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la semiologie digestive

SEMIO DIGESTIVE DU PROF HARROUDI


1- Le nodule du sein :
A. L'approche repose sur un trépied clinique, imagerie et histologie.
B. Le risque de cancer augmente avec l'âge
C. L'eczéma du mamelon peut révéler un cancer du sein
D. Hors du contexte d'allaitement, l'abcès du sein doit faire évoquer un cancer sous-jacent

2Les signes de malignité d'un nodule du sein :


A. Peau d'orange.
B. Présence d'adénopathie axillaire.
C. Galactorragie.
D. Rétraction cutanée
A. Rougeur, Chaleur, oedème.
C. Lésion eczématiforme du mamelon.
D. Caractère mobile de la tumeur
B. ACR 5.
A. Fixe à la peau.(adherente a la peau)
B. Peut s'accompagner de signes inflammatoires.
C. Peut s'accompagner d'adénopathie axillaire.
D. Bien limité, homogène à l'imagerie. mal limité, irreguliere à l'imagerie
B. Ecoulement séro-sanglant.
D. Tumeur irrégulière, mal limitée, dure, non douloureuse.
E. Palpation des adénopathies axillaires et sus claviculaires.
E.ACR 2 à l'imagerie.

3- Devant Un nodule du sein :


A. L'adénofibrome est l'étiologie la plus fréquente chez une femme de moins de 40 ans
B. Le cancer du sein est de fréquence croissante notamment au-delà de 40 ans.
C. L'échographie est le premier examen à demander chez une femme de moins de 30 ans
D. La crainte du cancer est toujours présente
4- Une tumeur maligne :
A. Evolue souvent lentement.
B. N'entraine pas d'envahissement loco-régional
C. Peut être révélée par des rectorragies.
D. Peut être révélée par une métastase
5- Le cancer peut se manifester par :
A. Une plaie qui ne guérit pas.
B. Une rectorragie.
C. Un « grain de beauté » qui augmente rapidement de taille.
D. Une thrombophlébite.
D. Une pleurésie 
6- Parmi les urgences qui peuvent révéler un cancer, on peut citer :
A. Thrombophlébite
B. Epanchements pleuraux
C. Syndrome de compression de la veine cave supérieure
D. Compression médullaire
E. Hypercalcémie
B. Uropathie obstructive
C. Ascite.

7- L'éventration :
A. Est l'issue de viscères abdominaux de la cavité abdominale à travers une zone de faiblesse
anatomique.
B. Est l'extériorisation de viscères au travers d’une déhiscence de la paroi.
C. Est l’extériorisation des viscères par désunion précoce de la plaie.
D. Peut se compliquer d'un étranglement
8- Une hernie étranglée est :
A. Réductible.
B. Douloureuse.
C. Non impulsive à la toux.
D. Impulsive à la toux.

9- La hernie étranglée :
A. Est indolore.
B. Engendre le pronostic vital.
C. Peut être d'origine crurale.
D. Peut toucher toutes les hernies.
E. Nécessite une intervention chirurgicale en urgence.

10- Devant une hernie inguinale étranglée :


A. Il faut adresser le patient en consultation.
B. Une échographie abdominale est nécessaire pour confirmer le diagnostic.
C. Il n'y a pas d'indication chirurgicale.
D. Le diagnostic est clinique.
E. Le collet se situe au-dessous de la ligne de Malgaigne

11- La hernie ombilicale (1 seule réponse est juste) :


A. N'existe pas chez le nouveau-né..
B. Peut être congénitale.
C. Ne s'engouer jamais.
D. Ne s'étrangle jamais.
E. Ne nécessite pas de cure chirurgicale.

12 Concernant une hernie de l’aine


A. Le diagnostic est clinique mais il doit être obligatoirement confirmé par une échographie.
B. La principale complication est l'étranglement.
C. Une hernie étranglée est irréductible, douloureuse et non impulsive à la toux.
D. La hernie crurale a un risque élevé d'étranglement par rapport à la hernie inguinal
13- L'étranglement herniaire se manifeste par tous ces signes sauf un :
A. Une douleur vive sur la hernie.
B. Des vomissements.
C. Des signes d'occlusion.
D. Un arrêt des matières et des gaz.
E. Une tuméfaction indolore impulsive à la toux.

14- La première cause d'une hémorragie interne spontanée chez la femme jeune :
A. La grossesse extra utérine.
B. Rupture d'un anévrysme de l'aorte.
C. Rupture d'une tumeur du foie.
D. Ulcère gastro-duodénale.

