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DFASM 2
Julien DESSAJAN
julien.dessajan@hotmail.fr
Dossier progressif 1/4 (live)
Distribution :
Après la mise sous oxygénothérapie 9 L/min,
le patient retrouve une saturation autour de 97 %.
A. scanner thoracique
B. hémocultures
C. ECBC
D. bronchoscopie avec prélèvements
microbiologiques
E. ECBU
- Question 3 : Quels sont les examens
complémentaires que vous demandez en
urgence ?
A. scanner thoracique
B. hémocultures
C. ECBC
D. bronchoscopie avec prélèvements
microbiologiques
E. ECBU
PAC
CEP
PAC
CEP
Vous concluez à une pneumopathie franche
lobaire aigue lobaire inférieure droite.
Par ailleurs, en interrogeant les proches du
patient, vous découvrez un antécédent
d’infection par le VIH.
Dernier bilan immunovirologique en mai 2015 :
CD4 60/mm3, charge virale 934 copies/ml (2,97
log).
Traitements habituels :
TRUVADA/PREZISTA/NORVIR + BACTRIM
- Question 4 : Après prélèvements
microbiologiques, quel(s) est/sont le(s)
traitement(s) anti infectieux que vous introduisez ?
CEP
Le patient hospitalisé en service pneumologie.
Le lendemain matin, vous le réévaluez.
L’infirmière vous indique qu’il est à présent sous 15
L/min d’oxygène, elle vous conseille d’aller le voir
rapidement car elle a l’impression qu’il « tire ».
Extrémités
froides
CNEREA
- Question 5 : Quel(s) est/sont votre/vos
premiers(s) gestes(s) ?
A. mise en Trendelenburg
B. appel du réanimateur
C. massage cardiaque externe
D. remplissage vasculaire au sérum physiologique
E. introduction de noradrénaline IVSE
- Question 5 : Quel(s) est/sont votre/vos
premiers(s) gestes(s) ?
A. mise en Trendelenburg
B. appel du réanimateur
C. massage cardiaque externe
D. remplissage vasculaire au sérum physiologique
E. introduction de noradrénaline IVSE
Voici les résultats du gaz du sang sous 15 L/min :
- pH 7,09
- pCO2 62 mmHg
- pO2 61 mmHg
- HCO3- 5 mmol/L
- lactate : 6,2 mmol/L.
- Question 6 : Parmi les propositions suivantes,
laquelle/lesquelles est/sont correcte(s) ?
A. hypoxémie sévère
B. hypercapnie secondaire à l’oxygénothérapie
haut débit
C. acidose respiratoire partiellement compensée
D. acidose mixte avec part métabolique
multi factorielle
E. effet shunt
Voici les résultats du gaz du sang sous 15 L/min :
- pH 7,09
- pCO2 62 mmHg
- pO2 61 mmHg
- HCO3- 5 mmol/L
- lactate : 6,2 mmol/L.
- Question 6 : Parmi les propositions suivantes,
laquelle/lesquelles est/sont correcte(s) ?
A. hypoxémie sévère
B. hypercapnie secondaire à l’oxygénothérapie
haut débit
C. acidose respiratoire partiellement compensée
D. acidose mixte avec part métabolique
multi factorielle
E. effet shunt
Votre externe qui sort d’un stage en réanimation
vous suggère un traitement par VNI devant
l’acidose hypercapnique importante.
- Question 7 : Vous lui rappelez les principales
indications de la VNI qu’il doit retenir :
A. troubles de conscience
B. hypoxémie sévère sous oxygénothérapie
haut débit
C. pCO2 > 50 mmHg
D. état de choc
E. fièvre non contrôlée chez patient VIH
- Question 8 : Quels sont, chez ce patient, les
indications de l’intubation oro trachéale ?
A. troubles de conscience
B. hypoxémie sévère sous oxygénothérapie
haut débit
C. pCO2 > 50 mmHg
D. état de choc
E. fièvre non contrôlée chez patient VIH
Voici la radiographie ainsi que la gazométrie post
intubation.
