Système d’informations géographiques S.I.

G
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
Université de Jijel
Faculté des Sciences et de la technologie
Département : Génie Civil et d’Hydraulique

Système d’informations géographiques

S-I-G

2020-2021

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 Système d’informations géographiques S.I.G

Chapitre I
Système d’Information Géographique (S.I.G)

I-1 Définition S.I.G :

Système d’Information Géographique (S.I.G) est un ensemble de données
repérées dans l'espace, structuré de façon à pouvoir en extraire des synthèses
utiles à la décision. (M. Didier, Etude du CNIG, 1990,)

 Des données repérées dans l’espace

(données numériques localisées
géographiquement)

 Des données structurées

(à l’intérieure d’un système de
traitement informatique)

 Outils d’aide à la décision

(Exploitation des données suivant
des requêtes géographiques
croisées, cartes thématiques à
forte valeur ajoutées)

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Une définition plus technique

Un S.I.G est un système composé de matériel informatique et de

logiciels utilise pour la récupération, le stockage, l’analyse et la représentation
graphique de données géographiques.

Les caractéristiques spatiales sont stockées dans un système à

coordonnées (comme latitude/longitude), qui définit un lieu précisément sur la
terre.
Des éléments descriptifs stockés sous forme de tableau sont associés aux
caractéristiques spatiales. Les données spatiales et leurs éléments descriptifs,
associés dans un système de coordonnées commun, peuvent être utilisés
ensemble pour des analyses et des cartographies. (dans le même système de
coordonnées).

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I-2 Historique des S.I.G:

 Enquête épidémiologique à Londres en 1854 :
Corrélation entre proportion de gens malades et distances aux points
d’eau, mise en évidence cartographique.

 Calculs balistiques : Seconde guerre mondiale.

 Système d’information géographique canadien:

Réhabilitation de terres agricoles en 1962.

 Établissement des «Système d'extraction de données sur la qualité de

l’eau »et «système de gestion des parcelles forestières » aux Etats-Unis en
1962

I-3 Les composantes d’un S.I.G:

Un S.I.G doit comporter au moins sept composantes :
- Une base de données à caractère spatial et thématique
- Un système de représentation cartographique
- Un système de saisie numérique
- Un système de gestion des bases de données géographiques
- Un système d’analyse spatiale
- Un système de traitement d’images
- Un système d’analyse statistique

I-4 Concepts de base d’un S.I.G:

Les données spatiales sont généralement sous forme de couches
d’information issues de carte thématique, qui peuvent décrire entre autres :
La topographie, la disponibilité en eau, la nature du sol, le couvert
végétal, le climat, la géologie, la population, la propriété foncière, les bornes,
administratives ou bien encore les infrastructures (routes, réseau électrique, etc.)

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I-5 Les domaines d'application:

Les domaines d'application des S.I.G sont aussi nombreux que variés et il
serait impossible d'en dresser ici une liste exhaustive. Citons cependant :

- Tourisme (gestion des infrastructures)

- Marketing (localisation des clientèles)
- Milieu scolaire (parcours des autobus scolaires)
- Inventaire et gestion des ressources (équipements urbains)
- Planification urbaine (zonage)
- Protection civile (gestion des catastrophes)
- Politique (cartes électorales)
- Transport (planification, gestion des réseaux)
- Hydrologie (gestion des AEP, réserves hydroélectriques)
- Réseaux de distributions (gaz, électricité)
- Foresterie (gestion des parcelles forestières)
- Géologie (prospection minière)
- Biologie (études du déplacement des populations animales)
- Défens (planification des opérations militaires)
- Etc …

 Les 4 fonctionnalités de base d’un SIG sont :

1. la saisie (numérisation) des données.
2. le stockage (base de données graphiques et attributaires).
3. l’analyse (modélisation, simulation).
4. la sortie (production de cartes, tableaux et graphiques, exportation
et transfert de fichiers).

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I-6 Les avantages des S.I.G:

- Capacité et fiabilité de stockage
- Rapidité de restitution des données (gain de temps)
- Intégration et combinaison de données de sources différentes
- Précision des processus cartographiques
- Facilité de mise à jour (Outils de suivi)
- Analyse des relations spatiales (Intégration, requête spatiale, Combinaison
et superposition de cartes)
- Production de cartes ( bon rapport qualité / prix )

I-7 Les contraintes des S.I.G :

- Le manque de personnel spécialisé et compétant.
- Coût élevé et problèmes techniques pour l’acquisition des données fiables
- Non Standardisation des formats de données.
- Normes (ISO, ACNOR, ANSI, IEEE, OSF)
- Terminologie, Termes impropres.
- Contrôle de l'information et confidentialité.