SEMIO DIGESTIVE DU PROF KHARASSE


15- Une patiente de 24 ans suivie pour un diabète type I, consulte pour une
symptomatologie clinique datant de 6 mois faite de diarrhées volumineuses graisseuses
fétides associées à un syndrome anémique et à un amaigrissement involontaire de 4Kg.
Pour cette patiente :
A. Il s'agit d'une diarrhée lésionnelle, une recto-sigmoïdoscopie redressera le diagnostic.
B. Il s'agit d'une diarrhée d'origine amibienne, un examen parasitologique des selles fera le
diagnostic.
C. Il s'agit d'une diarrhée de malabsorption, une gastroscopie redressera le diagnostic.
D. La patiente a une diarrhée d'origine fonctionnelle, elle ne nécessite aucun bilan.

16- Un patient âgé de 70 ans diabétique mal suivi, consulte pour constipation
d'aggravation récente associée à des rectorragies, inspection et toucher rectal retrouvent
une fissure anale et des hémorroïdes externes. Ce patient :
A. Ne nécessite aucun bilan car sa symptomatologie est purement fonctionnelle.
B. Sa fissure et ses hémorroïdes peuvent tout expliquer, d'autres explorations ne sont pas
indispensables.
C. Vous lui demandez une coloscopie et une NFS.
D. La fibroscopie oeso-gastroduodénale est l'examen de 1ère intention à réaliser pour lui.

17- En ce qui concerne la constipation maladie :


A. Elle est rare par rapport à la constipation symptôme.
B. Elle est souvent d'apparition récente par rapport à la date de la consultation.
C. Elle est souvent révélatrice d'une tumeur digestive
D. Il s'agit de la conséquence d'anomalies de motricité colique

18- Un patient âgé de 60 ans aux antécédents familiaux de cancer de côlon, consulte pour
altération de l'état général, augmentation progressive du volume abdominal,
constipation d'aggravation récente et rectorragies l’examen clinique retrouve une matité
des deux flancs. Concernant ce patient :
A. Les signes que présente te malade peuvent être expliqués par une hypothyroïdie
B. Le toucher rectal n'a aucun intérêt chez ce malade
C. Ce malade a très probablement une carcinose péritonéale
D. La fibroscopie oeso-gastroduodénale est l'examen de 1ère intention à réaliser chez ce
patient,
19- Le syndrome dysentérique est définit par :
A. Epreintes
B. Ténesmes
C. Faux besoins
A. Constipation
20- Une patiente de 59 ans consulte pour une constipation d'évacuation d'installation
récente depuis 2 mois avec notion de rectorragies défécatoires minimes sans syndrome
anémique, associée à un amaigrissement de 4Kg et anorexie. Quel est le premier
diagnostic à évoquer ?
A. Des hémorroïdes.
B. Un polype colique.
C. Troubles de la motricité colique.
D. Un cancer colorectal
21- Une jeune patiente de 30 ans se présente à la consultation pour une symptomatologie
clinique datant de 3 mois faite de 5 évacuations glairo-sanglantes par jour en plus
d'épreintes, ténesmes et faux besoins. Concernant cette patiente :
A. Il s'agit d'une diarrhée de type sécrétoire très probablement d'origine bactérienne.
B. Il s'agit d'une diarrhée de malabsorption
C. Une rectosigmoïdoscopie étant indispensable.
D. La patiente a une pathologie fonctionnelle et ne doit pas être bilantée.

22- Un patient âgé de 60 ans aux antécédents familiaux de pathologies tumorales


digestives, consulte pour altération de l'état général, une augmentation progressive du
volume abdominal avec constipation d’aggravation récente et rectorragies. L'examen
clinique retrouve une matité des deux flancs :
A. Les signes que présente le patient sont en rapport avec un TFI (Trouble Fonctionnel
Intestinal)
B. Le patient a très probablement une carcinose péritonéale.
C. Le toucher rectal n'a aucun intérêt chez ce patient.
D. La fibroscopie oeso-gastroduodénale est l'examen de 1ère intention à réaliser chez ce
patient.

23- Une jeune patiente de 30 ans ayant la notion de prise chronique d'anti
inflammatoires non stéroïdiens pour des arthralgies, se présente à la consultation pour
une symptomatologie clinique datant de plus de 3 mois faite de 5 évacuations glairo-
sanglantes par jour en plus d'épreintes, de ténesmes et de faux besoins, le toucher rectal
retrouve une muqueuse rectale irrégulière. Pour cette patiente :
A. Il s'agit d'une fausse diarrhée qui peut être soignée par des laxatifs
B. Il s'agit d'une diarrhée de malabsorption
C. La patiente doit bénéficier en urgence d'une gastroscopie pour redresser le diagnostic
D. Une recto-sigmoïdoscopie de même qu'une coproparasitologie de selles étant
indispensables chez cette patiente.

