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I. HISTORIQUE
En 2004, l’institut entre dans une nouvelle ère en devenant membre titulaire du
CAMES et compte aujourd’hui 39 diplômes homologués par le CAMES. Il compte donc deux
campus à savoir :
celui de Ouagadougou
et de Bobo-Dioulasso
Mail : info@u-auben.com
I.1. Formation
I.1.1. Instituts
Science de Gestion ;
Science Economique ;
Science Juridique ;
Science et technologies.
I.1.4. Centres
Les diplômes délivrés sont de grade DTS, Licence, Master et Doctorat. Pour assurer
une meilleure qualité de formation, U-AUBEN a signé de nombreux partenaires avec des
universités et institutions d’enseignement supérieur, scientifique et de recherche, aussi bien en
Amérique, en Europe, en Asie qu’en Afrique. Ainsi, chaque année, plus de vingt (20)
missions d’enseignement sont programmées à U-AUBEN.
CHAPITRE 2 : PRESENTATION DE TELIA INFORMATIQUE
I. HISTORIQUE
TELIA Informatique est une société à responsabilité limitée (SARL), créée en 2002
par deux actionnaires avec un capital de 1 000 000 francs CFA. C’est une société de droit
privé enregistrée au registre de commerce du Burkina Faso sous le numéro BF OUA 2002 B
2440, son numéro d’identification fiscale unique (IFU) est le 00007296 J, et son numéro
sécurité sociale est le N°33128J. Son siège social est situé au secteur 44 (ex 28) de
Ouagadougou.
La formation constitue une clé permanente et efficace pour atteindre des objectifs et
individuels. Conscient de cette importance, TELIA Informatique propose des séminaires de
formation qui couvrent plusieurs domaines d’activités allant de l’initiation au
perfectionnement :
initiation à la bureautique ;
bureautique avancée ;
internet ;
maintenance réseau et système ;
systèmes d’exploitation (Windows, Unix) ;
bases de données (Oracles, Access, Dbase, FoxPro) ;
programmation algorithme et les langages ;
entretien des équipements informatiques ;
outils de conception et de Publication assistée par ordinateur (CAO et PAO).
TELIA informatique entretient des relations très étroites avec d’importants grossistes
en informatique. Elle met à la disposition de ses clients une gamme variée de matériels et
logiciels de qualité dont :
des micro-ordinateurs ;
du matériel d’imagerie ;
des produits réseaux ;
des unités de sauvegardes ;
des logiciels et progiciels ;
des consommables.
TELIA propose également des contrats de maintenance hard et soft sur site ou à son
atelier pour un entretien préventif et le dépannage de tout matériel et logiciel.
INTRODUCTION
I. Le cloud computing
I.1-Définition
Le Cloud computing est un système de stockage des données ou des ressources sur des
ordinateurs distants appelés serveurs et qui ne sont accessible que par internet. Le cloud
signifie « NUAGE » et computing signifie « INFORMATIQUE ». Le Cloud Computing
signifie littéralement, l’informatique dans les nuages et permet l’accès à des services
informatique (serveur, application, logiciel, stockage etc..) via internet à partir d’un
fournisseur de service cloud.
Le cloud computing est un terme qui désigne les services hébergés fournis par un prestataire,
accessible par internet sans que le client ne sache exactement ou se trouve physiquement les
matériels et les logiciels qu’il utilise.
Le Nom Cloud Computing ou Informatique en Nuage, a été inspire le symbole du Nuage qui
est souvent repris pour représenter des réseaux Internet reliant des machines disséminées
physiquement.
Selon le NIST (National Standard Institute), le cloud computing est un modèle informatique
qui permet un accès facile et a la demande par le réseau a un ensemble partage de ressources
informatiques configurables (serveurs, stockage, applications et services) qui peuvent être
rapidement provisionnées et libérées par un minimum d’effort de gestion ou d’interaction
avec le fournisseur du service.
