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URGENCES

ET
REANIMATION
SOMMAIRE :

EXAM PAGE
2018-2019 : 1ère session 16-21
2018-2019 : 2ème session 22-27
2017-2018 : 1ère session 28-32
2017-2018 : 2ème session 33-35
2016-2017 : 1ère session 36-41
2014-2015 : 1ère session 42
2013-2014 : 1ère session 43
Année inconnue xD 44

POLY D’EXAMS S9 (19/20) // AMINE ACHAK - YASSINE AMARA & BADR EDDINE AOUJI 15
URGENCES ET REANIMATION 2018-2019 (1ère session)
PR EL AHMADI
1- Quels sont les critères d’interruption de la titration de morphine ?
a) 60 mg de morphine reçue
b) Echelle Visuelle Antalgique < 3/10
c) Hypoxie
d) Fréquence respiratoire < 10 cycles par minute
e) Tachycardie > 120 bpm
f) Toutes les propositions sont correctes

2- L’Echelle Visuelle Analogique est :


a) Une échelle d’évaluation de l’intensité de la douleur.
b) Une échelle de diagnostic de la douleur psychogène
c) Une échelle unidimensionnelle d’autoévaluation
d) Une échelle de diagnostic de la douleur neuropathique
e) Une échelle influencée par la mémorisation numérique
f) Utilisable chez le nouveau-né

3- La morphine est indiquée en première intention pour :


a) Une douleur neuropathique modérée.
b) Une douleur chronique nociceptive intense.
c) Une douleur psychogène
d) Une douleur aigue nociceptive intense.
e) Une douleur chronique nociceptive minime.
f) Une douleur mixte minime.

4- Quels sont les mécanismes de la douleur ?


a) Excès de nociception
b) Psychogène
c) Dysfonction des neurones nociceptifs
d) Modification structurale des neurocepteurs
e) Défaut de modulation de la transmission
f) Neuropathique

5- Quels sont les contre-indications de la Ventilation Non Invasive (VNI) ?


a) Décompensation de BPCO
b) OAP cardiogénique
c) Troubles de la conscience
d) Traumatisme thoracique
e) Estomac plein
f) Traumatisme facial

6- Quels sont les signes de gravité d’une insuffisance respiratoire aigue ?


a) Cyanose
b) Troubles de la conscience
c) Balancement thoraco-abdominal
d) PaCO2 > 70mmHg
e) Acidose sévère
f) Gêne à l’élocution

7- Quels sont les principales causes de décompensation de BPCO ?


a) Pneumopathie
b) Prise de Bronchodilatateurs
c) Prise d’antibiotique
d) Prise de corticoïdes
e) Traumatisme thoracique
f) Prise de sédatifs

POLY D’EXAMS S9 (19/20) // AMINE ACHAK - YASSINE AMARA & BADR EDDINE AOUJI 16
8- Les principes de traitement d’une crise d’asthme sévère sont :
a) Oxygénothérapie
b) Bronchodilatateurs
c) Surveillance continue
d) Traiter le facteur décléchant
e) Corticothérapie
f) Diurétiques

9- Lesquels de ces critères entrent dans la définition du choc septique ?


a) Sepsis
b) Pression veineuse centrale < 8 cmH2O
c) Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une pression artérielle systolique > 120 mmHg
d) Lactatémie > 2 mmol/l
e) Diurèse < 1ml/Kg/min
f) Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une pression artérielle moyenne > 65 mmHg

10- Quels états de choc sont dits quantitatifs à la phase initiale ?


a) Choc septique
b) Choc cardiogénique
c) Choc neurogénique
d) Choc hypovolémique
e) Choc anaphylactique
f) Choc vagal

11- Quels sont les déterminants du transport artériel en oxygène ?


a) Volume d’éjection systolique
b) Fréquence cardiaque
c) Saturation artérielle en oxygène
d) Taux d’hémoglobine
e) Résistances vasculaires systémiques
f) Saturation pulsée en oxygène

12- Font partie de la triade létale du choc hémorragique :


a) L’hypothermie
b) L’hypotension artérielle
c) L’hypoventilation
d) L’hypoxie
e) L’acidose
f) La coagulopathie

13- Dans le choc anaphylactique :


a) Un remplissage vasculaire libre est bénéfique
b) L’éviction de la substance en cause est obligatoire
c) Les corticoïdes sont contre-indiquées
d) L’adrénaline n’est pas la drogue vasopressive de choix
e) La transfusion sanguine est systématique
f) La dobulamine est systématique

14- Parmi les critères d’une pré-éclampsie sévère, on retrouve :


a) PAD à 110 mmHg
b) Protéinurie à 6g/l
c) PAS à 150 mmHg
d) Oligoanurie
e) Céphalées persistances
f) Douleur épigastrique en barre

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15- Le HELLP syndrome associe :
a) Hémolyse
b) Thrombose
c) Cholestase
d) Cytolyse hépatique
e) Thrombopénie
f) Taux de prothrombine bas

16- CAT devant une éclampsie à 36 SA, avec bruits cardiaques fœtaux positifs :
a) Sécuriser les voies aériennes supérieures
b) Donner le Sulfate de magnésium
c) Arrêter la crise par les benzodiazépines
d) Assurer l’Oxygénation
e) Attendre la maturation foetale
f) Indiquer l’extraction foetale

17- Un coma calme est retrouvé dans les intoxications à :


a) Benzodiazépines
b) Antidépresseur tricyclique
c) CO
d) Barbituriques
e) Ectasy
f) Amphétamine

18- Quels sont les signes orientant vers une intoxication aux opioïdes ?
a) Tachycardie
b) Mydriase
c) Bradypnée
d) Troubles de la vigilance
e) Myosis
f) Syndrome extrapyramidal

19- Quel couple toxique/antidote est juste ?


a) Organophosphorés / Pralidoxime
b) Paracétamol / N-acétyl-cystéïne
c) Benzodiazépine / Naloxone
d) Opïode / Flumazénil
e) CO / CO2
f) Bétabloquants / Glucagon

20- Comment prévenir des intoxications aux anesthésiques locaux ?


a) Injection lente et fractionnée
b) Respecter les doses maximales
c) Donner systématiquement un anticonvulsivant
d) Aspirations répétées
e) Garder le contact avec le patient
f) Toutes les propositions

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PR BENTALHA

21- Devant un patient victime d’une électrisation, il faut :


a) Dégager la victime avant de couper le courant
b) Dégager les voies aériennes en subluxant la mâchoire
c) Mettre un garrot autour du point d’entrée du courant
d) Faire un cardioversion
e) Faire un électrocardiogramme
f) Appliquer un choc électrique externe

22- Un coup de chaleur est à évoquer devant :


a) Exposition prolongée à des températures élevées
b) Peau sèche en phase d’état
c) Exercice physique intense en ambiance chaude
d) Polyurie et polydipsie
e) Une température supérieure à 40° C avec des troubles neurologiques
f) Une température à 38,5° C avec asthénie

23- Le traitement d’un coup de chaleur repose sur :


a) Le refroidissement par immersion dans de l’eau froide
b) L’administration de glucorticoïde
c) La réhydratation orale et intraveineuse
d) Le refroidissement par vessie de glace sur les axes vasculaires
e) L’administration d’acide acétylsalicyclique
f) Les mesures réanimation en cas de défaillances multi viscérales

