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QCM URO 

:
1/Quels sont les éléments diagnostiques en faveur d'une hypertrophie bénigne de la prostate:
B/C/D/E
A. Un âge inférieur à 40 ans
B. Une augmentation du volume prostatique au toucher rectal
C. La présence de signes obstructifs du bas appareil urinaire
D. La présence d'un résidu post-mictionnel important
E. La présence d'un débit maximal Qmax <15 mL/s
2/Concernant l'hypertrophie bénigne de la prostate : A/D
A. Le diagnostic histologique est un adénomyofibrome
B. Elle se développe au niveau de la zone périphérique de la prostate
C. C'est une lésion pré-cancéreuse
D. Le volume de la prostate n'est pas toujours augmenté de taille
E. Son diagnostic repose sur la réalisation de biopsies prostatique
3/Parmi les troubles mictionnels de l'hypertrophie bénigne de la prostate on peut trouver :
A/B/C/D
A. La pollakiurie diurne et nocturne
B. La présence de poussée abdominale à la miction
C. Un retard à l'initiation de la miction
D. La présence de gouttes retardataires
E. Une sensation de vidange vésicale incomplète
4/Parmi les diagnostics différentiels de l'HBP on peut trouver : A/B/C/E
A. La tumeur de vessie
B. La sténose de l'urètre
C. La maladie du col vésical
D. Le cancer du rein
E. La vessie neurologique
5/Une hbp peut induire des complications aigües comme: A/B/C
A. Une rétention aigüe des urines
B. Une orchi-épidymite
C. Une insuffisance rénale aigüe obstructive
D. Une lithiase de vessie
E. Une hernie de l'aine
6/Parmi les complications chroniques de l'hbp, on cite : A/B/D
A. La rétention chronique des urines
B. L'insuffisance rénale chronique
C. Le cancer de prostate
D. Les infections urinaires à répétition
E. La polykystose rénale
7/Concernant le diagnostic d'une hbp : A/C
A. L'évaluation des symptômes se fait à l'aide de scores cliniques
B. Le toucher rectal n'est pas systématique
C. La débimétrie est obligatoire
D. Une urétrocystoscopie est l'élément clé du diagnostic
E. La réalisation d'un bilan urodynamique est systématique
8/Concernant la débitmétrie urinaire : A/B/E
A. Elle permet d'objectiver et quantifier la dysurie
B. Un volume supérieur à 150 ml est nécessaire pour son interprétation
C. Débit maximal inférieur à 15 mL/s est normal
D. Une courbe aplatie est normal
E. La présence d'une courbe polyphasique est anormale
9/En cas d'hbp, l'échographie vésicale peut montrer : A/B/C/D
A. Une hypertrophie détrusorienne
B. Un diverticule vésical
C. Une lithiase de vessie
D. Un résidu post-mictionnel significatif
E. Une urétéro-hydronéphrose unilatérale
10/Concernant le traitement de l'hbp : A/E
A. L'abstention-surveillance est possible
B. Le traitement est toujours chirurgical
C. Le sondage vésical est systématique
D. Le traitement médical est indiqué en cas de complication
E. La mise en place de règles hygiéno-diététiques est possible
11/Quelles règles hygiéno-diététiques peuvent être instaurées dans le cadre d'une hbp : B/C/D
A. Augmentation des apports hydriques le soir
B. Éviter la caféine et l'alcool
C. Traitement d'une constipation associée
D. Pratique d'une activité physique régulière
E. Mise en place d'une antibiothérapie prophylactique
12/Les Alpha bloquants: A/D/E
A. ont un effet uniquement symptomatique
B. diminuent le PSA
C. diminuent le volume de la prostate
D. peuvent induire des hypotensions orthostatiques
E. peuvent induire des troubles éjaculatoires
13/Parmi les traitements médicaux de l'hbp, on cite : A/B/C/D
A. Les inhibiteurs de la 5 alpha réductase
B. La phytothérapie
C. Les inhibiteurs de la phospho-diestérase 5
D. Les alphabloqueurs
E. L'hormonothérapie
14/Les inhibiteurs de la 5 alpha réductase : A/B/D/E
A. Réduisent le volume de la prostate
B. Réduisent le PSA
C. Sont efficace immédiatement
D. Doivent être initialement associés aux alphabloqueurs
E. Peuvent induire des effets indésirables sexuels
15/Parmi les traitements chirurgicaux de l'hbp, on trouve : B/C/D/E
A. La prostatectomie radicale
B. La resection tran-urétrale de la prostate
C. L'incision cervico-prostatique
D. L'adénomectomie par voie haute
E. L'énucléation par laser
16/Concernant les indications thérapeutiques : A/B/C/D
A. L'abstention thérapeutique est possible en cas d'hbp non compliquée avec des symptômes peu
gênant
B. La chirurgie est indiquée en cas de complications
C. Le traitement médical est indiqué en cas d'hbp non compliquée avec des symptômes gênant
D. La chirurgie est indiquée en cas d'échec du traitement médicale
E. Le traitement médical est indiqué en cas d'hbp compliquée
17/M. Z, 65 ans est vu en consultation pour une dysurie avec présence de poussées abdominales,
miction entrecoupée et sensation de vidange incomplète. Quels sont les autres signes fonctionnels
à rechercher à l'interrogatoire orientant vers une possible hbp? A/B/C
A. La présence de signes de la phase de remplissage urinaire
B. La présence de signes de la phase mictionelle
C. La présence de signes de la phase post-mictionelle
D. La présence d'une lombalgie unilatérale
E. La présence d'une grosse bourse chronique unilatérale
18/La débimètrie de M. Z montre un débit urinaire maximal est de 9mL/s, un volume uriné de 184
cc, une courbe polyphasique et un allongement du temps mictionnel. Son résidu post-mictionel est
de 250 cc. Ces éléments sont : A
A. En faveur de la présence d'une hbp
B. Posent le diagnostic d'un cancer de la prostate
C. Normaux
D. Une indication à la réalisation d'un bilan urodynamique
E. Une indication pour une abstention thérapeutique
19/En plus des éléments précédant, M. Z présente un score IPSS chiffré à 16, aucune complication
et un volume prostatique chiffrée à 40g. Concernant son traitement vous préconiser: D
A. Un traitement chirurgical d'emblé
B. Un traitement par des IPDE 5 seul
C. Un traitement par phytothérapie seul
D. Un traitement par alphabloqueur
E. Un traitement par anticholinergique
20/Quels bilans paracliniques peuvent-être demandés en première intention ? A/B/C
A. Une échographie réno-vesico-prostatique avec mesure du résidu post-mictionel
B. Un ECBU
C. Un PSA avec le consentement éclairé du patient
D. Un bilan urodynamique
E. Une urétro-cystoscopie

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