Le modèle Cloud Computing est composé de cinq caractéristiques qui sont les
suivants :
I.2.1- L’accès aux services par l’utilisateur à la demande
Ces centres de traitement sont généralement raccordés directement sur les backbones internet
pour bénéficier d’une excellente connectivite. Les grands fournisseurs repartissent les centres
de traitement sur les la planète pour fournir un accès aux systèmes en moins de 50 ms de
n’importe quel endroit.
La plupart des centres comportent des dizaines de milliers voir de millions de serveurs et de
moyens de stockage pour permettre des montées en charge rapides. Il est souvent possible de
choisir une géographie pour mettre les données près des utilisateurs.
La mise en ligne dune nouvelle instance d’un serveur est réalisée en quelques minutes, l’arrêt
et le redémarrage en quelques secondes. Toutes ces opérations peuvent s’effectuer
automatiquement par des scripts. Ces mécanismes de gestion permettent de bénéficier
pleinement de la facturation a l’usage en adaptant la puissance de calcul au trafic instantané.
Le cloud computing propose trois types de services qui offrent ainsi diffèrent choix aux
clients en fonction de leurs besoins. Ce sont :
La figure suivante illustre les trois niveaux de service offert par le cloud.
Figure : les différents niveaux de service du clou computing.
Dans ce type de service, des applications sont mises à la disposition des consommateurs. Les
applications peuvent être manipulées à l'aide d'un navigateur web, et le consommateur n'a pas
à se soucier d'effectuer des mises à jour, d'ajouter des patches de sécurité et d'assurer la
disponibilité du service. Gmail est un exemple de tel service. Il offre aux consommateurs un
service de courrier électronique et le consommateur n'a pas à se soucier de la manière dont le
service est fourni. D'autre-s exemples de logiciels mis à disposition en SaaS sont Google
Apps, Office Web Apps, Adobe Creative Cloud ou LotusLive (IBM).
Dans ce type de service, le système d’exploitation et les outils d’infrastructure sont sous la
responsabilité du fournisseur. Le consommateur a le contrôle des applications et peut ajouter
ses propres outils mais n’a aucun contrôle sur l’infrastructure cloud (réseaux, serveurs,
stockage). Comme fournisseur de ce type de service, nous avons Google Apps Engine (GAE).
L’infrastructure en tant que service : c'est le service de plus bas niveau. Il consiste à offrir un
accès à un parc informatique virtualisé. Des machines virtuelles sur lesquelles le
consommateur peut installer un système d'exploitation et des applications. Le consommateur
est ainsi dispensé de l'achat de matériel informatique. Ce service s’apparente aux services
d’hébergement classiques des centres de traitement de données (datacenter), et la tendance est
en faveur de services de plus haut niveau, qui font davantage abstraction de détails technique.
Parmi les grands fournisseurs de IaaS, nous pouvons citer Amazon Web Service (AWS).
Sur la figure suivante, nous avons une illustration de la répartition des tâches en fonction du
type de service.
Le cloud prive ;
Le cloud communautaire ;
Le cloud public ;
Le cloud hybride ;
Les modèles de déploiement du cloud sont illustres par la figure suivante
L’infrastructure Cloud est utilisée par une seule organisation. Elle peut être gérée par
l’organisation ou par une tierce partie. L’infrastructure peut être placée dans les locaux de
l’organisation ou à l’extérieur.
L’infrastructure Cloud est partagée par plusieurs organisations pour les besoins d’une
communauté qui souhaite mettre en commun des moyens (sécurité, conformité, etc..). Elle
peut être gérée par les organisations ou par une tierce partie et peut être placée dans les locaux
ou à l’extérieur.
L’infrastructure Cloud est composée d’un ou plusieurs modèles ci-dessus qui restent des
entités séparées. Ces infrastructures sont liées entre elles par la même technologie qui autorise
la portabilité des applications et des données. C’est une excellente solution pour répartir ses
moyens en fonction des avantages recherchés.
Avantages Inconvénients
Plusieurs éléments sont nécessaires pour le bon fonctionnement d’un cloud. Parmi ces
éléments, les principaux sont les suivants :
I.5.1- La virtualisation
La virtualisation se définit comme l’ensemble des techniques matérielles et/ou logiciels qui
permettent de faire fonctionner sur une seule machine, plusieurs systèmes d’exploitation
(appelées machine virtuelle).
