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République algérienne démocratique et populaire

Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique

Université 20 Août 1955-Skikda

Faculté des Sciences et Technologies

Département de Génie des procédés

Spécialité : Génie chimique


Module : intensification des procèdes

Exposé sur : L’Hydrogène vert

Réalisé par : Encadré par


Boulhout Sofiane Pr : M.Chiha
Hachicha Hassan

Année 2023-2024

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1. Introduction ;

2. Historique sur les énergies renouvelables ;

3. Généralités sur l’hydrogène ;

4. Couleurs de l’hydrogène : Bleu, vert, gris ;

5. Intensification de fabrication d’hydrogène vert ;

6. Procédures de fabrication de l'hydrogène vert ;

7. Avantages et rôles de l’hydrogène ;

8. Applications de l'hydrogène vert ;

9. Potentiel de production de l’hydrogène vert en Algérie ;

10. Conclusion ;

11. Références.

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1. Introduction :

Pour intensifier la fabrication d'hydrogène vert, il est crucial d'investir dans des technologies de
production d'énergie renouvelable, telles que l'énergie solaire et éolienne, pour alimenter les
électrolyseurs. De plus, des incitations financières et des politiques favorables peuvent stimuler le
développement de cette industrie clé pour une transition énergétique durable.

2. Historique sur les énergies renouvelables :

L'histoire des énergies renouvelables remonte à plusieurs siècles, mais leur importance a
considérablement augmenté au cours des dernières décennies. Voici un bref aperçu historique :

a. Moulins à vent et à eau (Antiquité à Moyen Âge) :

Les moulins à vent et à eau ont été parmi les premières utilisations d'énergies renouvelables pour
moudre le grain et pomper l'eau dans l'Antiquité et le Moyen Âge.

Figure .1: Moulins à vent et à eau traditionnels

b. Énergie solaire thermique (XVIIIe siècle) :

Les premières utilisations significatives de l'énergie solaire remontent au XVIIIe siècle avec le
développement des fours solaires pour la production de chaleur.

Figure .2: Schéma d’énergie solaire thermique.

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c. Premières éoliennes (fin XIXe siècle) :

Les premières éoliennes ont été développées à la fin du XIXe siècle pour produire de l'électricité.
Cependant, la généralisation de l'énergie éolienne a été lente.

Figure .3: Premières éoliennes.

d. Révolution de l'énergie hydraulique (XXe siècle) :

Au XXe siècle, l'exploitation de l'énergie hydraulique a connu une expansion significative avec la
construction de barrages hydroélectriques dans le monde entier.

Figure .4: Production de l'énergie hydraulique.

e. Choc pétrolier (années 1970) :

Les crises pétrolières des années 1970 ont stimulé l'intérêt pour les énergies renouvelables en raison des
préoccupations liées à la dépendance aux combustibles fossiles.

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f. Développement de l'énergie éolienne et solaire (fin XXe siècle) :

Les technologies éoliennes et solaires ont connu des avancées significatives dans les années 1980 et
1990, facilitant une adoption plus large.

Figure .5: Production de l'énergie éolienne et solaire.

a. Croissance rapide au XXIe siècle :

Les années 2000 ont été marquées par une croissance rapide des énergies renouvelables, stimulée par
des avancées technologiques, des politiques gouvernementales favorables et une prise de conscience
croissante des enjeux climatiques.

Aujourd'hui, les énergies renouvelables, telles que l'énergie solaire, éolienne, hydraulique, et la
biomasse, jouent un rôle crucial dans la transition vers des systèmes énergétiques durables et
respectueux de l'environnement.

Figure .6: Production de l’hydrogène à partir des énergies renouvelables.

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3. Généralités sur l’hydrogène :

Abondance de l‘hydrogène :
L'hydrogène est l'élément le plus abondant de l'Univers: 75 % en masse (observable) et 92,8 % en
nombre d'atomes. Sur Terre l’hydrogène représente 0,22 %, il est principalement combiné à l’oxygène ou
au carbone. Il se retrouve en grande majorité dans des molécules plus complexes, telles que l’eau ou les
hydrocarbures. Afin d’être utilisé sous sa forme pure, il doit être extrait.
C’est un gaz incolore, inodore, non métallique et insipide, dont la formule moléculaire est H 2

Figure .7: Abondance de l‘hydrogène.