24- Une patiente de 59 ans consulte pour une constipation d'évacuation d'installation
récente depuis 2 mois avec notion de rectorragies défécatoires minimes sans syndrome
anémique, associée à un amaigrissement de 4Kg et anorexie. Quel est le premier
diagnostic à évoquer ?
A. Des hémorroïdes.
B. Un polype colique
C. Troubles de la motricité colique.
D. Un cancer colorectal
Jeune patiente de 30 ans, mère de 2 enfants, couturière, avec ATCD d’épisodes de diarrhées
aigües traités symptomatiquement, consulte pour un syndrome dysentérique depuis 1 semaine,
douleurs abdominales des 2 fosses iliaques, asthénie sans fièvre. L’examen clinique trouve un
abdomen souple sensible au niveau des 2 fosses iliaques, du sang au toucher rectal sans lésion
anale.

25- Quels sont les 2 diagnostics que vous évoquez en premier ?


A. Colite ischémique
B. Cancer colorectal
C. RCH en poussée.
D. Amibiase est un état lié à la présence dans l'organisme d'un parasite intestinal
microscopique

26- Quels sont les explorations que vous demandez en premier ?


A. Iléocoloscopie
B. CRP et coproparasitologie des selles.CRP La protéine C réactive
C. TDM abdominale
D. Rectosigmoïdoscopie
27.Un patient âgé de 62 ans sans antécédents pathologiques particuliers se présente à la
consultation pour une constipation récente avec notion d'évacuations incomplètes et de
rectorragies. Le toucher rectal ne retrouve pas de lésion tumorale, le doigtier revient
souillé de sang. Ce malade :
A. Souffre d'une constipation distale
B. Il s'agit d'une constipation maladie
C. Chez ce malade l'âge est un signe d'alarme qui doit inquiéter
D. Chez ce malade on pourrait se contenter de prescrire un traitement symptomatique
d'épreuve d'un mois
28- Une patiente de 30 ans consulte pour une diarrhée faite de 4 évacuations liquides
mêlées à des glaires et du sang évoluant depuis 4 ans et survenant par épisodes.
A. Cette patiente a une diarrhée fonctionnelle
B. Cette patiente doit bénéficier tout d'abord d'une fibroscopie gastroduodénale
(Gastroscopie)
C. La patiente a de fortes chances d'avoir une maladie inflammatoire chronique de l'intestin.
D. Une iléocoloscopie peut être utile pour faire le diagnostic étiologique chez cette malade

29- Cocher la bonne réponse :


A. Une diarrhée motrice peut être révélatrice d'une dysthyroïdie.
B. Une diarrhée avec amaigrissement et arthralgies périphériques est souvent d'origine
fonctionnelle.
D. Une diarrhée glairo-sanglante peut être traitée par des ralentisseurs de transit sans autre
médication.
E. La prise abusive des inhibiteurs de la pompe à proton peut expliquer certains types de
diarrhées après bilan étiologique exhaustif négatif.
30. Concernant les vomissements :
A. Ils pourraient être révélateurs d'un infarctus de myocarde.
B. Pourraient être expliqués par l'insuffisance rénale.
C. Pourraient être expliqués par l'insuffisance surrénale.
D. Pourraient être en rapport avec une grossesse pas forcément compliquée

31. La constipation symptôme est :


A. Souvent isolée
B. Peut être due à une hyperthyroïdie
C. Est souvent ancienne
D. Peut être en rapport avec un cancer du colon
E. Ne nécessite aucune exploration.

32- Une jeune patiente de 24 ans présente depuis 4 mois une symptomatologie clinique
faite de diarrhées glairo-sanglantes avec sensation de corps étranger intra-rectal et faux
besoins, l'examen clinique trouve un abdomen légèrement sensible au niveau de la fosse
iliaque gauche et le toucherrectal palpe une muqueuse granitée. Lequel de ces examens
est à réaliser en 1ère intention chez cette patiente dans le cadre du bilan étiologique de
sa maladie :
A. Une iléocoloscopie totale
B. Une échographie abdominale
C. Une fibroscopie œso-gastroduodénale (gastroscopie)
D. Un scanner abdominal
E. Une recto-sigmoïdoscopie

33- Lequel de ces examens est à réaliser en 1ère intention dans le cadre du bilan
étiologique d'un syndrome dysentérique :
A. D'emblée une iléo-coloscopie totale
B. Une échographie abdominale
C. Une fibroscopie œso-gastroduodénale (gastroscopie)
D. Un scanner abdominal
E. Une rectosigmoïdoscopie

34- Le syndrome rectal est constitué de tous ces signes sauf un,lequel ?
A. Emissions afécales.
B. Epreinte.
C. Constipation.
D. Ténesmes.
E. Faux besoins.

