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A. OBJECTIF
Paramètres significatifs
Jcc : Le courant de court-circuit exprimé en mA/cm 2 c’est le courant qui circule dans la cellule
sous éclairement et en court-circuitant les bornes de la cellule. C’est à dire que : Jsc= J(V = 0).
Vco : La tension de circuit ouvert exprimée en, est la tension mesurée lorsqu’aucun courantne
circule dans la cellule. C’est à dire : Vco= V(I = 0).
FF: Facteur de forme. C’est le rapport entre la puissance maximale fournie par la cellule sur
le produit JscVco.
Les cellules de première génération sont basées sur une seule jonction p-n et
utilisentgénéralement le silicium sous forme cristalline comme matériau semi-conducteur.
Une jonction PN est la juxtaposition de deux régions de types différents d’un même
monocristal de semi-conducteur.
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B. STRUCTURE N-P (émetteurs de type N)
Paramètres de la Cellule :
1. Cliquer sur le bouton Set problem dans le panneau d’action puis cliquer sur load.
2. Sélectionner « simple pn ».
3. Cliquer sur le bouton p-layer puis load material et sélectionner « Si.material » (modifier les
paramètres suivants comme indiquer sur la figure.
a. Modifier le nom de la couche
b. Modifier l’épaisseur.
c. Modifier le dopage.
d. Cliquer sur Accept.
2
4. Cliquer sur le bouton n-layer puis load material et sélectionner « Si.material » (modifier les
paramètres de la même manière que 3).
- Interpréter.
Influence de l’épaisseur de la région n (la région P)
3
- Interpréter.
Influence du dopage de l'émetteur
2
Dopage (m-3) Jcc(mA/cm ) Voc (V) FF % η%
- Interpréter.
Influence du dopage de la base
2
Dopage (m-3) Jcc(mA/cm ) Voc (V) FF % η%
- Interpréter.
- Tracer la variation du champ électrique E(x) pour trois valeurs différentes du dopage.
Qu’est-ce que vous remarquez.
Conclusion
Epaisseurs
Concentrations de dopage
Eclairement
Température
4
- Optimiser les paramètres de la cellule (épaisseurs, dopages) pour avoir le meilleur
rendement
Emetteurs de type N
Emetteurs de type P
- Comparer les deux structures (structure n-p et structure p-n).
D. STRUCTURE N-P-P
Couche N (l’émetteur):
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Couche P (la base):
Couche P (substrat) :
6
- Optimiser les paramètresde la cellule (épaisseurs, dopages) pour avoir le meilleur
rendement.
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TP 2 : LAME QUART D'ONDE ET DEMI-ONDE.
A. Objets de l'expérience
Mesure de l'intensité lumineuse en fonction de la position de l'analyseur.
Utilisation de la lame quart d'onde pour produire une lumière polarisée circulairement
Principes
Une lame d'onde ou un retardateur est un dispositif optique qui modifie l'état de
polarisation d'un faisceau lumineux qui le traverse. Une lame d'onde typique est simplement
un cristal biréfringent ou une feuille de plastique à double réfraction avec une épaisseur
soigneusement choisie.
Dans cette expérience, la lumière monochromatique tombe sur une lame quart d'onde et
demi-onde. La polarisation de la lumière émergente est étudiée à différents angles entre l'axe
optique des lames d'onde et la direction de la lumière incidente.
Appareillage
Remarque : Pour la configuration optique, il est également possible d'utiliser le petit banc
optique (460 43) ou le profil du banc optique S1 (460 310).
Ajustement optique :
Remarque : L'écran translucide représenté sur la figure 2 est utilisé pour effectuer l'expérience
qualitativement.
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Consignes de sécurité
Il faut veiller à ce que les différents filtres ne soient pas endommagés par une surchauffe.
Ne placez pas le filtre polarisant directement devant la source lumineuse. Utilisez un filtre
de protection contre la chaleur pour éviter d'endommager le film plastique diachronique en
cas de surchauffe.
Ne placez pas de plaque quart d'onde ou de plaque demi-onde directement devant une
source de lumière chaude pour éviter que la feuille à double réfraction ne surchauffe.
Pour mesurer le photo courant, connectez la cellule Si-photo via la paire de câbles rouge/bleu
au multimètre.
Réalisation de l'expérience
Remarque : La plaque demi-onde peut également être remplacée par deux plaques quart
d'onde avec la même orientation.
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TP 2 : PHOTOCONDUCTIVITE
1. Objectifs de l'expérience
Mesure du courant photoélectrique IPh en fonction de la tension U pour une intensité
de rayonnement constante.
Mesure du courant photoélectrique IPh en fonction de l’intensité de rayonnement pour
une tension U constante.
2. La théorie :
∆ σ=∆ p ∙ e ∙ μ p +∆ n∙ e ∙ μn (1)
e : charge élémentaire.
A
I Ph= ∙ ∆ σ ∙ U (2)
d
Dans l’expérience, une photorésistance au CdS est éclairée avec une ampoule
incandescente, l’intensité de rayonnement étant modifiée à l’endroit de la photorésistance à
l’aide de deux filtres polarisants situés l’un derrière l’autre. Si les deux filtres polarisants sont
tournés l’un par rapport à l’autre de l’angle α, on a
2
Φ=Φ 0 ∙ D∙ cos α (3)
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D : perméabilité pour un positionnement en parallèle.
3. Montage
a Lampe
b fente réglable
c, d filtres polarisants
e lentille, f = + 150 mm
f support avec photorésistance STE
N.B.:
La photorésistance est aussi influencée par la faible luminosité résiduelle qui règne
dans la salle d’expérimentation: assombrir la salle d’expérimentation de telle sorte qu’il soit
juste possible de lire les instruments de mesure et veiller à ce que la luminosité soit constante .
