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8) Troubles hémodynamiques
1. La congestion
a. Congestion active :
97.Toutes les substances peuvent déclencher une congestion active sauf
Sérotonine
Interleukine F (CT douteux)
Prostaglandine
Kinines
Opsonine F
98. Toutes les substances suivantes peuvent déclencher une congestion active sauf une, laquelle ?
Kinines
Histamine
Sérotonine
Opsonines f
Prostaglandines
99.La congestion active : RF
Est l’augmentation de la quantité de sang contenu dans les vaisseaux d’un organe par obstacle au
retour veineux F
Est parfois physiologique
Est observée dans la phase initiale de la réaction inflammatoire
Entraîne une augmentation du métabolisme des cellules
S’accompagne d’un œdème interstitiel
100. La congestion active est :
Un passage transmembranaire de polynucléaires
Un phénomène de stase par hypoxie
Une distension artérielle par une augmentation du débit sanguin J
Liée à une réduction de l’activité métabolique
Souvent associée à un transsudat
101. La congestion active :
Répond à un état inflammatoire chronique
Se manifeste par une teinte violacée des organes atteints
Correspond à une dilatation veineuse et capillaire
Est la cause du poumon cardiaque
S’observe dans les exanthèmes des maladies infectieuses J
b. Congestion passive :
2. Thrombose
1. La thrombose organisée se caractérise par : (cocher la réponse fausse)
Une résorption progressive des éléments du caillot fibrino-cruorique
Le remplacement du caillot par un bourgeon charnu inflammatoire
Une néogenèse vasculaire à partir des vasa vasorum
Une reperméabilisation de la thrombose
Une action lytique des enzymes des polynucléaires sur thrombus F
2. Le thrombus
Est ferme sec adhérent à la paroi vasculaire J
Est élastique lisse moulant les cavités vasculaires
Est le plus souvent un caillot de conglutination
Est rarement de nature cruorique J
Peut se localiser dans les cavités cardiaques J
3. L’évolution du thrombus : RF
Organisation fibreuse
Inflammation tuberculoïde F
Imprégnation calcaire
Fibrinolyse
Embolie
4. La zone terminale du thrombus mixte flottant dans la lumière vasculaire est :
Fibrineuse
Fibrino cruorique J
Leucocytaire
Plaquettaire Mixte
5. La complication la plus grave d’une thrombose veineuse est :
La calcification
La fibrinolyse
L’embolie J
La fibrose
L’organisation conjonctive
1. L’évolution la plus grave d’un thrombus est :
L’organisation conjonctive
La fragmentation et migration J
La calcification
Le ramollissement
La résolution
2. Les thrombus suivants peuvent être à l’origine d’un embole par fragmentation sauf :
Cruorique
Mixte
Blanc
Pariétal F
Oblitérant
3. Une thrombose peut être l’objet de modifications suivantes sauf une, laquelle ?
Suppuration
Organisation
Inflammation tuberculoïde F
Reperméabilisation
Calcification
4. Tous les facteurs suivants favorisent la survenue d’une thrombose veineuse sauf :
Une intervention chirurgicale du petit bassin
L’exercice physique F
La stase sanguine prolongée
L’altération des parois vasculaires
Hypercoagulabilité
5. Le thrombus :
Est la formation d’un caillot vasculaire durant la vie J
Peut-être lysé par l’action des médicaments J
N’adhère pas à la paroi vasculaire
Évolue habituellement vers l’organisation conjonctive J
Se localise exclusivement dans les artères de moyen calibre
6. L’apparition des thromboses est favorisée par : RF
L’insuffisance ventriculaire droite
L’athérome
Les varices
La polyglobulie
Le Kwashiorkor F
7. Dans les thromboses artérielles :
Le rôle des plaquettes est essentiel J
Le thrombus n’a aucune tendance à l’embolie
Les anti-vitamines K sont très efficaces
L’évolution spontanée se fait toujours vers la dissolution
Une lésion vasculaire initiale est nécessaire J
8. Parmi les évolutions d’un thrombus veineux, cochez celle qui vous paraît la plus grave :
La résolution
L’organisation conjonctive
La fragmentation avec migration F
La calcification
La dissolution
9. La thrombose : RF
Est la formation d’un thrombus dans les cavités vasculaires en post-mortem F
Peut-être artérielle
Peut-être veineuse
Peut-être intracardiaque
Peut-être disséminée (CIVD)
10. La thrombose artérielle est le résultat d’une ? RF
Altération du média F
Altération du revêtement endothélial
Lésion de l’intima
Stase sanguine
Modification des facteurs de la coagulation sanguine
11. La thrombose est consécutive à ?
Ralentissement du courant circulatoire
L’excès de facteurs fibrinolytiques
L’altération de la paroi vasculaire J
L’absence de facteurs de coagulation
La sécrétion d’héparine par les mastocytes périvasculaires
12. Cocher la ou les facteurs favorisant la survenue d’un thrombus
Stase sanguine J
Caractère linéaire du courant circulatoire
Lésion athéromateuse de la paroi vasculaire J
Facteurs fibrinolytiques
Dégranulation des mastocytes
1. Les phlébo thromboses : RF
Se traduisent par la présence de thrombus développant sur paroi veineuse enflammée
Peuvent être observées lors des affections cardiaques
Peuvent être observées en post- opératoire chez un patient ayant subi une intervention chirurgicale
portant sur le petit bassin
Peuvent entraîner des embolies pulmonaires
Sont surtout retrouvées au niveau des membres supérieurs F
2. Les phlébo thromboses sont secondaires à :
Une plaque d’athérome
Une inflammation veineuse
Une cardiopathie droite
Toutes ces circonstances peuvent être rencontrées J
3. La thrombose :
Arrête l’hémorragie au niveau d’une plaie grâce au clou hémostatique
Évite les hémorragies d’un foyer infectieux
Empêche la nécrose tissulaire
Favorise l’ischémie viscérale
Est favorisée par la station couchée prolongée J
4. Infarctus
24. L’infarctus de la rate se caractérise macroscopiquement par :
Un aspect mal limité
Une forme triangulaire à base corticale J
Une coloration blanc jaunâtre, sèche J
Un liseré rouge périphérique J
Une infiltration hémorragique massive secondaire
25. La nécrose ischémique est la conséquence :
D’une oblitération veineuse
De dépôts amyloïdes autour de l’artère
De dépôts de complexe immuns
D’une surcharge en lipides complexes
D’une thrombose artérielle J
26. Au cours d’un infarctus récent, les lésions observées sont :
Des remaniements fibreux riches en collagène
Un infiltrat inflammatoire a polynucléaires J
Une nécrose de coagulation J
Des dépôts hyalins
Un infiltrat inflammatoire riche en cellules macrophagiques
27. Les éléments observés à l’examen anatomopathologique d’un organe, une semaine après un infarctus sont
représentés par :
Des polynucléaires J
De la nécrose de coagulation J
De la fibrose
De la nécrose fibrinoïde
Des macrophages J
28. A l’examen anatomopathologique d’un organe 48 à 72 heures après un infarctus, quelles sont les lésions que
l’on peut observer ?