La virtualisation des serveurs permet une plus grande modularité dans la répartition des
charges et la reconfiguration des serveurs en cas d’évolution ou de défaillance momentanée.
Les intérêts de la virtualisation sont multiples. On peut citer :
- L’utilisation optimale des ressources (répartition des machines virtuelles sur les
machines physiques en fonction des charges respectives) ;
I.5.2- Le Datacenter
Un Data center ou centre de données, est une infrastructure composée d’un réseau
d’ordinateur et d’espaces de stockage. Cette infrastructure peut être utilisée par les entreprises
pour organiser, traiter, stocker et entreposer de grandes quantités de données.
Un data center est ensemble d’éléments. Un centre de données basique regroupe des serveurs,
de sous-système de stockage, des commutateurs de réseau, des routeurs, des firewalls, et bien
entendu des câbles et des racks physiques permettant d’organiser et d’interconnecter tout cet
équipement informatique.
Pour fonctionner correctement, un Data center doit aussi abriter l’infrastructure adéquate : un
système de distribution d’énergie, un commutateur électrique, des réserves d’énergie, un
système de ventilation et de refroidissement, et une puissante connexion internet. Une telle
infrastructure nécessite un espace physique suffisamment vaste et sécurisé pour contenir tout
cet équipement.
Figure 2: Illustration des éléments constitutifs d’un DataCenter
Le cloud computing est une technologie qui a révolutionnée le monde informatique avec ses
multiples avantages, mais cependant, il comporte aussi des inconvénients.
Avantages Inconvénients
La sécurité du cloud est un sous domaine du cloud computing en relation avec la sécurité
informatique. Elle implique des concepts tels que la sécurité des réseaux, du matériel et les
stratégies de contrôles déployées afin de protéger les données, les applications et
l’infrastructure associée au cloud computing.
Lors du passage au cloud, les clients perdent le contrôle sur la sécurité physique étant donné
que les serveurs peuvent êtres localise partout dans le monde. La sécurité physique est aussi
importante que tout autre contrôle de sécurité visant a protéger et a sécuriser le
fonctionnement du cloud. Les installations physiques sont soumises a diverses menaces,
notamment les risques naturels et les actions humaines. Tout serveur dans le cloud est
vulnérable a un attaquant qui dispose d’un accès physique et d’un temps illimite au serveur.
Pour assurer la disponibilité des serveurs, les éléments suivants sont nécessaires :
Les contrôles et les surveillances des accès physique ;
Les contrôles environnementaux et alimentations de secours ;
Mise en place de processus, procédures et politique de sécurité adapte a centre de
données (Data center).
Sécurité au niveau du Réseau
Conclusion
Introduction
I. Présentation des solutions cloud
I.1-Les différents acteurs du cloud computing
Plusieurs acteurs ont contribué au développement du cloud computing. Parmi ces ces acteurs
nous avons des éditeurs et les fournisseurs. Les éditeurs sont des sociétés qui proposent des
solutions cloudet fournissent une technologie capable d’héberger une solution cloud. Les
fournisseurs sont des hébergeurs qui mettent à disposition des infrastructures physiques
proposant ainsi des services cloud.
Parmi ces acteurs du cloud, les plus importants sont les suivants :
Salesforce est un éditeur de logiciels, basé à San Francisco aux Etats-Unis. Il distribue des
logiciels de gestion bases sue Internet et héberge des applications d’entreprise. Il a été créé en
1999 par Marc Bentoff, Parcker Harris, Dave Moellenhoff et Frank Dominguez et fait ses
débuts en tant que société spécialisée dans les logiciels SaaS. En juin 2004, la société a été
introduite au NASDAQ sous le symbole boursier CRM, apportant ainsi 110 millions de
dollars.
I.1.2- Amazon Web Site
Amazon Web Service (AWS), lance depuis 2006, met à disposition un cloud public et
propose des services de type IaaS avec El astic Compute Cloud (EC2). Amazon propose
également des services de type PaaS avec El astic MapReduce et Simple Queue Service
(SQS).
