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Douleur abdominale

1. La douleur abdominale :
a. Est caractérisé par sa survenue brutale, moins de 3 jours
b. Est un motif rare de consultation
c. Est un symptôme qui peut révéler une urgence chirurgicale
d. Est un symptôme qui peut révéler une urgence médicale

c-d

2. Les caractéristiques d’une douleur abdominale aigue à préciser à


l’interrogatoire sont :
a. Mode, type de douleur, siège
b. Mode, irradiation, facteur déclenchant
c. Siège, type de douleurs, chronicité
d. Signes associés, défense abdominale, irradiation

a-b

Péritonite aigue généralisée

3. La péritonite aigue généralisée :


a. Signifie une inflammation chronique de la séreuse péritonéale
b. Signifie un épanchement péritonéal
c. Elle ne met pas en jeu le pronostic vital
d. C’est une urgence chirurgicale diagnostique
e. Ce n’est pas une urgence chirurgicale thérapeutique

b-d

4. La péritonite aigue généralisée :


a. Est la conséquence de l’inoculation chimique du péritoine
b. Est la conséquence de l’inoculation septique du péritoine
c. Peut se voir en l’absence de perforation d’un organe creux
d. Peut se voir en présence de perforation d’un organe creux

a-b-c-d

5. La péritonite aigue généralisée secondaire :


a. Peut être due à une diffusion septique à partir d’un foyer infectieux
b. Se voit en l’absence de brèche ou de foyer septique
c. Peut être due à la perforation d’un organe creux
d. Peut mettre en jeu le pronostic vital

a-c-d
6. Le syndrome péritonéal comporte :
a. Des hématémèses
b. Des rectorragies
c. Des douleurs abdominales très intenses
d. Des vomissements fécaloïdes

c-d

7. Dans le syndrome péritonéal :


a. L’état général peut être conservé au début
b. La fièvre est précoce en cas de péritonite bactérienne
c. Le risque de choc septique augmente avec le temps
d. On peut avoir un arrêt des matières et des gaz

a-b-c-d

8. Dans le syndrome péritonéal :


a. La sensibilité abdominale est le maître symptôme
b. Le diagnostic d’une péritonite aigue généralisée (PAG) est posée devant une
contracture abdominale généralisée
c. A la palpation abdominale, l’abdomen se laisse déprimer
d. A l’inspection, l’abdomen est immobile, ne respirant pas

b-d

9. La contracture abdominale généralisée dans la PAG est :


a. Permanente, invincible, localisée, douloureuse
b. Inconstante, généralisée, invincible, douloureuse
c. Permanente, généralisée, douloureuse, invincible
d. Permanente, invincible, généralisée, indolore

10. Dans la PAG :


a. L’ASP (abdomen sans préparation) peut montrer des niveaux hydro-aériques
b. L’ASP peut montrer un pneumopéritoine
c. L’échographie confirme le diagnostic en montrant un épanchement péritonéal
d. La TDM abdominale est inutile

a-b-c

L’occlusion intestinale

11. L’occlusion intestinale aiguë (OIA) :


a. Est un arrêt complet et transitoire des matières et des gaz
b. Est un arrêt complet et permanent du transit des matières et des gaz
c. Est une véritable urgence médico-chirurgicale
d. Met en jeu le pronostic vital

b-c-d

12. OIA de type mécanique peut être due à :


a. Une obstruction intestinale aigüe par tumeur
b. Une obstruction intestinale par compression extrinsèque
c. Une péritonite aigue généralisée
d. Un iléus reflex post-opératoire

a-b

13. OIA de type mécanique par obstruction peut être due :


a. A une cause endo-luminale type corps étranger
b. A un volvulus du colon
c. A une invagination intestinale
d. A une cause pariétale type tumeur intestinale

a-d

14. OIA par strangulation :


a. Peut être due une compression extrinsèque
b. Peut être due un volvulus du grêle
c. Peut être due un étranglement herniaire
d. Peut évoluer vers une nécrose intestinale

