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Partie 

: 1  : URGENCES REA

1- Quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) vraie(s) ?


a) L'HTA gravidique est définie par la découverte d'une PAS sup ou égale à 140 mmHg et/ou une
PAD sup ou égale à 90 mmHg à 3 reprises à 6 mois d'intervalle
b) La prééclampsie est définie par la présence d'une HTA gravidique associée à une protéinurie >
300 mg/24h
c) HTA gravidique est le synonyme d’une préeclampsie
d) L ‘éclampsie est la complication la plus sévère de la prééclampsie et correspond à une crise
convulsive avec signes neurologiques focaux
e) La prééclampsie survient classiquement dès la fin du 1er trimestre de grossesse
2- Parmi les réponses suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) un (des) critère(s) permettant de
définir une prééclampsie sévère
a) Pression artérielle = 160/110
b) Plaquettes = 125 G/L
c) Phosphènes
d) Protéinurie = 4 g/24h
e) OAP
3- Parmi les examens complémentaires suivants : (ceux) qui permet(tent)_l'évaluation de. La_
gravité_ de _la. Prééclampsies ?
a. Créatinémie
b. Transaminases
c. D-dimères
d. Haptoglobine
e. CPK
4- A propos de la physiopathologie de la prééclampsies, quelle(s) est (sont) la (les) Réponse (s)
vraie(s)
A- Il y a un défaut d'invasion trophoblastique de l'utérus
B- Il s'agit d'une pathologie dont l’ischémie placentaire est absente
C- L'insuffisance placentaire est la cause des manifestations de la prééclampsie
D- De nombreuses substances comme des cytokines et des radicaux libres sont produites
E- Une atteinte de l'endothélium maternel explique les symptômes et les complications
potentielles
5- Quel(s) est (sont) le(s) traitement(s) antihypertenseur(s) recommandé(s) chez la femme
enceinte avec HTA sévère
A- IEC
B- Inhibiteur calcique
C- Diurétique thiazidique
D- Alpha et béta bloquant
E- ARA 2
6- Quelles sont les 3 bactéries les plus fréquemment rencontrées au cours des méningites
bactériennes aiguës de l’adulte ?
a. Staphylococcus aureus
b. Streptococcus pneumoniae
c. Neisseria meningitidis
d. Listeria monocytogenes
e. Haemophilus influenzae de type b
7- - Quelles sont les situations à risque de survenue d'une méningite à Listeria monocytogenes ?
a. Immunodépression
b. Pathologie néoplasique
c. Antécédent de neurochirurgie
d. Traumatisme crânien
e. Âge< 1 mois
8- Quel signe clinique est-il défini par une flexion involontaire des membres inférieurs à la flexion
de la nuque ?
a. Signe de Kernig
b. Signe de Brudzinski
c. Signe de Babinski
d. Signe de Romberg
e. Signe de Lemierre
9- Triade du syndrome méningé
a. Fièvre
b. Céphalées
a. Syndrome extra pyramidal
c. Vomissements
d. Raideur de nuque
10- Dans quelles situations une TDM cérébrale doit-elle Précéder la réalisation de la ponction
lombaire devant un syndrome méningé fébrile ?
a. Signes de focalisation
b. Céphalées hyperalgiques
c. Signe d'irritation pyramidale avec réflexes ostéotendineux vifs
d. Signes d'hypertension intracrânienne
e. Crise convulsive partielle
11- Quels éléments sont-ils évocateurs d'une méningite bactérienne lors de l'examen du liquide
céphalo-rachidien ?
a. Liquide trouble
b. Liquide eau de roche
c. Pléiocytose > 20 cellules/mm3
d. Hypo protéinorachie < 0,2 g/l
e. Hypo glycorachie avec rapport glycorachie/glycémie < 50 %
12- -Quel agent infectieux suspectez-vous devant une méningite lymphocytaire avec hypo
glycorachie et hypochlorurorachie
a. VZV
b. HSV
c. Entérovirus
d. Mycobacterium tuberculosis
e. Listeria monocyt ogenes
13- Quelles sont les caractéristiques du LCR devant une méningite à listeria
a. Liquide céphalo-rachidien panaché
b. Normoprotéinorachie
c. Normoglycorachie
d. Hypoglycorachie
e. Présence de bacilles à gram négatif au direct
14- - Devant un liquide céphalo-rachidien purulent dont l'analyse biochimique révèle une
importante protéinorachie et une hypoglycorachie profonde et dont l'examen direct montre des
cocci à gram positif, quel germe suspectez-vous ?
a. Neisseria meningitidis
b. Streptococcus pneumoniae
c. Streptococcus agalactiae
d. Mycobacterium tuberculosis
e. Listeria monocytogenes
15- Concernant les germes responsables des méningites, quelles sont les affirmations exactes ?
a. Neisseria meningitidis est un cocci à gram positif
b. Neisseria meningitidis est un cocci à gram négatif