Un infiltrat inflammatoire J
Une fibrose
Une nécrose fibrinoïde
Des cellules géantes
Une nécrose de coagulation J
29. L’infarctus est :
Consécutif à une oblitération veineuse
Un foyer circonscrit de nécrose ischémique J
Dû à une irruption de sang en dehors des vaisseaux
Dû à des troubles vasomoteurs fonctionnels
D’aspect blanc dans le poumon
30. A l’examen anatomique d’un organe remanié par un infarctus récent de moins de 5 jours, on retrouve les
lésions suivantes :
Nombreux macrophages J
Nécrose de coagulation J
Fibrose
Infiltrat à polynucléaires J
Nécrose fibrinoïde
31. Un foyer circonscrit de nécrose ischémique exsangue dans un viscère, résulte ?
De l’oblitération d’une veine
D’une obstruction tissulaire par bacille de Koch
De l’oblitération d’une artère de type terminale J
De l’oblitération d’une branche d’un système artériel anastomotique
De la rupture d’une paroi vasculaire
a. Infarctus blanc
1. Le ramollissement cérébral correspond à :
Un infarctus blanc J
Des lésions d’infarcissement
Un infarctus rouge
Une apoplexie
Une nécrose fibrinoïde
2. L’infarctus du myocarde :
Est causé par une thrombose J
Correspond à une nécrose de liquéfaction
Atteint un territoire diffus mal limité
Peut-être secondairement le siège d’une inondation sanguine
Est lié à l’athérosclérose J
3. L’infarctus du myocarde présente les caractères suivants :
Exsangue J
A base corticale et de coloration blanc jaunâtre
Une zone de nécrose triangulaire
Comporte un foyer central hémorragique
Entraîne une augmentation du volume de l’organe
4. L’infarctus de la rate présente les caractères suivants : RF
Lésions bien limitées à base corticale
Correspond à une zone de nécrose triangulaire
Comporte un liseré rouge périphérique
Est de coloration blanc jaunâtre
Entraine une augmentation du volume de l’organe F
5. L’infarctus blanc peut siéger dans tous ces organes, sauf :
Rein
Rate
Poumon F
Cerveau Myocarde
6. L’infarctus de la rate présente les caractères suivants sauf un, lequel ?
Lésion bien limitée à base corticale
Correspond à une zone de nécrose triangulaire
Comporte un liseré rouge périphérique
Est de coloration blanc jaunâtre sèche
Entraine une augmentation du volume de l’organe F
7. L’infarctus blanc peut siéger dans tous les organes sauf un, lequel ?
Myocarde
Rein
Rate
Poumon F
Cerveau
8. Dans l’infarctus du rein :
Le foyer de nécrose ischémique est de siège médullaire
Le foyer de nécrose ischémique s’accompagne d’une infiltration sanguine
La zone de nécrose est triangulaire, de siège cortical, pâle, limitée par un liseré rouge J
L’évolution vers la restitution ad intégrum est l’éventualité la plus fréquente
La cicatrisation scléreuse est une évolution habituelle J
9. L’infarctus du myocarde :
Peut-être causé par une thrombose J
Correspond à une nécrose de liquéfaction
Atteint un territoire diffus, mal limité
Peut-être secondairement le siège d’une inondation sanguine
Est lié à l’athérosclérose J
10. L’infarctus du myocarde : RF
Est souvent observé chez les sujets athéromateux
Correspond à l’histologie à une nécrose de coagulation
Évolue vers une cicatrice fibreuse
Est secondaire à l’oblitération d’une veine coronaire F
Peut se compliquer par des thromboses pariétales
11. A la macroscopie, une lésion rénale blanchâtre scléreuse de forme triangulaire à base sous capsulaire sans
signe inflammatoire correspond probablement à :
Une tuberculose
Un infarctus récent
Un abcès cicatrisé
Un infarctus ancien J
Pyélonéphrite
12. L’infarctus blanc : RF
Est une conséquence de l’arrêt de la circulation artérielle
Est une nécrose tissulaire ischémique
Et un foyer de nécrose hémorragique consécutif à une thrombose veineuse
S’observe dans le parenchyme pulmonaire F
Peut-être le siège de remaniements inflammatoires
13. Un infarctus blanc de la rate peut être provoqué par :
Une thrombose de la veine splénique
Une H.T.A
Une thrombose brutale d’une artérielle splénique J
Une embolie lymphatique splénique
Une compression lente du pédicule splénique
5. Ischémie
1. Toutes ces causes sont à l’origine de lésions d’ischémie sauf : RF
L’hypocoagulation F
L’embolie
L’artérite
La thrombose sur piano artérioscléreuse
Le spasme artériel prolongé
2. Les conséquences d’une ischémie d’installation lente et progressive sont (cocher la réponse fausse)
L’installation d’un infarctus F
La survenue d’une sclérose
La constatation d’une circulation collatérale
La constitution d’un œdème
L’aggravation par une thrombose brutale
3. Quel est le terme qui désigne l’arrêt total de l’apport de sang artériel dans un tissu ou un viscère :
Hypoxie
Apoplexie
Gangrène
Ischémie J
Infarctus
4. Une ischémie est une :
Dilatation des capillaires ou des veines
Augmentation du sang circulant
Diminution de la circulation dans les tissus J
Suppuration de la circulation dans les reins (infarctus)
Accélération du flux sanguin
17. L’inflammation : RF
Est une réaction de défense de l’organisme
Se déroule dans un territoire vasculaire
Passe par plusieurs séquences morphologiques
S’accompagne toujours d’une infection F
Fait intervenir des médiateurs chimiques
18. L’inflammation : RF
Fait intervenir des médiateurs chimiques
Est toujours de cause infectieuse F
Aboutit habituellement à une réparation tissulaire
Peut-être un phénomène de courte durée
Peut favoriser le développement d’une sclérose
19. Au cours du processus inflammatoire, la vasodilatation est déterminée essentiellement par l’action de 2
facteurs :
