1

AVANT-PROPOS

Dans la perspective d’avoir une bonne formation dans le domaine de

l’ingénierie, la faculté POLYTECHNIQUE DE L'UPL, prévoit dans son programme
concernant ces étudiants, un stage de professionnalisation obligatoire suivi d’un
rapport de stage réconciliant la théorie et la pratique.

Ceci est un rapport de stage obtenu de stage effectué le long d’une certaine
période allant du 03/07 au 03/08/2023 effectué au sein de la GECAMINE aux ACP
qui, par son encadrement, fournit aux étudiants une connaissance en temps réel et
un bon savoir-faire.

A l’issus de notre bref délai parcouru au sein de cette dernière, nous

adressons nos vifs remerciements à la Société pour sa mobilisation vive sur tous les
plans en vue de mettre à notre disposition un encadrement de qualité et dans un
cadre bien sécurisé ; elle nous a offerte l’opportunité de découvrir le monde
professionnel.
 2

REMERCIEMENTS

Avant de donner plus de détails sur cette belle expérience, nous tenons
premièrement à remercier notre Dieu, le bon Père, Maitre de toutes choses, pour
son amour, sa fidélité, ainsi que son assistance tout au long de cette période de
stage.
Nous tenons également à remercier la Générale des Carrières et des Mines
pour nous avoir offert un bon accueil dans ses installations et en particulier l’ACP
pour avoir reçu un encadrement au sens propre du terme, dans l’excellence et avec
un personnel hautement qualifié et chevronne dans l’art a la personne de Mme
Thérèse ISAZU
De tout cœur nous remercions le BU/ACP/DIR de la générale des carrières et
des mines Mr MUBYALA pour son admission
Nos sincères gratitude au chef de service SEM Mr MATOBO pour son
admission et sa compréhension sur tous les plans, au CTM Joseph KAPALE et ainsi à
Mr KINDELE, Mr Henry, Mr franc et leurs collaborateurs
 3

INTRODUCTION GENERALE

Pour affirmer une meilleure formation de ses étudiants dans leurs cursus
Professionnel d’ingénieur, la faculté polytechnique de l'UPL organise un stage pour
ces étudiants au cours duquel ces derniers sont appelés à mener de recherche et
apprendre ainsi de la vie professionnelle
Cela m'a permis de me familiariser avec le monde professionnel ayant travaillé dans
différente section des ACP et aussi avoir une portion de l'expérience de nos très
chers encadreurs, dans les lignes qui suivent nous vous parlerons de la GCM et ACP
et aussi de nos différentes activités au sein de l'entreprise.
 4

CHAP 1. PRESENTATION DE LA GENERALE DES CARRIERES ET DES MINE

1.1 OBJETC ET SIEGE SOCIAL
La Générale des Carrières et des Mines est une société anonymes unipersonnelle avec
conseil d’administration dont le siège social est situé sur l’avenue kamaniola contre
Moero à Lubumbashi dans la province du Haut Katanga en République Démocratique du
Congo.

Son objet social se résume aux principaux éléments suivants :

*La prospection, la recherche et l’exploitation des gisements miniers

* Le traitement des substances minérales de ces gisements et la transformation de ces

produits issus de ce traitement ;

*La commercialisation des produits ;

*La société pourra aussi s’intéresser par voix d’apport souscription, fusion, participation
financière dans toutes opérations commerciales, industriels mobilières, ou immobilières
pouvant se rattacher à l’un des objets précités ;

*La société pourra également s’intéresser aux activités de développement, notamment

dans le secteur de l’élevage et de l’agriculture dans l’intérêt de la société, et de ses
environs, et a toute autre activité connexe.
Les gisements exploités par la GECAMINES sont étendus sur une concession de plus
ou moins 7.109km^2 pour les cuivres et autres métaux associes et de 14.000km^2 pour le
charbon. L’étain et ses accompagnateurs (terre rare) qui s’étendent de l’est à l’ouest de
part et d’autre de l’axe industriel Lubumbashi-Likasi-Kolwezi, sur une longueur d’environ
300km et une largeur moyenne de 60 km.
Les activités de la société sont organisées au sud-est de la République Démocratique
du Congo dans trois groupes :

*Le groupe sud comprenant la région minière autour de la vie de Lubumbashi et de la cite
de kipushi ;

*Le groupe centre, autour de la ville de Likasi et des sites de kambove et de kakanda ;

*Le groupe ouest, autour de la ville de Kolwezi et de la localité de Luena.