c. Le pneumocoque est un cocci à gram positif
d. Listeria monocytogenes est un bacille à gram négatif
e. Haemophilus influenzae est un bacille à gram négatif
16- Deux germes justifient chez l'adulte l'administration d'une corticothérapie systémique.
Lesquels ?
a. Méningocoque
b. Pneumocoque
c. Haemophilus influenzae
d. Escherichia coti
e. Proteus mirabilis
17- Chez l'enfant, deux germes justifient l’administration des corticoïdes systématiquement : lequels
a. Pneumocoque
b. Méningocoque
c. -Haemophilus C. influenzae
d. Listeria monocytogenes
e. Entérovirus
18- Dans quelles situations proposez-vous une antibiothérapie probabiliste par céftriaxone ou
Céfotaxime en cas de méningite aigue :
a. Suspicion de pneumocoque
b. Suspicion de méningocoque
c. Suspicion de listériose
d. Suspicion d’Haemophilus influenzae
e. Suspicion d’Escherichia colis
19- Quel(s) antibiotique(s) proposez-vous en cas de suspicion de méningite à Listeria
monocytogenes ?
a. Céfotaxime
b. Ceftriaxone
c. Amoxicilline
d. Gentamicine
e. Lévofloxacine
20- Quel est le traitement de la méningo-encéphalite herpétique ? (Immunodéprimé)
a. Aciclovir IV pendant 8 jours
b. Valaciclovir PO pendant 8 jours
c. Aciclovir IV pendant 21 jours
d. Valaciclovir PO pendant 21 jours
e. Pas d'indication à un traitement antiviral spécifique
21- Concernant l’encéphalite herpétique :
a. Elle réalise une encéphalite nécrosante aigue des lobes frontaux
b. Débit est insidieux en qlq semaines
c. . L'examen du liquide céphalo-rachidien montre Normoglycorachie associée à une franche
hyperprotéinorachie
d. La PCR HSV dans le liquide céphalo-rachidien est l'examen le plus rapide pour obtenir le
diagnostic
22- Quelle molécule allez-vous administrer en cas d’intoxication aux cyanure.
a. Glucagon
b. Sels de calcium
c. N-acétylcystéine
d. Hydrox cobalamine
e. Naloxone
23- Quels sont les signes cliniques d'une intoxication au CO?
a. Céphalées, acouphènes
b. Nausées, vomissements
c. Convulsions, coma
d. Détresse respiratoire aiguë
e. Bradycardie
24- Quelle est la définition d'un patient polytraumatisé ?
a. Patient ayant subi un traumatisme dont le mécanisme fait suspecter la possibilité d'une lésion
menaçant le pronostic vital
b. Patient ayant subi un traumatisme dont la violence fait suspecter la possibilité d'une lésion
engageant le pronostic fonctionnel
c. Patient traumatisé souffrant d'au moins 2 lésions dont l'une au moins menace le pronostic vital
et/ou fonctionnel
d. Patient traumatisé souffrant d'au moins 2 lésions dont l'une au moins menace le pronostic vital
e. Patient traumatisé souffrant d'au moins 2 lésions menaçant le pronostic vital
25- À combien évaluez-vous le volume du saignement en cas de fracture tibiale chez un
polytraumatisé ?
a. 500 ml
b. 1000 ml
c. 2000 ml
d. 3000 ml
e. 5000 ml
26- A combien évaluez-vous le volume du sang en cas de fracture du fémur chez un polyt
a. 500 ml
b. 1000 ml
c. 2000 ml
d. 3000 ml
e. 5000 ml
27- Quelle est la principale étiologie d’état de choc post traumatique ? QCU
a. Hypovolémique par hémorragie
b. Obstructif par pneumothorax
c. Obstructif par hémothorax
d. Septique par translocation digestive
e. Cardiogénique par contusion myocardique
28- Concernant les ACSOS
a. Le terme ACSOS représentent toutes les l esio ns ce re b ra les p ri ma Ires liées aux traumatismes
crâniens
b. L’augmentation de la pression intracrânienne est l'un des moyens de lutte contre la survenue des
ACSOS
c. Le maintien d'une pression de perfusion cérébrale supérieure à 70 mmHg est l'un des moyens de
lutte contre la survenue des ACSOS
d. La lutte contre l'hyperthermie est l'un des moyens de lutte contre la survenue des ACSO
29- Lesquels des moyens sont de la prévention des ACSOS ?
a. Maintien d'une osmolalité basse
b. Respecter une hyperthermie
c. Maintien d'une hb > 10 g/dl
d. Maintien d'une capnie normale
e. Maintien de la glycémie dans ses valeurs normales
30- Quelle lésion doit-elle être recherché systématiquement dans un traumatisme crânien QCU++
a. Tram autisme médullaire cervical
b. Traumatisme médullaire thoracique
c. Traumatisme médullaire lombaire
d. Syndrome de la queue de cheval
e. Traumatisme costal
31- Quel est le toxidrome défini par la triade : bradypnée et, myosis serre bilat et coma calme :