Gaz du sang VAC Fi02 100% PEEP 10 cmH2O :
- pH 7,31
- pCO2 51 mmHg
- pO2 71 mmHg
- HCO3- 6 mmol/L
- lactate 4,9 mmol/L
- Question 9 : Quel est votre diagnostic ? (Une
ou plusieurs réponses vraies)
A. OAP cardiogénique
B. pneumopathie infectieuse bilatérale
C. SDRA
D. atéléctasie bilatérale
E. épanchements pleuraux bilatéraux
- Question 9 : Quel est votre diagnostic ? (Une
ou plusieurs réponses vraies)
A. OAP cardiogénique
B. pneumopathie infectieuse bilatérale
C. SDRA
D. atéléctasie bilatérale
E. épanchements pleuraux bilatéraux
SDRA
“Syndrome de détresse respiratoire aigue”
A. noyade
B. pneumopathie virale
C. pancréatite aigue
D. polytraumatisme
E. pneumopathie bactérienne
- Question 11 : Parmi ces propositions, quelles
sont les étiologies possibles de SDRA ?
A. noyade
B. pneumopathie virale
C. pancréatite aigue
D. polytraumatisme
E. pneumopathie bactérienne
Après quelques jours de ventilation mécanique
en réanimation, le patient se stabilise, sa
radiographie thoracique se normalise mais il
reste dépendant de la ventilation mécanique.
CNEREA
A l’arrivée au SAU, le patient est conscient et
orienté.
Taille 172 cm, poids 118 kg, TA 118/77 mmHg,
Fc 108/min T° 36,8°C SpO2 92 % en air ambiant,
Fr 24/min.
SFAR
- Question 3 : En cas de pneumomédiastin
associé, quelles sont les deux lésions à
rechercher ?
A. dissection aortique
B. rupture trachéale
C. rupture oesophagienne
D. rupture de bulle d’emphysème
E. plaie de la paroi thoracique
- Question 3 : En cas de pneumomédiastin
associé, quelles sont les deux lésions à
rechercher ?
A. dissection aortique
B. rupture trachéale
C. rupture oesophagienne
D. rupture de bulle d’emphysème
E. plaie de la paroi thoracique
Pneumomediastin
- Question 4 : Quelle(s) est/sont la/les
principale(s) étiologie(s) à rechercher chez ce
patient ?
A. syncope
B. crise comitiale
C. hypoglycémie
D. AVC hémorragique
E. hypotension orthostatique
- Question 4 : Quelle(s) est/sont la/les
principale(s) étiologie(s) à rechercher chez ce
patient ?
A. syncope
B. crise comitiale
C. hypoglycémie
D. AVC hémorragique
E. hypotension orthostatique
Votre bilan diagnostique revient négatif, en
revanche le patient vous décrit une fatigue
importante quotidienne.
En effet il décrit des épisodes de somnolence la
journée allant jusqu’à l’endormissement.
- Question 5 : Quel(s) diagnostic(s) suspectez-
vous ?
• PaCO2 > 45 mmHg (et une PaO2 < 70 mmHg) à l'état de veille et à
distance d'une décompensation
• IMC > 30 kg/m2
• absence d'une autre cause d'hypoventilation alvéolaire chronique
o Maladies neuro-musculaire, atteinte anatomique de la paroi
thoracique
o Affection respiratoire obstructive chronique(BPCO).
CEP
- Question 6 : Par quel(s) moyen(s) évaluez-vous
la somnolence diurne ?
A. EVA
B. MMSE
C. auto-questionnaire d’Epworth
D. score de Fagerström
E. polysomnographie
- Question 6 : Par quel(s) moyen(s) évaluez-vous
la somnolence diurne ?
A. EVA
B. MMSE
C. auto-questionnaire d’Epworth
D. score de Fagerström
E. polysomnographie
Auto questionnaire d’Epworth
M. Z présente un score à 20 au questionnaire
de somnolence d’Epworth.
Vous réalisez donc une polysomnographie, son
IAH est à 42.
- Question 7 : Quel est votre diagnostic ?
A. SAOS modéré
B. SAOS sévère
C. SOH
D. SACS
E. insuffisance respiratoire chronique
- Question 7 : Quel est votre diagnostic ?
A. SAOS modéré
B. SAOS sévère
C. SOH
D. SACS
E. insuffisance respiratoire chronique
- Question 8 : Parmi ces propositions, lesquelles
définissent un SAOS ?
A. obésité
B. HTA
C. diabète
D. dyslipidémie
E. sexe masculin
- Question 9 : Parmi ces propositions, lesquelles
sont des facteurs favorisant le développement
d’un SAOS ?
A. obésité
B. HTA
C. diabète
D. dyslipidémie
E. sexe masculin
- Question 10 : Parmi ces propositions,
lesquelles sont les complications de SAOS ?