b-c-d

15. OIA fonctionnelle peut être due :


a. Un iléus réflex post-opératoire
b. Une obstruction ou strangulation intestinale
c. A un désordre métabolique
d. Une agression septique ou chimique de la cavité péritonéale

a-c-d

16. Le syndrome occlusif est caractérisé par :


a. Des douleurs abdominales aigues
b. Des rectorragies
c. Des vomissements
d. Un arrêt des matières et des gaz

a-c-d

17. Parmi les signes physiques d’une OIA :


a. Un météorisme abdominal
b. Un tympanisme abdominal
c. On peut avoir des bruits hydro-aériques abolis
d. Un arrêt des matières et des gaz

a-b-c

18. Les examens radiologiques utiles dans le cadre d’une OIA :


a. Une TDM abdominale
b. Un ASP debout
c. Une radio du poumon de face
d. Une échographie abdominale

a-b-d

19. Les signes radiologiques à chercher devant une OIA :


a. L’ASP peut montrer des niveaux hydro-aériques
b. La TDM peut montrer des niveaux hydro-aériques
c. L’échographie est utile dans l’invagination intestinale aiguë chez les enfants
d. Le pneumopéritoine peut se voir dans une OIA par strangulation

a-b-c-d

20. Les OIA fonctionnelles :


a. Elles se voient souvent chez les sujets âgées
b. Elles ont un début brutal
c. Le météorisme est localisé
d. L’ASP ne montre pas de niveaux hydro-aériques

21. L’OIA organique par strangulation :


a. Le début est progressif
b. Les douleurs sont violentes
c. Les vomissements sont précoces
d. Le météorisme est localisé

b-c-d

22. Les occlusions par obstruction colique :


a. Le début est brutal
b. Les vomissements sont précoces
c. L’état général est longtemps conservé
d. Le météorisme est important et diffus

c-d
23. Les OIA du grêles :
a. Les douleurs sont violentes
b. Les vomissements sont tardifs
c. L’altération de l’état général est précoce
d. Le météorisme est diffus

a-c

24. Les OIA coliques :


a. Les douleurs sont discrètes
b. Les vomissements sont tardifs
c. Le météorisme est important et diffus
d. L’arrêt des matières et des gaz est précoce et absolu

a-b-c-d

25. Les signes radiologies d’une OIA :


a. Les NHA sont multiples, centraux, plus hauts que larges dans les OIA du grêle
b. Les NHA sont périphériques, plus larges que hauts, dans les OIA coliques
c. Les NHA sont périphériques dans les OIA coliques
d. Les NHA sont centraux dans les OIA du grêle

c-d

Traumatisme abdominal

26. Dans le cadre du traumatisme abdominal :


a. La contusion abdominale est un traumatisme avec solution de la continuité
cutanée
b. La plaie de l’abdomen est un traumatisme avec solution de la continuité
cutanée
c. Le traumatisme abdominale intéresse la région comprise entre le diaphragme
en haut et le plan pelvien en bas
d. La contusion abdominale est un traumatisme avec absence de solution de la
continuité cutanées

b-d

27. Dans l’évaluation clinique initiale d’un traumatisme abdominale :


a. Il faut vérifier les grandes fonctions vitales
b. Il faut faire un examen clinique complet
c. Il faut relever les critères d’alarmes traumatiques
d. Il faut faire une TDM abdominale

a-c

28. Parmi les critères d’alarmes traumatiques :


a. Une plaie pénétrante de l’abdomen
b. Une plaie pénétrante du thorax
c. Des brulures supérieures à 9% de la surface corporelle
d. Une tension artérielle inférieure à 9 mm de mercure

a-b-d

29. Les éléments cliniques orientant vers une lésion d’un organe abdominale :
a. Présence d’ecchymose ou d’hématome dans la paroi abdominale
b. Une instabilité hémodynamique
c. Un traumatisme crânien
d. Un traumatisme bipolaire