24- La gravité d’une brûlure par liquide chaud dépend de :


a) La localisation de la brûlure
b) La profondeur de la brûlure
c) L’étendue de la brûlure
d) L’âge du sujet brulé
e) L’association à une inhalation de fumée
f) L’apparition d’oedème

25- Une brûlure est dite grave pour :


a) Tout nouveau-né (quel que soit la surface brulée)
b) Une localisation cervico-faciale
c) Tout nourrisson avec surface cutanée brulée (SCB) plus de 10%
d) Une localisation abdominale
e) Toute adulte avec SCB de plus de 25%
f) Toute brûlure récente de moins de 24 heures

26- Devant une brûlure grave vous devez immédiatement :


a) Extraire le patient du danger
b) Mettre en place une voie veineuse périphérique
c) Refroidir la peau par de l’eau froide
d) Evaluer la douleur et la traiter
e) Couvrir les brûlures par de la terre
f) Mettre le patient sous antibiotiques

27- Il faut intuber un brulé grave si :


a) Le patient présente une détresse respiratoire
b) Les brûlures sont cervico-faciales
c) Le patient est inconscient (GCS inférieur à 9)
d) Les voies aériennes supérieures sont brulées
e) La superficie dépasse les 20% chez un adulte
f) Le patient présente une fièvre à 39°C

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28- Une envenimation est définie comme étant :
a) Des vomissements liés à l’ingestion d’un produit venimeux
b) L’ensemble des manifestations apparaissent 48 heures après une piqûre de scorpions
c) Une piqûre par un animal venimeux sans signes associés
d) L’ensemble des manifestations locales et générales dues à la pénétration d’une substance toxique produite par
un animal venimeux
e) Un état de choc provoqué par la morsure d’un chien
f) Des lésions cutanées dues à l’application d’un produit venimeux sur la peau

29- Devant une envenimation par piqûre de scorpion, il faut :


a) Aspirer par la bouche le venin injecté par le scorpion
b) Poser un garrot au-dessus de l’endroit piqué
c) Mettre de la terre au sable sur la piqûre
d) Poser un garrot au-dessous de l’endroit piqué
e) Scarifier l’endroit de la piqûre
f) Donner un antalgique au patient

30- Devant le syndrome vipérin lors d’une morsure de serpent :


a) Le grade 0 est caractérisé par une douleur modérée avec des traces de crochets
b) Le grade 3 est caractérisé par l’apparition d’un saignement avec défaillance viscérale
c) Le grade 1 est caractérisé par une douleur importante mais sans œdème
d) Le grade 4 est caractérisé par des paresthésies extensives
e) Le grade 2 est caractérisé par un œdème dépassant le coude ou le genou
f) Il faut mettre le patient sous héparinothérapie

31- Devant une noyade, il faut :


a) Réchauffer le patient
b) Mettre le patient sous oxygénothérapie en fonction de sa saturation
c) Mettre une antibiothérapie systématiquement
d) Perfuser par des solutés hypotoniques
e) Faire vomir le patient
f) Intuber systématiquement tous les patients pour aspirer la trachée

32- Parmi les définitions suivantes lesquelles sont justes :


a) Un polytraumatisé est un patient dont le pronostic vital ou fonctionnel est menacé par une lésion constatée ou
supposée de par le mécanisme ou la violence
b) Une hypothermie est une baisse de la température centrale < 38°C
c) La noyade est une insuffisance respiratoire aiguë qui résulte de l’immersion dans un liquide
d) Une électrisation est définie par l’ensemble des manifestations physiologiques et physiopathologiques dues au
passage du courant dans l’organisme
e) Un nouveau-né est défini depuis les premières minutes de sa naissance jusqu’à 28 jours de vie
f) Une électrisation est synonyme d’électrocution

33- Parmi les facteurs de risque de détresse néonatale :


a) L’âge maternel avancé
b) Le diabète maternel
c) La prématurité
d) Liquide amniotique clair
e) Le travail prolongé
f) Présentation céphalique

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34- Les deux principaux critères d’évaluation d’un nouveau-né en salle de naissance sont :
a) La fréquence cardiaque et la coloration
b) La respiration et la conscience
c) La fréquence cardiaque et la conscience
d) Le tonus et l’oxygénation
e) La respiration et la coloration
f) La respiration et la fréquence cardiaque

35- Les indications d’intubation d’un nouveau-né en salle de naissance incluent :


a) Macrosomie
b) Liquide amniotique méconial avec obstruction
c) Ventilation ou ballon inefficace ou prolongée
d) Diabète maternel
e) Nouveau-né suspect d’hernie diaphragmatique en détresse respiratoire
f) Prématuré < 28 SA et/ou < 1000g

36- Le massage cardiaque chez un nouveau-né :


a) Est systématique pour tous les nouveau-nés
b) Ne doit être commencé que si le nouveau-né présente un arrêt cardiaque
c) Doit commencer dès une fréquence cardiaque inférieure à 60 battements/minutes
d) Se fait en utilisant 2 doigts à 1cm en dessous de la ligne mamelonnaire
e) Doit commencer si la fréquence cardiaque est entre 60 et 80 sans augmentation du rythme
f) La technique comprend 30 compressions pour 2 ventilations

37- La prise en charge d’un nouveau-né en salle de travail, inclue :


a) Le bain du nouveau-né
b) Positionnement de la tête en position neutre
c) Le séchage et le réchauffement
d) Administration de corticoïdes
e) Aspiration de la bouche
f) Stimulation du nouveau-né (en frictionnant la plante des pieds)

38- Un polytraumatisé est potentiellement grave si :


a) Le patient présente une détresse respiratoire à son admission
b) Le patient est un piéton
c) Le mécanisme de l’accident est violent (éjection, chute plus de 6 mètres)
d) Si le patient a nécessité une ventilation en pré-hospitalier
e) Le traumatisme est fermé
f) Si le patient est âgé de moins de 40 ans

39- Les indications d’intubation chez un polytraumatisé incluent :


a) Un score de Glasgow inférieur ou égal à 8
b) Une détresse respiratoire
c) Une hyperglycémie
d) Une détresse hémodynamique
e) Des vomissements
f) Une hypothermie

40- En cas d’accès veineux périphériques difficile chez un polytraumatisé instable, il faut :
a) Prendre le temps nécessaire pour avoir deux voies veineuses de bon calibre
b) Poser une voie veineuse centrale
c) Utiliser la voie intramusculaire
d) Utiliser la voie intratrachéale
e) Prendre une voie intra-osseuse
f) Utiliser la voie sous cutanée

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URGENCES ET REANIMATION 2018-2019 (2ère session)
PR EL AHMADI
1- Quels sont les critères d’interruption de la titration de morphine ?
a) 60 mg de morphine reçue
b) Echelle Visuelle Antalgique < 3/10
c) Hypoxie
d) Fréquence respiratoire < 10 cycles par minute
e) Tachycardie > 120 bpm
f) Toutes les propositions sont correctes

2- L’Echelle Visuelle Analogique est :


a) Une échelle d’évaluation de l’intensité de la douleur.
b) Une échelle de diagnostic de la douleur psychogène
c) Une échelle unidimensionnelle d’autoévaluation
d) Une échelle de diagnostic de la douleur neuropathique
e) Une échelle influencée par la mémorisation numérique
f) Utilisable chez le nouveau-né

3- La morphine est indiquée en première intention pour :


a) Une douleur neuropathique modérée.
b) Une douleur chronique nociceptive intense.
c) Une douleur psychogène
d) Une douleur aigue nociceptive intense.
e) Une douleur chronique nociceptive minime.
f) Une douleur mixte minime.