Les enzymes contenus dans les polynucléaires
Les médiateurs chimiques J
Les lymphocytes et les anticorps
Les structures nerveuses J
Les hormones
20. Les réactions vasculaires de l’inflammation banale se traduisent par :
Métamorphose des éléments fibroblastiques
Une exsudation J
Une hyperplasie histiocytaire
Une margination leucocytaire J
1. La phase vasculo-exsudative
1. La phase vasculo-exsudative de l’inflammation est caractérisée par :
Congestion passive
Œdème inflammatoire J
Diapédèse leucocytaire
Détersion
Toutes ces réponses sont justes
2. La phase vasculo-exsudative de l’inflammation est caractérisée par :
Une congestion passive et une augmentation de la perméabilité vasculaire
Exsudation d’œdème riche en protéines J
La détersion macrophagique de débris nécrotiques
L’activation de divers médiateurs chimiques J
La présence de capillaires néoformés J
3. Au cours de l’inflammation, la douleur est due à l’action
Des kinines
De l’œdème
De l’histamine J
Aux endotoxines bactériennes J
Aux prostaglandines J
4. Parmi les phénomènes suivants, lequel ne caractérise pas la phase vasculo-exsudative de l’inflammation ? RF
La congestion active
La diapédèse leucocytaire
La vasoconstriction veinulaire et vasodilatation artériolaire F
L’œdème inflammatoire
L’apparition de pyocytes
5. Parmi les caractères suivants, indiquer ceux qui caractérisent la phase exsudative de l’inflammation :
Congestion active J
Œdème J
Multiplication des fibroblastes
Diapédèse des leucocytes J
Présence de lymphocytes et de macrophages
6. Au cours du processus inflammatoire, quelles sont les cellules participant à la phase vasculo-exsudative ?
Les cellules endothéliales J
Les mastocytes J
Plaquettes J
Monocytes
Lymphocytes
1. La phase vasculo-exsudative est caractérisée par : RF
Une élaboration de fibres collagènes F
La production d’un œdème riche en protéines
Une augmentation de la perméabilité vasculaire
La migration des leucocytes
La mise en action des médiateurs chimiques
2. Au cours de la première phase de l’inflammation, on observe les phénomènes suivants :
Congestion vasculaire, afflux de cellules macroscopiques, œdème interstitiel
Congestion vasculaire, œdème avec possibilité de régression du processus dès ce stade J
Vasodilatation artériolaire, élaboration de collagène et production d’anticorps
Congestion active avec vasodilatation artériolaire, œdème riche en Ac, diapédèse leucocytaire
Vasoconstriction, puis vasodilatation passive et nécrose des cellules endothéliales
a. Congestion active :
3. La congestion active se traduit histologiquement par :
Une congestion artérielle et capillaire J
Une turgescence des cellules endothéliales J
L’installation d’un transsudat
Des hémorragies interstitielles J
Une augmentation de la perméabilité vasculaire
d. Phagocytose
1. Les macrophages RF
Ont pour principale fonction la détersion par phagocytose
Jouent un rôle dans l’immunité spécifique F
Présentent les déterminants antigéniques aux lymphocytes T préalablement actives
Expriment l’antigène CD68
Régulent la perméabilité de l’endothélium
2. La phagocytose :
Est une propriété essentielle des lymphocytes
Est favorisée par les opsonines J
Est un phénomène passif
Est la détersion du foyer inflammatoire
Nécessite la participation des fractions du complément J
3. Une phagocytose inefficace : RF
Peut résulter d’un déficit en complément
Peut être due à une absence de reconnaissance des particules étrangères
Peut résulter d’un déficit en myélopéroxidase
Peut-être secondaire à un défaut d’opsonisation
Peut être due à une anomalie du pouvoir bactéricide du polynucléaire basophile F
4. Le terme de phagocytes regroupe les cellules suivantes :
Mastocytes
Polynucléaires neutrophiles J
Histiocytes J
Lymphocytes
Cellules épithélioïdes
5. La phagocytose est une propriété essentielle des cellules suivantes :
Mastocyte
Polynucléaire neutrophile J
Plasmocyte
Macrophage J
Lymphocyte
6. L’opsonine :
Est une enzyme contenue dans les cellules phagocytaires
Est une fraction du complément permettant le chimiotactisme J
Est un médiateur chimique cellulaire
Est un facteur de reconnaissance de l’agent étranger
Est contenu dans les gains de mastocyte
7. La phagocytose est favorisée par de nombreux facteurs : RF
Fc des immunoglobulines G
Fraction C3b du complément
Matériels enzymatiques
Histamine F
Intégrité des microtubules
8. La phagocytose est :
Une propriété essentielle des lymphocytes
L’ingestion des particules par des cellules endothéliales
Favorisée par les opsonines J
Effectuée par fibroblastes
Un phénomène passif
9. La phagocytose est une propriété essentielle des cellules suivantes : RF
Mastocyte F
Polynucléaire
Plasmocyte F
Macrophage
Lymphocyte F
1. La phase cellulaire
1. Au cours du processus inflammatoire, les polynucléaires assurent :
La réparation
L’angiogenèse
La phagocytose J
La synthèse d’anticorps
La production de métabolites pouvant déclencher et entretenir la réaction teminatoire J
2. La dégranulation du mastocyte :
Peut-être induite par l’interaction du complexe IgE- allergène J
Est en rapport avec une réaction inflammatoire banale J
Est secondaire à une production excessive de prostaglandines
Est à l’origine des réactions d’hypersensibilité immédiate J
Intervient en réponse d’un processus de cicatrisation
15. Le bourgeon charnu consécutif à une plaie cutanée de l’extrémité de l’index réalise une formation pseudo
tumorale comprend (RF)
Des vaisseaux sanguins
Des fibres de collagène
D’une formation glandulaire
Des cellules sanguines
Un épithélium malpighien F
16. Le bourgeon charnu inflammatoire est constitué de :
Polynucléaires J
Lymphocytes J
Cellules épithéliales
Vaisseaux J
Des cellules géantes de Langerhans
1. Inflammation exsudative
10. Une inflammation exsudative se caractérise par l’intensité des :
Réactions cellulaires
La congestion et de l’œdème J
La sclérose
Des processus de la nécrose
Des réactions lymphocytaires
2. Inflammation suppurée
11. L’abcès : RF
Est une inflammation purulente entourée d’une coque fibreuse
Se développe dans un parenchyme plein
Est une inflammation collectée et localisée
Peut fistuliser
Est une inflammation développée dans une cavité préformée F
12. L’empyème peut être localisé au niveau
De la plèvre J
De la trompe J
Des articulations J
Du foie
De la peau
13. L’abcès : RF
Est une suppuration intra tissulaire
Est délimité par une membrane pyogène
Nécessite une détersion chirurgicale
Peut fistuliser
S’organise dans une cavité préexistante F
14. Une plage de nécrose collectée dans une cavité néoformée est appelée :
Une pustule
Une gangrène
Un empyème
Un abcès J
Un phlegmon
15. L’empyème peut être localisé au niveau :
D’une plèvre J
D’une trompe J
D’une articulation J
Du foie
De la peau
16. Une suppuration diffuse ne se collectant pas est :
Un abcès
Un furoncle
Un empyème
Un phlegmon J
Une gangrène
17. L’abcès : RF
Est une inflammation purulente entourée d’une coque fibreuse
Est une inflammation collectée et localisée
Est une suppuration développée dans une cavité préformée F
Se développe dans un parenchyme plein
Peut fistuliser
18. Le pus collecté dans une cavité naturelle est dit
Furoncle
Abcès
Pustule
Empyème J
Caverne
19. L’abcès est :
Une collection purulente guérissant spontanément en plein parenchyme
Nécessite toujours un drainage externe provoqué ou spontané J
Peut se résorber spontanément
Guérit toujours sans séquelles
Est caractérisée par l’accumulation des cellules non altérées
20. Le phlegmon est une lésion inflammatoire :
Bien circonscrite et collectée
Diffuse, nécessitant souvent un traitement chirurgical et médical J
Provoquée par des corps étrangers
Provoquée par plein parenchyme pulmonaire
Pseudo-tumorale due à un germe pyogène
4. Inflammation subaiguë
22. L’histiocyte :
Est une cellule microphagique d’origine monocytaire
Est présent sous des formes variées dans certains tissus
Sécrète des fractions de complément et de l’opsonine
Est présent dans la phase vasculo-exsudative
Acquiert sa fonction phagocytaire lorsqu’il se métamorphose en cellule épithélioïde J