a. Syndrome de myorelaxation
b. Syndrome cholinergique
c. Syndrome anticholinergique
d. Syndrome opioïde
e. Syndrome antabuse
32- Quels toxiques évoquez-vous en cas de crises convulsives
a. Antidépresseurs tricycliques
b. Lithium
c. Benzodiazépines
d. Barbituriques
e. Amphétamines
33- Quels signes cliniques appartiennent-ils au syndrome adrénergique :
a. Coma calme
b. Agitation psychomotrice
c. Convulsions
d. Bradycardie
e. Hyperglycémie
34- Quel est le toxidrome d'une intoxication par les benzodiazépines ?
a. Syndrome opioïde
b. Syndrome de myorelaxation
c. Syndrome adrénergique
d. Syndrome sérotoninergique
e. Syndrome d'hyperthermie maligne
35- Concernant l’intoxication aux BZD
A- L'antidote est le flumazénil
B- L'antidote est la naloxone
C- L'intoxication aux benzodiazépines peu s’accompagner d’une détresse respiratoire qui nécessite
le recours à la ventilation mécanique
e. La survenue d'une dépression respiratoire contre-indique l’utilisation de l'antidote
f. La prise concomitante d'alcool contre-indique l'administration de l'antidote
36- - Quels sont les symptômes d'une intoxication aux antidépresseurs tricycliques ?
a. Coma agité
b. Signes d'irritation pyramidale
c. Myosis serré bilatéral
d. Sécheresse des muqueuses
e. Diarrhée
37- Lesquelles des molécules peuvent être éliminées par EER
a. Lithium
b. Antidépresseur tri ycliqu s
c. Benzodiazépine
d. Salicylés
e. Metformine
38- Quels sont les signes cliniques du syndrome malin des neuroleptiques ?
a. Hypotonie musculaire
b. Hyperthermie> 40 °C
c. Syndrome pyramidal
d. Hypertonie extrapyramidale
e. Rhabdomyolyse
39- Concernant les antidotes utilisés au cours des intoxications
a. Naloxone est l'antidote des opiacés
b. L’hydroxy cobalamine est l’antidote de CO
c. Il n’existe pas un antidote spécifique des digitaliques
d. Le glucagon, est l'antidote des bêtabloquants, .
e. La N-acétylcystéine est l’antidote des sulfamides hypoglycémiants
40- Quels sont les 4 états de choc décrits habituellement ?
a. Choc hypovolémique
b. Choc hypotensif
c. Choc cardiogénique
d. Choc anaphylactique
e. Choc septique
41- Quel est le déterminant de la perfusion de la majorité des organes ?
a. Pression artérielle systolique
b. Pression artérielle diastolique
c. Pression artérielle moyenne
d. Fréquence cardiaque
e. Débit cardiaque
42- Quelle est la cause la plus fréquente du choc cardiogénique
a. Emboire pulmonaire aiguë
b. Insuffisance aortique aiguë
c. Pneumothorax compressif
d. Infarctus du myocarde
e. Myocardite aiguë
43- Quels sont les examens nécessaires au diagnostic positif d’état de choc
a. Ionogramme sanguin
b. Gaz du sang artériels
c. Lactatémie
d. ECG
e. Aucun
44- Concernant l'état de choc hypovolémique quelles sont les affirmations exactes ?
a. L'index cardiaque augmente
b. La pression de remplissage du ventricule gauche augmente
c. Les résistances artérielles systémiques augmentent
d. L'extraction périphérique d'oxygène diminue
e. La saturation veineuse en oxygène diminue
45- Lesquels des paramètres ci-dessous augmentent-ils au cours du choc anaphylactique ?
a. Index cardiaque
b. Pression de remplissage du ventricule gauche
c. Résistances artérielles systémiques
d. Extraction périphérique d'oxygène
e. Saturation veineuse en oxygène
46- Dans quelles situations les résistances artérielles systémiques diminuent-elles ?
a. Choc hypovolémique hémorragique
b. Choc hypovolémique non hémorragique
c. Choc cardiogénique
d. Choc septique
e. Choc anaphylactique
47- Concernant le choc cardiogénique, quelles sont les affirmations exactes ?
a. L'index cardiaque augmente
b. La pression de remplissage du ventricule gauche augmente
c. Les résistances artérielles systémiques diminuent
d. L'extraction périphérique d'oxygène diminue
e. La saturation veineuse en oxygène diminue
48- Concernant le choc septique, quelles sont les affirmations exactes?
a. La saturation veineuse en oxygène augmente
b. L'index cardiaque augmente
c. La pression de remplissage du ventricule gauche augmente
d. Les résistances artérielles systémiques diminuent
e. L’extraction périphérique en oxygène augmente
49- Lesquelles des catécholamines ci-dessus ont un effet agoniste sur les récepteurs alpha 1 et alpha
2
a. Adrénaline
b. Noradrénaline
c. Dobutamine
d. /isoprénaline
e. Phényléphrine