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 Le SIG comprend deux types de bases de données intimes:

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Chapitre II
Les modèles de localisation

II-1 Localisation et cartographie :

Toute information géographique s’exprime dans un système de
localisation. On distingue deux types :
1- Géo références continues :

Ces systèmes utilisent les coordonnées géographiques, exprimées en

longitude et latitude, ou les projections cartographiques rectangulaires (ces
dernières évitent les problèmes de déformation géoïde-plan). A ces deux
systèmes s’ajoute la coordonnée d’altitude (par rapport au niveau de la mer).

2) Géo références discrètes : administratifs…

Les plus utilisés : l’adresse postale, le numéro de parcelle cadastrale, le
numéro d’îlot de recensement.

II-2 Les systèmes de représentations cartographiques :

Les coordonnées géographiques vous

serviront à vous repérer un lieu sur la surface
terrestre.

Ces coordonnées sont des lignes

imaginaires qui sont appelées parallèles et
méridiens. Elles vous permettront de définir la
latitude et la longitude de n'importe quel point
situé à la surface du globe

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 Les méridiens
Les méridiens sont des grands cercles de la
sphère dont le plan contient l'axe de rotation, ou
axe des pôles. Tous les méridiens sont
perpendiculaires à l'équateur et se rejoignent au
pole longitude d'un point sur le globe est d'un
défini par rapport au fini méridien référence
(Greenwich, près de Londres).

 Les parallèles
Les parallèles sont des cercles concentriques
parallèles à l'équateur. L'équateur qui partage la Terre en deux hémisphères, est
le seul des parallèles qui soit un grand cercle et dont le centre soit le centre de la
terre. La latitude d'un point sur le globe est défini par rapport au parallèle de
référence (l'équateur).

II-2-1 Coordonnées géographiques :

L’axe de rotation de la terre est la ligne PP’ qui joint les deux pôles (Nord et
Sud).
Tout point "M" de la terre est définie par l’intersection d’un méridien et d’un
parallèle. On dit que le point "M" est défini par sa longitude et sa latitude.
 Définition de la longitude :
C’est l’angle (λ) formé par le méridien du point "M" et la méridienne
origine (méridien international de Greenwich). La longitude est mesurée de 0°
degré à 180° est et ouest.
 Définition de la latitude :
C’est l’angle (φ) que fait la verticale du point "M" avec le plan de
l’équateur. La latitude est mesurée de 0°degré à 90° Nord et Sud.

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II-2-2 Projection U.T.M (Universel Transverse Mercator) :

Cette Projection est appelée aussi Gauss-KRÜGER. On projette les
méridiens et les parallèles sur un cylindre circonscrite a la terre le long d’un
méridien (PDP’), en suite, on ouvre ce cylindre suivant une génératrice est on
obtient ainsi un rectangle.
Les régions voisines du méridien axial (PDP’) sont représente avec de
légère déformation et plus on s’éloigne de ce méridien plus la déformation
augmente. C’est pourquoi Gauss a divisé le globe terrestre en 60 faisceaux de 6°
chacun. Ainsi donc, dans chaque faisceau, il ya un méridien axial qui permettre
de circonscrire un cylindre et d’établir la projection sans garde la déformation
des longueurs.
La longitude d’un méridien axial d’un faisceau choisi est calculée d’après la
formule suivante λAX = N * 6° − 3 ; avec : N : numéro du faisceau.
La numérotation des faisceaux commence à partir du méridien origine du
Greenwich.

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Caractéristiques de l’UTM :
- Divise le monde en 60 fuseaux
- Chaque fuseau couvre 6°de longitude
-Territoire Algérien : fuseaux 29 à32
- Coordonnées rectangulaires en mètres
Exemple :
- Calculer la longitude du méridien axial du faisceau numéro 4 ?
On a : λAX = N * 6° − 3 ; N = 4
λAX = 4 * 6° − 3 = 21°

II-2-3 Projection Conique Lambert :

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On projette orthogonalement la terre sur un cône circonscrite le long du
parallèle de latitude φ0 donné. On ouvre ensuite le cône suivant une génératrice
et on le de roule jusqu’a que les régions voisines du parallèle de latitude φ0 sont
présentées avec des légères déformations. Mais au fur et à mesure que l’on
s’éloigne, on constate un étirement en longitude est une compression en latitude.

II-3 Les Coordonnées des d’une carte Topographique:

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Elles sont de deux types :

a- Planes (cartographiques ou projet) :

Coordonnées utilisées pour les cartes, pour traduire en mètres les
coordonnées géographiques, à partir d’un point de référence qui est l’origine de
la projection que l’on utilise.

b- Géographiques (globales et universelles) :

Elles sont universelles, donc tout point situé à la surface de la Terre a une
paire de coordonnées unique. Un degré de longitude au Nord du cercle polaire
est beaucoup plus petit qu’un degré de longitude à l’Équateur.