4- Quels sont les mécanismes de la douleur ?


a) Excès de nociception
b) Psychogène
c) Dysfonction des neurones nociceptifs
d) Modification structurale des neurocepteurs
e) Défaut de modulation de la transmission
f) Neuropathique

5- Quels sont les contre-indications de la Ventilation Non Invasive (VNI) ?


a) Décompensation de BPCO
b) OAP cardiogénique
c) Troubles de la conscience
d) Traumatisme thoracique
e) Estomac plein
f) Traumatisme facial

6- Quels sont les signes de gravité d’une insuffisance respiratoire aigue ?


a) Cyanose
b) Troubles de la conscience
c) Balancement thoraco-abdominal
d) PaCO2 > 70mmHg
e) Acidose sévère
f) Gêne à l’élocution

7- Quels sont les principales causes de décompensation de BPCO ?


a) Pneumopathie
b) Prise de Bronchodilatateurs
c) Prise d’antibiotique
d) Prise de corticoïdes
e) Traumatisme thoracique
f) Prise de sédatifs

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8- Les principes de traitement d’une crise d’asthme sévère sont :
a) Oxygénothérapie
b) Bronchodilatateurs
c) Surveillance continue
d) Traiter le facteur décléchant
e) Corticothérapie
f) Diurétiques

9- Lesquels de ces critères entrent dans la définition du choc septique ?


a) Sepsis
b) Pression veineuse centrale < 8 cmH2O
c) Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une pression artérielle systolique > 120 mmHg
d) Lactatémie > 2 mmol/l
e) Diurèse < 1ml/Kg/min
f) Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une pression artérielle moyenne > 65 mmHg

10- Quels états de choc sont dits quantitatifs à la phase initiale ?


a) Choc septique
b) Choc cardiogénique
c) Choc neurogénique
d) Choc hypovolémique
e) Choc anaphylactique
f) Choc vagal

11- Quels sont les déterminants du transport artériel en oxygène ?


a) Volume d’éjection systolique
b) Fréquence cardiaque
c) Saturation artérielle en oxygène
d) Taux d’hémoglobine
e) Résistances vasculaires systémiques
f) Saturation pulsée en oxygène

12- Font partie de la triade létale du choc hémorragique :


a) L’hypothermie
b) L’hypotension artérielle
c) L’hypoventilation
d) L’hypoxie
e) L’acidose
f) La coagulopathie

13- Dans le choc anaphylactique :


a) Un remplissage vasculaire libre est bénéfique
b) L’éviction de la substance en cause est obligatoire
c) Les corticoïdes sont contre-indiquées
d) L’adrénaline n’est pas la drogue vasopressive de choix
e) La transfusion sanguine est systématique
f) La dobulamine est systématique

14- Parmi les critères d’une pré-éclampsie sévère, on retrouve :


a) PAD à 110 mmHg
b) Protéinurie à 6g/l
c) PAS à 150 mmHg
d) Oligoanurie
e) Céphalées persistances
f) Douleur épigastrique en barre

POLY D’EXAMS S9 (19/20) // AMINE ACHAK - YASSINE AMARA & BADR EDDINE AOUJI 23
15- Le HELLP syndrome associe :
a) Hémolyse
b) Thrombose
c) Cholestase
d) Cytolyse hépatique
e) Thrombopénie
f) Taux de prothrombine bas

16- CAT devant une éclampsie à 36 SA, avec bruits cardiaques fœtaux positifs :
a) Sécuriser les voies aériennes supérieures
b) Donner le Sulfate de magnésium
c) Arrêter la crise par les benzodiazépines
d) Assurer l’Oxygénation
e) Attendre la maturation foetale
f) Indiquer l’extraction foetale

17- Un coma calme est retrouvé dans les intoxications à :


a) Benzodiazépines
b) Antidépresseur tricyclique
c) CO
d) Barbituriques
e) Ectasy
f) Amphétamine

18- Quels sont les signes orientant vers une intoxication aux opioïdes ?
a) Tachycardie
b) Mydriase
c) Bradypnée
d) Troubles de la vigilance
e) Myosis
f) Syndrome extrapyramidal

19- Quel couple toxique/antidote est juste ?


a) Organophosphorés / Pralidoxime
b) Paracétamol / N-acétyl-cystéïne
c) Benzodiazépine / Naloxone
d) Opïode / Flumazénil
e) CO / CO2
f) Bétabloquants / Glucagon

20- Comment prévenir des intoxications aux anesthésiques locaux ?


a) Injection lente et fractionnée
b) Respecter les doses maximales
c) Donner systématiquement un anticonvulsivant
d) Aspirations répétées
e) Garder le contact avec le patient
f) Toutes les propositions

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PR BENTALHA

21- Une brûlure est dite grave pour :


a) Un enfant avec une SCB plus de 20%
b) Une localisation cervico-faciale
c) Tout nourrisson avec surface cutanée brûlée (SCB) plus de 10%
d) De localisation thoracique
e) Une profondeur de la brûlure de 3ème degré sur plus de 10% de surface cutanée brûlée
f) Toute brûlure récente de moins de 24 heures

22- Devant une brûlure grave vous devez immédiatement :


a) Faire prendre un bain chaud au patient
b) Extraire le patient du danger
c) Mettre en place une voie veineuse périphérique
d) Donner un traitement antalgique
e) Couvrir les brûlures par de la terre
f) Mettre le patient systématiquement sous antibiotique

23- La complication la plus attendue à la phase initiale d’une brûlure par de l’eau chaude est :
a) Un choc anaphylactique
b) Un choc cardiogénique
c) Un choc hypovolémique
d) Un choc septique
e) Des troubles de conscience
f) Une polyurie

24- Une envenimation est définie par :


a) Une injection intraveineuse d’un venin
b) L’ensemble des manifestations locales et générales dues à la pénétration d’une substance toxique produite par
un animal venimeux
c) Un état de choc provoqué par la morsure d’un chien
d) Des vomissements liés à l’ingestion d’un produit venimeux
e) L’ensemble des manifestations apparaissent 48h après une piqûre de scorpion
f) Une piqûre par un animal venimeux sans signes associés

25- Devant une envenimation par piqûre de scorpion, il faut :


a) Donner un antalgique au patient
b) Poser un garrot en dessous de l’endroit piqué
c) Désinfecter l’endroit de la piqûre par un antiseptique non alcoolique
d) Aspirer par la bouche le venin injecté par le scorpion
e) Vérifier la vaccination antitétanique
f) Scarifier l’endroit de la piqûre

26- Les signes prédictifs de gravité lors d’une piqûre de scorpion englobent :
a) Un âge supérieur à 15 ans
b) Un délai de prise en charge supérieur à 4 heures
c) Une détresse vitale précoce
d) Des vomissements incoercibles avec sueurs profuses
e) Existence de comorbidité
f) La profondeur de la piqûre

