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Pré-orientation 2IMACS
Pour toute question ou problème relatifs aux travaux
pratiques ou pour envoyer vos justificatifs d’absence
vous pouvez contacter :
Pier Francesco FAZZINI
(fazzini@insa-toulouse.fr)
Table des matières
1 Fonctionnement général 5
1.1 Organisation des Séances . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.2 Compte rendu et évaluation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.3 Absences . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.4 Consignes de sécurité pour les manipulations d’optique . . . . . . . . . . 6
2 Interférences 7
2.1 Cohérence de la source . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2.2 Observation de la figure finale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
2.3 Bifente de Young . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
2.3.1 Réalisation de l’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.3.2 Interprétation des résultats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.4 Biprisme de Fresnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.4.1 Réalisation de l’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.4.2 Interprétation des résultats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.5 Anneaux de Newton . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.5.1 Réalisation de l’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
2.5.2 Interprétation des résultats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
3 Diffraction 16
3.1 Figure de diffraction d’une fente . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
3.2 Figure de diffraction d’un réseau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
3.2.1 Réalisation des expériences . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
3.2.2 Activités pendant la séance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
4
4 Spectroscopie 22
4.1 Rappels Théoriques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
4.1.1 Effet photoélectrique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
4.1.2 Le puits de potentiel quantique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
4.1.3 Réseaux optiques et spectroscopie de longueur d’onde . . . . . . 23
4.1.4 Effet Franck/Hertz . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24
4.2 Manipulations et expériences . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
4.2.1 Activité principale : Absorption de lumière par des nanoparticules 27
4.2.2 Activité secondaire I : comprendre l’effet Franck/Hertz . . . . . . 29
4.2.3 Activité secondaire II : comprendre le fonctionnement d’un spec-
tromètre commercial . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29
4.2.4 Activité secondaire III : « construire » un spectromètre . . . . . . 30
4.2.5 Activité secondaire IV : mesure de la constante de Planck par effet
photoélectrique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30
1. Fonctionnement général
1.3 Absences
Vous devez être présents à TOUTES LES SÉANCES. Toute absence non justifiée
entraînera une note finale de TP de zéro. Si votre absence est justifiée merci d’envoyer
un justificatif au responsable des TP (fazzini@insa-toulouse.fr) DANS LES JOURS QUI
SUIVENT le jour de votre absence.
Dans cette séance on s’intéressera aux interférences optiques, c’ est à dire aux phéno-
mènes qui se produisent quand deux ondes lumineuses se superposent dans l’espace. Pour
que le phénomène d’interférences soit visible les ondes doivent idéalement avoir la même
phase et la même longueur d’onde. Cela n’est pas une condition facile à obtenir dans la
pratique.
Le problème de la longueur d’onde peut être résolu en se servant de filtres monochro-
matiques ou d’une source monochromatique. C’est pour cela que pour les différentes
expériences on se servira de filtres colorées si l’éclairage est réalisé en lumière polychro-
matique ou d’un faisceau laser.
Le problème du déphasage entre les ondes pour les sources de lumière non cohérentes
peut être résolu en séparant une onde initiale sinusoïdale en deux parties qui sont par la
suite amenées à interférer. Plus en particulier :
• dans le montage de type bifente le faisceau sera séparé en deux parties grâce à deux
ouvertures.
• dans le montage de type biprisme le faisceau sera séparé en deux parties grâce à un
prisme.
• dans le montage de type anneaux de Newton le faisceau sera séparé en deux parties
grâce à la réflexion partielle de l’onde sur la surface d’une lentille et d’une lame de
verre.
2.1 Cohérence de la source 8
F IGURE 2.1 – Ondes sinusoïdales (a) et superposition d’ondes sinusoïdales déphasées (b)
F IGURE 2.2 – Projection directe et utilisation d’une lentille pour visualiser une image très
éloigné
Plus en particulier si on fait l’approximation que la distance a entre les deux fentes est
beaucoup plus petite que la distance bifente-écran (D) on peut supposer que les rayons qui
se rejoignent en x1 sont parallèles et on peut calculer la différence de chemin optique de la
manière suivante :
a
∆l = x1 (2.1)
D
Si on suppose que les ondes ont un vecteur d’onde k = 2π λ on aura des interfé-
rences constructives quand k∆l = 0, 2π, 4π, ..., 2nπ avec n ∈ N et destructives quand
k∆l = π, 3π, ..., (2n + 1)π. Comme ∆l dépend de la position x1 du point que l’on observe
sur l’écran ceci veut dire que l’on aura un maximum chaque fois que k∆l = 2π a M
λ D x = 2nπ
et donc quand xnM = n λaD . De manière analogue on peut montrer que la position des minima
est donnée par xnm = 2n+1
2
λD
a . La distance inter-frange est donc donnée par :
λD
∆i = (2.2)
a
2.3 Bifente de Young 11
oculaire
bifente
lentille
lentille
source
fente
source
virtuelle
biprisme
onde primaire zone
a
source d'intérference
source
s
virtuelle
Dans cette expérience on va se servir d’un type particulier de prisme (le biprisme
de Fresnel) pour obtenir une figure d’interférences. Il y a beaucoup d’analogies entre
cette expérience et les interférences obtenues avec la bifente. Dans les deux cas on a des
interférences entre deux ondes qui proviennent de deux sources séparées d’une distance a.