a-b-d

30. Relevez les éléments indiquant une intervention chirurgicale en urgence :


a. Un traumatisme ouvert avec issue de viscères
b. Un état de choc hémorragique
c. Un agent vulnérant toujours en place
d. Une contusion abdominale avec ecchymose pariétale

a-b-c

31. L’évaluation secondaire à un traumatisme abdominal :


a. Nécessite une évaluation clinique complète
b. Ne nécessite aucun examen complémentaire
c. La TDM n’est faite qu’une fois le malade stabilisé
d. La PLP (ponction-lavage-péritonéale) est réalisée systématiquement

a-c

32. La PLP :
a. N’est réalisée qu’en absence de l’échographie et du scanner
b. Est positive s’il y a issue du sang ou du liquide digestif
c. Est positif si le nombre de GR est supérieur à 50 000
d. Est positif si les GB est supérieurs à 500 éléments/m3

a-b-d

33. Dans les ictères rétentionnels :


a. La coloration jaune de la peau est due à une augmentation du taux du BNC
dans le sang
b. L’ictère est franc lorsque la BNC est supérieure à 30 mg/l
c. Il y a un subictère si la BC est supérieure à 15 mg/l
d. L’ictère est en rapport avec un obstacle sur les voies biliaires

c-d
34. Dans les ictères rétentionnels :
a. La recherche de l’ictère doit être faite sous la lumière du jour naturelle
b. La recherche du subictère se fait au niveau des conjonctives
c. Les sels biliaires sont responsables du prurit
d. La BC est responsable de l’apparition des xanthomes sous-cutanés

a-b-c

35. Le syndrome de cholestase est caractérisée par :


a. Un ictère cutanéomuqueux
b. Des urines normalement colorées
c. Des selles décolorées
d. Une stéatorrhée

a-c-d

36. Le syndrome de cholestase associé :


a. Ictère - Urine foncée - Selles normaux colorés
b. Ictère - Urine normo-coloré - Selles décolorés
c. Ictère - Selles décolorés - Prurit - Stéatorrhée
d. Ictère - Urine foncée - Selles décolorés - Stéatorrhée – Prurit

c-d (ou que d)

37. Examen physique des ictères rétentionnels :


a. Peut retrouver une hépatomégalie
b. Peut retrouver une grosse vésicule biliaire
c. Est caractérisée par l’absence des lésions de grattage
d. L’ictère cholestatique + Grosse Vésicule biliaire est appelés « La loi de
courvoisiser terrier »

a-b-d

38. Les signes biologiques du syndrome de cholestase :


a. Une élévation de la bilirubine totale
b. Une élévation de la BC
c. Une élévation de la bilirubine indirecte (BNC)
d. Une élévation de la phosphatase alcaline et de la GAMA-GT

a-b-d

39. Dans les signes radiologiques de l’ictère rétentionnel :


a. Le signe radiologique majeur est une dilatation des voies biliaires
b. Les VBIH (voies biliaires intra-hépatiques) dilatées réalisent avec le tronc porte
une image dite « En canon de fusil »
c. La TDM abdominale n’a pas de place dans l’exploration des IR
d. La billi-IRM est un examen très utile en cas d’ictère rétentionnel

a-d

40. L’ictère rétentionnel d’origine lithiasique :


a. L’ictère est d’installation progressif
b. L’ictère est d’installation brutal
c. L’ictère est intermittent
d. Il évolue dans un contexte de l’AEG (Altération de l’Etat général)

b-c

41. L’ictère rétentionnel d’origine lithiasique :


a. D’installation brutale
b. Permanent
c. Conservation de l’état général
d. Peut régresser spontanément

a-c-d

42. La triade de Villard est caractérisé par :


a. Succession de D-I-F (Douleur-Ictère-Fièvre) en 24/48h
b. Succession de D-F-I en 5 à 7 j
c. Succession de D-F-I en 24/48h
d. Succession de F-I-D en 24/48h

