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EXEMPLE 6.5
Supposons que dans une certaine base, un opérateur A ait la représentation matricielle suivante :
je 0 −2i
Un = 14 6
0 8 −1
Retrouver la trace d' A.
SOLUTION
La trace peut être calculée à partir de la représentation matricielle d'un opérateur en
sommant ses éléments diagonaux, donc :
T r(A) = je + 4 − 1 = 3 + je
EXEMPLE 6.6
Un opérateur
T = − |1 1| + |2 2| + 2 |3 3| − je |1 2| + |2 1|
dans certaines bases |1, |2, |3. Calculer T r(T ). La base est orthonormée.
SOLUTION
T r(T ) = je|T |i=1|T |1+2|T |2+3|T |3
Commencez par trouver l'action de T sur chacun des vecteurs de base |1, |2, |3
T |1 = (− |1 1| + |2 2| + 2 |3 3| − je |1 2| + |2 1|)|1
= − |1 1| x1 + |2 2| 1 + 2 |3 3| 1
− je |1 2| |1 + |2 1| |1
= − |1 + |2
1| T |1 = 1|(− |1 + |2) = − 1| 1 + 1| 2
= − 1| 1 = −1
T |2 = (− |1 1| + |2 2| + 2 |3 3| − je |1 2| + |2 1|)|2
= − |1 1 |2 + |2 2 |2 + 2 |3 3 |2
− je |1 2 |2 + |2 1 |2
= −i |1 + |2
T |2 = 2|(−i |1 + |2) = −i 2| 2 1 + 2 |2 = +1
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T |3 = (− |1 1| + |2 2| + 2 |3 3| − je |1 2| + |2 1|)|3
= − |1 1 |3 + |2 2| 3 + 2 |3 3 |3
− je |1 2| |3 + |2 1 |3
= 2 |3
3| T |3 = 2
EXEMPLE 6.7
Nous avons vu précédemment un opérateur A et une base uj pour lesquels :
A |u1 = 2 |u1
A |u3 = − |u2
Nous avons trouvé que la matrice représentant A dans cette base était donnée par :
230 0 0
(Aij ) = −1 0 −i 0
n
Trouver T r(A) à i=1ui|A|ui et montrer que cela est égal à la somme des
partir des éléments diagonaux
de la
De (Aij ) = matrice. 23 on voit que T r(A) = 2 + 0 + 0 = 2
0 0 0 −1 0 −i 0
n
= ui| A |ui = u1| A |u1 + u2| A |u2 + u3| Un |u3
j=1
=2
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EXEMPLE 6.8
1 1 −3 320
Soit A = −3 0 −2
, |ψ =
2 3 −1
Trouvez A |.
SOLUTION
1 1 −3 320
1(2) + 1(3) − 3(−1)
−3 0 −2 = = 8
Un | = 3(2) + 2(3) + 0(−1)
2 3 −1 12 −4
−3(2) + 0(3) − 2(−1)
Aˆ = | Aˆ |
EXEMPLE 6.9
et un opérateur
SOLUTION
On considère l'action de A sur les seuls états de base. Pour le premier état on trouve
u1 |u1 = 1
u2 |u1 = 0
u3 |u1 = 0
On trouve donc
A |u1 = |u1
T |u = λ |u
Le déterminant d'une matrice est un nombre (qui peut être complexe) associé à cette
matrice. Elle ne peut être calculée que pour les matrices carrées et a été découverte à
l'origine dans l'étude des systèmes d'équations linéaires. Le déterminant d'une matrice A
peut être représenté par |A|. Parfois on écrira det(A).
Le déterminant d'un scalaire n'est que le scalaire luimême. Pour le cas 2 × 2, qui apparaît
fréquemment en mécanique quantique, le déterminant est donné par :
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un B
Un = |A| = ad − bc
CD
EXEMPLE 6.10
Trouvez les déterminants de :
Un = 28 B= dix
16, je 2i
SOLUTION
En appliquant la formule décrite cidessus, on trouve :
28
det |A| = det | | = 2(6) − 1(8) = 12 − 8 = 4
16
dix
det |B| = det | je 2i
| = 1(2i) − je(0) = 2i
EXEMPLE 6.11
Laisser
31 1 10 4
Un = 0 4 −1 et B = je 7i 0
2 −5 0 2 8 −1
Trouver det(A) et det(B).
SOLUTION
311
det(A) = det 0 4 −1
2 −5 0
= 3 det 4 −1 − det 0 −1 04
+ dét
−5 0 20 2 −5
= 3[4(0) − (5)(−1)] − [0(0) − 2(−1)] + [0(−5) − 2(4)]
10 4 je 7i 0
det(B) = det 2 8 −1
7i 0 je 7i 2
= det + 4 det
8 −1 8
= −31i
Maintenant que nous avons examiné comment calculer certains déterminants de base, nous trouvons
les valeurs propres de certaines matrices.
EXEMPLE 6.12
Trouver le polynôme caractéristique et les valeurs propres pour chacune des matrices suivantes
ces :
2 0 −1 03 1
53 7i −1
Un = B= C= 10 4
2 10 , 2 −6i ,
SOLUTION
A partir de la matrice A, on a :
5−λ
= det = (5 λ)(10 λ) 6 = λ2 15λ + 44
2 3 10 − λ
= (7i − λ)(6i − λ) + 2
le polynôme caractéristique est λ2 − 13iλ − 40. Maintenant on le fixe égal à zéro pour
obtenir les valeurs propres :
λ2 − 13iλ − 40 = 0
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λ1 = 8i, λ2 = 5i
2 0 −1 100 2 − λ 0 −1
det(C − λI ) = det 03 1 −λ 010 = det 03−λ1
10 4 001 1 04 − λ
3−λ1 03−λ
= (2 − λ) det − det
04−λ dix
= (3 λ)[(2 λ)(4 λ) + 1]
= (3 − λ)[λ2 − 6λ + 9]
(3 − λ)[λ2 − 6λ + 9] = 0
On voit immédiatement que la première valeur propre est λ1 = 3. On trouve les deux autres
valeurs propres en résolvant :
λ2 − 6λ + 9 = 0
2 (λ − 3) = 0
EXEMPLE 6.13
Dans certaines bases orthonormées, un opérateur T = |11| + 2|12|+|21|.