A. infarctus du myocarde
B. goutte
C. insuffisance rénale chronique
D. AVC
E. fibrillation atriale
- Question 10 : Parmi ces propositions,
lesquelles sont les complications de SAOS ?
A. infarctus du myocarde
B. goutte
C. insuffisance rénale chronique
D. AVC
E. fibrillation atriale
- Question 11 : Quels sont les grands principes
physiopathologiques du SAOS ?
A. chirurgie vélo-amygdalienne
B. orthèse d’avancée mandibulaire
C. pression positive continue
D. sevrage tabagique
E. prise en charge de l’obésité
- Question 12 : Quelles mesures thérapeutiques
proposez-vous à M. Z ?
A. chirurgie vélo-amygdalienne
B. orthèse d’avancée mandibulaire
C. pression positive continue
D. sevrage tabagique
E. prise en charge de l’obésité
M. Z, bien que contrarié à l’idée de dormir avec
un masque sur le visage souhaite prendre sa
santé en main et souhaite arrêter de fumer.
- Question 13 : Vous tentez d’évaluer sa
dépendance à la nicotine à l’aide du test de
Fagerström. Quelles en sont les deux questions
les plus importantes ?
A. combien de temps après votre réveil fumez-
vous votre première cigarette ?
B. à quelle cigarette de la journée vous sera-t-il le
plus difficile de renoncer ?
C. combien de cigarette fumez-vous par jour ?
D. trouvez-vous difficile de s’abstenir de fumer dans
les endroits où c’est interdit ?
E. fumez-vous lorsque vous êtes malade et que vous
devez rester au lit presque toute la journée ?
- Question 13 : Vous tentez d’évaluer sa
dépendance à la nicotine à l’aide du test de
Fagerström. Quelles en sont les deux questions
les plus importantes ?
A. combien de temps après votre réveil fumez-
vous votre première cigarette ?
B. à quelle cigarette de la journée vous sera-t-il le
plus difficile de renoncer ?
C. combien de cigarette fumez-vous par jour ?
D. trouvez-vous difficile de s’abstenir de fumer dans
les endroits où c’est interdit ?
E. fumez-vous lorsque vous êtes malade et que vous
devez rester au lit presque toute la journée ?
- Question 14 : Quels sont les différents moyens
thérapeutiques en première intention ?
A. psychothérapie analytique
B. thérapie cognitivo-comportementale
C. substituts nicotiniques
D. benzodiazépines
E. thymorégulateurs
- Question 14 : Quels sont les différents moyens
thérapeutiques en première intention ?
A. psychothérapie analytique
B. thérapie cognitivo-comportementale
C. substituts nicotiniques
D. benzodiazépines
E. thymorégulateurs
M. Z aborde à présent avec vous l’épineuse
question de la cigarette électronique.
- Question 15 : Concernant la cigarette
électronique, quelles sont les réponses vraies ?
http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1718021/fr/arret-de-la-consommation-de-
tabac-du-depistage-individuel-au-maintien-de-l-abstinence-en-premier-recours
- QI : Concernant l’hémothorax, quelles sont les
réponses vraies ?
A. un hémothorax estimé à plus de 500 mL doit
être drainé
B. un hémothorax, quel qu’en soit l’abondance
doit être drainé
C. l’échec de drainage d’un hémothorax doit
conduire à une thoracoscopie chirurgicale
D. un thoracotomie est systématique indiquée dès
que le débit de drainage excède 100 mL/24
heures
E. un hémothorax de faible abondance (200 – 300
mL) bien toléré peut être respecté avec une
surveillance clinique et radiologique.
- QI : Concernant l’hémothorax, quelles sont les
réponses vraies ?
A. un hémothorax estimé à plus de 500 mL doit
être drainé
B. un hémothorax, quel qu’en soit l’abondance
doit être drainé
C. l’échec de drainage d’un hémothorax doit
conduire à une thoracoscopie chirurgicale
D. un thoracotomie est systématique indiquée dès
que le débit de drainage excède 100 mL/24
heures
E. un hémothorax de faible abondance (200 – 300
mL) bien toléré peut être respecté avec une
surveillance clinique et radiologique.
- QI : Quels sont les critères qui définissent le SOH
?
A. angioscanner thoracique
B. NFS, ionogramme sanguin et bilan hépatique
C. gaz du sang, lactate
D. scanner cérébral
E. aucun
- Question 3 : Quel(s) examen(s)
complémentaire(s) demandez – vous ?