43. L’ictère néoplasique :


a. S’installe brutalement
b. S’installe progressivement
c. Est permanent
d. Est intermittent

b-c

44. L’ictère néoplasique :


a. S’installe progressivement
b. Évolue par poussées successives (=Intermittent)
c. Est constant
d. L’état général ets altéré

a-c-d

Hémorragie interne :

45. L’hémorragie interne :


a. Se produit généralement dans une cavité close ou dans un organe creux
b. Est appelée « HRP » (Hématome Rétro-Péritonéal) lorsqu’elle se produit dans
la cavité péritonéale
c. Est toujours extériorisée
d. Peut mettre en jeu le pronostic vital

a-d

46. L’hémorragie interne peut se manifester par :


a. Des douleurs abdominales
b. Une soif intense
c. Une tendance syncopale
d. Peut survenir chez un malade ulcéreux

a-b-c-d

47. Les signes physiques d’une hémorragie interne :


a. Une pâleur cutanéomuqueuse
b. Une diminution du temps de recoloration (TR) capillaire
c. Une hypothermie
d. Sueurs froides

a-c-d

48. Dans les signes généraux de l’hémorragie interne :


a. L’agitation
b. L’hyperthermie
c. L’hypothermie
d. Les marbrures cutanées

a-c-d

49. Les signes biologiques d’une hémorragie interne :


a. Le taux d’hémoglobine peut être normal au début
b. En cas d’une hémorragie interne massive, le taux d’hémoglobine baisse dès le
début
c. On peut voir une acidose métabolique
d. Il n’y a jamais d’hyperkaliémie

a-b-c

50. Les signes de gravité d’une hémorragie interne :


a. Une tachycardie paradoxale
b. Une acidose lactique
c. Une insuffisance respiratoire aigue
d. Une insuffisance rénale aigue
b-c-d
51. Dans le cadre d’un hémo-péritoine, on peut avoir :
a. Une douleur abdominale aigue
b. L’absence d’une matité déclive
c. Le cul de sac de Douglas (SDS) est plein et douloureux
d. La PLP est négative

a-c

52. L’hémo-péritoine se manifeste cliniquement par :


a. Une conservation de la matité pré-hépatique
b. Une contracture abdominale
c. Un abdomen distendu
d. Le toucher rectal est indolore

a-c

La thyroïde :

53. Le goitre désigne :


a. Toute augmentation du volume de la thyroïde dépassant 20 ml chez la femme
b. Toute augmentation du volume de la thyroïde dépassant 18 ml chez l’homme
c. Le goitre peut être nodulaire ou diffus
d. Le nodule thyroïdien est toujours unique et non sécrétant

54. Lors de l’inspection de la thyroïde :


a. Le médecin se place derrière le patient et lui demande de déglutir
b. Le goitre apparaît comme une tuméfaction cervicale antérieure immobile à la
déglutition
c. L’origine thyroïdienne de la tuméfaction est confirmée lors de l’ascension à la
déglutition de la tuméfaction
d. L’inspection des yeux fait partit de l’examen général d’un goitre (exophtalmie)

c-d

55. Lors de la palpation de la thyroïde :


a. Le médecin se place devant le patient avec la tête légèrement fléchie
b. Le parenchyme thyroïdien normal est souple et élastique
c. La palpation peut retrouver un Thrill (frémissement)
d. La recherche d’adénopathie cervicale n’est pas obligatoire

b-c

56. Lors de l’auscultation de la région cervicale dans le cadre d’un examen thyroïdien :
a. La présence d’un souffle est en faveur d’un goitre vasculaire
b. La compression œsophagienne donne un souffle type « wheezing »
c. La compression trachéale donne un souffle type « wheezing »
d. L’auscultation cervicale peut retrouver un Thrill