Trouvez la matrice, représentant T et trouvez ses vecteurs propres (normalisés) et ses
valeurs propres. Cet espace vectoriel est bidimensionnel.
SOLUTION
La matrice représentant T peut être trouvée en calculant
T= 1| T |1 1| T |2
2| T |1 2| T |2
Pour effectuer les calculs, le fait que la base soit orthonormée nous dit que
2 |1 = 1 |2 = 0
1 |1 = 2 |2 = 1
1| T |1 = 1|(|1 1| + 2 |1 2| + |2 1|)|1
= 1 |1 1| 1 + 2 1 |1 2| 1 + 1 |2 1| 1
=1
1| T |2 = 1|(|1 1| + 2 |1 2| + |2 1|)|2
= 1 |1 1| 2 + 2 1 |1 2| 2 + 1 |2 1| 2
=2
2| T |1 = 2|(|1 1| + 2 |1 2| + |2 1|)|1
= 2 |1 1| 1 + 2 2 |1 2| 1 + 2 |2 1| 1
=1
2| T |2 = 2|(|1 1| + 2 |1 2 | + |2 1|)|2
= 2 |1 1| 2 + 2 2 |1 2| 2 + 2 |2 1| 2
=0
12
T= dans la base {|1, |2}.
dix
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λ2 − λ − 2 = 0
Cela mène à
λ1 = 2 et λ2 = −1.
|a2} ; A partir de nous trouvons les vecteurs propres, que nous étiquetons {|a1,
un
λ1 , Soit |a1 = oùb a, b sont des constantes indéterminées qui peuvent être complexes.
T |a1 = λ1|a1
12 un un
=2
10 b b
a + 2b = 2a, ou a = 2b. On peut alors écrire :
2b
|a1 = b
2b 2 2 2
1
1 = a1|a1 = ( 2b b ) b = 4|b| + |b| = 5|b| , b = √5
T |a2 = λ2|a2
12 un
=
un
10 b b
a + 2b = −a, ou b = −a.
En écrivant
|a2 = ( une une )
et normalisant :
un 1 1
1 = a2|a2 = (a − a ) = 2a2 , a = √2 , b = −a = − √2
−a
1 et donc |a2 =
√2 1 −1
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(notez que T n'est pas hermitien; voir cidessous). Les vecteurs propres normalisés de T sont :
1 2
|a1 = avec valeur propre λ1 = 2
1
√5
1
|a2 =
√2 1 −1 avec valeur propre λ1 = −1
EXEMPLE 6.14
L'hamiltonien d'un système à deux états est donné par :
H= ω1 ω2
ω2 ω1
Une base pour ce système est:
0
|0 = |1 = 1
dix
( a ) Trouver les valeurs propres et les vecteurs propres , et exprimer les vecteurs propres dans
des H termes de {|0, |1}
( b ) Trouver l'évolution temporelle du système décrit par l'équation de Schrödinger :
∂|
H | = ih¯ ∂t , |(0) = |0
SOLUTION
(un)
ω1 − λ ω2 ω2
det(H − λ1) = det =0
ω1 − λ
ω1 ω2 un un
b = (ω1 + ω2) b
ω2 ω1
ω1a + ω2b = (ω1 + ω2)a b = une
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En normalisant on obtient :
1
un
1 = UNE |A = a a 2 = 2 |a| , a = √2
un
Donc
1
|A = √2 11
1 0
|0 = 0 , |1 = 1
1 1 0 |0 + |1 √2
|A = √2 = + =
11 dix 1
√2
1
Soit maintenant |B Ensuite nous avons
= √ 2 soit le vecteur propre pour λ2 = ω1 + ω2 .
ω1 ω2 ω2 un un
ω1 b = (ω1 − ω2) b
1
un
1=B|B=
a −a −a = 2 |a| 2 , a = √2
Et donc le deuxième vecteur propre, à nouveau écrit en termes d'états de base, est
1 1 0 |0 − |1 √2
|B = √2 = − =
1 −1 dix 1
√2
∂|
H | = ih¯
∂t
|(0) = |0
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α(t)
|(t) =
β(t)
∂| α˙
ih¯ = ih¯
∂t β˙
où le point indique une dérivée temporelle. Mettre les deux côtés égaux l'un à l'autre
conduit au système suivant
ω1α(t) + ω2β(t) α˙
= ih¯
ω2α(t) + ω1β(t) β˙
Il semblerait que nous ayons un gâchis compliqué. Mais on peut tout à fait simplifier les choses
un peu en définissant une nouvelle fonction que nous appelons γ = a + β. Alors c'est un simple
équation différentielle:
dγ
(ω1 + ω2)γ = ih¯
dt
avec solution
+ ω2
γ = C expω1 t
ih¯
δ = D expω1 − ω2 t
ih¯
γ+δ 1 + ω2
Maintenant, α α=
2[C exp (ω1 ih¯ t) + D exp (ω1 − ω2 t)]
=2 ih¯
Rappelant que la condition initiale est
1
|(0) = |0 = 0
α(t)
avec |(t) = ceci implique que α(0) = 1. Donc :
β(t) ,
C+D
α(0) = 1 =
2
γ−δ
La condition initiale nous dit aussi que β(0) = 0. En utilisant β = cela conduit
2,à
l'équation
CD
0= , C=D
2
C+D
En combinant cela avec la condition 1 = nous obtenons
2, C = D = 1.