23. Une inflammation subaiguë se caractérise par :
Une phase vasculo-exsudative prédominante
En tissu de granulation riche en cellules mononuclée J
Une fibrose cellulaire riche en fibroblaste
Une fibrose riche en fibres de collagènes
Un granulome inflammatoire comportant de nombreux vaisseaux et polynucléaire
24. Parmi ces formes de l’inflammation, laquelle est de type subaigu ?
Empyème
Granulome à corps étrangers J
Inflammation gangreneuse
Inflammation fibrineuse
Urticaire
1. Parmi les critères suivants, quel est celui qui désigne formellement la nature maligne d’une tumeur ?
Absence de capsule
Infiltration des tissus voisins
Récidives
Index mitotique élevé
Localisations secondaires dans divers organes J
2. Toutes ces tumeurs sont bégnines, sauf :
Hémangiome
Lymphome F
Méningiome
Schwannome
Léiomyome
3. Toutes ces tumeurs sont bégnines, sauf :
Adénofibrome
Fibrosarcome F
Condylome
Papillome
Adénome
4. Toutes ces tumeurs sont malignes sauf une :
Adénocarcinome
Sarcome
Chondrosarcome
Ostéome F
Carcinoïde
5. Une prolifération de cellules adipeuses malignes correspond à :
Un fibrosarcome
Un liposarcome J
Un adénofibrome
Un lipome
Un adénocarcinome
6. On différencie un cancer d’une tumeur bégnine par :
La localisation
Le caractère envahissant
La présence de métastases J
La taille de la tumeur
La notion récidive après exérèse totale
7. Quel est l’examen indispensable au diagnostic de certitude d’une tumeur bégnine :
Examen radiologique
Examen cytologique
Examen clinique
Biologique
Examen anatomopathologique J
8. Le cancer : RF
Est le plus souvent héréditaire
N’atteint pas l’enfant de bas âge F
Peut-être favorisé par des facteurs relevant de l’environnement
Entraine la mort en l’absence de traitement
Est parfois à caractère familial
32. Quel est le seul élément permettant de différencier avec certitude une tumeur maligne d’une tumeur
bégnine ?
Nécrose
Infiltration
Récidive
Anomalies cytonucléaires
Métastases J
33. Les tumeurs mésenchymateuses bégnines sont des : RF
Lipomes
Léiomyomes
Mélanomes F
Angiomes
Chondromes
34. Les critères cytologiques de malignité sont : RF
L’augmentation du rapport nucléocytoplasmique
Le pléomorphisme nucléaire
La basophile cytoplasmique
Des nucléoles multiples et irréguliers
Une chromatine fine, homogène F
35. Pour l’étude cytopathologique d’un nodule suspect du sein, on réalise les gestes suivants :
Effectuer les appositions sur le nodule
Gratter les faces du nodule
Piquer le nodule et aspirer les cellules à l’aide d’une aiguille J
Prélever de petits fragments
Effectuer l’ablation du nodule
36. Le prélèvement obtenu est :
Étalé et coloré immédiatement sans fixation préalable
Étalé et fixé à l’air libre J
Fixé par une solution de formol
Fixé par congélation
Fixé par cytospray J
37. Après étude cytopathologique du prélèvement, le diagnostic établi :
Est un diagnostic de certitude
Permet à lui seul de prendre une décision thérapeutique
Constitue un diagnostic d’orientation J
Doit souvent être complété par examen histopathologique J
38. Devant la difficulté diagnostique, un examen biopsique extemporané est décidé. Celui-ci :
Est effectué en préopératoire
Est effectué en per opératoire J
Est fixé par le formol
Permet d’établir la nature de la lésion J
39. Les caractères généraux des tumeurs bégnines sont : RF
La bonne limitation et l’encapsulation
La ressemblance aux cellules qui lui ont donné naissance
La croissance lente
La possibilité de récidive locale après exérèse complète F
L’absence de métastase
40. La classification à visée histo pronostique permet d’établir le degré de malignité d’une tumeur. Elle tient
copte : RF
De l’aspect des noyaux
Du degré de différentiation
De l’index mitotique
Du caractère du stroma
De l’existence de l’invasion vasculaire F
41. Parmi les paramètres suivants, quel est le critère absolu de malignité :
L’index mitotique
La mauvaise limitation de la tumeur
Les monstruosités nucléaires
La taille de la tumeur
Les métastases J
42. Toutes ces tumeurs sont bégnines sauf une, laquelle ?
Fibrome
Lipome
Rhabdomyome
Mélanome F
Léiomyome
43. Le diagnostic de bénignité ou de malignité d’une tumeur repose sur les éléments suivants :
Les caractères cliniques et évolutifs
Les caractères macroscopiques de la tumeur
Les caractères histologiques de la tumeur J
44. Parmi les caractères suivants, quel est celui qui, indiscutablement, différencie une tumeur maligne d’une
tumeur bégnine ?
La taille
La localisation
La survenue de métastases J
La mauvaise limitation
Le retentissement sur l’état général
45. On différencie un cancer d’une tumeur bégnine par :
La localisation
Le caractère envahissant
La présence de métastases J
La taille de la tumeur
La notion de récidive après exérèse totale
46. La tumeur bégnine : RF
Est toujours bien limitée
Récidive après exérèse complète F
Peut subir une transformation maligne
Peut être constituée d’un ou de plusieurs tissus
Reproduit le tissu qui lui a donné naissance
1. Une tumeur bégnine :
Ne donne pas de foyer secondaire à distance J
Infiltre lentement le tissu où elle a pris naissance
Métastase lorsqu’elle augmente le volume
Est toujours d’origine épithéliale avec un stroma conjonctif
A les mêmes caractères cytologiques que le tissu sur lequel elle se développe
2. La tumeur bégnine :
Refoule les tissus environnants J
Est délimitée par une capsule fibreuse J
Ses cellules sont identiques à celles du tissu normal avec de très nombreuses mitoses
Est de croissance lente pouvant donner des métastases
Est parfois composée d’un seul type de cellule J
3. Toutes les tumeurs bégnines ne récidivent pas, sauf une :
Tumeur villeuse du côlon
L’adénofibrome du sein
Fibrome envahissant ou fibre mudermoïde F
Le papillome cutané
Le polype juvénile
4. Les tumeurs bégnines réalisent des formations à types de :
Fibrome J
glioblastome
Kyste épidermoïde
Dysembryomesommaturiel
Rétinoblastome
5. Toutes ces tumeurs donnent des métastases, sauf une, laquelle ?
Adénocarcinome pancréatique
chemare-synovie des extrémités supérieures humérales
Adénome de la prostate F
Carcinome épidermoïde de l’os
Épithélioma colloïde des muqueuses intestinales
1. La néoplasie maligne est : RF
Une néoformation sous contrôle de l’organisme F
D’étiologie inconnue
Se rencontre plus fréquemment avec l’âge
Entraîne de décès dans un tableau de cachexie
Ne se développe qu’à partir de tissus spécialisés F
2. Une prolifération néoplasique est dite anaplastique lorsque :
Ses cellules sont très proches morphologiquement de celles du tissu d’origine
L’index mitotique est très élevé
Les cellules sont totalement indifférenciées J
On ne retrouve pas de signe de malignité
3. Parmi les associations suivantes, cochez celle qui comporte une tumeur maligne :
Papillome cutané du front
Léiomyome utérin
Dysembryome J
Fibrome de la cuisse
Condylome anal
1. Parmi ces tumeurs, certaines sont douées d’une malignité locale et ne donnent pas habituellement de
métastases :
Lymphosarcome ganglionnaire
Mélanome malin de la rétine
Tumeur mixte ou épithélioma à stroma remanié de la parotide J
Adénocarcinome de la thyroïde
Epithélioma basocellulaire du front J
Ostéosarcome du fémur
2. Parmi ces tumeurs, trois ont une malignité réduite et un envahissement uniquement local, indiquez
l’association exacte :
Chondrosarcome
Fibrome dermoïde J
Epithélioma à stroma remanié ou tumeur mixte J
Epithélioma spinocellulaire
Rhabdomyosarcome
Epithélioma baso cellulaire J
23. Parmi les virus sous cités, quels sont ceux considérés comme oncogènes ?
Le virus Herpès J
Le papilloma virus J
Le virus de l’hépatite A
Le cytomégalovirus
Le virus Epstein Barr J
24. Une femme de 37 ans a un carcinome du sein ? sa mère et sa sœur ont également eu un cancer du sein. Quel
est le gène incriminé ?