27- Dans le syndrome vipérin lors d’une morsure de serpent :


a) Le grade 0 est caractérisé par une douleur modérée avec des traces de crochets
b) Le grade 1 est caractérisé par une douleur importante mais sans œdème
c) Le grade 2 est caractérisé par un œdème dépassant le coude ou le genou
d) Le grade 4 est caractérisé par des paresthésies extensives
e) Il faut mettre le patient sous héparinothérapie
f) Il faut mettre le patient sous corticothérapie

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28- L’immunothérapie antivenimeuse (sérothérapie) lors d’une morsure de serpent est indiquée :
a) Dans le syndrome cobraïque
b) Dans le syndrome vipérin grade III (envenimation grave)
c) Dans le syndrome vipérin grade II (envenimation de gravité intermédiaire)
d) Dans le syndrome vipérin grade I (envenimation minime) si grossesse associée
e) Dans le syndrome vipérin grade I (envenimation minime) si morsure au visage ou au cou.
f) Si la douleur est très importante

29- Les stades de noyade peuvent être décrit comme suit :


a) Stade I : Aquastress (pas d’inhalation / pas de détresse)
b) Stade II : Petite hypoxie (inhalation d’eau, gêne respiratoire, toux)
c) Stade III : Grande hypoxie (détresse respiratoire / troubles de conscience)
d) Stade IV : Anoxique / Arrêt cardiorespiratoire
e) Stade V : Etat de choc
f) Stade VI : Décès par noyade

30- Devant une noyade, il faut :


a) Laisser le patient dans l’eau froide pour éviter un choc thermique
b) Réchauffer le patient
c) Faire vomir le patient
d) Mettre le patient sous oxygénothérapie en fonction de sa saturation
e) Mettre une antibiothérapie systématiquement
f) Intuber systématiquement tous les patients pour aspirer la trachée

31- Parmi les définitions suivantes lesquelles sont justes :


a) La noyade est une insuffisance respiratoire aigüe qui résulte de l’immersion dans un liquide
b) Un polytraumatisé est un patient avec 2 lésions ou plus dont une au moins menace le pronostic fonctionnel
c) Un polytraumatisé est un patient dont le pronostic vital ou fonctionnel est menacé par une lésion constatée ou
supposée de par le mécanisme ou la violence
d) Une électrisation est définie par l’ensemble des manifestations physiologiques physiopathologiques dues au
passage du courant dans l’organisme
e) Une électrocution est définie par le décès suite à une électrisation
f) Un nouveau-né est défini depuis les premières minutes de sa naissance jusqu’à 60 jours de vie.

32- Devant un patient victime d’une électrisation, il faut :


a) Appliquer un choc électrique externe
b) Faire une cardioversion
c) Dégager la victime après avoir coupé le courant
d) Dégager les voies aériennes en subluxant la mâchoire
e) Mettre un garrot autour du point d’entrée du courant
f) Faire un électrocardiogramme

33- Parmi les facteurs de risque de détresse néonatale :


a) La pré-éclampsie
b) Le diabète sucré maternel
c) La macrosomie
d) Primiparité
e) La procidence de cordon
f) Accouchement par voie basse

34- Les deux principaux critères d’évaluation d’un nouveau-né en salle de naissance sont :
a) La fréquence cardiaque et la conscience
b) La fréquence cardiaque et la respiration
c) La fréquence cardiaque et la coloration
d) L’ampliation thoracique et la saturation
e) La respiration et la coloration
f) Le score d’Apgar et le score de Silvermann

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35- Les techniques de réanimation d’un nouveau-né en salle de travail incluent :
a) L’aspiration de la bouche du nouveau-né
b) L’intubation de tous les nouveau-nés
c) La mise du nouveau-né en position assise
d) La stimulation du nouveau-né de manière douce (petites frictions dans le dos)
e) L’hyper luxation du cou du nouveau-né
f) Le massage cardiaque de tous les nouveau-nés

36- Un polytraumatisé est potentiellement grave si :


a) Le patient présente une instabilité hémodynamique à son admission
b) Le patient est inconscient avec un score de Glasgow inférieur à 8
c) Le patient a été projeté d’une voiture
d) Le traumatisme est fermé
e) Le patient a plus de 65 ans
f) Si le patient a nécessité la mise en route de catécholamines en pré-hospitalier

37- Les indications d’intubation chez un polytraumatisé incluent :


a) Une agitation incontrôlable
b) Une hypothermie
c) Un score de Glasgow inférieur ou égal à 8
d) Une détresse respiratoire
e) Une hyperglycémie
f) Une détresse hémodynamique

38- Les causes de détresse respiratoire chez un polytraumatisé incluent :


a) Un pneumothorax
b) Un hémothorax
c) Un corps étranger obstruant les voies aériennes supérieures
d) Chute de la langue
e) Une hypothermie
f) Une hypoglycémie

39- Cocher la ou les réponses justes concernant l’hypothermie :


a) L’hypothermie est définie par la baisse de la température centrale : < à 35°C
b) L’hypothermie est dite modérée si la température est entre 32 et 35°C
c) L’hypothermie est dite sévère si la température est entre 28 et 32°C
d) L’hypothermie est dite profonde si la température est < à 28°C
e) L’hypothermie à moins de 28°C peut être responsable d’un arrêt cardiaque

40- Le traitement d’un coup de chaleur repose sur :


a) La mise à l’ombre du patient avec brumisation d’eau
b) Le refroidissement par immersion dans de l’eau froide
c) Le refroidissement par vessie de glace sur les axes vasculaires
d) L’administration d’antibiotiques
e) La réhydratation orale et intraveineuse
f) L’administration d’acide acétylsalicyclique

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URGENCES ET REANIMATION 2017-2018 (1ère session )
PR BAITE
1- Les systèmes compensateurs intervenants dans les états de choc à l’étage de la macrocirculation sont :
a) Système nerveux sympathique
b) Système cholinergique
c) Système neuro-hormonal rénine angiotensine-aldostérone
d) Système dopaminergique
e) Système ADH-Vasopressine

2-Parmi les étiologies du choc obstructif on note :


a) L’embolie pulmonaire grave
b) Pneumothorax compressif
c) Traumatisme du bassin
d) Syndrome de compartiment
e) Asthme Aigu Grave (AAG)

3-Les grandes étiologies du choc distributif sont :


a) Le choc septique
b) Bloc auriculo-ventriculaire
c) L’anaphylaxie
d) Le choc hémorragique
e) Embolie pulmonaire

4-Chez le traumatisé grave, certaines causes de décès sont évitables :


a) Retard de prise en charge
b) Utilisation de la noradrénaline à la seringue électrique
c) Sous estimation de la gravité des lésions
d) Erreur diagnostic
e) Utilisation d’un pantalon antichoc

5- On peut évaluer la gravité d’un traumatisme par :


a) Chute d’une hauteur de plus de 6 mètres
b) Score de Glasgow (GCS) supérieur à 14
c) Fracture du Bassin
d) Fracture fermée de la jambe
e) Victime projetée ou écrasée

6- Parmi les facteurs favorisants le coup de chaleur:


a) Exercice intense et prolongé
b) Situation de Vasoplégie
c) Anomalie de la sudation
d) L’hyperhydrataion
e) Hygrométrie supérieure à 40%

7-Parmi les étiologies de la noyade secondaire on cite :


a) Tétanie
b) Hypoglycémie
c) Hypercalcémie
d) Accident vasculaire cérébral
e) Crise épileptique