Cette zone fortement industrialisée est marquée par la présence de

plusieurs autres entreprises minières et des infrastructures de base propices au
développement des activités industrielles. Particulièrement les centrales hydroélectriques
et un réseau de transport d‘énergie électrique.

1.2. HISTORIQUE
 5

Déjà au 16esiècle, l’industrie du cuivre était active et en plein développement.

Le cuivre local avait même fait l’objet d’un échange international à cause de sa très bonne
qualité

C’est avec les accords de la conférence de Berlin qui octroyèrent au Roi

Léopold 2 de Belgique l’état indépendant du Congo que ce dernier devait être mis en
valeur. Ainsi, beaucoup d’investisseurs étrangers se sont intéressés et ont participé la
création de la compagnie minière du haut Katanga le 15 Avril 1891 en apportant leurs
capitaux pour l’exploitation du sol et du sous-sol de la province.

Après une seule exploitation en 1892, Jules CORNET eu le génie de concevoir les grands
traits géologiques du Katanga. Il signala plusieurs gisements importants de cuivre. Pour
résoudre certains problèmes fonciers, l’état indépendant du Congo avec la compagnie du
Katanga signèrent des accords pour l’occupation d’un territoire en vue de l’exploitation
minière. Un comité de gestion vit le jour le 19 juin 1900 : il était nommé comité spéciale du
Katanga. Celui-ci confia à la Tanganyika Concession Limited (T.C.L) créée le 20 janvier 1899
la mission de faire des investigations en vue de l’exploitation minière du Katanga. Ses travaux
aboutirent le 18 novembre 1901 a la découverte de nombreux gisements de cuivre a Musoni
(Kolwezi). Ce qui a permis la création par le décret numéro : 1473 signe par Léopold 2, le
dimanche 28 novembre 1906, d’une société dénommée UNION MINIERE DU KATANGA.
Les différents actionnaires pour cette œuvre furent l’EIC, le CSK et la TCL.
Cette nouvelle entreprise avait l’exercice des droits miniers et des autres droits
accessoires, c’est-à-dire l’UMK pouvait créer des établissements de commerce et d’industries
et effectuer toutes les opérations utiles a but social de l’UMK se trouvant en République
Démocratique du Congo, tandis que son siège social administratif était en Belgique.
Après son indépendance, le Congo créa deux ordonnances-lois le 07 janvier 1966 : le premier
exigeait le transfert au Congo (zaïre a l’époque) des sièges socio-administratifs des sociétés
ayant leurs sièges d’exploitation en Belgique. La seconde baptisée loi BAKAJIKA qui a
réglée le régime juridique des cessions et concessions foncières faites avant le 30 juin 1960

Suite au refus de l’UMK de se plier aux exigences de ces deux ordonnances-lois ; le

Zaïre repris ses droits et, par une ordonnance de ces deux ordonnances présidentielles signée
le 01 janvier 1967, l’Etat retira l’autorisation de constitution de l’UMK et s’attribua tous les
biens meubles et immeubles appartenant à cette société et a ses filiales. Ce fut la fin de
l’UMK
L’ordonnance-loi numéro 67-01 signée le 02 janvier 1967, créa la Générale Congolaise
des minerais, GECOMIN en sigle. 5 ans et 8mois après, soit le 14 septembre 192 la
GECOMIN devient Générale des Carrières et des Mines, GECAMINES en sigle.
 6

CHAPII. PRESENTATION DE L’ATELIER CENTRAL DE PANDA

I.BRIEVE HISTORIQUE DE L’ATELIER CENTRAL DE PANDA (ACP)