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Chapitre III
Les modèles des données

III-1 Modes de représentation de l’information géographiques

dans un S.I.G

Deux modes de représentations des données cohabitent :

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III-1-1 Le mode image (structure Raster):

Correspond à une division régulière de l’espace sous forme de cellules (pixel),
abréviation de (picture element). rectangulaires ou carrées. Il est fortement lié à
la notion d’image (ex: image satellitaire, …).

Figure : Donnée où l’espace est divisé de manière régulière

La donnée raster ou maillée donne une information en chaque point du territoire
Photo aérienne
La photo est la base de nombreuses données géographiques.
A partir d’appareil photo ou de caméra aéroportée (avion, ballon, …) il est
possible d’avoir de nombreux détails de la surface de la terre.
Elle peut être :
- Scannée,
- Numérique (directement intégrable sur un disque dur),
- Orthorectifiée (corrigée des déformations d’échelle dues aux différentes
altitudes, à l’assiette de l’avion, … on obtient une orthophotographie)
La précision de la photo aérienne dépend de la dimension du plus petit détail
visible (notion de résolution).

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Figure : Photo aérienne

Plan scanné ou carte scannée

C’est la représentation d’une information déjà interprétée. Ceci montre ses
limites. Par contre, la carte scannée est un bon référentiel visuel car elle est
souvent issue de carte papier destinée au grand public (Carte au 25 000ème de
l’IGN, plan cadastral, carte routière).

Figure : Carte scannée

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Image satellitale
Image issue de capteurs embarqués dans des satellites d’observation
placés sur des orbites de 500 à 36000 km d’altitude. L’image représente le
rayonnement solaire réfléchi par les objets au sol dans le domaine visible ou
proche infra-rouge. Elle doit subir plusieurs traitements radio-métriques et
géométriques avant d'être utilisable dans un SIG.

Figure : Image satellitale

Image satellitale radar
Image enregistrée par des capteurs embarqués dans des satellites
d’observation. Elle représente la réponse du sol à l’onde envoyée par le capteur
(principe du flash ou du sonar).

Figure : Image satellitale radar

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III-1-2 La donnée (vecteur) :
Pour représenter les objets à la surface du globe, les S.I.G utilisent trois
objets géométriques qui sont le point, la ligne et la surface.
Le point
L’objet le plus simple, il peut représenter à
grande échelle des arbres, des bornes d’incendie, des
collecteurs d’ordures, …. Mais à des échelles plus
petites de type carte routière au 1/1000000ème, il
représente une capitale régionale.
La ligne
La ligne représente les réseaux de
communication, d’énergie, hydrographiques,
d’assainissement, etc.. Elle peut être fictive, en
représentant l’axe d’une route, ou virtuelle en
modélisant des flux d’information, d’argent, …
La surface
Elle peut matérialiser une entité abstraite
comme la surface d’une commune ou des entités
ayant une existence géographique comme une forêt,
un lac, une zone bâtie, …

L’objet complexe
Il existe par la relation que les objets ont entre eux :
- un département peut être représenté par une
surface, mais il est aussi constitué d’une multitude
de surfaces que sont les arrondissements, les
cantons, les communes,
- plusieurs rues peuvent former un itinéraire de Figure : Les objets géométriques

collecte d’ordures,
- une rue peut appartenir à plusieurs lignes de bus,
-….
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Chapitre IV
L'analyse en S.I.G et logiciels

IV-1 L'analyse en S.I.G

La raison d’être des systèmes d’information géographique n’est pas la
constitution de plan ou de carte ni la seule gestion de données mais d’être un
outil au service de l’information géographique.

IV-1-1 Analyse spatiale à partir de la sémantique

Description qualitative et/ou quantitative d’un espace à partir de données
alphanumériques stockées l’objet géométrique ou dans une base de données
externe via un lien. Cette analyse peut se faire par requête, par calcul. La
cartographie en est souvent le support.

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Figure : Analyse statistique

IV-1-2 Analyse spatiale géométrique

Cette analyse se base sur la position

de l’objet, sa forme, et les relations qui
existent éventuellement.

La distance entre objets est une des

fonctionnalités simples de l’analyse
spatiale.

On peut travailler sur les relations

entre les objets, par exemple en
sélectionnant suivant une distance, une
intersection, un positionnement, sans
modifier les objets.

On peut travailler sur la topologie

quand elle existe.

On peut manipuler de la donnée en

la découpant, la joignant, l’excluant.