35.Le syndrome rectale est constitué de :


A. Constipation.
B. Emissions afécales.
C. Epreinte.
D. Ténesmes
E. Faux besoins.
F.rectorragies
36- La diarrhée motrice :
A. Est due à une rupture de la barrière muqueuse.
B. S'associe souvent à un syndrome de malabsorption
C. Est essentiellement nocturne
D. Est toujours graisseuse
E. Répond au traitement par des ralentisseurs de transit

SEMIO DIGESTIVE DU PROF ISMAILI


37- Le syndrome de Koenig :
A. Une douleur de l'hypochondre gauche à type de torsion.
B. Une douleur médiane para ombilicale.
C. Se présente sous forme d'épisodes sub-occlusifs.
D. Traduit une pathologie rétrécissant la lumière de l'intestin grêle
38- La douleur pancréatique:
A. Est de siège épigastrique.
B. Peut être transfixiante ou en barre.
C. Régresse spontanément
D. Peut s'accompagner de vomissements

39- Une patiente âgée de 37ans, se présente aux urgences pour douleur épigastrique à
type de crampe transfixiante dorsale. Elle se plie en avant pour soulager sa douleur. Il
s'agit d'une douleur à type de :
A. Colique hépatique
B. Douleur pancréatique
C. Syndrome de Koenig
D. Douleur péritonéale

40- Patient âgé de 25 ans avec prise d'AINS pour des céphalées en rapport avec un
syndrome anémique, consulte aux urgences pour des selles noirâtres nauséabondes
visqueuses :
A. Il s'agit d'une hémorragie digestive type méléna
B. L'origine du saignement est plutôt en aval de l'angle de Treitz…en amont de l’angle de
Treiz
C. L'examen clé est une endoscopie oeso-gastroduodénale puisque il y a le melena,donc on a
hemmoragie digestive haute
D. L'examen clé est une iléo-colonoscopie totale

41- Patiente âgée de 62 ans, se présente aux urgences pour selles noirâtres nauséabondes
sans notion de prise de fer ni de charbon activé. A l'examen vous trouvez une veineuse
collatérale sans hépatosplénomégalie.
A. Il s'agit très probablement du syndrome d'hypertension portale (HTP).
B. L'absence d'une splénomégalie écarte le diagnostic d'HTP.
C. La patiente présente une méléna sans hématémèse.
D. L'hémorragie de la patiente est plutôt due à la rupture des varices oesophagiennes

42- La colique hépatique


A. Une douleur de l’hypocondre gauche à type de colique.HCD
B. Traduit une douleur biliaire
C. Irradie vers le dos et en interscapulaire
D. N’est jamais une urgence
43- Patiente âgée de 42 ans avec prise d’aspirine pour des céphalées, se présente aux
urgences pour rejet par la bouche de sang rouge mêlé à des aliments dans un effort de
vomissement
A. Il s’agit d’une hémorragie digestive type hématémèse
B. Il s’agit d’une hémoptysie
C. Il s’agit d’une urgence chirurgicale
D. L’origine de cette hémorragie est plutôt en amont de l’angle de Treitz

44- La colique hépatique :


A. Est une douleur d'origine biliaire
B. Peut irradier au niveau de l'épaule droite
C. Siège au niveau du flanc droit
D. Peut être due à une cholécystite
E. Irradie vers les organes génitaux externes

45- Cochez la ou les réponses justes :


A. La dyspepsie est une pesanteur épigastrique postprandiale avec impression de digestion
lente
B. L'absence d'une splénomégalie écarte le diagnostic d'une hypertension portale
C. La cirrhose post-virale est la cause la plus fréquente de l'HTP infra-hépatique au Maroc.
D. La rectorragie est une hémorragie digestive d'origine exclusivement basse.

46- Une hémorragie digestive d’origine haute peut se manifester par :


A. Une hématémèse
B. Un méléna
C. Une rectorragie
D. Une anémie ferriprive

47- Concernant la douleur abdominale :


A. Peut être d'origine extra-digestive.
B. Une colique hépatique traduit une douleur péritonéale.
C. Le syndrome de Koenig traduit une fistule au niveau de l'intestin grêle.
D. La crise solaire est une douleur pancréatique en coup de poignard.