a-c

57. Les examens complémentaires dans le cadre de l’exploration de la thyroïde :


a. La TDM est l’examen de choix
b. La scintigraphie est utile en cas d’hyperthyroïdie
c. L’échographie est l’examen de choix
d. Le scanner est demander en cas de goitre plongeant (intra thoracique)

b-c-d

58. Cliniquement, l’hyperthyroïdie peut se manifester par :


a. Une bradycardie régulière
b. Un amaigrissement
c. Une constipation
d. Un tremblement des extrémités

b-d

59. Cliniquement, l’hyperthyroïdie peut se manifester par :


a. Palpitations - hérétisme vasculaire - ACFA (Arythmie Complète par Fibrillation
Auriculaire)
b. Nervosité - tremblements des extrémités - moiteur des mains
c. Amaigrissement – Diarhée
d. Termophobie - Sueurs

a-b-c-d

60. Les signes biologiques d’une hyperthyroïdie :


a. TSH basse, T3 T4 basse
b. TSH élevée, T3 T4 élevée
c. TSH basse, T3 T4 élevée
d. Une calcitonine élevée

61. Les signes de compression dans le cadre d’un goitre thyroïdien :


a. La dysphonie témoigne d’une compression trachéale
b. La dysphagie témoigne d’une compression œsophagienne
c. Le syndrome cave supérieur est en rapport avec la compression de la VCI
d. Le syndrome de Claude Bernal Horner (CBH) est en rapport avec une
compression du N. sympathique cervical

b-d
62. Les signes évocateurs de la malignité d’un goitre :
a. Une évolution rapide d’un goitre préexistant
b. La consistance dure et pierreuse du goitre
c. La présence d’adénopathies cervicale
d. Le caractère vasculaire du goitre

a-b-c

63. Les signes échographiques de la malignité d’un nodule thyroïdien :


a. Nodule hyperéchogène irrégulier
b. La présence de micro-calcifications
c. La présence de macro-calcifications
d. L’absence d’adénopathies satellites (cervicales)

La glande mammaire :

64. Lors de l’examen physique par inspection des glandes mammaires, il faut
rechercher :
a. Une asymétrie des sains
b. Une modification de la plaque aréolo-mamelonnaire
c. Des signes inflammatoires du sein
d. L’aspect en peau d’orange du sein

a-b-c-d

65. Les examens complémentaires nécessaires à l’exploration d’un nodule du sein sont :
a. La TDM mammaire est toujours nécessaire
b. La mammographie est réalisée à la fin du cycle menstruel
c. Une échographie mammaire
d. Une cyto-ponction à l’aiguille fine en cas de nodule suspect de malignité

c-d

66. Les critères de présomption de malignité d’un nodule du sain sont :


a. Nodule mal limité de consistance pierreuse
b. Nodule mobile par rapport au plan superficiel et au plan profond
c. Un écoulement mammelonnaire sanglant
d. Une opacité stellaire avec micro-calcifications à la mammographie

a-c-d

67. Les critères de présomption de bénignité d’un nodule du sain sont :


a. Une tuméfaction dure, pierreuse et indolore
b. Un nodule fixe par rapport au plan superficiel et au plan profond
c. Une opacité hypo-échogène homogène à l’échographie
d. Le pincement de la peau en regard du nodule n’est pas possible

Hernie :

68. L’hernie est définie par :


a. Issue de viscères abdominaux à travers un orifice non naturel
b. Issue de viscères abdominaux à travers une plaie opératoire
c. Issue de viscères abdominaux à travers une zone de faiblesse anatomique de
la paroi abdominale
d. Issue de viscères abdominaux à travers un écartement des muscles sans
véritable orifice

