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Certains paysans
n'étaient jamais atteints par la variole humaine lors d'épidémies de cette maladie. Il remarque que ces individus
avaient été au contact de vaches malades de la variole bovine bénigne appelée vaccine (document 1). Il émet
l'hypothèse qu'une forme de maladie peu grave pour l'Homme, mais voisine d'une maladie mortelle peut
le protéger contre cette dernière. Ses travaux l'amènent à vérifier cette hypothèse en injectant à un enfant du pus
de vache malade (document 2), puis six semaines plus tard, du pus de varioleux. L'enfant résiste bien à la variole : il a
été immunisé par la première injection. Cette pratique était alors appelée vaccination
Document 2
Document 1
Activité 2 : Travaux de Louis Pasteur: Il laisse vieillir plusieurs semaines des cultures
bactériennes responsables du choléra (document 3). Lorsqu'il injecta ces bactéries vieillies à des poules (expérience
1), celles-ci survivent à la maladie contrairement à celles à qui il avait injecté des bactéries jeunes (expérience 3).
Puis, une à deux semaines plus tard, il injecta aux poules de l'expérience 1 des bactéries jeunes (expérience 2) :
elles résistent à cette maladie.
Document 3
Activité 3 : Travaux de Roux : il vaccine un cheval en lui injectant des doses croissantes de toxine
diphtérique, ce qui provoque chez lui l'apparition de grandes quantités d'anticorps antidiphtériques. Roux a donc
l'idée de transférer le sérum de ce cheval ainsi « hyperimmunisé » à des malades atteints de la diphtérie (document
4). Un grand nombre de malades guérissent : la sérothérapie est née (document 5).
Le sérum est……………………………………………………………..……
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Document 4
Document 5