La substitution de C, D dans l'équation pour α donne
1 + ω2
α(t) = 2 C expω1 t + D expω1 − ω2 t
ih¯ ih¯
1 + ω2
= expω1 t + expω1 − ω2 t
2 ih¯ ih¯
ω1 t
Extraire le multiplicateur commun exp ih¯
, nous écrivons ceci comme:
1 + ω2
a= expω1 t + expω1 − ω2 t
2 ih¯ ih¯
1
−ω2 t
= expω1t expω2 t + exp
ih¯ 2 ih¯ ih¯
ω1t 1 ω2 ω2
= exp −i exp je t + exp −i t
h¯ 2 h¯ h¯
ω1t
= exp −i cosω2t
h¯ h¯
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ω1t ω2t
β = ie−i h¯ péché
,
h¯
parce que
ω2 t
α ω1
t h¯
| (t) = = e−i h¯
β −i sin ω2 t
h¯
† w| T |v = v| T |w
†
(UN B) = B†A†,(ABC) † = C†B†A†etc.
On peut former l'adjoint de n'importe quelle expression en appliquant les règles suivantes.
(Aˆ + B)ˆ = Aˆ † + Bˆ †
(aA)ˆ † = a Aˆ †
†
(Aˆ Bˆ | u) = u |Bˆ †Aˆ †
Si un opérateur est présenté à l'intérieur d'une expression de soutiengorge, lorsque vous le retirez, prenez le
Conjugué hermitien de l'opérateur. Pour les scalaires, prenez le conjugué complexe :
aAuˆ | = a u |Aˆ †
1 63
Un = 2 87
−192i
Nous commençons par la rangée du haut, en prenant ses composants et en les utilisant comme première colonne
d'une nouvelle matrice :
" '
1
'
6"
'
3"
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Nous répétons la procédure pour la ligne suivante, en utilisant les composants de la deuxième ligne
pour construire la deuxième colonne :
12'
68'
'
37
Maintenant, nous faisons de même pour la dernière ligne, en utilisant ses éléments pour former la dernière
colonne de la nouvelle matrice, que nous notons AT .
1 2 −1
À= 68 9
3 7 2i
T 1. (A + B) = AT + BT
J
2. À =A
J
3. (aA) = aAT
4. (AB)T = BT AT
EXEMPLE 6.15
J
Pour les matrices A et B données, trouver (A + B) et vérifier qu'il est égal à
AT + BT
6 −1 72
Un = 3 4i B= 81
5 −2 03
SOLUTION
Nous formons d'abord A + B, ce que nous faisons en ajoutant les éléments individuels des deux
matrices :
6 + 7 −1 + 2 3 13 1 11
A+B= + 8 4i + 1 5 + 0 1 + 4i 5 1
−2 + 3
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13 11 5
(A + B)T = 1 1 + 4i 1
6 −1
6 3 −1 5
À= 3 4i =
4i −2
5 −2
J
72
780
BT = 81 =
213
03
6+73+85+0 13 11 5 J
AT + BT = = = (A + B)
−1 + 2 4i + 1 −2 + 3 1 1 + 4i 1
Maintenant, nous pouvons appliquer ces deux opérations pour former le conjugué hermitien d'un
matrice.
EXEMPLE 6.16
0 je 2i
Un = −i 0 2i
2i 7i 0
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SOLUTION
Nous appliquons d'abord l'étape 1 et écrivons la transposition en échangeant des lignes et des
colonnes :
J
0 je 2i − je 0
À= 2i
2i 7i 0
0 −i 2i 0 je −2i
A† = je 0 7i = −i 0 −7i
2i 2i 0 −2i −2i 0
Le conjugué hermitien d'un vecteur colonne est une rangée de vecteurs avec chaque composant
remplacé par son conjugué complexe, comme le montre cet exemple suivant.
EXEMPLE 6.17
Trouver le conjugué hermitien de :
= 2
−3i 6
SOLUTION
Prendre la transposition donne un vecteur ligne :
J
J
= 2 = (2 − 3i 6)
−3i 6
† = (2 − 3i 6) = (2 3i 6)
EXEMPLE 6.18
Laisser
1 0 −3i 35 0
Un = 3i 0 −2 ,|= 2 ,|= 0
3i −1 −1 1
( a ) Trouver A |, A |
††(b)
Rechercher | , | et utilisezles pour calculer | et |
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SOLUTION
(un)
J
| = ( 2 3i −1 )
| † = (2 3i − 1) = (2 3i 1) = |
|
Nous procédons maintenant au calcul. Puisque les composantes de sont des nombres réels, | = |
J
= (0 1 1). Donc on obtient
1. (A + B) † = A† + B†
2. (AB) † = B†A†
3. (aA) †=a A†
EXEMPLE 6.19
SOLUTION
Considérer
|Aˆ Bˆ
Nous savons que | |Aˆ Bˆ | = ψ|(Aˆ B)ˆ †|. Définissez maintenant un nouveau ket :
|χ=|Bˆ ,
χ|=Bˆ †|
Cela nous permet d'écrire
|Aˆ Bˆ | = |Aˆ | χ
Donc nous avons
w |Tˆ | u = u |Tˆ | w
Il est souvent nécessaire de travailler avec la représentation matricielle d'un opérateur. Nous allons
besoin de savoir comment déterminer si une matrice est hermitienne.
A = A†
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EXEMPLE 6.20
Montrer que la matrice suivante est hermitienne et trouver T r(A).
200 0 −3 je
Un = 0 −je 1
SOLUTION
On calcule d'abord la transposée de la matrice :
200 0 −3 je J 20 0 0 3 je 0
À= 0 −je 1 = je 1
20 0 0 3 je 0 200 0 −3 je
A† = AT = je 1 = 0 −je 1
En examinant la matrice originale A, nous voyons que A = A†. La matrice est donc
Hermitien. La trace n'est que la somme des éléments diagonaux :
T r (A) = 2 − 3 + 1 = 0
Remarque : Les éléments diagonaux et les valeurs propres des matrices hermitiennes sont des
nombres réels.