L’atelier central de Panda est une structure de Gécamines qui se situe dans la ville de
LIKASI et qui regroupe en son sein plusieurs ateliers qui ont pour objectifs la maintenance
des usines de cette grande entreprise.
Construit par les belges en 1927, les ACP avaient pour mission initiale la fabrication
des pièces par fonderie pour mission initiale la fabrication des pièces par fonderie pour
l’autosuffisance exclusive de la Gécamines.
Au fil du temps, notamment en 1932, s’est ajoute les ateliers de modelage, sa capacité
de production s’est améliorée et les ACP produisaient non seulement pour la Gécamines, mais
aussi pour les autres industries du pays.
Les installations de l’ACP ont connu une expansion qui nécessitaient une
infrastructure de soutien en vue d’assurer dans de des meilleures conditions les réparations du
gros matériel des usines et celles reparties dans divers ateliers de siège à savoir : PANDA et
SHITURU. Il y’a ainsi eu les machines-outils et la chaudronnerie, appelé autrefois société
Industrielle de Métal SIMETAL
II. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE DE L’ACP
L’atelier central de Panda comprend en son sein quatre sièges :
1. ACP 1 : C’est le siège administratif et comporte les grands ateliers :
-atelier de machines-outils
-atelier de modelage ;
-atelier de chaudronnerie ;
-atelier de fonderie.
2. ACP II : C’est le siège des ateliers :
-de rénovation d’équipement électrique et moteur thermiques
-d’appareillage et électronique
-de fabrique d’oxygène
-du garage des véhicules routiers
3. ACP III : ici sont installés les grands ateliers SIMETAL
4. ACPI IV : ce dernier abrite les ateliers de fabrication plastique et caoutchouc
De par sa composition, l’ACP est dirigé par un directeur de siège, seconde par cinq directeurs
de divisions et des services détaches.

Ces divisions sont :

 7

1. OPE : qui s’occupe de la production qui comprend les ateliers ci-après :

(AMO, ACS, SIMETAL, FDR, ACE, FO2, APC, ARM).
2. PLF : qui s’occupe de la gestion des commandes, de la sécurité et des
études (SST-EAQ-GESCOM)
3. CML : qui s’occupe dès la commercialisation et marketing (MCO –
BUREAU D’ENREGISTREMENT)
4. MTN : qui s’occupe de maintenance des machines et d’infrastructures du
siège (SEM – GVR – AEA)
5. ADM : qui s’occupe de l’administration du siège (GSP).

ORGANIGRAMME DE L’ACP

DL'ATEoohD
ELIERouufE
TRA
L
 8

II INSTALLATION DE L’ACP 1
II.1. Division de la fonderie
C’est la plus grande division l’ACP qui contribue à plus ou moins 65 à 70% d’activités
de l'ACP. Elle regroupe en son sein la fonderie proprement dite et l'atelier plastique
caoutchouc.
La fonderie est l’ensemble des techniques et technologies pour la réalisation des pièces
moulées.
La fonderie comporte en son sein quatre atelier qui sont :
L'atelier de modelage
L'atelier de moulage
L'atelier de fusion.
L'atelier de finition

II.1.1 L'atelier de modelage

Cet atelier a pour rôle, la fabrication de modelés. Ces modèles sont fabriqués sur base d’un
plan, fait par le client. Ils peuvent être en bois, métalliques, en rubis, en plâtres.

Fabrique des modèles permanents, on fait ici, les modèles en bois qui serons utilisé plusieurs
fois et pendant longtemps.
II.1.2. Atelier de moulage

Cet atelier prépare et fabrique les moules dont les parties sont les suivantes : le fond et
la chape l'espace restant entre les deux est l'empreinte. Parfois, le moule peut être obtenu en
une seule partie, tout dépend de la pièce à fabriquer.