Comme dans le cas précédent, la distance entre les franges d’interférences est donc donnée
par l’équation 2.2. A différence du cas précédent les deux sources sont ici virtuelles, et
leur distance dépend de l’angle α du biprisme, de l’indice de réfraction n du matériau
dont il est composé et de la distance source/biprisme s. Pour obtenir l’expression de s il
faut suivre la déviation d’un rayon axial à travers le biprisme, et se servir de la relation de
Snell-Descartes.
source
virtuelle
source
On peut donc obtenir la distance entre les sources virtuelles de la manière suivante
a = 2sθ = 2s(α 0 − α) = 2(n − 1)sα.
2.5 Anneaux de Newton 13
écran ou oculaire
biprisme
biprisme
laser
lentille
source
fente
F IGURE 2.8 – Schémas du montage pour le biprisme
b
a+b
a
F IGURE 2.9 – Interférences entre rayons réfléchis et calculs géométriques pour les anneaux
de Newton
Le rayon (a) subit une réflexion dans l’aire à l’interface air/verre (avec nair < nverre ).
Les lois de la réflexion (exprimées par les coefficients de Fresnel), prévoient que dans
ce cas, l’onde réfléchie est déphasée d’un facteur π (réflexion vitreuse). L’onde (b), au
contraire, ne subit pas ce déphasage car la réflexion a lieu dans le verre à l’interface
verre/air et la loi de la réflexion ne prévoient aucun déphasage dans ce cas (réflexion non
vitreuse). Il y a, en plus de la différence de déphasage liée à la réflexion, une différence de
chemin optique d entre les deux ondes. Le déphasage final entre deux rayons verticaux (a)
et (b) qui subissent une réflexion à deux interfaces différentes est donc ∆ϕ = 2π λ 2d + π.
Dans le cas où l’espace entre les deux verres n’est pas homogène (d = d(x)) le
déphasage dépend de la position ∆ϕ = ∆ϕ(x).
En TP on se servira d’une lentille (ou d’un verre déformé) posé sur une lame plate pour
obtenir des anneaux de Newton. On va donc étudier le cas particulier d’un objet sphérique
posé sur un objet plat . Dans ce cas on obtient la relation suivante entre d et x (voir fig 2.9
) : x2 + (R − d)2 = R2 . Puisque d r on obtient au premier ordre en Rd :
x2
d(x) = (2.3)
2R
Les interférences constructives, qui donnent lieux aux franges claires sont donc obte-
nues quand ∆ϕ = 2π λ d(x) + π = 2πn avec n ∈ N. Par conséquent la position des franges
claires est donnée par : s
M 1
xn = λ R n − (2.4)
2
De manière analogue on peut montrer que la position des franges sombres est donnée
par :
√
xnm = λ Rn (2.5)
On en déduit qu’en réflexion, le centre de l’image doit être sombre car la position x = 0
correspond a la position de la première frange sombre x0m .
2.5 Anneaux de Newton 15
La même expérience peut être effectuée en transmission. Dans ce cas l’image obtenue
est la complémentaire de l’image en réflexion (la lumière incidente est soit transmise, soit
réfléchie). Par conséquent les positions des maxima et des minima sont inversées.
lentille
nécessaire.
source
Pour le montage en transmission on se
servira d’un élément optique qui contient
à l’intérieur une lame plate, une lame lames écran
courbée et une réglette. Il faudra proje- de verrs
ter l’image d’interférences obtenue sur un
écran (le mur dans ce cas) pour pouvoir F IGURE 2.10 – Schéma du montage en trans-
agrandir l’image et effectuer la mesure. mission
On parle de phénomènes de diffraction quand une onde interagit avec un objet dont
les dimensions caractéristiques sont de l’ordre de sa longueur d’onde. Dans ce type de
situation l’onde est modifiée de manière complexe.