I.1.3- Google
En 2008, Google a lance son cloud public oriente pour les services Web offrant une
plateforme PaaS nommée « Google App Engine » permettant l’hébergement des applications
python ou java. Et également des applications SaaS regroupées dans la gamme « Google
App ».
I.1.4- Microsoft
Google cloud platform est une plateforme de cloud computing fournie par google, proposant
des Infrastructures en tant que service (Iaas), des Plateformes en temps que services (Paas), un
hébergement sur la même infrastructure que celle que google utilise en interne pour des
produits son moteur de recherche. Google Cloud platform fait parti d’un ensemble de
solutions pour les entreprises appelé Google cloud, fournit des services modulaire bases sur le
cloud tels que le stockage d’information, le calcul et des applications.
Google Cloud Platform est composée dune famille de produits, chacun comportant une
interface web, un outil de lignes de commande, une interface de programmation applicative
REST. On y trouve :
Microsoft azure
Eucalyptus
Eucalyptus est un produit issu d’un projet de recherche de l’université de Californie, cette
plateforme Cloud open source est intégrée dans Ubuntu server et Debian. Ecrite C, Java et
python. C’est un logiciel open source qui permet de créer des Infrastructures en tant que
service (IaaS) de type privée ou hybride et supporte des machines virtuelles Linux ainsi des
hyperviseur Xen et KVM.
OpenNebula
OpenNebula est un projet Open Source de Cloud Computing de type IaaS. Le projet a
été lancé en 2005, la première version stable est sortie en 2008. Le projet est sous licence
Apache 2. Il a pour but la gestion de machines virtuelles à grande échelle sur des
infrastructures distribuées ou de cluster, et supporte plusieurs technologies d’hyperviseur :
Xen, KVM et VMware. OpenNebula permet aussi de combiner les infrastructures locales et
publiques, ce qui offre une grande modularité aux environnements hébergés [8].
Openstack
Openstack est une plateforme logiciel open source permettant de déployer des infrastructures
de cloud computing (infrastructure en tant que service).
Openstack supporte de nombreux hyperviseur dont VMware, vSphere, Hyper-V Citrix Xen ou
encore KVM et des systèmes d’exploitation tels que Linux et Windows.
I.5-Etude comparative des solutions
Type de service
IaaS IaaS IaaS
Après avoir fait une comparaison dans le point précédent, nous sommes en mesure, en
fonction de nos critères, de faire un choix parmi toutes ces solutions pour notre Cloud. La
mise en place d’un environnement Cloud privé à travers l’une de ces solutions pour une
entreprise doit être notamment motivée par plusieurs critères. Les critères de choix pour notre
cas sont les suivants :
Open source (sous licence libre)
Sécurisée
Extensible
Adaptable à toutes les tailles d’entreprise
Répondant aux besoins de l’entreprise
S’adaptant à tous types d’infrastructures existantes
Supportant plusieurs systèmes d’exploitation
Supportant plusieurs types d’hyperviseurs
Très bien documenté
Dans notre cas, nous désirons mettre en place une Infrastructure en tant que Service
(IaaS). Et la solution qui répond au mieux à nos critères est la solution openstack.
Plus précisément, il s’agit d’une collection de logiciels Open Source qui nous permet
d’effectuer certaines fonctions sur le Cloud. Openstack était un projet pilote lancé par
Rackspace et la NASA, fondée en juillet 2010. L’objectif du projet était de fournir un logiciel
Open Source permettant à toute organisation de crée et d’offrir des services de Cloud
Computing fonctionnant sur du matériel standardisé.
Openstack est l'une des options d'exploitation Cloud les plus populaires aujourd'hui.
C’est un projet open source permettant de déployer une infrastructure IaaS (Infrastructure en
tant que service). Il est d’ailleurs considéré par certains, comme l'un des plus grands projets
open-source. De nombreuses entreprises (VMware, IBM, Amazon, OVH, …) ont rejoint la
fondation, pour faire évoluer davantage le projet et d'autres l'utilisent même pour la gestion de
leur Cloud, qu'il soit public ou privé. Etant un projet Open Source, des milliers de
développeurs contribuent du code, écrit principalement en Python et sont disponibles
gratuitement.
