Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
: 1 : URGENCES REA
a. a1
b. a2
c. Bl
d. B2
a. al
b. a2
C. Bl
d. B2
e. Y
53- Quels sont les éléments de la prise en charge immédiate d'un choc hypovolémique ?
a. Introduction d’adrénaline
b. Remplissage vasculaire massif par cristalloïdes
c. Transfusion sanguine en cas de choc hémorragique
d. Antibiothérapie parentérale probabiliste à large spectre
e. Introduction de noradrénaline
A- Choc septique a.
B- Choc cardiogénique b.
C- Pancréatites aiguës
D- Brûlures étendues
E- Choc hémorragique
55- Quelles sont les 2 causes les plus fréquentes du choc distributif
a. Rétention aiguë d'urine
b. Angiocholite aiguë
c. Embolie pulmonaire
d. Infarctus du myocarde
e. Tamponnade cardiaque
56- Lesquels des éléments ci-dessous définissent-ils un sepsis sévère et non plus
seulement une réponse inflammatoire systémique ?
a. Fréquence cardiaque> 90/minute
b. Fréquence respiratoire> 20 cycles/minute
c. Pression artérielle systolique< 90 mm Hg avant remplissage
d. Thrombopénie < 100 G/L
e. Temps de recoloration cutanée> 2 secondes
57- La méningoencéphalite à Pneumocoque se caractérise par :
A. Un début brutal et franc
B. Des lésions cutanées purpuriques nécrotiques et hémorragiques extensives
C. Sa sensibilité élevée à la pénicilline et CG3
D. Un LCR purulent riche en PNN
E. La présence d’autres foyers extra méningés
58- . Concernant les Antidotes, cochez-la ou les réponse(s) juste(s) :
A. La Naloxone est l’antidote des barbituriques
B. Le flumazénil est l’antidote des benzodiazépines
C. L’atropine est l’antidote des organophosphorés
D. Le charbon actif est l’antidote des antidépresseurs
E. Les barbituriques n’ont pas d’antidote
59- L’envenimation scorpionique :
A. Est toujours venimeuse
B. A la même gravité que l’envenimation vipérine
C. Reste sans conséquence grave chez l’adulte à part la douleur intense
D. S’accompagne d’une décharge de catécholamines
E. Nécessite une surveillance de 4 heures
60- . Les phénomènes physiopathologiques responsables de l’asthme aigu grave
sont :
A. Un processus inflammatoire avec œdème muqueux et secrétions bronchiques.
B. Une inondation alvéolaire secondaire l’augmentation de la pression hydrostatique dans les
capillaires pulmonaires.
C. Une vasoconstriction pulmonaire secondaire à une réaction allergique.
D. Une contraction aiguë des muscles bronchiques sous l’effet de stimuli allergéniques.
E. Une obstruction des voies aériennes supérieures par un œdème allergique.
61- Devant un état de choc :
A. Les médicaments inotropes sont utilisés quel que soit la cause de l’état de choc.
B. Un remplissage initial peut être assuré par une solution cristalloïde.
C. Le remplissage vasculaire n’est débuté qu’après l’échec de l’usage des Vasoconstricteurs.
D. En cas d’hémorragie extériorisée avec état de choc, il pourra être nécessaire de transfuser des
culots globulaires avant la quantification du taux d’hémoglobine.
E. L’albumine est le soluté de remplissage idéal dans les états de chocs.
62- Concernant les traitements vasopresseurs ou inotropes dans les états de choc :
A. L’agent vasoconstricteur de première intention est la Noradrénaline.
B. L’agent inotrope positif de première intention est la Dopamine.
C. Le traitement vasoconstricteur et associé au remplissage vasculaire en cas d’hypovolémie.
D. L’agent inotrope positif de première intention est la Dobutamine.
E. L’adrénaline est utilisée pour un effet α adrénergique exclusif.
63- Concernant le choc hypovolémie :
A. Peut survenir à la suite d’une défaillance cardiaque.
B. La masse sanguine circulante n’est pas modifiée.
C. La pression veineuse centrale est élevée.
D. Peut être liée à une hémorragie.
E. Peut être lié à des fuites plasmatiques.
64- Sur le plan Physiopathologique, le choc cardiogénique est caractérisé par :