51- Sur quels récepteurs adrénergiques la dobutamine exercent-elle un effet agoniste.

a. a1

b. a2

c. Bl

d. B2

e. Aucun des récepteurs ci-dessus


52- La noradrénaline exerce un effet agoniste modéré à fort dose sur 3 des récepteurs ci-dessous.
Lesquels ?

a. al

b. a2

C. Bl

d. B2

e. Y

53- Quels sont les éléments de la prise en charge immédiate d'un choc hypovolémique ?

a. Introduction d’adrénaline
b. Remplissage vasculaire massif par cristalloïdes
c. Transfusion sanguine en cas de choc hémorragique
d. Antibiothérapie parentérale probabiliste à large spectre
e. Introduction de noradrénaline

54- Quelles sont les étiologies du choc distributif ?

A- Choc septique a.
B- Choc cardiogénique b.
C- Pancréatites aiguës
D- Brûlures étendues
E- Choc hémorragique
55- Quelles sont les 2 causes les plus fréquentes du choc distributif
a. Rétention aiguë d'urine
b. Angiocholite aiguë
c. Embolie pulmonaire
d. Infarctus du myocarde
e. Tamponnade cardiaque
56- Lesquels des éléments ci-dessous définissent-ils un sepsis sévère et non plus
seulement une réponse inflammatoire systémique ?
a. Fréquence cardiaque> 90/minute
b. Fréquence respiratoire> 20 cycles/minute
c. Pression artérielle systolique< 90 mm Hg avant remplissage
d. Thrombopénie < 100 G/L
e. Temps de recoloration cutanée> 2 secondes
57- La méningoencéphalite à Pneumocoque se caractérise par :
A. Un début brutal et franc
B. Des lésions cutanées purpuriques nécrotiques et hémorragiques extensives
C. Sa sensibilité élevée à la pénicilline et CG3
D. Un LCR purulent riche en PNN
E. La présence d’autres foyers extra méningés
58- . Concernant les Antidotes, cochez-la ou les réponse(s) juste(s) :
A. La Naloxone est l’antidote des barbituriques
B. Le flumazénil est l’antidote des benzodiazépines
C. L’atropine est l’antidote des organophosphorés
D. Le charbon actif est l’antidote des antidépresseurs
E. Les barbituriques n’ont pas d’antidote
59- L’envenimation scorpionique :
A. Est toujours venimeuse
B. A la même gravité que l’envenimation vipérine
C. Reste sans conséquence grave chez l’adulte à part la douleur intense
D. S’accompagne d’une décharge de catécholamines
E. Nécessite une surveillance de 4 heures
60- . Les phénomènes physiopathologiques responsables de l’asthme aigu grave
sont :
A. Un processus inflammatoire avec œdème muqueux et secrétions bronchiques.
B. Une inondation alvéolaire secondaire l’augmentation de la pression hydrostatique dans les
capillaires pulmonaires.
C. Une vasoconstriction pulmonaire secondaire à une réaction allergique.
D. Une contraction aiguë des muscles bronchiques sous l’effet de stimuli allergéniques.
E. Une obstruction des voies aériennes supérieures par un œdème allergique.
61- Devant un état de choc :
A. Les médicaments inotropes sont utilisés quel que soit la cause de l’état de choc.
B. Un remplissage initial peut être assuré par une solution cristalloïde.
C. Le remplissage vasculaire n’est débuté qu’après l’échec de l’usage des Vasoconstricteurs.
D. En cas d’hémorragie extériorisée avec état de choc, il pourra être nécessaire de transfuser des
culots globulaires avant la quantification du taux d’hémoglobine.
E. L’albumine est le soluté de remplissage idéal dans les états de chocs.
62- Concernant les traitements vasopresseurs ou inotropes dans les états de choc :
A. L’agent vasoconstricteur de première intention est la Noradrénaline.
B. L’agent inotrope positif de première intention est la Dopamine.
C. Le traitement vasoconstricteur et associé au remplissage vasculaire en cas d’hypovolémie.
D. L’agent inotrope positif de première intention est la Dobutamine.
E. L’adrénaline est utilisée pour un effet α adrénergique exclusif.
63- Concernant le choc hypovolémie :
A. Peut survenir à la suite d’une défaillance cardiaque.
B. La masse sanguine circulante n’est pas modifiée.
C. La pression veineuse centrale est élevée.
D. Peut être liée à une hémorragie.
E. Peut être lié à des fuites plasmatiques.
64- Sur le plan Physiopathologique, le choc cardiogénique est caractérisé par :
A. Un débit cardiaque préservé.
B. Augmentation des pressions de remplissage.
C. Une diminution des pressions de remplissage.
D. Une Augmentation des résistances périphériques.
E. Une diminution de la masse sanguine circulante.
65- Le choc septique est caractérisé par :
A. Une défaillance cardiaque initiale.
B. Le déclenchement par une réaction allergique.
C. Des désordres hémodynamiques, métaboliques et viscéraux.