8- Le brulé grave sera intubé si :


a) Brûlure circulaire du cou avant l’œdème compressif
b) En cas d’embolie pulmonaire associée
c) Trouble de la conscience
d) Angor instable
e) Obstruction prévisible des voies aériennes supérieures

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9- Parmi les modes d’action du venin on trouve :
a) Neurotoxicité
b) Syndrome cholinergique
c) Trouble de la coagulation
d) Myolyse et nécrose tissulaire
e) Une coagulopathie intraveineuse disséminée (CIVD)

10- Parmi les complications viscérales de l’électrisation on trouve :


a) Une rhabdomyolyse avec insuffisance rénale aigue
b) Une pancréatite aigue
c) Un syndrome occlusif
d) Perforation d’organe creux
e) Hépatite fulminante
COCHEZ LA REPONSE JUSTE

11- Le catécholamine de choix au cours du choc anaphylactique est :


a) L’isuprel
b) Dopamine
c) Adrénaline
d) Dexamethasone

12- Le médicament de 1ère intention dans le traitement du choc cardiogénique est :


a) La Nicardipine
b) La Ventoline
c) La Dobutamine
d) L’atropine

13- L’électrocution est définie comme :


a) Une électrisation à très haut voltage
b) Mort produite par électrisation
c) Brûlure thermique avec arc électrique
d) Une tétanisation par courant électrique

14- Au cours d’une envenimation vipérine grave au sud du Maroc, l’immunothérapie utilisée par voie intraveineuse est:
a) SAV (viperfav)
b) Sérum antivenimeux FAV Afrique
c) Tigelline
d) Corticothérapie injectable

15- Chez le brûlé grave, la posologie du soluté de remplissage (Ringer lactate) utilisé durant les 8 premières heures est
de :
a) 4ml/ kg/ % SB (surface brûlée)
b) 2ml/ kg/ % SB
c) 0,5ml/ kg/ % SB
d) 8ml/ kg/ %

16- Lors d’une fracture grave du bassin, le volume de sang perdu estimé est :
a) 250 ml
b) 500 ml
c) 500 à 5000 ml
d) 1000 à 2000 ml

17- Lors d’une hyperthermie d’effort chez le jeune en bonne santé on trouve :
a) Un infarctus mésentérique systématique
b) Une rhabdomyolyse sévère
c) Absence d’acidose lactique
d) Absence d’insuffisance rénale aigue oligoanurique

POLY D’EXAMS S9 (19/20) // AMINE ACHAK - YASSINE AMARA & BADR EDDINE AOUJI 29
18- L’onde « J » d’OSBORNE apparaît à l’électrocardiogramme lorsque la température centrale est :
a) Température supérieure à 40° C
b) Température inférieure à 30° C
c) Quand le score de Glasgow est inférieure à 13
d) En cas de convulsions

19- Dans le choc septique on note :


a) Une diminution de l’extraction tissulaire de l’oxygène
b) Toujours un inotropisme négatif
c) Augmentation des résistances vasculaires systématique
d) Augmentation de la recharge

20- Lors d’une envenimation vipérine :


a) Aspirer le venin
b) Donner une corticothérapie
c) Pas d’incision
d) Débrider la plaie et donner des antibiotiques

PR ALILOU

21- La préeclampsie :
a) Est définie par l’apparition d’une hypertension artérielle > 140/90 mmHg avec protéinurie>0,3g/l à partir de 20 SA
b) Est définie par l’apparition d’une hypertension artérielle > 160/100 mmHg avec protéinurie>0,3g/l.
c) Est définie par l’apparition d’une protéinurie significative chez une patiente hypertendue chronique
d) Les symptômes de la pré-eclampsie disparaissent généralement avant la 6ème semaine du postpartum.

22- La surveillance d’une patiente qui présente une pré-eclampsie sévère comporte :
a) La mesure de la pression artérielle plusieurs fois par jour (toutes les 4 à 8 heures)
b) La recherche de signes fonctionnels, l’évaluation des réflexes ostéotendineux et la surveillance de la diurèse.
c) La surveillance du rythme cardiaque fœtal au moins une fois par jour.
d) La réalisation du bilan sanguin n’a pas d’intérêt.

23- Dans le traitement de la pré-eclampsie :


a) Le seul traitement curatif est l’évacuation utérine
b) Le déclenchement de l’accouchement dépend l’âge gestationnel et de la sévérité de la pré-eclampsie.
c) La corticothérapie pour maturité pulmonaire fœtale est contre-indiquée.
d) Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion constituent la base du traitement.

24- Parmi les facteurs de risque de détresse néonatale on note :


a) La présence d’une pathologie maternelle aigue ou chronique.
b) Les médicaments pouvant influer sur la fonction respiratoire.
c) La prématurité ou la post-maturité.
d) La corticothérapie anténatale en cas de prématurité.

25- Lors de la réanimation d’un nouveau-né en salle de naissance :


a) La normothermie (36,5°C à 37,5°C) et l’asepsie ne sont plus des impératifs à respecter.
b) Les deux principaux critères à évaluer sont la respiration et la fréquence cardiaque.
c) L’oxygénation est appréciée par la SpO2 sus-ductale (membre supérieur droit)
d) Le score d’Apgar permet de conduire la réanimation, mais n’a pas de valeur pronostique.

26- La prise en charge en cas de la détresse néonatale comporte :


a) La mise en position neutre du nouveau-né et la désobstruction des voies aériennes supérieures.
b) En cas de bradycardie inférieure à 100/min la ventilation en pression positive est initiée.
c) Le massage cardiaque est débuté au rythme de 120 compressions/min si la fréquence cardiaque est inférieure à
60 battements/min.
d) L’adrénaline par voie intraveineuse ou endotrachéale est indiquée si la fréquence cardiaque est inférieure à 60
battements/min.

POLY D’EXAMS S9 (19/20) // AMINE ACHAK - YASSINE AMARA & BADR EDDINE AOUJI 30
27- L’insuffisance respiratoire aigue :
a) Est l’incapacité de l’appareil respiratoire à assurer une oxygénation correcte du sang artériel et/ou à prévenir une
rétention du CO2.
b) Peut être définie par une PaO2> 60mmHg et/ou PaCO2< 40mmHg.
c) Peut être due à une hypoventilation alvéolaire d’origine centrale.
d) Est toujours due à une atteinte parenchymateuse pulmonaire.

28- Parmi les signes de gravité d’une insuffisance respiratoire aigue, on peut noter :
a) La présence de troubles de conscience
b) La présence d’une bradypnée
c) La survenue d’une bradycardie hypoxique
d) Le balancement thoraco-abdominal et l’utilisation des muscles respiratoires accessoires

29- Au cours du traitement de l’insuffisance respiratoire aigue :


a) L’oxygénothérapie est toujours utilisée à fort débit 10 à 15 litres/min.
b) L’objectif de l’oxygénothérapie est une PaO2> 60mmHg.
c) Une antibiothérapie est de règle quelque soit l’étiologie.
d) Une ventilation non invasive peut être indiquée.

30- La prise en charge de la douleur aigue :


a) Constitue un marqueur de la qualité des soins.
b) Permet d’éviter la chronicisation de la douleur.
c) Permet une réhabilitation précoce postopératoire.
d) Fait appel à des moyens médicamenteux et non médicamenteux.