A. Un débit cardiaque préservé.
B. Augmentation des pressions de remplissage.
C. Une diminution des pressions de remplissage.
D. Une Augmentation des résistances périphériques.
E. Une diminution de la masse sanguine circulante.
65- Le choc septique est caractérisé par :
A. Une défaillance cardiaque initiale.
B. Le déclenchement par une réaction allergique.
C. Des désordres hémodynamiques, métaboliques et viscéraux.
D. Une réaction immunoinflammatoire de l’hôte infecté.
E. L’absence de modifications de la perméabilité capillaire.
66- Parmi les lésions suivantes chez un traumatisé crânien, quelles sont celles qui
sont secondaires à un traumatisme de contact :
A. Une lacération du cuir chevelu.
B. Une fracture du crâne.
C. Des lésions axonales diffuses.
D. Une embarrure.
E. Une plaie cranio- cérébrale.
67- Lors d’un traumatisme crânien grave, la craniectomie décompressive est
indiquée devant :
A. Un œdème cérébral diffus sans lésions ischémiques.
B. Un engagement cérébral prolongé.
C. Une hydrocéphalie
D. Un délabrement étendu du cuir chevelu
E. Une PIC incontrôlable par de moyens médicaux.
68- L’asthme aigu grave est traité en première intention par :
A. L’injection intraveineuse d’un bêta-2 adrénergique.
B. La Nébulisation d’un bêta-2 adrénergique.
C. La ventilation artificielle en première intention.
D. Des anti-inflammatoires stéroïdiens en intraveineux.
E. Une oxygénothérapie par masque à réservoir pour nébulisation.
69- Parmi les Signes suivant quels sont ceux qui définissent l’asthme aigu grave :
A. La difficulté à parler ou tousser.
B. Le silence auscultatoire.
C. Une hypertension artérielle systolique > 150 mm Hg.
D. Un débit expiratoire de pointe (DEP) > 150 L / min.
E. Une PaCO2 < 30 mm Hg.
70- Afin de réduire l’incidence des infections nosocomiales on préconise :
A. L’administration d’une antibiothérapie précoce dés l’apparition d’une fièvre en réanimation.
B. L’utilisation des solutions hydro alcooliques pour le lavage des mains.
C. Le dépistage des bactéries multi résistantes
D. Un bilan infectieux quotidien.
E. D’utiliser les dispositifs invasifs quand cas de nécessité.
71- Quels sont les 3 germes les plus fréquemment identifies lors des infections
nosocomiales
A. Pneumocoque
B. Staphylocoque Aureus
C. Escherichia coli
D. Pseudomonas aéruginosa
E. Entérocoque
72- . Les deux principales indications d’administration du sulfate de magnésium
sont :
a. Toute crise convulsive chez la femme enceinte.
b. Une préeclampsie sévère
c. Une HTAG gravidique
d. Une éclampsie
e. Des mouvements myocloniques chez une parturiente.
73- Une hémorragie grave du postpartum se caractérise par :
A. Une instabilité hémodynamique.
B. Le recours à une transfusion sanguine massive.
C. La possibilité d’installation d’une insuffisance rénale aigue.
D. Des pertes sanguines inférieures à 500 ml.
E. La possibilité de survenue d’une insuffisance antéhypophysaire.
74- En cas des hémorragies graves du post-partum :