D. Une réaction immunoinflammatoire de l’hôte infecté.
E. L’absence de modifications de la perméabilité capillaire.
66- Parmi les lésions suivantes chez un traumatisé crânien, quelles sont celles qui
sont secondaires à un traumatisme de contact :
A. Une lacération du cuir chevelu.
B. Une fracture du crâne.
C. Des lésions axonales diffuses.
D. Une embarrure.
E. Une plaie cranio- cérébrale.
67- Lors d’un traumatisme crânien grave, la craniectomie décompressive est
indiquée devant :
A. Un œdème cérébral diffus sans lésions ischémiques.
B. Un engagement cérébral prolongé.
C. Une hydrocéphalie
D. Un délabrement étendu du cuir chevelu
E. Une PIC incontrôlable par de moyens médicaux.
68- L’asthme aigu grave est traité en première intention par :
A. L’injection intraveineuse d’un bêta-2 adrénergique.
B. La Nébulisation d’un bêta-2 adrénergique.
C. La ventilation artificielle en première intention.
D. Des anti-inflammatoires stéroïdiens en intraveineux.
E. Une oxygénothérapie par masque à réservoir pour nébulisation.
69- Parmi les Signes suivant quels sont ceux qui définissent l’asthme aigu grave :
A. La difficulté à parler ou tousser.
B. Le silence auscultatoire.
C. Une hypertension artérielle systolique > 150 mm Hg.
D. Un débit expiratoire de pointe (DEP) > 150 L / min.
E. Une PaCO2 < 30 mm Hg.
70- Afin de réduire l’incidence des infections nosocomiales on préconise :
A. L’administration d’une antibiothérapie précoce dés l’apparition d’une fièvre en réanimation.
B. L’utilisation des solutions hydro alcooliques pour le lavage des mains.
C. Le dépistage des bactéries multi résistantes
D. Un bilan infectieux quotidien.
E. D’utiliser les dispositifs invasifs quand cas de nécessité.
71- Quels sont les 3 germes les plus fréquemment identifies lors des infections
nosocomiales
A. Pneumocoque
B. Staphylocoque Aureus
C. Escherichia coli
D. Pseudomonas aéruginosa
E. Entérocoque
72- . Les deux principales indications d’administration du sulfate de magnésium
sont :
a. Toute crise convulsive chez la femme enceinte.
b. Une préeclampsie sévère
c. Une HTAG gravidique
d. Une éclampsie
e. Des mouvements myocloniques chez une parturiente.
73- Une hémorragie grave du postpartum se caractérise par :
A. Une instabilité hémodynamique.
B. Le recours à une transfusion sanguine massive.
C. La possibilité d’installation d’une insuffisance rénale aigue.
D. Des pertes sanguines inférieures à 500 ml.
E. La possibilité de survenue d’une insuffisance antéhypophysaire.
74- En cas des hémorragies graves du post-partum :
A. La transfusion massive est nécessaire quelle que soit le tableau clinique.
B. Les utéro toniques doivent être administrés précocement.
C. Le taux du fibrinogène n’est pas déterminant dans le pronostic maternel.
D. Le risque de survenue d’un œdème aigue du poumon est non négligeable.
E. L’hystérectomie d’hémostase est parfois nécessaire pour sauvetage maternel.
75- Concernant les hypernatrémies : (cocher les réponses vraies)
A. L’hypernatrémie s’accompagne d’un hyper osmolalité plasmatique
B. L’hypernatrémie traduit une hyperhydratation intracellulaire
C. Les pertes digestives peuvent être une cause
D. Une hypernatrémie avec secteur extracellulaire normal le traitement est L’apport hydrique seul
E. Elles doivent être interprétées en fonction du volume extracellulaire
76- Le bilan radiologique à demander en cas de polytraumatisme :
a. Un scanner corps entier
b. Une scintigraphie osseuse
c. Une urographie intraveineuse
d. Un arbre urinaire sans préparation
e. Une FAST échographie
77- La prise en charge d’un patient polytraumatisé comporte :
a. Un remplissage vasculaire
b. Un bilan radiologique
c. Un bilan biologique complet
d. Un sondage vésical systématique
e. Un transfert en réanimation avant stabilisation
78- Le remplissage vasculaire au cours du polytraumatisme peut faire appel :
a. Aux culots globulaires
b. Aux cristalloïdes
c. A l’albumine humaine
d. Aux colloïdes
e. Aux culots plaquettaires
79- Parmi les signes de gravité d’une morsure de serpent :
f. Une hypertension artérielle
g. Un œdème extensif
h. La morsure au niveau du pied
i. Présence de troubles de l’hémostase
j. Absence de signes généraux
80- Concernant les intoxications, Cocher la (les) réponses vraies :
a. Le lavage gastrique est indiqué dans toutes les situations
b. Le charbon activé est le plus utilisé dans les intoxications médicamenteuses
c. L’intoxication aux pesticides s’accompagne d’un syndrome adrénergique