EXEMPLE 6.21
Montrer que les opérateurs hermitiens ont des valeurs propres réelles.
SOLUTION
Soit A un opérateur hermitien, et supposons que |a est un vecteur propre de A de
valeur propre λ. Alors
Maintenant, nous soustrayons cette équation de la première. Le côté gauche est juste zéro :
λ a| a − λ a| a = λ − λ a| un
Depuis un| a n'est pas nul, on doit avoir :
λ−λ = 0, λ=λ
Par conséquent, les valeurs propres d'un opérateur hermitien sont réelles.
A† = −A
EXEMPLE 6.22
je 0 −2 0 3i 8 2
Montrer que B = −8 −7i est biaishermitien
SOLUTION
Écrivons d'abord −B :
−i 0 2 0 −3i −8
−B = −2 87i
je 0 2 0 3i −8
BT = −2 8 −7i
On voit donc que B† = −B, et B est antihermitienne. Considérons maintenant les opérateurs/
matrices unitaires.
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UU† = U†U = 1
−1
où 1 est la matrice identité. On peut aussi dire que U† = U Une autre .
caractéristique importante des matrices unitaires est que les lignes ou les colonnes
de la matrice forment un ensemble orthonormé. Nous le démontrons pour les lignes d'un
matrice à l'aide d'un exemple.
EXEMPLE 6.23
1 − 2 2
3i 3i
Montrer que U = est une matrice unitaire et vérifier que
3 −2 −1 − 2
3i 3 3i
les rangées de U forment un ensemble orthonormé.
SOLUTION
On calcule d'abord le conjugué hermitien de U :
1 − 2 je 2 je J 1 − 2 je 1 2
−2 je + je +2 je
U† = 3 3 3 = 3 3 3 = 3 3 3
−2 je −1 − 2 je 2 −1 − 2 je −2 je −1 2 je
+
3 3 3 je 3 3 3 3 3 3
UU† = je 3 3
3 −2 je −1 − 2 je 3 −2 je −1 2 je
3+
3 3 3 3 3 3
1 − 2 je 1 2 2 je −2 1 − 2 je 2 2 je −1 2 je
+ je + je je + +
= 3 3 3 3 3 3 3 3 3
−2 1 32 − 2 je −2 −2 2 − 32
je −1 32
3
je
3 + 3 je + −1 3 3 3
je
3
je
3
je + −1
3 3 3
+
3
je
5 4 2 4 − 2 je − 4
= 9 9+ 9 je + 9
4 2 je − 4 94 95
−2
9 je + 9 + 9 9 9
+
9
= dix
01 =1 U est unitaire
Vérifions maintenant que les lignes de U forment un ensemble orthonormé. On calcule d'abord le
produit scalaire de la première ligne avec luimême :
1 2 2 1 2 2 1 4 4
−
je, je
· −
je, je = + + =1
3 3 3 3 3 3 99 9
1 2 2 2 2 4 4
−
je, je
· −2 −1 − je = je + + −2 je − =0
3 3 3 moi, 3 3 3 9 9 9 9
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2 2 4 je = + 14+99
−2 −1 je, 3 − · −2 −1 39 =1
et −, −
3 3 3 3
EXEMPLE 6.24
Montre CA
1 1 je 0
√ 2 √ 1 1 ii 2
0√√22
U= − 0 0 je
est unitaire et que ses valeurs propres ont une grandeur unitaire.
SOLUTION
On calcule U† :
1 1 J 1 1 je 0
0 −
√ 2 √ 1 1 ii 0 2 √2 √2
√√220 1 1 je 0 √ 2
TU = − 0 je =
√200
je
Donc:
1 1 0 1 je
0
√ 2 √ 1 1 ii 0 2 √2√1 2
√√220
UU† = − 0 je
√ 2 √−i 2
0
0 0 −i
11√2√ 1 1 1 je √ 2 √ 2 √ 2 √ 2 1 0
2
+ + √−i 2 √ 2
= 1 1 1 1 0
+ +
je
1 1 1 − 1
22
+ 221
0
= je je
− 1
0
2 2+ 2 2 0 01
100
= 010 =1 U est unitaire
001
1 1
0 100
√2√ 2
U − λI = − 1 je 1
je 0 −λ 010
√2 √2
0 0 je
001
1 1
−λ 0
√2 √2
= − 1 1
−λ0
√2√
200 je − λ
1 1
−λ 0
√2 √
1 1
det[U − λI ] = det − 2−λ 0
√2√
0 20 je − λ
1 1
1 −λ 0 1 − 0
= − λ det √ 2 − √2
√2 0 je − λ det √2 0 je − λ
1 je 1 1
= −λ − λ (je − λ) − √2 −
(i − λ)
√2 √2 √2
√2 − √6 √2 + √6 √2 − √6 √2 + √6
= + je je
4 4 4 4
√2 − √6 √2 − √6 √2 + √6 √2 + √6
= +
4 4 4 4
2 − 2 √2 √6 + 6 2 + 2 √2 √6 + 6 4 + 12
= + = =1
16 16 16
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√2 + √6 √2 − √6
λ3 = + je
4 4
2
En suivant une procédure similaire à celle utilisée pour λ2 , on trouve que |λ3| = 1 également. Maintenant
EXEMPLE 6.25
un B
Pour une matrice unitaire générale 2 × 2 U = cd = avec det (U) = 1, montrer que
2 2
a = db, = −c et que |a| + |b| 1. Montrer qu'une telle matrice n'a que deux
composants indépendants.