48- Dans les syndrome d'hypertension portale :


A. La cirrhose est la cause la plus fréquence des blocs infra-hépatiques.
B. La splénomégalie est un signe constant.
C. Les varices oesophagiennes est le signe endoscopique le plus fréquent.
D. L'ascite et l'encéphalopathie hépatique peuvent en constituer des complications
49Un patient âgé de 38 ans, notion de soins dentaires non médicalisés avec un tatouage.
Il se présente pour douteur abdominale et asthénie. L'examen clinique objective une
CVC, une splénomégalie avec foie à bord inférieur tranchant

55- Cocher la ou les proposition(s) juste(s) :


A. Le patient présente un syndrome d'hypertension portale (HTP) sur foie de cirrhose
B. Il s'agit d'une HTP infra-hépatique
C. La cirrhose post-virale en est l'étiologie la plus fréquente
D. Un diamètre du tronc porte à l'échographie inférieur à 14mm confirme le diagnostic d'HTP.
50- Concernant ce patient :
A. L'endoscopie oeso-gastroduodénale est indispensable.
B. Les varices oesophagiennes sont plus rares que les autres signes endoscopiques d’http.
C. L'hémorragie digestive haute est une complication exceptionnelle
D. L'encéphalopathie hépatique est une complication possible.

51- Les signes endoscopiques de l'hypertension portale (HTP) sont :


A. Les varices oesophagiennes et cardio-tubérositaires
B. Gastrite chronique à Helicobacter pylori
C. Angiodysplasie digestive
D. Gastropathie hypertensive fundique
E.Ectosies vasculaires antrale

52- Les mélénas :


A. Sont définis par l'émission de sang noir digéré par l'anus.
B. Sont définis par l'émission de sang rouge par l'anus.
C. Peuvent être dus à un saignement d'origine gastrique.
D. Doivent faire suspecter un cancer de l'anus.non .

53- Les hématémèse (une seule réponse est juste) :


A. Sont définis par l'émission de sang noir digéré par l'anus.
B. sont définis par l'émission de sang rouge par la bouche.
C. Sont souvent dues à une fistule anale.
D. Ne peuvent pas se manifester par un état de choc.

SEMIO DIGESTIVE DU PROF MEKKAOUI


54- La dysphagie :
A. Est définie comme une sensation douloureuse au moment de la déglutition.
B. Est définie comme une sensation de blocage ou de gêne ressentie lors du passage du bol
alimentaire dans l'oesophage.
C. Est plutôt d'origine motrice quand elle est capricieuse et longtemps bien tolérée.
D. Est plutôt organique quand elle est paradoxale.

55- Parmi les étiologies organiques d'une dysphagie, on trouve :


A. Sténose tumorale de l'oesophage.
B. Sténose peptique de l'oesophage.
C. Infection à Hélicobacter-Pylori.
D. Diverticule de Zenker
56- La dysphagie :
A. L’anorexie est une sorte de dysphagie
B. Une dysphagie capricieuse et paradoxale évoque plutôt une origine organique
C. Une dysphagie capricieuse et paradoxale évoque plutôt une origine fonctionnelle
D. Une odynophagie est définie par une sensation de blocage alimentaire au niveau cervical

57- La dysphagie
A. Le transit oesophagien est l’examen complémentaire de première intention en cas de
dysphagie.
B. La manométrie oesophagienne est l’examen complémentaire de première intention en cas
de dysphagie
C. La sclérodermie est l’une des troubles moteurs oesophagiens primitifs en cause de la
dysphagie
D. L’achalasie des l’une des troubles moteurs oesophagiens primitifs en cause de la dysphagie

58- La dysphagie :
A. Est plutôt organique quand elle est capricieuse et paradoxale
B. Est plutôt motrice quand elle est capricieuse et paradoxale
C. La manométrie oesophagienne est l'examen de première intention
D. La manométrie oesophagienne permet d'éliminer une origine organique de la dysphagie.

59- La dysphagie :
A. Est définie par une douleur ressentie au cours de la déglutition.
B. Est une incapacité à s'alimenter correctement même d'origine mentale.
C. Est une sensation de boule dans la gorge en dehors de toute alimentation.
D. Est une sensation de blocage ou de gêne ressentie lors du passage du bol alimentaire dans
l'oesophage.

60- Un patient de 65 ans, tabagique chronique. Depuis 6 mois, n'arrive plus à avaler les
aliments solides de façon progressive avec une perte importante de son poids. Quels sont
les éléments à rechercher dans ses antécédents à visée étiologique :
A. Notion de reflux gastro-oesophagien chronique
B. Ingestion de substances caustiques
C. Notion de cirrhose hépatique
D. Notion de radiothérapie médiastinale.

61- Quel est le premier diagnostic à évoquer chez ce patient ?