d. L’intoxication au CO peut se compliquer de séquelles neurologiques
81- Parmi les causes des comas avec agitation, on peut noter :
a. Intoxication aux antidépresseurs tricycliques
b. Intoxication au BZD
c. Une encéphalopathie hépatique
d. Une intoxication au CO
e. Une acidocétose diabétique
82- L’éclampsie se définit par :
a. Crises convulsives généralisées au-delà de 20 Semaines d’aménorrhées
b. Une hypertension associée à des crises convulsives.
c. des crises convulsives dans un contexte fébrile
d. Crises convulsives dans un contexte de pré éclampsie au-delà de 20 SA
e. Des crises convulsives chez une femme enceinte
83- Le sulfate de magnésium est un anticonvulsivant indiqué en cas d’éclampsie,
quelles sont les propositions exactes ?
a. Une dose de charge de 4g en perfusion de 30 min
b. Une dose d’entretien de 4g/h à la seringue auto pousseuse.
c. Est un médicament prescrit en préventif et curatif des convulsions.
d. A un effet protecteur du cerveau du bébé.
e. Est indiqué même en présence d’une insuffisance rénale aigue.
84- La surveillance d’une éclamptique sous sulfate de magnésium nécessite :
a. La vérification de la fréquence cardiaque.
b. La vérification de la fréquence respiratoire.
c. L’administration du gluconate de potassium en cas de surdosage.
d. La surveillance de la diurèse.
e. La surveillance des réflexes ostéotendineux
85- Le choc anaphylactique est caractérisé par :
a. . Une bronchoconstriction importante responsable d’une gêne respiratoire.
b. Une vasoconstriction périphérique responsable de marbrures et cyanose.
c. Une augmentation de la perméabilité capillaire.
d. Son traitement fait appel à la noradrénaline.
e. Une gêne respiratoire qui peut être liée à un œdème de voies aériennes supérieures.
86- Concernant le traitement des états de choc par les sympathomimétiques :
a. L’agent inotrope positif de première intention est la dopamine.
b. L’agent vasoconstricteur de première intention est la Noradrénaline.
c. L’agent inotrope positif de première intention est la dobutamine.
d. L’adrénaline est utilisée pour ses effet ß et α adrénergiques.
e. L’agent vasoconstricteur de première intention est l’adrénaline
87- . Homme mordu par une vipère au niveau du pied, présente des sueurs,
diarrhée, OMI, hypotension :
a. Classé Grade 2
b. Besoin de sérothérapie
c. Besoin d’hospitalisation en milieu de réanimation
d. Pas besoin de bilan biologique
e. Pronostic vital hors danger
88- Méningite à pneumocoque :
a. Fréquent chez les splénectomisé
b. Favorisé par l’existence de brèche dure mérienne
c. Trouble brutal, avec apparition de purpura extensif et nécrosant
d. Sensible à la PeniG
e. En cas d’allergie à la pénicilline, on utilise les cyclines
89- Méningoencéphalite herpétique :
a. Est une urgence médicale
b. Caractérisé par l’atteinte frontal plus évidente sur l’IRM
c. PCR est le moyen de diagnostic le plus sensible
d. Se caractérise par un LCR purulent avec formule lymphocytaire
e. Acyclovir est donnée à raison de 10mg/kg/8h
90- les infections nosocomiales sont :
A- Rares
B- Inévitables
C- Responsables d’une mortalité élevée
D- Faciles à traiter
a. E-Responsable de préjudice moral pour le patient
91- Les agents microbiens conventionnels responsables d’infections nosocomiales
sont :
A- Des bactéries
B- Des virus
C- Des prions
D- Des parasites
E- Des levures
92- L’infection nosocomiale la plus fréquemment observée en réanimation est :
A- L’infection urinaire
B- L’infection pulmonaire
C- La bactériémie
D- L’infection du site opératoire
E- La méningite
93- Parmi les moyens de prévention de l’infection nosocomiale on retrouve :
A- L’hygiène des mains
B- Le port de gants
C- Les antibiotiques
D- L’isolement des patients infectés
E- L’usage des antiseptiques
94- Les polytraumatismes sont :
A- Rares
B- Responsables d’une mortalité élevée
C- Des urgences médico-chirurgicales
D- Faciles à gérer
E- Secondaires exclusivement à des AVP
95- Quels sont les éléments en faveur d’un coma toxique :
A- Il s’accompagne d’un déficit moteur
B- Il est réversible sans séquelles en l’absence de complications
C- Il est toujours calme et hypotonique
D- Il s’accompagne de toxidromes
E- Aucune de ces propositions
96- Parmi les signes suivants, quels sont ceux en faveur d’une intoxication aux
organophosphorés :
A- Un myosis serré
B- Des convulsions
C- Diarrhées et vomissements
D- Une hypertension artérielle et tachycardie
E- Fièvre