P53
Rb
BRCA J
Bc12
K-ras
25. Parmi ces facteurs, quel est celui qui régule l’apoptose ?
K-ras
P53 J
TGF
La fraction C3 du complément
Rb
1. Parmi les facteurs carcinogènes, un seul n’est pas endogène, lequel ?
Proto oncogène
Xéroderma pigmentosum
Polypose recto-colique familiale
Aniline F
Maladie ostéogénique d’Ollier
2. Toutes ces lésions prédisposent au cancer sauf :
Xéroderma pigmentosum
Cirrhose hépatique
Obésité familiale F
Poly adénome familial
Neurofibromatose de Von Recklinghausen
3. Parmi les virus suivants, lequel est lié au cancer du col utérin ?
EBV
Virus de l’hépatite B
HPV J
Herpès virus
Cytomégalovirus
4. Le virus d’Epstein-Barr (EBV) est associé :
Au carcinome du col utérin
Au lymphome de Burkitt J
Au lymphome T de l’adulte
Au sarcome de kaposi
Au carcinome embryonnaire
5. Les virus oncogènes sont :
Virus de la rougeole
Virus Epstein Barr J (EBV)
Virus herpes
Cytomégalovirus
Human Papilloma Virus J
6. Concernant l’apoptose :
Est définie comme la mort programmée cellulaire J
Peut-être causée par une agression physique, chimique, bactériologique ou trophique J
Touche les globules rouges
Est régulée par des gènes
Est un phénomène qui peut toucher n’importe quelle cellule J
7. La mesothéliome résulte de l’exposition à :
L’arsenic
L’amiante J
Le nickel
Les nitrosamines
Les colorants azoïques
8. Le virus d’Epstein Barr est incriminé dans :
Le carcinome épidermoïde bronchique
Le sarcome de Kaposi
Le lymphome de Burkitt J
L’Hépatocarcinome
La polypose familiale recto-colique
9. Parmi ces virus, lesquels sont considérés comme oncogènes
Virus de la rage
Virus Epstein Barr J
Virus herpès
Cytomégalovirus
HPV J
10. Parmi ces facteurs, quel est celui qui régule l’apoptose ?
K-ras
P53 J
TGF
Fraction C3 du complément
C-myc
11. Le cancer est-il ?
Généralement considéré comme héréditaire J
Contagieux
Plus fréquent avec l’âge J
Secondaire aux traumatismes
Incurable
12. Le cancer : RF
Est le plus souvent héréditaire
Est fréquemment observé dans certaines familles
N’atteint pas l’enfant de bas âge F
Peut-être favorisé par des facteurs relevant de l’environnement
Entraîne la mort en l’absence de traitement
1. Dans le processus cancéreux, certains facteurs étiologiques sont incriminés :
Le traumatisme
Les rayons
Le virus
Le tabac
L’agent microbien
2. Parmi les tumeurs suivantes, quelles sont celles qui ont une origine virale ?
Tumeur de Krunkenberg
Lymphome de Burkitt J
Cancer du corps utérin (CT douteux !)
Cancer bronchique
Cancer du sein
6. La métastase :
Peut-être tardive ou révéler un cancer J
Peut-être unique ou multiple J
Conditionne le pronostic J
Est d’aspect histologique similaire ou différent de la tumeur primitive J
7. La cellule de Sternberg est caractéristique du :
Lymphome malin non Hodgkinien
Rhabdomyosarcome
Tuberculose
Maladie de Hodgkin J
Lymphangiosarcome
8. Le stroma tumoral peut subir les remaniements suivants :
Inflammation tuberculoïde J
Calcification J
Fibrohyalinose J
Dépôts amyloïdes J
9. Un carcinome intra épithélial d’un revêtement : RF
Peut-être dépisté par un examen cytologique
Est destiné à évoluer en carcinome invasif
Est diagnostiqué sur les muqueuses
S’accompagne de thromboses néoplasiques F
N’a occasionné aucune rupture de la membrane basale
10. Les caractéristiques morphologiques de la cellule cancéreuses sont : RF
Rapport N/P augmenté
Mitoses normales nombreuses F
Membrane nucléaire épaissie et irrégulière
Augmentation de la taille et forme inégale des noyaux
Basophilie du cytoplasme
11. Les sièges habituels de carcinome épidermoïde sont : RF
Exocol
Muqueuse endométriale
Œsophage
Muqueuse bronchique
Cavité buccale
12. Les caractères biologiques de la cellule cancéreuse sont : RF
Sécrétion de substance de type embryonnaire
Sécrétion enzymatique augmentées, diminuées ou normales
Augmentation de l’adhésivité réciproque F
Perte de l’inhibition de contact
Sécrétion de substances protéolytiques
13. Tous ces facteurs sont incriminés dans la genèse du cancer sauf un :
Brûlure
Rayon UV
Alkylants
Alcoolisme
Progestatifs F
26. La présence d’un nombre important de mitoses normales par champ microscopique traduisant généralement :
Une tumeur maligne
Une métamorphose cellulaire
Une tumeur bégnine à croissance rapide
Un processus de régénération cellulaire
Un processus de dégénérescence cellulaire
27. Parmi les lésions suivantes, indiquez celles qui caractérisent la cellule cancéreuse :
Nécrose coagulation
Caryolyse
Condensation de la chromatine
Anomalie de la mitose
Dégénérescence granuleuse
Augmentation du rapport nucléaire/cytoplasmique
Monstruosités nucléaires
28. Le stroma d’une tumeur correspond à : RF
Un tissu épithélial F
Un tissu de soutient
Un tissu conjonctif banal
Tissu nourricier
29. Le stroma tumoral : (?)
Est un tissu conjonctivo-vasculaire nourricier de la tumeur
Est peu abondant dans le squirrhe mammaire
Peut-être remanié par des phénomènes inflammatoires F
Est retrouvé dans les métastases ganglionnaires
Se développe à partir du tissu conjonctif normal
30. Le stroma tumoral :
N’est retrouvé que dans les tumeurs épithéliales
N’est retrouvé que dans les tumeurs mésenchymateuses
Peut subir des remaniements et des surcharges
Dérive et se développe à partir de la tumeur elle-même
31. Le stroma tumoral :
Est toujours important pour le pronostic des tumeurs
Peut-être le siège de remaniements variés( ?)