SOLUTION
Puisque det(U ) = 1, on doit avoir :
ad − bc = 1 bc = ad − 1
2 2 dix
un B a c
= |a| + |b| ac + bd =
UU† = 01
CD b d ca + db |c|
22
+ |d|
et ainsi:
2 |a| 2 + |b| = 1
ac + bd =0
ca + db =0
2 2 =1
|c| + |d|
2 2 2 2
c ac + bd = a |c| + (bc) d = a |c| + (ad − 1) d = a |c| + un |d| − d
2 2
= un |c| + |d| −d
=a−d
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2 2 2 2 2
bc = ad − 1 = d ré − 1 = |d| − 1 = |d| − |c| + |d| = − |c| = −cc
La division des deux côtés par c donne b = −c . En utilisant les deux conditions que nous venons de
dérivée, on peut écrire la forme générale d'une matrice unitaire 2×2 de déterminant unitaire
comme:
un B
U=
−b a
Souvent, l'action d'un opérateur multiplie simplement un vecteur donné par un nombre.
Ce nombre est appelé une valeur propre et pour un opérateur représentant une physique
observable, il représente un résultat de mesure possible.
EXEMPLE 6.26
Un opérateur important utilisé dans le calcul quantique est la "porte d'Hadamard", qui
est représenté par la matrice :
1 11
H=
1 −1
√2
SOLUTION
(un)
1 11
H† = , H est hermitien
1 −1
√2
1 11 1 11
H H† =
1 −1 1 −1
√2 √2
1 11 11
=
2 1 −1 1 −1
1 1 (1) + 1 (1) 1 (1) + 1 (−1)
=
2 1 (1) + (−1) (1) 1 (1) + (−1) (−1)
1 20 dix
= = = I, H est unitaire
2 02 01
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(b)
1 111 10
0 = det(H − λI ) = det( √2 −λ )
−1 01
1 1 λ 1 1 1 λ
= )
det( √2
1
= (1 − λ)(−1 − λ) − 1 √2
1
√2 λ2−2 = 0, et les valeurs propres sont λ1,2 = ±1
un
Soit |1 = b avec valeur propre + 1. Alors :
1 111 un un
=
√2 −1 b b
Cela mène à:
1
(une + b) = une, b = √ 2 − 1 une
√2
Normaliser pour trouver un :
un
un
|1 = b 2 − 1 un , 1| = a √2−1a
=√
un 2
1= 1 |1 = a √2−1a = a2 + √ 2 − 1 a2 = a2 4 − 2 √ 2
√ 2 − 1 une
Cela mène à:
1 √2 − 1 1
un = , b= =
4 − 2 √2 √4 − 2 √2 2 √2
1
√ 4−2 √2
|1 = 1
√ 2 √2
1 111 c c
=
√2 −1 c d
1
(c + ré) − −c, ré = − 1 + √ 2 c √2
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En normalisant, on trouve :
2
1= 2 |2 = c −1+√2c
c c2
= c2 + 1 + √ 2
− 1 + √2c _
= c2 4 + 2 √ 2
1 −1 1 + √2 −1
c= b= =
4 + 2 √2 , 4 + 2 √2 2 √2
1
√ 4+2 √2
|2 =
√−1 2 √2
Le commutateur
. La quantité
Soient Aˆ et Bˆ deux opérateurs. En général, Aˆ Bˆ = Bˆ
AˆAˆ[A,
ˆ Bˆ ] = Aˆ Bˆ − Bˆ
est appelé le commutateur de Aˆ et Bˆ ˆ Bˆ. ] = 0, on dit que les opérateurs Si [A, Aˆ et Bˆ
commutent. Deux opérateurs commutent si et seulement s'ils partagent une base de
vecteurs propres communs.
opérateurs
[B, commutent
ˆ Cˆ ] =·· ·= 0 [A, ˆBˆ ] = [A, ˆ Cˆ ] =
et il existe une base de vecteurs propres communs qui est unique à un facteur
multiplicatif près.
PROPRIÉTÉS DU COLLECTEUR
Soient A, B et C des opérateurs. Alors:
1. [A, B] = −[B,A]
2. [A + B, C] = [A, C] + [B, C]
3. [A, BC] = [A, B]C + B[A, C]
4. Si Xˆ est l'opérateur de position et Pˆ l'opérateur de quantité de mouvement, alors [X,
= 0 ih¯ˆ Pˆ
, [X,
] = ˆ Xˆ ]= [P , ˆ Pˆ ]
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EXEMPLE 6.27
SOLUTION
Nous appliquons le commutateur à une fonction d'onde de test, (x) et rappelons que Xψˆ (x) =
xψ (x) et Pˆ = −ih¯ ∂ ∂x
X,
ˆ Pˆ ψ (x) = Xˆ Pˆ − Pˆ Xˆ ψ (x) = Xˆ P ψˆ (x) − Pˆ Xψˆ (x)
∂ψ ∂
= Xˆ − ih¯ + ih¯ ∂x ∂x Xψˆ (x)
∂ψ ∂ψ = ih¯ ψ
(x) − ih¯ x + ih¯ x ∂x ∂x
= ih¯ψ (x)
EXEMPLE 6.28
SOLUTION
Nous avons:
EXEMPLE 6.29
Soient A et B deux opérateurs qui commutent. Si A a des valeurs propres non dégénérées,
montrer qu'un vecteur propre de A est aussi un vecteur propre de B.
SOLUTION
Puisque A et B commutent, [A, B] = AB − BA = 0 AB = BA. Soit |a un vecteur propre de
A tel que A |a = λ |a. Alors:
AB |a = BA |a = Bλ |a = λ (B |a)
Donc B |a est aussi un vecteur propre de A de valeur propre λ. Si A est non dégénéré, |a
est unique à un facteur de proportionnalité près. Ceci implique que:
B |a = ω |a
EXEMPLE 6.30 −1
2i 0 0 40 1 0 2 je je
Soit A = 01 ( a ) et B = 2i 0 0 14
Trouver
tr(A) et tr(B), ( b ) Trouver
det(A) et det(B). ( c ) Trouvez
l'inverse de A. ( d ) A et B
font ils la navette ?