<< le fond >> <<la chape>>

Les masselottes ont le rôle d’alimenter et nourrir la pièce pendant qu'il passe de l'état liquide a l'état
solide. Les deux parties du moule sont rassemblées avant la coulée, on laisse descendre le métal
par le chenal de coulée.
 9

Le noyautage : sert à la fabrication des noyaux. Les noyaux servent à donner les évidements
ou les alésages dans les pièces et ils favorisent aussi l’obtention des pièces brutes de fonderie.
Moulage mécanique : On utilise des malaxeurs ou des mélangeurs, des silos dans lesquels
sont stockées les résines. Il se fait ainsi un mélange de sable-résine et catalyseur.
II.2.3. Atelier de la fusion
Cet atelier a pour mission d’élaborer le métal liquide servant au remplissage du moule.
Apres refroidissement nous assistons au décochage. On sépare le sable de la pièce et on passe
à la récupération de celle-ci, et ensuite la pièce sera expédiée à l’atelier de finition.
Il est impératif de respecter la température de coulée pour que le métal ne devienne pas figé.
La ferraille constitue la matière de base de toute en acier ou en cuivre, et il passe par la fusion.
Apres fusion, le métal est recueilli dans la poche de coulée
Avant d’être livrée au près du client, la pièce est contrôlée pour savoir si la pièce répond aux
caractéristiques physicochimiques exiger par le client.
II.2.4 Atelier de finition
La finition est un atelier qui nous permet de découper les parties excédentaires de la pièce
quel que soit leur grandeur, forme ou complexité.
Puis nous passons par le control qualité pour s'assurer que la pièce répondra au exigence du
client.
FLOW-SHEET DETAILLE DES OPERATIONS

<<flow-sheet>>
 10

II.3. ATELIER DES MACHINES-OUTILS

Cet atelier est une composante de la division de production (OPE) pour la fabrication et
réparation des pièces métalliques par usinage.
On parle ici des machines-outils pour désigner les machines qui fabriquent les pièces par
enlèvement de coupeaux. Ceci implique que toutes les machines vues à ce stade, fabriquent
les pièces par enlèvement de coupeaux. Pour ce qui est de l’organisation interne de cette
section, nous trouvons un Chef des services, qui coordonne toutes les activités, quartes sous
ateliers et un contremaitre par sous ateliers.

Les quatre sous ateliers sont les suivants :

 Atelier de l’outillage et préparation ;
 Atelier planning, logistique et débitage ;
 Atelier des machines-outils traditionnelle ;
 Atelier des machines à commande numérique.
II.3.1 Atelier de l’outillage et préparation
L’atelier de l’outillage et préparation a pour rôle d’étudier la faisabilité du travail, soit
mettre tous les éléments susceptibles d’aider l’opérateur à avoir les pièces voulues. Le temps
d’exécution est calculé à la préparation.
II.3.2Atelier planning, logistique et débitage
C’est ici que se fait la logistique, la recherche des matières, les moyens de
planification.
Le planning donne un plan de travail, il détermine le nombre des machines opérationnelle et
donne les résultats à la direction, détermine le temps de fabrication et il définit la charge et le
délai de la commande.
La logistique se charge de la recherche des matières premières et de la disponibilité des
machines. Le débitage se charge de la mise en forme des pièces enfin qu’elle puisse passer
aisément sur les machines.
Notons que les deux ateliers cités ci-haut sont purement administratif.
II.3.3. Ateliers des machines traditionnelle
Cet atelier comprend toute machine dont la mise en marche et le fonctionnement sont
manuelle. Dans cet atelier, il y’a des grandes sections d’usinage de révolutionne de section de
surfaçage.
Les machines suivantes sont celles vue dans cette section :
 le tour parallèle : son axe du mandrin est parallèle au banc de la machine
 le tour verticale : son axe de commande du plateau est verticale par rapport a l’axe de
la machine. La grande différence entre les deux tours réside au niveau de
 11

l’encombrement : les tours parallèles prennent des petites pièces, tandis que les tours
verticales peuvent prendre des grandes pièces comptes tenue de leur ablocage.
 Les fraiseuses classiques : elles font l’usinage (fraisage) des pièces par rotation de
l’outil pendant que celle-ci sont immobilisées.
 Les étaux limeurs et les raboteuses : ce sont des machines permettant de travailler
surfaces planes ;
 La poupée diviseur : elle permet la transmission du mouvement.
 La mortaiseuse : elle a comme spécialité de faire des rainures des cales intérieures et
les dentures intérieures ;
 La tailleuse : est une machine qui ne taille que les engrenages.
 La table de vérification : est une table qui permet la vérification des dimensions pièces
fabriquées aux ACP avant de passer d’une section à une autre.
 La presse hydraulique : elle permet de caler les roues sur les arbres.