N’existe pas dans les tumeurs épithéliales
Est un tissu conjonctif et vasculaire nourricier
Se cancérise toujours
1. Les remaniements du stroma tumoral :
Sont très liés au type histologique de la tumeur
Sont liés aux conditions locales de vascularisation
Sont liés aux conditions biologiques générales de l’hôte
Interviennent toujours dans le pronostic de la tumeur
Se traduisent par un infiltrat de type inflammatoire
2. Le stroma des tumeurs : (?)
Est très abondant dans les tumeurs mésenchymateuses
Est un tissu conjonctivo-vasculaire élaboré par la cellule cancéreuse J
Peut-être le siège de remaniements inflammatoires
Est de nature épithéliale dans les carcinomes
Est peu abondant dans les tumeurs squirrheuses
3. Le cancer in situ (définition) :
Est une modification cellulaire intra-épithéliale
Est un cancer micro-invasif
Est un cancer intra-épithélial
Se rencontre uniquement entre des revêtements cylindriques
Respecte l’intégralité de la membrane basale
4. La métastase correspond à :
Une métaplasie tissulaire
Une métamorphose des cellules locales
Une induction de cellules tumorales par une substance cancérigène
Une greffe de cellules tumorales issues d’un cancer à distance
5. La métastase :
Est l’apparition d’une deuxième néoplasie chez un individu cancéreux
Est la constitution d’un foyer tumoral issu d’un cancer préexistant et développé à distance de ce
cancer
Est toujours tardive
Est toujours de petite taille
Est de bon pronostic
6. Une métastase est :
La survenu d’un cancer d’un autre type chez l’individu cancéreux
L’extension par continuité de la tumeur
S’observe en plus de la généralisation du cancer
Est en faveur de la bénignité de la tumeur
Est due à un embole bactérien
7. Les métastases : RF
Peuvent révéler la tumeur primitive
Constituent des localisations secondaires de tumeurs malignes
Sont plus tardives dans les sarcomes que dns les carcinomes
Conditionnent le pronostic
Présentent généralement un aspect histologique différent de celui de la tumeur primitive
8. Les métastases :
S’observent chez les patients porteurs de carcinomes intra-épithéliaux
Peuvent parfois être révélatrices d’une tumeur maligne primitive passée inaperçue
Constituent des localisations secondaires de tumeurs malignes
Surviennent plus rapidement au cours des sarcomes
Sont souvent de siège splénique
9. La métastase
Peut-être unique ou multiple
Ne rappelle pas en générale la tumeur qui lui a donné naissance
Se fait toujours par voie lymphatique
Peut-être le révélateur de la tumeur primitive passée inaperçue
Ne peut pas avoir une taille plus grande que la tumeur primitive
10. Qu’est-ce que la généralisation du cancer ?
Siège le plus fréquent des métastases
Siège des cancers digestifs
Siège du cancer de la prostate
Siège du cancer des bronches
Siège du cancer du système nerveux central
11. Citez deux sièges les plus fréquents de la métastase cancéreuse
20. L’examen d’une biopsie du col utérin montre un épithélium pavimenteux formé d’éléments cellulaires
disposés irrégulièrement et comportant des noyaux volumineux et hyper chromatiques. Des mitoses sont
présentes dans les couches superficielles et profondes : RJ
Hyperacanthose
Métaplasie épidermoïde
Carcinome intra épithélial J
Épithéliomabaso-cellulaire
Régénération
21. Un carcinome « in situ » endo-buccale est : RJ
Une atteinte localisée des glandes salivaires accessoires
Une épithélioma intra-épithélial
Une forme de transition entre épithélioma et sarcome
Ne peut jamais être diagnostiqué J
Un carcinome adénoïde
22. Les tumeurs bégnines épithéliales sont RF
Structure proche du tissu normal homologue
Évolution lente
Essaimage à distance F
Caractère multifocal possible
Peut se compliquer(compression par exemple) (mais pas se métastaser)
23. Un carcinome intra-épithélial RF
Peut-être dépisté par examen cytologique
Est destiné à évoluer en carcinome invasif
Est synonyme de cancer au stade Tis
S’accompagne de thromboses néoplasiques F
Est un cancer précoce
24. Le carcinome paramalpighien est un cancer de RJ
Prostate
Col utérin
Larynx
Vésicule biliaire
Vessie J
25. Le polype peut correspondre à RJ
Une tumeur bégnine conjonctive
Une tumeur maligne conjonctive
Une tumeur maligne épithéliale
Une tumeur bégnine épithéliale J
26. Les papillomes : RF
Sont des tumeurs épithéliales bégnines
Sont de siège cutané ou muqueux
Sont causées par les papilloma virus humains
Réalisent macroscopiquement de petites lésions circonscrites exophytiques
Peuvent engendrer un carcinome basocellulaire F
1. Le grading histopronostique des carcinomes se base sur : RJ
Les atypies cytonucléaires
La taille de la tumeur
Le degré de différenciation
La nécrose tumorale
L’index mitotique
2. Le risque relatif de cancérisation d’un polyadénome est fonction : (cocher la réponse fausse)
De la taille de lit lésion
Du degré de dysplasie
Du type architectural
Du nombre de polypes
De son aspect macroscopique pédiculé ou sessile F
3. Les carcinomes peuvent siéger au niveau : RF
Peau
Muqueuse malpighienne
Muqueuse paramalpighienne
Corticale des os longs F
Dur foyer de métaplasie épithéliale
4. Les paramètres utilisés pour établir un grade histopronostique des carcinomes sont :
La nécrose
Le degré de différenciation
La taille de la lésion
Les anomalies cytonucléaires (pléomorphisme cellulaire)
L’index mitotique
5. Le carcinome in situ : RF
Ne dépasse pas la membrane basale
Est une tumeur bégnine F
Est une lésion qui précède l’invasion
N’envahit pas le chorion
Est de bon pronostic
6. Chez une femme âgée de 50 ans, l’examen d’une biopsie osseuse conclue à une métastase d’un carcinome. Les
sites primitifs à rechercher en priorité sont :
L’ovaire
Le rein
Le sein
La thyroïde
Le col utérin
7. Un cancer in situ : RF
Évolue vers le carcinome
Est une néoplasie précoce
Ne peut régresser F
N’envahit pas le chorion
Ne présente pas les caractères du carcinome
8. La proposition qui regroupe les tumeurs épithéliales est :
La tumeur veilleuse J
Le léiomyome
Le papillome J
Le lipome
L’adénome J
9. L’examen histologique d’une lésion cutanée perlée montre un néoplasie épithélial disposé en lobules et
cordons constitués de cellules monomorphes rappelant les cellules de la couche basale à disposition
palissadique. Il s’agit :
D’un carcinome spinocellulaire D’un mélanome malin
D’un pilomatrixome D’un xéroderma pigmentosum
D’un carcinome basocellulaire
1. L’adénocarcinome colorectal :
Offre un aspect macroscopique le plus souvent ulcéro végétant J
Est une tumeur sécrétant habituellement de la sérotonine responsable d’un flush syndrome
Siège fréquemment sur le colon gauche
Est une prolifération généralement assez bien différenciée J
Peut se développer sur un polype adénomateux
2. Un carcinome para malpighien a pour point de départ :
La prostate
Le larynx
La vessie
L’urètre
Le bassinet
3. La malignité purement locale est une caractéristique :
Du carcinome pluricellulaire
Du carcinome basocellulaire
De l’adénome villeux rectal
D’un tératome immature
Fibrome desmoïde
4. Un cancer est dit in situ lorsqu’il :
Ne dépasse pas la membrane basale
Est encapsulé
Ne donne pas de métastases
N’envahit pas le ganglion
A moins de 3 centimètres
5. Les mélanomes sont des tumeurs : RF
