Vous êtes sur la page 1sur 4

UNIVERSITE DES SCIENCE ET DE LA

TECHNOLOGIE HOUARI BOUMEDIENE


FACULTE DE SCIENCE DE LA TERRE ET DE
L’UNIVERS

ANALYSE DES DOCUMENT CARTOGRAPHIQUE

Nom : LAMOURI
Prénom : Wissal
Groupe :02
Spécialité : VDS
Année universitaire : 2022/2023
I. La photo aérienne :

La photographie aérienne est à la base de toutes les cartes détaillées modernes que nous
avons à notre disposition. Il s'agit de couvrir de vastes zones de territoires avec des photos
prises avec un axe vertical. Ces photos aériennes sont souvent exploitées dans le domaine des
systèmes d'information géographique, on parle alors d'orthophotographie.

Les photographies sont de type classique en couleurs, ou infrarouge, ou encore en fausses


couleurs, ce qui permet d'accentuer les contrastes et de faciliter l'interprétation par la méthode
photogrammétrique.

Les avions sont spécifiques à ce genre de mission, avec une trappe pour les chambres
photographiques. Un pilotage précis est nécessaire pour garder une altitude constante et
une route rectiligne. En France, l'Institut géographique national est spécialisé dans ce travail.

Les différents types de vues aériennes :


 Les photographies aériennes obliques.
 Les photographies aériennes panoramiques :
 Les photographies aériennes verticales :
 Les ortho photos.

Concepts de base de la photographie aérienne :

Pellicule : la plupart des photographies aériennes sont captées à l'aide de pellicules noir et
blanc ; toutefois, pour les projets spéciaux, on utilise quelquefois des pellicules couleur,
infrarouge et infrarouge couleur.
Distance focale : la distance qui sépare le milieu de la lentille de l'appareil de prise de vues et
le plan focal (c.-à-d., la pellicule). À mesure que la distance focale augmente, la déformation
de l'image diminue. On peut mesurer de façon précise la distance focale lorsque l'appareil de
prise de vues est étalonné.
Échelle : le rapport entre la distance entre deux points sur une photo et la distance réelle entre
ces mêmes deux points au sol (c.-à-d. 1 unité sur la photo équivaut à « x » unités au sol)
Repères de fond de chambre : petites marques de repérage exposées sur les bords d'une
photographie. Les distances entre les repères sont mesurées de façon précise lorsqu'un
appareil de prise de vues est étalonné, et les cartographes utilisent cette information lorsqu'ils
réalisent une carte topographique.
Recouvrement : proportion de la superficie couverte par une photographie qui se retrouve sur
une deuxième photographie ; on l'exprime généralement en pourcentage. On conçoit la
trajectoire de vol de façon à assurer un recouvrement longitudinal d'environ 60 % (photos
dans l'axe de la ligne de vol) et un recouvrement latéral entre 20 à 40 % (photos de lignes de
vol parallèles).
Couverture stéréoscopique : la vue tridimensionnelle qu'on obtient lorsqu'on visualise deux
photos chevauchantes (appelée couple stéréoscopique) à l'aide d'un stéréoscope. Chaque
photo du couple stéréoscopique offre une vue légèrement différente de la même région, que le
cerveau combine et interprète comme une image en 3-D.
Numéros de clichés et de rouleaux : on assigne un numéro d'index propre à chaque
photographie aérienne, d'après le numéro du rouleau et du cliché. Par exemple, la photo
A23822-35 est annotée la 35e du rouleau A23822. Ce numéro d'identification permet de
retrouver la photographie dans les archives de la PNA, en plus des renseignements comme la
date à laquelle elle a été prise, l'altitude de l'aéronef (au-dessus du niveau de la mer), la
distance focale de l'appareil de prise de vues et les conditions météorologiques.
Lignes de vol et cartes-index : à la fin d'une session de photos, le responsable du levé aérien
trace l'emplacement du centre de la première, de la dernière et de chaque cinquième photo, en
plus des numéros de clichés et de rouleaux, sur une carte du Système national de référence
cartographique (SNRC). Les centres des photos sont représentés par de petits cercles, et on
trace des lignes droites pour relier les photos d'une même ligne de vol

II. Principe de fonctionnement de stéréoscope :


Le stéréoscope est le premier instrument stéréoscopique inventé par l'homme pour jouer le
pad, tridimensionnalité, le monde autour de nous, comme on le voit par les yeux humains.
Les yeux humains sont éloignés d'eux à une distance moyenne de 6,5 cm (l'écart est variable
d'une personne à fonction de l'âge), et transmettre au cerveau deux images qui reflètent le
sujet à l'écart observé. Le cerveau humain est ainsi en mesure de juger de la distance entre le
point d'observation et l'objet observé : plus la distance, la plus faible sera l'effet de relief, les «
vues » au-delà du point de focalisation de l'infini, sont en fait « plats ».
Le principe de stéréoscopique tente de reconstruire cette illusion de profondeur grâce à la
reprise des images stéréoscopiques parallèles : la reprise se déroule en fait en utilisant des
caméras à deux objectifs, qui reflètent deux images distinctes du même sujet à la même
distance des yeux humains. Une fois mis au point (diapositives) Ou développé et imprimé
(stéréogrammes, anaglyphe), Ces images peuvent être visualisées avec un outil qui vous
permet de simuler la perception des tridimensionnalités.
Ces images peuvent également être observées à l'œil nu, à travers la pratique de sans vision
stéréoscopique, Cependant, la mise en œuvre de cet exercice à l'oeil peut être difficile et
impossible de tous les peuples, depuis diverger ou converger loin dans un plan différent de
celui de foyer, Il est une pratique contre nature et peut entraîner une fatigue oculaire discrète.
Le stéréoscope met en pratique ce principe, ce qui permet facilement l'observation simultanée
de deux images séparées, et à cet effet utilise des instruments optiques tels que des miroirs et /
ou lentilles: en miroir stéréoscope de Charles Wheatstone, les deux images sont disposées, de
façon séparée, sur le côté, à droite et à gauche de l'observateur, tandis que les deux miroirs à
45 ° marquées dans la direction de l'observateur, qui, placé à une distance appropriée à partir
des miroirs, observera les deux images parallèles de telle sorte pour simuler une seule vue
d'un sujet en trois dimensions.
De même, avec le stéréoscope Brewster et plus tard, les deux images, constituant un support
unique contenant les deux images parallèles (impression photographique ou diapositives),
sont placés frontalement devant l'observateur, qui peut les afficher sous forme d'une seule
image en trois dimensions à l'aide d'un « binocolino », il équipé de deux lentilles
grossissantes, ce qui permet que chaque œil observe l'image qui lui est consacré.
III. Les pixels :
Le pixel, souvent abrégé p ou px, est l'unité de base de la définition d'une image
numérique matricielle. Ce mot provient de la locution anglaise picture element, qui signifie
« élément d'image ».

La résolution :

La résolution est le nombre total de pixels sur un écran donné, représenté en dimensions
largeur x hauteur. Vous avez sûrement déjà entendu le terme 1080p en référence à un écran
d’ordinateur ou de télévision. 1080p est une abréviation de 1920×1080 qui correspond à 1920
pixels de large par 1080 pixels de haut. Il s’agit d’un standard extrêmement populaire pour les
écrans larges d’ordinateurs, les télévisions et (plus récemment) les smartphones depuis
quelques années.

Les vidéos ont également une résolution. Les caméras vidéo filment dans certaines résolutions
(le plus souvent 1080p aujourd’hui) et les enregistrements d’écran sont basés sur la résolution
de l’écran enregistré

Vous aimerez peut-être aussi