II.3.4. Atelier des machines à commandes numériques

Dans cette section se passent le même type d’opération que dans la section des machines
traditionnelles. A la grande différence, la commande de ces machines est numérique, c’est-à-
dire par ordinateur ; avec comme avantage la rapidité, la précision est répétitive des
opérations.
Hormis les machines citées ci-haut, nous avons vu aussi les machines-outils.
II.4. LA CHAUDRONNERIE
Ets une branche de la mécanique qui consiste à transformer les métaux, en feuille et
profile, en appareil nécessaire pour l’industrie.
Il s’agit ici, de la fabrication des pièces en mécano-soudée. La chaudronnerie comprend trois
ateliers :
 Atelier de préparation et planning
 Atelier de façonnage
 Atelier de fabrication
II.4.1. Atelier de préparation et planning
Dans cet atelier, on a 3 sections a savoir :
 Préparation : définition des toutes les opérations possibles ainsi que les quantités des
matières nécessaires pour l’ouvrage ;
 Planning : détermination du délai de réalisation de la commande ;
 Traçage : décorticage de tous les repères de l’ouvrage sur des croquis ou des tringles.
 12

II.4.2. Atelier de façonnage

On dispose de deux sections :
 Reproduction et débitage : on reproduit le croquis sur la matière a produire (le métal
en feuille) ;
 Machine de forgeage ou façonnage forge

II.4.3. Atelier de fabrication

On a ici 2 sections
 Montage
 Soudure
Pour cette technique le procédé est celui-ci
 lecture du plan
 Ressortir les éléments constituant l’ensemble de la pièce
 Donnez les instructions qui interviennent dans les opérations dans chaque section
 étude du temps de fabrication dans chaque section jusqu'à la finition
La reproduction
Elle est la première étape de la chaudronnerie. Les reproducteurs interviennent sur la matière.
une fois que la pièce soit sortie de cette étape elle doit être renforcé par le coup de pointeau.
Après le renforcement par le coup de pointeau, La matière est transmise à la cisaille. Nous
avons visité chaque section de cette technique de chaudronnerie Et dans celle-ci nous avons
vu les machines suivantes :
 La cisaille LVD
Est une machine servant à couper elle coupe jusqu'à 10 millimètres sur les aciers doux 8
millimètres désactiver oxydables 6 millimètres des aciers semi manax. Elle peut travailler
sur une longueur allant à 30 M et elle est ajustée suivant une dimension par la manette.
 scie circulaire Et un outil de coupe qui sert à scier les profilés tels que les fers rond,
le cuivre…
 la presse horizontale elle sert à redresser les pièces déformées
 la presse horizontale 2 elle certes au redressage et l'emboutissage
Exemple : Pour la fabrication d’une tôle on passe à la mise en forme qui est l’emboutissage.
 la presse verticale est une machine qui trouve son intérêt dans l'emboutissage elle se
différencie de la presse horizontale par la vitesse de fabrication.
 la plieuse est une machine servant à l’obtention des plis en général mais dans la
machine en soi il se passe 3 opérations :
 Pliage
 Cintrage qui consiste à cintrer la forme des pièces
 13

 perçage qui consiste à faire plusieurs trous de même dimension et diamètre en une
seule fois.
Montage : Est une section dans laquelle sont fait l’assemblage et la soudure des
pièces. Après le stade de chaudronnerie nous sommes allés visiter la section des
machines-outils.