I.7.2 Versions d’OpenStack
Le cycle de développement d’OpenStack est de six (06) mois avec la parution d’une
nouvelle version qui peut être améliorée par des points de révision stables. Le nom de la
version correspond au nom de la ville qui accueille les rencontres officielles OpenStack.
Chaque nouvelle version d’OpenStack sort avec nouveaux composants [10].
Il fournit une interface utilisateur modulaire basée sur le Web pour tous les services
Openstack. Avec cette graphique Web, vous pouvez effectuer la plupart des opérations sur
votre Cloud, telles que le lancement d’une instance, l’attribution d’adresses IP et la définition
de contrôles d’accès [26].
C’est le service d’identification d’OpenStack, c’est lui qui gère toute l’authentification
au système, l’accès, les droits. Keystone gère l’accès aux différentes API du système.
Nova est une des briques principales d’OpenStack. Son but est de gérer les ressources
de Calcul des infrastructures. Pour cela, nova contrôle les hyperviseurs par l’intermédiaire de
la libvirt ou directement par les API de certaines hyperviseurs. Aujourd’hui l’hyperviseur le
mieux supporté reste KVM, mais nova fonctionne aussi avec Xen, ESXI, et Hyper-V voire
avec des gestionnaires de conteneur comme Docker
Le stockage en mode bloc est utilisé pour des scénarios performants comme celui du
stockage de base de données, mais aussi pour fournir au serveur un accès bas niveau au
périphérique de stockage. Cinder gère aussi la création d’instantanés (snapshot), très utile
pour sauvegarder des données contenues dans les périphériques de type bloc. Les instantanés
peuvent être restaurées ou utilisées pour créer de nouveaux volumes.
I.7.2.9- Heat
Tous ces composants présentés ci-dessus communiquent ensembles pour une bonne
gestion et fonctionnement de la plate-forme Cloud OpenStack.
Nous avons présenté dans ce chapitre les solutions propriétaire et open source
permettant de créer un Cloud Computing privé. Pour notre déploiement, notre choix s’est
arrêté sur Openstack, pour tous ses avantages et surtout, car il correspond au modèle de Cloud
que nous voulons déployer.
INTRODUCTION
Openstack est un logiciel offrant plusieurs architectures d’installation. Dans ce chapitre, nous
étudierons les différentes architectures d’installation possible, et les cas d’utilisations à l’aide
des diagrammes.
Architecture à nœud unique : Un seul serveur exécute tous les services nova et
également conduit toutes les instances virtuelles.
Architecture à deux nœuds : un nœud de contrôleur nuage exécute les services Nova
à l’exception de Nova-compute, et un nœud de calcul fonctionne avec nova-compute.
Architecture à plusieurs nœuds : chaque service est localisé sur un nœud ou machine
à part entière qui le gère. Cette architecture est destinée à la production.
Pour notre solution openstack, nous avons deux types d’utilisateurs : l’administrateur
du système et les utilisateurs.
Pour l’illustration des fonctionnalités et utilisations possibles du système par nos deux
types d’utilisateurs notamment l’administrateur et les utilisateurs simples, nous utiliserons des
diagrammes des cas d’utilisations et des diagrammes de séquence.
L’administrateur
L’administrateur est toute personne physique ayant reçu les droits d’administration d’un
système. Lors de l’installation du système, on configure les droits du premier administrateur.
L’utilisateur
A ce titre, il peut :
Diagramme de séquence
Conclusion
INTRODUCTION
Après avoir étudié le fonctionnement de notre solution cloud, nous allons maintenant passer a
la mise en place de cette solution qui est Openstack. Afin de réussir notre mise en place,
plusieurs étapes et installations sont nécessaires. Dans ce chapitre, nous expliquerons les
différents étapes et installations de la mise en place de notre projet.