Agressives et de mauvais pronostic
Pigmentées ou achromiques
De siège exclusivement cutané F
Pouvant se développer sur lésions préexistantes
Donnant des métastases ganglionnaires et viscérales
6. Le carcinome intra épithéliale est défini par :
Des atypies cytonucléaires
Des mitoses anormales
Des anomalies de maturation
Conservation de la polarité cellulaire F
Le respect de la membrane basale
7. Un angiome siégeant au niveau du foie présente les caractères suivants : RF
Tumeur de coloration rouge sombre F
Aspect spongieux a la macroscopie F
Encapsulé F
Prolifération de cavité vasculaire ectasies
Prolifération de cellules endothéliales sans atypies (bénigne vasculaire)
8. L’examen histologique d’une lésion cutanée montre des cellules épithéliales disposées en lobule et cordons
avec disposition palissadique en périphérie :
D’un carcinome spinocellulaire
D’un mélanome malin
D’un carcinome basocellulaire
D’une maladie de Bowen
D’un carcinome épidermoïde
9. Les condylomes :
Sont des tumeurs épithéliales bégnines
Sont dues à l’infection par l’herpès virus
Siègent au niveau des muqueuses ano-génitales
Peuvent évoluer vers le carcinome in situ
Se localise électivement au niveau de l’endocol
10. Le dépistage de masse du cancer du col utérin :
Doit s’effectuer systématiquement chez les femmes à risque
Est basé sur l’examen de la cytologie exofoliatrice J
Recherche les lésions précancéreuses J
Repose sur des examens sérologiques
Est fondé sur l’identification des germes en cause J
1. Parmi les éléments suivants, indiquer celui qui définit le carcinome in situ :
Épaississement de l’épithélium
Atypies cytonucléaires et perte de la polarité J
Réaction inflammatoire péri lésionnelle
Intégrité de la membrane basale J
Conservation de la maturation et de la stratification
2. L’examen histologique d’une lésion cutanée perlée montre un néoplasie épithélial disposé en lobules et
cordons constitués de cellules monomorphes rappelant les cellules de la couche basale à disposition
palissadique en périphérie, il s’agit :
D’un carcinome spinocellulaire
D’un carcinome épidermoïde
D’un mélanome malin
D’un xéroderma pigmentosum
D’un carcinome basocellulaire
3. La tumeur de Krükenberg est :
Une tumeur ovarienne primitive
Un adénocarcinome gastrique
Une tumeur bégnine de l’ovaire
Une métastase gastrique d’une tumeur ovarienne maligne
Une métastase ovarienne d’un adénocarcinome gastrique J
4. Un carcinome paramalpighien a pour point de départ :
La prostate
L’urètre
Le larynx
Le bassinet
La vessie
5. Une tumeur pédiculée développée au dépend de la muqueuse colique constituée de glandes tubuleuses
bordées par un épithélium dysplasique correspond à :
Un adénocarcinome
Un lymphome
Un adénome
Un poly adénome J
Un léiomyome
1. Toutes ces tumeurs germinales sont malignes sauf :
Choriocarcinome
Dysgerminome
Tumeur du sac vitellin
Kyste dermoïde F
Carcinome embryonnaire
2. A l’histologie, un épithélium malpighien qui présente une désorganisation architecturale atteignant toute son
épaisseur avec des atypies cytonucléaires et des figures de mitoses anormales sans franchissement de la
membrane basale est appelé :
Carcinome infiltrant
Carcinome micro infiltrant
Dysplasie légère
Carcinome in situ
Dysplasie modérée
3. La voie de dissémination lymphatique est empruntée par tous ces cancers, sauf :
Le carcinome basocellulaire F
Le carcinome épidermoïde du col utérin
L’ostéosarcome
Le carcinome spinocellulaire
L’adénocarcinome liberkhünien
4. Le mélanome malin : RF
Présente souvent un aspect pigmenté
Est de siège cutané exclusif F
Se développe de novo où complique un nævus
Est une prolifération active de mélanocytes
Est de pronostic péjoratif
5. Le carcinome basocellulaire : RF
Est une tumeur maligne qui peut prendre un aspect térébrant et délabrant
Est d’évolution rapide F
Est une tumeur à malignité locale
Apparaît sur les parties découvertes de la peau
Peut se développer sur un xéroderma pigmentosum
6. Un carcinome épidermoïde peut se développer sur toutes ces muqueuses sauf une :
Bronchique
Anale
Gastrique F
Laryngée
Endocervicale
7. Le siège habituel des carcinomes épidermoïdes est : RF
L’exocol
L’estomac F
Le larynx
Le poumon
L’œsophage
8. Un carcinome in situ : RF
Est un cancer au stade pré invasif
Est bien défini au niveau des épithéliums
S’accompagne d’anomalies cytonucléaires
Peut s’accompagner de métastases F
Ne peut être affirmé avant exérèse complète de la lésion
9. Le carcinome canalaire du sein :
Une masse mal limitée, indurée et adhérente J
Un nodule arrondi, encapsulé
Constitué d’une double prolifération épithéliale et mésenchymateuse
Une prolifération épithéliale maligne J
Peut s’accompagner d’une maladie de Paget du mamelon J
10. L’effraction de la membrane basale dans les cancers invasifs est due :
Une élévation des taux de la cadherine E
Une augmentation de la cohésion intercellulaire
Une dégradation de la membrane basale par les Protéases F
11. Parmi ces tumeurs, certaines sont douées d’une malignité locale et ne donnent pas habituellement de
métastases :
Lymphome malin
Fibrome desmoïde
Carcinome basocellulaire
Ostéosarcome
Adénocarcinome
12. Concernant le cancer in situ du col utérin :
Il siège au niveau de la jonction endocol-exocol J
Les cellules présentent des atypies cytonucléaires J
Il existe une diminution de la maturation de la base vers la surface J
Les cellules tumorales franchissent la membrane basale
Il nait à partir d’un revêtement paramalpighien
13. Les mélanomes : RF
Peuvent succéder à un nævus jonctionnel
Peuvent être pigmentés
Ne donnent pas de métastases F
Surviennent à tout âge
Peuvent siéger au niveau des muqueuses
14. Les tumeurs épithéliales sont :
Mélanome
Adénocarcinome J
Ostéosarcome
Papillome vésical J
Neurofibrome
15. L’adénofibrome du sein :
Se présente comme un nodule dur mal limité
Est une tumeur bégnine J
S’observe chez les femmes âgées
Est une tumeur mixte épithéliale et mésenchymateuse J
Ne récidive pas après exérèse J
16. Sont des tumeurs épithéliales :
Les condylomes
Les léiomyomes
Les papillomes
Les lipomes
Les adénomes
17. La malignité purement locale est une caractéristique de :
Carcinome spinocellulaire
Carcinome basocellulaire
L’’adénome villeux rectal
Carcinome urothélial papillaire
Fibrome desmoïde
1. Une prolifération tumorale est composée de boyaux infiltrant le chorion. Les cellules présentent dans ponts
d’union, des atypies nucléaires et des mitoses. Des globes cornés sont observés. Cette tumeur correspond à :
Un carcinome basocellulaire
Un adénocarcinome
Un fibrosarcome
Un carcinome in situ
Un carcinome spinocellulaire
2. Le carcinome spinocellulaire : RF
Siège au niveau du visage F
Donne des métastases par voie sanguine
Dérive de la couche granuleuse de l’épiderme
Peut se voir chez l’enfant
Induit une stroma réaction
3. On décèle su une ponction biopsie hépatique la métastase d’un carcinome épidermoïde. Parmi les organes
suivants, lequel est le siège le plus probable de la tumeur primitive ?
Estomac
Pancréas
Poumon
Colon
Thyroïde
4. Dans la dissémination des carcinomes spinocellulaires, quelle est la voie la plus fréquemment utilisée par les
cellules néoplasiques ?