SOLUTION
( a ) La trace est la somme des éléments diagonaux :
−1 2i 0 0 40
T r (A) = T r
1 01 = −1 + 4 + 1 = 4
0 2 je je
T r (B) = T r 2i 0 0 14 = 0 + 2i + 4
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−1 2i 0
40 00
det (A) = det 0 40 = − det − 2i det
01 11
1 01
= −1 (4) = −4
0 2 je
−je 0 −i 2i
det (B) = det −i 2i 0 = −2 det + je det
04 01
0 14
= −2 (−4i) + je (−i) = 8i + 1
TDM
( c ) Le det (A) = 0, A a bien une inverse. On rappelle que A−1 = (UN)
det où C est la matrice des cofacteurs. On calcule d'abord C, en se rappelant que cij =
(−1) i+j det(Mij ), où Mij est le mineur obtenu en barrant la ligne i et
colonne j :
40 1+1 24=4
M11 = 01
, det (M11) = 4, c11 = (−1) (4) = (−1)
00
M12 = 11
, det (M12) = 0, c12 = 0
04
M13 = 10,
1+3 det (M13) = −4, c13 = (−1) 4 (−4) = (−1) −4 = −4 _
2i 0
M21 = 01,
2+1 det (M21) = 2i, c21 = (−1) 3 2i = (−1) 2i = −2i
−1 0 2+2
M22 = 11,
det (M22) = −1, c22 = (−1) (−1) = −1
−1 2i 2+3 5
M23 = 10,
det (M23) = −2i, c23 = (−1) (−2i) = (−1) (−2i)
= (−1) (−2i) = 2i
2i 0
M31 = 40,
det (M31) = 0, c31 = 0
−1 0
M32 = 00,
det (M32) = 0, c32 = 0
−1 2i 3+3
M33 = 04,
det (M33) = −4, c33 = (−1) (−4)
6 = (−1) (−4) = −4
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4 0 −4 4 −2i 0
C= −2i −1 2i , CT = 0 −1 0
0 0 −4 −4 2i −4
−1 1 je 0
1 4 −2i 0 2
A−1 = CT = −1 0 −1 0 = 1
0
det (A) 4 −4 2i −4
4
0 1 −1 je 2
1
−1 1 je 0
−1 2i 0 2
AA−1 = 0 40 0 1
0
4
1 01 1 −1 je 1
2
−1 1
[−1 (−1)] 1
je + 2i
4
[0] 100
= 24 1
[0] = 010 =1
4
1 je + 1 −12 001
[0] [1 (−1) + 1 (1)] 1 2
je [1]
(d) [A, B] = AB − BA
−1 2i 0 0 2 je 0 2 je −1 2i 0
= 0 40 −i 2i 0 − −i 2i 0 0 40
1 01 0 14 0 14 1 01
DÉFINITION : L'Anticommutateur
{A, B} = AB + BA
EXEMPLE 6.31
Si Aˆ et Bˆ sont des opérateurs hermitiens, montrer que leur anticommutateur est hermitien.
SOLUTION
† †† †
ˆ Bˆ
UN, = Aˆ Bˆ + Bˆ Aˆ = Aˆ Bˆ + Bˆ Aˆ
= B†A† + A†B†
= Aˆ Bˆ + Bˆ Aˆ = A,ˆ Bˆ
,
ˆ Bˆ
UN, = A, ˆ Bˆ A, ˆ Bˆ est hermitien pour A,ˆ Bˆ hermitien.
Questionnaire
01 0 je 1 0 0 −1
σx = 1 0 , σy = −i 0 , σz =
( a ) Trouvez les valeurs propres et les vecteurs propres des matrices de Pauli.
(b) Sontils hermitiens ? Sontils unitaires ? ( c )
2. Démontrer que les valeurs propres d'un opérateur antihermitien sont de l'imaginaire pur.
3. Démontrer que les vecteurs propres d'un opérateur hermitien sont orthogonaux. (Astuce :
examinez la preuve que les valeurs propres d'un opérateur hermitien sont réelles, mais
cette fois, considérez différents vecteurs propres).
010
Un = −120 004
6. Démontrer que les opérateurs unitaires préservent les produits scalaires, c'estàdire U |Uψ =
|ψ .
1 je 0 je 2
8. Soit A = 0 0 04 .
( a ) Estce qu'un
Hermitien? (b) A est
il unitaire ? ( c ) Trouver T r(A).
7
CHAPITRE
Le Mathématique
Structure du quantique
Mécanique III
Dans ce chapitre, nous terminons notre discussion sur la théorie mathématique sousjacente à la
mécanique quantique. Nous considérons d'abord la formation d'une base à partir des vecteurs propres
d'une matrice hermitienne et des transformations unitaires, puis nous examinons une dérivation
mathématique de la fameuse relation d'incertitude. Nous terminons le chapitre avec un regard sur les
opérateurs de projection et les espaces de produits tensoriels.
Dans cette section, nous considérons d'abord la question de savoir si oui ou non les vecteurs propres
d'une matrice forment une base. Nous voyons ensuite comment construire une matrice de transformation
unitaire basée sur ces vecteurs propres. Pour savoir si un ensemble de vecteurs propres forme une base,
nous nous appuyons sur deux tests.
175
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Définition : test pour voir si les vecteurs propres forment une base
La relation de complétude nous dit que, étant donné une base |ui, ce qui suit est vrai :
|ui ui | = 1
Ce fait permet de vérifier que les vecteurs propres d'une matrice hermitienne forment une base. A
titre d'exemple, nous passons en revue la matrice de Pauli :
1 0 0 −1
σz =
1 λ 0 0 1 λ
= det
= (1 − λ) (−1 − λ) =
−1 + λ2
−b = b
La première équation ne donne aucune information alors que la seconde nous dit que b = 0.