A. Une sténose peptique
B. Un cancer de l'œsophage
C. Une sténose caustique
D. Une achalasie

62- Les antécédents à demander en cas de dysphagie :


A. Un reflux gastro-oesophagien (RGO).
B. Ingestion de substances caustiques.
C. Une sclérodermie.
D. Une intoxication alcoolo-tabagique
63- Un patient âgé de 67 ans, tabagique chronique présente une dysphagie basse aux
solides depuis 03 mois, un pyrosis avec amaigrissement. Quel est le diagnostic le plus
probable ?
A. Une sténose peptique.
B. Un carcinome de l'oesophage.
C. Une achalasie.
D. Une sclérodermie.

64- Chez une jeune femme avec ascite :


A. La ponction du liquide d'ascite est le premier examen à réaliser après une échographie
abdominale confirmant l'épanchement liquidien.
B. La ponction d'ascite se fait de préférence à droite
C. Si la patiente a une cirrhose sous-jacente, l'absence de germe dans l'examen directe et après
culture élimine une infection du liquide d'ascite.
D. Toutes les réponses précédentes sont fausses

65- Quels sont les éléments qui vous permettent de faire le diagnostic d'une ascite
d'origine cirrhotique ? Cochez les réponses justes :
A. Un liquide transudatif
B. Un liquide d'ascite lymphocytaire
C. Des signes cliniques et échographiques d'HTP
D. Des signes cliniques et biologiques d'insuffisance hépatocellulaire

66- Un patient âgé de 60 ans aux antécédents familiaux de cancer de côlon, consulte pour
altération de l'état général, augmentation progressive du volume abdominal,
constipation d'aggravation récente et rectorragies l’examen clinique retrouve une matité
des deux flancs. Concernant ce patient :
A. Les signes que présente te malade peuvent être expliqués par une hypothyroïdie
B. Le toucher rectal n'a aucun intérêt chez ce malade
C. Ce malade a très probablement une carcinose péritonéale
D. La fibroscopie oeso-gastroduodénale est l'examen de 1ère intention à réaliser chez ce
patient,
SEMIO DIGESTIVE DU PROF SERGI
67.Une jeune fille de 27 ans se présente aux urgences dans un tableau d'agitation avec
palpitation et asthénie sévère. L’examen clinique révèle un pouls à 125 batt/min avec
hypersudation et exophtalmie. Quel diagnostic retenez-vous en premier
A. Un goitre toxique.=nodule toxique
B. Une maladie de Basedow.
C. Un nodule toxique.
D. Une hypothyroïdie
68. Parmi les étiologies des rectorragies, on trouve:
A. Une tumeur du côlon droit.
B. Une tumeur du côlon gauche.
C. Une tumeur du rectum.
D. Des hémorroïdes.

69- Un goitre :
A. Est toujours bénin
B. Peut s’accompagner d’adénopathies cervicales
C. Peut s’accompagner de signes d’hyperthyroïdie
D. Peut s’accompagner de signes d’hypothyroïdie

70- La contracture abdominale dans la péritonite aigue est :


A. Permanente
B. Invincible
C. Douloureuse
E.ne regresse pas sous traitement antalgique
D. Volontaire

71- Une femme de 70 ans consulte aux urgence pour des douleurs aiguës de la fosse
iliaque droite, on peut évoquer comme diagnostics :
A. Appendicite aiguë.
B. Grossesse extra-utérine.
C. Une tumeur de l'ovaire.
D. Un cancer colique

72- Devant une masse abdominales hypogastrique il faut évoquer


A. Une tumeur utérine
B. Une tumeur de l’ovaire
C. Un globe vésical
D. Une tumeur du colon transverse

73- Une douleur aigue épigastrique doit faire évoquer


A. Une crise ulcéreuse
B. Un infarctus du myocarde
C. Une pancréatite aigue
D. Une appendicite
74- Le goitre-toxique :
A. Est un goitre auquel s'associe une hyperthyroïdie.
B. Peut se voir dans la maladie de Basedow. 
C. Peut entrainer des complications cardiaques.
D. Se caractérise par une hyperfixation à la scintigraphie.