31- Concernant les types de douleur :


a) La douleur aigue dure moins de trois mois, elle est protectrice et anxiogène.
b) La douleur Nociceptive est due à un excès de stimulation des récepteurs ou des terminaisons libres par une lésion
tissulaire.
c) La douleur neuropathique est secondaire à une lésion du système nerveux central ou périphérique.
d) La douleur chronique constitue une maladie à part entière.

32- L’évaluation de la douleur :


a) Doit être faite avant tout début de traitement
b) Permet de déterminer les caractéristiques de la douleur et son profil évolutif.
c) Peut être faite par des échelles d’auto-évaluation ou d’hétéro-évaluation.
d) Peut être faite pour la douleur neuropathique par l’échelle numérique

33- Lors du traitement de la douleur :


a) Le praticien doit respecter les trois paliers de l’OMS.
b) La morphine doit être prescrite pour des douleurs faibles à modérées.
c) L’association d’un antalgique du palier I à la morphine est contre-indiquée
d) Les antidépresseurs et les antiépileptiques constituent la base du traitement des douleurs neuropathiques.

34- La gravité d’une intoxication peut être est influencée par :


a) La quantité de substance à laquelle le sujet a été exposé.
b) L’importance des symptômes présentés.
c) La présence de comorbidités.
d) L’âge du patient

35- Parmi les méthodes d’épuration des toxiques en cas d’intoxication :


a) Le lavage gastrique est toujours indiqué à l’admission du patient.
b) Le lavage gastrique est indiqué en cas d’ingestion d’hydrocarbures.
c) La diurèse forcée saline et l’alcalinisation peuvent être proposées.
d) Un antidote doit toujours être prescrit.

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36- Le coma toxique :
a) Se caractérise par l’absence de signes de localisation.
b) Se caractérise par sa profondeur variable avec la dose et le temps.
c) Peut être confondu ou associé avec un coma métabolique ou endocrinien.
d) Nécessite toujours la réalisation d’un scanner cérébral.

37- En cas d’intoxication au monoxyde de carbone :


a) La gravité clinique dépend de la concentration du monoxyde de carbone et de la durée d’exposition.
b) La saturation capillaire en oxygène (SpO2) n’est fiable.
c) L’oxygénothérapie normobare ou hyperbare est la base du traitement.
d) L’évolution ne dépend pas du délai de prise en charge.

38- Au cours d’une anesthésie générale :


a) La prescription d’examens complémentaires préopératoires est obligatoire.
b) La narcose peut être assurée par des agents intraveineux ou par des halogénés.
c) L’analgésie est réalisée essentiellement par les morphiniques.
d) La surveillance des fonctions vitales n’est pas toujours nécessaire.

39- Lors d’une anesthésie locorégionale:


a) Les anesthésiques locaux bloquent la conduction axonale en diminuant la perméabilité membranaire au Na+
b) Il y a une suppression de toute sensation douloureuse sans perte de conscience.
c) On peut réaliser un bloc nerveux central ou périphérique.
d) La rachianesthésie se fait par injection d’un analgésique local directement dans le LCR.

40- La toxicité systémique des anesthésiques locaux :


a) Peut se manifester par l’apparition de signes neurologiques à type de convulsion.
b) Peut se manifester par l’apparition d’une dépression myocardique.
c) Est influencée par l’âge avancé du patient.
d) N’est pas influencée par la grossesse ou l’hypoxie aigue.

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URGENCES ET REANIMATION 2017-2018 (2ère session )
PR BAITE :COCHEZ LA REPONSE JUSTE
1- Au cours du choc hypovolémique, l’intubation est indiquée si :
a) Tachycardie à 120 cycles/min
b) Traumatisme crânien grave avec score de Glasgow £ 8
c) Une hyperkaliémie
d) Une acidose métabolique
e) Saturation pulsée en oxygène égale à 92%

2- Chez un patient jeune sain victime d’un traumatisme grave, la transfusion sanguine par concentrés érythrocytaires
est indiquée lorsque :
a) La pression artérielle moyenne est £ 80 mmHg
b) Le taux d’hémoglobine (Hb) < 7g/dl
c) L’hématocrite ³ 33%
d) Présence d’une tachycardie sinusale
e) Score de Glasgow (GCS) est £ 12

3- Dans le syndrome cobraique suite à une envenimation vipérine on trouve :


a) Un ptosis bilatéral pathognomonique
b) Un syndrome cholinergique
c) Une bradycardie extrême
d) Un purpura hémorragique
e) Une hypomagnésiémie réfractaire

4- Parmi les facteurs pronostic du coup de chaleur on note :


a) L’âge > 80 ans
b) Score de Glasgow (GCS) ³ 14
c) Tachycardie à 120 cycles par minute
d) Le patient hémodialysé chronique
e) Si hyponatrémie de dilution

5- Une hypothermie est dite majeure :


a) Lorsque la température centrale est située entre 32°-34°c
b) En présence d’une Onde J d’Osborne
c) Si la température centrale est < 25°c
d) En présence de convulsions partielles
e) Si bradycardie à 50 cycles/min

6- Au stade 3 (Grande hypoxie) après une noyade en eau de Mer, il faut :


a) Faire un choc électrique externe à 200 joules
b) Faire une intubation et ventilation avec une FiO2 à 100%, en cas de trouble de conscience ou bradypnée
c) Donnez de l’atropine 1mg en IVL
d) Massage cardiaque externe
e) Réchauffement interne par des solutés de remplissage

7- Devant un patient électrisé comateux toujours au contact avec une source électrique, il faut tout d’abord :
a) Faire une voie veineuse fémorale
b) Procéder à la coupure du courant électrique
c) Pratiquer un massage cardiaque externe à 30 cycles + ventilation bouche à bouche
d) Mettre un collier cervical
e) Mettre un pantalon antichoc

8- Chez le brulé grave, l’hypoxémie peut être due à :


a) Des convulsions
b) Inhalation de fumée
c) Emphysème sous cutané
d) Accès hypertensif
e) L’hypothermie à 35°c
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9- On définit le transport artériel en oxygène comme : DC = Débit Cardiaque
a) Ta= CaO2 X DC CaO2= Contenu artériel en oxygène
b) Ta= Hb x 1,34 x SaO2 + (0,003 x PaO2) FES= Fraction d’éjection systolique
c) Ta= DC x FES CvO2= Contenu veineux en oxygène
d) Ta= CaO2- CvO2 PIC= Pression intracrânienne
e) Ta= PAM - PIC

10- Lors d’un traumatisme grave, le volume sanguin estimé perdu lors des premières 6 heures pour une fracture de
fémur :
a) 100ml – 500ml
b) 2000ml
c) 3000 – 4000ml
d) 5000ml
e) 500 – 1000ml
COCHEZ LES REPONSES JUSTES

11- Dans l’hypovolémie absolue (vraie) on trouve :


a) Une hémorragie aigue
b) Une hyponatrémie de dilution
c) Une déshydratation aigue
d) Une rhabdomyolyse
e) Une plasmorragie (Brûlure par exemple)

12- La transfusion sanguine par produits sanguins labiles est indiquée chez le traumatisé crânien grave si :
a) Le taux d’hémoglobine est < 10 g/dl
b) Le taux d’hémoglobine est < 7 g/dl
c) Le taux de plaquettes est £ 100000/mm3
d) Le taux de prothrombine (TP) est £ 50%
e) Le taux de fibrinogène est > 3 g/l