L’hydrogène aujourd’hui : usage matière et fortes émissions de GES

La production actuelle d’hydrogène pour l’industrie française est d’environ 920 000 tonnes par an, uti-
lisées principalement pour le raffinage du pétrole (60 %), la production d’ammoniac (25 %) et d’engrais
chimique (10 %). Elle est assurée à 94 % par des techniques fortement émettrices de gaz à
effet de serre, et est responsable de 3 % des émissions françaises de CO2. En Europe, la production
s’élève à près de 10 millions de tonnes et représente 4 % des émissions de CO2.

L’hydrogène demain : quelle place dans le système énergétique ?

Aujourd’hui très marginaux, les usages énergétiques de l’hydrogène, par exemple pour la valorisation
des excédents d’électricité ou la mobilité, sont souvent présentés comme vertueux du fait de sa relative
bonne capacité à être stocké et de l’absence d’émissions de gaz à effet de serre lors de son utilisation.
Néanmoins, la réalité de son intérêt environnemental ne peut être appréciée qu’au regard :
 D’une part, des services qu’il peut rendre au système énergétique en prenant en compte l’ensemble
des impacts et contraintes qui en découlent,
 D’autre part, de la totalité de la chaîne production-transport-distribution-utilisation et des évolu-
tions prévisibles ou envisageables de cette dernière.

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Les principaux avantages et inconvénients de l’hydrogène par rapport aux autres produits :

4. Couleurs de l’hydrogène : Bleu, vert, gris

L’hydrogène est une molécule qui semble prometteuse. Néanmoins, dans les médias, sur les réseaux
sociaux, on note que l’hydrogène peut être « bleu », « vert », « gris », ou « jaune ».
Même pour un spécialiste du secteur, il n’est pas toujours évident de s’y retrouver dans ce déversement
de couleurs.
L’hydrogène n’est pas une énergie en soi. C’est plutôt un vecteur énergétique, au même titre que
l’électricité ou la chaleur. L’hydrogène (H2) n’existe pas abondamment à l’état naturel et il est nécessaire
de le synthétiser au départ d’une matière première.
La couleur associée à l’hydrogène dépend de sa méthode de production dans son ensemble.
A ce jour, plus de 95% de la production mondiale d’hydrogène repose sur des énergies fossiles, avec des
émissions de gaz à effet de serre. Cet hydrogène gris est le plus économique.
Le captage des gaz à effet de serre permet de produire un hydrogène bleu, plus cher.
Si la production est assurée à partir uniquement renouvelable, l’hydrogène devient vert. Il est encore
près de 5 fois plus cher que l’hydrogène gris. Si les électrolyseurs sont alimentés par contre en tout ou en
partie par de l’énergie nucléaire, on parlera alors d’hydrogène jaune.
Les couleurs associées à l’hydrogène sont celles utilisées par la presse, le monde socio-économique et
certaines industries. Le monde académique et scientifique ne fait nullement référence à ces notions de
couleur ; l’hydrogène, qu’il soit produit à partir de gaz naturel, de biomasse, d’eau et avec un apport en
énergies fossiles ou renouvelables, reste la seule et même molécule.

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Figure. 8: Visualisation des 3 voies de production d’hydrogène (H2) et de leur dénomination par une
couleur spécifique.

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5. Intensification de fabrication del’hydrogène vert :

L'hydrogène vert est produit par électrolyse de l'eau à l'aide d'électricité renouvelable, généralement
issue de sources solaires ou éoliennes. Ce processus divise l'eau (H2O) en hydrogène (H2) et en oxygène
(O2). Pour intensifier cette fabrication :

 Investir dans l'énergie renouvelable : Accroître la capacité des installations solaires et éoliennes pour
garantir un approvisionnement constant en électricité propre.
 Développer des électrolyseurs performants : Investir dans la recherche et le développement pour
améliorer l'efficacité des électrolyseurs, réduisant ainsi les coûts de production.
 Mettre en place des infrastructures adaptées : Déployer des infrastructures pour la production, le

stockage et la distribution efficace de l'hydrogène vert.