75- Devant des rectorragies chez un sujet jeune, il faut évoquer :


A. Des hémorroïdes externes.
B. Une fissure anale.
C. Une tumeur rectale
D. Une rectocolite ulcéro-hémorragique.

76- Un goitre peut se compliquer par :


A. Une dysphonie.
B. Une dysphagie.
C. Une dyspnée.
D. Une dyspepsie

77- Une fissure anale peut se manifester par :


A. Une diarrhée glairo-sanglante
B. Des ulcérations superficielles
C. Une douleur à l’exonération
D. Des signes inflammatoires et collection péri-anale
E.rectorragies minimes apres les selles

78- Devant une masse épigastrique, les étiologies peuvent être :


A. Une métastase hépatique.
B. Un kyste hydatique du foie
C. Une tumeur gastrique.
D. Une tumeur du Colon transverse.

79- Devant une masse douloureuse de la fosse iliaque gauche chez un homme âgé de 55
ans, il faut évoquer :
A. Une sigmoïdite diverticulaire.
B. Une tumeur du côlon sigmoïde.
C. Une tumeur du côlon transverse.
D. Une masse ovarienne gauche.

80- L'abdomen aigu occlus se manifeste par :


A. Douleur.
B. Vomissements.
C. Arrêt des matières et des gaz.
D. Les toucher pelviens sont indispensables.
E.deshydratation

81- Le toucher rectal :


A. N'est pas systématique dans l'examen clinique
C. Peut se faire en position de décubitus dorsal ou ventral
D. Peut se faire en position de décubitus latéral
82- En cas de douleur abdominale aiguë :
A. Pâleur extrême évoque une spoliation sanguine.
B. Cyanose oriente vers une étiologie cardio-pulmonaire.
C. Agitation extrême évoque une colique néphrétique(obstacle ureteral). Ou colique
hepatique(biliare)
D. Ictère oriente vers une cause hépatobiliaire.
E.fievre oriente vers un cause hepatobiliare
F.Pouls evoque un collapsus

83- Devant une masse de la fosse iliaque droite :


A. On peut évoquer une grossesse extra-utérine chez une patiente en âge de procréer.
B. Il peut s'agir d'une appendicite aiguë.
C. L’échographie est d'un grand intérêt surtout chez la femme.
D. On peut évoquer une tumeur surrénalienne.

SEMIO DIGESTIVE DU PROF KHANOUSSI


84- Patient de 20 ans étudiant, vous consulte pour ictère d'allure cholestatique évoluant
depuis 1 semaine associé à une fièvre à 38°, myalgies et vomissements. A votre examen
clinique, vous trouvez une hépatomégalie à surface lisse régulière indolore et à bord
régulier sans splénomégalie ni ascite. Quel est votre premier diagnostic à évoquer ?
A. Une angiocholite sur lithiase de la voie biliaire principale.
B. Un foie cardiaque
C. Une hépatite virale aiguë.
D. Un foie tumoral.

Une patiente de 50 ans, diabétique, hypertendue, obèse présente des douleurs de


l'hypochondre droit irradiant à l'épaule et en hémi-ceinture depuis 15 jours avec des
vomissements post prandiaux précoces intermittents, sans altération de l'état général. Elle
consulte aux urgences pour une aggravation des douleurs suivies d'ictère avec urines foncées
et selles décolorées.

85- Quelle est ou quelles sont les réponses justes ?


A. C'est un tableau d'angiocholite
B. Il s'agit d'un ictère cholestatique
C. L'absence de prurit élimine une cholestase
D. Une hémolyse n'est pas exclue

86- Quels sont les diagnostics différentiels ?


A. Une tumeur rénale droite.
B. Une vésicule biliaire distendue
C. Une masse hépatique
D. Une tumeur de l'angle colique droit.

87- Parmi les diagnostiques suivants, quels sont ceux qu'on peut évoquer devant un
ictère cholestatique :
A. Une lithiase de la voie biliaire principale
B. Une tumeur de la tête du pancréas
C. Une tumeur de l'ampoule de Water
B. Une tumeur de la queue du pancréas.
D. Un kyste hydatique rompu dans les voies biliaires.(selon medoclass et google!!)
88- La loi de Courvoisier- Terrier se définit par l'association d'une.
A. Ictère cholestatique
B. Grosse vésicule palpable
C. Hépatomégalie
D. Tumeur intra-hépatique

89- Quels sont les signes clinico- biologiques de la cholestase ?


A. L'ictère.
B. Augmentation des transaminases.
C. Prurit généralisé.
D. Diminution du Taux de prothrombine.

90- Quels sont les caractéristiques de l'hépatomégalie du foie cardiaque ?


A. Douleur à la palpation de l'hypochondre droit.
B. Hépatalgies d'effort.
C. Bord tranchant
D. Reflux hépato-jugulaire.

91- Un patient de 55 ans consulte pour une altération de l'état général, une constipation
de progression récente avec notion de rectorragie intermittente et douleur abdominale
localisée au niveau du flanc gauche. Votre examen clinique trouve une hépatomégalie
droite à bord nodulaire et dur le toucher rectal est normal. Quel est le premier
diagnostic à évoquer devant cette hépatomégalie ?
A. Une cirrhose.
B. Une hépatite aiguë.
C. Une cholestase chronique.
D. Des métastases hépatiques d'un cancer du côlon.