A. angioscanner thoracique
B. NFS, ionogramme sanguin et bilan hépatique
C. gaz du sang, lactate
D. scanner cérébral
E. aucun
- Question 4 : Quelle est votre prise en charge
immédiate ?
A. choc cardiogénique
B. choc distributif
C. tamponnade péricardique
D. gène au remplissage cardiaque
E. diminution du volume intra vasculaire
- Question 5 : Quels sont les mécanismes de la
défaillance hémodynamique lors du
pneumothorax compressif ?
A. choc cardiogénique
B. choc distributif
C. tamponnade péricardique
D. gène au remplissage cardiaque
E. diminution du volume intra vasculaire
Etat de choc 2/2
• Choc cardiogénique :
Défaillance de la pompe cardiaque : chute du débit cardiaque +
augmentation des pressions de remplissage.
• Choc hypovolémique :
Dimininution du volume intravasculaire.
Diminution du retour veineux (pré charge).
• Choc distributif :
Altération de la redistribution des débits régionaux + diminution de
l’extraction tissulaire en oxygène. Augmentation de la permabilité capillaire
+ vasodilatation périphérique.
Choc septique et anaphylactique.
• Choc obstructif :
Obstacle au remplissage ou à l’éjection du coeur.
CNEREA
Après exsufflation à l’aiguille de ce pneumothorax
compressif, M. D retrouve un bon état de vigilance
et redevient eupnéique sous 6L/min.
A. radiographie hebdomadaire
B. oscillation/bullage
C. aspect/volume du liquide
D. point d’insertion
E. prélèvement quotidien du liquide de drain et
envoi en bactériologie
- Question 8 : Quels sont les éléments de
surveillance d’un drain thoracique ?
A. radiographie hebdomadaire
B. oscillation/bullage
C. aspect/volume du liquide
D. point d’insertion
E. prélèvement quotidien du liquide de drain et
envoi en bactériologie
Après 48 heures de surveillance, vous constatez
un arrêt du bullage qui persiste en l’absence
d’aspiration.
A. timbre
B. gomme
C. pastille
D. spray
E. inhaleur
- Question 10 : Quelles formes de substituts
nicotiniques connaissez-vous ?
A. timbre
B. gomme
C. pastille
D. spray
E. inhaleur
Deux ans plus tard, vous retrouvez M. D. au SAU.
A. 10 %
B. 20 %
C. 30 %
D. 50 %
E. 70 %
- Question 11 : Quel est le taux de récidive
homolatérale d’un premier épisode de
pneumothorax spontané primaire ?
A. 10 %
B. 20 %
C. 30 %
D. 50 %
E. 70 %
- Question 12 : Quelle est votre attitude
thérapeutique ?
A. lymphangioleiomyomatose
B. pneumopathie interstitielle lymphoïde
C. BPCO post tabagique avec emphysème
D. fibrose pulmonaire idiopathique
E. histiocytose X
- Question 14 : Quel est votre principale
suspicion diagnostique ?
A. lymphangioleiomyomatose
B. pneumopathie interstitielle lymphoïde
C. BPCO post tabagique avec emphysème
D. fibrose pulmonaire idiopathique
E. histiocytose X
- Question 15 : Quels sont les autres causes de
pneumothorax spontané secondaire ?
A. matité à la percussion
B. augmentation des vibrations vocales
C. abolition du murmure vésiculaire
D. toux sèche irritative
E. frottement pleural
- QI : Quels sont les signes cliniques fréquemment
retrouvés lors d’un pneumothorax ?
A. matité à la percussion
B. augmentation des vibrations vocales
C. abolition du murmure vésiculaire
D. toux sèche irritative
E. frottement pleural
- QI : Parmi les propositions suivantes concernant
la prévention de récidive de pneumothorax,
lesquelles sont vraies ?
A. le sevrage tabagique est systématiquement
recommandé
B. la limitation de l’activité sportive est obligatoire
C. les voyages aériens sont contre-indiqués
pendant 1 an
D. la plongée sous-marine est contre-indiquée
définitivement
E. la pleurodèse est indiquée dès le premier
épisode controlatéral
- QI : Parmi les propositions suivantes concernant
la prévention de récidive de pneumothorax,
lesquelles sont vraies ?
A. le sevrage tabagique est systématiquement
recommandé
B. la limitation de l’activité sportive est obligatoire
C. les voyages aériens sont contre-indiqués
pendant 1 an
D. la plongée sous-marine est contre-indiquée
définitivement
E. la pleurodèse est indiquée dès le premier
épisode controlatéral