II.5. Présentation et organisation du Service Électromécanique (SEM)

II.5.1. Objectifs du SEM
Le service électromécanique lieu de notre affectation et située dans l'enceinte de l'ACP 1
A côté de la direction du siège.
C’est un service de maintenance qui a pour rôle de traiter les défaillances afin de réduire
si possible d'éviter les arrêts de production tout en assurant les services suivants.
 La maintenance des unités de production au niveau les plus élevés possible
 intervenir de manière efficace en cas de panne
 la distribution de l'énergie électrique pneumatique et même la distribution d'eau
 Données si nécessaire les conseils auprès de la direction et des utilisateurs pour
une optimisation des moyens de production.
II.5.2. LA MAINTENANCE
a. Rôle de la maintenance
La maintenance a pour rôle de maintenir ou de rétablir un équipement de production
dans un bon état de fonctionnement pour réaliser la production demandée.
b. Types de maintenance :
Nous distinguons deux types de maintenance à savoirs :
 La maintenance corrective où curative, Elle permet de remettre un équipement en
état de fonctionnement après une panne ou encore arrêt de production.
Elle présente un désavantage qui perturbe l’organisation de la production suite à un
dysfonctionnement de l’équipement qui occasionne l’arrêt de la production.
 la maintenance préventive, elle permet d'éviter un certain nombre de pannes en
changeant des pièces à des dates bien programmées lorsqu'on connaît le temps
d'usure de ces pièces et en se servant de l'historique des pannes
Le SEM n’arrive pas à faire une maintenance préventive par manque de certains
équipements. C’est pour cette raison que ce service intervient que lorsqu'il y a
urgence pour ne pas arrêter la production pendant longtemps l'ACP fait très souvent
une maintenance corrective.
II.5.3 Les différentes sections du SEM
Le SEM est composé de 4 sections pour assurer la maintenance de toutes les
machines du siège de l’ACP. Chaque section participe de manière suivante à savoir.
a. Section maintenance machines-outils (MMO)
 14

Cette section s’occupe de la maintenance des ateliers suivants :

 L'atelier de machines-outils ;
 L'atelier de chaudronnerie et des soudures ;
 L'atelier SIMETAL 
 L’atelier central électrique (ACE)
 L'atelier de rénovation des moteurs thermiques (ARM)
 La fabrique d'oxygène (F 0 2)
b. Section maintenance machine fonderie (MMF) : Elle s’occupe uniquement de la
maintenance des machines de l’atelier fonderie du modelage et de l’atelier plastique et
caoutchouc.
c. section maintenance travaux neufs : La section travaux neufs s’occupe de la
distribution de l'énergie électrique et pneumatique ainsi que de la maintenance des
machines.
d. section planning et préparation : Elle s’occupe de la planification des travaux et de
la gestion du matériel. les travaux de maintenance sont effectués par un groupe de
techniciens mécaniciens et électriciens qualifiés. raison pour laquelle nous retrouvons
dans chaque section 2 équipes une équipe formée des mécaniciens qui s'occupent
uniquement des interventions d'ordre mécanique sur les machines. une autre équipe
constituée des électriciens qui ne s'occupent rien que des parties électriques des
machines
Cette structure permet à l’atelier de service électromécanique maintenance de répondre
correctement à ses besoins notamment d'entretien que de dépannage.
 15

CHAP.III. ACTIVITÉS PRATIQUES

III.1 MOULAGE
Dans l'atelier de moulage j'ai eu assister à l'élaboration d'un moule pour une cloche ainsi j'ai
eu l'occasion d'effectuer un ra-moulage sachant que l'opération de ra-moulage est de
réassembler le moule après de démoulage de l'empreint nous passons aussi l'application de
l'enduit cette opération a pour but de protéger les sables pendent la coulée sachant que le
métal que l'on coule est à une température très élevée.