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4. Procédure :
a) Mesure du courant photoélectrique IPh en fonction de la tension U pour une intensité
de rayonnement constante :
Interrompre la marche des rayons entre la lampe et la photorésistance et déterminer le
courant photoélectrique I0 suscité par la luminosité résiduelle.
Pour α = 0°, Réduire la tension U de 20 V à 0 V par pas de 2 V, mesurer à chaque fois
le courant photoélectrique IPh.
Recommencer les séries de mesures avec α = 30°, 45°, 60° et90°.
Tracer les courbes IPh = f(U). discuter ces courbes.
Pour α = 90° entre les plans de polarisation des filtres, un photocourant circule.
Pourquoi ?.
Les caractéristiques courant-tension de la photorésistance CdS coïncident ils avec
l’équation (2).
IPh (mA) IPh (mA) IPh (mA) IPh (mA) IPh (mA)
U (V)
α = 0° α = 30° α = 45° α = 60° α = 90°
20
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…
90°
5. Conclusion :
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La photorésistance se comporte-t-elle comme une résistance ohmique ?
ATTENTION : Pour les expériences suivantes, nous allons utiliser un faisceau laser. La
puissance de ce faisceau est faible mais le faisceau est très fin, ce qui le rend
dangereux en particulier pour les yeux.
Ce sont deux miroirs plans M et M formant un dièdre d’arête O et d’angle π-α proche de
π. Tout plan normal à l’arête est un plan de symétrie, il est possible d’utiliser une fente-source
parallèle à cette arête. Les sources S1 et S2 sont les images de la source S par M 1 et M2
respectivement. Le champ d’interférence est la région commune aux deux faisceaux réfléchis.
La frange centrale est une frange brillante. Les données expérimentales sont : l’angle α, la
distance source arête R = SO et la distance écran- arête l = OH.
On appelle interfrange la distance qui sépare les milieux de deux franges brillantes
consécutives ou de deux franges sombres consécutives. L’interfrange est noté «i». Il est
simple de monter que l’interfrange observé s’écrit : i = λD/d, avec λ la longueur d’onde de la
source S, D la distance entre l’écran et les sources virtuelles, d la distance entre S 1 et S2.
Pour voir les franges clairement on utilise une lentille divergente entre la source et les
deux miroirs (il faut prendre en considération le changement de la position de S 1 et S2
lorsqu’on introduit la lentille divergente).
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Figure : Dispositif expérimental.
Figure :
Travail à effectuer :
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Réaliser le montage de la figure. Ajuster convenablement les réglages optiques de
manière à obtenir une figure d’interférences sur l’écran.
Mesurer l’interfrange i et son incertitude Δi. Mesurer la distance l.
Déterminer la position de S1 et S2.
Calculer la distance entre S1 et S2 en utilisant une lentille convergente.
Déduire alors l’angle α entre les deux miroirs. Que vaut Δα?
Déterminer la longueur d’onde du laser.
Soit une source ponctuelle S éclairant deux fentes S 1 et S2 séparées d’une distance « d »,
la source S étant équidistante de S1 et S2. Celles-ci reçoivent deux ondes lumineuses en phase,
et se comportent comme deux sources fictives réémettant de la lumière dans toutes les
directions. On peut donc considérer les deux sources S 1 et S2 comme étant cohérentes, donc
susceptibles de produire des interférences sur un écran E d’observation placé à une distance d
de S1 et S2. Soient D1 et D2 respectivement, les distances de S1 et S2 à un point P de l’écran.
On veut étudier l’état de l’onde résultante en P en se plaçant dans le cas où la distance S 1S2 =
d est très petite devant D1 et D2
D1
D2
d
Travail à effectuer :
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Spectroscope à réseau
Un réseau est constitué de N traits semblables et parallèles, distants de L, le pas du réseau. Il
existe deux types de réseaux :
- Les réseaux par transmission : la lumière incidente traverse le réseau. C’est ce type de
réseau que nous allons utiliser au cours de la séance de T.P.
Elle montre que le faisceau incident est dévié sous un angle qui dépend de :
— de l’ordre d’observation n
— de la longueur d’onde λ
A l’ordre 0 il n’y a pas de déviation et la longueur d’onde n’intervient pas. Pour n différent de
zéro, la déviation augmente avec l’ordre d’observation et avec la longueur d’onde. Lorsque le
faisceau incident est monochromatique seule l’influence de l’ordre peut être observée.
Lorsque la lumière est polychromatique, toutes les longueurs d’onde sont regroupées à l’ordre
zéro. Aux ordres supérieurs, les différentes longueurs d’ondes qui composent la lumière sont
d’autant plus déviées qu’elles sont élevées, le phénomène observé est appelé phénomène de
dispersion de la lumière polychromatique.
Manipulations
Repérer l’angle θ0, qui correspond à l’ordre 0 (raie non dispersée), la lunette est ainsi
alignée avec le collimateur.
Placer le réseau perpendiculairement au faisceau lumineux
Pour chaque raie λ et les ordres de n -2,-1,1 et 2, relever sur le goniomètre les angles θ
correspondants.
Calculer la longueur d’onde de chaque raie.
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Trouver dθ/dλ le pouvoir de dispersion du réseau.
Si on éclaire une fente fine, de largeur a, avec une onde plane monochromatique de longueur
d’onde λ, les lois de l’optique géométrique sont mises en défaut. On observe un éclairement
non nul dans une direction θ différente de la direction de propagation rectiligne de la lumière
(θ = 0).
Les minimums nuls vérifient la relation : sinϴ ≈ ϴrad = nλ/a, avec : n = ±1 ; ±2, ±3,…
2 ϴ2
1 ϴ1
-1 ϴ-1
-2 ϴ-2
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