La diffraction est un phénomène purement ondulatoire qui ne peut pas être compris
juste en traçant les trajectoires des différents rayons.
Le principe d’Huygens-Fresnel permet d’établir un lien entre diffraction et inter-
férence. Ce principe affirme que les effets de diffraction peuvent être vu comme des
interférences entre des ondes sphériques qui sont émises à chaque point de l’objet. L’inter-
venant vous montrera une application simple de ce principe en utilisant une cuve à ondes
au début du TP.
Le traitement rigoureux des effets de diffraction demande le calcul, en général, d’in-
tégrales complexes. Mais il existent des conditions expérimentales qui permettent de
faciliter l’étude des phénomènes de diffraction. Dans les conditions dites de Fraunhofer,
par exemple, l’onde diffractée doit être une onde plane. En plus on observe la figure de
diffraction dans un plan très éloigné de l’objet diffractant. Dans ces conditions, l’intensité
de la figure de diffraction est liée à la transformée de Fourier de l’objet. L’image obtenue
sur l’écran ne change pas d’aspect si on modifie sa position (qui doit toujours être très
éloignée). Seule sa taille varie à cause d’un effet de projection (voir section 2.2 pour plus
de détails sur les méthodes de projection).
Pour étudier les effets de diffraction on a besoin d’une source de lumière non seulement
parallèle mais aussi cohérente (voir section 2.1). On se servira pour les manipulations de
diffraction d’un éclairage laser. Merci donc de vous assurer d’avoir lu toute les normes de
sécurité relatives à l’utilisation de ce type de source.
3.1 Figure de diffraction d’une fente 17
objet
laser laser
objet
lentille
lentille
F IGURE 3.1 – Techniques d’éclairage
L’éclairage de l’objet pourra être effectué de deux manières. Par faisceau direct ou
après élargissement de la source laser. L’élargissement de la source ne sera nécessaire que
dans le cas où la taille du faisceau laser est trop petite pour couvrir l’objet entier.
Pour la projection on utilisera une des techniques illustrées dans la section 2.2. La
relation qui lie l’angle α entre le faisceau de rayons parallèles qui sortent de l’objet
diffractant et la position de l’écran x où se rayons convergent est la suivante :
x = Dα (3.1)
sin2 ( πb
λ α)
I(α) = I(0) 2 (3.2)
πb
λ α
Dans cette expression λ est la longueur
d’onde du laser, b la largeur de la fente, et
α l’angle de sortie des rayons parallèles qui
ont une intensité I(α). L’équation 3.1 nous
permet de calculer l’intensité sur l’écran
Iecran (x) = I(x/D) et d’observer que I(0)
est l’intensité au centre de l’écran que l’on
utilisera comme intensité de référence dans
nos mesures.
F IGURE 3.2 – Intensité de la figure de diffrac- La forme de la figure de diffraction
tion d’une fente illustrée en figure 3.2 nous permet d’iden-
tifier la présence de plusieurs pics secon-
3λ 5λ
daires situés en ± 2a , ± 2a ... .
3.2 Figure de diffraction d’un réseau 18
N fentes
formule suivante :
a
C’est important donc dans des applications où l’on veut obtenir des pics bien séparés
(comme par exemple des applications spectrales) d’éclairer un large nombre de fentes du
réseau.
Une autre information intéressante peut être obtenue dans le cas où b n’est pas négli-
geable par rapport à a. Dans ce cas l’équation 3.3 représente un ensemble de pics décrits
3.2 Figure de diffraction d’un réseau 19
modulation
pics
forme générale
a
F IGURE 3.5 – Figure de diffraction d’un réseau avec b = 4 et N = 8
2. Obtenez la figure de diffraction d’un réseau avec une densité de 80 lignes/cm. Une
fois le montage réalisé poursuivez avec les activités suivantes :
(a) Observez la figure de diffraction. Quelle information géométrique (valeur de
a, b, N....) pouvez vous déduire rapidement de cette figure ? La variation de
l’intensité des pics est-elle visible ? Qu’est-ce que cela nous indique ?
(b) Vérifiez que la densité de ligne de votre réseau correspond à celle qui est
indiquée par le constructeur.
(c) Activité bonus : Chercher une méthode (de principe, n’effectuez pas de calculs
ni de mesures) pour estimer la largeur de fente du réseau de 80 lignes/cm.