<<moule de cloche>>
III.2 FUISION
J'ai travaillé sur élaboration d'un acier A16 dans le four a arc qui est un four électrique qui
fonctionne avec des électrodes. Ainsi j'ai assister aussi à la couler des cette élaboration

<<une couler>>
Nous devons savoir que notre objectif a la fusion est de modifier les propriétés
physicochimiques des diffèrent mitraille pour avoir la configuration voulu par client.
 16

III.3 FINITION
J'étais dans l'atelier de finition j'ai eu a retenir qu'elle s'occupe de préparer le pièce a
l'expédition ou l'utilisation en enlevant les excédant de matière en corrigeant les défaut de
moulage

III.4 LABORATOIR FONDERIE

J'ai effectué une visite dans le laboratoire de la fonderie j'ai retenu que le labo assure les
contrôle qualité du sable venant la carrière parce que le sable utiliser au moulage doit
composer principalement du silice (sable siliceux) et aussi vérifie la granulométrie du sable
sachant que le sable trop fine ou grossier va nuire au bon procéder de la couler.
Il réalise aussi des tests sur la mitraille à utiliser dans le four de fusion, ils font aussi des
analyses sur le métal élaborer pour avoir sa constitution chimique et ses propriété physique.
III.5 LAVERIE ET MODELAGE
Laverie : j'ai visité la laverie qui nous permet de traiter les sables en éliminant l'argile car
pour le moulage nous avons besoin de la silice donc un sable contenant beaucoup des
silices.
Modelage : la visite dans le modelage m'a permis d'apprendre que le modelage est
menuiserie mais trop avancé car cela nous permet d'avoir le modèle de la pièce a fabriqué il
nous permet d'avoir un modèle en vrais grandeur pour avoir l'empreinte dans le moule.
III.6 FUSION
Travail sur l'élaboration dans un four coke et l'élaboration de la bronze elle est constituée
principalement de cuivre
III.7 SEM
Remplacement et réparation d'un filtre a air sur un compresseur ZT250.

<<compresseur a vis ZT250>>

 17

<<filtre à air >>

J'ai retenu que c'est un compresseur a vis qui possède deux éléments donc biétage nous
avons la haute pression et la basse pression
NB : l'admission de l'air se passe toujours à l'entrée basse pression qui possède un
régulateur de pression
Maintenance de pont roulant : nous pouvons retenir que sur le pont roulant est un appareil
de manutentions particulièrement utiliser dans l'industrie permettant les levages et le
transfert de charge lourdes remplacent les efforts humains.
Nous nous sommes rassurés de vérifier ;
-L'état mouflage dont le crochet ainsi que sa mobilité
- la languète
-les poulie
-les graissage
- le câble de levage sachant qui doit être aussi légèrement graisser ainsi que sa fixation
-ainsi que toute la mobilité du pont et son système de freinage.
Intervention sur l'équilibreuse : l'équilibreuse est une machine qui nous permet de tester des
pièces qui seront soumis à la rotation il nous permet de repérer les défauts des masses sur la
pièce afin qu'il ne soit pas excentré

<<équilibreuse>>
 18

III.8 ACE
Essais d'isolement d'un moteur a synchrone nous devons savoir que cet isolement est vérifié
entre la carcasse est le bobinage en appliquant une tentions qui la tentions de
fonctionnement puis nous enchainons avec l'essai a rotor bloquée elle en rentrent le rotor
dans son stator sans les palier mais en appliquant le un cinquième de la tension de
fonctionnement et pour être sûr que cela est en bonne état nous devons avoir l'intensité
indiquée par les constructeur avec un couplage en étoile,

<< moteur asynchrone>>

Les huile des transformateurs ; l'huile d'un transformateur nous permet d'augmenter la
résistance diélectrique du transformateur et aussi elle permet de refroidir le transformateur
Nous avons quelque explication sur la réhabilitation des huiles du transformateur pour cela
nous utilisons une essoreuse elle nous permet d'éliminer toute les impureté et l'humidité
accumuler par l'huile pendants sont fonction
Pour éliminer les impuretés dans l'huile l'essoreuse possède des filtres et pour éliminer
l'humidité dans l'huile nous chauffons l'huile dans la chambre de chauffage dans l'essoreuse
puis nous passons dans la chambre de dégazage qui élimine l'eau grâce à une pompe à vide
parce que si l'eau persiste dans l'huile elle perdra ses propriété d'diélectriques