69. Les caractéristiques physiques d’une hernie simple :


a. Impulsive à la toux
b. Peu ou pas douloureuse
c. Réductible
d. Non reproductible

a-b-c

70. Parmi les signes physiques d’une hernie de l’aine :


a. Au dessous de la ligne de Maldeine en cas d’hernie inguinale
b. Au dessous de la ligne de Maldeine en cas d’hernie crurale
c. Au dessus de la ligne de Maldeine en cas d’hernie inguinale
d. La percussion et l’auscultation sont souvent normal

b-c-d

71. Le diagnostic d’une hernie de l’aine :


a. Se fait sur un patient debout
b. Peut se faire sur un patient couché mais avec effort de toux
c. Nécessite toujours la réalisation d’une échographie
d. Est le plus souvent purement clinique

a-b-d

72. L’hernie étranglée :


a. Se voit fréquemment dans le cas d’une hernie crurale
b. Est une urgence médicale
c. Peut évoluer vers une OIA (occlusion intestinale aiguë)
d. Peut évoluer vers une PAG (Péritonite aïgue généralisée)
a-c-d

73. Les caractéristiques physiques de l’hernie étranglée sont :


a. Douloureuse à la palpation
b. Réductible
c. Non impulsive à la toux
d. Peut donner une nécrose intestinale

a-c-d

74. Dans les formes anatomiques des hernies :


a. L’hernie inguinale indirecte (HII=oblique externe) est plus fréquente chez
l’homme
b. L’hernie crurale (HC) est plus fréquente chez la femme
c. L’hernie inguinale directe (HID) est toujours acquise et de faiblesse
d. L’hernie inguinale oblique interne (HIOI) est très fréquente

a-b-c

75. L’éventration est caractérisé par :


a. Issue de viscères abdominaux à travers une cicatrice de laparotomie
b. Non compliquée, réductible, non impulsive
c. Compliquée, réductible, non impulsive et indolore
d. Compliquée, irréductible, non impulsive et douloureuse

a-d

76. Le syndrome rectal associé :


a. Émission affécale
b. Épreinte
c. Rectorragie
d. Ténesme

a-b-d

77. Les épreintes sont :


a. Une tension douloureuse au niveau de l’anus
b. Une sensation de corps étranger dans le rectum
c. Une douleur abdominale type colique
d. La douleur est associée à une contraction douloureuse du rectum

c-d

78. Les hémorroïdes sont :


a. HI (hémorroïde interne) : sont située en dessous de la ligne pectinée
b. HE (hémorroïde externe) : sont située au dessus de la ligne pectinée
c. Peuvent se compliquées de thrombose hémorroïdaire
d. Les rectorragie hémorroïdaire sont habituellement déclenchées par la
défécation

c-d

79. La fissure anale :


a. Est une ulcération superficielle de la marge anale
b. Se caractérise par des douleurs anales rythmées en 3 temps
c. S’accompagne de rectorragies minimes
d. Est caractérisée par une contraction du sphincter anal

a-b-c-d

80. La fistule anale :


a. Son origine est une infection de la crypte de Morgane
b. On distingue les fistules simples et complexes
c. N’évolue jamais vers un abcès anal
d. Se manifeste souvent par des rectorragies

a-b

81. Le 1er diagnostic à évoquer devant une rectorragie :


a. Une fistule anale
b. Une fissure anale
c. Un cancer colorectal
d. Un sinus pilonidal

82. L’abcès chaud peut se manifester par :


a. Une masse fluctuante
b. Une douleur locale exacerbée à la palpation
c. Une rougeur s’effaçant la pression
d. L’’absence de chaleur à la palpation

a-b-c

83. L’évolution d’un abcès chaud :


a. Du 1er au 3ème jour, les signes généraux sont prédominants
b. Au 3ème jour, il y a exacerbation des signes locaux et apparition des signes
généraux
c. Du 5ème au 6ème jour, il y a évacuation du pus et exacerbation des signes
généraux
d. La phase de cicatrisation se caractérise par une fermeture progressive
b-d

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