A. La transfusion massive est nécessaire quelle que soit le tableau clinique.
B. Les utéro toniques doivent être administrés précocement.
C. Le taux du fibrinogène n’est pas déterminant dans le pronostic maternel.
D. Le risque de survenue d’un œdème aigue du poumon est non négligeable.
E. L’hystérectomie d’hémostase est parfois nécessaire pour sauvetage maternel.
75- Concernant les hypernatrémies : (cocher les réponses vraies)
A. L’hypernatrémie s’accompagne d’un hyper osmolalité plasmatique
B. L’hypernatrémie traduit une hyperhydratation intracellulaire
C. Les pertes digestives peuvent être une cause
D. Une hypernatrémie avec secteur extracellulaire normal le traitement est L’apport hydrique seul
E. Elles doivent être interprétées en fonction du volume extracellulaire
76- Le bilan radiologique à demander en cas de polytraumatisme :
a. Un scanner corps entier
b. Une scintigraphie osseuse
c. Une urographie intraveineuse
d. Un arbre urinaire sans préparation
e. Une FAST échographie
77- La prise en charge d’un patient polytraumatisé comporte :
a. Un remplissage vasculaire
b. Un bilan radiologique
c. Un bilan biologique complet
d. Un sondage vésical systématique
e. Un transfert en réanimation avant stabilisation
78- Le remplissage vasculaire au cours du polytraumatisme peut faire appel :
a. Aux culots globulaires
b. Aux cristalloïdes
c. A l’albumine humaine
d. Aux colloïdes
e. Aux culots plaquettaires
79- Parmi les signes de gravité d’une morsure de serpent :
f. Une hypertension artérielle
g. Un œdème extensif
h. La morsure au niveau du pied
i. Présence de troubles de l’hémostase
j. Absence de signes généraux
80- Concernant les intoxications, Cocher la (les) réponses vraies :
a. Le lavage gastrique est indiqué dans toutes les situations
b. Le charbon activé est le plus utilisé dans les intoxications médicamenteuses
c. L’intoxication aux pesticides s’accompagne d’un syndrome adrénergique
d. L’intoxication au CO peut se compliquer de séquelles neurologiques
81- Parmi les causes des comas avec agitation, on peut noter :
a. Intoxication aux antidépresseurs tricycliques
b. Intoxication au BZD
c. Une encéphalopathie hépatique
d. Une intoxication au CO
e. Une acidocétose diabétique
82- L’éclampsie se définit par :
a. Crises convulsives généralisées au-delà de 20 Semaines d’aménorrhées
b. Une hypertension associée à des crises convulsives.
c. des crises convulsives dans un contexte fébrile
d. Crises convulsives dans un contexte de pré éclampsie au-delà de 20 SA
e. Des crises convulsives chez une femme enceinte
83- Le sulfate de magnésium est un anticonvulsivant indiqué en cas d’éclampsie,
quelles sont les propositions exactes ?
a. Une dose de charge de 4g en perfusion de 30 min
b. Une dose d’entretien de 4g/h à la seringue auto pousseuse.
c. Est un médicament prescrit en préventif et curatif des convulsions.
d. A un effet protecteur du cerveau du bébé.
e. Est indiqué même en présence d’une insuffisance rénale aigue.
84- La surveillance d’une éclamptique sous sulfate de magnésium nécessite :
a. La vérification de la fréquence cardiaque.
b. La vérification de la fréquence respiratoire.
c. L’administration du gluconate de potassium en cas de surdosage.
d. La surveillance de la diurèse.
e. La surveillance des réflexes ostéotendineux
85- Le choc anaphylactique est caractérisé par :
a. . Une bronchoconstriction importante responsable d’une gêne respiratoire.
b. Une vasoconstriction périphérique responsable de marbrures et cyanose.
c. Une augmentation de la perméabilité capillaire.
d. Son traitement fait appel à la noradrénaline.
e. Une gêne respiratoire qui peut être liée à un œdème de voies aériennes supérieures.
86- Concernant le traitement des états de choc par les sympathomimétiques :
a. L’agent inotrope positif de première intention est la dopamine.
b. L’agent vasoconstricteur de première intention est la Noradrénaline.
c. L’agent inotrope positif de première intention est la dobutamine.
d. L’adrénaline est utilisée pour ses effet ß et α adrénergiques.