 Soutien gouvernemental : Élaborer des politiques et des incitations financières pour encourager les
entreprises à adopter des technologies d'hydrogène vert.
 Partenariats public-privé : Encourager les partenariats entre les gouvernements, les entreprises et les
institutions de recherche pour accélérer l'innovation et la mise en œuvre.

L'intégration de ces initiatives contribuera à intensifier la fabrication d'hydrogène vert, favorisant ainsi
une transition vers une économie plus durable.

6. Procédures de fabrication de l'hydrogène vert :

La fabrication de l'hydrogène vert implique l'utilisation d'électricité renouvelable, généralement à partir


de sources solaires ou éoliennes, pour effectuer l'électrolyse de l'eau. Voici les grandes étapes du
processus de fabrication de l'hydrogène vert :

Figure.9 : schéma fabrication de l’hydrogène


1) Production d'électricité renouvelable : Utilisation de panneaux solaires, éoliennes ou autres
sources d'énergie renouvelable pour générer de l'électricité propre.

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2) Électrolyse de l'eau : L'électricité produite est dirigée vers des électrolyseurs, des dispositifs qui
divisent l'eau (H2O) en hydrogène (H2) et en oxygène (O2) par un processus électrochimique.

Figure.10 : électrolyse de l’eau


3) Choix de l'électrolyse : Il existe trois principaux types d'électrolyse : l'électrolyse alcaline, l'élec-
trolyse à membrane échangeuse de protons (PEM) et l’électrolyse à Haute Température (SOEC)
(solid oxide electrolyzer cell).
Ces méthodes ont des avantages spécifiques, mais la PEM est souvent privilégiée pour sa flexibilité et
son efficacité.

Figure.11 : Les trois types principaux d’électrolyse.

Électrolyse Alcaline : procédé le plus mature car le plus employé dans l’industrie de production chi-
mique et de carburants pour véhicules. Le procédé d’électrolyse alcaline est une technologie qui di-
vise l’eau entre deux électrodes baignant dans un électrolyte basique (potasse). Cela permet de pro-
duire de l’oxygène à l’anode réductrice et dégage l’hydrogène à la cathode oxydante. Cependant, ce
processus d’électrolyse n’est pas très flexible pour une application aux énergies renouvelables inter-
mittentes qui exigent de répondre à des arrêts démarrages fréquents, d’avoir une charge partielle ef-
ficace et une dynamique d’opération.

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Figure.12 : Configuration typique d’un électrolyseur alcalin.
Électrolyse PEM (Proton Exchange Membrane) : les électrolyseurs PEM ont connu un développe-
ment plus récent, et sont actuellement en plein essor. Dans une cellule d’électrolyseur PEM, les deux
électrodes (anode et cathode) sont séparées par une membrane en polymère solide échangeuse de
protons. La technologie PEM peut fonctionner sur une large plage de puissance, répondre à des va-
riations rapides de charges, et son temps de démarrage à froid est plus court que celui de l’alcalin. Le
procédé reste cependant assez onéreux en raison de sa membrane en polymère et de catalyseurs à
base de métaux nobles (Pt, Ir).
Électrolyse à Haute Température (SOEC) : la technologie SOEC (solid oxide electrolyzer cell) en est
aujourd’hui à un stade moins avancé, et vise de hauts rendements de conversion d’électricité en
hydrogène. Elle ne sera commercialisée qu’en 2025, voire 2030. Son principe consiste à électrolyser de la
vapeur d’eau à la cathode à haute température (700 à 800°C), ce qui permet de réduire fortement la
consommation d’électricité. Cette chaleur peut être récupérée sur les gaz produits et nécessite
l’utilisation de matériaux spécifiques. Ainsi, l’électrolyte et les électrodes sont conçus à base de
céramiques conductrice d’ions O2-. La spécificité de cet électrolyseur réside dans son pouvoir de
réversibilité. Il fonctionne en mode pile à combustible et peut convertir de l’électricité en hydrogène
mais aussi produire de l’électricité à partir d’hydrogène. Son rendement est élevé. Cependant encore
cher, on est loin de la commercialisation. Il présente également une faible longévité en raison de la fragi-
lité des matériaux et de la durée de vie limitée des céramiques.
4) Captage et utilisation de l'oxygène (en option) : L'oxygène produit en tant que sous-produit peut
être capturé et utilisé dans d'autres processus industriels.
5) Compression ou liquéfaction (en option) : L'hydrogène peut être comprimé ou liquéfié pour
faciliter le stockage et le transport.