97- Le lavage gastrique peut être indiqué dans les situations suivantes :
A- Intoxication aux organophosphorés
B- Ingestion de produits caustiques
C- Chez un patient comateux non intubé
D- Ingestion d’antidépresseurs tricycliques
E- Ingestion de paracétamol
98- L’intoxication par les organophosphorés se caractérise par :
A- Un syndrome cholinergique
B- Une hypovolémie
C- Le risque d’intoxication percutanée
D- La contre-indication du lavage gastrique
E- Une rhabdomyolyse avec risque d’insuffisance rénale organique
99- Chez le traumatisé crânien grave, les lésions cérébrales secondaires sont liées
à:
A. L’hypotension artérielle.
B. La ventilation artificielle.
C. L’hypocapnie.
D. L’hypercapnie.
E. La sédation.
100- - Chez le traumatisé crânien grave, la chirurgie est indiquée devant :
A. Toute embarrure ouverte.
B. Un hématome sous dural avec déviation de la ligne médiane > 5 mm.
C. Toute hydrocéphalie aiguë.
D. Toute contusion frontale.
E. Toute contusion temporale avec anisocorie et disparition de la citerne péripédonculaire
ipsilatérale avec ou sans HIC.
101- Parmi les traitements suivants, quels sont ceux qui sont indispensables
pour traiter un asthme aigu grave ?
A. L’oxygénothérapie ou la ventilation artificielle.
B. Les antihistaminiques.
C. Les ß2 agonistes.
D. Les corticoïdes.
E. L’antibiothérapie
102- Le choc cardiogénique est caractérisé par :
A. Un bas débit cardiaque.
B. Une diminution des pressions de remplissage.
C. Une phase initiale hyperkinétique.
D. Une augmentation des résistances périphériques
103- Une hypernatrémie peut être provoquée par :
A. Un régime riche en sodium
B. Des apports d’eau insuffisants
C. Des apports d’eau supérieurs à 3 litres par jour
D. Un défaut de concentration des urines
E. Une lésion hypophysaire
104- Le tableau clinique de l’hyponatrémie est celui d’une
A- Déshydratation extracellulaire
B- Déshydratation intracellulaire
C- Hyperhydratation extracellulaire
D- Hyperhydratation intracellulaire
E- Déshydratation intra et extracellulaire
105- Le tableau clinique de l’hypernatrémie est celui de :
A- Hyperhydratation intracellulaire
B- Déshydratation extracellulaire
C- Déshydratation intracellulaire
D- Hyperhydratation extracellulaire
E- Etat d’anasarque