13- Au cours du syndrome vipérin on note :


a) Atteinte de l’hémostase
b) Des paresthésies
c) Une coagulopathie de consommation
d) Un ptosis bilatéral
e) Un purpura et hémorragie pulmonaire et digestive

14- Les peturbations biologiques rencontrées au cours du coup de chaleur sont :


a) Une acidose métabolique avec hyperlactatemie
b) Trouble de la crase sanguine
c) Une hyponatrémie de dilution
d) Une hyperglycémie
e) Une hypertension intracrânienne

15- Parmi les étiologies favorisants la perte de chaleur lors des hypothermies on note :
a) Une vasodilatation
b) Des convulsions généralisées
c) Transfusion sanguine massive par produits sanguins labiles non réchauffés
d) Une noyade
e) Une brûlure étendue

16- Dans la noyade en eau douce on trouve :


a) Une hémodilution
b) Une hypervolémie
c) Une hyperkaliémie menaçante
d) Une hyponatrémie de dilution
e) Un syndrome cholinergique

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17- Les modifications cardiovasculaires souvent rencontrées lors de l’électrisation par passage du courant à travers le
cœur :
a) Arrêt cardiaque
b) Une fibrillation ventriculaire
c) Une onde J d’OSBORNE
d) Un vasospasme
e) Une Dysautonomie

18- Le temps chirurgical à la phase aiguë lors d’une brûlure consiste à réaliser :
a) Escarrotomie de décharge avant la 6ème heure pour une brûlure de 3ème degré
b) Un enclouage centromédullaire pour une fracture fermée du Tibia
c) Aponévrotomie de décharge pour un œdème compressif
d) Mettre un drainage ventriculaire externe
e) Mettre un cathéter de pression intracrânienne en intra parenchymateux

19- Parmi les étiologies du choc cardiogénique on note :


a) L’infarctus du myocarde étendu à 50%
b) Cardiomyopathie grave
c) Dysautonomie
d) Intoxication par les antidépresseurs tricycliques
e) Embolie gazeuse

20- Les gestes à faire à l’accueil du traumatisé grave :


a) Mettre un électrocardioscope multi paramétrés
b) Monitorer la pression artérielle non invasive
c) Mettre un cathéter artériel pulmonaire type Swan Ganz
d) Monitorer la saturation pulsée en oxygène
e) Mettre un patch de trinitrine

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URGENCES ET REANIMATION 2016-2017 (1ère session)
1- Quels sont les signes de gravité d’une insuffisance respiratoire aiguë :
a) Cyanose
b) Sueurs
c) Troubles de conscience
d) Bradycardie
e) Balancement thoraco-abdominal
f) Incapacité de parler / tousser

2- Quels sont les indications d’intubation trachéale ?


a) Troubles de la conscience
b) Arrêt cardio-respiratoire
c) Signes de lutte respiratoire
d) Nouveau-Né en état de mort apparente
e) Râles sibilants importants
f) Vomissements

3- Les principes de traitement d’une crise d’asthme sévère ?


a) Oxygénothérapie
b) CPAP
c) Salbutamol en nébulisation
d) Méthyl prednisolone
e) Antibiothérapie
f) Diurétiques

4- Quel est le diagnostic le plus probable chez un patient de 65 ans, hypertendu, opéré il y a 10 jours d’une prothèse
totale de hanche se présentant avec une dyspnée ?
a) OAP lésionnel
b) Pleurésie
c) Embolie Pulmonaire
d) Pneumothorax
e) OAP hémodynamique
f) Pneumopathie

5- Les principes de prise en charge d’une intoxication aigue repose sur :


a) Traitement symptomatique
b) Traitement évacuateur
c) Traitement antipyrétique
d) Traitement sédatif
e) Traitement antalgique
f) Antidote si existant

6- Le lavage gastrique est indiqué :


a) Avant H1
b) Avant H3
c) Avant H6
d) En cas de troubles de conscience
e) Si toxique moussant
f) Toujours

7- Quels couples « toxique / antidote » est vrai ?


a) Organophosphorés / Pralidoxime
b) Benzodiazépine / Naloxone
c) Paracétamol / N-acétyl-cyctéine
d) Barbituriques / Flumazénil
e) Bétabloquants / Glucagon
f) CO / CO2

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8- Quels sont les signes orientant vers une intoxication au paraphénylène diamine ?
a) Œdème pulmonaire
b) Œdème cervico-facial
c) Œdème musculaire
d) Macroglossie
e) Urines « Coca Cola »
f) Hyperthermie

9- Quels sont les signes orientant vers une intoxication aux benzodiazépines ?
a) Convulsions
b) Troubles de la conscience
c) Agitation
d) Myosis
e) Dépression respiratoire
f) Tremblements

10- Le toxidrome cholinergique ?


a) Oriente vers une intoxication aux organophosphorés
b) Oriente vers une intoxications aux antidépresseurs
c) Myosis
d) Mydriase
e) Bradycardie
f) Tremblements

11- Le HELLP syndrome associe :


a) Hémolyse
b) Cytolyse hépatique
c) Thrombose
d) Thrombopénie
e) Thrombocytose
f) Insuffisance hépatocellulaire

12- Parmi les critères de définition de pré éclampsie sévère, on retrouve :


a) PAD à 110 mmHg
b) Protéinurie à 6g/l
c) Oligo-anurie
d) Céphalées préexistantes
e) PAS à 142 mmHg
f) Œdème des membres inférieurs

13- Conduite à tenir devant une éclampsie à 36 SA, avec bruits cardiaques fœtaux positifs :
a) Restriction hydrique
b) Oxygénothérapie
c) Sulfate de magnésium
d) Nicardipine
e) Bétaméthasone
f) Indication d’extraction fœtale

14- L’évaluation du nouveau-né en salle d’accouchement se base sur :


a) L’état respiratoire
b) La fréquence cardiaque
c) Tonus
d) Poids
e) Réactivité
f) Etat de la fontanelle antérieure

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15- Quels sont les soins de base à prodiguer à un nouveau-né ?
a) Réchauffement
b) Réhydratation
c) Séchage
d) Désobstruction des VAS
e) Secouer le nouveau-né
f) Tapes sur les fesses

16- Que faire chez un nouveau-né en état de mort apparente ?


a) Tapes sur le dos
b) Ventilation au masque
c) Compressions thoraciques
d) Défibrillation
e) CPAP
f) Adrénaline

17- La morphine est contre-indiquée :


a) En cas de douleur aigue
b) Chez le nouveau-né
c) Chez le sujet âgé
d) En cas d’allergie
e) En cas d’abdomen chirurgical
f) Grossesse 2ème trimestre

18- Qu’est ce qui va conditionner le choix du traitement d’une douleur aux urgences ?
a) Le retentissement émotionnel
b) Le retentissement physique
c) L’intensité de la douleur
d) Les contre-indications
e) Le type de la douleur
f) Cause médicale ou chirurgicale

19- Quels sont les critères d’interruption de la titration de morphine ?


a) 20 mg de morphine reçue
b) FR < 10.
c) EVA < 3
d) Tachycardie
e) SaO2 > 95%
f) 15 mg de morphine reçue

20- Quels sont les signes avant-coureurs d’un surdosage à la lidocaïne ?


a) Hallucinations
b) Goût métallique
c) Douleur au point d’injection
d) Bourdonnements d’oreille
e) Logorrhée
f) Anisocorie