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Le stockage de l’hydrogène sous forme liquide (à environ -253 °C) permet de réduire son volume
approximativement d’un facteur 800 (par rapport de l’hydrogène gazeux à pression atmosphérique),
mais nécessite sa liquéfaction préalable.

Figure.13 : Exemple de procédé simplifiée de liquéfaction de l’hydrogène : cycle de Claude

6) Stockage et distribution : L'hydrogène vert peut être stocké sous forme gazeuse ou liquide, puis
distribué pour une utilisation dans divers secteurs, tels que l'industrie, les transports ou
l'alimentation en électricité.

Figure .14: Stockage basse pression en container. Figure .15: Stockage haute pression.

Figure .16: L’hydrogène liquide est stocké dans des réservoirs cryogéniques.

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Figure .17: Concept de navire transportant deH2 comprimé. Figure.18: Camion de transport de H2 liquide

7. Avantages de l’hydrogène :

L’hydrogène représente une opportunité majeure en matière d’innovation industrielle et d’atténuation


du changement climatique car il apporte une capacité de pilotage des énergies renouvelables intermit-
tentes, une capacité de stockage de l’électricité, un fort potentiel de réduction des émissions de gaz à
effet de serre et de nouveaux modèles économiques pour les procédés industriels, l’énergie et
la mobilité. Nous avons quelques recommandations à faire pour utiliser pleinement tous ses avantages :
Industrialiser sa production et sortir de l’objectif de projets pilotes ;
Exploiter toutes les ressources énergétiques bas carbone disponibles ;
Concevoir et mettre en œuvre des solutions d’électrification intégrées ;
Développer des stratégies de réduction des coûts basées sur la flexibilité, le digital et qui
Englobent ;
L’ensemble du cycle de vie de la chaîne de valeur de l’hydrogène ;
Maximiser l’efficacité des processus de conversion d’énergie et tenir compte des
interdépendances dans la production, la gestion et l’utilisation de l’hydrogène ;
Proposer des systèmes complets de sûreté et de sécurité ;
Atténuer les impacts liés à la production d’hydrogène sur les réseaux électriques.

8. Applications et rôles De l'hydrogène vert :

L'hydrogène vert se trouve dans des applications diverses dans différents secteurs, contribuant à la
transition vers une économie plus durable. Voici quelques-unes de ses applications :

Transport propre : Utilisation de l'hydrogène vert dans les véhicules à pile à combustible pour une
mobilité sans émissions. Cela inclut les voitures, les camions, les trains et même les drones.

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Stockage d'énergie : L'hydrogène peut être utilisé comme moyen de stockage d'énergie à grande
échelle, permettant de lisser les variations de la production d'électricité renouvelable et d'assurer
une alimentation constante.
Industrie : L'hydrogène vert est utilisé comme matière première dans divers processus industriels,
notamment la production d'ammoniac, la métallurgie et le raffinage pétrolier.
Production d'électricité : L'hydrogène peut être brûlé dans des turbines à gaz ou utilisé dans des
piles à combustible pour produire de l'électricité sans émissions de gaz à effet de serre.
Chaleur et chauffage : L'hydrogène peut être utilisé comme source de chaleur dans l'industrie et le
secteur résidentiel, remplaçant les combustibles fossiles.
Agriculture : L'hydrogène peut être utilisé pour produire de l'ammoniac, un composé essentiel dans
la fabrication d'engrais.
Espaces reculés : L'hydrogène peut être utilisé dans des applications hors réseau où l'électricité
renouvelable directe n'est pas toujours viable.
Aviation : Des projets de recherche explorent l'utilisation de l'hydrogène vert comme carburant
pour l'aviation, visant à réduire les émissions dans ce secteur.