<<essoreuse d'huile>>
 19

CONCLUSION
Après ce large Russie sur notre déroulement du stage, nous concluons ce travail en disant
que cette période de stage passée à la Gécamines/ACP, A été pour nous une belle
expérience, et nous avons beaucoup appris nous avons eu l’opportunité d’appliquer les
connaissances acquises à la faculté, de découvrir les réalités pratiques de notre métier sous
différentes formes et de comprendre de manière globale l’ensemble de savoir-faire, les
difficultés qu’un technicien peut rencontrer et les méthodes techniques tout à fait sûres pour
les surmonter.
Malgré que la nature humaine soit imparfaite, nous avons travaillé dans un environnement
calme ou règne une ambiance amicale, Un leadership professionnel, une hospitalité
remarquable, et au travers de cette convivialité, nous avons compris que l'activité d'une
société est plus performante dans une atmosphère chaleureuse et bienveillante.
 20

LISTE DES ABREVIATION

 UPL : Université Protestante de Lubumbashi
 ACP : Atelier Centrale de Panda
 FDR : Fonderie
 ACE : Atelier Centrale Electrique
 FO2 : Fabrique D'oxygène
 ARM : Atelier de Rénovation Moteur
 AMO : Atelier Machine Outils
 SEM : Service Electromecanique
 CML : Commercialisation et Marketing
 GSP : Gestion du Personnel

LISTE DE PHOTOS
 21

Figure 1 : fond d'un moule .........................................................................................................8

Figure 2 : chape d'un moule .......................................................................................................8
Figure 3 : Flow-sheet division métallurgique.............................................................................9
Figure 4 : Moule de cloche ......................................................................................................15
Figure 5 : Opération de coulage................................................................................................15
Figure 6 : Compresseur à vis ZT250.........................................................................................16
Figure 7 : Filtre a air.................................................................................................................17
Figure 8 : Equilibreuse..............................................................................................................17
Figure 9 : Moteur asynchrone...................................................................................................18
Figure 10 : Essoreuse d'huile....................................................................................................18
 22

SOMMAIRE
Table des matières
AVANT PROPOS .......................................................................................................................1
REMERCIEMENT ....................................................................................................................2
INTRODUCTION .....................................................................................................................3
CHAPITRE I PRESENATION GENERALE DE LA GECAMINE .........................................4
I.1 Objet et sociale ...............................................................................................................4
I.2 Historique .......................................................................................................................5
CHAPITRE II PRESENTATION DES ACP .............................................................................6
II.1 Historique des ACP.........................................................................................................6
II.2 Structure organisationnel des ACP ................................................................................6
II.2.1 Atelier de fonderie ......................................................................................................8
II.2.2 Atelier de modelage ....................................................................................................8
II.2.3 Atelier de moulage ......................................................................................................9
II.2.4 Atelier fusion ...............................................................................................................9
II.2.5 L'atelier de finition.......................................................................................................9
II.3 Atelier machine outils ...................................................................................................10
II.3.1 Atelier d'outillage et préparation ...............................................................................10
II.3.1 Atelier planning logistique et debitage.......................................................................10
II.3.3 Atelier des machines traditionnelle ...........................................................................10
II.3.4 Atelier machine à commande numérique ..................................................................11
II.4 Chaudronnerie ..............................................................................................................11
II.4.1 Atelier préparation et planning ..................................................................................12
II.4.2 Atelier façonnage .......................................................................................................12
II.4.3 Atelier de fabrication .................................................................................................12
II.5. Présentation et organisation du SEM ..........................................................................13
II.5.1 Objectif du SEM ........................................................................................................13
II.5.2 Maintenable ..............................................................................................................13
II.5.3 Différente section du SEM ........................................................................................13
 23

CHAPITRE III : ACTIVITE PRATIQUE................................................................................15

III.1 Moulage .....................................................................................................................15
III.2 Fusion .........................................................................................................................15
III.3 Finition .......................................................................................................................16
III.4 Laboratoire de fonderie ..............................................................................................16
III.5 Laverie et modelage ...................................................................................................16
III.6 Fusion .........................................................................................................................16
III.7 Service Electromecanique ..........................................................................................16
III.8 Ateliers centrale électrique .........................................................................................18