IV-2 Logiciels SIG :

Le choix d’un logiciel SIG s’avère parfois difficile, en effet ils en existent
des dizaines sur la toile, bien que leurs objectifs est communs chacun de ces
logiciels a ces propres fonctionnalités, avantages et inconvénients. Les plus
connus et les plus utilisés au monde son Mapinfo de Pitney Bowes Software et
Arcgis de ESRI leur inconvénient majeur reste le prix qui n’est pas à la portée
de tout le monde, heureusement ils existent d’autres logiciels SIG gratuits voir
même Open Source comme QGIS de Open Source Geospatial (OSGeo) et
GRASS GIS DE GRASS Development Team.
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Dans ce qui suit on va lister les logiciels SIG les plus utilisés au monde
avec leurs fonctionnalités :

IV-2-1 QGIS :
Est un Système d'Information Géographique (SIG) convivial distribué
sous licence publique générale GNU. C'est un projet officiel de la fondation
Open Source Geospatial (OSGeo). Il est compatible avec Linux, Unix, Mac OS
X, Windows et Android et intègre de nombreux formats vecteur, raster, base de
données et fonctionnalités.

IV-2-2 MapInfo :
Disponible sous une version 64 bits native en plus de la version 32 bits
MapInfo Professional est un système d’information géographique avec des
fonctionnalités d’intelligence géospatiale qui permettent aux entreprises de
comprendre leurs activités, d’analyser les tendances géographiques, et de
prendre des décisions critiques avec une meilleure connaissance des risques et
des opportunités.

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IV-2-3 ArcGIS :
ArcGIS est un système d’information géographique parmi les plus connus
au monde qui comprend une suite d’applications cartographiques qui permettent
de collecter et partager des informations dans une organisation et avec le public,
il permet de faire une analyse spatiale pour identifier et mesurer les implications,
les conséquences et l’impact des décisions.

IV-2-4 GRASS GIS :

GRASS GIS est un logiciel de système d'information Géographique (SIG)
libre (GPL) de conception modulaire réalisé par le GRASS Development Team.
GRASS est de conception modulaire, c'est-à-dire qu'à chaque fonction du
logiciel correspond un module, ce qui permet d'économiser la mémoire et la
CPU de l'ordinateur en ne lançant que les modules dont l'utilisateur a besoin. Ses
fonctionnalités font de GRASS, en particulier à partir de sa version 6, un logiciel
extrêmement puissant et polyvalent puisqu'il hérite des puissantes
fonctionnalités de GRASS 5 en traitement d'image et en analyse raster et que s'y
ajoutent des fonctionnalités vectorielles 2D et 3D.

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IV-2-5 Topocad :
Avec ce logiciel gratuit, vous avez une ouverture sur plusieurs données de
différentes plateformes de topographie. C’est dire que vous n’avez pas
seulement la seule source des concepteurs du logiciel. En dehors de ce
paramètre, l’interface est prête à l’usage dès que l’installation est faite. Pour
faire court, ce logiciel SIG est avant tout un éditeur et un informateur. Les
données géographiques les plus actuelles sont à votre portée. En plus, vous
pouvez apporter les modifications qui vous conviennent. Puisqu’elle est liée aux
diverses stations, l’interface de Topocad présente des éléments fiables issus du
croisement de sources. S’il vous vient l’envie d’exporter les statistiques,
pratiquement tous les formats sont disponibles.

IV-2-6 DIVA-GIS :
DIVA-GIS contribue de façon efficiente à améliorer l’interaction entre les
hommes. Il traite non seulement les informations liées à la cartographie
globalement, mais aussi les données provenant des relations entre les hommes et
l’impact de leurs décisions. Cet outil compatible avec les appareils Windows est

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d’un usage complexe. Il faut donc se fier à l’avis d’un expert pour une lecture
plus objective. Aussi est-il conseillé de l’employer pour savoir ce que pourrait
être le futur dans certains domaines donnés compte tenu des variations, des
mutations et des déplacements. Une notice est disponible pour le crack qui a
envie de l’essayer.

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IV-2-7 Google Earth :
Au-delà de tout, Google demeure incontournable dans le domaine de la
géographie et des données qui y ont trait. C’est dire qu’avec les avancées
technologiques, ce géant du numérique a des liens avec des stations et de
sources de notoriété physique. Ces dernières lui permettent d’avoir des
informations aussi récentes que possible. Ainsi, Google earth, un de leur outil
offre le globe à son utilisateur avec tous les détails requis. Ce logiciel met en
contact ses utilisateurs pour qu’ils profitent de l’occasion pour rectifier les
erreurs. Ils peuvent créer leur carte et la modifier à leur guise. L’interface simple
est résumée en quelques éléments du menu. Pour un amoureux du digital,
Google Earth est une aubaine de création de données et de gestion de base
personnelle.

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