Figure .19: Application de l’hydrogène d’électricité

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Figure .20: Les Sept rôles De L’hydrogène dans la transition énergétique

9. Potentiel de production de l’hydrogène vert en Algérie :

Sur la base du potentiel d'irradiation solaire en Algérie, qui augmente naturellement vers l'équateur, un
gradient nord-sud du potentiel de production d'hydrogène spécifique a été observé.

Figure.21 : Vue d'ensemble spatiale du rendement spécifique d'hydrogène vert à partir de l'énergie photovoltaïque

Sur la base du rendement d'hydrogène spécifique au site décrit ci-dessus, le potentiel technique global de
production d'hydrogène vert à partir de l'énergie photovoltaïque en Algérie est estimé à 6 650 Mio. t par an
en 2030. Les régions ayant le plus grand potentiel de production sont les provinces de Tamanrasset
(27%), Adrar (19%), Illizi (13%) et Tindouf, Béchar, Ouargla (7% chacune).

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Figure .22: Aperçu spatial du potentiel technique annuel de production d'hydrogène à partir de l'énergie
photovoltaïque par région.

Sur la base du rendement en hydrogène spécifique au site décrit ci-dessus, le potentiel technique global
de production d'hydrogène vert à partir de l'énergie éolienne terrestre en Algérie est estimé à 994 Mio. t
par an en 2030. Les régions ayant le plus grand potentiel de production sont les provinces de
Tamanrasset (26%), Adrar (22%), Illizi (13%), Tindouf (8%) et Béchar, Ouargla (7% chacune).

Figure .23: Aperçu spatial du potentiel technique de production d'hydrogène annuel à partir de l'éolien terrestre
par region

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10. Conclusion :

Le vecteur hydrogène présente le grand avantage de n’émettre aucun gaz à effet de serre lors de son
utilisation. Sa production est en revanche aujourd’hui fortement émettrice de gaz à effet de serre et le
restera encore de nombreuses années.
À court terme, la priorité doit être donnée à la décarbonation de l’hydrogène-matière dans l’industrie, le
cas échéant en ayant recours de manière transitoire et limitée à des filières bas-carbone tout en accélé-
rant le développement des filières renouvelables appelées à les remplacer à moyen et long terme. Le
développement d’autres usages de l’hydrogène se doit de rester très mesuré sous peine de voir augmen-
ter les émissions de CO2 associées.
À moyen/long terme, l’hydrogène pourrait être déployé dans d’autres secteurs. Son usage doit cepen-
dant être questionné ; dans la mobilité par exemple, sa pertinence est aujourd’hui avérée uniquement
sur des marchés relativement restreints (ferroviaire sur lignes non électrifiées, navires, etc.).
Son principal intérêt réside dans sa capacité à apporter de la flexibilité au système énergétique en
complément des autres vecteurs de réseau (électricité, méthane et chaleur) : à cet égard, le
développement des infrastructures de transport et de stockage de l’hydrogène doit être coordonné avec
celui des moyens de production dans une logique d’optimisation technico-économique s’inscrivant dans
une vision de long terme de son rôle.

11. Référence :

 http://www.chem4us.be/les-couleurs-de-hhydrogene-tout-comprendre-en-un-coup-doeil/
 https://www.equilibredesenergies.org/category/energies/
 https://www.rural21.com/francais/regardons-de-plus-pres.html
 https://www.batirama.com/rubrique-article/l-info/2-actualites-page-1.html
 https://www.orygeen.eu/docs-actus/glossaire/hydrogene/
 http://www.energypartnership-algeria.org/

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