Notre machine virtuelle CentOS 8 Stream sera paramétré dans l’hyperviseur comme suit :
Après avoir effectué le paramétrage de notre machine virtuelle, nous allons lui attribuer une
adresse IP fixe.
DEVSTAK déploiement ;
Dans notre projet, nous utiliserons la méthode de déploiement Packstack – RDO Project, car
elle est la méthode la plus complète et utiliser dans le domaine professionnel.
L’installation de openstack avec la méthode packstack nécessite plusieurs étapes qui sont les
suivantes :
Avant de lancer toute autre installation, il est nécessaire de faire la mise a jour de notre
serveur CentOs 8 Stream avec la commande suivante :
Le résultat suivant est obtenu lorsque nous lançons la mise a jour du système.
Figure : Illustration du téléchargement des mises à jour du système.
Nous allons lancer les commandes suivantes pour activer le powertools repository et lancer
l’installation du package de la version de openstack que voulons installer. Dans notre cas,
nous installerons Openstack yoga qui est la dernière version.
Pour terminer, nous lancerons la commande suivante pour le déploiement de notre solution
sur une architecture a Nœud Unique (Allinone). Dans cette architecture, un seul serveur
exécute tous les services Nova et conduit les instances virtuelles.
Apres avoir mise en place notre solution openstack, l’étape suivante est la création d’instance de
machine virtuelle en créant un projet et un utilisateur afin d’effectuer un test.
Création de projet
Pour créer un projet, nous connectons avec le compte administrateur créé par défaut lors de
l’installation de openstack. Ensuite, nous sélectionnons la partie Identifiant ; dans ce champ on
sélectionne la partie Projet et créer un nouveau projet.
Création d’utilisateur
Apres avoir créer notre projet telia-info, nous allons créer un utilisateur du projet.
Pour la création d’utilisateur, on accède au champ identifiant, puis utilisateur puis nouveau utilisateur.
L’utilisateur que nous allons créer pour notre projet sera nommé : << telia >>, et son mot de passe est :
<< temo>>.
Apres la création du projet et de son utilisateur, nous allons nous connecter à la plateforme openstack
avec le compte utilisateur du projet et ensuite faire les configurations suivantes :
Création de réseau
La création d’infrastructure de réseaux virtuelle est nécessaire pour prendre en charge le lancement des
instances. Ce réseau inclut un serveur DHCP qui fournit les adresse IP aux instances. Nous allons
créer un réseau fournisseur << Telia-réseau-interne>>qui devra nous permettre de se connecter à
l’infrastructure réseau physique et un réseau externe <<Telia-réseau-externe>>qui permettra a notre
instance de se connecter à internet et d’être également accessible depuis internet a partir d’une adresse
IP.
Les deux réseaux sont interconnectés par routeur. Et ce routeur a une au moins une passerelle sur le
réseau fournisseur << Telia-réseau-interne>> et une interface sur le réseau externe <<Telia-réseau-
externe>> qui nous permettra de d’accéder à l’internet.
Lancement de l’instance de la machine virtuelle
Nous avons créé notre projet et un utilisateur du projet. Nous allons maintenant crée
notre machine virtuelle qui sera basée sur le projet précédemment crée. Notre machine
virtuelle fonctionnera avec « cirros » une image de machine virtuelle gérer par le composant
Glance de Openstack.
Pour ce faire nous allons nous rendre dans le sous-menu Instances du menu Compute
pour la création de la machine virtuelle « telia-test » en remplissant le formulaire qui nous
sera soumis. « telia-test » sera géré par le composant Nova. Les images, ci-dessous illustrent
les étapes de la création de la machine virtuelle.
La source de l’instance est le modèle qui a servi à créer l’instance. Elle peut une image
ou instantanée d’image.
Etape3 : choix du gabarit
Notre machine virtuelle « telia-test » créer avec l’image Cirros est lance avec succes.
Nous pouvons alors nous connecter avec les parametre d’authentifications suivant :
Login : cirros
Password : gocubsgo.
Une connexion a distance est egalement possible a partir d’une paire de cle ssh avec la
commade suivante :
Conclusion