21- Lequels de ces états de choc sont dits « distributifs » :


a) Choc cardiogénique
b) Choc anaphylactique
c) Choc septique
d) Choc hémorragique
e) Embolie pulmonaire grave
f) Tamponnade cardiaque

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22- Dans les états de choc dits « quantitatifs » :
a) Le débit cardiaque est élevé
b) Le transport artériel en oxygène est toujours diminué
c) Les résistances vasculaires périphériques sont toujours effondrées
d) Le taux d’hémoglobine est toujours diminué
e) L’évolution vers un choc distributif est possible
f) La tension artérielle systolique peut être normale

23- Le(s)quel(s) de ces éléments font partie de la triade létale du choc hémorragique :
a) L’anémie
b) L’hypotension artérielle
c) L’alcalose respiratoire
d) L’hypothermie
e) La vasodilatation
f) La coagulopathie

24- Parmi ces lésions, choisissez les trois les plus pourvoyeuses de pertes sanguines :
a) Fracture du bassin
b) Fracture de jambe
c) Hémothorax
d) Fracture de l’humérus
e) Fracture du foie
f) Fracture vertébrale

25- Dans la prise en charge du choc hémorragique :


a) Le remplissage vasculaire massif est obligatoire dès les premières minutes
b) Le traitement chirurgical doit être d’emblée le plus complet possible pour éviter toute reprise chirurgicale.
c) L’adrénaline n’a aucune indication
d) Les solutés colloïdes sont le traitement de choix en première intention
e) Il faut transfuser 2 poches de plasma frais congelé pour chaque poche de GR
f) Une pression artérielle moyenne à 65 mmHg est suffisante avant l’hémostase

26- Dans le choc cardiogénique :


a) Le remplissage vasculaire est totalement contre-indiqué à cause du risque d’œdème aigu du poumon
b) L’angioplastie coronaire en urgence est le traitement de choix en cas de syndrome coronarien aigu
c) Les diurétiques sont systématiques
d) L’adrénaline est contre-indiquée à cause de la tachycardie qu’elle entraîne
e) L’oxygénothérapie est systématique
f) La dobutamine est indiquée en cas d’atteinte de l’inotropisme

27- Lesquels de ces critères entrent dans la définition du SIRS :


a) Thrombopénie < 50 000/mm3
b) Température < 36°C
c) Bradycardie < 30 bpm
d) Taux d’hémoglobine < 7,5 g/dl
e) Hypocapnie < 32 mmHg
f) Créatininémie > 12 mg/dl

28- Dans le traitement du choc septique :


a) L’antibiothérapie probabiliste initiale doit idéalement être administrée dès la première heure
b) L’antibiothérapie probabiliste initiale doit absolument être adaptée à l’antibiogramme
c) Les vasopresseurs (adrénaline, noradrénaline) sont en général indiqués
d) Les cristalloïdes sont les solutés de remplissage de première intention
e) L’oxygénothérapie est systématique
f) La transfusion sanguine n’a pas d’intérêt

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29- Dans les piqûres de scorpions :
a) Le principal effet toxique est une anticoagulation systémique
b) Il est important d’identifier l’espèce de scorpion pour prescrire le sérum anti-scorpionique adapté
c) Il est très important de noter le délai entre la piqûre et la consultation
d) Il est important de vérifier le statut vaccinal antitétanique
e) L’absence de signes généraux 4 heures après la piqûre n’élimine pas la possibilité d’une envenimation grave
f) La lésion n’est jamais douloureuse à cause de l’effet anesthésiant du venin

30- Parmi les conséquences de l’hypothermie :


a) Augmentation du débit sanguin cérébral
b) Thrombocytose
c) Coagulopathie
d) Augmentation de la consommation d’oxygène
e) Dépression respiratoire centrale
f) Bradycardie proportionnelle à la température

31- Dans la noyade :


a) La classification « grand hypoxique » se définit par une hypoxie profonde sans troubles de conscience
b) Le coma profond est habituel à cause de l’hypothermie, il n’a pas de valeur pronostique
c) L’oxygénothérapie est systématique
d) Les principales lésions sont l’œdème pulmonaire et l’anoxie cérébrale
e) L’immersion en eau froide aggrave les lésions cérébrales
f) Le remplissage massif précoce par des solutés est indispensable

32- Font partie des agressions cérébrales secondaires d’origine systémique (ACSOS) :
a) L’anémie
b) L’hypotension artérielle
c) L’hypercapnie
d) L’hypothermie à 36°C
e) La vasodilatation
f) L’insuffisance rénale

33- Le(s)quel(s) de ces bilans biologiques font partie du bilan initial à demander chez un polytraumatisé aux urgences :
a) Ionogramme sanguin complet
b) Urémie + Créatininémie
c) Groupage sanguin
d) Bilan hépatique
e) Amylasémie – Lipasémie
f) Procalcitoninémie

34- Le(s)quel(s) de ces bilans radiologiques font partie du bilan initial à demander chez un polytraumatisé aux
urgences :
a) Radiographie du crâne face et profil
b) Radiographie du thorax face
c) Radiographie du bassin
d) Angioscanner cérébral
e) Angioscanner thoracique
f) Échographie abdominale

35- L’échographie FAST chez le polytraumatisé :


a) Recherche en priorité une fracture de la rate
b) Est suffisante pour indiquer la chirurgie chez le patient en état de choc
c) Ne permet jamais d’éliminer un épanchement pleural
d) Doit toujours être contrôlée par un total body scanner
e) Permet de rechercher un épanchement péricardique
f) Doit obligatoirement être réalisée par un radiologue

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36- Chez le polytraumatisé, l’hypotension artérielle peut être due à :
a) Une plaie du scalp
b) Un pneumothorax suffocant
c) Une fracture de rate
d) Une fracture du bassin
e) Une fracture déplacée du rachis cervical
f) Une tamponnade cardiaque

37- Chez le polytraumatisé, la détresse respiratoire peut être due à :


a) Une chute de la langue en arrière
b) Une hernie diaphragmatique
c) Une hernie inguinale
d) Une inhalation de liquide gastrique
e) Une fracture déplacée du rachis cervical
f) Un traumatisme crânien grave

38- Mesures thérapeutiques recommandées chez le brûlé grave :


a) Refroidissement des brûlures à l’eau glacée
b) Remplissage vasculaire précoce
c) Lutte contre l’hypothermie
d) Application de dentifrice sur les brûlures
e) Antibiothérapie large spectre précoce systématique
f) Oxygénothérapie systématique

39- Lesquelles de ces brûlures sont considérées comme graves :


a) Brûlure du 2ème degré profond sur 10% du corps chez l’adulte
b) Brûlure du périnée
c) Brûlure du dos
d) Brûlure du 3ème degré sur 25% du corps chez l’adulte
e) Brûlure péri-ombilicale
f) Brûlure circonférentielle de la cuisse

40- Dans le coup de chaleur :


a) La forme classique survient chez le sujet jeune sportif
b) Il est favorisé par une atmosphère chaude et sèche
c) Les lésions sont corrélées à l’intensité et la durée de l’hyperthermie
d) Il existe un ralentissement de tous les métabolismes
e) Le refroidissement doit être extrêmement progressif
f) Le traitement repose principalement sur l’utilisation de médicaments antipyrétiques spécifiques

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