e. L’agent vasoconstricteur de première intention est l’adrénaline
87- . Homme mordu par une vipère au niveau du pied, présente des sueurs,
diarrhée, OMI, hypotension :
a. Classé Grade 2
b. Besoin de sérothérapie
c. Besoin d’hospitalisation en milieu de réanimation
d. Pas besoin de bilan biologique
e. Pronostic vital hors danger
88- Méningite à pneumocoque :
a. Fréquent chez les splénectomisé
b. Favorisé par l’existence de brèche dure mérienne
c. Trouble brutal, avec apparition de purpura extensif et nécrosant
d. Sensible à la PeniG
e. En cas d’allergie à la pénicilline, on utilise les cyclines
89- Méningoencéphalite herpétique :
a. Est une urgence médicale
b. Caractérisé par l’atteinte frontal plus évidente sur l’IRM
c. PCR est le moyen de diagnostic le plus sensible
d. Se caractérise par un LCR purulent avec formule lymphocytaire
e. Acyclovir est donnée à raison de 10mg/kg/8h
90- les infections nosocomiales sont :
A- Rares
B- Inévitables
C- Responsables d’une mortalité élevée
D- Faciles à traiter
a. E-Responsable de préjudice moral pour le patient
91- Les agents microbiens conventionnels responsables d’infections nosocomiales
sont :
A- Des bactéries
B- Des virus
C- Des prions
D- Des parasites
E- Des levures
92- L’infection nosocomiale la plus fréquemment observée en réanimation est :
A- L’infection urinaire
B- L’infection pulmonaire
C- La bactériémie
D- L’infection du site opératoire
E- La méningite
93- Parmi les moyens de prévention de l’infection nosocomiale on retrouve :
A- L’hygiène des mains
B- Le port de gants
C- Les antibiotiques
D- L’isolement des patients infectés
E- L’usage des antiseptiques
94- Les polytraumatismes sont :
A- Rares
B- Responsables d’une mortalité élevée
C- Des urgences médico-chirurgicales
D- Faciles à gérer
E- Secondaires exclusivement à des AVP
95- Quels sont les éléments en faveur d’un coma toxique :
A- Il s’accompagne d’un déficit moteur
B- Il est réversible sans séquelles en l’absence de complications
C- Il est toujours calme et hypotonique
D- Il s’accompagne de toxidromes
E- Aucune de ces propositions
96- Parmi les signes suivants, quels sont ceux en faveur d’une intoxication aux
organophosphorés :
A- Un myosis serré
B- Des convulsions
C- Diarrhées et vomissements
D- Une hypertension artérielle et tachycardie
E- Fièvre
97- Le lavage gastrique peut être indiqué dans les situations suivantes :
A- Intoxication aux organophosphorés
B- Ingestion de produits caustiques
C- Chez un patient comateux non intubé
D- Ingestion d’antidépresseurs tricycliques
E- Ingestion de paracétamol
98- L’intoxication par les organophosphorés se caractérise par :
A- Un syndrome cholinergique
B- Une hypovolémie
C- Le risque d’intoxication percutanée
D- La contre-indication du lavage gastrique
E- Une rhabdomyolyse avec risque d’insuffisance rénale organique
99- Chez le traumatisé crânien grave, les lésions cérébrales secondaires sont liées
à:
A. L’hypotension artérielle.
B. La ventilation artificielle.
C. L’hypocapnie.
D. L’hypercapnie.
E. La sédation.
100- - Chez le traumatisé crânien grave, la chirurgie est indiquée devant :
A. Toute embarrure ouverte.
B. Un hématome sous dural avec déviation de la ligne médiane > 5 mm.
C. Toute hydrocéphalie aiguë.
D. Toute contusion frontale.
E. Toute contusion temporale avec anisocorie et disparition de la citerne péripédonculaire
ipsilatérale avec ou sans HIC.
101- Parmi les traitements suivants, quels sont ceux qui sont indispensables
pour traiter un asthme aigu grave ?
A. L’oxygénothérapie ou la ventilation artificielle.
B. Les antihistaminiques.
C. Les ß2 agonistes.
D. Les corticoïdes.
E. L’antibiothérapie
102- Le choc cardiogénique est caractérisé par :
A. Un bas débit cardiaque.
B. Une diminution des pressions de remplissage.
C. Une phase initiale hyperkinétique.
D. Une augmentation des résistances périphériques
103- Une hypernatrémie peut être provoquée par :
A. Un régime riche en sodium
B. Des apports d’eau insuffisants
C. Des apports d’eau supérieurs à 3 litres par jour
D. Un défaut de concentration des urines
E. Une lésion hypophysaire
104- Le tableau clinique de l’hyponatrémie est celui d’une
A- Déshydratation extracellulaire
B- Déshydratation intracellulaire
C- Hyperhydratation extracellulaire
D- Hyperhydratation intracellulaire
E- Déshydratation intra et extracellulaire
105- Le tableau clinique de l’hypernatrémie est celui de :
A- Hyperhydratation intracellulaire
B- Déshydratation extracellulaire
C- Déshydratation intracellulaire
D- Hyperhydratation extracellulaire
E- Etat d’anasarque