106- Quel est le traitement le plus important des intoxications


médicamenteuses :
A- Le traitement antidotique
B- Le traitement symptomatique
C- Le lavage gastrique
D- Le charbon activé
E- Le traitement épurateur
107- En cas de suspicion de choc anaphylactique il faut doser :
A- Parathormone
B- Histamine
C- Calcémie
D- Tryptase
E- Thyroglobuline
108- Quelles sont les causes de l’hypokaliémie :
A- Les diarrhées
B- Les vomissements
C- Insuffisance hépatique
D- Insuffisance rénale
E- Diurétique de l’anse
109- Les signes électriques de l’hypokaliémie :
A- Raccourcissement de l’espace PR
B- Onde T négative
C- Onde T isoélectrique
D- Extrasystoles ventriculaires
E- Bloc de branche gauche
110- Parmi les protocoles thérapeutiques suivants, lequels peuvent être
utilisés : pour corriger l’Hyper K+
A- Insuline + glucose
B- Alcalinisation à base de bicar de sodium
C- Hémodialyse
D- Remplissage vasculaire
E- B2mimétique
111- Quels sont les signes d’une pneumopathie nosocomiale :
A- La fièvre
B- Les sécrétions trachéales purulentes
C- Les brûlures mictionnelles
D- Les arthralgies
E- L’hépatomégalie
Partie 2  : douleurs et soins palliatifs
112- -Les nocicepteurs (ou récepteurs de la douleur) :
A- Sont des terminaisons nerveuses libres
B- Sont des terminaisons nerveuses encapsulées
C- Sont stimulés par la chaleur
D- Sont inhibés par la pression
E- Existent exclusivement au niveau de la peau
113- Les fibres nerveuses qui transmettent le message douloureux sont :
A- Les fibres A-delta
B- Les fibres A-béta
C- Les fibres A-alfa
D- Les fibres C
E- Aucune de ces fibres
114- -Les contrôles inhibiteurs physiologiques supra spinaux font intervenir :
A- Les endorphines
B- La sérotonine
C- La noradrénaline
D- Les antidépresseurs tricycliques
E- Aucune de ces réponses
115- -Pour comprendre le mécanisme physiopathologique d’une douleur on
s’aide :
A- Des données de l’interrogatoire
B- Des données de l’examen clinique
C- Des explorations électrophysiologiques
D- Des marqueurs biologiques
E- Des explorations radiologiques
116- La douleur cancéreuse :
A- Est toujours une douleur neurogène
B- Est toujours une douleur par excès de nociception
C- Peut-être neurogène et nociceptive
D- Peut avoir une composante psychologique dominante
E- Aucune de ces propositions
117- Pour évaluer l’intensité de la douleur on peut faire appel à :
A- L’auto évaluation
B- La consommation des antalgiques par le malade
C- Au questionnaire DN4
D- Au comportement du malade
E- Au retentissement sur la vie quotidienne
118- L’outil utilisé pour l’évaluation de l’intensité de la douleur doit être :
A- Facile à utiliser par le patient
B- Validé
C- Adapté à l’état du malade
D- Régulièrement changé pour le même malade
E- Reproductible dans le temps
119- Parmi les outils d’autoévaluation de l’intensité de la douleur on peut
utiliser :
A- L’échelle numérique simple
B- L’échelle verbale simple
C- L’échelle visuelle analogique
D- L’échelle comportementale
E- L’échelle Doloplus
120- L’évaluation de la douleur concerne :
A- L’intensité de la douleur
B- Le degré de soulagement
C- Le retentissement sur la vie quotidienne
D- Les effets secondaires des analgésiques prescrits
E- la douleur nociceptive uniquement
121- L’effet indésirable le plus fréquent de la morphine orale dans le
traitement de la douleur cancéreuse est :
A- Les nausées – vomissements
B- La constipation
C- La dépression respiratoire
D- La dépendance
E- La somnolence
122- - Les médicaments prescrits dans le traitement de la douleur aigue post
opératoire sont :
A- La morphine
B- Le paracétamol
C- Les AINS
D- Les corticoïdes
E- Le néfopam
123- - La titration de la morphine par voie orale :
A- Utilise de la morphine à libération prolongée uniquement
B- Utilise la morphine à libération prolongée et à libération immédiate
C- Nécessite la surveillance en soins intensifs
D- Peut se faire en ambulatoire
E- Peut être faite par le patient lui même
124- Le traitement de fond de la douleur neurogène est basé sur :
A- Les antis dépresseurs
B- Les neuroleptiques
C- Les morphiniques
D- Les corticoïdes
E- Les antalgiques du palier I
125- - L’hétéroévaluation de la douleur :
A- Est l’évaluation de la douleur par le médecin ou l’infirmière
B- Peut être utilisée chez le patient non communiquant
C- Peut être utilisée chez l’enfant de moins de 5 ans
D- Utilise l’EVA comme outil de référence
E- Nécessite la coopération du patient
126- La prévention des d’escarres en milieu de réanimation passe avant tout
par :
A- L’immobilisation du patient dans son lit
B- Le changement des postions toutes les 4 heures
C- Une alimentation hyper protidique et hypercalorique
D- La mise en place d’un support dynamique à pression alternée.
E- Eviction de la pression de contact poids et surface
127- Les facteurs de risque Intrinsèques et extrinsèques de survenue
d’escarres du patient sont :
A- La dénutrition
B- La pression de poids du malade sur les surfaces de contact est permanente.
C- L’immobilité de contrainte
D- Les troubles neurologiques
E- La mise en place d’un matelas alternating et de coussins en permanence.
128- Parmi les objectifs de l’évaluation de la douleur :
a. Prescrire un traitement antalgique adapté à l’intensité de la douleur
b. Vérifier l’efficacité du traitement antalgique prescrit
c. Ajuster le traitement antalgique
d. Surveiller l’apparition d’éventuels effets secondaires et les traiter
e. Aucune de ces propositions
129- Parmi les règles de prise en charge de la douleur :
a. Evaluation systématique de l’intensité de la douleur
b. Prescription du médicament à la demande
c. Ne pas croire le malade quand il dit qu’il a très mal
d. Considérer le soulagement comme objectif principale
e. Ne pas prendre en considération les contre-indications des médicaments à prescrire
130- Les douleurs neurogènes :
a. Sont habituellement sensibles aux opiacés
b. Ont une topographie neurologique systématisée
c. Ont un rythme mécanique ou inflammatoire
d. Ont une sémiologie spécifique
e. Sont habituellement sensibles aux antidépresseurs

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