On trouve a par normalisation
un 2
1=a 0 = |a| , a=1
0
Donc le premier vecteur de base est :
|u1 = dix
Pour λ2 = −1, on a :
1 0 0 −1 un un
=
b b
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−b = −b
En suivant la même logique que celle utilisée pour le vecteur propre précédent, on voit que a = 0 et
on écrit u2 comme :
0
|u2 = 1
u1| u1 = (1 0) dix
= 1(1) + 0(0) = 1
u2| u1 = (0 1) dix
= 0(1) + 1(0) = 0
0
u2| u2 = (0 1) 1
= 0(0) + 1(1) = 1
On voit que la relation de complétude est satisfaite, et que ces vecteurs propres sont orthonormés.
Par conséquent, nous concluons qu'ils forment une base. Il est, bien sûr, facile de voir que tout
vecteur à deux dimensions peut être écrit en termes de {|u1|u2}. Soit |ψ un tel ket arbitraire :
α = α 0
|ψ = + =α +β = α |u1 + β |u2
β 0 0β dix 1
TRANSFORMATIONS DE SIMILITUDE
Nous considérons maintenant l'utilisation des vecteurs propres d'une matrice hermitienne pour ce qu'on
appelle une transformation de similarité . Cela nous permettra de mettre une matrice sous une forme diagonale.
Cela signifie que toutes les entrées de la matrice seront nulles, sauf celles qui se trouvent sur la
diagonale. Par exemple, voici les formes générales des matrices diagonales 2 × 2 et 3 × 3 :
a11 0 b11 0 0 0
Un = ,B= b22 0 0 0
0 a22 b33
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Les éléments le long de la diagonale sont les valeurs propres de la matrice. Afin de diagonaliser
la matrice, nous appliquons une transformation de similarité . Si D est la forme diagonale d'une
matrice C, alors :
D = S−1 CS
où S est une matrice inversible composée des vecteurs propres de C. Les matrices C et D sont
dites « semblables » et ces deux matrices représentent en fait le même opérateur par rapport à
deux bases différentes. Si la première base est orthonormée, alors la seconde le sera aussi si la
matrice S est unitaire. Si la matrice C est hermitienne, alors on a automatiquement une base en
trouvant ses vecteurs propres.
D = U†H U
Ceci est vrai car U† = U −1
pour une matrice unitaire. Une telle transformation est
appelée transformation unitaire. Nous le démontrons avec un exemple.
EXEMPLE 7.1
cos θ sin θ la
Considérons la matrice R = matrice de rotation 2 × 2 . Trouver une − sin θ
cos θ , transformation
unitaire qui diagonalise R.
SOLUTION On
trouve d'abord les valeurs propres de R. En résolvant det(R − λI ) = 0, on obtient :
Nous utilisons maintenant la formule quadratique pour obtenir les racines de cette équation, que nous
appelons λ1,2 :
λ1 = cos θ + i sin θ
eiθ + e−iθ eiθ − e−iθ
= + = eiθ
2 2
eiθ + e−iθ eiθ − eiθ
− = e−iθ
λ2 = cos θ − je sin θ =
2 2
Trouvons maintenant les vecteurs propres qui correspondent à chaque valeur propre. nous allons étiqueter
= un
= c
chaque vecteur propre par 1,2 et soit b,2 d . A partir de λ1 = eiθ
1 on a :
cos θ sin θ un un
R1 = λ11 = eiθ
− sin θ cos θ b b
Cette relation matricielle nous donne deux équations à résoudre, ainsi que les deux
inconnues a et b :
qui d'aprèsunnotre résultat précédent est égal à −a sin θ . Donc en termes de a, b est donné
par b = = ia.
je Cela nous permet d'écrire le vecteur propre entièrement en fonction de a :
un un
= =
1 b entre autres
†
Pour trouver la constante a, on la normalise. Notant 1 = (a (ia) ), on obtient :
un
† · =a − ia 2 2 2
1= 1 1 entre autres
=a (a) + (−ia )(ia) = |a| + |a| = 2 |a|
1 1 1
|a| 2 = , ou un = . Donc b = ia = i
2 √2 √2
1
un
et on obtient 1
= = √2 .
b je
√2
= c
Nous suivons la même procédure pour trouver 2 d pour λ2 = e−iθ :
cos θ sin θ c c
R2 = λ22 = e−iθ
− sin θ cos θ d d
d = ic
= c = c
Insérer ceci dans 2 d −ic et normalisation en utilisant le même processus
dur comme nous l'avons fait avant
1
= √2
2
√−i 2
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On forme la matrice U à partir de ces deux vecteurs propres. La première colonne de U est
le premier vecteur propre, et la deuxième colonne de U est le deuxième vecteur propre :
1 1
2 1
U = (12) =
√2√ = 11
je
je je
√2 √−i 2
√2
1 1 je
U† = √2
1 je
√2
1 20 dix
= = = je
2 02 01
on voit que la forme diagonale de la matrice. Les éléments sur la diagonale sont
les valeurs propres de R.
EXEMPLE 7.2
où
|1 et |2
forment une base orthonormée et complète.
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( a ) Aˆ est il hermitien ?
( b ) Trouver les valeurs propres et les vecteurs propres de Aˆ et montrer qu'ils satisfont la com
relation de plénitude.
SOLUTION
λ u| Aˆ Bˆ |v → λ v|Bˆ †Aˆ † |u
L'opération de conjugaison hermitienne est linéaire, nous examinons donc chaque morceau de
Aˆ , remplaçant tous les scalaires par leurs conjugués complexes, transformant les kets en soutiensgorge,
soutiensgorge en kets, puis en inversant l'ordre des facteurs. Donc:
† (2 |1 1|) = 2 |1 1|
† (−i |1 2|) = je |2 1|
† (i |2 1|) = −i |1 2|
† (2 |2 2|) = 2 |2 2|
Aˆ † † = (2 |1 1| − je |1 2| + je |2 1| + 2 |2 2|)
††††
= (2 |1 1|) + (−i |1 2|) + (i |2 1|) + (2 |2 2|)
= 2 |1 1| − je |1 2| + je |2 1| + 2 |2 2|
ˆ
= A, l'opérateur est hermitien.
