterrir au laboratoire
métallurgique.
A l’usine d’extraction par solvant, nous avons de prime abord appris la mesure, le contrôle et
la gestion des paramètres de suivis de cette usine. Pour ce faire, nous avons été acheminés à
l’usine pilote où nous nous sommes plus familiarisés avec ces derniers. Nous avons par
ailleurs, appris de façon approfondie, la gestion et le contrôle des équipements utilisés dans
cette usine.
Les éléments faisant objet de ce suivi sont respectivement :les débits PLS et Organique, le
breaktime, la température, le ratio, la continuité, la vitesse d’agitation, le depth, l’inventaire de
l’organique, la détermination du maxload, le solid-profile, la détermination de l’entrainement
de l’organique vers l’aqueux et vice-versa.
Ces mesures permettent par ailleurs, de mettre en évidence la stabilité ou non des opérations
de transfert de matière entre les phases dans le temps. Le changement énorme de ces données
dans le temps doit au moins résulter d’une opération délibérée, dans le cas contraire, cela est
signe de disfonctionnement, principalement un problème lié aux entrainements.
Le breaktime
Le breaktime est le temps observé pour assister à la séparation de la phase organique et
aqueuse. Il se détermine par mesure du temps de séparation des phases échantillonnées au
mixeur, dans un verre à pied. Il renseigne sur la qualité de l’organique. La valeur de consigne
est inférieure ou égale à 3minutes.
Mode opératoire pour la détermination du breaktime
nettoyer correctement le verre à pied gradué,
prélever à l’échantillonneuse placée au mixeur du strippeur ou de l’extracteur, un
volume connu du mélange,
prélever le temps de séparation jusqu’à la nette séparation des phases.
opération breaktime
extraction A
extraction B
strippage A 1 min 40 sec
strippage B 2 min 42 sec
La température
La température joue un rôle crucial à l’usine d’extraction par solvant. Une valeur élevée de
température peut soit amener à l’évaporation du diluant, ce qui augmente la viscosité de
l’organique et occasionne les entrainements d’aqueux vers l’organique, soit dégrader la
structure moléculaire de l’organique, ce qui le fait perdre ses propriétés. Et une valeur faible
de température, ne favorise pas un bon transfert de matière entre les phases présentes. La
valeur de consigne observée varie entre 40 et 45 centigrades. Nous avons effectuées quelques
mesures de température moyennant une caméra infrarouge, et les valeurs prélevées sont
indiquées sur le tableau 3.
Tableau 3:illustration de quelques mesures de température
opération température
Extraction A
Extraction B
Strippage A
Strippage B
Le ratio
En termes simples, le ratio est le rapport phase organique/phase aqueuse (O/A).Il permet de
mettre en évidence le taux de concentration et la continuité dans laquelle s’effectue
l’opération. Il se détermine de trois façons différentes ; par un rapport simple de débit, un
rapport de concentration ou au moyen d’un verre à pied gradué. Le ratio dont on tient
réellement compte à l’usine d’extraction par solvant est celui déterminé au moyen du verre à
pied, car il donne un état réel du rapport entre les deux phases, alors que celui du rapport des
débits n’est pas très précis suite aux problèmes d’entrainement. Nous n’avons pas effectué
une détermination du ratio par rapport de concentration suite à la nécessité d’analyses
chimiques qu’impose cette méthode. Et nous présentons ci-dessous un mode opératoire pour
la détermination du ratio à l’aide d’un verre à pied gradué.
Le tableau 4 illustre les mesures de ratio que nous avons effectuées au moyen d’un verre à
pied.
Tableau 4: Illustration des mesures du ratio à l'aide d'un verre à pied
La continuité
La continuité est la phase qui contient la matrice principale et dans laquelle il y a de petites
dispersions de l’autre phase. On distingue dans l’opération d’extraction par solvant deux
continuités : la continuité organique et la continuité aqueuse. Aux usines de Kwatebala, on
souhaite généralement travailler en continuité organique dans le but de maintenir ou
compacter les cruds à l’interface de deux phases. Ainsi, le contrôle de la continuité dans
laquelle s’effectue l’opération est également important. Ce contrôle s’effectue soit à l’aide
d’un conductimètre, soit à l’aide du ratio.
Pour déterminer la continuité à l’aide du conductimètre, il suffit de plonger les électrodes de
cet appareil dans le mixeur et prélever la valeur de la conductivité. Pour des valeurs de
conductivité proche de zéro, la continuité est organique. Dans le cas contraire, elle est
aqueuse. Nous n’avons cependant pas eu la chance d’effectuer quelques prélèvements de
conductivité vu que ces appareils étaient en panne pendant notre passage dans cette section.
Pour déterminer la continuité à l’aide du ratio, on se réfère à la valeur du ratio. Si elle est
supérieure à l’unité, la conductivité est organique, dans le cas contraire, elle est aqueuse.
Cependant, cette façon simpliste de déterminer la continuité n’est pas toujours correcte, car il
peut se faire qu’il y ait de changement de continuité sans que cela ne soit remarquable par le
ratio.
Le depth
Le depth est un paramètre important, régulièrement suivi, vu qu’il permet d’éviter les
entrainements de phase et le contrôle permanent du niveau des cruds à l’interface.
CONCLUSION ET SUGGESTIONS