(d) Activité bonus : Éclairer directement avec le faisceau laser une bifente de
type « A » (demandez aux intervenants) placée très proche du laser et observez
la figure obtenue par projection directe (sans lentille). Vous observerez une
série de pics qui contiennent des franges à leur intérieur. Savez vous expliquer
pourquoi on observe ce type d’image ?
(e) Demandez aux intervenants de vous montrer, sur le goniomètre dédié, l’allure
des spectres obtenus de la lampe à vapeur de mercure grâce à un réseau. Savez-
vous expliquer pourquoi les couleurs sont séparées par le réseau ?
(f) Activité bonus : En spectroscopie on appelle l’ordre le nombre d’apparitions
de chaque spectre par rapport à la figure centrale. Toujours grâce au goniomètre
identifiez différents ordres dans le spectre et vérifiez si la résolution du doublet
jaune change lorsque l’ordre augmente. Et en utilisant des réseaux de pas
différent ? La capacité des réseaux à séparer deux radiations de longueurs
d’onde proches s’appelle le pouvoir de résolution et on peut montrer qu’il ne
dépend que du nombre de traits éclairés et de l’ordre du spectre. Savez-vous
expliquer ce résultat grâce à ce que vous avez appris sur la diffraction d’un
réseau ?
4. Spectroscopie
n2 h̄2 π 2
En = (4.1)
2ma2
Plus la taille a du puits est faible, plus les niveaux d’énergie s’éloignent et l’énergie
du niveau fondamental (n = 1) augmente. Le passage d’un électron d’un état En2 a un état
En1 avec n2 > n1 s’accompagne avec l’émission d’un photon d’énergie Eγ = En2 − En1 et
1240
de longueur d’onde λ = hc E = E nm · eV . Le photon le moins énergétique qui peut être
émis est caractérisé par une énergie Eγmin = E2 − E1 et la longueur d’onde associée à cette
énergie représente la plus grande longueur d’onde λmax qui peut être émise par le système
quantique.
λ
D∆x = (4.3)
Na
Quand un réseau est éclaire par une onde polychromatique plane, chaque onde mono-
chromatique qui compose la lumière incidente forme des maximum situés à des positions
différentes.
intensité
position
R = nN (4.4)
Hertz. Les énergies mises en jeu dans l’expérience de Franck et Hertz sont assez faibles et
n’intéresseront que les électrons de valence, moins fortement liés au noyau.
Excitation de l’atome
On appelle excitation tout phénomène qui modifie l’état d’énergie fondamental de
l’atome. L’énergie nécessaire pour arracher un électron à l’atome est appelée énergie de
première ionisation. Si l’énergie communiquée à l’électron est supérieure à cette valeur,
celui-ci deviendra libre ; si elle est inférieure, l’atome et l’électron sont dits excités.
hν = E1 − E2
c) Énergie de résonance
On appelle niveaux de résonance les niveaux d’énergie Er pour lesquels l’électron
excité est susceptible de retourner directement à l’état fondamental sans passer par des
états d’excitation intermédiaires.
VG1 = Er − E0
Cuve
Fluorescence
re
iè te
m n
Lu ide
c
in
Absorbance
F IGURE 4.5 – Montage expérimental pour les mesures d’absorbance et luminescence
4.2 Manipulations et expériences 28
Pour effectuer une mesure lancer le logiciel OceanView . S’assurer que le spectro-
mètre soit connecté à l’ordinateur via le câble USB. En suite :
4. Placer une cuve remplie d’eau distillée dans le porte-cuve, cliquer sur . Ce spectre
contient la courbe d’émission de la source, la réponse du réseau, du photodétecteur,
l’absorption éventuelle de la cuve,...). Cliquer sur Next
5. Placer le parallélépipède noir dans le porte-cuve et cliquer sur pour faire l’acqui-
sition du signal de fond/bruit.
6. Le logiciel est prêt à réaliser une mesure en absorption. Placer votre cuvette d’intérêt
dans le porte-cuve.
7. Réaliser ces mesures sur toutes les solutions de nanoparticules dont vous disposez.
Pour analyser les résultats cliquer sur pour trouver les caractéristiques des pics d’ab-
sorption obtenus. Notamment vous devez estimer :
• La position du pic
• Son hauteur (notée absorbance en rouge sur les graphes)
• Sa largeur à mi-hauteur (FWHM)
Comparez les spectres d’absorption obtenus et établissez un lien entre les paramètres
physiques des solutions (taille des nanoparticules, concentration, dispersion) et les mesures
obtenues.