Veineuses
Artérielle
Lymphatique
Péri nerveuse
Tissu conjonctif
5. Le carcinome épidermoïde est fréquent
Au niveau du col utérin
Au niveau de la glande thyroïde
Ai niveau de la prostate
Au niveau de l’endomètre
Au niveau de la vésicule biliaire
6. Le carcinome basocellulaire :
Est une tumeur maligne du revêtement paramalpighien
Donne des métastases ganglionnaires
Est un carcinome in situ
Apparait surtout sur les parties découvertes de la peau
Se développe toujours sur peau saine
7. Les métastases : RF
Peuvent être uniques ou multiples
S’observent chez les patients porteurs de carcinomes in situ
Conditionnent le pronostic
Constituent des localisations secondaires des tumeurs malignes
Peuvent être révélatrices de la tumeur primitive
8. Le cancer in situ du col utérin : RF
Présente des anomalies cytonucléaires
Comporte une désorganisation architecturale
Atteint toute la hauteur du revêtement
Présente un stroma tumoral peu abondant
Guérit à 100% après traitement
9. Une tumeur maligne développée à partir d’un revêtement malpighien est : RF
Un carcinome transitionnel
Un carcinome in situ
Un carcinome épidermoïde
Un carcinome spinocellulaire
Un carcinome basocellulaire
10. La voie de dissémination la plus fréquente des carcinomes est :
Lymphatique
Veineuse
Artérielle
Séreuse
Liquide céphalorachidien
11. Une tumeur bégnine des revêtements malpighiens :
S’appelle adénome
Récidive après ablation totale
Est le plus souvent un papillome
Se développe en respectant les tissus avoisinants
12. Le papillome cutané est constitué par :
Une augmentation de la taille des papilles dermiques ou hyper papillomatose
Une hyperplasie de la couche du corps muqueux malpighien
Une hyperkératose
Un effondrement de la membrane basale
Une dégénérescence fibrinoïde de la substance fondamentale
13. Les papillomes :
Sont constitués d’une partie composée de végétations grêles, saillantes à la surface de la peau
Est de siège œsophagien possible
S’observe autour des orifices anaux
Représentent la tumeur épithéliale de la vessie
Présentent souvent une effraction de la basale par la prolifération néoplasique
Est une tumeur développée à partir d’un revêtement cylindrique
14. Le polyadénome :
Est une tumeur de la peau et des muqueuses
Est une tumeur bégnine de l’endomètre
Est fréquent au niveau du colon
Se cancérise parfois
Ne présente pas de prolifération glandulaire au niveau de son pédicule
15. Le polype ou polyadénome :
Est une tumeur bégnine
Peut survenir à tout âge
Est constitué par une prolifération des cellules malpighiennes
Est souvent pourvue d’un pédicule d’implantation
Des cellules proliférantes qui le constituent détruisent la muscularismucosae
16. Un adénome est :
Une tumeur bégnine des ganglions lymphatiques
Une tumeur bégnine glandulaire
Une inflammation des glandes sympathiques
Une tumeur des ganglions sympathiques
Une hyperplasie glandulaire
1. Le carcinome basocellulaire : RF
Est une tumeur de revêtement malpighien
Est une tumeur développée au dépend des annexes de la peau
Donne des métastases pulmonaires
Est une tumeur maligne locale
Est une prolifération de la couche basale
2. Le carcinome baso cellulaire : RF
Réalise le plus souvent une tumeur végétante
Atteint généralement les muqueuses malpighiennes
Ne donne jamais de métastases
Atteint l’adulte âgé
Réalise une tumeur à malignité locale
3. Le carcinome baso cellulaire est une tumeur : RF
Du sujet âgé
Développée aux dépend des annexes de la peau
Qui a tendance à ulcérer
Qui donne des métastases viscérales
Qui siège le plus souvent au niveau de la face
4. Les métastases d’un épithélium baso cellulaire :
Se constituent rapidement
N’interposent que les ganglions cervicaux
Se propagent par voie hématogène
Siègent avec prédilection au niveau des poumons
N’existent pas en principe
5. L’épithélium spino cellulaire est une tumeur maligne :
Des revêtements para-malpighiens
Des muqueuses para-malpighiennes
Des revêtements cutanés
Des revêtements cylindriques métaplasiques
Des muqueuses respiratoires
6. Le carcinome ou épithélioma in situ :
Est une prolifération néoplasique qui compte la membrane basale
N’intéresse généralement qu’une partie de l’épaisseur de l’épithélium malpighien
Est généralement constitué de cellules indifférenciées hyper chromatiques
Est une prolifération faite de cellules polymorphes avec image de mitose
Donne des métastases par voie lymphatique dans les ganglions loco régionaux
7. Le carcinome in situ :
Est une tumeur épithéliale avec invasion loco régionale
Se développe dans un tissu d’origine mésenchymateuse
Est caractérisé par une perte de l’architecture normale d’un épithélium
Est une prolifération de cellules normales
Est une prolifération qui détruit le fossile
8. Indiquez par les signes suivants, ceux qui caractérisent un carcinome (des revêtements malpighiens) au stade
in situ :
Infiltration du chorion par les cellules malignes
Anomalies cytonucléaires intra-épithéliales
Intégrité de la basale
Emboles vasculaires néoplasiques
Présence de métastases ganglionnaires
9. Épithélioma in situ :
Réalise une prolifération qui intéresse à la fois l’épithélium et le chorion de la muqueuse
Est généralement constitué de cellules indifférenciées
Comporte de nombreuses mitoses normales
Se traduit par effraction de la basale du revêtement épithéliale
Réalise une prolifération cellulaire polymorphe
10. Indiquez parmi les signes suivants, ceux qui caractérisent un épithélioma (des revêtements cutanés) au stade
in situ :
Infiltration du chorion par des cellules malignes
Anomalies cytonucléaires
Intégrité de la basale
Emboles vasculaires néoplasiques
11. La voie de dissémination la plus fréquente des carcinomes in situ :
La voie canalaire
La voie hématogène
La voie lymphatique
Toutes ces réponses
Aucune de ces réponses
12. Le cancer in situ du col utérin est caractérisé par :
Une désorganisation de l’architecture épithéliale
Des limites latérales nettes
Des mitoses superficielles
Une perte de la charge glycogénique
13. Le cancer in situ de la muqueuse buccale :
Est de siège purement épithélial
Peut se voir aussi bien dans l’épithélium que dans le chorion
Comporte des anomalies cytonucléaires patentes
Donne fréquemment ces métastases précoces
Peut évoluer vers un cancer invasif
14. Le carcinome épidermoïde :
Réalise le plus souvent une tumeur végétante
Atteint en général les muqueuses malpighiennes
Ne donne jamais de métastases
Atteint l’adulte âgé
Réalise une tumeur à malignité locale
23. L’adénocarcinome :
Est une tumeur maligne de parenchymes glandulaires
Est souvent le siège de remaniements nécrotico-hémorragiques
Disséminé surtout par voie hématogène
Est fréquent chez l’enfant
Prend souvent un caractère nodulaire
24. L’adénocarcinome :
Est une tumeur bégnine du parenchyme glandulaire
Est une tumeur maligne, développée au dépend di tissu conjonctif
Est une tumeur maligne du parenchyme glandulaire
Est une tumeur maligne des revêtements cylindriques
Reproduit les structures épithéliales
Est toujours bien différencié
25. Le carcinome glandulaire :
Est généralement de couleur fris rosé
Est le plus souvent d’aspect macroscopique végétant
Peut entraîner une déformation partielle ou complète de la glande
N’est jamais hormono-sécrétant
Peut se présenter sous forme squirrheuse ou en céphaloïde
1. Toutes les lésions cutanées sont des tumeurs vraies, sauf :
Papillome
Épithélioma spinocellulaire
Chéloïde
Épithélioma baso cellulaire
Mélanome