( b ) Pour trouver les valeurs propres et les vecteurs propres de Aˆ , on trouve d'abord la représentation
de l'opérateur à partir de la base orthonormée donnée :
1|Aˆ |1 = 1| 2 |1 1| − je |1 2| + je |2 1| + 2 |2 2| |1
=2 1| 1 1 |1 − je 1 |1 2 |1
+ je 1 |2 1 |1 + 2 1 |2 2 |1
=2
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1|Aˆ |2 = 1| 2 |1 1| − je |1 2| + je |2 1| + 2 |2 2| |2
= 2 1 |1 1 |2 − je 1 |1 2 |2
+ je 1 |2 1 |2 + 2 1 |2 2 |2
= je
2|Aˆ |1 = 2| 2 |1 1| − je |1 2| + je |2 1| + 2 |2 2| |1
= 2 2 |1 1 |1 je 2 |1 2 |1 + je 2 |2 1 |1
+2 2 |2 2 |1
= +je
2|Aˆ |2 = 2| 2 |1 1| − je |1 2| + je |2 1| + 2 |2 2| |2
= 2 2 |1 1 |2 − je 2 |1 2 |2 + je 2 |2 1 |2
+2 2 |2 2 |2
=2
λ2 − 4λ + 3 = 0
λ1,2 = {3, 1}
On trouve les vecteurs propres respectifs :
2 −ii 2
=3
un B un B
Cela mène à:
2a − ib = 3a
ia + 2b = 3b
b = ia
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un 1
1=a − ia 2 = |a| 2 + |a| 2 = 2 |a| , a=
entre autres
√2
1 1
|u1 = √2
je
2 je un un
=
je 2 b b
2a − ib = a ou b = −ia.
1 1
|u2 = √2
je
1 † 1
1 1
u1 |u2 =
je
√2 je
√2
1 1
= ( 1 je ) 2 =0
je
1 1 1 1 1 1
|u1u1|+|u2u2| = (1 je) + je
je )
√2 je
√2 √2 ( 1 √2
1 1 1 1
= ( 1 je ) + ( 1 je )
2 je
2 je
1 20 dix
= = = je
2 02 01
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( c ) La transformation unitaire qui diagnolise Aˆ peut être trouvée à partir de ses vecteurs propres.
Nous construisons maintenant une matrice unitaire à partir des vecteurs de base, avec chacun
première colonne des vecteurs de base, c'estàdire U = (|u1 |u2) :
1 11
U=
√2 je je
1 1 je
U† =
1 je
√2
1 1 je 1
11 1 (1) + (−i)(i) 1(1) + (−i)(−i)
U†U = =
2 1 je
je je 2 1(1) + je(je) 1(1) + je(−je)
1 20 dix
= = =1
2 02 01
1 1 je 2 je 1 11
U†AU = √2
1 je je 2 je je
√2
1 1 je 2 je 11
=
2 1 je je 2 je je
1 1 je 1 1 je 31
2(1) − je(je) 2(1) − je(−je)
= =
2 1 je
je(1) + 2(je) je(1) + 2(−je) 2 1 je
3i −i
1 1 60 30 λ1 0
1(3) − je(3i) 1(1) − je(−je)
= = = =
2 1(3) + je(3i) 1(1) + je(−je) 2 02 01 0 λ2
h¯
xp ≥ 2
Nous généralisons maintenant cette relation à deux opérateurs arbitraires quelconques A et B. Premièrement,
on rappelle que dans un état donné |ψ, la valeur moyenne ou moyenne d'un opérateur O
se trouve être :
O=ψ|O|ψ
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2 2
(UN) = (A A)
2 2
(B) = (B B)
2 2
(UN) = (A A) = ψ UNE − A2 ψ
2 2
(B) = (B B) = ψ B − B2 ψ
|X = (A − A)|ψ
| = (B − B)|ψ
Cela nous permet d'écrire :
2 2
(UN) = (A A) = ψ (UNE UNE) 2 ψ = X |X
2 2 2
(B) = (B B) = ψ|(B − B) |ψ = |
2 2
(UN) (B) =X |X |
X|X | ≥ |X ||2 = X | |X
Rappelezvous que le produit scalaire formé par un ket et un soutiengorge est juste un complexe
nombre, donc |X||2 = |z| 2 = zz . Pour tout nombre complexe z, on a :
2
z + ¯z
zz 2
= Re (z) + Je (z) 2
≥ Im (z) 2 =
2i
= ψ|AB|ψ−ψ|AB|ψ−ψ|AB|ψ+ψ|AB|ψ
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Or A, la valeur d'attente d'un opérateur, n'est qu'un nombre. Nous pouvons donc le retirer de chaque terme
en donnant :
= ψ |AB| ψ − AB − AB + ψ |AB| ψ
= AB − 2 AB + ψ |AB| ψ
Maintenant, la valeur attendue de la moyenne, qui n'est encore qu'un nombre, est simplement
la moyenne de retour, c'estàdire
ψ |AB| ψ = AB = AB
Donc, finalement, nous avons:
|X = ψ |(B − B) (A − A)| ψ = BA − AB
Mettre tout ensemble nous permet de trouver une relation d'incertitude pour A et B. Nous avons
d'abord :
2 2
(UN) (B) =X |X | ≥ |X ||2 = X | |X
z−z 2
En rappelant que zz = Re(z)2 + Im(z)2 ≥ Im(z)2 2i
, on pose z =
= |X. Alors
2 2 X | − |X
(UN) (B) ≥ |X ||2 =
2i
2
= (AB AB) (BA AB)
2i
2
AB − AB − BA + AB
=
2i
AB − BA 2
=
2i
AB − BA 2
=
2i
2
[A, B]
=
2i