92- Une patiente de 60 ans obèse, ayant comme ATCD une cholécystectomie pour
vésicule biliaire lithiasique, consulte pour colique hépatique, fièvre 39° suivie de
l'apparition d'un ictère cholestatique, votre examen clinique trouve une hépatomégalie à
bord mousse à surface lisse non douloureuse. Quel est le premier diagnostic à évoquer ?
A. Angiocholite sur lithiase résiduelle de la voie biliaire principale.
B. Abcès hépatique
C. Hépatite virale aiguë.
D. Cancer de la tête du pancréas.

93- Un patient de 70 ans admis aux urgences pour dyspnée au repos avec douleur de
l'hypochondre droit et oedème des membres inférieurs, votre examen clinique trouve
une hépatomégalie homogène sensible à bord mou avec une turgescence spontanée de la
veine jugulaire droite. Quel est le premier diagnostic à évoquer ?
A. Une cirrhose hépatique
B. Un foie tumoral
C. Un foie cardiaque
D. Une hépatite aiguë
94- Un patient de 66 ans admis aux urgences pour troubles de conscience sans
traumatisme, votre examen clinique trouve un patient apyrétique, subictérique, nuque
souple, ascite de grande abondance, une splénomégalie, une hépatomégalie à bord
tranchant, une circulation veineuse collatérale abdominale et une glycémie capillaire
normale. Quel est le premier diagnostic à évoquer devant cette hépatomégalie ?
A. Un foie cardiaque
B. Une cirrhose décompensée
C. Métastases hépatiques d'un cancer du pancréas
D. Une hémolyse

95- L'ictère cholestatique en présence d'une tumeur de la tête du pancréas (je suis pas
sure)
A. Est d'installation brutale.
B. Peut régresser spontanément.
C. S'accompagne d'une grosse vésicule palpable.
D. Peut être associé à un prurit.

96- Les étiologies d'un ictère cholestatique sont :


A. Cancer du pancréas.
B. Hémolyse.
C. Hépatite virale.
D. Lithiase de la voie biliaire principale.

97- Au cours du syndrome de Gilbert, on a :


A. Une élévation de la bilirubine conjuguée.
B. Une Elévation de la bilirubine non conjuguée
C. Une élévation de la bilirubine conjuguée associée à une élévation des ALAT.
D. Une élévation de la bilirubine non conjuguée associée à une élévation des ASAT

98- Lors d'un examen clinique, le bord supérieur du foie :


A. Est retrouvé systématiquement au niveau du 4ème espace intercostal.
B. Est retrouvé systématiquement au niveau du 5ème espace intercostal.
C. Est recherché par une percussion thoracique de haut en bas.
D. Est recherché par l'auscultation.

99- Un ictère cholestatique se caractérise par la présence de :


A. Urines foncées.
B. Selles décolorées.
C. Prurit.
D. Douleur de l'hypochondre droit.

100- Dans le cadre de l'exploration d'un ictère cholestatique, l'échographie permet de :


A. Explorer la vésicule biliaire
B. Chercher une dilatation de la voie biliaire principale
C. Chercher une dilatation des voies biliaires intra-hépatiques
D. Chercher un obstacle sur les voies biliaires
101- Devant une masse de la fosse iliaque droite, il faut évoquer :
A. Une tumeur du caecum
B. Une maladie de crohn
C. Un plastron appendiculaire
D. Une tumeur du côlon transverse

102- Une Hépatomégalie :


A. Avec un bord inférieur tranchant évoque un foie cardiaque
B. Avec un bord inférieur tranchant évoque un foie de cirrhose.
C. Avec signe d'ébranlement positif évoque en premier un foie cardiaque.
D. Le signe d'ébranlement est obtenu en mettant les doigts des deux mains en crochet en
accrochant le bord inférieur du foie lors de l'inspiration)

103- Un ictère à bilirubine non conjuguée :


A. Est accompagné de selles décolorées avec cholestase intra-hépatique.
B. Est accompagné d'une dilatation des voies biliaires intra-hépatiques sans dilatation des
extra-hépatiques ni du Wirsung.
C. Est toujours témoin d'une anémie hémolytique.
D. Aucune réponse n'est juste.

104- Le syndrome de cholestase biologique comprend :


A. Une augmentation de la CRP
B. Une augmentation de la bilirubine directe.
C. Une augmentation des Gamma GT.
D. Une augmentation du taux de prothrombine.

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